mountain ghosts?
yess!! it's a cliche-ridden Meaningful Dream Sequence related fic (not asleep-dreaming but in some kind of strange, cold, climbing-induced trance) that may or may not be a precursor to something else but should also work on its own. either pre or post 2020 tour (haven't decided quite yet, probably pre? yeah pre 2020 tour)
“I think I'm you,” the stranger says plainly, picking at his fingernails. His hands are dirty, covered in grease-marks and dust.
“Or, I will be. Perhaps you will be me – or you will have been me and I will have been you, it's really rather messy, all this.” he gestures to the general area, the mountain road, the wall and the bench. The snow has stopped, at least.
and who is this appearing cryptic and unusual in tadej's dreamlike state but an apparition of Henri Cornet, the youngest ever winner of the Tour de France, riding to victory in 1904 aged just 19!
toying with a similar idea of primož being visited by the ghost of Laurent Fignon, who also lost the Tour on the final time trial, but not really sure where i would take it. but it's there all the same.
with neither of them knowing fully who they are being visited by, perhaps finding out later and realising some significance, or being content to write it off as a Weird Dream despite not being asleep
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Official Key Art And Trailer For THE LAST RIDER About American Cyclist Greg LeMond
Check out these official poster and trailer for THE LAST RIDER. Roadside Attractions will release THE LAST RIDER in theaters on June 23rd, 2023
Directed by Alex Holmes
Produced by Sam Brayshaw, James Erskine, Victoria Gregory
Featuring Greg LeMond, Kathy LeMond, Pedro Delgado, Laurent Fignon
The heroic true story of American cyclist Greg LeMond, considered to be one of the greatest cyclists of…
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Club Paris 2024
Le Club Paris 2024 est une communauté de supporters des Jeux Olympiques et paralympiques de Paris 2024. Accessible aux sportifs confirmés ou non, amateurs, amoureux du sport, le Club Paris 2024 se propose de faire vivre à ses membres une expérience privilégiée des Jeux Olympiques et Paralympiques. Le Club Paris 2024 fédère, rassemble, informe en avant-première, motive et offre des récompenses, parfois inédites comme défier Tony Parker au basket ou voler avec la patrouille de France.
A moins de deux ans des Jeux, il est toujours possible de rejoindre le Club Paris 2024. C’est par ici.
Vous pratiquez une activité sportive au sein d’un club et vous la tracez à chaque sortie ? Vos sorties marche, vélo, course à pied sont enregistrées et converties en points dans le Club Paris 2024. Ceux qui y ont rejoint la communauté peuvent ainsi participer à des challenges, des défis comme gagner un dossard pour le marathon de Paris. Les membres sont parfois sollicités pour partager leur expérience sur un sport qu’ils pratiquent. Je m’y suis inscrit il y a trois ans et cet été 2022, en juillet, une journaliste m’a proposé de recueillir mon témoignage à propos du cyclisme sur route.
L’interview a été publié à cette adresse. Il est reproduit ci-dessous.
Du cycliste sur route travailleur, Michel s’est mué, en voyageur à vélo dès que le temps lui a permis. La retraite pointant le bout de son nez, il a pu parcourir les lacs de Savoie et de Haute Savoie, réaliser un séjour itinérant à Pékin du Stade olympique à la Grande Muraille, ou encore un autre des sources du Danube à Vienne. Michel est un insatiable du cyclisme sur route avec une culture sportive à la fois surprenante et passionnante. Découvre ses anecdotes sans plus attendre !
Quel rapport entretiens-tu avec le cyclisme sur route depuis ton plus jeune âge ?
Si je remonte aux années 1980, le vélo était pour moi un moyen de locomotion pour me rendre à mon travail chaque jour, à raison de 24 kilomètres aller-retour. Il y avait d’autres façons de le faire, comme le train ou la voiture, mais je préférais ce moyen. C’était plus agréable, je pédalais loin du trafic, le long d’un canal, et puis c’était une façon de m’oxygéner les neurones et de respirer. Je joignais l’utile à l’agréable. Par la suite, j’ai changé de lieu de travail et je ne pouvais pu m’y rendre à vélo. C’est là que je me suis mis au cyclisme sur route pour le loisir. Tous les week-ends, j’enfourchais mon vélo pour des sorties de 50 à 60 km. Durant mes vacances, je m’aventurais plus loin, avec des sorties en montagne et des cols légendaires.
Raconte-nous ta plus belle expérience en lien avec le vélo sur route ?
En 1989, j’ai eu l’occasion de suivre le Tour de France depuis le départ au Luxembourg jusqu’à l’arrivée sur les Champs-Elysées. C’est la dernière fois qu’un Français est arrivé sur les Champs-Elysées avec le maillot jaune. Laurent Fignon ! Je m’en souviens comme si c’était hier. Malheureusement, il perd son maillot et le Tour de France à seulement 8 secondes, battu par l’Américain Greg LeMond. Cette expérience est belle parce que je l’ai vécu de l’intérieur. À ce moment-là, je travaillais au Conseil général des Hauts-de-Seine, qui avait la charge du ravitaillement des journalistes au kilomètre 92 de chaque étape. J’ai pu approcher des personnes que je n’avais vu qu’à la télévision et surtout, voir l’envers du décor du Tour de France, à travers le regard des journalistes. Et puis, vivre le Tour de France au contact des sportifs de haut niveau, c’est un rêve d’enfant réalisé.
Le cyclisme est l’un des rares sports qui a presque toujours été présent aux Jeux olympiques depuis Athènes, en 1896. Parmi tous les coureurs cyclistes, quel athlète olympique t’a le plus marqué ?
J’en ai deux en tête. D’abord, je pense à Jeannie Longo qui est une référence en matière de cyclisme sur route et en contre la montre. Elle a fait sa dernière compétition olympique à Pékin en 2008. Elle avait 50 ans ! Jeannie Longo a un palmarès incroyable. Elle a obtenu son titre olympique à Atlanta en 1996, dix-sept ans après son premier titre de championne du monde. Elle a vraiment traversé l’histoire du sport français et l’histoire du cyclisme sur route. Elle a côtoyé au moins quatre Présidents de la République et elle a été dans le top 10 des personnalités préférées des Français. C’est vraiment quelqu’un qu’il faut citer parce que c’est une sorte d’immortelle, un peu comme les académiciens, elle mérite le titre d’immortelle du sport. S’il y a un Panthéon du sport qui se crée un jour, elle y entrera sans aucune hésitation. Ensuite, je pense au dernier coureur cycliste amateur, l’Italien Fabio Casartelli. En 1984, le CIO admet les cyclistes professionnels aux Jeux olympiques, au même titre que dans les autres sports, ce qui n'était pas le cas auparavant. En 1992, Fabio Casartelli, du haut de ses 22 ans, participe aux Jeux olympiques de Barcelone en tant qu’amateur et remporte l’or olympique ! Ce sera le dernier amateur à décrocher une telle récompense. Par la suite, il passe cycliste professionnel et enchaîne les tours de France et d’Italie, mais en 1995, il se tue dans la descente du col de Portet-d’Aspet lors du Tour de France. C’est un tournant pour le cyclisme en France. Le port du casque devient obligatoire comme pour les Jeux olympiques.
Tu l’évoquais auparavant. Le 21 juillet 1996, la Tricolore Jeannie Longo devient championne olympique de la course en ligne. Elle dira plus tard, qu’il s’agit du plus beau titre de tout son palmarès. Qu’a pensé le cycliste que tu es de sa course ?
Je n’en ai pas un souvenir direct mais plutôt un souvenir par les médias. Et je me souviens d’ailleurs d’une remarque d’un journaliste, soulignant qu’elle courrait depuis un moment, faisant référence à son âge avancé. Avec son caractère bien trempé, Jeannie Longo lui avait fait remarquer que les médailles, c’est un peu comme le baccalauréat ou le permis de conduire, à la longue, on finit toujours par l’avoir ou par nous les donner. À ce moment-là, elle en était à sa quatrième participation aux Jeux olympiques, ceux d’Atlanta après Los Angeles, Séoul et Barcelone où elle était arrivée deuxième.
La dernière médaille d’or homme, en cyclisme sur route, remonte aux Jeux de Londres en 1948. Elle avait été remportée par José Beyaert. Comment expliques-tu que nos coureurs ne parviennent pas à faire la différence depuis ?
Il y a une concurrence qui est devenue très forte. Le Tour de France est un véritable baromètre pour évaluer le niveau des coureurs cyclistes et déceler les coureurs olympiques. Il est rare que nos coureurs cyclistes français arrivent dans les dix premiers. S’ils ne sont pas bien classés sur les courses de référence, ils ne le seront probablement pas aux Jeux olympiques. Et puis, comme je l’expliquais précédemment, avant les années 2 000, seuls les coureurs cyclistes amateurs pouvaient participer aux Jeux olympiques selon le règlement initial du CIO. José Beyaert est d’ailleurs passé professionnel en 1949 après son titre olympique. Les coureurs cyclistes professionnels dans le cyclisme sur route ont été admis qu’à partir de 1996 et au-delà. Nos meilleurs cyclistes sur route des années 1960, 1970 comme Poulidor, Thévenet, Anquetil et Fignon n’y ont donc jamais eu accès. Peut-être Julian Alaphilippe aux Jeux de Paris 2024 !
Quelle récompense aimerais-tu que le Club Paris 2024 mette en jeu d’ici aux prochains Jeux ?
Pouvoir rouler avec un cycliste professionnel comme Bernard Thévenet, un coureur cycliste des années 1970 ! J’adore l’idée !
Les Jeux Olympiques se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024, les Jeux Paralympiques, du 28 août au 8 septembre 2024.
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THE YELLOW JERSEY - Peter Cossins
‘There’s yellow and there’s yellow. They’re yellow enough to make you want to scream. You can see them from 500 metres away; from that distance they look like sunbeams’ L’Auto
This was a really wonderful project to have worked on. I was fortunate enough to travel with author Peter Cossins and photographer Seamus Masters to the Musée de Sport in Nice, as the Museum had kindly allowed us access to shoot a rich selection of Yellow Jersey artefacts.
From Eddie Merckx’s legendary 1970 Leaders Jersey, Laurent Fignon’s aerodynamic cycling helmet and Joop Zoetemelk’s lycra yellow jersey jumpsuit to original artworks of legends such as Coppi, Anquetil, LeDucq and Rolland and boundless cartoons, magazines, books – plus the original copy of L’Auto newspaper that announced the inception of the Maillot Jaune.
Armed with a wealth of material, designing the layout was a challenge, but ultimately satisfying. We chose a two column grid with a three column chapter opener to give more of a magazine reading experience. Large pull quotes punctuating the text aim to capture the spirit of the road race - echoing the tension of the peloton then the drama of the split from the pack.
Chapters are constructed to lead with tipped-in sheets of gloss stock each displaying a relevant yellow jersey - a device that helps keep a nice pacing to the reading experience. Another important visual stance we took was to shoot all of the objects using the same lighting set-up giving the sense of a collection of curios, rather than sourcing the usual library shots - aesthetically moving away from the regular sports book.
The Yellow Jersey isn’t just a book about cycling. It’s the story of how the colour yellow became one of the earliest forms of branding - from selling newspapers, to highlighting the leading cyclist and eventually becoming a watchword for leadership.
Published to coincide with The Tour’s 100th anniversary of the Maillot Jaune, The Yellow Jersey is a celebration of the hardest-earned and most sacred prize in sport.
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