#ledisquaire

[disquaire]

ON A RENCONTRÉ : S3A (Sampling As An Art)

27/01 - LE PLATEAU MONT-ROYAL - MONTREAL

- Tabernak! Nous voici de retour avec un nouvel épisode “On a rencontré”, on le sait, ça vous a manqué, tout autant que nous ! Une partie de notre krew a monté la tente à Montréal, chez les cousins, et il faut dire que la scène électro n’est pas des moindre. Avec un peu plus de 30 clubs à son actif, des événements en-veux-tu en-voilà et une invasion de festivals en tout genre l’été, Montréal est une ville qui bouge, et qui fait les choses bien. Cerise sur le gâteau, nous avons retrouvé sur place nos confrères du label Kizi Garden Records qui ont eu l’occasion de booker notre père spirituel à tous, S3A, ancien résident de la Concrete et grand adepte de la house, french touch oblige. En passant par Philip Glass, Motor City Drum Ensemble, Chez Damier et même France Gall, l’artiste nous dévoile ses inspirations... et sa vision sur le monde musical d’aujourd’hui. 

Action!

Le Disquaire : Salut S3A, bienvenue à Montréal! Comment tu te sens?

S3A : Bonsoir ! Il neige dehors, -14°C c’est la fête ! 

LD : On t’avait prévenu, le Québéc hivernal c’est une autre paire de manche! Tu nous disais que ce n’était pas la première fois que tu venais outre-atlantique? 

S3A : Ouais, non, j’étais venu à la Bacchanale, on avait fait Salon Daomé aussi, ça s’était super bien passé, on avait passé une très belle soirée. J’étais pas prévu pour passer autant de temps mais, au final, j’ai joué presque toute la soirée. C’était vraiment un bon souvenir, le club était cool, les gens super sympa : expérience au top.

LD : Excellent. Tu sentais les gens réceptifs? 

S3A : Absolument, j’ai pas eu longtemps à me chercher si tu veux. Il y a des endroits où tu as plus besoin de chercher les gens, jauger le public, tenter des choses, mais à Montréal c’était assez naturel, super agréable. 

LD : La scène se développe de plus en plus ici, ça se sent. On va faire un petit flashback, d’où te vient cet amour pour la musique? 

S3A : Mon père je pense. J’ai été élevé dans le rock progressif, jazz, rhythm & blues - le “vrai” R&B je veux dire, pas le récent que nous avons aujourd’hui. Puis après j’ai croisé mon truc directement dans les 90′s avec la techno à l’époque et plus particulièrement la rave anglaise. C’était une musique décérébrée, festive, exactement ce que je voulais. J’avais 13 ans, et j’avais besoin de me défouler. C’est un truc qui m’allait très très bien à l’époque - et qui me va toujours d’ailleurs. 

LD : D’où te vient ce nom de scène, S3A (Sampling As An Art)?

S3A : De Marc Leclerc, alias Akufen, un mec qui compte beaucoup pour moi en terme de musique. Un jour, je suis allé le voir au nouveau Casino à Paris, ça devait être en 2002. Et je me rappelle, il avait un t-shirt orange avec marqué en blanc “Art of Sampling”. Et moi j’ai toujours aimé les comparaisons à l’anglaise “As Something...”. Du coup, je l’ai adopté en créant l’acronyme S3A, c’est resté depuis, ça me correspond assez bien. 

LD : Une belle histoire plutôt originale. Côté inspiration, quel est ton secret? As-tu des mimiques particulières quand tu dig des pépites? 

S3A : Alors, ouais. Quand j’ai commencé le projet, je prenais tout ce qui était funk des années 74-79 et le rythmique comme la disco entre 79 et 82. Après, au fur et à mesure, le son change, il devient numérique et c’est moins authentique. C’est pas du tout la même vibe, j’aime moins, et je préfère conserver cet aspect authentique. 

LD : J’ai vu que tu avais fait un edit de France Gall, tu es un amateur de pop française 80′s? 

S3A : L’edit de France Gall c’était un peu spécial. J’ai fait ça au Sucre pour Radio Nova, j’étais content de la faire. A la mort de France Gall, je me suis dit “c’est quand même bête, j’ai toujours dit que j’aimais bien ce qu’il faisait Berger” (Michel de son prénom, nldr). J’ai réécouté Starmania avec Besoin d’Amour et, pour moi, elle manquait de patate. Je l’ai travaillé super rapidement, en 2 heures à l’hôtel, sans analogique comme je fais d’habitude. Le but était de le passer le soir même, ça aurait le mérite d’être retravaillé mais je suis content de l’avoir fait.  J’aime beaucoup ce qu’écrivait Berger en général. Quand tu regardes ce qu’il pouvait produire en 3 semaines... Pour moi c’était une façon de lui rendre hommage.

LD : Bien joué, ça rend super bien, et on a vu les foules s’extasier au Sucre ! Qu’est-ce qu’on peut trouver dans ta collection de vinyles?

S3A : Vraiment plein de choses ! J’apprécie beaucoup le rock progressif, le jazz, un peu de musique brésilienne et le reste de la house, un peu quand même ! (rires) Par contre, je n’ai pas un disque tant que je ne l’ai pas en vinyl. Tout ce que j’ai en vinyl, je me numérise presque directement une fois à la maison.  Pour reparler de ma collec’, je suis pas super spécialisé. Aujourd’hui, je trouve qu’être spécialisé, c’est perdre du temps. La vie est trop plurielle, il y a trop de belles choses à choper à droite à gauche pour uniquement se confiner dans un style. Tu peux pas juste aimer la bière blonde, je ne suis pas comme ces DJ monostyles et hyper spécialisés. J’ai besoin de jouer autre chose. 

LD : Un vrai puriste, c’est ce qu’on aime. Quel type de son aurais-tu aimé produire?

S3A : Que j’aurais aimé produire? Raw Cuts 6, de MCDE, dans son premier album. Ca m’a foutu le feu. C’est le genre de son qui a contribué à la naissance de S3A. Il y a eu un espèce de combo entre l’EP de MCDE et un dîner avec Chez Damier, qui voyait bien que j’étais en train de marmonner mon truc et que j’arrivais pas à avancer. Je voulais un truc en plus, un autre projet, puis il m’a dit “Don’t try to be the red point for the red room. Be the white point in the white room. Be a different point by yourself.” 

LD : Quel est ton son du moment? Tu nous parlais de rock à l’ancienne, est-ce que tu restes authentique ou tu surfes plutôt sur la nouvelle vague? 

S3A : Je vais avoir besoin de plusieurs secondes... Après il y a ce que je peux mettre sur un dancefloor, et ce que je peux mettre en soirée, qui sont pour moi deux choses bien différentes. Je peux pas me permettre les mêmes choses, à moins d’avoir les gens vraiment dans la poche, mais c’est infaisable sur 2 heures de set - ça sera plutôt sur 3 ou 4 heures.  Alors, je vais te parler de Marc Leclerc, avec Akufen ou Horror Inc, c’est un artiste que j’ai souvent dans les oreilles. Le bon juste mélange entre notes et musique électronique, c’est même ce que je recherche à faire avec S3A, et mon album sera comme ça.

🎙“TU PEUX PAS JUSTE AIMER LA BIERE BLONDE, IL Y A TELLEMENT D’AUTRES CHOIX. JE NE SUIS PAS COMME CES DJ MONOSTYLES ET HYPER SPECIALISES.” S3A

LD : Sur le même sujet, tu te sens inspiré par Philip Glass, étant donné que tu es un grand fan?

S3A : Ah bah oui, je suis ultra ouf de ce mec. Tout a commencé en 1993 lorsque j’ai entendu la musique du film Candyman, dont Philip Glass avait fait la BO. On était en famille, et les quelques notes de piano m’ont absolument transporté. Ca m’a particulièrement touché, je ne comprenais pas pourquoi j’avais autant aimé ce film là. Et un autre jour, j’entends une autre musique dans un autre film, c’était le Truman Show, la musique de fin. Et là, je me dis “c’est marrant, ça y ressemble”. J’ai ensuite fait le lien et je me suis bouffé tous ce qu’il a pu produire, des BO aux opéras. Ca m’a vraiment pété à la tronche lorsque Aphex Twin a fait le remix de Philip Glass et je me suis dit “bah voilà, comme quoi, j’étais pas fou!”. Je suis un grand fan de musique d’ambiance, de film. Ca tire sur les cordes sentimentales et les émotions musicales, c’est du génie. 

🎙“JE SUIS PAS UN GROS DIGGER, LE GENRE DE MEC A PASSER 8 HEURES POUR UN VINYL. SI C’EST RESTÉ DANS LES BACS, C’EST QU’IL Y A UNE RAISON AUSSI. C’EST PAS PARCE QUE LE MORCEAU EST RARE QUE C’EST FORCÉMENT BIEN.” S3A

LD : Super cool. Et la suite de tes projets? En commençant par une date à Montréal demain?  

S3A : Yes, date à Montréal demain avec l’équipe de Kizi Garden. Après il y a un Eureka (label japonais, nldr) qui va sortir bientôt. Un nouveau label appelé LionZoo orchestré par Paolo Valentino, puis un S3A Records qui va arriver. Quelques projets par an c’est bien, il ne faut pas en abuser. J’avais fait 6 projets en une année et c’était pas assez raréfié, pas qualitatif. J’essaie d’avoir un certain format quand je joue mais aussi d’être détaché. Si je veux faire un morceau à contre pied, je le ferai, pour sortir un peu du moule. 

#house #french #S3A #DJ #montreal #quebec #canada #meeting #meet #artist #interview #itw #ledisquaire #blog #webzine #music #electronic

[fedrikx]

#SoundCloud #Le Disquaire #Deep House #LeDisquaire

[disquaire]

привет! Qu’il est bon d’écouter du russe en Angleterre, et ça, le label We Are Blood Music l’a bien compris ! Pourtant, leur Bowski national est bel et bien né dans le pays de la Reine, mais on peut avouer que son style suit ses origines cyrilliques. Variations, ondulations, va-et-vient, voici ce qui caractérise ce son que l’on a du mal à cerner, pour notre plus grand plaisir. Les samples sont variés et le rythme est des plus entrainants. Ce qui fait mouche, c’est aussi le frétillement digne d’un xylophone en action, comme si l’on dansait la Kalinka. Alors on se laisser envoûter, jusqu’à la Russie pure, et on bat des bras sans ne jamais s’arrêter, porté par cette vague chaude comparable à la Vodka. Qu’il est appréciable d’écouter ce son dans ce froid, on se sent Moscovite et on le reconnaît. On espère que notre Rone national saura autant nous faire planer ce week-end au Kolorz Festival, suivi du talentueux Dusty Kid. Vous y serez? Nous oui !

Nasdrovia !

#SoundCloud #WeAreBloodMusic #ledisquaire #bowski

[disquaire]

Vous vouliez du Made-in-France? En voici en voilà!

La Chambre de Marie-Jane est un duo francophone assez loufoque comme son nom l’indique. Ces deux jeunes cadors de la musique électro-vacillante nous viennent tout droit de Bordeaux, oui oui, le pays d’Alain Juppé. Mais nous ne sommes pas ici pour parler politique, mais plutôt rythmique.

D’ailleurs, LCDMJ (leur acronyme) nous envoient ici des rythmes entraînants qui, liées aux synthés dépareillés nous livrent des tonalités inédites, comme un effet saupoudré qui vous fait planer, appelé Hold It Tight. Prenez garde, car les jeunes prodiges savent aussi aller plus loin (…)

L’enquête est ouverte. Affaire à suivre chez votre Disquaire.

#La Chambre de Mary-Jane #CrossingPoint #LeDisquaire

[disquaire]

Avec plus d'une vingtaine d'années d'expérience, rare sont les DJ qui arrivent encore à nous faire rêver. Il y en a évidemment et plus d'un mais ils se comptent sur les doigts de la main (Richie Hawtin, Luciano, Jeff Mills, Laurent Garnier etc), Dave Angel en fait également partie. A 48 ans, l'anglais est toujours au top de sa forme ! La preuve avec ce track Deep House sorti sur le label qu'on ne présente désormais plus : AnjunaDeep ! Pilier de la Fabric à Londres pendant les années 80, il figure parmi les élus et les érudits de sa génération. Fils d'un Jazzman et petit frère d'un artiste Hip-Hop, on peut dire que la musique est une histoire de famille chez eux. Sa musique, il commence à la répandre en pleine essor de l'Acid House en passant de club en club et en créant toujours le même engouement ! C'est pourquoi tout naturellement le 'British' s'est doucement mis à la production et au remixage. Notamment le très controversé remix de 'Sweet Dreams' de Eurhytmics qu'il appellera 'Nightmare Mix'. Le succès sera au rendez-vous et lui offrira la 23 places des charts anglais. Sa carrière vient de se lancer pour ne pas finir. Appréciez ces derniers tracks Deep, synonyme de soleil et d'un été qui touche malheureusement à sa fin. Nous allons entamer une phase sombre, très sombre. Celle de l'hiver. Mais pas d'inquiétude l'équipe du Disquaire sera toujours la pour réchauffer vos coeurs et vos petites fesses. See ya ! Your Record Dealer.

#SoundCloud #Le Disquaire #Deep house #LeDisquaire

[disquaire]

Deep House #1

En ce lundi d'aout, nous vous proposons une petite playlist Deep house. Ce style qui sent bon l'été et qui se marie à merveille avec ces longues soirées d'été. Détente et chill sont au rendez-vous ! A la votre ! 

L'équipe du Disquaire. 

#deephouse #playlist #ledisquaire

[disquaire]

Dernier petit EP en date du duo anglais Dusky ! Et c’est encore une réussite.

De puis quelque temps les deux compères, arpentent les clubs du monde entier pour glisser, au détour d’un set les 3 tracks de cet EP.

Nous avions d’ailleurs eu la chance de les voir en Mai dernier au Zig Zag à Paris. Un set de 1h30 survolté et electric. Dans lequel nos oreilles avisées s’étaient retrouvées quelque peu chatouillées.

Quelle bonne surprise de se rendre compte qu’il ne s’agissait ni plus ni moins que de ces prochaines releases. Oh joie !

A vous, de vous faire un avis sur ces 3 titres. Nous on les trouve sombres au possible, à la rupture entre le UK garage, la House et la techno ! On assiste la bouche béante à une nouvelle démonstration, voir même une leçon du duo.

Si l’on devait les classer sur un podium : Expectations, Inta suivie de près par Love taking Over (mais alors de très près).

On vous laisse à la prochaine !

Disquairement votre .

#Dusky #LeDisquaire #Tech-house

[disquaire]

C’est l’histoire de l’élève qui dépasse le maître.

Alors qu’il a commencé à développer sa culture musicale à Berlin dans les 90’s, Dixon fut considéré comme l’électron libre de cette période minimale.

Plus du côté deep-house, le jeune blond s’est échiné à se spécialiser dans le domaine. Madeleine nous offre ici un son pur et très cadré, comme le veulent les Allemands. Natif de Stuttgart, il est désormais le co-fondateur du label Innervisions et s’est imposé comme un cador de la deep-house, mais avec sa touche Konstantin Sibold en plus. Rythmé mais pas aléatoire, kické mais pas agressive, planant mais non absurde. Voici comment nous pourrons définir son style nonchalant mais agréable.

A écouter avec ou sans modération, mais avec évasion s’il vous plaît.

#Innervisions #Konstantin Sibold #ledisquaire

[disquaire]

Playlist du dimanche #21

Meltin pot musical, elle est là, elle est belle : c'est la traditionnelle playlist du dimanche ! 

#ledisquaire #minimale #Deep-House #tech-house #playlist

[disquaire]

Paleman - Mix Toilet Room

Une pincée de House, quelques gouttes de Techno, le tout lié à la sauce Deep House dans un grand saladier UK Garage. Voila de quoi est fait Paleman ! 

Très peu de producteur ont su se faire autant remarquer en 18 mois. Un talent dévastateur amenant un peu de clarté et de fraicheur dans une univers musical saturé et plutôt morose.  

Influencé par diverses musiques du monde mais surtout par le Jazz et la musique électronique. Paleman a su garder un dénominateur commun, une ligne directrice : LES PERCUSSIONS ! 

Cette obsession lui vient de son passé, notamment lorsqu'il emménage a Londres et qu'il prend ses premiers cours de batterie pour faire du Jazz. Calum Lee a fait du chemin depuis lors. Il a ce genre de choses, une sorte d'ADN des grands. Ce gène qui s'inscrit dans la durée et la longévité.

Prenons le temps d'aborder ce mix l' illustration parfaite de cette présentation.

Tout le monde connait les Boiler Room et bien nouveau concept dont il est le premier protagoniste est né : les Toilet Room ! Ironisant le coté très "hype" des Boiler Room, mais en ne sacrifiant ni l'ambiance ni la qualité ce mouvement a été initié par 2 australiens et on en sait encore très peu. Bien construit, progressif et sombre au possible ce mix nous donne un avant goût du phénomène. A suivre ! 

#ledisquaire #paleman #toiletroom

[disquaire]

Lxury - Playground

Producteur britannique Lxury a publié une poignée de titres, qui revèlent un style axé vocale, de la Danse tout simplement mélodique.

Playground titre de son prochain EP , disponible le 19 mai, sur Greco-Roman, est encore une autre tranche de talent. Cour d'école, chant enfantin, un rythme qui évolue et qui change et un léger air de "La La La" de Naughty Boy, autre morceau de dance-pop britannique qui est devenu un monstre sacré l'été dernier; «Playground» n'a pas le même potentiel commercial, mais il y a toujours de la place pour l'échauffement, la musique électronique danse comme ça, surtout quand la longue et lente chaleur de l'été commence à se glisser dans le cadre.

#lxury #ledisquaire

[disquaire]

Flutes (Sasha Remix) - Hot Chip

Quand le Royaume-uni rencontre le Royaume-uni, et bien ça donne ça ! Flute de Hot Chip était déjà d'une beauté rare mais ici Sasha la transcende ! 

Rien d'étonnant de la part de ce musicien hors pair. Meilleure BO pour le film "New Emissions of Light And Sound”, meilleure BO pour le jeu "Wipeout 3", collaboration unique pour le morceau Out Of Control des Chemical Brother et enfin créateur du label Emfire. On préfère s'arrêter là car la liste de ses productions, participations et autres est très longue !

Tout cela pour dire qu'ici (encore) on retrouve des basses rondes et des claviers vaporeux le tout cadencé par un rythme House. Quel travail prodigieux. Merci Hot Chip et merci Sasha. 

#LeDisquaire #House #hot chip #sasha

[disquaire]

Dense & Pika - Colt

Un peu de techno en ce mardi soir avec un duo anglais. Dense & Pika ont fait un remarquable travail sur cette track. Un rythme à ne pas s'y tromper techno auquel vient s'ajouter ces remarquables accords de piano.

De prime à bord on se dit encore une musique techno sèche et répétitive mais en réalité au fur et à mesure de l'écoute on passe de surprises en surprises. Cette musique se révèle aussi douce qu'une brise d'été. Elle collerait parfaitement avec une fin de set d'un Dj Berlinois par exemple. C'est un peu l'illustration du calme après la tempête.

Merci Dense & Pika ! 

#dense & pika #techno #ledisquaire

[disquaire]

38 ans et encore tout son talent. Simon Green, alias le trépident Bonobo, nous signe ici une mélodie planante de qualité. Cette fois en collaboration avec les London Grammar, le vieux singe anglais allie parfaitement samples électroniques, instruments exotiques et voix douces. Pourtant provenant de Nottingham City, d’Angleterre aussi donc, les LG ont plutôt l’habitude d’être reposant. La jeunesse et la maturité font ici bon ménage à en croire ce cocktail anglais parfait qui nous apporte un peu de soleil sous ces tonalités entraînantes. Car oui, l’Angleterre ne veut pas seulement dire “Rock n’ Roll”, le pays rime aussi avec downbeat, ce sentiment indescriptible qui vous traverse avec ce genre de son. God save the Queen!

#London Grammar #Bonobo #downtempo #ledisquaire

[disquaire]

Tell me - RL Grime & What So Not

Voilà une association qui nous fait déjà saliver de plaisir tant ces deux grand noms de la scène Trap internationale nous régalent à chacune de leur production. 

Un mélange (juste) entre l'Australie et les Etats-unis. En même temps, Flume, Emo Instead et Rl Grime ne pouvaient faire que de grandes choses. On retrouve dans cette track tout les composantes : kick plus que percutant voire même pénétrant, synthé criant et une petite vocale féminine associée à une petite voix vocodée dans les aigües. On en perd nos mots, bordel que c'est bon !

On vous parlait déjà de Flume (ici) et du talent de ce jeune producteur. On vous le confirme aujourd'hui et on vous propose de découvrir quelques autres track du duo What so not avec Touched (ici) ou encore Jaguar (ici). 

Et on finira sur un peu de Rl Grime, il ne s'agirai pas qu'il soit jaloux le bougre. Avec un duo (oui oui encore un) avec Baauer : Inifinite Daps (ici). 

Tout cela pour vous dire que prochainement nous diffuserons une playlist regroupant les meilleurs morceaux des 12 derniers mois en matière de Trap. Préparez vous il y en a un paquet. 

#rl grime #what so not #trap #ledisquaire

[disquaire]

Cela faisait longtemps que l’on avait pas consacré un article à la Trap. Et c’est tout en douceur qu’on le fait. Toujours ce rythme si caractéristique assaisonné de quelques samples savamment placés.

Go Yama est un artiste qui nous était jusqu’alors inconnu. Quelle erreur ! Il nous livre ici une berceuse onirique qui amorce en beauté un weekend bien mérité.

Petite pépite avant la sortie dimanche de notre classique Playlist du dimanche. On se dit à dimanche et bon weekend à tous !

#trap #ledisquaire #chillout