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katimavikqc · 6 years
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J’effectue mon stage pour Piétons Québec, une organisation réunissant plusieurs acteurs visant à promouvoir l’intérêt des piétons et pour le Conseil Régional de Montréal (CRE-Montréal), un organisme qui veille à la protection de l’environnement et qui promeut le développement durable en permettant des échanges entre les différents acteurs et en faisant des propositions concrètes de stratégies et de projets.
D’une part, chez Piétons Québec, j’ai pu participer à l’appel à l’action pour Vision Zéro. La stratégie Vision Zéro en sécurité routière vise à revoir l’approche pour prévenir les accidents automobiles en mettant l’humain au centre et propose des solutions concrètes allant de la révision des lois et des normes actuelles à la conception des routes tout en tenant compte des comportements des usagers.
D’autre part, chez le CRE-Montréal, je me suis penché sur le dossier des promenades urbaines. La création d’un parcours distinctif offre la possibilité de mettre en lumière les espaces verts et les lieux d’intérêts montréalais tout en réfléchissant aux enjeux relatifs à la mobilité durable, à l’environnement et à l’expérience de l’usager dans l’espace à travers des propositions d’aménagement.
Mon mandat de stage est vraiment inspirant et me donne l’occasion de travailler sur des projets multidimensionnels qui rejoignent mes valeurs. Je suis ravie de travailler dans un environnement créatif au sein d’une équipe dynamique qui fait bouger les choses.
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Cassandre Vernet - Socio-volontaire Hiver 2018
Piétons Québec - Montréal
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katimavikqc · 6 years
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Automne 2017, dernière session avant la fin de mon baccalauréat. Je me pause une seule question : que vais-je faire après avoir terminé mes études ? Je ne savais pas quel métier je voulais pratiquer à la fin de mes études, mais je savais que je voulais travailler en environnement. Je découvre alors comme par hasard les programmes éco-stage et socio-stage Katimavik. La date limite pour appliquer aux stages était le 29 novembre 2017. Une fois le 29 novembre à 20h30, je me rends compte que c’est ma dernière chance de devenir une éco-volantaire. Il fallait alors que je sélectionne 2-3 stages qui m’intéressent le plus parmi une panoplie d’une trentaine de stage. À 21h30, mon choix s’est entre autres arrêté sur l’organisme Réseau Environnement.
Aujourd’hui, je suis très contente d’avoir sélectionné cet organisme qui regroupe des spécialistes en environnement au Québec et compte plus de 2700 membres. En fait, par le passé, j’ai déjà été patrouilleuse verte et je devais faire de la sensibilisation sur le terrain en m’adressant aux citoyens. Avec mon stage chez Réseau Environnement, j’ai compris comment fonctionne la sensibilisation à un palier supérieur. Cette expérience est très enrichissante pour moi étant donné que j’ai appris comment créer des outils de sensibilisation. J’ai adoré toutes les découvertes que j’ai faites en lien avec le monde des communications. Dans mon mandat, je dois également m’occuper de contacter des municipalités à travers le Québec afin de leur parler des programmes de sensibilisation de Réseau Environnement. Je suis bien contente d’avoir cette tâche dans mon mandat, car elle n’est pas facile à mes yeux et est un défi pour moi. De plus, pour les journées où je suis plus dynamique et hyperactive, je peux abandonner mon poste de travail et faire des appels aux différentes villes et MRC pour leur parler du programme d’économie d’eau potable ou du programme Tri-logique pour la saine gestion des matières résiduelles.
Maintenant, la question est que vais-je ensuite faire après mon stage Katimavik. Je comprends que c’est ça la vie, des questions à non plus finir et des phases de la vie qui répondent à ces questions !
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Siham Kaddour - Éco-volontaire Hiver 2018
Réseau Environnement - Montréal
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katimavikqc · 6 years
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La Maille Manquante
Basée dans la région de Québec, l'équipe de la Maille Manquante s'est donnée une double mission. D'une part, il s'agit de faire la promotion de l'activité physique et de la mobilité durable dans un contexte où la sédentarité et le manque d'alternatives à l'automobile génèrent des enjeux de santé publique préoccupants et contribuent à la pollution atmosphérique, ce qui nous coûte très cher collectivement. D'autre part, la surconsommation et le gaspillage des ressources ajoutent à la gravité de la situation au niveau environnemental. Il est du ressort de chacun d'entre nous de favoriser la récupération et la réutilisation des ressources dans une optique d'économie circulaire.
Dans ce contexte, la Maille Manquante a ciblé la récupération de vélos usagés et leur reconditionnement comme un moyen de répondre à cette problématique. Par une campagne printanière de collecte de vélos, nous sollicitons la population de Québec afin de récupérer des vélos qui seront ensuite redistribués à un organisme faisant la promotion de l'activité physique et de la mobilité durable chez les jeunes. Pour ce faire,  nous avons créé un évènement Facebook pour solliciter les gens à faire un don. Nous leur promettons également un petit porte-clés fait à l’aide de mailles de chaine de vélo usagées lorsqu’ils nous remettrons un ou des vélos. De plus, nous avons une site internet afin de diffuser toutes informations relatives à la collecte de printemps 2018, mais également dans l’optique de sensibiliser les gens sur cette pratique.
 Lien de l’évènement Facebook:
https://www.facebook.com/events/938131633011628/
 Lien du site web
 https://lamaillemanquante.wixsite.com/accueil
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katimavikqc · 6 years
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Le Fraisgo, de la fraîcheur végétale pour tous !
La merveilleuse équipe d’Éco-Stage Katimavik de Sherbrooke, composée de Nathanaël Fleuriné, Virginie Lafontaine, Mathilde Gaulin et Ariane Guimond-Verrette a imaginé, il y a de cela quelques semaines déjà, un concept de jardin intérieur. Ce concept est bien simple, un jardin intérieur accessible aux citoyens dans leurs maisons et aux employés dans n’importe quelle organisation. L’équipe a rêvé d’un monde dans lequel les pousses, fruits, légumes et fines herbes croîtraient au sein de chaque maisonnée, entreprise, usine, organisme, etc. L’équipe désirait commencer cette conquête maraîchère au sein d’un organisme œuvrant dans le domaine de l’alimentation et rejoignant les gens en difficulté financière. Le projet de jardin intérieur, affectueusement appelé le Fraisgo, s’est donc mis en branle en partenariat avec Moisson Estrie. Suite à plusieurs sessions intenses de concertations/réflexions sur l’allure qu’aurait le Fraisgo, l’équipe a finalement réussi à imaginer un concept simple et efficace qui serait accessible à tous. Il faut également savoir que l’équipe désire faire prendre conscience à la population que tout un chacun a un pouvoir sur son alimentation et que faire un jardin chez soi est non seulement accessible, formateur, incroyablement agréable, mais aussi économique! En quête de partenaires pour réaliser leur vision, l’équipe a fait appel Au Pont de Bois ébénisterie pour la conception physique du Fraisgo. Cet OBNL, impliqué dans la réinsertion par l’entremise de formations en ébénisterie, est embarqué dans le projet à pieds joints. Non seulement ceux-ci ont construit le Fraisgo, mais ils en ont fait don à l’équipe! La conquête maraîchère pouvait donc poursuivre son chemin. L’équipe a par la suite fait appel aux Serres St-Élie pour le matériel de plantation et les semences. Encore une fois, le projet fut chaleureusement accueilli et l’entreprise a fait don de la presque totalité du matériel de plantation. Ébahie par la bonté sherbrookoise, l’équipe poursuit sa conquête maraîchère. Bénévolat, séance de tournage, confection de livrets informatifs, plantation et installation du Fraisgo chez Moisson Estrie, voici les étapes restantes pour la concrétisation du Fraisgo. C’est donc avec motivation et espérance de semer une graine de différence dans le cœur des gens qui croiseront ou qui entendront parler du Fraisgo que l’équipe achève sa conquête maraîchère.
Puisse votre destinée être parsemée de rencontres à célébrer !
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katimavikqc · 6 years
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L’affaire est dans le sac
Dans le cadre des programmes Éco-stage et Socio-stage Katimavik, notre groupe d’éco et socio volontaires de Québec doit réaliser un projet collectif communautaire. Ce projet nous permet de réaliser une action au profit de notre communauté en dehors de notre cadre usuel de travail dans nos organismes respectifs. Nous avons identifié l’utilisation des sacs plastiques à usage unique comme une problématique à laquelle nous pouvions amener une solution. Nous nous sommes donc inspirés du projet Boîtes à sacs réutilisables de la Promenade Masson à Montréal pour bâtir une initiative similaire. Notre projet a pour but la conscientisation citoyenne et la participation active des habitants du quartier afin de réduire la consommation globale des sacs de plastique à usage unique et ce, grâce à la réutilisation de sacs qui seront mis à disposition de toutes les usagères et tous les usagers, à l’aide de boîtes distributrices. Il est important de savoir qu’un sac réutilisable doit être utilisé de 35 à 75 fois afin d’avoir moins d’impacts environnementaux qu’un sac de plastique à usage unique, d’où découle toute l’importance de notre projet. En collaboration avec la Société de Développement Commercial 3ièmeAvenue de Limoilou, quartier dans lequel nous voulons faire fleurir le projet, nous souhaitons instaurer une initiative écologique et pérenne dans ce quartier. Nous devons donc, dans une période de trois mois, trouver des partenaires pour mettre en place le projet et s’assurer de sa pérennité, s’assurer de la construction et de la mise en place des boîtes distributrices, récolter des sacs réutilisables, sensibiliser la population à cette problématique environnementale et donner une visibilité au projet.  
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katimavikqc · 6 years
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Partage de semences et de savoirs au menu !
Alors que notre équipe de volontaires Katimavik se creusait la tête et faisait travailler ses méninges afin de trouver une idée de projet communautaire, nous avons fait la découverte d’un nouveau mot : «grainothèque». En faisant plus de recherche sur ce mot intrigant, nous avons appris qu’il s’agit d’une combinaison de deux mots : «graine» et «bibliothèque». Une grainothèque est une collection de semences accessibles à tous, que les jardiniers débutants ou mordus peuvent emprunter gratuitement et remettre la saison suivante. En effet, les grainothèques fonctionnent à la manière d’une bibliothèque ! «Comment ?», nous direz-vous. Le processus est bien simple. Vous vous rendez d’abord à la bibliothèque de graines de votre choix. Vous vous inscrivez et choisissez les semences que votre cœur désire. Vous les plantez ensuite, savourez le fruit de votre travail, puis rapportez les graines obtenues à la bibliothèque. N’est-ce pas un merveilleux concept ?
 En tant qu’éco-volontaires Katimavik qui avons à cœur la sauvegarde de la biodiversité, nous voulons promouvoir le mouvement des grainothèques implanté depuis quelques années à Montréal. Comme une bonne partie de la population ne connaît pas encore ce concept, nous voulions sensibiliser les gens aux bénéfices que ce mouvement apporte à la biodiversité. Non seulement l’action de planter chez soi embellit notre ville et favorise l’autonomie alimentaire, mais offre également des ressources nécessaires à la survie d’espèces animales et végétales.
 Notre équipe a travaillé avec acharnement pendant plusieurs semaines afin de poser une action concrète pour la sauvegarde de la biodiversité que nous aimons tant. Depuis le début de notre projet en janvier, de nombreuses péripéties ont mené à la réalisation de l’événement «Tant que l’on sème» (Mais quel jeu de mots !). Cet événement, qui aura lieu le 16 mars 2018, permettra à la communauté montréalaise de participer à un atelier pratique de plantation de semis et de contribuer au mouvement des grainothèques. D’ailleurs, nous avons une bonne nouvelle pour vous : il est encore temps de s’inscrire pour y participer ! Vous voulez en apprendre plus sur les grainothèques et sur les principes de base du jardinage ? Vous êtes chaleureusement invités à participer à notre événement. Inscrivez-vous sur notre évènement Facebook «Tant que l’on sème!» ou envoyez un courriel à [email protected]. Venez vous salir les mains et faire vos propres semis !
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katimavikqc · 6 years
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J’ai terminé une maîtrise en gestion de l’environnement à l’été 2016. J’ai tardé à intégrer concrètement le marché de l’emploi puisque c’est seulement cet automne que je me suis mise à la recherche active d’un emploi en environnement. C’est ainsi que j’ai découvert les éco-stages Katimavik. Il s’agissait de l’opportunité parfaite pour moi d’intégrer le marché du travail en ayant une expérience enrichissante et pertinente. Et mon milieu de stage proposait exactement ce que je recherchais : une expérience de travail en développement durable dont les tâches étaient variées. J’agis donc à titre de conseillère en développement durable chez ADDERE Service-conseil, un OBNL   dont la mission est de promouvoir et d’intégrer le développement durable au sein d’entreprises, d’institutions et d’organisations municipales depuis 2010.
J’ai commencé mon stage à la mi-janvier chez ADDERE. L’organisme ayant plus de 130 clients, les tâches sont donc assez diversifiées et me permettent de toucher à plusieurs aspects du travail en développement durable. Ainsi, j’ai effectué plusieurs caractérisations niveau 3 du programme d’attestation ICI ON RECYCLE! de Recyc-Québec. En ayant réalisé plusieurs depuis le début de mon stage, j’ai donc acquis une méthode de travail et de l’expérience concrète en lien avec ce volet de la gestion des matières résiduelles. J’ai également élaboré des contenus de formation sur le développement durable, formations que j’ai aussi données à la clientèle visée. Pour ce qui est du milieu municipal, j’ai pu participer à une rencontre dans la cadre d’une démarche stratégique de développement durable d’une municipalité. Parallèlement, mon stage m’a aussi permis de côtoyer le milieu communautaire de l’Estrie et de faire des rencontres enrichissantes.
Mon milieu de stage et l’éco-stage Katimavik me permettent ainsi d’acquérir une expérience de travail concrète dans mon domaine et ainsi, déposer un premier pas assuré sur le marché du travail et dans ma carrière. De plus, je le vois aussi comme une période d’adaptation graduelle entre ma conciliation familiale et professionnelle.
Merci à l’équipe d’ADDERE Service-conseil de me faire vivre cette opportunité!
Virginie Lafontaine - Éco-volontaire Hiver 2018
ADDERE Service-conseil -  East Angus
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katimavikqc · 6 years
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Pour la création d’une communauté cycliste forte et mobilisée à Québec
Accès Transports Viables, l’organisme pour lequel je suis socio-stagiaire, présentera en mai le Mois du Vélo pour une 5ème édition, l’évènement pour lequel j’ai été appelé à collaborer. Lorsqu’en 2014 la décision avait été prise de présenter une première édition de cet évènement, le but était de mobiliser les cyclistes et de créer un sentiment d’appartenance dans la communauté cycliste. À cette époque, Accès Transports Viables avait remarqué que, malgré une plus grande popularité de ce moyen de locomotion dans la Capitale-Nationale, il manquait un évènement rassembleur qui permettrait au cycliste de s’associer et de promouvoir le cyclisme utilitaire comme une façon viable de se déplacer dans la ville. Après 4 éditions, on sent qu’à Québec il y a maintenant une effervescence pour la pratique du cyclisme. En parallèle, devant ce nouvel engouement créé en partie grâce à cet évènement, la Ville de Québec s’est activée durant les dernières années à bonifier son réseau cyclable et à aménager des nouveaux liens un peu partout dans la ville.
Par contre, il reste encore beaucoup à faire pour assurer une pratique sécuritaire du cyclisme. En effet, il est encore dangereux de circuler à Québec sur de nombreuses artères. De plus, la reconnaissance de la place du cyclisme est toujours à faire auprès de nombreux automobilistes qui ont encore de la difficulté à accepter la présence des cyclistes sur les routes de la ville.
C’est pour cette raison que cette année nous avons pris la décision de mettre de l’avant le fait que le cyclisme n’est plus un mouvement marginal à Québec mais qui concerne quasiment plus de la moitié des personnes qui vivent dans la Ville. En effet, une étude de Vélo-Québec a montré que c’est 302 000 personnes qui se considèrent comme cycliste dans la ville de Québec. Ainsi, pour promouvoir l’évènement de cette année nous allons axer notre communication sur ce point et tenter de créer, à travers nos différents outils de communication, un sentiment d’appartenance dans la communauté de cyclistes, autant chez les plus expérimentés que les amateurs.
Pour moi, c’est une expérience enrichissante de pouvoir faire partie de l’organisation de cet évènement. À travers nos différentes discussions que nous avons eues en équipe pour préparer l’évènement, je crois avoir eu l’occasion d’amener un vent nouveau à l’évènement tout en apprenant plus sur les rouages et les limites de l’organisation de ce type d’évènement grâce aux avis professionnels de mes collègues. J’ai aussi pu rencontrer des personnes inspirantes durant les réunions que nous avons eues avec nos partenaires pour l’organisation du Mois du vélo. Ce sont des personnes motivées, positives et qui veulent tout simplement le meilleur pour la communauté de la Ville de Québec malgré les moyens limités qu’ils ont à leur disposition. De plus, étant moi-même un nouveau cycliste, j’ai pu profiter de ces rencontres pour mieux connaître le grand nombre de ressources qui sont mises à la disposition des cyclistes. Ainsi, grâce à ce stage, j’ai pu apprendre comment, en collaborant ensemble, il est possible de mener à bien des évènements ayant un fort rayonnement malgré des moyens limités. Finalement, grâce à ce stage Katimavik, j’ai pu avoir la gratification d’avoir œuvré pour mettre en place des changements positifs et qui font une différence dans la communauté.
Alexandre Allard - Éco-volontaire Hiver 2018
Accès transports viables (ATV) - Québec
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katimavikqc · 6 years
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Cartographier pour mieux protéger
Mon nom est Marie-Eve Le Ber et je fais partie de la cohorte Hiver 2018 des programmes Éco-stages et Socio-stage Katimavik. Mon stage se déroule des les bureaux de Conservation de la Nature Canada à Montréal. Cet organisme privé sans but lucratif œuvre dans la conservation des terres en acquérant des propriétés et en assurant la gestion de celles-ci. Depuis sa création, Conservation de la Nature Canada a contribué à la protection d’1,1 million d’hectare à travers le pays. L’organisme visite annuellement ses propriétés et ses servitudes afin de dresser l’inventaire des infrastructures, des perturbations et des communautés végétales et animales. En tant que stagiaire en géomatique, mon mandat principal consiste à cartographier les photographies documentant ces observations prises lors des visites des propriétés dans la province de Québec. Ainsi, les photographies de terrains et les métadonnées qui leurs sont associées seront disponibles directement sur une carte en ligne, ce qui facilitera le suivi des propriétés par les chargés de projet en conservation et en intendance.
Lors de mon stage, une autre de mes tâches est d’aider le département de géomatique à répondre aux requêtes de cartes provenant des employés de la province de Québec. Par exemple, j’ai eu à mettre à jour les carte présentant l’atteinte des objectifs dans les différentes aires naturelles du Québec. Un beau moment de fierté que j’ai vécu durant mon stage a été de voir les cartes que j’ai produites être utilisées lors d’une réunion rassemblant tous les employés du Québec de l’organisme. C’était pour moi une confirmation que le travail que j’ai fait était de qualité professionnelle et qu’il était réellement utile pour l’organisme.
Faire un éco-stage Katimavik à Conservation de la Nature Canada, c’est beaucoup plus qu’une expérience de travail. Ça permet d’apprendre énormément, de rencontrer des gens inspirants travaillant dans notre domaine et de contribuer directement à la protection de nos écosystèmes.
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Marie-Eve Le Ber - Éco-volontaire Hiver 2018
La Société canadienne pour la conservation de la nature - Montréal
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katimavikqc · 6 years
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Je m’appelle Thomas Desjardins et je suis éco-volontaire Katimavik au Centre Culture et Environnement Frédéric Back et au Conseil de l’Environnement de la Capitale-Nationale (CRE-CN).
Le CRE-CN est un organisme à but non-lucratif qui regroupe des associations, des institutions et des individus qui défendent les droits collectifs pour un environnement de qualité dans la région administrative de la Capitale-Nationale. Quant au Centre de l’environnement Frédéric Back, c’est un bâtiment qui regroupe un vaste éventail d’OBNL qui ont comme vocation la protection de l’environnement ou le développement culturel. Il sert donc de point de rencontre entre la culture et l’environnement, mais aussi entre différents acteurs de ces milieux, ce qui permet l’échange d’idée et une meilleure complémentarité.
 Du côté du Conseil régional de l’Environnement, mon travail consiste à assister le directeur en conservation et mise en valeur des écosystèmes sur différents projets. Mon projet principal est l’élaboration de la stratégie du CRE sur la nouvelle loi 132 de protection des milieux humides et hydriques. Toutefois, je participe aussi à d’autres projets tels que la réutilisation du bois généré par la coupe des frênes atteint par l’agrile du frêne et d’autres petits projets en lien avec les milieux humides et la lutte aux espèces envahissantes.
Du côté du Centre de l’environnement, je m’occupe de plusieurs travaux en lien avec la gestion d’un bâtiment éco-responsable. En effet, en plus d’assister aux différentes rencontres de gestions du bâtiment, je travaille sur différents projets d’amélioration de la gestion de l’espace du bâtiment en plus d’assister à la gestion de différents éléments comme le chauffage et la gestion de l’eau.
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 Thomas Desjardins - Éco-volontaire Hiver 2018
Centre Culture et Environnement Frédéric Back; Conseil de l’Environnement de la Capitale-Nationale - Québec
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katimavikqc · 6 years
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La communauté qui pousse partout
Bonjour à tous.tes! Mon nom est Meaghan et je suis éco-volontaire de la cohorte hiver 2018. J’effectue mon stage au Dépôt alimentaire NDG, je collabore au programme d’agriculture urbaine : Ça pousse!. Ça pousse! a été créé pour répondre aux besoins du développement de l’agriculture urbaine et des ressources communautaires à Montréal. L’éducation, la récréation, et la thérapeutique sont les 3 manières d’offrir des activités et des ateliers pour les jeunes adolescents, adultes, et personnes âgées.
 Les membres de l’équipe Ça pousse! Ont fait en sorte que je me sente faire partie de la communauté. J’ai eu la chance de participer dans plusieurs activités de l’organisme : Boîte à Lunch où on cuisine dans des écoles, la distribution de paniers de nourriture, ou en participant dans un atelier de germination dans une résidence de personnes aînées. Ces expériences m’ont rappelé non seulement l’importance de la sécurité alimentaire dans chaque communauté, mais aussi à quel point les participants dans nos programmes sont importants pour cultiver la communauté. Grâce aux support des employées, des bénévoles, des familles et des individus, nous pouvons apporter des solutions à l’agriculture urbaine Montréalaise.
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Meaghan Amber Tardif-Bennett - Éco-volontaire Hiver 2018
Dépôt alimentaire NDG - Montréal
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katimavikqc · 6 years
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Une gestion environnementale pour une génération qui s’assume
Une génération qui s’assume, voilà le slogan de Récupex, l’organisme sans but lucratif avec lequel j’ai la chance de faire mon stage. Cet organisme œuvre dans le domaine de la réinsertion par le biais de programmes de formation portant sur la récupération de vêtements et d’accessoires divers. Fondé par Caritas Sherbrooke en 1975, Récupex s’est transformé avec les années et est devenu le seul organisme de réinsertion en Estrie accréditée au niveau national par Emploi-Québec. Une génération qui s’assume, certainement! Récupex forme plus de 70 participants par année et compte une quinzaine d’employés permanents. Dans le cadre de mon passage chez Récupex, je suis chargé de projet en gestion des matières résiduelles. Mes principales tâches ont été de compléter le niveau 2 (mise e œuvre) de la reconnaissance ‘’ICI ON RECYCLE’’ offerte par Recyc-Québec, d’instaurer un système de gestion des matières résiduelles efficace, de confectionner le premier plan de gestion des matières résiduelles de l’organisme et d’effectuer un travail de sensibilisation auprès des employés et des participants, en plus de petites tâches connexes.
J’ai pu suivre mon superviseur de stage dans plusieurs de ses rencontres avec des organismes et des entrepreneurs de la région. Ces rencontres m’ont permises de prendre conscience de toute l’énergie qui anime le milieu communautaire. J’ai été émerveillée de pouvoir assister à des débuts de collaboration entre des individus ayant la communauté et l’environnement à cœur. J’ai pu prendre part à des embryons de projets relatant d’initiatives citoyennes. J’ai pu aider à développer des projets de valorisation potentiels. Bien que mon travail chez Récupex ne soit pas terminé, j’ai l’impression que ma présence fait déjà une différence et que mes connaissances en matière d’environnement sont valorisées. Beaucoup de travail reste à faire, mais la volonté est présente, une donnée cruciale lorsqu’on veut amorcer un changement permanent.
Tel qu’une des photos le démontre, j’ai installé des bacs de recyclage dans chaque bureau, après les avoir identifiés moi-même. Effectivement, un matin, suite à une conversation que j’ai eue avec le directeur général, celui-ci est arrivé avec sept bacs afin que je puisse les installer dans les bureaux. J’ai été surprise de voir à quel point ma proposition a été prise en compte rapidement. C’est à croire que les choses peuvent bouger si la motivation de changer est présente.
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Mathilde Gaulin - Éco-volontaire Hiver 2018
Récupex - Sherbrooke
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katimavikqc · 6 years
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SUR LE CHEMIN DE KATIMAVIK : LE RÉCIT D’UN STAGIAIRE AVEC UN BON CARDIO
J’ai l’impression qu’on entre dans un programme Katimavik comme si on entrait dans un sentier en forêt. Il y a des hauts ; les arbres sont hauts, les sommets sont hauts, et on a le goût d’y grimper. Cependant, il y a aussi des bas ; de petites grafignes sur les mollets, un sentiment d’épuisement à quelques moments du parcours, ou encore des bas dans mes souliers, mais ça c’est relativement une bonne chose en plein hiver. La métaphore de l’excursion n’est pas nécessairement anodine. Je crois que le programme Éco-Stage est en fait une occasion rêvée afin d’accumuler de l’expertise dans le but de s’aventurer éventuellement davantage hors des sentiers sans craindre de tomber en bas d’une falaise et de maudire les randonnées à tout jamais.
 Dans le cadre de mon stage, j’ai à présent eu l’occasion de rencontrer une multitude de guides et de personnes ressources dans le milieu communautaire qui agissent comme de véritables boussoles. J’ai pu apporter mon expertise dans le volet alimentaire de la Coop les Récoltes à mon rythme sans avoir peur de poser des questions au détour sur le paysage qui m’entourait. J’ai rencontré d’autres marcheurs et marcheuses avec qui j’ai fais un bout de chemin avec le Projet Communautaire Collectif proposé par Katimavik, on a cueilli de petites baies succulentes au passage.
 En choisissant Katimavik, je pense que je suis loin d’avoir été dans le champ : mon sac à dos est plus rempli qu’au départ, mais étrangement, je me sens plus léger et mieux équipé. Je continue donc de marcher, les yeux grands ouverts en espérant vous croiser dans la grande forêt Katimavik !
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Jean-Michel Patenaude-Girard - Socio-volontaire Hiver 2018
Coop les Récoltes - Montréal
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katimavikqc · 6 years
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Mon nom est Samuel Dupont-Fafard et je fais partie de la cohorte de l’hiver 2017 du programme Éco-stage Katimavik. Je réalise un stage au Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ), dans lequel je suis animateur de communauté de pratiques en gestion de l'eau. Le ROBVQ est un organisme à but non lucratif qui collabore étroitement avec le Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) et coordonne la gestion intégrée de l’eau par bassin versant au Québec, en rassemblant les 40 organismes de bassins versants (OBV) de la province.
 Dans le cadre de ce stage, je suis amené à entretenir un site web du ROBVQ, le répert’EAU : http://reperteau.info/. Ce site est en réalité une plateforme web qui recense plus de 160 bonnes pratiques en gestion de l’eau dans plusieurs secteurs d’activités municipaux au Québec. On y trouve des fiches techniques sur les objectifs de chaque projet, les couts et les partenaires impliqués dans leur réalisation. Principalement, je fais de la recherche afin de trouver de nouvelles initiatives en gestion de l’eau et je communique avec les Villes, les Municipalités, les Municipalités régionales de comté (MRC) et autres initiateurs de projets. D’une part, je fais la promotion du répert’EAU, un outil intéressant pour explorer ce qui est réalisé dans la province sur la gestion de l’eau. Ensuite, j’invite les différents promoteurs à partager sur le site web leurs projets innovateurs en gestion de l’eau.
Je travaille dans les bureaux du ROBVQ situé au Centre culture et environnement Frédéric Back. C’est un très bel endroit qui regroupe plusieurs organismes en environnement et même un marché de proximité! Un endroit intéressant pour réaliser un éco-stage Katimavik!
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Samuel Dupont-Fafard - Éco-volontaire Hiver 2018
ROBVQ - Québec
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katimavikqc · 6 years
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Mon mandat consiste à développer un vaste réseau de surveillance des rivières pour s’adapter pour l’avenir et aux changements climatiques. Il consiste également à développer des outils éducatifs et scientifiques de J’adopte un cours d’eau en se référant aux espèces indicatrices de la qualité de l’eau et des changements climatiques. Je participerai aussi à la réalisation de la Fête de la pêche (25e édition). J’aurai aussi pour mission de participer à l’organisation de l’assemblée générale annuelle du G3E. Finalement, à quelques reprises j’aurai la chance de faire des animations dont des activités de science citoyenne durant la semaine de relâche.
 Pour l’instant, j’ai eu le plaisir d’animer deux animations. La première était de faire des aquariums et de parler des impacts des bassins versants sur les milieux humides auprès d’une classe de 5e année du primaire. La deuxième était de faire une animation que j’allais présenter à quatre reprises devant 25 enfants de 2e année du primaire. Mon animation portait sur les coureurs des bois. Les enfants devaient faire une petite chasse au trésor pour trouver des vêtements, des arcs, des flèches, des panaches et des accessoires sur lesquels on discutait par la suite. L’activité se terminait avec la confection d’une banique (un pain amérindien) qu’on faisait cuire sur le feu. Les enfants le préparaient en équipe et pouvait mettre les ingrédients qu’ils voulaient, soit des pépites de chocolat, des guimauves et des bonbons. La journée s’est passé à merveille. Les enfants ont adoré toutes les activités qui leur étaient proposées.  
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Naömie Therrien Janvier - Éco-volontaire Hiver 2018
Groupe d’éducation et d’écosurveillance de l’eau (G3E) - Québec
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katimavikqc · 6 years
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Mon expérience à l’APEL
Bonjour, mon nom est Mélia et je suis Chargée de projet en aménagement du territoire pour l’Association pour la protection de l’environnement du Lac Saint-Charles et des Marais du Nord (APEL) pour la cohorte Hiver 2017. L’APEL « est un organisme à but non lucratif ayant pour mission la protection et la mise en valeur du riche patrimoine écologique du bassin versant de la rivière Saint-Charles, dans le but d’y promouvoir, d’une part, un milieu de vie harmonieux aux humains qui l’habitent et, d’autre part, la pérennité et la qualité de l’eau » (APEL, 2018). Dans le cadre de ce contrat, je me dois de faire des recherches sur les projets de développements exemplaires en montagne au Québec et ailleurs dans le monde, dans le but de prouver que l’intégration de l’humain dans l’environnement naturel est autant viable écologiquement qu’économiquement. Le résultat final attendu sera un document synthèse des différents recensements de cas exemplaires que j’aurai déniché lors de ces trois mois de stage. Il faut également savoir qu’un grand terrain en montagne est convoité pour un nouveau développement résidentiel. L’intérêt pour le promoteur de développer écologiquement est une chance unique de prouver que c’est rentable de le faire. En tant qu’éco-stagiaire de Katimavik, je développe des compétences professionnelles en milieu de travail en plus d’être épaulé tout au long de mon cheminement. Mes rencontres hebdomadaires avec le superviseur de stage me permettent de structurer mes pensées et de recevoir des critiques constructives afin de me développer professionnellement. Cette opportunité est un excellent tremplin entre l’université et ma vie professionnelle.
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Mélia Del Degan - Éco-volontaire cohorte Hiver 2018
APEL - Québec
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katimavikqc · 6 years
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Apprentie-apicultrice par la force des choses
Mon expérience chez Miel Montréal est, d'abord et avant tout, inusitée. Inusitée, parce que rien ne semblait me destiner, au premier abord, au poste de stagiaire à l'administration des activités éducatives et apicoles, offert lors de la cohorte de cet hiver 2018. En effet, ce poste, consistant surtout à épauler et à soutenir l'apiculteur de Miel Montréal dans ses divers mandats, m'apparaissait vraiment éloigné de ma réalité et de mes champs de compétences, moi qui me définis principalement comme une étudiante dans le domaine des sciences sociales, en plus d'être peu au courant des réalités apicoles d'aujourd'hui.
           Toutefois, il s'est avéré que Miel Montréal est justement une occasion pour moi de faire un apprentissage complètement nouveau et de prendre conscience de diverses capacités et qualités que je possède. Que ce soit en mettant sur pied la programmation d'un rucher-école, soit une formation offerte par l'organisme pour former des apiculteurs.trices pour la saison prochaine, ou la refonte de l'inventaire du matériel apicole, je découvre que mes capacités d'écriture, de réflexion, de curiosité et d'organisation ont leur place dans mon milieu de stage et me permettent d'évoluer.
           Par ailleurs, pour la petite histoire, le fait d'avoir mis le pied dans un tel milieu et de m'y sentir autant à ma place, m'a donné l'envie de continuer en ce sens et de m'y intéresser de plus près. C'est pourquoi je risque fortement de m'inscrire moi-même à plusieurs formations données par Miel Montréal afin d'approfondir mes connaissances en apiculture, chose à laquelle je n'avais jamais pensé auparavant. Bref, je suis très agréablement étonnée de la tournure que prend mon poste et de la façon dont il modifie mon regard sur la ville et mes intérêts personnels.
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Gabrielle Huot-Foch - Éco-volontaire cohorte Hiver 2018
Miel Montréal - Montréal
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