Tumgik
#Légende d’orée
toosvanholstein · 5 years
Text
De gemeenschappelijke deler van Alexandrië, Cambridge, Den Haag, Parijs en Nice
Toos van Holstein vormt de gemeenschappelijke deler van Alexandrië, Cambridge, Den Haag, Parijs en Nice. Hoe? Dat kun je lezen in haar blog TOOS&ART van deze week. #kunst #art # boeken #library #stonelithograph #litho
Wat kunnen die steden uit het rijtje in de titel nu met elkaar gemeen hebben? Nou, bijvoorbeeld dat er allemaal grote bibliotheken staan met daarin veel, héééél veel boeken. Zoals bij de Koninklijke Bibliotheek in Den Haag. En overal groeit dat aantal boeken. Ook in de KB van ‘s-Gravenhage. Ik weet dat zeker want heel onlangs hebben ze er in ieder geval twee bij gekregen. Van mij namelijk. Twee…
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bordersinparis-blog · 5 years
Video
Légende urbaine ou réalité?
On a tous-tes déjà entendu parlé de cette fameuse situation:
des “jeunes de cités” (très souvent racisés), décident de “descendre” sur Paris pour aller s’amuser, profiter des nombreux divertissements qu’offre la Capitale. Ils décident d’aller en “boîte”, “se mettent sur leur 31″.
Une fois arrivés devant la discothèque choisie, les videurs (qui doivent appliquer les critères de “tri” de la clientèle, décidés par la direction de l’établissement) ne les laissent pas entrer sous prétexte qu’ils ne correspondent pas au client-type, ne sont pas “habillés” pour l’occasion ou alors ne sont pas “accompagnés” (autrement dit aucune fille dans le groupe).
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Exclusion systématique sur des critères socio-raciaux de la part des établissements branchés et chics de la Capitale? Ou alors, situation qui est déjà arrivée mais n’est pas “LA règle”, situation qui se produit en fonction du quartier, de la direction de l’établissement ou alors simplement de l’humeur des videurs (en sachant que la discrimination sur des critères socio-raciaux est condamnée par la Loi)?
En tout cas, pour que la série animée “les Lascars” se saisisse du sujet et le tourne en dérision, on peut supposer qu’il s’agit d’une situation que connait une part importante des jeunes hommes issues des quartiers populaires de Paris ou de sa Banlieue.
Outre le fait de valider ou d’invalider les interrogations précédentes, cette vidéo est intéressante car elle soulève la question des mobilités à l’échelle de la Ville de Paris de ce type de population (jeune, racisée, issue des quartiers populaires) qui souffre d’une (très) mauvaise réputation dans l’opinion de façon générale et dans l’opinion parisienne en particulier (on pense à la représentation des Banlieues et des “jeunes de cités” dans des émissions télévisées à grand succès comme “90′ enquêtes” sur T.M.C entre autres).
[Pour aller à l’essentiel, voici l’équation qui structurent ces reportages:
Quartiers populaires de Banlieue + Population jeune issue de l’Immigration africaine = Criminalité, danger pour la sécurité des biens et des personnes.
Toujours dans la nuance...] 
Qu’est-ce que nous dit cette vidéo?
L’idée principale est que l’Argent ne fait pas tout.
Dans cette vidéo, les protagonistes ont sûrement les moyens économiques d’entrer dans la discothèque et de se divertir à l’intérieur. Or leur style vestimentaire, leur couleur de peau vont jouer un rôle déterminant dans le non-accès à cet espace de loisir parisien.
L’accès aux lieux parisiens de la Haute bourgeoisie, de la Bourgeoisie, de la “jeunesse d’orée” (lieux parisiens dans lesquels les jeunes issues de “bonnes familles” se retrouvent pour s’amuser, éduquer, apprendre, échanger) n’est donc pas basé sur le seul facteur économique.
Pour s’y sentir à l’aise et s’y mouvoir librement il faut correspondre “aux codes”:
1.code racial: occidental, blanc de préférence;
2.code social: partager les “techniques du corps”, le style vestimentaire, le langage propre au groupe social d’appartenance.
Par conséquent ne pas les avoir, c’est ne pas avoir le “ticket” pour y accéder. 
En résumé, au-delà d’une situation que connaissent ou qu’ont connu certains jeunes de cités racisés, il s’agit ici de réfléchir sur la Bourgeoisie parisienne et ses espaces dans la Capitale.
Dans la lignée des Pinçon-Charlot (sociologues spécialisées dans la Haute, moyenne et petite bourgeoisie française et ses rapports à l’espace // Le Ghettos du Gotha, Le Seuil, 295p, Paris, 2007) on dira que ce groupe social (certes pas totalement homogène mais très solidaire) contrôle ses territoires parisiens et sait mettre en scène, sait “monumentaliser” dans l’espace parisien sa domination:au lieu de frontières physiques et visibles, tout un procédé d’appropriation des espaces, de “marquage social” des territoires, tend à établir dans l’espace des frontières symboliques qui se traduisent par des comportements sociaux, des codes sociaux, des façon de se vêtir qui sont caractéristiques du groupe. Comme le souligne ici la vidéo des “Lascars”, ne pas correspondre à ces derniers se solde par une exclusion.
Donc quand on  est “un-e jeune de Cité”,que ce soit dans Paris ou dans sa Banlieue, on ne peut pas aller partout dans la Capitale, certains espaces sont exclusifs ou perçus comme tel.
Un autre monde, d’autres gens, d’autres choses qui s’y passent.
Même sans avoir expérimenter ce qu’ont expérimenté les jeunes dans cette vidéo, on peut intérioriser ses frontières symboliques et en conséquence ne même pas tenté d’y aller de peur d’être refoulé, jugé.
Dans cette perspective, on préférera se rendre dans des lieux où l’on passe “mieux” dans le décor et où les risques de refoulement sont beaucoup moindres. Stratégie d’évitement spatial pour ne pas avoir à subir une forme de violence symbolique.
Jennifer, Nathan, Hassutoya.
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