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#la grande transumante
personal-reporter · 10 months
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Ju Buk Festlval 2023 a Scanno
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Gli effetti socio-economici del periodo 2020 - 22, la guerra, la rivoluzione delle donne in Iran, la rotta migratoria balcanica e quella mediterranea sono il cuore della terza edizione del Festival letterario tutto al femminile Ju Buk, che nel gergo locale sta a indicare la bisaccia del pastore transumante,  diretto dalla sociologa e giornalista Eleonora de Nardis Giansante, che si terrà dal 28 al 30 luglio a Scanno, antico borgo nel Parco nazionale d’Abruzzo, molto amato dai fotografi Cartier Bresson e Giacomelli, sotto gli alti patrocinii del MiC e della Regione Abruzzo. Il festival è dedicato alle donne che trasmettono i fili della Memoria e in grado di capovolgere stereotipi e scrivere nuove grammatiche di rapporti tra generi. Aprirà la giornata dedicata alla narrativa l'esordiente abruzzese Kristine Maria Rapino con Fichi di marzo (Sperling&Kupfer) che racconta  le vicende di una famiglia di pastai della Majella, seguita dalla scrittrice siciliana che vive tra Roma e Parigi Anna Giurickovic Dato con Il grande me (Fazi). La seconda giornata, per le saggistica, vedrà sul palco la giornalista Tiziana Ciavardini con il suo lavoro Ti racconto l’Iran. I miei anni in terra di Persia (Armando) e l’economista femminista Azzurra Rinaldi, direttrice della School of Gender Economics di Unitelma Sapienza, con Le signore non parlano di soldi (Fabbri) poi interverranno donne da molti paesi che raccontano di terre diverse. La terza giornata avrà come protagoniste la giallista Piera Carlomagno con Il taglio freddo della luna (Solferino) e l’afropartenopea Djarah Khan con  l’acclamato Ladri di denti (People). Nel segno della staffetta generazionale tornerà  il premio Ju Buk Opera Prima, affidato alla direzione artistica di Valeria Gargiullo, enfant prodige di Salani e vincitrice dell'ultimo Premio John Fante. Madrina dell’evento sarà l’attrice Valentina Melis, attivista per i diritti civili e le pari opportunità e testimonial dell’associazione Differenza Donna, mentre durante le presentazioni sarà possibile ammirare le opere dell’artista abruzzese Giusi Michini, sculture contemporanee create in esclusiva, traendo ispirazione dai temi portanti di Ju Buk. Nelle scorse edizioni il festival aveva ospitato grandi firme della letteratura italiana, da Nadia Terranova a Valeria Parrella a Donatella Di Pietrantonio ed ora torna con i suoi tre giorni di libri e cultura di genere, per lasciare anche stavolta un segno rilevante nel panorama dei festival letterari estivi. Read the full article
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domleb · 3 years
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« La Grande Transumante » // Rennes // 2020
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[L'allevamento transumante assumeva "la caratteristica di un settore produttivo elevato a grande industra" -- Paone, 1987. Inoltre]
"La molteplicità degli usi della lana, e la sicurezza di trovarne facile smercio, indussero i Romani ad applicarsi molto alla educazione del bestiame minuto, ed al mantenimento dei pascoli, dai quali ricavavano un guadagno così considerabile, che li riguardavano come la più utile parte della loro agricoltura allorché erano giudiziosamente amministrati, e ne traevano pure qualche profitto ancora quando erano in parte trascurati e negletti."
-- Targioni, 1786
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journaljunkpage · 6 years
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CALIENTE
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Stéphanie Pichon / C’est pas là, c’est par là de Juhyung Lee © SSJ
Cela fait 24 ans que Coup de chauffe profite du premier week-end de septembre pour nous faire croire que le temps des festivals de rue n’est pas (encore) terminé. Confiné dans le centre-ville de Cognac cette année – flip vigipirate oblige –, il n’en squatte pas moins l’espace public – places, rues, parcs, jardins – aux aguets, curieux de formes et d’artistes venus de toute la France.
Ficelles et bouts de bois
Doit-on encore présenter Johann Le Guillerm ? Plus habitué des festivals de cirque que de rue, le talentueux bonhomme a pourtant inventé d’étranges formes qui trouvent place hors chapiteau. C’est le cas de cette Transumante qui serpente comme par magie dans la ville, à la fois sculpture de bois éphémère et pièce mouvante actionnée par des manipulateurs à vue. Sans besoin de clou ni de vis, la créature prend vie, prétexte à déployer la poésie à même la rue. Créée pour la Nuit blanche parisienne 2014, elle a déjà été vue dans la région (Boulazac l’an dernier), mais se renouvelle à chaque escale. Tout autres, les bouts de ficelle de Juhyung Lee de C’est pas là, c’est par là. Pris dans cette toile de cordes entremêlées, les spectateurs sont invités à défaire l’oeuvre, tout simplement. Un ballet collectif commence alors, fait de déplacements compliqués et de stratégies collectives.
Filatures et parade aquatique
Le genre déambulation a pris du grade dans les arts de la rue. Jeanne Simone en est une adepte depuis longtemps. Avec Mademoiselle, la danseuse Laure Terrier, figure ordinaire de la fille du quartier, se fait prendre en filature chorégraphique par un monsieur bien curieux. Et nous voilà, public, invité à prendre le pas de l’espion, restant à bonne distance de ce qui se joue en pleine rue. Chez Agnès Pelletier, chorégraphe de la compagnie Volubilis, la tournée se fait plutôt à hauteur d’enfant. Du vent dans les plumes, très très librement inspiré du ballet Le Lac des cygnes, propose une promenade en quatre étapes où les cygnes semblent avoir envahi la ville, provoquant d’absurdes et cocasses situations. Quant à Artonik, leurs parades ont déjà fait plusieurs fois le tour de la Nouvelle-Aquitaine ; particulièrement Color of Time. Leur dernière création, Sangkhumtha : HOPE, emprunte une piste aquatique et asiatique, celles du fleuve Mékong et des traditions khmères de marionnettes et théâtre d’ombres, pour une déambulation écolo-chorégraphique.
Agora et gaçaça
Bien sûr qu’il devrait y avoir quelques grands éclats de rire (entre autres avec le Fleur de Fred Tousch ou La 4L infernale de Tu t’attendais à quoi ?) lors de ce 24e Coup de chauffe, mais certains spectacles optent pour des prises de conscience collectives et des mots chargés de réalités. Ainsi le collectif de Bonheur intérieur brut revient avec Parrêsia 2, deuxième épisode de leur spectacle/agora où la parole se fait entendre en place publique. Cette suite explore les conflits et les met à jour, toujours autour du micro. La compagnie Uz et Coutumes remue, elle, la mémoire des génocides du xxe siècle. Ejo N’éjo Bundi invente une sorte de gaçaça – rendez-vous citoyen ancré dans la culture rwandaise qui signifie « le lieu où l’on vient dire des choses essentielles » – pour douze comédiens. Il s’agit ici, avec délicatesse et sensibilité, de « tout déballer ».
P’tit déj’ et pasta
Coup de chauffe convie aussi les spectateurs... à table. Celle du petit déjeuner pour la compagnie brestoise Dérézo, qui a construit un joli comptoir en bois, où poser son café, son croissant et surtout ses considérations... de comptoir. 40 minutes de mangeailles et de textes dont les Miscellanées culinaires du célèbre Mr Schott sont la principale inspiration. Chez les complices d’À l’envers, c’est la Pasta, i basta ! qui rassemble le public autour d’un grand banquet festif. La machine à pâte débite, rassembleuse, gourmande. À vous d’apporter le reste !
Coup de chauffe, du 1er au 2 septembre, Cognac (16100). www.avantscene.com
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domleb · 3 years
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« La Grande Transumante » // Rennes // 2020
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domleb · 3 years
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« La Grande Transumante » // Rennes // 2020
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domleb · 3 years
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« La Grande Transumante » // Rennes // 2020
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