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#radio d’actualité
asikomecom · 1 year
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Qatargate : l'affaire de corruption au Parlement européen
Qatargate : l’affaire de corruption au Parlement européen
Europe 1 Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l’actualité internationale. Ce lundi, il s’intéresse aux accusations de corruptions qui touchent le Parlement européen concernant le Qatar. ABONNEZ-VOUS pour plus de vidéos : http://bit.ly/radioE1 LE DIRECT : http://www.europe1.fr/direct-video Retrouvez-nous sur : | Notre site :… Lire la suite
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lecturedechevet · 6 months
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SÉANCE #9 — Retirer les nouvelles des médias numériques : pour ou contre?
Avant l’avènement des médias numériques, les citoyens disposaient de seulement trois sources d’information pour s’informer de l’actualité, soit la télévision, la radio et le journal. Aujourd’hui, il est possible de s’informer sur de nombreuses plateformes, comme les médias sociaux, les sites Internet d’actualité, les applications mobiles, les podcasts et bien d’autres.
Ces médias numériques ont un énorme impact sur l’environnement médiatique. D’abord, pour assurer leur pérennité, les médias traditionnels ont dû s’adapter à l’ère numérique en proposant des contenus multimédias, interactifs et personnalisés. Ils ont donc dû revoir leur langage et leurs formats afin de s’adapter au lectorat des nouvelles plateformes. De plus, puisqu’Internet permet aux individus d’avoir accès à l’information gratuitement, ceux-ci ne voient plus l’intérêt de payer pour des nouvelles. Les médias souffrent donc énormément de ce passage des médias traditionnels aux médias numériques, et doivent explorer de nouvelles sources de revenus pour survivre (Nguyen, 2023).
Cependant, du côté des consommateurs, les médias numériques ont apporté d’importants changements positifs. D’abord, ils ont rendu l’information beaucoup plus accessible, spontanée et variée, offrant aux consommateurs la possibilité d’accéder à l’actualité n’importe où et n’importe quand. Aussi, grâce aux médias sociaux, il est possible d’interagir avec les nouvelles diffusées, ce qui favorise l’engagement et la participation du public. Ultimement, les plateformes numériques peuvent contribuer à la démocratie, grâce à la diffusion rapide d’informations, la variété de sources d’informations, l’expression de points de vue, et autres.
Vous avez sans doute constaté que, depuis quelques mois, il est impossible de consulter des nouvelles sur Facebook et Instagram. Cela résulte de la décision de Meta de bloquer au Canada l’actualité sur ses plateformes pour éviter de se conformer à la loi C-18 (Brin, 2018, paragr. 1). Je suis personnellement très frustrée de cette situation, parce qu’elle prive une tranche de la population de plusieurs avantages énumérés ci-haut. Selon le Centre d’études sur les médias, 70% des Québécois ayant entre 18 et 34 ans préfèrent s’informer via des plateformes telles que Facebook ou Instagram, plutôt que via les médias traditionnels (Brin, 2023, paragr. 2). J’avais moi-même l’habitude de m’informer principalement sur ces deux plateformes, mais j’en suis maintenant privée, comme le sont la majorité des individus dans ma tranche d’âge.
Si Google décide de suivre la décision de Meta, assisterons-nous éventuellement à un retour aux médias traditionnels? Est-ce que, selon vous, ce serait un changement positif?
Bibliographie 
Brin, C. (2023). Les jeunes plus touchés par le bocage des nouvelles sur Facebook et Instagram. Centre d’études sur les médias. https://www.cem.ulaval.ca/jeunes-c-18-crop/.
Nguyen, L. D. (2023). Les médias à l’heure du numérique. Grenier aux nouvelles. https://www.grenier.qc.ca/actualites/37852/les-medias-a-lheure-du-numerique
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ecouterradio · 3 months
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La Question du jour #podcastFranceCulture #FranceCulture
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unfrancaisaquebec · 5 months
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Séance #13 X ou le paradis des insultes et menaces
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N’avez-vous jamais eu ce sentiment de tristesse, de colère ou d’animosité grandissante au bout de quelques scroll sur votre compte X ? Personnellement, cela m’arrive tous les jours. Il me semble aujourd’hui impossible, dès lors qu’un compte X possède un minimum d’abonnés ou qu’il s’intéresse à un sujet d’actualité ou d’intérêt public, que ses messages ou post ne soient victimes de messages d’insultes ou de menaces. Même sur des sujets plus intimes ou carrément de la sphère privée, on a l’impression que certaines personnes se plaisent à venir exprimer intentionnellement un avis contraire à la personne, en se moquant, intimidant ou menaçant. Dès lors, naviguer sur X devient anxiogène, tellement chaque discussion twitter est empli de négativité et d’aigreur. Même sans être l’auteur de tweets, parcourir des dizaines de messages d’intimidation, de menaces chaque jour, vous plonge vous-même dans une sphère de négativité. Notre santé mentale en est dès lors la première victime.
Ce sentiment me semble encore plus exacerbé depuis le rachat de la plateforme par Elon Musk, courant 2022. En effet, depuis que le milliardaire américain en est devenu propriétaire, de nombreux comptes autrefois bannis ont pu faire leur retour. C’est notamment le cas de Donald Trump par exemple, ou de Andrew Anglin, banni de la plateforme en 2023. Néo-nazi américain, il a notamment fondé un site Internet suprémaciste blanc et antijuif. De nombreux comptes complotistes ont également fait leur retour. Avec le retour de ces internautes, les messages racistes et homophobes notamment sont notamment en hausse selon une étude.
En effet, selon le centre d’analysé de la haine numérique, on estime que les insultes homophobes sont en hausse de 40 %, les insultes racistes de 200 % et les insultes antisémites de 60 %.  Difficile dès lors de rester de marbre, face à de tels messages, et à cette brutalisation des échanges. De nombreuses personnes ont ainsi pris la décision de quitter la plateforme face à la déferlante de messages d’insultes ou de menaces, dans le but de se protéger et de préserver leur santé mentale. Dans un article, Radio-Canada rapporte que de nombreux scientifiques ont quitté l’application depuis son rachat. Peter Gleick, un spécialiste du climat et de l'eau suivi par près de 99 000 personnes sur Twitter, a annoncé le 21 mai qu'il ne publierait plus de messages sur la plateforme, l'accusant d'amplifier le racisme et le sexisme. Certains sont par exemple partis sur Mastodon, une nouvelle plateforme qui tente de concurrencer Twitter.
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charlesleblanc · 6 months
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Séance #8 Les médias d'information à l'assaut des plateformes numérique
Depuis le mois d’aout, Meta bloque l’accès sur ses plateformes aux médias d’information canadiens à cause de la loi C-18. Cette loi forcerait les grands médias à offrir une compensation aux médias d’information canadiens pour utiliser leur contenu. De son côté Google songerait à emprunter le même chemin que Meta d’ici le 19 décembre. Ce serait catastrophique pour le monde de l’information puisque le numérique est rendu essentiel aux médias d’information.
Heureusement pour les médias canadiens, ce ne sont pas tous les réseaux sociaux qui leur bloquent l’accès. Il est encore possible de publier du contenu sur X et TikTok sans contrainte. Depuis la création de TikTok en 2019, les médias traditionnels québécois ont tranquillement commencé à expérimenter sur la plateforme et en 2022, la plupart de ceux-ci affirmaient vouloir agrandir leur présence sur cette application. Des médias comme Noovo ont assigné un journaliste à la création de TikTok, alors qu’avant sa fermeture, le journal Métro misait sur plusieurs visages au lieu d’un seul journaliste. 
La forme du contenu qu’on peut retrouver sur TikTok varie selon les créateurs. Le Devoir publie des extraits de reportage disponible dans son ensemble sur le web, alors que Rad, le laboratoire de journalisme de Radio-Canada, créait des vidéos qui servaient sur TikTok, mais aussi sur Instagram et Facebook avant que leurs pages soient bloquées. Personnellement, j’ai constaté qu’il y avait plus de contenu journalistique dans mon fil d’actualité sur TikTok depuis la mise en place de la loi C-18. Cette impression est appuyée par la croissance du compte du Devoir qui comptait 400 abonnés en 2022 et qui en compte 10 000 aujourd’hui. Je pense que les médias québécois ont tout à gagner à produire plus de contenu numérique. C’est une excellente façon de rejoindre les jeunes et TikTok permet maintenant de faire des vidéos de plusieurs minutes. La qualité des vidéos que je vois passer au quotidien est excellente et elle n’a rien à envier à ce qui se fait à la télévision.
https://www.journaldemontreal.com/2023/10/06/projet-de-loi-c-18-google-se-prepare-a-exclure-les-sites-dinformation-canadiens-de-ses-moteurs-de-recherche
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margueriteb · 6 months
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Séance 9 - Projet de loi C-18 : conséquences sur l’information médiatique
Depuis le début de l’ère numérique, beaucoup de facteurs ont affecté la manière dont nous consommons l’information, que ce soit par les plateformes d’actualités en ligne, par les médias sociaux ou par des formes traditionnelles telles que le journal. Cependant, le projet de loi C-18 changera dorénavant nos habitudes de consommation d’information. 
D’abord, qu’est-ce que le projet de loi C-18? Cette loi propose d’obliger les géants du web tels que Méta et Google de payer les organismes de presse s’ils veulent diffuser leur contenu sur leurs plateformes (CRTC, 2023). Comme un grand nombre d'annonceurs publicitaires ont décidé de diriger leur diffusion vers les médias sociaux au lieu des médias d’information, le financement est de plus en plus difficile pour les organismes de presse. D’où vient l’importance d’instaurer le projet de loi C-18, afin de protéger l’information pour que les Canadiens puissent participer activement dans notre démocratie et dans notre société (CRTC, 2023). En revanche, je me pose franchement la question suivante : est-ce que ce projet de loi va malencontreusement encourager la consommation des fausses nouvelles ou de la désinformation ? D’après une étude produite par Statistique Canada, 71% des jeunes de 15 à 19 ans et 83 % des jeunes de 20 à 24 ans utilisent Internet pour s'informer. « [...] les jeunes s’intéressent à l’actualité mais ne la suivent pas sur les médias traditionnels (presse écrite, radio). Ils s’informent essentiellement sur Internet et notamment les réseaux sociaux, tels que Facebook et dans une moindre mesure Twitter. » (Gomes, 2016). Je crois fortement que si les jeunes canadiens ne retrouvent plus de nouvelles sur les médias sociaux, ils pourront soit, ne plus lire l’actualité ou s’informer par de fausses nouvelles ou par de la désinformation. C’est pour moi un enjeu que le projet de loi C-18 a oublié de considérer. « La désinformation, qui était déjà bien présente avant que les nouvelles soient bloquées, a maintenant le champ libre. De plus, il n’y a pas de contrepoids parce que les médias ne sont plus là.» (Marchand, 2023). 
Il est impératif de lutter contre la désinformation et les fausses nouvelles car sinon, qu’en deviendra-t-il de l’esprit critique des Canadiens ? Le projet de loi C-18 est, en effet, nécessaire quant aux financements des organismes de presse. Cependant, il serait pertinent de réfléchir à des plans d’action pour protéger les jeunes canadiens de la désinformation et des fausses nouvelles.
Bibliographie 
Marchand, A. (2023). La Loi C-18 : conséquences, enjeux et réflexions : Point de vue expert. Université de Sherbrooke. https://www.usherbrooke.ca/actualites/nouvelles/societe/details/51178
Prévost, H. (2023). C-18, médias, Meta et Google : un bras de fer en quatre questions. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1991682/medias-canada-facebook-google-c18-explicatif
CRTC. (2023). Le projet de loi C-18 – la Loi sur les nouvelles en ligne. Gouvernement du Canada. https://crtc.gc.ca/fra/prlmntappr/c18m.htm#:~:text=Le%20projet%20de%20loi%20C-18%C2%A0%E2%80%93%C2%A0la%20Loi%20sur%20les,activement%20%C3%A0%20notre%20d%C3%A9mocratie%20et%20%C3%A0%20notre%20soci%C3%A9t%C3%A9. 
Gomes, P. (2016). Comment s’informent les jeunes ?. La Croix. https://www.la-croix.com/Famille/Loisirs/Comment-informent-jeunes-2016-02-02-1200737095 
Bergeron, É. (2022). Google affirme que C-18 entraînera plus de désinformation. La Presse. https://www.lapresse.ca/affaires/medias/2022-10-18/projet-de-loi/google-affirme-que-c-18-entrainera-plus-de-desinformation.php#:~:text=Avec%20C-18%2C%20les%20Canadiens%20auront%20acc%C3%A8s%20%C3%A0%20plus,plus%20difficile%20l%E2%80%99acc%C3%A8s%20%C3%A0%20du%20contenu%20m%C3%A9diatique%20fiable. 
Statistique Canada. (2015). Comment les jeunes s'informent-ils?. https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/75-006-x/2015001/article/14232/you-jeu-fra.htm
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laplacoteuse · 6 months
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Séance #9 — Le citoyen dorénavant récepteur-émetteur
L’ère du numérique a complètement changé la façon de consommer du contenu pour la majorité des personnes. Que ce soit pour du simple divertissement personnel ou bien le désir de rester informer sur l’actualité, les gens d’aujourd’hui ne vont plus s’y prendre de la même manière qu’il y a 10 ans pour obtenir ce qu’ils veulent. Conséquemment, les canaux traditionnels tels que Radio-Canada https://ici.radio-canada.ca/) ou bien TVA nouvelles (https://www.tvanouvelles.ca/)  ont dû s’adapter à la nouvelle ère et la manière de partager leurs informations sur l’actualité ou bien les prévisions météorologiques. Ces médias traditionnels offrent désormais le visionnage en direct de l’actualité sur Internet. Comme le mentionne LeDevoir, l’engouement pour les services de visionnage en ligne ne cesse de grimpé et de prendre de la popularité dans les foyers québécois (https://www.ledevoir.com/economie/779768/le-quart-des-quebecois-sont-abonnes-a-au-moins-trois-plateformes-de-visionnement-en-ligne). Conséquemment, les médias traditionnels n’ont guère le choix d’embarquer dans le bateau si ceux-ci souhaitent demeurer pertinents. D’ailleurs, les statistiques démontrent que le taux d’abonnements aux les plateformes de visionnage en ligne (Netflix, Crave, Amazon Prime, etc.) dépassent ceux des services de télévision par câble. Cela démontre bien comment les Québécois mettent l’accent et préfèrent s'abonner aux plateformes en ligne plutôt qu'aux services télévisuels.
Par ailleurs, la télévision n’est pas l’unique média à devoir passer au numérique. Je pense notamment aux journaux, qui, eux aussi, doivent se tourner vers cette alternative afin de maintenir leur public et leur pertinence. En effet, nous pouvons retrouver plusieurs sites comme LeDevoir.com, LaPress.ca, le journal de Montréal.com, LeSoleil.com qui offrent le service d’actualité en ligne. Jadis, nous devions nous abonner au Soleil, par exemple, et attendre jusqu’au dimanche afin d’obtenir notre exemplaire hebdomadaire. Maintenant, nous pouvons accéder à la presse en ligne grâce à un simple abonnement et un simple clic.
Finalement, cette nouvelle manière de partager l’actualité va permettre à certains créateurs-citoyens de se créer une niche de contenu propre à eux. En effet, nous pouvons retrouver divers comptes TikTok, par exemple, qui relayent les informations dites par de plus gros médias dans de plus petits formats de quelques secondes. Ces comptes permettent donc d’une part, de créer le journalisme citoyen, et d’une autre, permettent aux consommateurs de rester informés sur l’actualité sans tout de même être abonnés à une plateforme précise. Ainsi, c’est à se demander si la présence des services dits plutôt traditionnels est encore pertinente en 2023.
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christophe76460 · 10 months
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💡💡💡 Elle vous apportera de nombreux "Éclairages" !
Éclairages est un talk show d’actualité bi-mensuel. Chaque émission revient sur un sujet brûlant qui invite au positionnement personnel.
Toutes les deux semaines, Philippe, Anita, David et Thierry livrent leurs regards et leurs sensibilités dans un climat de vérité, de respect et de convivialité.
Besoin d'un coup de pouce pour construire votre propre opinion sur un sujet d'actualité ?
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Soif d'une analyse médiatique chrétienne ?
Éclairages vous offrira un peu de "sel" avec une approche différente du débat d'actualité. Le TopChrétien est ravi d'être co-producteur de cette émission avec Radio Arc en Ciel !
Découvrez les dernières émissions sur TopTV : https://www.topchretien.com/auteurs/emission-eclairages/
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For'fm Radio
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FOR’FM est née d’une volonté de proposer des émissions dédiées à la découverte de nouveaux talents et à l’information sur l’agglomération.
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Cette radio se veut pluraliste, au service de l’expression de ses adhérents, de l’information et tous les habitants de la zone concernée, de l’éducation populaire et de la promotion de la culture. L’association est apolitique et non confessionnelle et a pour objet de créer et faire exister une radio locale associative ayant pour objet l’information, la promotion et l’animation de la région au point de vue musical, culturel, économique, sportif, associatif, vie municipale. La ligne musicale est très variée en fonction des talents qui sont retenus. Une application mobile va prochainement être disponible pour nous écouter partout. For’fm, c’est aussi une passion, une envie de partage et de découverte. Nous développons une page blog sur le site forfm.fr afin d’obtenir des infos sur les artistes et acheter leurs œuvres. C’est aussi grâce à vous qu’elle existe. Une radio à votre écoute ! Presse :
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- Si For’fm acquérait un local avec un hall, nous prévoyons un « Wall Of Fame » afin de présenter les œuvres musicales et écrites qui apparaissent également dans la boutique du site de FOR’FM, qui sera finalisé courant mars. - Nous recherchons encore le financement pour la diffusion sur les BOX Internet ainsi que OK GOOGLE et ALEXA. La mise en ligne de l’application FOR’FM, qui sera disponible Google Play et Apple Store. - Nous avons egalement fait un dossier pour la diffusion en Hertzien avec une couverture de l’agglomération de Forbach sur la bande FM.
L’idée
D.S. : En tant que journaliste et amoureux de musique, j’ai eu l’idée, dans un premier temps, d’une webradio mélangeant les infos de notre agglo et de ces artistes. Puis devant l’enthousiasme du projet, nous avons eu envie d’exister sur les ondes et de devenir une entité de notre agglomération. Aujourd’hui, nous souhaitons également exporter notre concept auprès d’autres agglos avoisinants en ne changeant que la partie info. Nous voulons développer une structure d’accompagnement des artistes allant de la conception à la production de leurs œuvres musicales ainsi que leurs ventes. Notre radio, ayant comme éthique la culture et la cohésion sociale, elle organisera des manifestations musicales afin de faire découvrir nos nouveaux talents. Nous aimons aussi les émissions touchant des sujets d’actualités qui ont retenu l’attention de nos citoyens. - Diffusion de la radio sur internet, sur une application mobile et les réseaux sociaux. - Diffusion de la radio sur canal hertzien (En cours). - Annonces publicitaires ou événementiels. - Vente de livre, œuvres audios d’artistes ou groupe de musiciens. - Diffusion d’œuvres d’artistes locaux et internationaux. - Émissions en direct ou enregistrées sur des thèmes. - Passage à l’antenne d’auditeurs qui souhaitent s’exprimer sur un sujet. - Présence dans des lieux ou s’exerce une activité culturelle, associative ou publique. - Promotion d’une œuvre audio, vidéo ou écrite auprès d’organismes agrées. D.S: J’ai surtout voulu recréer du lien social qui a disparu avec la crise sanitaire. Les habitants de Forbach et son agglo ont besoin d’un point d’information commun afin de savoir où se retrouver lors d’événements. De pouvoir toucher un grand nombre d’auditeurs pour savoir ou se rendre et tous les évènements culturels de l’agglomération. David SCHMIDT Read the full article
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blogapart3bis · 1 year
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Radio-Erdorin, mars 2023
Aujourd'hui sur Blog à part – Radio-Erdorin, mars 2023 Nouveau mois, nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour mars 2023 – et aussi deux blocages régionaux. Youpi. Mais bon, ce n’est pas grave: il y a Peertube. #video #youtube #peertube
Nouveau mois, nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour mars 2023 – et aussi nouvelles réclamations en rafale sur YouTube, dont deux blocages régionaux. Youpi. Mais bon, ce n’est pas grave, c’est aussi pour cela qu’il y a Peertube. J’avoue avoir un peu rushé cet épisode, pour cause d’actualité chargée: il y aura sans doute un Radio-Erdorin Live lundi ou mardi prochain, entre autres choses. Du coup,…
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avsjourney · 1 year
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Séance #11 - Capitalisme de surveillance ou espionnage?
Le numérique a représenté pour les entreprises capitalistes une opportunité pour l’invention de nouveaux outils permettant d’en apprendre plus sur les besoins et les désirs des consommateurs par la collecte de leurs données personnelles, générées par leur présence en ligne. L’utilisation de ces données permet entre autres aux entreprises de suivre les tendances plus rapidement ou d’améliorer les stratégies de marketing par une meilleure compréhension des habitudes de consommation de la population. C’est l’émergence du capitalisme de surveillance, un concept définit comme un « système économique centré sur la marchandisation des données personnelles dans le but principal de faire du profit. » (Agence digitale 50A, s. d., paragr. 1) Car inévitablement, bien que la collecte de données comporte des avantages comme des inconvénients, son but principal reste la quête du profit, puisque nous vivons au sein d’une société capitaliste. Néanmoins, cette quête du profit ne rend pas la collecte de données « mauvaise » en soi. Celle-ci a ses avantages : la personnalisation du contenu qui est présenté afin qu’il soit pertinent et intéressant, ainsi que l’amélioration des produits proposés par les entreprises afin de les rendre plus appropriés aux besoins et aux désirs des consommateurs.
Nous avons tous déjà fait l’expérience de ce capitalisme de surveillance : après une recherche rapide sur Google pour en apprendre plus sur le plus récent modèle de cellulaire, le fil d’actualité de vos réseaux sociaux se remplit soudainement de publicités concernant ce même cellulaire sur lequel portait votre recherche. Cela peut sembler être une situation inoffensive, mais le problème avec ce capitalisme de surveillance est qu’il est très (trop) facile pour des entreprises dont les intentions sont axées sur le profit au détriment de la confidentialité d’abuser des données qu’ils ont accumulées et d’outrepasser la limite de la vie privée.
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En effet, comme cette image en témoigne, qu’arrive-t-il lorsque cette surveillance passive de notre présence en ligne se transforme en espionnage? Car c’est ce que des controverses comme celle d’Amazon et de l’enregistrement audio à l’insu des utilisateurs du dispositif Alexa (Radio-Canada, 2019, paragr. 1) ou la revente illégale des données personnelles par Facebook à Cambridge Analytica ont mis en lumière (Radio-Canada, 2018, paragr. 2).
Plus récemment encore, TikTok est l’objet d’un scandale après qu’il a été révélé que les données personnelles récoltées sur l’application étaient transmises au régime chinois (La Presse canadienne, 2023, paragr. 8). Il est donc légitime en tant qu’utilisateur d’Internet de se demander jusqu’où notre droit à la vie privée est respecté et de s’inquiéter de l’utilisation qui est faite de nos données par des instances aux intentions douteuses.
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Références
Agence digitale 50A. (s. d.). Capitalisme de surveillance. https://www.50a.fr/0/capitalisme-de-surveillance
Idir, S. (2022, 24 décembre). Le capitalisme de surveillance. Le nouveau pétrole qui menace les droits et la démocratie. L’initiative. https://linitiative.ca/le-capitalisme-de-surveillance-le-nouveau-petrole-qui-menace-les-droits-et-la-democratie/
La Presse canadienne. (2023, 1 mars). Les entreprises invitées à se méfier elles aussi de TikTok. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/societe/783615/les-entreprises-invitees-a-se-mefier-elles-aussi-de-tiktok
Radio-Canada. (2019, 11 avril). Des employés d’Amazon écoutent des enregistrements d’Alexa. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1163774/alexa-ecoute-espionnage-electronique-enregistrement-echo-amazon
Radio-Canada. (2018, 19 mars). Tout ce que vous devez savoir sur le scandale Facebook-Cambridge Analytica. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1090159/facebook-cambridge-analytica-donnees-personnelles-election-politique-campagne-marketing-politique
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nediasmumeriques · 1 year
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Séance #9 - Être maître en autodéfense intellectuelle à l'ère des réseaux sociaux numériques
La désinformation est une problématique sociale sans doute exacerbée par la présence importante et omniprésente des médias sociaux numériques dans nos vies. Le terme fake news, ou fausse nouvelle en français, a été démocratisé durant le mandat de Donald Trump à la Maison-Blanche. Il utilisait ce terme bien souvent en pointant du doigt le travail journalistique qui pouvait être fait autour de sa personne. La pandémie a également exacerbé la problématique des fausses nouvelles. On voyait alors circuler sur les réseaux sociaux toute sorte de théorie du complot. Mais à l’ère des fausses nouvelles, comment s’assurer que l’information que l’on consomme est véridique ?   
Une première solution serait celle de ne pas s’informer sur les réseaux sociaux. Plus facile à dire qu’à faire. Le simple fait de se connecter sur Facebook par exemple, et de consulter notre « fil d’actualité », nous met à risque d’être exposé à de la fausse information. On peut alors interpréter cette fausse information comme partie intégrante, inconsciemment peut-être, de notre perception de la réalité. Pour éviter cela, il faut s’informer directement sur les plateformes des médias d’information (journaux en ligne, chaînes de télévision, etc.). En se promenant sur les réseaux sociaux, il est important de rester alerte et conscient que l’information que nous verrons pourrait être fausse. Être sceptique est une qualité indispensable pour quiconque voulant assurer son intégrité intellectuelle.    
Une deuxième manière de se protéger contre les fausses nouvelles est de consulter régulièrement des médias, des personnalités, des émissions, etc., qui s’affairent à démentir les fausses nouvelles. Je pense particulièrement aux Décrypteurs. Ce sont un groupe de journaliste de Radio-Canada, qui traque les fausses nouvelles qui se promènent sur les réseaux sociaux, pour les démentir par la suite. Ils ont leur propre émission de télévision sur la chaîne de Radio-Canada et sont très présents sur les réseaux sociaux. Ils sont très actifs et ça m’est personnellement arrivé de voir qu’ils avaient démenti une nouvelle que j’avais aperçue plus tôt sur les réseaux sociaux numériques. Voici le lien pour consulter leur page web : 
Il y a un ouvrage également qui aide grandement à contrer la désinformation, et c’est le livre de Normand Baillargeon intitulé : « Petit cours d’autodéfense intellectuelle ». Il date un peu, mais il est toujours très pertinent et est un très bon outil pour mieux naviguer sur le web à l’ère des fausses nouvelles.  
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explosif80 · 2 years
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SÉANCE #9 – Le journalisme de demain
Selon moi, nous nous déplaçons vers un journalisme de plus en plus axé sur la vidéo et le graphisme. Pour le consommateur d’aujourd’hui, un texte n’est pas suffisant. Il doit être stimulé. C’est là que le web entre en jeu. 
Non seulement le web permet-il d’aller informer les gens directement dans leur quotidien, sa flexibilité peut offrir un type de contenu plus dynamique qui capte l’attention du public. Qu’est-ce que je veux dire par là ? Les jeunes passent beaucoup de temps sur les réseaux sociaux. Ainsi, ce sont sur ces plateformes qu’il faut aller les chercher pour qu’ils consomment l’actualité quotidiennement. 
Les sites web d’actualité permettent également plus de dynamisme dans la livraison de la nouvelle. Pourquoi ? Il est possible d’insérer dans un article de la vidéo, de l’audio, des infographies statiques, dynamiques et plus encore. 
Dans un article de Radio-Canada publié le 1er septembre 2022*, l’équipe a créé une série d’infographies pour illustrer d’où proviennent les immigrants au Canada. Un graphique a également été inséré dans l’article pour clarifier certaines données numériques. Tout ceci aurait pu être expliqué par l’écrit, mais l’imager de cette façon permet au lecteur de mieux comprendre, et ce plus rapidement. Comme les gens passent de moins en moins de temps à lire un article, il est important de vulgariser les informations. 
Dans un autre article, du journal Le Soleil*, une vidéo a été insérée afin de montrer ce dont il est question dans le texte, qui parle de la place de l’Hôtel de ville qui s’agrandit à Québec. Le lecteur peut donc voir à quoi elle ressemble à l’aide de la vidéo. 
Avec le web, tout est possible. Les grands médias auraient intérêt à investir dans les infographies et la production de capsules vidéo, à mon avis. Dans un monde où l’attention des internautes est de plus en plus difficile à capter, les médias doivent faire un effort pour la conserver le plus longtemps possible.
*Sources : 
https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1853659/immigration-canada-identite-integration
https://www.lesoleil.com/2022/10/25/la-place-de-lhotel-de-ville-sagrandit-photos--video-d5daaa0e22f90b4e69f5732d5d9cab0a 
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ecouterradio · 3 months
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La Question du jour #FranceCulture #podcastFranceCulture
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bloguedocealuni · 2 years
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SCÉANCE #6- l'authenticité et les réseaux sociaux 
Est-ce que les photos que nous voyons ou que nous publions sur les réseaux sociaux (selfies ou autres) sont-elles toujours authentiques ? 
Je crois que la plupart des photos que nous publions et que nous voyons sur notre fil d’actualité ne le sont pas. Selon moi, un des buts premiers de publier sur nos plateformes comme Facebook ou Instagram est de montrer aux autres comment notre vie semble belle. En publiant des photos qui semblent plus belles que nature, nous espérons que les autres vont dire en les voyant : « j’aimerais être comme lui ou elle ». On montre une image de nous-mêmes qui est loin de la réalité en appliquant plusieurs filtres et en arrangeant notre style vestimentaire pour qu’il « fitte » avec le décore. Combien de fois avons-nous attendu la phrase « je vais mettre ça, ça va être beau pour prendre des photos aux pommes » ? Comme l’explique Janni Aragon, directrice du programme de Technologie et Société à l’Université de Victoria dans cet article de Radio-Canada, nous présentons tous notre moi idéal.*
Depuis que nous sommes jeunes, la plupart d’entre nous sont exposés aux influenceurs. Ces derniers montrent leur vie qui semble parfaite à travers d’images que nous apercevons sur nos fils d’actualité. À plusieurs reprises, nous pouvons voir les influenceurs, auxquelles nous sommes abonnées, montrer, par exemple, leur déjeuner qui semble parfait et loin de nos deux toasts au beurre. Le croissant est cuit à point et le café est exactement dans le bon angle, pour que l’image à l’air symétrique. Un autre influenceur va se prendre en photo avec la description « doux réveille ce matin » et il sera parfait avec aucun cheveu de déplacé. Ce qui pousse certaines personnes à faire de même lorsqu’elles publieront sur les réseaux sociaux. 
Bien que ces images soient belles et parfaites, elles ne sont pas authentiques. Je crois que nous devrions faire plus d’effort lorsque nous publions sur les réseaux sociaux pour montrer la vraie nature des choses et que ce n’est pas tous les jours roses. De montrer qu’il y a du beau dans les choses simples et sans filtres.
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 *https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1286604/fake-instagram-reseaux-sociaux-influenceurs-facebook-snapchat
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elhadjlirwane · 2 years
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Transition: "Il n'y a pas de crise en Guinée..." (Colonel Amara Camara)
Transition: “Il n’y a pas de crise en Guinée…” (Colonel Amara Camara)
Le ministre secrétaire général de la présidence de la République a abordé ce dimanche 4 septembre plusieurs sujets d’actualité liés à la conduite de la transition en cours en Guinée. C’était lors de la synergie des radios organisée à l’occasion de l’an 1 du CNRD au pouvoir. Sur la question simple du dialogue devant aboutir à une transition apaisée et inclusive, Colonel Amara Camara a fait savoir…
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