Tumgik
#Julien Henri Carette
perfettamentechic · 10 months
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20 luglio … ricordiamo …
20 luglio … ricordiamo … #semprevivineiricordi #nomidaricordare #personaggiimportanti #perfettamentechic
2021: Françoise Arnoul, nata Françoise Annette Marie Mathilde Gautsch, attrice francese. Figlia dell’attrice di teatro Janine Henry. Sposò Georges Cravennee e, dopo il divorzio, il regista e scrittore francese Bernard Paul. (n. 1931) 2019: Ilaria Occhini, è stata un’attrice e imprenditrice italiana. (n. 1934) 2017: Claude Rich, attore francese. Sposò l’attrice Catherine Renaudin. La coppia ebbe…
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byneddiedingo · 1 year
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Jean Renoir, Roland Toutain, and Nora Gregor in The Rules of the Game (Jean Renoir, 1939)
Cast: Nora Gregor, Paulette Dubost, Mila Parély, Odette Talazac, Claire Gérard, Anne Mayen, Lise Elina, Marcel Dalio, Julien Carette, Roland Toutain, Gaston Modot, Jean Renoir, Pierre Magnier. Screenplay: Jean Renoir, Carl Koch. Cinematography: Jean Bachelet. Production design: Max Douy, Eugène Lourié. Film editing: Marthe Huguet, Marguerite Renoir. 
The first time I saw The Rules of the Game, many years ago, I didn't get it. I knew it was often spoken of as one of the great films, but I couldn't see why. I had been raised on Hollywood movies, which fell neatly into their assigned slots: love story, adventure, screwball comedy, satire, social commentary, and so on. Jean Renoir's film was all of those things at once, to my confusion. I had to be weaned from narrative formulas to realize why this sometimes madcap, sometimes brutal tragicomedy is regarded so highly. And I had to learn why the period it depicts, the brink of World War II, isn't just a point in the rapidly receding past, but the emblematic representation of a precipice that the human world always seems poised upon, whether the chief threat to civilization is fascism, pandemic, or global climate change. The Rules of the Game is about us, dancing merrily on the brink, trying to ignore our mutual cruelty and to deny our blindness. Renoir's characters are blinded by lust and privilege, and they amuse us until they do horrible things like wantonly slaughter small animals or play foolish games whose rules they take too lightly. I'm afraid that makes one of the most entertaining (if disturbing) films ever made seem like no fun at all, but it should really be taken as a warning never to ignore the subtext of any work of art. Much of the film was improvised from a story Renoir provided, to the glory of such performers as Marcel Dalio as the marquis, Nora Gregor as his wife, Paulette Dubost as Lisette, Roland Toutain as André, Gaston Modot as Schumacher, Julien Carette as Marceau, and especially Renoir himself as Octave. Renoir's camera prowls relentlessly, restlessly through the giddy action and the sumptuousness of the sets by Max Douy and Eugène Lourié. It's not surprising that one of Renoir's assistants was the legendary photographer Henri Cartier-Bresson. And, given my own initial reaction to the film, it's also not surprising that The Rules of the Game was a critical and commercial flop, trimmed to a nubbin of its original length, banned by the Vichy government, and after its negative was destroyed by Allied bombs in 1942, potentially lost forever. Fortunately, prints survived, and by 1959 Renoir's admirers had reassembled it for a more appreciative posterity.
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alexlacquemanne · 2 years
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Mars MMXXII
Films
Coplan prend des risques (1964) de Maurice Labro avec Dominique Paturel, Virna Lisi, André Weber, Jacques Balutin et Yvonne Clech
Mado (1976) de Claude Sautet avec Michel Piccoli, Ottavia Piccolo, Jacques Dutronc, Charles Denner, Romy Schneider, Julien Guiomar et Claude Dauphin
Carambolages (1963) de Marcel Bluwal avec Jean-Claude Brialy, Louis de Funès, Michel Serrault, Sophie Daumier, Anne Tonietti et Henri Virlogeux
La Marie du port (1950) de Marcel Carné avec Jean Gabin, Nicole Courcel, Blanchette Brunoy, Julien Carette et Claude Romain
Crime et Châtiment (1956) de Georges Lampin avec Jean Gabin, Marina Vlady, Ulla Jacobsson, Bernard Blier, Robert Hossein, Gaby Morlay et Lino Ventura
Le Cavaleur (1979) de Philippe de Broca avec Jean Rochefort, Nicole Garcia, Annie Girardot, Lucienne Legrand, Danielle Darrieux et Catherine Alric
Un témoin dans la ville (1959) de Édouard Molinaro avec Lino Ventura, Sandra Milo, Franco Fabrizzi, Robert Dalban et Jacques Berthier
Claire Andrieux (2019) de Olivier Jahan avec Jeanne Rosa, Thomas VDB, Emma de Caunes, Yannick Renier et Michel Vuillermoz
Notre-Dame brûle (2022) de Jean-Jacques Annaud avec Samuel Labarthe, Jean-Paul Bordes, Mikaël Chirinian, Jérémie Laheurte et Sébastien Lalanne
La strada (1954) de Federico Fellini avec Anthony Quinn, Giulietta Masina, Richard Basehart, Aldo Silvani et Marcella Rovena
Les Fantômes du chapelier (1982) de Claude Chabrol avec Michel Serrault, Charles Aznavour, Monique Chaumette, François Cluzet, Aurore Clément et Isabelle Sadoyan
Le Crabe-Tambour (1977) de Pierre Schoendoerffer avec Jean Rochefort, Jacques Perrin, Claude Rich, Jacques Dufilho et Aurore Clément
Le Jardinier d'Argenteuil (1966) de Jean-Paul Le Chanois avec Jean Gabin, Liselotte Pulver, Pierre Vernier et Curd Jürgens
Séries
Les Enquêtes du commissaire Maigret Saison 7
Mon ami Maigret
Top Gear Saison 21, 22, 12, 13, 18, 10, 11, 14, 16, 15
Road trip à Tchernobyl - La course des Tsars - Trois camions d'enfer - Trophée Andros - Les pire voiture de l'histoire - Spécial Journée Circuit - Les pire voitures anglaises - Apprentis policiers - Alfas bon marché - 1200 km en un plein - Bolide électrique - L'Albanie en Rolls-Royce - Les rois du camping - Du grand art ! - Cabriolet d'occasion - Spécial Nativité
Dix pour cent Saison 1
Cécile - Line et Françoise - Nathalie et Laura - Audrey - Julie et Joey - François
Starsky & Hutch Saison 2, 3
Bras de fer - La petite fille perdue - Superstitieux, Moi ? - Esprit, es-tu là ? - Traquenard : 1ère partie - Traquenard : 2ème partie - Que la route est longue - Le clown - Coupables ? - Jungle, vous avez dit jungle ? - Créatures de rêve : 1ère partie - Créatures de rêve : 2ème partie - Les Jours se ressemblent - Les héros
Le Coffre à Catch
#65 : Masterclass & consécration pour CM Punk - #66 : Un Catcheur de Retour : Devinez Qui Est-Ce ??
Columbo Saison 4, 5, 3
Exercice fatal - État d'esprit - La femme oubliée - Le Chant du cygne
Kaamelott Livre III, IV, II
L’Empressée - La Ronde II - Mission - La Baliste - La Baraka - La Veillée - Le Tourment III - La Potion de fécondité II - L’Attaque nocturne - La Restriction II - Les Défis de Merlin II - Saponides et Détergents - Le Justicier - La Crypte maléfique - Arthur in Love II - La Grande Bataille - La Fête de l’hiver II - Sous les verrous II - Le Vulgarisateur - Witness - Le Tribut - Le Culte secret - Le Mangonneau - La Chevalerie - Le Mauvais Augure - Raison d’argent II - Les Auditeurs libres - Le Baiser romain - L’Espion - Alone in the Dark - Le Législateur - L’Insomniaque - L’Étudiant - Le Médiateur - Le Trophée - Hollow Man - La Dispute 1re partie - La Dispute 2e partie - Tous les matins du monde 1re partie - Tous les matins du monde 2e partie - Raison et Sentiments - Les Tartes aux fraises - Le Dédale - Les Pisteurs - Le Traître - Le Rebelle - La Rencontre - Always - L'anniversaire de Guenièvre - Les Volontaires II - La Faute 1re partie - La Faute 2e partie - L’Ascension du Lion - Une vie simple - Le Privilégié - Le Bouleversé - Les Liaisons dangereuses - Les Exploités II - Dagonet et le Cadastre - Duel 1re partie - Duel 2e partie - La Foi bretonne - Au service secret de Sa Majesté - La Parade - Seigneur Caius - L’Échange 1re partie - L’Échange 2e partie - L’Échelle de Perceval - La Chambre de la reine - Les Émancipés - La Révoquée
Peacemaker Saison 1
A Whole New Whirled - Best Friends, For Never - Better Goff Dead - The Choad Less Traveled - Monkey Dory - Murn After Reading - Stop Dragon My Heart Around - It's Cow or Never
Spectacles
Les Musiques de John Williams et Hans Zimmer en concert symphonique par le Yellow Socks Orchestra (2022)
Bisous bisous (1990) de Marc Camoletti et Georges Folgoas avec Bernard Menez, Henri Guybet, Vannick Le Poulain, Marcelline Collard et Bénédicte Roy
La puce à l'oreille (1998) de Georges Feydeau avec Jean-Paul Belmondo, Cristiana Reali, Sabine Haudepin, Pierre Vernier, Antoine Duléry, Jean-Paul Bordes et Laurent Gamelon
Voyage de noces (1998) de Marc Camoletti avec Yolande Folliot, Thierry Beccaro et Michel Robbe
Livres
Réparons la ville ! de Sylvain Grisot et Christine Leconte
Perso de Antoine de Caunes
Le Parfum de l'invisible, tome 1 de Milo Manara
Stargate de Dean Devlin et Roland Emmerlich
Kyoto limited express de Olivier Adam et Arnaud Auzouy
Les Profs : Tome 1 : Interro surprise de Erroc et Pica
Les tribulations d'un Chinois en Chine de Jules Verne
Batman : Les Nouvelles Aventures Volume 1 de Ty Templeton et Rick Burchett
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laurent-bigot · 6 years
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Ce n’est pas le moindre des paradoxes de l’Occupation à de nombreux jeunes acteurs de se révéler au public. La plupart rapidement au vedettariat au cours des années 50, mais si on excepte quelques chefs-d’œuvre fulgurants, Ils seront souvent mal employés.
Danielle Darrieux
Bernard Blier
Pierre Brasseur
Suzy Delair
Jean Marais
Danièle Delorme
Pierre Fresnay
François Perrier
Daniel Gélin
Dany Bobin
Micheline Presle
Martine Carol
Simone Signoret
PIERRE FRESNAY, en 1945, fut victime de la campagne déclenchée contre Le Corbeau, où il avait trouvé son meilleur rôle, avec celui du capitaine de Boieldieu de La Grande Illusion. Il était alors au sommet de sa gloire, un des tout premiers acteurs français, après une première carrière, qui comprenait entre autres le Marius (1931) de Korda et sa suite, La Dame aux camélias (1934) d’Abel Gance, Adrienne Lecouvreur (1938) de L’Herbier et L’Assassin habite au 21 (1942) de Clouzot. Après quelques mois d’interdiction succédant à quelques semaines de séjour à Fresnes, il effectuait sa rentrée dans Fille du diable (1945) de Decoin et retrouvait rapidement sa place au premier rang des vedettes françaises. De nouveaux triomphes personnels l’attendaient, dans des films parfois inégaux. Parmi ceux-ci, on doit rappeler sa mémorable composition de saint Vincent-de-Paul, dans le Monsieur Vincent (1947) de Maurice Cloche écrit par Jean Anouilh ou son savoureux Offenbach de La Valse de Paris (1949) de Marcel Achard. Son meilleur rôle de cette seconde période fut sans doute celui de Dieu a besoin des hommes (1950) de Delannoy. Après cela, le niveau des films dans lequel il parut commença à baisser. On peut encore retenir le curieux Défroqué (1953) de Léo Joannon et le vieux marquis des Aristocrates (1954) de Denys de la PatelIière. Fresnay, qui avait débuté à la Comédie-Française et continué de jouer au Boulevard, retourna au théâtre. II fit d’admirables créations, surtout Le Neveu de Rameau de Diderot et Mon Faust de Valéry, dont la télévision a gardé le souvenir. Il mourut en 1975, à Paris (où il était né en 1897).
MONSIEUR VINCENT de Maurice Cloche (1947) avec Pierre Fresnay, Aimé Clariond, Jean Debucourt
MARIUS réalisé par Alexander Korda (1931), écrit par Marcel Pagnol d’après sa pièce éponyme, représentée pour la première fois en décembre 1927 sur la scène du Théâtre de Paris, Marius est le premier volet de la trilogie marseillaise de Pagnol. Avec Raimu, Pierre Fresnay, Orane Demazis
LE CORBEAU – Henri Georges Clouzot (1943) – Pierre Fresnay
DANIELLE DARRIEUX (née à Bordeaux en 1917) avait été une des grandes vedettes d’avant-guerre et de l’Occupation grâce à des films comme Mayerling (1936) de Litvak où elle incarnait une inoubliable Marie Vetsera, ou à ceux qu’elle interpréta sous la direction de son mari Henri Decoin, Retour à l’aube (1938), Battements de cœur (1939) et Premier Rendez-vous (1941). Elle avait excellé dans des rôles de jeunes filles modernes, enjouées et mutines, mais qui finissaient toujours par tomber dans les bras du beau jeune premier. Dotée d’une voix agréable, elle susurrait souvent de jolies mélodies, un peu sirupeuses comme le voulait le goût de l’époque et généralement promises à un grand succès, comme la célèbre “chamade” de Battements de cœur. Après trois ans d’interruption, Danielle Darrieux revint à l’écran en 1945, pour une seconde carrière encore plus brillante que la première. Épanouie, mûrie, ayant pris de l’autorité, c’est alors qu’elle interpréta quelques-uns de ses plus beaux rôles, comme la reine de Ruy Blas (1947) dans le film de Cocteau et Pierre Billon ou la fantasque Amélie de Feydeau, dans Occupe-toi d’Amélie (1949) d’Autant-Lara. Mais c’est surtout grâce à Ophuls qu’elle put se surpasser, dans La Ronde (1950), Le Plaisir (sketch de La Maison Tellier d’après Maupassant, 1951) et surtout l’exquise Madame de (1953) d’après Louise de Vilmorin, où elle était une épouse frivole qui finissait par mourir d’amour. Elle fut également remarquable dans La Vérité sur Bébé Donge (1951) où elle retrouvait Decoin, dont elle avait divorcé dix ans plus tôt et dans Le Bon Dieu sans confession (1953) d’Autant-Lara. Elle est décédée en octobre 2017.
OCCUPE-TOI d’AMELIE de Claude Autant-Lara (1949), adapté de la pièce éponyme de Georges Feydeau avec Danielle Darrieux, Jean Desailly, Julien Carette
MADAME DE… de Max Ophuls (1953), adapté du roman éponyme de Louise de Vilmorin paru en 1951 avec Danielle Darrieux, Charles Boyer, Vittorio De Sica, Jean Debucou
RETOUR A L’AUBE – Henri Decoin (1938) – Danielle Darrieux, Pierre Dux, Jacques Dumesnil, Pierre Mingand
PIERRE BRASSEUR (1905-1972) tourna beaucoup et aussi de temps en temps n’importe quoi avant de parvenir à imposer son talent exceptionnel. Réserve faite de la gifle mémorable du Quai des brumes (1938) de Carné, ce n’est qu’avec les années 40 qu’il commença à trouver l’occasion de s’employer. Ce fut surtout grâce à Jacques Prévert qui écrivit pour lui quelques rôles sur mesure, destinés à mettre en valeur un abattage extraordinaire. On en eut un premier aperçu avec le peintre alcoolique de Lumière d’été (1942), le meilleur film de Grémillon, où il éclipsait ses nombreux et remarquables partenaires. Mais c’est l’année suivante qu’il allait rencontrer le rôle de sa vie, avec le fameux Frédérik Lemaître des Enfants du paradis (1943-1945), le chef-d’œuvre de Carné-Prévert. Dans cette évocation d’un “monstre sacré” du romantisme, il fut éblouissant, truculent et gouailleur à la fois, émouvant et sobre quand il le fallait, bref acteur complet et génial. Après cela, il parut presque effacé dans Les Portes de la nuit (1946) de Carné-Prévert, bien qu’il y fût excellent, mais eut l’occasion d’un nouveau grand numéro dans Les Amants de Vérone (1948) de Cayatte-Prévert. Il fut aussi un savoureux Barbe- bleue (1951) pour Christian-Jaque et un héros de Sartre dans Les Mains sales (F, Rivers, 1951), Après un truculent Buridan dans La Tour de Nesle de Gance (1954), et un pittoresque Juju pour René Clair (Porte des Lilas, 1956), il incarna de nombreux rôles jusqu’à sa mort (Les Bonnes causes, Christian-Jaque, 1962), mais plus rien de très marquant. Il fut marié à Odette Joyeux, dont il eut un fils, le comédien Claude Brasseur.
LES BONNES CAUSES est un film franco-italien réalisé par Christian-Jaque et sorti en 1963 avec Pierre Brasseur, Marina Vlady, Bourvil
LUMIERE D’ETE de Grémillon (1943) avec Madeleine Robinson, Paul Bernard, Madeleine Renaud, Pierre Brasseur
LES PORTES DE LA NUIT – Marcel Carné (1946), Pierre Brasseur
SIMONE SIGNORET (née Simone Kaminker en 1921, à Wiesbaden et morte en 1985 à Autheuil-Authouillet (Eure)) fut une des premières jeunes actrices à s’imposer comme vedette au lendemain de la Libération. Figurante et secrétaire du journaliste Jean Luchaire sous l’Occupation elle décrocha quelques petits rôles, avant d’être lancée par les films d’Yves Allégret, son premier mari, Les Démons de l’aube (1945) et surtout Dédée d’Anvers (1947) qui fit d’elle une grande vedette, dans un rôle pourtant assez conventionnel de fille de maison close, emploi qu’elle tint plusieurs fois dans sa carrière. Elle fut également fille “mauvaise femme”, ambitieuse et sans scrupule dans Manèges (1949), film très noir, le dernier qu’elle fit pour Yves Allégret, dont elle divorça peu après. Après deux ou trois films anglo-saxons sans intérêt, et quelques productions françaises très médiocres, on la retrouva dans La Ronde (1950) d ‘Ophuls et surtout dans son plus grand rôle, Casque d’Or (1951), le chef-d’œuvre de Jacques Becker. Faisant un curieux couple avec Serge Reggiani, elle y était belle, simple et émouvante, dans son personnage de fille du peuple, amoureuse et heureuse de vivre. Malheureusement, ni Thérèse Raquin (1953) de Carné, ni Les Diaboliques (1954) de Clouzot, ni La Mort en ce Jardin (1956) de Buñuel n’eurent la même valeur. Avec un film anglais assez moyen de Jack Clayton, Les Chemins de la haute ville (Room at the Top, 1958), Simone Signoret obtint un Oscar. Puis elle vieillit et changea d’emploi, tirant un parti parfois un peu appuyé des changements physiques apportés par le passage des ans. Mariée à Yves Montand, elle le suivit dans ses prises de position politiques. On lui doit un livre de souvenirs : “La nostalgie n’est plus ce qu’elle était.”
THERESE RAQUIN de Marcel Carné (1953) avec Simone Signoret, Raf Vallone, Sylvie, Jacques Duby, Roland Lesaffre
CASQUE D’OR de Jacques Becker (1952), inspiré de l’histoire vraie d’Amélie Élie, surnommée « Casque d’or », avec Simone Signoret, Serge Reggiani, Claude Dauphin
DEDEE D’ANVERS d’Yves Allégret  (1948) avec Bernard Blier, Simone Signoret, Marcello Pagliero, Marcel Dalio
JEAN MARAIS (né en 1913 et décédé en 1998), grande révélation du cinéma de l’Occupation avec L’Éternel Retour (1943), fut pendant plusieurs années le jeune premier idéal du cinéma français. Son nom demeure étroitement lié à celui de Jean Cocteau, et c’est au cinéaste-poète qu’il doit le meilleur de sa carrière. Prince charmant et monstre émouvant dans La Belle et la Bête (1945), “ver de terre amoureux d’une étoile” dans Ruy Blas (1947), anarchiste épris de sa victime dans L’Aigle à deux têtes (1947), enfant gâté des Parents terribles (1948), poète maudit d’Orphée (1949), cette série de rôles incomparables lui valut une popularité comme il y en eut peu dans le cinéma français. Sa voix étrange et sa blondeur irrésistible en firent l’enfant chéri de plusieurs générations de spectatrices. Tout cela achevait d’irriter une critique qui le bouda longtemps et fut longue à lui reconnaître un talent qui pourtant était réel. D’autres cinéastes que Cocteau surent l’utiliser, de Christian-Jaque (Voyage sans espoir, 1943) à Jean Renoir (Elena et les hommes, 1956) en passant par René Clément (Le Château de verre, 1950) et Yves Allégret (Nez-de-cuir, 1951). Jean Marais se reconvertit ensuite avec bonheur dans le film de cape et d’épée, sous la direction d’André Hunnebelle : Le Bossu (1959), Le Capitan (1960), Le Miracle des loups (1961). Son dernier grand rôle fut dans Peau d’âne (1970) de Jacques Demy.
L’AIGLE A DEUX TETES de Jean Cocteau, adapté de sa pièce éponyme (1948) avec Edwige Feuillère, Jean Marais, Silvia Monfort, Jean Debucourt, Jacques Varennes
LE SECRET DE MAYERLING de Jean Delannoy (1949) avec Jean Marais, Dominique Blanchar, Jean Debucourt, Silvia Monfort, Jane Marken
LE SECRET DE MAYERLING est un film français consacré au drame de Mayerling, réalisé par Jean Delannoy et sorti en 1949 avec Jean Marais, Dominique Blanchar, Jean Debucourt, Silvia Monfort, Jane Marken
MARTINE CAROLE, née Maryse Mourer (1920-1967), fut pendant une dizaine d’années la star d’une période un peu creuse du cinéma français. Blonde, éclatante, un rien de vulgarité qu’excusait un côté bonne fille, elle parut dans de nombreux films, souvent médiocres, mais dont elle assurait le succès. Un succès qu’elle poursuivit pendant des années, entre ses débuts (1943) et sa consécration en 1950, par tous les moyens : un faux suicide, des idylles tapageuses, un grand sens de la publicité. En 1950, ce fut enfin Caroline chérie, assez platement réalisé par Richard Pottier, mais l’héroïne du best-seller de Cecil Saint-Laurent, au prénom prédestiné, semblait avoir été inventée pour elle. Son charme blond, appuyé par des dialogues impertinents d’Anouilh, fit merveille. Plus tard, mariée à Christian-Jaque, elle interpréta pour lui une série de films, bâtis à peu près sur le même principe : Lucrèce Borgia (1952), Madame du Barry (1954), Nana (1955). Ce furent ses plus grands succès commerciaux avec un niveau au-dessus, Les Belles de nuit (1952) de René Clair. Il est permis de juger plus intéressante son interprétation dans un film méconnu de Lattuada, La Pensionnaire (La Spiaggia, 1954). Enfin, elle restera toujours dans le souvenir des cinéphiles, grâce à un seul film, mais quel film ! Lola Montès (1955), le chef-d’œuvre sans égal de Max Ophuls, où, brune pour une fois, elle confirmait un vrai talent qui soutenait une photogénie éclatante. Ensuite, ce fut le déclin rapide, les épreuves, les trahisons de la mode, bref une fin de carrière désolante, dénouée par une mort tragique. On peut encore en extraire un dernier film : Austerlitz (1960) d’Abel Gance, où elle incarnait Joséphine de Beauharnais.
LE DESIR ET L’AMOUR  d’Henri Decoin (1951) avec Martine Carol, Antonio Vilar, Françoise Arnoul
CAROLINE CHERIE de Richard Pottier (1951), avec Martine Carol, adapté d’un roman de Cécil Saint-Laurent avec Martine Carol, Jacques Dacqmine, Marie Déa
LOLA MONTES  Max Ophüls (1955) avec Martine Carol, Peter Ustinov, Anton Walbrook
FRANÇOIS PÉRIER (né en 1919 et mort en 2002), grâce à un personnage charmant de jeune premier fantaisiste, connut une très grande popularité dans les années 40. Entrevu dans Hôtel du Nord (1938) puis révélé au théâtre, c’est sous l’Occupation qu’il devint vedette, avec Lettres d’amour (1942), petit chef-d’œuvre méconnu d’Autant-Lara, Le Camion blanc (1942) de Léo Joannon ou Bonsoir mesdames, bonsoir messieurs de Roland Tuai (1943). Il confirma les mêmes qualités d’esprit et d’intelligence dans Un Revenant (1946) de Christian-Jaque, Le Silence est d’or (1947) de René Clair ou dans Souvenirs perdus, de nouveau avec Christian-Jaque (sketch de Jeanson, 1950). Il étendit, avec un égal succès, son registre vers la gravité avec l’excellent film de Jean Faurez, La Vie en rose (1947) et avec Orphée (1949) de Cocteau, où il fut un étonnant Heurtebise. La suite de sa carrière fut plus décevante sauf Les Nuits de Cabiria (Le notti di Cabiria, 1956) de Fellini, et il se consacra surtout au théâtre où il continue de triompher.
ORPHEE est un film français réalisé par Jean Cocteau, sorti en 1950 avec Jean Marais, François Périer, Maria Casarès, Marie Déa
LE CAMION BLANC est un film français réalisé par Léo Joannon, sorti en 1943 avec Jules Berry, Blanchette Brunoy, François Périer
UN REVENANT – Christian-Jaque (1946) – Louis Jouvet, Jean Brochard, Gaby Morlay, Ludmila Tcherina, François Périer
SUZY DELAIR (née le 31 décembre 1916 à Paris) commença à la fois Comme figurante et Comme chanteuse de music-hall, débutant dans des établissements populaires parfois modestes. C’est dans un de ces lieux qu’il affectionnait que Clouzot la découvrit et prit sa carrière en main, en même temps qu’il allait partager sa vie une dizaine d’années environ. Il la fit débuter à la Continental en 1941, dans Le Dernier des six écrit par lui mais réalisé par Georges Lacombe, puis dans L’assassin habite au 21, qu’il réalisa lui-même en 1942. Dans l’un et l’autre, elle incarnait Mila-Malou, la petite amie volcanique de l’inspecteur Wens, joué par Pierre Fresnay. D’emblée, elle imposa ce personnage “d’une incroyable vulgarité”, qui prenait sous la direction de Clouzot un style assez “flamboyant” (Jacques Siclier). Toujours avec Clouzot, elle eut son plus grand rôle, dans Quai des Orfèvres (1947), celui de la chanteuse Jenny Lamour trépidante sur scène, et dans la vie adorant son “biquet” (B. Blier). Un rôle où elle avait mis beaucoup d’elle-même, de ses souvenirs de début et de sa vie avec Clouzot (on se souviendra de son numéro: “Avec son tralala” ). Elle fut aussi Lady Paname (1949) pour Henri Jeanson, dans sa seule mise en scène, un personnage assez voisin du précédent et la partenaire de Laurel et Hardy dans leur dernier film, Atoll K (1951). La même année elle faisait un duo irrésistible avec François Périer, dans le sketch de Jeanson réalisé par Christian-Jaque pour Souvenirs perdus. Dans le registre dramatique, son plus grand rôle fut celui de la fille cynique de Pattes blanches (1948), chef-d’œuvre encore trop ignoré de Grémillon. Par la suite, il faut encore mentionner Gervaise (René Clément, 1955) et Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli, Visconti, 1960). Simultanément, Suzy Delair poursuivait une brillante carrière au théâtre, lyrique particulièrement. Mais on doit regretter que le cinéma français n’ait pas su employer davantage ce tempérament dramatique exceptionnel, fait d’une authentique verve populaire.
QUAI DES ORFÈVRES – Henri-Georges Clouzot (1947) – Louis Jouvet, Suzy Delair, Bernard Blier, Simone Renant
PATTES BLANCHES de Jean Grémillon (1949), avec Suzy Delair, Fernand Ledoux, Paul Bernard, Arlette Thomas et Michel Bouquet
LADY PANAMA est un film français réalisé par Henri Jeanson, sorti en 1950 avec Louis Jouvet, Suzy Delair, Jane Marken
MICHELINE PRESLE est née Micheline Chassagne à Paris, en 1922. Elle connut ses premiers succès au début de la guerre et de l’Occupation avec Paradis perdu (1939) de Gance et La Comédie du bonheur (1940) de L’Herbier. Ce furent ensuite deux films du même, Histoire de rire (1941) et La Nuit fantastique (1942), suivis de deux créations importantes qui ne sortirent qu’après la Libération, Félicie Nanteuil (1942) de Marc Allégret et Falbalas (1944) de Jacques Becker. Jeune fille ou jeune femme, parfois hésitant entre les deux, tous ses personnages sont marqués de sa forte personnalité et d’un talent aussi heureux dans le registre comique que dans le dramatique. Ces qualités se confirmèrent dans le fameux Diable au corps (1946), d’Autant-Lara, ou dans L’Amour d’une femme (1953) de Grémillon. Les Américains la remarquèrent et elle fut engagée à Hollywood où elle ne fit pas grand-chose, sauf “le plus mauvais film de Fritz Lang” (Pierre Rissient). Par contre, elle fut excellente dans un fameux film anglais de Losey, L’Enquête de l’inspecteur Morgan (Chance Meeting, 1959). Longtemps fiancée à Louis Jourdan, elle fut aussi mariée avec Bill Marshall, ex-mari de Michèle Morgan.
BOULE DE SUIF de Christian-Jaque (1945) avec Micheline Presle, Louis Salou et Berthe Bovy
LE DIABLE AU CORPS – Claude Autant-Lara (1947) avec Gérard Philipe, Micheline Presle, Denise Grey, Jean Debucourt
LA BELLE DE PARIS (Under My Skin) Jean Negulesco (1950) avec John Garfield et Micheline Presle
BERNARD BLIER (né en 1916 et décédé en 1989) a imposé sa rondeur joviale dans d’innombrables films. Élève de la classe de Louis Jouvet au Conservatoire, il débute au théâtre et décroche quelques petits rôles au cinéma à la veille de la guerre (Hôtel du Nord, Le Jour se lève). Il atteint le vedettariat pendant l’Occupation, dans plusieurs films où il impose une drôle de silhouette de jeune premier maigre (à cause des restrictions) et au front dégarni. On le découvre ainsi dans L’Assassinat du Père Noël (1941) et La Symphonie fantastique (1941) de Christian-Jaque, dans La Nuit fantastique (1941) de L’Herbier, dans Marie Martine (1942) d’Albert Valentin et dans Les Petites du quai aux Fleurs (1943) de Marc Allégret. Après la guerre, sa silhouette s’épaissira progressivement de film en film, ce qui ne l’empêche pas de garder la vedette jusqu’aux abords de la quarantaine, dans des œuvres aussi diverses que Orfèvres (Clouzot, 1947), L’Ecole buissonnière (Le Chanois, 1948), Sans laisser d’adresse (Le Chanois, 1950) ou Le Dossier noir (Cayatte, 1955). L’âge venu, Bernard Blier deviendra un remarquable acteur de composition, dans les registres les plus variés, passant du drame à la comédie avec le même succès, et ses rôles ne se comptent plus. Il excelle dans la méchanceté où son apparente bonhomie lui permet de saisissantes créations. Il a été plusieurs fois dirigé par son fils, le réalisateur Bertrand Blier Buffet froid 1980.
HÔTEL DU NORD – Marcel Carné (1938) – Louis Jouvet, Annabella, Arletty, Jean-Pierre Aumont, Bernard Blier
LE SEPTIEME JURE de Georges Lautner (1962) d’après le roman de Francis Didelot avec Bernard Blier, Danièle Delorme
QUAI DES ORFÈVRES – Henri-Georges Clouzot (1947) – Louis Jouvet, Suzy Delair, Bernard Blier, Simone Renant
DANIÈLE DELORME (Danièle Girard) a débuté à seize ans, dans de petits rôles que lui confiait Marc Allégret dans ses films. Elle se fit remarquer dès Les Petites du quai aux Fleurs, (1943), aux côtés d’un autre débutant Gérard Philipe. Après quelques silhouettes encore épisodiques dans divers films, elle fit ses débuts de grande vedette grâce à Colette, qui la choisit pour incarner Gigi (1949) dans la version de Jacqueline Audry. Encadrée de deux fameux monstres sacrés, Gaby Morlay et Yvonne de Bray, elle était parfaitement à l’aise, et ce fut la gloire immédiate. Son physique et sa voix de ravissante ingénue, un peu acide, firent merveille dans toute une série de films de valeur malheureusement inégale. A part Miquette et sa mère (1949), seule tentative comique de Clouzot, les meilleurs furent encore ceux de la série de J. Audry-Colette : Minne, l’ingénue libertine (1950) et Mitsou (1956), On peut aussi y ajouter Sans laisser d’adresse (Le Chanois, 1950), La Jeune Folle (Y. Allégret, 1952) et Voici le temps des assassins (Duvivier, 1955). D’abord mariée à Daniel Gélin, elle épousa ensuite le réalisateur-producteur comédien Yves Robert, dont elle partage les activités. Productrice avisée, on ne compte plus ses succès. De temps à autre on la retrouve dans un film, toujours étonnamment juvénile, notamment dans les œuvres de son mari (Un Eléphant ça trompe énormément, 1976).
MIQUETTE ET SA MERE d’Henri-Georges Clouzot (1950) – Bourvil et Danièle Delorme
VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Julien Duvivier (1956) avec Jean Gabin, Danièle Delorme, Gérard Blain, Lucienne Bogaert, Germaine Kerjean
GIGI de Jacqueline Audry (1949), adaptation du roman éponyme de Colette, Gigi avec Danièle Delorme, Gaby Morlay, Jean Tissier, Franck Villard
DANIEL GÉLIN (né en 1921 et décédé en 2002) a mis près de dix ans avant de devenir un des jeunes premiers les plus aimés du public des années 50. Quasi-figurant à la veille de la guerre, il obtient quelques bouts de rôle, souvent minuscules, pendant l’Occupation. On l’entrevoit ainsi dans Premier Rendez-vous (1941) de Decoin ou dans Lucrèce (1942) de Léo Joannon. Après 1945, ses rôles s’étoffent dans des films secondaires comme Martin Roumagnac (1946) de Lacombe ou Le Mannequin assassiné (1947) de Pierre de Hérain. En 1949, Jacques Becker en fait une vedette, en lui confiant le rôle principal de Rendez-vous de juillet, son grand film sur la jeunesse d’après-guerre. Son succès personnel est très grand, et le pose en rival de Gérard Philipe alors en pleine gloire. Leur confrontation dans La Ronde (1950) d’Ophuls, semble même tourner à son avantage. Plusieurs bons films vont achever de consacrer Daniel Gélin qui, dans la vie, forme avec Danièle Delorme le nouveau couple-vedette du cinéma français. Ce sont d’abord deux délicieuses comédies de Jacques Becker, son metteur en scène fétiche : Édouard et Caroline (1950) et Rue de l’Estrapade (1952). Ce sont aussi le grand succès de Delannoy, Dieu a besoin des hommes (1950), le troisième sketch (Le Modèle) du Plaisir d’Ophuls (1951) et Napoléon de Guitry (1954), dans lequel il incarne Bonaparte jeune. Comme réalisateur, Daniel Gélin a dirigé Les Dents longues (1952), avec Danièle Delorme et lui-même en vedettes, film qui n’était pas sans qualités.
RENDEZ-VOUS DE JUILLET Jacques Becker (1949) avec Daniel Gélin, Nicole Courcel, Brigitte Auber, Maurice Ronet
RETOUR DE MANIVELLE de Denys de La Patellière (1957), adapté du roman éponyme de James Hadley Chase avec Michèle Morgan, Daniel Gélin, Bernard Blier, Peter van Eyck
LA RONDE de Max Ophüls (1950), le scénario du film est tiré de La Ronde, une pièce de théâtre de l’écrivain autrichien Arthur Schnitzler avec Jean-Louis Barrault, Danielle Darrieux, Daniel Gélin, Fernand Gravey, Odette Joyeux, Gérard Philipe, Simone Signoret, Simone Simon
DANY ROBIN (née en 1927) commença par décrocher un premier prix du Conservatoire de danse et se produisit à l’Opéra. Puis elle étudia la comédie et décrocha également un premier prix de Conservatoire. Marc Allégret la fit débuter dans un petit rôle de Lunegarde (1944), puis on la remarqua dans Les Portes de la nuit (1946) de Carné et dans une scène du Silence est d’or de Clair (1946). Le public apprécia rapidement son jeu aigu et son physique de blonde ingénue souriante. Elle forma longtemps un couple idéal avec Georges Marchal, beau jeune premier à la mode, et tourna de nombreux films, où malheureusement les chefs-d’œuvre sont rares. De son abondante filmographie, il faut retenir : Les Amoureux sont seuls au monde (Decoin, 1947), La Soif des hommes (S. de Poligny, 1949) en compagnie de Georges Marchal et de la pathétique Andrée Clément, Deux Sous de violettes (1951), un film réalisé par Jean Anouilh, trop oublié des historiens, La Fête à Henriette (Duvivier, 1952), Julietta (1953), jolie réussite de Marc Allégret d’après Louise de Vilmorin, Frou-Frou (Genina, 1954). Dans Napoléon (1954) de Guitry, elle était Désirée Clary, la fiancée abandonnée de Bonaparte. Plus tard elle fut la partenaire de Peter Sellers, dans un film anglais tiré d’une pièce d’Anouilh, Les Femmes du général (The Waltz of the Toreadors, 1962). Elle fut aussi une des rares Françaises à avoir l’honneur d’être dirigée par le grand Hitchcock dans L’Etau (Topaz, 1969).
LA FETE A HENRIETTE de Julien Duvivier (1952) avec Dany Robin, Michel Auclair, Michel Roux, Henri Crémieux, Louis Seigner
LES AMOUREUX SONT SEULS AU MONCE d’ Henri Decoin (1948) avec Louis Jouvet, Dany Robin, Renée Devillers
JULIETTA de  Marc Allégret (1953) avec Jean Marais, Dany Robin, Jeanne Moreau, Denise Grey
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VISAGES FAMILIERS DU CINÉMA FRANÇAIS (partie 1)
  Ce n'est pas le moindre des paradoxes de l'Occupation à de nombreux jeunes acteurs de se révéler au public. La plupart rapidement au vedettariat au cours des années 50, mais si on excepte quelques chefs-d’œuvre fulgurants, Ils seront souvent mal employés. Ce n'est pas le moindre des paradoxes de l'Occupation à de nombreux jeunes acteurs de se révéler au public.
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perfettamentechic · 2 years
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20 luglio … ricordiamo …
20 luglio … ricordiamo … #semprevivineiricordi #nomidaricordare #personaggiimportanti #perfettamentechic
2021: Françoise Arnoul, nata Françoise Annette Marie Mathilde Gautsch, attrice francese, che divenne popolare, per la sua avvenenza, nel corso degli anni cinquanta del XX secolo. Figlia dell’attrice di teatro Janine Henry. Dopo aver studiato recitazione, venne contattata dal regista Willy Rozier, che le offrì un ruolo da protagonista nel film L’Épave (1949). Da quel momento interpretò, nel ruolo…
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perfettamentechic · 3 years
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20 luglio … ricordiamo …
20 luglio … ricordiamo … #semprevivineiricordi #nomidaricordare #personaggiimportanti #perfettamentechic #felicementechic #lynda
2019: Ilaria Occhini, è stata un’attrice e imprenditrice italiana. (n. 1934) 2017: Claude Rich, attore francese. Iniziò la sua carriera come attore teatrale. Nel 1959 sposò l’attrice Catherine Renaudin. La coppia ebbe due figli, l’attrice Delphine Rich e Nathalie Rich, quest’ultima divenuta fotografa e pittrice. Nel 1993 vinse il Premio César per il migliore attore con il film A cena col…
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perfettamentechic · 5 years
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20 luglio … ricordiamo …
20 luglio … ricordiamo … #semprevivineiricordi #nomidaricordare #personaggiimportanti #perfettamentechic #felicementechic #lynda
2015: Elio Fiorucci, stilista italiano. Inizia da giovane, seguendo l’attività paterna, ad occuparsi di moda, prima collaborando con il padre e poi creando una sua attività dedicata alle mode provenienti dal mondo anglosassone alla fine degli anni sessanta. Il 31 maggio 1967 apre il primo negozio in Galleria Passarella a Milano. Già nel 1970 inizia la produzione di abiti per il tempo libero,…
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laurent-bigot · 5 years
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Rompant avec la vogue des femmes fatales, la comédienne se fait une place à part dans le cinéma des années trente. Au fil des ans, sa simplicité séduira des cinéastes aussi différents que Jean Renoir, Jacques Becker, André Cayatte ou Yves Robert.
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Blanchette Brunoy et Fernandel dans COIFFEUR POUR DAMES de Jean Boyer (1952)
Blanchette Bilhaud naît à Paris le 5 octobre 1918. Son père, médecin, s’installe bientôt en province, mais l’enfant reste proche de sa famille parisienne, notamment de son parrain, le célèbre écrivain Georges Duhamel. Adolescente, Blanchette rêve de devenir comédienne. Sur les conseils de l’acteur Léon Bernard, elle tente le concours d’entrée au Conservatoire d’art dramatique, qu’elle réussit. Dès 1935, elle débute sur les planches du Théâtre de l’Œuvre dans Nationale 6, avant de faire ses premiers pas devant la caméra pour le film La Peau d’un autre (René Pujol, 1937). Mais c’est l’année 1937 qui s’avère déterminante pour celle que l’on appelle désormais Blanchette Brunoy. Elle commence en effet par donner la réplique à Danielle Darrieux  Un Mauvais garçon, puis à (Jean Boyer, 1936) Raimu dans La Chaste Suzanne (André Berthomieu,1937). Et trouve la consécration en incarnant l’intrépide héroïne de Colette dans Claudine à l’école (1937), adaptation signée par Serge de Poligny. Cette intense activité cinématographique ne l’empêchant pas de jouer au théâtre la nouvelle pièce de Jean Cocteau Les Chevaliers de la Table Ronde…
Blanchette Brunoy et Guy Favières dans GOUPI-MAINS ROUGE de Jacques Becker (1943)
CLAUDINE A L’ECOLE – Serge de Poligny (1937), d’après le roman de Colette paru en 1900 – Blanchette Brunoy, Pierre Brasseur, Jeanne Fusier-Gir, Suzet Maïs
Blanchette Brunoy et Michel Simon dans AU BONHEUR DES DAMES d’André Cayatte (1943)
Jeune première
Le visage plein de douceur de Blanchette Brunoy vaut de jouer souvent les rôles d’ingénues, ou de femmes capables de se sacrifier par amour. C’est ainsi que Jean Renoir lui offre en 1938 le rôle de Flore dans La Bête humaine, où son personnage contraste fortement avec celui de la sensuelle Simone Simon. Dans le même registre, l’actrice apparaît dans Le Voleur de femmes, d’Abel Gance, avant de participer à l’un des grands succès de l’année 1940, La Famille Duraton, film adapté d’un programme radiophonique très populaire. En 1943, deux grands cinéastes font appel à elle : Jacques Becker la choisit pour incarner “Goupi-Muguet” dans sa fameuse satire paysanne Goupi-mains rouges, puis c’est André Cayatte qui lui confie le rôle de la belle Denise dans son adaptation du roman de Zola, Au bonheur des dames. L’année suivante, Blanchette Brunoy partage également avec Pierre Fresnay l’affiche du Voyageur sans bagages, un film réalisé par le dramaturge Jean Anouilh, et qui figure aujourd’hui parmi les classiques de la période.
Jean Gabin et Blanchette Brunoy dans LA BÊTE HUMAINE de Jean Renoir (1938)
Jean Gabin et Blanchette Brunoy dans LE BARON DE L’ECLUSE de Jean Delannoy (1960)
LA MARIE DU PORT – Marcel Carné (1950) avec Jean Gabin, Nicole Courcel, Blanchette Brunoy, Julien Carette
Avec Gabin
En 1949, la comédienne obtient le principal rôle féminin d’un film très attendu : L’Homme aux mains d’argile, fiction retraçant de manière romanesque la vie du champion de boxe Marcel Cerdan, qui y joue son propre rôle. Dans La Marie du port, Marcel Carné lui permet ensuite de casser son image si respectable en incarnant la maîtresse de Gabin – partenaire qu’elle retrouve après La Bête humaine, et à qui elle donnera à nouveau la réplique dix ans plus tard dans Le Baron de l’écluse. À compter des années 50, Blanchette Brunoy va se consacrer davantage au théâtre qu’au cinéma, où elle participe désormais à des films moins marquants – à l’exception de Bébert et l’omnibus, d’Yves Robert. Mais la télévision la sollicite bientôt : elle y apparaît régulièrement dès les années 60, que ce soit dans des adaptations théâtrales, des téléfilms ou des séries (elle sera notamment la Madeleine des premiers épisodes de Julie Lescaut). En 1985, Blanchette Brunoy revient au cinéma après plus de trente ans d’absence dans L’Amour en douce, d’Edouard Molinaro. Elle tiendra son tout dernier rôle face à Marie Trintignant dans Comme elle respire, avant de s’éteindre discrètement à Manosque en avril 2005. [Stéphane Brisset – Collection Gabin] 
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ELLES ETAIENT DOUZE FEMMES de Georges Lacombe (1940) – Blanchette Brunoy, Micheline Presle, Gaby Morlay
Témoignage
Comment êtes-vous devenue comédienne ? J’ai été élevée dans une famille où il y avait de nombreux enfants, et nos parents pour occuper les jeunes que nous étions, nous incitaient à jouer la comédie. Notre théâtre amateur avait pour public des gens importants dont Léon Bernard, Sociétaire de la Comédie-Française et professeur au Conservatoire… Et c’est au cours de cette adolescence heureuse que m’est venue le goût de ce métier ! Ma marraine, Blanche Duhamel (mon prénom me vient d’elle), avait joué chez Charles Dullin, Louis Jouvet, Jacques Copeau… J’étais donc, si vous voulez, déjà introduite dans ce milieu du spectacle. Je me suis présentée au Conservatoire dans un passage de « L’école des femmes » et j’ai été reçue.
L’ambiance du Conservatoire était-elle identique à celle du film Entrée des artistes ? Il régnait là-bas un climat extraordinaire, assez similaire en effet à celui du film. Ce mélange de danse, de musique et de comédie vous prenait de partout, impression semblable à ce que vous pouvez ressentir lorsque vous pénétrez dans une église… J’y suis restée deux ans. Au terme de cette période, un de mes camarades m’a conseillé de me présenter au Théâtre de l’Œuvre : « les directeurs, d’après lui, cherchaient une jeune fille correspondant à mon physique ». La pièce était de Jean-Jacques Bernard (une famille prestigieuse puisqu’il était le fils de Tristan, le dramaturge, et le frère de Raymond, le metteur en scène). Il s’agissait du rôle principal ; ma spontanéité a dû leur plaire et j’ai été immédiatement engagée.
Quelles ont été vos réactions suite à ce départ prometteur ? La critique a été enthousiaste et tous les journaux ont parlé de moi comme d’une véritable révélation. Mon étonnement était d’autant plus grand que je pensais n’avait fait preuve d’aucun don particulier. Un soir, une dame juive allemande est venue me voir dans ma loge. Installée depuis peu à Paris, elle s’occupait d’artistes (elle avait favorisé, en particulier, la carrière de Marlène Dietrich). Nous avons parlé un moment ; elle est partie sur ces mots : « Vous devez faire du cinéma, vous êtes merveilleuse ». Trois jours plus tard, elle revenait avec un contrat pour Berlin (La peau d’un autre) et un autre pour Londres (La chaste Suzanne). C’est toujours grâce à elle si ensuite, j’ai pu incarner l’héroïne de Colette dans Claudine à l’école.
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Blanchette Brunoy
Vous avez apporté au cinéma de l’époque une fraîcheur bien vite recherchée des cinéastes… Les critiques trouvaient que je parlais avec naturel et ont loué cet aspect anti_conventionnel qui émanait, semble-t-il, de ma personne. De ma part, ce n’était pourtant nullement recherché et de toute façon mes rôles se prêtaient directement à ce jeu. Les jeunes premières, ou plus exactement les ingénues, s’exprimaient alors avec de petites voix piaillardes qui, à chaque nouvelle séance de cinéma, m’agaçaient davantage. Les metteurs en scène se sont demandés pourquoi je prenais une voix aux intonations graves ; ils n’avaient pas compris que je le faisais exprès.
Vous incarnez la plupart du temps l’héroïne douce et sentimentale. Auriez-vous aimé jouer des rôles plus durs ? Cette image est restée longtemps ancrée dans l’esprit du public. Pourtant, je ne “veux” pas spécialement interpréter un personnage, je choisis parmi ce que l’on me propose, voilà tout ! Si demain, un réalisateur vient me voir accompagné d’un scénario amusant, pourquoi pas ? Toutefois, n’oublions pas que mon physique correspondait à un certain reflet que le public appréciait. Mais en effet, j’ai représenté le même type de jeune femme – à quelques variantes près – pendant des années. Peu de comédiens échappent à cette classification. Certains ont d’ailleurs brisé leur carrière à vouloir en sortir.
Dans La Chaste Suzanne vous donniez la réplique à Raimu… Plusieurs amis m’avaient mise en garde, car la rumeur voulait qu’il ait mauvais caractère. Dans ce film, j’étais sa fille et la première scène importante était justement un repas de famille. Le trac que je pouvais manifester à son contact a vite disparu et nous sommes devenus “les meilleurs amis du monde”. Dès le premier soir, il m’a même invité à dîner – et ainsi tous les soirs. L’explication de cette “affection”, pour le moins inattendue, était très simple. Nous tournions à Londres (il s’agissait d’une double version) et comme il avait dû quitter sa fille, qu’il adorait par-dessus tout, il avait l’air bien triste de se retrouver chaque soir sans elle, dans cette ville inconnue… Sa prononciation anglaise était épouvantable ! Elle déclenchait inévitablement la bonne humeur de toute l’équipe. Quant à Henri Garat et Meg Lemonnier, ils m’ont été aussi d’un grand secours.
N’étiez-vous pas intimidée par ces trois grandes vedettes ? La plupart de tous ces grands acteurs étaient très simples. Ainsi Garat et Meg Lemonnier m’ont-ils aidée avec beaucoup de gentillesse dans une scène où je devais chanter… Mon inexpérience en ce domaine m’occasionnait une peur panique qu’ils ont comprise. Tous deux, hors champ – un de chaque côté – battaient la mesure pour m’entraîner. Cet élan de solidarité m’avait touchée. [Le cinéma des années 40, par ceux qui l’ont fait (Tome 4, Le Cinéma de l’Occupation : 1940-1944) – Christian Gilles – Ed. L’Harmattan (2000)]
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LE CAFE DU CADRAN – Henri Decoin (1947) – Bernard Blier, Blanchette Brunoy, Félix Oudart Le Café du cadran rouvre avec un nouveau propriétaire, M. Jules (Bernard Blier). Sa ravissante femme, Mme Louise (Blanchette Brunoy), tient la caisse. Situé à côté d’un journal et d’un luxueux restaurant, le café a une clientèle d’habitués : des journalistes qui s’inquiètent de Ia vente de leur journal, Mlle Jeanne (Nane Germon), l’éternelle soupirante de l’un d’entre eux, qui la traite avec désinvolture, le chasseur du Café de Paris (Olivier Darrieux), et M. Luigi (Aimé Clariond), premier violoniste audit Café, qui entreprend de séduire Mme Louise. Quelques mois plus tard, Mme Louise est devenue une vraie Parisienne qui dépense sans compter. Son mari est obligé d’accepter des paris clandestins dans son établissement. M. Luigi vient nuitamment jouer pour Mme Louise, et l’invite à dîner. La police arrête le bookmaker de M. Jules. Se croyant cocu, celui-ci tue sa femme. Le Café du cadran rouvre avec de nouveaux propriétaires… Voir la publication sur le film…
LA BÊTE HUMAINE – Jean Renoir (1938) avec Jean Gabin, Simone Simon, Fernand Ledoux, Julien Carette Deux ans après leur première collaboration pour Les Bas-fonds, Gabin et Renoir se retrouvent pour porter à l’écran le roman d’Émile Zola. À la fois drame social et romance tragique, La Bête humaine s’avérera l’un des chefs-d’œuvre de l’immédiat avant-guerre. Lire la suite…
LA MARIE DU PORT – Marcel Carné (1950) avec Jean Gabin, Nicole Courcel, Blanchette Brunoy, Julien Carette Tourné en 1949, La Marie du port marque un regain de collaboration entre Jean Gabin et Marcel Carné après que Gabin eut refusé, deux ans plus tôt, Les Portes de la nuit. Effacés donc les motifs de fâcherie ; Jean retrouve l’auteur de Quai des brumes et du Jour se lève, l’un des cinéastes qui l’a aidé à atteindre les sommets de la gloire. Mais Gabin, revenu d’Amérique à la sortie de la guerre, n’a pas encore, en ce début de décennie, retrouvé son statut inégalable d’avant l’Occupation. Lire la suite…
  Avec Claudine à l'école, réalisé en 1937 par Serge de Poligny, Blanchette Brunoy devient rapidement l'une des jeunes premières les plus remarquées de l'écran. Un charmant sourire et un jeu naturel comme le sien n'ont-ils pas symbolisé la saine jeunesse de l'époque ? Après La Bête humaine (1938, Jean Renoir) elle se montre remarquable dans des films comme L'empreinte du Dieu (1940, Léonide Moguy), Goupi Mains Rouges (1943, Jacques Becker) aux côtés de Fernand Ledoux et de Robert Le Vigan, ou Le Café du cadran (1947, Jean Gehret, Henri Decoin). Rompant avec la vogue des femmes fatales, la comédienne se fait une place à part dans le cinéma des années trente.
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laurent-bigot · 4 years
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LA FÊTE À HENRIETTE - Julien Duvivier (1952)
Le film qu’il faudrait montrer à tous les scénaristes en herbe : comment travailler à deux quand tout vous oppose ? Louis Seigner joue le scénariste cartésien, Henri Crémieux, le romanesque. On visualise l’histoire qu’ils inventent au fur et à mesure...
Le film qu’il faudrait montrer à tous les scénaristes en herbe : comment travailler à deux quand tout vous oppose ? Louis Seigner joue le scénariste cartésien, Henri Crémieux, le romanesque. On visualise l’histoire qu’ils inventent au fur et à mesure, en s’engueulant copieusement, en tirant leur récit à hue et à dia. Et selon que l’un ou l’autre est aux commandes, les mésaventures d’Henriette un…
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