saga: SOUMISSION / DOMINATION 127
Coup de fil du garage Mercedes d'Emma, je dois leur apporter le Z8.
Je leur laisse un matin et part avec le SLK qu'ils me prêtent trainer en ville.
De retour quelques heures après, le jeune commercial me tend mes clefs. Je ne fais pas attention et sort sur le parking reprendre ma voiture.
Comme je ne le trouve pas, je rentre à la concession pour demander où elle est.
Le jeune mec me dit de regarder mes clefs. Je m'aperçois que se ne sont pas les miennes et lui en fait la remarque. Il me dit que c'est ma nouvelle voiture.
Je sors avec lui et il m'amène à une SLS AMG gris mat toute neuve. La portière aile de mouette s'ouvre, il prend les papiers dans la boite à gants et me montre la carte grise à mon nom. Une lettre y est accolée. Il me laisse et je l'ouvre. Un mot d'Emma avec un proscriptum de son ami (celui de Kev) dans lequel ils me remercient de mes services et m'offrent ce véhicule, sachant le plaisir que j'ai des voitures d'exceptions.
Dans l'emplacement prévu un I-phone de dernière génération.
;Avant de démarrer, je revois le commercial pour les explications minimum sur les spécificités de cette voiture. Une fois les infos fournies et avec les félicitations du jeune mec, je démarre. Quelle musique ! Je fais chauffer le moteur doucement avant de rouler.
Direction la maison d'Emma. Au porte-clefs, le bip du portail a été remis.
Dans sa cour je saute hors de la voiture et sous le nez de son chauffeur, je déboule dans le salon d'Emma et ne voyant qu'elle je la prends dans mes bras pour lui rouler le patin du siècle.
Quand elle arrive à me repousser, je m'aperçois qu'elle n'était pas seule. Son ami et Kev étaient dans un des canapés.
Calmé, je les salue et remercie les deux complices pour leurs cadeaux. Kev pas au courant m'interroge. Je lui dis d'aller à la fenêtre et là, il comprend.
Je les traite de fous pour la voiture et le téléphone. J'ai l'impression qu'Emma attend autre chose. Elle me demande si j'ai trouvé l'écrin. Quel écrin ??
Je file à la voiture et le trouve, dedans un pendentif en rubis. Quand je les rejoins, elle me dit que c'est pour changer avec le diamant de mon oreille. Moi qui comptait faire modifier les bijoux de feue ma mère pour cela, j'aurais un caillou différent pour chaque jour de la semaine !
Kev me regarde changer la pierre de mon oreille. Je tourne sur moi pour le faire admirer. Emma et le boss de Kev rient de ma spontanéité.
Ils se barrent et je peux enfin lui exprimer ma reconnaissance. Je la porte jusque dans sa chambre. D'un coup de pied je ferme la porte et la jette sur le lit avant de lui sauter dessus. Je suis bestial ! Arrachage du chemisier et de la jupe, idem pour la petite culotte.
Nue, j'attaque à la langue ses seins jusqu'à ce que ses tétons soient raides. Puis je descends à sa chatte m'occuper de son clitoris. Elle est brûlante, faut dire que depuis trois semaines c'était ceinture. Elle me pardonne car elle sait pour mes parents. Du coup elle grimpe à toute vitesse et je lui arrache rapidement une première jouissance. Elle glisse sous moi et m'embouche le sexe. Trop chaude sa bouche ! Je ne peux m'empêcher de bouger le bassin pour la lui limer.
Elle me chauffe trop. Je la remonte et me kpote pour m'enfoncer dans sa chatte. Nous soupirons de plaisir ensemble à la fin de ma pénétration. Je lui laboure le sexe un bon moment avant de passer à la porte arrière. Changement d'angle et je l'encule. Son anus s'ouvre sous ma poussée et j'envahi le vestibule arrière. C'est trop bon ça aussi. Un cul c'est quand même plus serré, plus nerveux qu'un vagin même bien musclé comme celui d'Emma.
Nous baisons comme des malades. Elle chauffe, me chauffe et je finis par jouir. Comme j'avais des doigts dans sa chatte, je sens son vagin serrer et elle crie que c'est bon.
Nous nous décollons et je dékpote avant de la prendre dans mes bras et m'endormir comme un rustre. Je me réveille. Elle est toujours dans mes bras et j'ai dormi 1/2 heure. Je lui présente mes excuses, ce n'est pas trop mon habitude d'être aussi mal élevé.
Elle me dit que niveau émotion, j'avais mon compte en ce moment et me dit qu'elle me parlera d'un projet me concernant plus tard. Je la cuisine mais rien ! J'ai beau la chatouiller, l'exciter, la lécher partout, je n'arrive qu'à obtenir un nouvel orgasme mais rien d'autre. Ce coup ci j'accompagne sa reprise de contact avec la réalité. Je continue les caresses, tétant un sein tout en maintenant deux doigts dans son vagin. Du coup je relance la machine ! Et j'obtiens un nouvel orgasme dans la foulée.
Elle me chasse de sa maison.
Retour en SLS. Quelle voiture, l'automatisme des vitesses est phénoménal et ultra rapide. Je prends un plaisir fou à la conduire. J'ai bien du mal à respecter les limitations de vitesse et prend l'autoroute uniquement pour pouvoir monter les 3 premières vitesses en quelques secondes. Il va falloir que je trouve un circuit pas trop loin pour pouvoir me faire plaisir, sinon de sera de fréquents voyage en Allemagne (il parait que coté sexe nos voisins sont assez hard, ce serait l'occasion de le vérifier !).
Quand je rentre Jimmy m'attendait. Il me dit que nous avons sommes en retard pour son rendez vous d'une bonne heure. Quand il voit ma nouvelle voiture il comprend.
J'appelle le client et nous excuse en lui demandant s'il est encore libre maintenant, je ferai un geste commercial pour le retard.
Il accepte et Jimmy saute dans la voiture. 20mn plus tard il est à pied d'oeuvre.
Il fait le job comme un pro. Pipage du boa qui sert de bite à ce mec, présentation d'un cul parfaitement préparé, plug en place. Après son arrachage (le plug), il s'assoit sur le client et prend sa bite entière du premier coup. C'est devenu sa spécialité et il est apprécié pour cela. Tout comme Ed est apprécié lui pour sa " fraîcheur " (vu qu'il se reprend en plusieurs fois pour le même résultat). Après que Jimmy ait " essoré " le client, et alors qu'il se douche, je propose un 1/2 tarif. Mon client souri et me dit que le service étant par ailleurs parfait, il passe l'éponge. A la fenêtre je lui montre la raison et lui dit que c'était sa livraison qui m'a retardé.
Il comprend alors tout à fait et ajoute un gros billet en me disant " pour l'entretien ".
De nouveau je me confonds en remerciement et nous regagnons la maison.
Marc est arrivé entre temps. Après avoir laissé Jimmy à l'appart, j'avance ma voiture au pied des marches d'entrée et klaxonne. Marc sort et m'aperçoit. Pas de réactions particulières. Il me demande si la journée s'est bien passée et m'engage à ranger ce bolide dans le garage.
;J'entre dans la maison. Il m'attend au salon apéro en main. Comme il ne me questionne pas, je ne peux m'empêcher de lui expliquer. Il écoute, me félicite et me dit que le diner sera prêt dans 5 mn.
Ce ne sera que dans notre lit que je retrouverais mon vrai Marc, dominateur, exigent, celui qui me fait kiffer plus que tous les autres réunis ensemble.
Il bande, je descends le prendre en bouche. Il me bloque la tête et me défonce la gorge à moi de me débrouiller pour respirer quand je peux. Il jute une première fois maintenant sa queue au fond et j'avale miam quel dessert !
Comme il ne débande pas, je lui présente mon cul. Il crache dessus et le perfore de ses 22cm. En levrette, ses mains sur mes hanches pour maitriser mes sursauts, il m'encule grave.
Des deux mains, j'écarte mes fesses pour en prendre un maximum. Il me traite de salope, de pute sans cesser pour autant de me limer l'oignon.
Il me retourne pour que je lui fasse face. Sur le dos, je relève mes jambes sur ses épaules et il me saute écrasant mes couilles de ses abdos. Je ne dis rien, quand il est comme cela, faut pas en rajouter !
Je tends juste un bras pour amener sa tête contre la mienne et lui rouler un patin. Quelques minutes de roulage de pelle le calme et s'il continu à me labourer les entrailles c'est avec plus de délicatesse.
Finalement j'aimais autant quand il était plus brutal ! Je serre mon anus à le bloquer à mi pénétration. Il ne s'y attendait pas. Comme je ne le laissai pas recommencer ses va et vient, il finit par me taper dessus (pas trop violemment mais je sens bien ses jointures sous mes cotes). Ça l'a remis furieux et il m'encule de nouveau plus hard.
Il sort brusquement de moi, se lève et m'ordonne de le suivre. Bien chef ! Il m'entraine jusqu'au donjon. Là il m'ordonne de m'assoir sur la selle à gode. Cette dernière ayant servi à Ric dernièrement, elle est encore équipé de notre plus gros gode, le 28 x 7 !!
Graisse sur la rondelle et les pieds dans les étriers, je descends doucement dessus. Les trois quarts, Ok vu les passages répétés de la bite de Marc précédemment. Le reste est toujours plus délicat Marc derrière moi appui sur mes épaules et je m'assois toujours plus, jusqu'à sentir le cuir de la selle sur mes fesses. Il me demande si comme cela c'est meilleur ? Si je n'ai pas besoin de plus gros que lui pour jouir ?
Je n'ai pas le droit de bouger. Mon cul se fait aux 7cm de diamètre et je n'ai bientôt plus mal. Il me fait alors me relever et me dit de me mettre sur le tatami les épaules au sol et le cul relevé. Il attend un moment que mon anus se referme. Dans ma tête je cherche quelle va être l'étape suivante. Je suis encore à chercher que je me prends une fessée magistrale suivie d'une autre sur l'autre fesse. Je suis surpris nous n'avions jamais encore expérimenté ce genre de plan. Je serre les dents et encaisse. A la fin, quelques cris m'échappent quand même !
Je me rends compte que la nouvelle voiture et accessoires, lui reste en travers de la gorge ! Pourtant il sait bien qu'il est mon seul et unique mec !!
Je le laisse se défouler. Je sens quand même mes fesses rougir et me chauffer. Soudain il s'arrête. Je l'entends s'éloigner mais ne bouge pas sans ordre. Il revient vers moi, étale sur mes fesses de la graisse à gode ça soulage. Je n'ai pas le temps d'en profiter qu'il m'enfile un gode taille moyenne. Il rentre tout seul malgré que mon anus se soit refermé. Il me le cale, fausses couilles contre les miennes. D'après mon expérience ce doit être la bête de 24 x 5.
Quand je vois ses pieds de chaque coté de moi, je sais ce qui m'attend, double sodo !
Il place son gland contre la fausse bite en plastique et pousse. De mon coté aussi je pousse. Son gland s'aplatit et entre. Je souffle car même avec le souvenir des 28x7, je dois me dilater plus encore. J'écarte mes fesses des deux mains pour faciliter la pénétration ce qui me vaut de me faire traiter de nouveau de salope, trou à bite et pute !
Il me jette un flacon de poppers. Je sniff comme si c'était de l'oxygène. Merci ! La tête me chauffe maintenant autant que mes fesses et je me dilate juste ce qu'il faut pour qu'il m'encule totalement. Il me ravage le cul, répétant que ce dernier lui appartient, qu'il en fait ce qu'il veut, qu'il va me mettre à l'abattage puisque je n'aspirais qu'à être une pute. Et me dit qu'il fera appel aux mâles nécessaires à ma condition de chienne !!
Dans le brouillard du poppers, j'ai soudain peur de comprendre, chienne = chien. Il veut me faire saillir par des clebs ????
Question ;1 : ont-ils de grosses bites ?
Question 2 : et les griffes ???
Je suis à la masse ! Il ne va pas le faire ! C'est juste qu'il est très en colère de mon comportement vénal...J'espère !
Il se vide en moi. Je ressens bien six fois son sperme juter hors de sa bite. Il décule et se couche à mes cotés. Je m'aplatis. J'expulse le gode et me couche sur son torse et lui fait un bisou dans le cou. Il serre les bras autour de moi je tourne mon visage vers lui et lui dis un " je t'aime " qui me vaut d'être encore plus serré contre lui.
Il baisse les yeux et nous nous regardons fixement. Il me dit un " je t'aime aussi " (rarissime !!). Je me détends, rassuré sur mon sort, peut être échapperais-je aux clebs !
Je m'endors vaincu par la fatigue et le stress.
Je me réveille seul avec juste une couverture de survie métallisée sur le corps. J'ouvre un oeil et j'aperçois une paire de chaussures. Je relève la tête et je vois Samir un plateau de petit déjeuner en main.
Je m'assois enroulé dans la couverture comme s'il ne m'avait jamais vu nu !
Il pose le plateau devant moi et me demande si cela va bien. Je m'étonne de sa question. Il me dit alors que hier soir ils ont entendu pas mal de bruits venant du donjon, au point que Jimmy était venu dormir entre eux deux.
Je ne me rappelais pas avoir crié sous les coups de Marc. Il va falloir surtout que j'isole mieux leur appartement.
J'avale mon petit déj et passe sous la douche. Dans les grandes glaces, je vois mes fesses qui ont encore le souvenir des mains de Marc. Samir aussi les voit. Il m'accompagne et c'est lui qui me lave. Il est d'une délicatesse extrême. Je lui demande s'il a déjà subit ce genre de pratique. Réponse positive. Il me sèche avec autant d'attentions et appel Ammed pour qu'il me fasse un massage. Couché de nouveau sur le tatami, je me laisse faire entre leurs mains expertes.
J'en ressors les muscles détendu, déstressé, prêt à attaque la journée. Je les remercie.
Je dois travailler un peu, Olivier attend depuis déjà une semaine les plans définitifs du parc d'une villa qu'il fait construire !
JARDINIER
+
12 notes
·
View notes
Située quelque part entre l’espace-temps, la Dimension Magique est une planète constituée de trois continents interconnectés : Nexarbor, Zéphyria et Thalindra. La Dimension Magique a toujours existé et fut créé par la puissance du Grand Dragon, lors de l’évènement que l’on nomme aujourd’hui « Le Souffle de la Flamme du Dragon » (voir l’annexe mythe et religion). C’est à ce moment là que naquirent les premiers êtres dotés de magie, et que la Dimension Magique prit doucement la forme que l’on lui connait aujourd’hui.
Plusieurs milliers d’années plus tard, la Dimension Magique fut profondément ébranlée lorsque le Cristal d’Hélétris connu pour abriter les reliques ancestrales des Gemmes du Dragon implosa littéralement. Cette explosion entraîna alors une onde de choc magique qui fut ressenti aux quatre coins de la Dimension et plus loin encore … Pendant les jours qui suivirent cet événement une étrange neige ne cessa de tomber sur les terres magiques, et ceci jusque dans le désert de Zayairah. Puis un beau jour une brèche s’ouvrit à quelques kilomètres de la cité d’Hélétris, et le premier portail vers la Terre y fut découvert. Depuis ce jour, la vie quotidienne des fées fut en tout point changé et leur relation avec la Terre pu commencer.
En effet, avant l’arrivée des fées sur Terre celle-ci était aux proies à un profond mal-être écologique, depuis à chaque solstice et chaque équinoxe les fées les plus puissantes de la Dimension se rendent sur Terre afin d’aider la nature à suivre le changement des saisons. Malheureusement l’ouverture de ce portail eu aussi pour conséquence de permettre à l’énergie magique rejetée par le Cristal de se frayer un passage à travers les espace-temps. Depuis ce jour de nombreux humains furent en quelque sorte génétiquement modifiés et développèrent ainsi des capacités hors du commun …
De nos jours, la Dimension Magique est d’après les derniers recensement constituée de 70% de fées et 30% de spécialistes. Les royaumes sont de ce fait majoritairement dirigés par des fées qui disposent d’un rang et de privilèges que les spécialistes n’ont pas. Celles-ci représentent donc une grande partie de l’aristocratie magique, et rares sont les spécialistes qui arrivent à s’imposer dans les sphères politiques ou économique de la Dimension. L’égalité entre fées et spécialistes n’est donc pas encore optimale, malgré que de nombreuses améliorations aient vu le jour depuis leur émergence il y a de cela 200 ans seulement.
☾ Les royaumes de la Dimension Magique ☽
Andros : Andros est un royaume dont la quasi-totalité du territoire est composée d’îles. En tout c’est donc plus d’une centaine d’îles qui prennent place dans les eaux d’Andros. Autrefois, les mers entourant Andros étaient connues pour abriter sirènes, tritons et autres créatures marines. Malheureusement, depuis l’explosion du cristal d’Hélétris ce peuple n’a plus jamais été aperçu. Andros tire en grande partie sa richesse de la pêche, du transport maritime et plus encore de l’industrie navale. En effet, c’est à Andros que siège les meilleurs constructeurs navals. En revanche, c’est aussi d’Andros que sont originaires une considérable part des pirates de la Dimension Magique.
Domino : les habitants de Domino ont trouvé refuge dans les royaumes voisins d'Eraklyon et Solaria après que leur royaume autrefois verdoyante ait été brutalement engloutie par un désert de glace implacable. L’économie de Domino repose sur l'extraction, le raffinement et la vente d’objets fabriqués à partir de la glace ayant recouvert les terres de Domino. La glace féerique est utilisée pour créer des objets d'une beauté extraordinaire, comme des sculptures délicates, des bijoux lumineux et des luminaires enchantés.
Dyamond : La planète Dyamond brille comme une étoile au sein de la Dimension Magique. Sa cité de diamant est le cœur de son économie prospère. Les Dyamondiens, maîtres lapidaires, façonnent des gemmes rares en bijoux étincelants et artefacts religieux convoités à travers les royaumes. Les mines profondes de la planète offrent un trésor inestimable de pierres précieuses, alimentant ainsi un commerce vibrant. C'est un lieu où la religion et l'économie s'entrelacent harmonieusement. Les gemmes, considérées comme sacrées par les habitants, sont le cœur de leur foi, utilisées pour canaliser la magie des anciens esprits. Les prêtresses joaillières transmettent leur savoir de génération en génération, créant des bijoux envoûtants et des objets rituels. Cette symbiose entre la religion et l'art de la joaillerie a engendré une économie florissante, où les gemmes, à la fois divines et esthétiques, tissent des liens entre le sacré et le matériel.
Eraklyon : le royaume d’Eraklyon est avec Solaria le royaume le plus riche de la Dimension Magique. Celui-ci tire une partie de sa richesse de son industrie militaire florissante, tandis que le reste de son économie est soutenue par de vastes et puissants domaines viticoles. Culturellement parlant Eraklyon possède une architecture et un mode de vie qui en comparaison avec la Terre se rapproche énormément de la Grèce antique. Ses paysages quant à eux sont constitués d’importantes chaines de montagnes connues pour ses hauteurs vertigineuses.
Lynphéa : Le royaume de Lynphéa est un véritable paradis tropical, ces forets abritent alors un peuple en parfaite harmonie avec la nature luxuriante qui l’entoure. Leurs habitations sont nichées au cœur des arbres témoignent de leur profond attachement et respect pour l’écosystème. L’économie de Lynphéa repose sur l’exploitation durable des ressources naturelles. De ce fait, la chasse, la pêche mais aussi la cueillettes (fruits, légumes et herbes médicinales) sont les activités de prédilection des habitants de Lynphéa.
Melody : Le royaume de Mélody, imprégné d'une consonnance asiatique, est un éden d'harmonie et de calme. Ses paysages paisibles sont ponctués de jardins zen et de pagodes élégantes. L'économie florissante de Mélodie repose sur la maîtrise d'arts ancestraux tels que la calligraphie, l'artisanat du thé, et la fabrication de soieries raffinées. Les artisans de Mélody produisent des trésors convoités par les amateurs de culture et d'élégance à travers les royaumes.
Pyros : Le sultanat de Pyros prend place dans un désert brûlant. Pyros est connu pour être l'habitat naturel des dragons, où les nomades épris de leur terre ancestrale élèvent avec respect ces majestueuses créatures. Les nomades y prospèrent, honorant leur lien avec ces créatures mythiques, dont la chasse est strictement interdite. Au cœur des volcans endormis, ils extraient des gemmes rares, qui ornent le palais du sultan. L'économie du sultanat s'épanouit grâce au commerce de ces joyaux et l'élevage des dragons de Pyros.
Romulea : Principal ennemi d’Eraklyon, Romulea est un royaume dont l’économie tourne autour de l’artisanat (poterie, sculpture sur pierre, travail du bois …) métier bien souvent transmis de génération en génération, mais aussi de l’élevage et de l’agriculture. C’est de Romulea que la Dimension Magique tire une majeure partie de ses céréales. Outre son agriculture florissante, les terres fertiles de Romulea permettent aussi de soutenir un élevage florissant et diversifiés. Ainsi, les produits laitiers, la viande de qualité et les produits agricoles sont exportés régulièrement vers les autres royaumes. Tout comme son voisin, Romulea revêt une culture et un mode de vie semblable cette fois-ci à la Rome antique
Solaria : Solaria est un royaume aux effluves florales où il fait bon vivre, et où l’opulence y trouve facilement sa place. Malgré un manque de pluie évident, dû à la présence unique de trois soleils les paysages de Solaria n’ont rien a envier aux autres royaumes, plages de sable fin, montagnes et autres plaines baignées de soleil font de Solaria un royaume à la beauté éclatante. Hormis ses paysages, Solaria doit sa richesse aux centaines de mines d’or éparpillées sur son vaste territoire, mais aussi à ses prestigieuses maisons de couture reconnues dans le monde entier.
Zénith : Le royaume de Zénith se dresse tel un joyau futuriste, où la haute technologie règne en maître. L'économie florissante de Zénith repose sur l'innovation technologique, la recherche avancée et la production de dispositifs électroniques de pointe. Les esprits brillants de Zénith développent des gadgets révolutionnaires, des intelligences artificielles sophistiquées et des avancées scientifiques qui alimentent leur renommée à travers les royaumes.
6 notes
·
View notes
~ Hunger Games ~ Finnick Odair X F!Reader
Synopsis : Être la fille de Snow n'est pas toujours facile. En fait, ça ne l'est jamais. Encore plus lorsque le chéri du Capitol vous plaît. Et si ce n’était que ça…
Point de vue Reader :
Je suis allongée de tout mon long sur mon lit king size, bouquinant un vieux livre d’histoire qui raconte la chute de l’ancienne politique. Mais je ne reste pas tranquille bien longtemps, l’un des serviteurs de mon père venant toquer à la porte de ma chambre.
-Entrez !
Le serviteur entre après mon ordre. Il se courbe en avant alors que je me redresse en une position assise.
-Jameson, je vous ai déjà dit que vous n’aviez pas à vous courber devant moi sans la présence de mon père. Redressez vous.
-Excusez moi mademoiselle. Votre père vous demande dans son bureau.
-N’est-il pas en réunion avec les vainqueurs du 4 ?
-Il demande votre présence. Je n’ai pas plus d'informations.
Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à talons transparents, ajustant ma robe courte faites de grandes plumes synthétiques blanches.
-Comment suis-je, Jameson ? Et sois honnête.
-Magnifique, comme à votre habitude. Mais si je peux me permettre…
Il entre complètement dans ma chambre et se dirige vers mes bijoux. Je l’observe faire, lui souriant gentiment. Il récupère un joli collier d’épaule fait de diamant sublime. Ceci est un cadeau de Cina et César pour mon 19ème anniversaire. Il m’aide à le mettre avant de reculer de deux grands pas.
-Très bien, allons-y maintenant ou mon père risque de s’impatienter.
-Je suis convaincu qu’il l’est déjà.
Je ricane avant de mettre une main devant ma bouche. Je me tourne vers Jameson, c’est un vieux monsieur bien conservé qui est au service de mon père depuis des années maintenant. Il m’a vu grandir et a essuyé d’un revers de main tous mes chagrins. Il me connait surement mieux que mon père.
-Jameson, nous ne mettons pas dans l’embarras. Les murs ont des oreilles vous savez.
-Bien sûr, mademoiselle.
Nous marchons à la hâte jusqu’au bureau de mon père, parlant tranquillement de plusieurs sujets sans importance avant de discuter des futurs Hunger Games, ce jeu ne va pas tarder à faire son grand retour.
-Quel district allez-vous parrainés cette année ?
-Je ne sais pas encore. J’aimerai aller à la rencontre des districts un par un, être en contact avec eux pour savoir quoi mettre en place pour les aider.
-Votre demande sera refusée, mademoiselle. Les habitants de ces districts essaieront sans aucun doute de vous tuer pour se venger du président.
-Au risque de se faire incendier par mon père ? Je ne les crois pas aussi stupide, Jameson.
-Je ne veux que votre sécurité.
-Et mon père fera toujours en sorte que je le sois. Ne vous en faites pas, faites moi confiance.
Après la fin de ma phrase nous entrons sans même avoir toqué dans le bureau. Je marche jusqu’à mon père qui est assis face aux vainqueurs du district 4. Je lui embrasse la joue tendrement en m’excusant de l’attente.
-Tu es très jolie aujourd’hui. Me complimente-t-il.
-Merci, papa. Jameson m’a aidé à choisir.
Il regarde le serviteur qui a fermé les portes et reste planté devant elle, droit comme un piqué. Il lui adresse un mouvement de tête avant de me présenter d’un mouvement de main les vainqueurs.
-Tu dois sûrement les connaître.
-Oui bien sûr, j’ai beaucoup entendu parler de vous.
-En bien j’espère. Me sourit le seul tribut mâle.
Finnick Odair, le chouchou du Capitol entier. Enfin il est aussi connu pour les expériences incroyables qu’il offre au lit.
-Cela dépend des domaines.
Il me sourit, ses dents blanches bien alignées scintillantes alors que Mags pose une main sur le bras d’une petite rousse, Annie. Elle a gagné ses jeux sur un pur coup de chance. Mais je suis heureuse qu'elle ait pu survivre à l’arène.
-Pourquoi ma présence ?
-Je voulais que tu les rencontres. J'aimerais te laisser la gestion des Hunger Games, d’ici quelques années. Il est temps que tu apprennes.
Mon visage devient livide alors que je me tourne vers lui, complètement démunie.
-Je ne suis pas une grande fan de la violence, tu le sais bien, papa. Je ne suis pas convaincue que je sois la meilleure personne pour superviser un jeu de mort imminent.
Ma réponse n’a pas l’air de lui plaire, je le vois à la contraction de sa mâchoire et ses yeux vicieux qui se posent sur moi. Je prends une inspiration avant d’essayer de m’expliquer.
-Ecoute-moi pour une fois, s’il te plaît. Les Hunger Games sous mon commandement seront une catastrophe, je ne peux pas faire ça aussi bien que toi. Je n’ai pas ton expérience.
-C’est pour cela que tu apprendras à mes côtés. Je serai ton formateur. Ton apprentissage commence dès cette année.
Je jette un regard à Jameson qui me fait signe d’accepter. Je me retiens de soupirer et souris à mon père, comme si j’étais heureuse de la responsabilité qu’il me donne.
-Je ne te décevrai pas, papa.
-Je le sais. Finnick s’occupera de ton introduction aux dessous des Hunger Games. Tout est déjà vu avec lui.
-Oh. Très bien. Pourquoi pas les vainqueurs du 1 ou du 2 ?
-Je m’occuperai de toi comme une princesse. Les autres sont un peu brutes.
-Mais il faut l’être pour gagner les jeux, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, mais il faut savoir être pleins d’autres choses pour gagner.
-J’ai hâte que vous m’en appreniez plus, monsieur Odair.
Je lui souris sincèrement, ce qui semble le perturbé un peu. Mon père toussote faiblement, me ramenant à lui.
-Finnick restera au petit palais avec toi, ta sœur et les domestiques.
-Bien.
-Peux-tu l’accompagner avec Jameson ?
-Avec plaisir.
Je me tourne pour faire face à Finnick qui est déjà debout, disant au revoir aux deux femmes. Je l’observe silencieusement et patiemment, il tient à elle, cela se voit par ses gestes. Il est tendre et protecteur avec elles. Il finit par se tourner vers moi avec un fin sourire mais qui ne reflète rien de particulier. Je l’invite à me suivre alors que Jameson nous ouvre les portes.
-Jameson, demandez aux domestiques de préparer notre voyage au petit palais. Qu’ils fassent les valises, je pense que nous allons y rester un long moment.
-Très bien mademoiselle.
-Merci. Suivez-moi, je pense pouvoir vous emmener à un endroit qui devrait vous plaire.
-Ah oui ? Quel est cet endroit, mademoiselle Snow ?
- T/P T/N.
Il me regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas vraiment alors que je ricane de son état. Mais je ne compte pas lui expliquer quoi que ce soit, s’il veut savoir il devra demander.
-Par ici.
Il me suit jusqu’à l’extérieur dans les jardins avant qu’on n’entre dans une serre. On suit un petit chemin avant d’arriver sur une piscine ressemblant plus à un lac à l’eau bleu turquoise magnifique.
Je me tourne vers le vainqueur et vois sa mâchoire se décrocher. Je ricane légèrement attirant son attention alors je mets une main sur ma bouche, étouffant mon rire. Il attrape doucement mon poignet et le tire doucement vers le bas, me souriant comme s’il voulait me charmer.
-Je n’ai jamais entendu quelque chose de si mignon.
Je n’ai le temps de rétorquer que Marlo débarque comme un bourrin.
-Ne la touchez pas, vous n’en êtes ni digne ni autorisé.
-Marlo. Ai-je coupé alors que mon agent de sécurité s'approchait de Finnick, l'éloignant de moi.
-Et vous, mademoiselle, il va falloir que l’on revoit les règles de sécurité. Me dit-il durement alors que je le regarde suppliante. Et ne me faites pas votre regard de chaton en détresse. Cela ne marche pas.
Il prend ma main et me fait prendre une distance absolument exagérée du vainqueur du 4. Ce dernier sourit, amusé de la situation, pour autant je ne trouve rien de drôle.
-Visiblement s’il faut que je révise les règles de sécurité il faut que tu révises tes bonnes manières, Marlo.
-Mademoiselle n’est pas en mesure de me réprimander.
-Et pourquoi ?
-Parce que vous vous mettez en danger telle la petite fille naïve que vous êtes !
Je fronce les sourcils, nous sommes repartis pour une longue dispute pleine de cris et d'insultes.
-Hé, n’hausse pas le ton sur elle. Elle n’a fait que me montrer cet endroit.
-Où il y a de l’eau. Et tu es un tueur hors pairs au sol autant que dans l’eau.
-Il ne me fera pas de mal, Marlo. Ce n’est pas un monstre !
-C’est un tueur, mademoiselle. C’est du pareil au même.
-Vous avez fait de lui un tueur de ce que je sache alors cessez votre hypocrisie !
-Mais…
-Dehors ! Immédiatement !
-Votre père… !
-Je viens de te donner un ordre, exécute le ou tu le seras.
Le grand homme en smoking noir dévisage longuement Finnick avant de me regarder froidement mais je tiens son regard.
-Je ne serai pas loin.
-Parfait, faites en sorte que je ne vois pas votre tête d’ici notre arrivée au petit palais.
Il acquiesce avant de se poser je ne sais trop où en dehors de la serre.
-Tout va bien ? Me demande le blond, le visage penché en avant.
-Ce n’est pas moi qui a été insulté. Allez-vous bien, vous ?
Il semble surpris mais chasse le sentiment en quelques secondes seulement. Cette capacité à passer d’une émotion à une autre est inquiétante. Il arbore maintenant un sourire suffisant.
-Je n’ai pas pour habitude qu’on me pose cette question. Mais ça va, j’ai vécu pire.
-J’imagine.
-Vous n’avez pas l’air de vraiment savoir mon parcours. Suivez-vous les Hunger Games, mademoiselle ?
-Pas vraiment, je n’aime pas ce jeu. Il est stupide. Je préfère lire des livres contant l’histoire. Mais récemment j’ai dû m’y intéresser. Pour vous.
-Pour moi ? Interroge-t-il, presque au bord de l’hilarité.
Je fronce les sourcils, ne trouvant pas le sujet drôle.
-Riez-vous des tributs morts dans l’arène monsieur ? Ou encore de la pauvreté dans laquelle vit les populations des 5 à 12 ? Parce que je ne trouve pas cela amusant.
-Non, pardon.
-Vous êtes quelqu’un de bizarre. Est-ce que Marlo a raison, êtes-vous fou ?
-Je suppose qu’il faut être un peu fou pour survivre au jeu. Qu’est-ce que vous en pensez ?
-Je pense qu’il faut être courageux et fort. Dans plein de domaines.
-Vous n’avez pas totalement tort.
-Bien sur.
Un blanc s’ensuit alors que je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Les tributs choisis ne peuvent décidément pas tous être un peu fous. Comment mon père aurait su que ces tribus étaient fou avant même que les jeux commencent ? Soudain j’entends le bruit d’un plongeon avant que de le ne m’éclabousse sur la joue. Je laisse échapper un cri de surprise avant de regarder le lac, Finnick est dedans, torse nu, seulement avec son pantalon ample. Son tee-shirt est par terre, à quelques pieds de moi. Il ressort de l’eau plus loin, secouant la tête en reprenant sa respiration.
-L’eau est-elle à votre convenance, monsieur Odair ?
-Aussi parfaite que vous, mademoiselle.
Son compliment raisonne dans la serre alors que je ne peux m’empêcher de rire à sa bêtise. Je m’installe sur un transate alors qu’une domestique arrive pour me demander les collations que je souhaite, je lui demande simplement deux limonades fraîches. Entre-temps, Jameson revient vers moi, apportant deux trois livres pour m’occuper. Il observe longuement Finnick faire des longueurs avant que je ne lui donne un coup de coude léger sur son côté, il me regarde à présent.
-Jameson, ne le regardez pas comme s’il venait d’une autre planète. C’est impoli.
-Se mettre à moitié nu devant vous est impolie, mademoiselle.
-Je l’aurai trouvé stupide s’il se baignait tout habillé.
-Il est vrai.
-Le trouvez-vous stupide Jameson ?
-Finnick Odair est quelqu’un de très malin, mademoiselle. C’est pour cela que vous devez redoubler de méfiance.
-Vous, vous avez parlé avec Marlo, je me trompe ?
-C’est possible.
Je souris à leurs comportements surprotecteurs mais dans tous les cas Finnick va m’accompagner de partout pendant un certain temps alors autant le mettre à l’aise dès maintenant.
-Nous partirons ce soir.
-Superbe. Merci, Jameson. Vous pouvez disposer.
Il semble hésitant avant de se courber en avant et de quitter la serre. C’est alors que Finnick nage vers moi avant de sortir de l’eau. L’eau ruisselle sur sa peau bronzée, venant finir leur course sur son vêtement.
-La vue vous plaît mademoiselle T/N ?
Je le regarde droit dans les yeux, les joues chauffantes alors que la honte grimpe en flèche dans mon corps. Je bafouille des excuses avant de porter mon attention sur mon livre d’histoire. Il s’amuse de la situation, ricanant joliment, mais encore une fois quelque chose me dérange de sa manière de faire. On dirait que toutes ses réactions sont faussées par je ne sais trop quoi.
Il s’assoit à côté de moi, sur le transate parallèle au mien. Je ferme mon bouquin et le fixe dans les yeux, il fait de même me souriant.
-Puis-je poser une question ?
-Vous devrez payer.
-Comment payer ?
-Oh vous voulez vraiment poser votre question…
-Dites moi.
-Un secret. Et vous aurez ma réponse.
Je fronce les sourcils, il veut un secret ? Pourquoi faire ? Je trouve ça totalement déplacé.
-Les secrets sont personnels.
-C’est ce qui est intéressant.
-Et les gens vous disent leurs secrets ?
-Bien sûr.
-Qu’ont-ils en échange ?
Son visage se ferme quelques secondes avant qu’il ne détourne le regard, se massant le menton, comme s’il réfléchissait à la meilleure réponse.
-Qu’est-ce que vous connaissez sur moi ?
-Que vous êtes le vainqueur mâle du district 4, tout le monde vous idolâtre au capitol mais je ne comprends pas pourquoi. Vous êtes certes beau garçon et charmant je ne trouve pas que vous avez une âme exceptionnelle.
Il me regarde comme si j’étais un extraterrestre et je ne comprends pas. L’ai-je vexé ?
-Vous ne me voulez pas alors ?
-Vous vouloir pour quoi faire ?
-Mon corps.
Là, c'est moi qui le regarde comme s’il venait d’une autre planète. Je prends enfin conscience de ce qu’il m’avance et je lui envoie mon livre dans la figure, le surprenant. Il se l’est pris dans le nez.
-Hé !
-Non mais qu’est-ce que vous avez dans la tête ?
-C’était une simple question.
-Nous devons nous préparer pour le voyage ! Magdalen, donnez lui de quoi se sécher et dites à Jameson de s’occuper de lui.
-Oui, mademoiselle.
Je me tourne vers Finnick toujours aussi rougeoyante. Je ne sais pas quoi lui dire alors je le dépasse en récupérant mon second livre. Je lui laisse cependant celui qu’il a dans les mains. Je me tourne de nouveau vers lui et le lui montre de l’index.
-En espérant qu’il vous serve un minimum à vous instruire.
Puis je quitte la serre, retrouvant directement Marlo.
13 notes
·
View notes