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#cheval du désert
aucoeurdeschevaux · 2 years
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Désert de Gobi (prononcé Govi).
Étendue semi aride du nord de la Chine au sud de la Mongolie....(Deux tiers de ce pays).
Cette cuvette désertique est limitée par les montagnes de l'Altai, le plateau tibétain, et les steppes de Chine.
Les températures peuvent variées de 40°à - 25°; certaines oasis et désert de pierres permettent à certains animaux de s'y adapter : exemple, cheval de Przewalski, chameaux, panthère des neiges, chèvre, cheval mongol...
Des peuples nomades s'y déplacent en alternant leur migration par des pauses sédentaires en Yourtes.
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claudehenrion · 5 months
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Petit retour aux sources...
Ne trouvez-vous pas que cela fait très longtemps que je ne vous ai pas parlé de mon cher Maroc ? Quand on sait la place qu'occupe ce pays dans mon histoire personnelle, on pourrait s'en étonner... Je vous mentirais, si je ne reconnaissais pas que je m'y réfugie en pensée, à peu près tous les jours, un petit moment... ou pour de longues échappées solitaires... Le célèbre diptyque de Raimbaud (''Je sais que je pourrais être plus heureux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs'') est devenu, pour moi : ''Mais moi, je sais où c'est : c'est à Rabat''...
Permettez-moi de m'échapper quelques minutes de la grisaille ambiante –aggravée, comme si besoin était, par un temps... digne de la situation de notre pays et des non-solutions évoquées par nos ''meneurs'' : sinistre, glaciale, stérile, inutile, repoussante, glissante à en être dangereuse... Pourtant, chers Amis-lecteurs, permettez-moi de vous proposer de m'accompagner dans ce qui est pour moi (et de loin, après tant et tant de voyages et tant de tours du monde) la plus belle ville et le plus beau pays. Et ce d'autant plus que notre président, jamais à court d'une mauvaise idée, s'est débrouillé pour brouiller la France avec un de ses plus sûrs, plus fidèles, plus anciens amis... au profit (pour personne !) de l'antipathique et repoussant (et intrinsèquement mauvais pour la France) leader algérien Abdel Madjid Tebboune...
Pour ne pas que ce petit voyage évocateur tombe comme un cheveu dans la soupe, je profite d'un événement que personne ne pense à fêter : le nouvel an berbère. (La communauté berbère est très importante au Maroc et le Roi Mohammed VI a conféré à leur langue le statut de ''seconde langue officielle'' dans la Constitution de 2011). Dimanche, donc, la communauté dite ''amazigh'' (=''les hommes libres'') dans la langue ''t'Amazight'', fêtait son Nouvel An, celui de l'année 2978 dans leur calendrier (entre les 5784 ans des juifs et nos 2024 ans, mais plus du double des 1445 ans des arabes !). Le ''point zéro'' de ce décompte remonte à l'accession au trône de Pharaon du roi Amazigh Sheshonq 1er --dont Wikipédia m'a permis de découvrir qu'il est mort en 922 av. J.-C., qu'il était fils de Nimlot et de Tentsepeth et petit fils de Mehtenvreskhet (à vos souhaits !), qu'il eut pour enfants Osorkon Ier, Sheshonq II et Nimlot Ier, comme petits enfants Takelot Ier, Sheshonq III, Iouwelot et Nesbanebdjed III ... et qu'il régna de 945 à 924 av. J.-C. Mais bon ! Si vous insistez vraiment, j'arrête d'étaler un non-savoir que je n'avais pas il y a 10 minutes...
De manière moins académique, cette population Amazigh (également dite ''Chleuh'' ou ch'l Ha, et berbère au Maroc, kabyle en Algérie ou djerbienne en Tunisie) correspond aux premier habitants de tout le nord de l'Afrique jusqu'à l'invasion des armées d'occupation arabes (''les cavaliers d'Allah'') qui ne sont donc (et ils n'aiment pas qu'on le leur rappelle) que ''des colonisateurs sans espoir de retour''... Permettez-moi une anecdote, un souvenir personnel : mon épouse et moi traversions à cheval une oasis perdue du Désert blanc, dans la région de Siwa (entre Tobrouk et el-Alamein), lorsque nous avons croisé un groupe de paysans qui devisaient entre eux. Ma surprise quand j'ai réalisé que je comprenais ce qu'ils disaient n'a eu d'égale que la leur lorsqu'un ''n'srani'' (= un nazaréen, donc un chrétien) leur a parlé dans cette même langue. Les ''chleuhs'' occupaient bien tout le nord de l'Afrique, jusqu'en Egypte où ils ont donc régné !
Mais ces guerriers farouches (on parlait, au temps de l'Empire français, des ''irréductibles chleuhs'') n'ont jamais été soumis, et ils ont résisté aux carthaginois, aux romains, aux ottomans et aux européens (français et espagnols). Et s'ils ont cédé devant Allah, ce n'est que pour ce qui concerne la pratique de la foi (encore qu'il existe un fort reste chrétien dont mon regretté ami Mgr Pierre Boz était Exarque) : ils se sont repliés dans des zones montagneuses où ils ont conservé et protégé leur héritage culturel, leur langue, leur alphabet et leur mode de vie... avant de devenir, sous le nom prestigieux de ''goums'', les soldats invincibles qui ont eu raison de la Wehrmacht à Monte Cassino et au Garigliano, sous les ordres du futur Maréchal Juin, dans des corps à corps d'anthologie....
Une autre anecdote, moins personnelle mais plus amusante : depuis 1912, lors de la pacification du Maroc par les généraux Gouraud et Lyautey (et d'autres héros) le contingent français avait pu mesurer la vaillance de combattants chleuhs, dans la fameuse ''guerre du Rif''. Lorsqu'ils ont été ramenés en France après 1914 –et pour cause !-- nos ''piou-pious'' ont gardé l'habitude de désigner leurs ennemis du jour par ''les chleuhs''... Et voilà comment l'Armée allemande s'est retrouvée réputée être peuplée d'habitants d'une tribu du Moyen-Atlas !
Outre le maintien de leurs traditions vestimentaires, artistiques ou coutumières ( la ''Guédra'', la célèbre ''Fantasia'' ou le ''T'bourida'' –mot dérivé de ''baroud'' (qui veut dire la poudre ou la guerre)-- il leur reste de ce passé glorieux la pratique, dans les villages les plus reculés, de la Taskiwine, une danse martiale typique des montagnes du Haut-Atlas, qui tire son nom de la corne de bélier richement décorée que porte chaque danseur, le Tiskt, et fait vibrer les épaules au rythme des tambourins et des flûtes en bois d'olivier, ces ''raïtas'' au son si aigre. Cette pratique, qui encourage la cohésion sociale et l’harmonie, a joué un rôle certain dans l'histoire parfois difficile de ce peuple. Nul doute qu'on l'a dansée, et beaucoup, dimanche dernier...
Il me reste à demander pardon à ceux d'entre vous qui ne partagent pas mes choix (que je reconnais parfois contestables) pour tout ce qui touche au Maroc. Mais ceux qui me connaissent connaissent aussi l'analyse que je fais des relations franco-marocaines : ''L'Histoire retiendra que la France a exercé au Maroc une mission iso-coloniale. Mais la vérité est que tout français qui a mis les pieds dans ce pays s'est retrouvé lui-même comme ''colonisé'' par son charme, sa beauté, sa richesse, et la gentillesse de ses habitants''... qui deviennent souvent infréquentables, hélas, dès qu'ils s'expatrient. Mon ami d'enfance le Roi Hassan II aimait faire sur ce sujet des remarques éblouissantes... que nos dirigeants auraient mille fois mieux fait d'écouter religieusement, au lieu de nous enfermer dans leurs certitudes mensongères et doctrinaires qui ne mèneront jamais nulle part !
Nous reviendrons, dès demain, à des sujets plus habituels, c'est promis. En attendant, Bonne Année 2978 à nos amis berbères... même si cette notion n'a pas le moindre sens, en terre d'islam...
H-Cl.
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“Oui, nos princes étaient à Goritz, à Londres, à Rome, que sais-je, ou sur les sentiers du désert. Mais l’imagination nationale restait pleine d’eux à son insu. Je connais un jeune Lorrain de quatre ans qui, à ma demande : «Qu’est-ce qu’un roi?-», m’a répondu : « Un homme à cheval qui n’a pas peur ! » Son papa est républicain. N’importe ! Oui, garçon, un homme à cheval. Tant pis pour la couleur locale et les usages de la guerre moderne et des cours ! Un homme à cheval, et de jeunes Français derrière qui aiment le danger et y périssent selon la parole des Saints Livres et les goûts du peuple français…”
Georges Bernanos
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 19 : l’eau
    Elle se tenait proche du bord du fleuve. Elle l’observait. L’eau paraissait calme en surface, mais des tourbillons de bouillons blancs se formait par endroit, remontant des profondeurs de l’eau. Elle détestait l’eau. Elle avait appris à la craindre, et à la vénérer à la fois. Comme une femme. Elle attrappa son sac de cuir, et le passa en bandouillière par-dessus son épais plastron de cuir Bourgogne. En dessous de ce dernier, elle portait une chemise de lin noire, qui descendait ju’au haut de ses cuisses. Elle portait un pantalon moulant lui aussi en cuir épais, avec des renforts sur les antérieurs. À ces pieds, une grosses paires de rangers. Elle attacha grossièrement ses cheveux en chignon à l’aide d’une cordelette et repris sa route. Elle continua à longer la rivière. À quelques kilomètres devant elle, elle pouvait voir un petit bourg sur le fleuve. Eux aurait peut-être une solution à son problème.
Le jour commençait à baisser quand elle atteint enfin les premiers bâtiments. Tout semblait désert. Elle ressera la hanse de sa besace plus proche d’elle, la passa dans son dos, et sortit une courte dague de sa poche. Elle n’aimait pas l’eau. Ni les gens qui vivaient de son exploitation. L’eau était changeante et imprévisibles, comme eux, comme une femme. Elle arriva devant un ponton, où un pécheur l’appela :
-”Eh ma jolie, tu veux quelque chose ?”
Elle lui jetta un regard noir et répondit.
-”Un moyen d’aller à Safos, sans passer par le fleuve.” Le marin rigola un grand coup et lui dit : 
-”Ah moins de continuer sur une bonne centaine de kilomètres au Sud, et de payer pour le pont des Céanides, ça va etre difficile.”
-”OU est-ce que je peux acheter une monture ?”
-”Oarf, on en utilise pas beaucoup par chez nous, essaye d’aller voir le vieux Germain, la dernière fumerie de poisson.”. Lui répondit-elle en indiquant du doigts un bâtiment bas et longs en lazur bleus. Elle le remercia, lui jeta une pièce et prit cette direction. Le pécheur resta éberlué devant l’obole donné. Elle atteint rapidement l'entreprise du Germain, et frappa à la porte. Un homme à la peau tannée vint lui ouvrir. 
-" C'est pour quoi ?" lui demanda-t-il d'un ton bourru. 
-"On m'a dit que je pourrais vous acheter une monture." 
-"Pourquoi faire ?" 
-" Rejoindre Safos." Il la détailla, et s'arrêta devant le bracelet qui ornait son poignet : un serpent mordait une bague, planté en lui. Il écarquilla les yeux. 
-"J'ai ce qu'il vous faut Madame, suivez-moi." il attrapa sa canne, ferma la porte à clé et comme ça a contourné le bâtiment. Elle lui emboita le pas jusqu'à arriver à l'écurie. On entendait un cheval piaffer et cogner d'énervement à l'intérieur. Ils entrèrent. Deux gros chevaux de traits broutaient nonchalamment dans un paddock. Dans le second, un cheval à la robe fumé s'énervait. 
-"On m'a échangé cette carne et tout son équipement contre un bateau. J'pensais en tirer quelque chose, mais le bestiaux est têtu. Celui-là est à vendre." 
Elle retira 5 grosses pièces de sa poche et lui donna. 
-"Vous êtes trop généreuse Madame, je vais vous chercher cela, et un repas pour la route." dit-il d'un ton mielleux en repartant avec autant de courbettes que son état lui permettait. La jument se calma quand il quitta l'écurie. Elle l'observer. La Voyageuse tira de son sac une bourse, remplis d'une poudre de la même couleur que le cheval. Elle en souffla une pincée à son museau. La jument souffla, éternua. La Voyageuse s'approcha d'elle et la caressa. La jument ferma les yeux jusqu'au retour du pêcheur. Il portait sur lui la selle et le harnais, et dans ses bras un panier d'où dépasser une miche de pain et des queues de poisson séchés. Elle attrapa l'équipement sans écouter son discours sur le légendaire poisson séché de la région. Elle equipa la jument, et attacha son sac et le panier à la selle, et monta sur cette dernière. La jument piaffait d'impatience. Elle remercia le pêcheur, le coupant dans sa tirade, lui envoya une pièce et partit au trot. 
-"Une vraie Sauvage cette voyageuse." marmonna le Germain. Elle lui adressa un doigt d'honneur. 
Une fois sortie du bourg, elle lança sa monture au galop. La nuit était tombée. Elles chevauchèrent toute la nuit durant. Sauvage flattait régulièrement sa monture. S'ils avaient su quel cheval était en leur possession, ils ne s'en serait jamais séparé. Au petit matin, elles avaient atteint les premières lueurs du pont des Cénaides. Sauvage ralentit l'allure de sa monture et entra au pas dans la file qui sortait du poste de contrôle. Devant, elles, de nombreuses charrettes attendait déjà. Sauvage descendit de sa monture et lui murmura à l'encolure :
-"Je te nomme Nix, et je jure sur le sang de mes ancêtres, de ne jamais t'abandonner ou te vendre.”. La jument fermait doucement les yeux, apaisée. Sauvage sortit sa dague de sa botte, s’entailla la main, et l’en marqua le museau. Une tache noire se forma dans le pelage de la jument.
Le soleil avait déjà bien avancé sa course dans le ciel quand Sauvage et Nix passèrent le poste de contrôle ; en tant que simple voyageuse, elle n’avait à payer qu’une taxe. Deux files avaient été dégagées sur le pont en direction de l’autre rive ; une file piétons et une fille monture. Sauvage remonta sur Nyx, et s’engagea habillement dans le trafic. Elle dépassé rapidement les charrettes les plus chargées pour se retrouver au trop en compagnie d’autres cavalier. À cet endroit du fleuve, l’eau était profonde, et la traversée longue. De nombreuses légendes macabres expliquaient la solidité du pont, fait de cadavres et de sacrifices. En une bonne heure, elles étaient arrivées de l’autre côté. Sauvage fit bifurquer sa jument vers la droite, sur une route pavé déserte, et là lança au galop. Elles continuèrent à longer le fleuve jusqu’à la nuit. Elles n’avaient croisé personne, et aucune lumière n’était visible aux environs. Sauvage descendit de sa monture, la dessella et la laissa libre. De son sac, elle tira un bagage plus grand que le sac, qui une fois déplié s’avéra être une tente. Elle la monta rapidement. Puis, elle fouilla plus profondément et sortie une longue chainette bardé de clochette. Elle les accrocha tout autour de sa tente, et entreprit ensuite d’allumer un feu. Elle avisa le poisson dans le panier et se contenta de manger du pain. Elle regardait les étoiles en mangeant, cherchant les constellations. À la fin de son frugal repas, elle regarda le fleuve en contrebas. Les flots étaient noirs, sombres, inqui��tants. Elle esperait que rien ne se passerait cette nuit. Nix était revenue. Sauvage lui souhaita une bonne nuit et rejoint sa tente. 
Le lendemain au aurores, Sauvage commença à pier bagage. Elle appella Nix, qui arriva au galop en hennissant ; son pelage avait changé ; de fumée, elle était devenue nébuleuse, avec des petites taches blanches par endroits. Elle était plus haute, plus musclée que la veille. Sauvage lui sourit. Elle examina le harnais, et en détacha de nombreuses parties avant de la remettre sur la jument. Elle la sella, harnacha son bagage et se mit en selle.
Safos fut visible dans la nuit. Le galop rapide et infatigable de Nix lui avait permis de couvrir cette distance. Mais elle ne voulait pas emmener la jument dans une ville si dangereuse. A quelques minutes d’une des portes d’entrée de la ville, elle avisa une grotte. Elle y déposa la selle et le harnachement et rendit sa liberté à Nix. La jument ne voulait pas partir.
-”J’ai un contrat à honorer dans cette ville, et je ne veux pas qu’on puisse te faire du mal. J’en ai pour une journée tout au plus et je reviendrai. Ne t’inquiète pas. Je te le promets.” La jument tapa du pied et partit en direction opposée à la grotte au pas, boudeuse. Sauvage attrapa son bagage, sortit sa capuche et se dirigea vers la ville. Elle craignait les ports, lieux de débauche, lieux de trafics. Elle entra dans la ville en se mêlant à la foule, et traversa rapidement pour se rendre sur les ports. De là, elle avisa ; des trois mats colossaux se dressaient devant elle. Les mêmes bateaux, qui des siècles auparavant, venait prendre ceux de son peuple pour les vendre au plus offrants. Elle dépassa les monstres ; des deux mats s’alignait à présent. Elle continua de marcher. Elle dépassa le quartier des poissonniers, puant et vulgaire. Les femmes d’ici avaient l’odeur des poissons de là-bas, à moins que ça ne fut l’inverse. Des lampadaires rouges marquaient l’entrée du quartier des prostitués. Elle le traversa aussi rapidement, esquivant les mains qui cherchaient à la caresser, se retenant de sortir son arme. Les bateaux à quai étaient plus modestes, voir de simples rafiots pour certains. Elle trouva enfin sa destination. La moitié d’un bateau servait de pignon sur rue à une sorcière. Elle entra précipitamment dans l’étrange échoppe. Un homme à la barbe longue lui demanda précipitamment, sortant de derrière son comptoir, sa poitrine ballotant dans son corset :
-”Sauvage ?! Mais je ne t’attendais pas avant le mois prochain ! Tu as ma commande ?” 
-”Bonjour Hermas, j’ai tous les produits que tu as demandés ; je suis partie en avance à cause des tempêtes qui se déchainent chez nous.”
-”Le front marin ?”
-”Oui, cette saloperie d’eau”. Elle retira son sac de dessous sa capuche et le posa sur le comptoir. Elle l’ouvrit et commença à en sortir de nombreux bocaux, remplis d’herbes, de fleurs, d’animaux séchés et de liquides étranges. Hermas dansait d’une jambe sur l’autre, ces talons claquant sur le sol.
-”OOOh voilà qui va me permettre de faire fortune !”
-”Tu dis ça à chaque fois… ”
-”Oui, et voilà 150 ans que tous les mortels qui désirent quelques chose de spécifique atterrissent dans ma boutique, pourquoi crois-tu que je reste dans ce rade miteux “ elle rigola. Le comptoir était plein de denrées à présent, qu’Hermas s’empressait de ranger hors de porter. Sauvage profita de ce répit pour examiner les objets de la boutiques; mains de singes à 6 doigts, yeux de tout sortes, en verre et pour voir, des drogues en tout genres. Quand Hermas eut terminé son rangement, il s’accouda au comptoir, reposant son imposante poitrine sur ce dernier et lui tendit une liasse de billet.
-”Et comme preuve de ma réussite déjà florissante grâce à cette ville de débauche, voici le paiement de cette commande et une avance sur le suivant. Sauvage rangea dans son sac et le remis sur son épaule. Elle s’apprétai à quitter l’échoppe quand elle se retourna :
-”Tu n’aura pas quelque chose pour ma monture ?” Hermas lui adressa un sourire énigmatique, et sortit un bouquet d’herbes sèches de son corsage.
-”Tiens, donne lui ça, elle te pardonnera ton absence ! Et c’est la maison qui offre, pour la meilleure coursière que j’ai jamais eue.”. Sauvage lui sourit, rangea le bouquet dans son sac.
-”Oh fait, méfie-toi de l’eau qui dort, elle cache les pires monstres”. Sauvage le regarda une dernière fois, surprise du conseil et quitta la boutique.
À peine sortie, elle réalisa qu’elle n’avait pas eu de repas correct depuis des jours, et estima qu’elle méritait au moins ça. Elle regarda autour d’elle et commença à avancer dans des petites ruelles, moins fréquentés que les quais. Au bout de quelques minutes, un parfum de viande grillée fit gargouiller son estomac. Elle chercha autour d’elle quelle gargote pouvait enfin servir une nourriture correcte dans cette ville de dépravations maritimes, et fut attirée par une minuscule devanture, coincé entre un bars bruyant et un hôtel. Les file de joies allaient de l’un à l’autre. Elle entra dans le restaurant. Trois tables, un comptoir qui donnait sur la cuisine, et trois broches de viandes différentes qui grillaient sur un grand feu. Elle s’assit au fond de la salle, pourtant déserte, et ôta sa capuche. Elle garda son sac sur elle et commença à examiner la décoration ; des paysages marins, à l’eau calme et aux nuages agités, étaient peints. Alors qu’elle se perdait dans la contemplation de ces paysages qu’elle haïssaient pourtant, une voix mélodieuse l’interrompit ;
-’Bonjour, voici la carte, vous savez ce que vous voulez boire ?”. Sauvage resta bouche bée ; la serveuse qui se tenait face à elle était d’une beauté hallucinante. Ces longs cheveux noires encadrés un visage fin à la peau diaphane. Ses yeux, bleus, était soulignés par un épais trait de khôl. Elle portait, elle aussi, un chemisier noir, largement ouvert sur une poitrine généreuse qui faisait disparaitre son tablier blancs. Sauvage n’eut plus qu’une idée en tête. L’avoir. Il lui fallait gouter cette femme au moins une fois. Le désir qui la submergée était impétueux. Elle répondit finalement.
-”Je vous fais confiance. Surprends-moi, et je prendrai de l’eau.” La jeune femme repartit avec un sourire et un dernier regard. Sauvage n’avait pas cessé de la fixer, elle avait des fesses divines et une démarche un peu étrange. On aurait dit qu’elle flottait, glissait sur le sol. Quelques minutes plus tard, la serveuse revint avec un pichet d’eau et une première assiette garni de morceaux de viandes grillés, de légumes crues et d’une purée de pois chiche. Elle déposa tout cela sur la table et déclara :
-”J’allais fermer, vous avez était ma seule cliente du jour, et je n’aime pas les hommes qui viennent ici après une certaine heure. Ça te dérange.” Sauvage sourit en se léchant rapidement les lêvres.
-”Non non, va y.” Elle se servit un verre d’eau et commença à boire. C’était étrange, d’habitude, elle détestait l’eau, mais cette dernière avait un gout différent, pétillant. La serveuse ferma la porte à clé. Dehors, sans que personne s'en aperçu, l’échoppe disparu.
(à suivre)
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Partez à l’Aventure à la Découverte de mes 4 Livres Photos avec Récits et Croquis de Voyages. Venez marcher à mes côtés au fin fond du Sahara lointain et galoper à cheval sur les Hauts Plateaux du Tibet, direction l’Everest.
Pénétrez avec moi dans les Temples bouddhistes du Japon et suivez-moi, pas à pas, dans l’Afrique sub-saharienne vers Tombouctou la mythique et les falaises du Pays Dogon fait de Mystères et de Rites. Poussez jusqu’à Chinguetti, la Ville aux 12.000 Manuscrits en Mauritanie.
Flânez tranquillement sur le port d'Essaouira et osez vous perdre dans le labyrinthe des ruelles étroites et bouillonnantes de la Médina de Fès au Maroc. Et surtout, gardez une petite place pour le Désert !
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christophe76460 · 6 days
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METTRE NOS PAS DANS LES PAS DE JESUS POUR RESTER DANS LE CHEMIN DE DIEU
Les voies de l’Éternel sont droites ; les justes y marcheront. Osée 14.9
Il n’est dit nulle part dans la Bible que la vie chrétienne soit facile, et que notre chemin nous soit montré longtemps à l’avance. Mais Dieu dit clairement qu’il appelle ses enfants à exercer leur foi, à apprendre à vivre de la Parole qui sort de sa bouche, tout en poursuivant leur route.
« Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie » Jean 8.12.
Le croyant sait d’avance que les voies de l’Éternel sont droites, sûres et tracées. En y marchant, le juste demeure ferme, et dans la paix. Il ne cherche pas à se soustraire aux difficultés, sachant qu’un avenir meilleur lui est réservé, il accepte la discipline de Christ, sachant que ce qu’il ne comprend pas dans l’immédiat, il en recevra l’explication. Il se réjouit de se savoir dans la volonté de Dieu, et cherche à y demeurer, dans une relation vivante avec Dieu.
Marcher dans les voies de Dieu est notre sûreté. Le Seigneur nous ouvre une voie même au milieu de grandes eaux, nous trace un itinéraire même dans le désert.
C’est lui qui dit : « Je te montrerai la voie que tu dois suivre… ne soyez pas comme un cheval ou un mulet sans intelligence… » Psaume 32.8,9.
Soyons dans le repos et dans la paix de Dieu qui nous assure du succès, si nous marchons dans ses voies qui sont justes, et où il nous conduit, pas à pas.
« Celui qui se confie en l’Éternel est environné de sa grâce » Psaume 32.9
COMME BARTIMÉE MARC CH 10 V 46 A 53
MARC CH 10.51 Jésus, prenant la parole, lui dit: Que veux-tu que je te fasse?
Rabbouni, lui répondit l'aveugle, que je recouvre la vue.
.52 Et Jésus lui dit: Va, ta foi t'a sauvé.
53) Aussitôt il recouvra la vue, et suivit Jésus dans le chemin.
JEAN 14 V 6 Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie.
Nul ne vient au Père que par moi.
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Ésaïe 38.16 Seigneur, c'est par tes bontés qu'on jouit de la vie, C'est par elles que je respire encore; Tu me rétablis, tu me rends à la vie.
Hébreux13.5 car Dieu lui-même a dit: Je ne te délaisserai point, et je ne t'abandonnerai point.
[www.pasteurdaniel.com](https://deref-gmx.fr/mail/client/YUsmeEB46Ys/dereferrer/?redirectUrl=http%3A%2F%2Fwww.pasteurdaniel.com%2F)
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happyhologrammiracle · 2 months
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"MIMESISME" - NIALA 15/04/24 - ACRYLIQUE S/TOILE 55X46
« MIMESISME » NIALA 16/04/24 ACRYLIQUE S/TOILE 55X46 Dans ce quelque part où j’évolue plus que jamais Platon je te rejoins comme ton Peintre Mon art a toujours été siamois de la nature engrossant de saillies verdoyantes une palmeraie au coeur du désert un chant d’oiseau monté à cru sur un cheval sauvage et puis sous la voile la quille turgescente je traverse cet estuaire où l’île se…
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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sports-100-buzz · 2 months
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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reussir-a-tout-prix · 2 months
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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ouyander · 2 months
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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naantokhi · 2 months
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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katakaal · 2 months
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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ka9oukeuktakal · 2 months
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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christophe76460 · 2 months
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L'ADORATION
D'après un partage de Matthias Haldemann
"Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire, et lui dit: Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m'adores. Jésus lui dit: Retire-toi, Satan! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul." Matthieu 4:8-10
Si tu te prosternes devant moi...
L'adoration prend place au fond du cœur, elle est liée à notre intimité avec Dieu et la manière dont notre cœur réagi dans sa présence.
L'adoration n'a pas besoin d'une forme plus qu'une autre mais d'une attitude profonde du cœur qui se prosterne devant Dieu.
Le diable aura toujours pour objectif de nous détourner de cette position de cœur car elle répond au premier et plus grand des commandements de Dieu : "Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée."
Débat théologique sur l'adoration :
"Nos pères ont adoré sur cette montagne; et vous dites, vous, que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. Femme, lui dit Jésus, crois-moi, l'heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité." ‭‭Jean 4:20-24
La question de l'adoration n'est pas dans la manière ou le lieu, mais les vrais adorateurs que Dieu recherche sont ceux qui le font dans son intimité par l'Esprit Saint et dans la vérité.
L'adversaire de notre âme fera tout pour nous faire perdre une telle adoration. Notamment en nous faisant regarder à nous même et aux situations difficiles que nous traversons plutôt qu'à Dieu. Détourner nos regards, donc nos cœurs, de Dieu.
Pour pouvoir traverser les difficultés de notre vie d'ici-bas, à l'instar du peuple d'Israël qui s'apprêtait à passer 40 ans dans le désert, nous avons besoin d'enraciner notre communion avec Dieu dans une veritable adoration.
Louange du peuple de Dieu avant de traverser le désert : "Je chanterai à l'Eternel, car il a fait éclater sa gloire;Il a précipité dans la mer le cheval et son cavalier. L'Eternel est ma force et le sujet de mes louanges; c'est lui qui m'a sauvé.Il est mon Dieu: je le célébrerai; il est le Dieu de mon père : je l'exalterai." ‭‭Exode 15:1-2
Dieu nous appelle à l'adorer en esprit et en vérité, c'est à dire à s'abandonner à Lui et l'adorer lui seul. Amen
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