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#chevaux de selle
webequitation · 1 year
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Le FRISON, le descendant de chevaux peuplant la Frise il y a 3000 ans - ORIGINE DES RACES
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aucoeurdeschevaux · 2 years
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ascle · 3 months
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Il s’en est passé des choses! Parce que ce cadeau va bien au-delà de la Myosoteam…
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Les Etats-Unies d’Amérique ne voulaient pas livrer au Canada. J’ai dû demandé à un ami qui habite les USA de le commander. Il était super content de me rendre service ^^.
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La Reine Mère qui a été de corvée biscuits géants. (Pcq ouais le mien c’était un vrai et il était excellent!!)
Mon frère qui s’est sacrifié à venir manger à la cabane à sucre pis qui a passé 1h en digestion à faire la photo avec des accessoires très peu coopératifs. Awwhhhh l’amour fraternel!!
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Sans passer sous silence Raven Hot, championne provinciale de « Trail class », qui s’est abaissée à revêtir une selle anglaise le temps d’une matinée et qui, contrairement à son habitude, n’a pas essayé de me mordre. (Pour répondre à vos questions: non chu pas super à l’aise, 20 min c’est le temps que ça a pris pour que j’embarque sua selle (y’a pas de fucking poignée là-dessus) et oui mon amie se moque encore de moi depuis cette séance) Je dois également faire une honorable mention à mon pharmacien qui a vu son chiffre d’affaire explosé en antihistaminique la semaine qui a suivie (ouin suis un peu allergique aux chevaux ><).
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Il y a aussi eu les séances d’essayage dans le salon avec le jugement de Kurpipe et l’habillage dans le parking du Reno Dépôt avec une Edith ben crampée! Un merci tout spécial au gars du département peinture du Reno qui avait pas l’air à nous trouver saine d’esprit à refaire ses étalages et à courir les pelles d’une section à l’autre, mais qui nous a laissé faire en se disant sûrement que c’était plus sécuritaire en disant rien… j’avais quand même une pelle din mains ^^.
Je dois dire un grand merci à toutes ces personnes qui, sans vous connaître @valerielemercier , ont accepté de m’aider. Parce que c’est aussi ça que vous inspirez, la générosité.
#60ShadesOfLemercierMakingOf
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acrazybayernfan · 8 months
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
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percehaies · 1 year
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M. Philippe, concours hippique, épreuve pour chevaux de selle, à Bagatelle le 9 avril 1926
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carreimperial · 10 months
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Les chevaux en Russie (1812) Partie 2
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(suite partie 1)
Ça passe ou ça casse ?
La perte des dépôts de chevaux et des stocks de fourrage profitait à l'ennemi et allait compromettre la ligne opérationnelle Vilna-Minsk-Smolensk.
Napoléon fut contraint d’abandonner Smolensk, et de se replier en direction de Minsk. Il partit le 13 novembre, et l'arrière garde du maréchal Ney le 17 à minuit.
L’itinéraire Smolensk­-Orcha fut un risque des plus dangereux : 120 km entre 4 et 6 jours, les marches nocturnes, une chute de la température passant de -10°C à -16-18°C, les chemins verglacés, la fatigue, le manque de vivres, puis le combat de Krasnoï.
Ces contraintes additionnées allaient décimer les chevaux : une perte de 30000 chevaux, surtout ceux originaires de France et d'Allemagne. L'attelage étant diminué, l'ordre est donné de détruire une partie des pièces de canon et des munitions, et de brûler les caissons, bagages et charrettes inutiles.
L’armée de repli devint temporairement quasi aveugle les éclaireurs à cheval se limitant à 2 km delà des troupes.
Ça passe ! "Hourra !"
Mais malgré cette semaine noire, le passage du fleuve Borysthène s'effectua.
Il n'y avait pas d'ordre de bataille, à ce moment, sur l'axe Smolensk-Orcha. Il n'y a qu'un combat sur Krasnoï pour la sauvegarde de la ligne opérationnelle.
Les corps d'armée sous le commandement de Napoléon étaient en mouvement et espacés de 1 à 3 jours. Les corps d'armée russe sous commandement de Koutuzov n'avait pas les moyens de livrer bataille suite à leurs défaites de la Moscowa et à Maloiaroslavets. Les Russes n'essaieront que de suivre, attaqueront uniquement les unités vulnérables et les trainards.
L'avant-garde (VIIIe corps) de Junot, le Ve corps (polonais) de Poniatowski, la Garde, la cavalerie Murat, le IVe corps d'Eugène, et le Ier corps de Davout ont su protéger leur ligne opérationnelle, ont repoussé les quelques attaques de l'avant garde russe, ont pu passer le fleuve Borysthène à l'Ouest, et rejoindre Orcha en sécurité.
Ne restait que le IIIe corps de Ney, formant l'arrière-garde, isolé en position vulnérable à l'Est de Krasnoï. Il allait subir les attaques et de lourdes pertes des avant-gardes russes en supériorité numérique. De là, suit un épisode d'aventures où seuls les audacieux et braves survivent. Ney et les rescapés réussirent à esquiver en passant sur l'autre rive Nord du Borysthène. Les marches intensives de nuit avaient finalement permis de distancer l'armée de Kutuzov de 3 jours.
Entre temps, la division Dombrowski laissa la ville de Minsk aux mains du corps russe Tchitchagov, ce qui coupa la ligne opérationnelle entre Vilna-Borissof-Orcha. Dombrowski fut contraint de partir sur Borisof pour rejoindre Napoléon.
Les 19­-20 novembre, à Orcha, Napoléon réorganisa les corps d'armée I, III, IV, V et VIII.
Le 22 novembre, à Tolotchine, ils trouvèrent de la farine considérable et une grande quantité d'eau de vie dans les magasins. Les soldats et les chevaux ont pu se remettre en état.
Les IIe corps d'Oudinot, IXe corps de Victor et la division Dombrowski allaient se joindre aux cinq corps de Napoléon, et allaient apporter une bonne quantité de chevaux...
Arrivé le 23 novembre à Bobr, Napoléon réorganisa, une nouvelle fois, la cavalerie : on brûla la moitié des charrettes, et 200 chevaux allèrent compléter le parc d'artillerie.
Le 24 novembre, le IIe corps d’Oudinot fit 2000 prisonniers au corps d'armée russe de Tchitchagov, et récupéra 6 pièces de canon, 500 voitures de bagages, et un nombre non négligeable de chevaux.
Les manuscrits du secrétaire particulier de l'Empereur indiquent : "une file d'artillerie de 250 bouches à feu, leurs approvisionnements, 300 voitures qui passent tranquillement la rivière Bérézina le 26 novembre. Sans compter les passages du 27 et 28 novembre, nous serions impressionnés du nombre de chevaux de traits présents…"
Et les chevaux de selle furent, semble-­t­-il, assez nombreux, les 28-29 novembre, pour culbuter et achever les avants des corps russes de Tchitchagov et de Wittgenstein, sur la rive droite, et rive gauche de la Bérézina.
Bataille de la Bérézina, victoire française qui permettra de sécuriser la retraite et de distancer de plusieurs jours l'armée russe.
(Txt LB)
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Twilight Wolf Pack x Rider Reader
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ton père ta toujours die la même chose, encor et encor. "puissance, voyage et liberté, tel est le mantra des chevaux". tu n'avais jamais vraiment compris se qu'il voulais dire jusqu'à sa ce qu'il te quitte. mes maintenant tu comprend.
flash back
tes cerne étais si présent même en appliquent du fon de tain. depuis sa mort tu te sens si vide. ton cœur est lourd et froid. ta peau est si blanche que l'on panserais que tu n j'aimais mi un pied a l'extérieur et pour temps tu passe tes journée a l'extérieur. tu a perdue du poids et sa parais plus que tu ne le voudrais.
depuis sa mord plus rien n'est pareil, l'écurie parait si vide alors qui il a toujours au temps de chevaux a l'intérieur. toute ses tache en les quelle tu avais trouver du bonheur son toute devenus une torture a faire. la petit maison fais de rondin de bois, dans la quelle tu a grandie a l'aire si mort. la seul chose qui na pas changer ou presque se sont les balade. seller ton magnifique étalon (ses un barbe a la robe noir de 1,51m) de 6 ans, avec ta selle western et une bride en corde. partir presque 24h et disparaitre de la société ta fais comprendre bien des chose. Mes se qui ta vraiment fais comprendre que ta place n'étais pas ici ses cette phrase… "puissance, voyage et liberté, tel est le montra des chevaux"
fin du flash back
alors oui, il y a 2 ans tu a déposer ta dernière fleur sauvage sur la tombe de ton père. tu a fais ton sac pour la dernière fois. il n'y avais pas grand chose, des vêtement(2 père de jeans, 1 en cuire brune de vache, 2 chemise et 1 chandail a manche courte beige) des sou vêtement et des couteaux. tu a seller ton étalon de ta selle en cuire brune habituelle et de la même bride qua ton habitude. tu a aussi pris un lasso et un arme a feux que tu a accrocher a ta selle. il y a 2 ans tu a regarder pour la dernier fois cette petit maison avec temps de souvenir, tu a déposer ton chapeaux sur ta poitrine en signe de remercîment et tu a donner un coups de rêne signalent le débarde de ton voyage.
.....
"hey!!!!" tu a été sortie de tes penser pas un certain garçon au nom de Embry sautent sur le divan avec un muffins qu'Emily avec sans doute fais."Hey Embry, comment tu va?"....
Oui, tu n'aurais pas pus demander mieux....
Des amis
Une famille....
Une maison......
Une nouvelle vie....
(Alors se n'est pas sur mes je vais s'en doute faire une partie 2 à se petit billet. A vous de me dire si vous en voulez un autre ou pas!!)
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hippography · 1 year
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ÉTALONS DEMI-SANG DE L’OUEST. 1. Arlequin, type Cob, 3 ans, 1er prix Paris; à M. de Pontlevoye. 2. Bienvenu, 3 ans, 1er prix Paris; à M. Jean Gauvreau. Ces demi-sang sont essentiellement des Chevaux de selle. Le type Cob n’est fait qu’en très bon sujets, pour le remonte. 
Vie à la Campagne, Vol. 65, 15 Octobre 1930
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7 mai : initiation
Grosse journée ce dimanche. J’arrive au club pour une journée d’initiation à l’équitation western. On commence avec les chevaux du club et l’après-midi, direction une autre écurie spécialisée dans cette équitation. Bon, j’ai choisi la facilité et j’ai commencé ma journée avec Blue Eyes.
Le problème c’est que nos chevaux ne sont pas tellement éduqués à ces codes, mais on a eu quelques résultats quand même. On a commencé à pied, en codant un "clic" de la langue pour partir au pas, deux pour partir au trot, "whoa" pour s’arrêter, et la mobilisation des hanches et des épaules le plus légèrement possible. Ça marchait plutôt bien avec Blue Eyes, même si C. m’a conseillé de mettre du contact physique ou de faire du bruit avec ma cravache pour travailler sur le côté gauche puisqu’elle ne voit pas. Pourtant, elle bougeait quand même, je ne sais pas si c’est parce qu’elle anticipait après avoir fait l’exercice à droite, ou si peut-être elle distingue un peu les ombres ?
En selle, on continue d’appliquer tous ces codes en essayant d’utiliser surtout les codes vocaux, rênes longues, et pas trop de jambes. Pour marcher au pas et trotter, ça se passait bien, Blue avait même un trot presque trop actif. Par contre, les arrêts n’était pas très précis... et pour la direction, à deux mains ça va encore, mais à une main, j’étais pas très à l’aise. On s’est exercé sur un slalom, et pour ça, on décolle complètement la jambe intérieure et on pousse avec la jambe extérieure, soit tout l’inverse de ce qu’on fait en classique. Ce qui était dur aussi, c’était d’avoir les jambes en avant, les selles ne nous y invitant pas vraiment.
L’après-midi, j’ai fait la connaissance d’une petite QH nommée Chelsea. Très sage au pansage, comme tous les autres chevaux, j’ai eu l’impression. Bon, la selle western est effectivement un peu lourde, mais j’ai réussi à la mettre en place.
Et ensuite, tout le monde dans le manège, où on va travailler sur des choses très simples : déjà, marcher au pas sur un cercle et s’arrêter tous ensemble. On ajoute quelques demi-tours... en poussant les épaules des chevaux vers le pare-bottes ! Et c’est fou, mais ils ont la place de passer, parce qu’ils tournent vraiment sur place ! Pour ce qui est des arrêts, avec une selle adaptée, c’est vraiment beaucoup plus facile et intuitif de pousser les jambes vers l’avant. On a ensuite continué au trot, où je n’ai pas eu de mal à rester au trot assis. Là encore, les allures des chevaux et la conception de la selle font qu’on fait ça assez naturellement.
La difficulté pour moi a surtout été sur le passage du "L" de barres, et encore pire à deux mains. Au pas, j’ai fini par trouver un peu le truc, mais pour le faire au trot, sans rupture d’allure, c’était laborieux, je me sentais un peu nul·le de devoir refaire encore et encore jusqu’à y arriver pendant que tout le monde était arrêté. Pour les problèmes de direction à une main, c’est surtout parce que je me retrouve à tirer avec une jument qui est toute tordue. Donc, plutôt, prendre et relâcher, y aller par étapes.
Et pour finir cette partie, on a testé le galop. Je l’ai fait en gardant les rênes dans les deux mains. Pour le coup, on sent bien la propulsion, je me faisais un peu décapsuler ! Mais c’était assez grisant et je n’ai pas eu de problème à repasser aux allures inférieures.
Ensuite, on a découvert le superbe parc de mountain trail. J’ai trouvé ça vraiment chouette. Chelsea connaissait les exercices, je n’avais plus qu’à me concentrer sur le fait de l’amener correctement devant, et hop. On est restés au pas pour cette découverte, mais j’ai trouvé que c’était génial pour prendre confiance. Je ne doutais pas de Chelsea et du coup tout s’est bien passé, ça fait du bien d’arriver à quelque chose. On est passé sur plusieurs obstacles différents : l’échelle (une ligne courbée où il faut bien contrôler la courbe pour que le cheval ne décide pas de passer en ligne droite au lieu de se fatiguer à lever les pieds), un labyrinthe (je ralentis beaucoup avant le premier tournant pour bien contrôler le poser de tous les pieds et ne pas déborder), une pyramide, un tronc à enjamber, un pont à bascule, la waterbox, le pont roulant, plusieurs gros troncs à enjamber, la rivière, d’autres embûches avec des rondins et des gros cailloux... vraiment sympa !
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atotaltaitaitale · 1 year
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Friday False Advertising… When the store doesn’t sell what the storefront advertises.
You might need to find another place to buy Chevaux (horses) it won’t be here that’s for sure. But you can find fancy Japanese socks from Tabio.
If nowadays, the consumption of horse meat remains a sensitive subject, you should know that before the second half of the 19th century it was completely inconceivable! But from 1866, date from which horse meat is officially authorized, mentalities change, and the famine linked to the siege of Paris is not foreign. Meat was half the price of beef and was praised as "fortifying", and became very popular. Specialized butcher's shops flourished in Paris and, in order not to be confused with traditional butcher's shops, they decorated themselves with unmistakable signs. Mosaics and signs with manes and hooves stand out on street corners.
The storefront is registered in the inventory of the Historic Monuments by order of April 28, 1964. since it's part of the the former Hôtel de Vibraye nearby.
** During my "flânerie", I often notice the beautiful old storefronts, some are even listed as historical monuments but the ones I prefer are the ones where the storefront and the actual store don’t have anything in common… aka my "False Advertising" series***
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webequitation · 1 year
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L'AKHAL TÉKÉ, le cheval de guerre et du désert, à l'apparence unique - ORIGINE DES RACES
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aucoeurdeschevaux · 2 years
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mcx7demonbros · 2 years
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My MC: Klein
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Made by Picrew [X]
Name: Klein
Race: Human (before Lesson 38), Archon of Sin (after Lesson 38)
Gender: Male
Age:
21 (at the start of the exchange program)
23 (currently as he’s my self-insert)
28+ (after having children)
Birthday: July 28 (Leo)
Religion: Roman Catholicism ✝️
Affiliation: Evil
Titles
Evil Overlord
Son of Heaven
The Lightbringer of the Devildom
The King-Consort of the Devildom
The Avatars’ Consort
Master of the Seven Capital Sins
Master of the Seven Lords
One Master to Rule Them All
Likes:
Villain, delicious food, Lucifer
Dislikes:
Heroes, annoying things, his commands ignored by his minions, his privacy being violated
Info
At first glance, Klein seems to be a normal human. But he’s actually an infamous villain in villain community, well-versed in both science and magic. Klein debuted as a villain in a fight against Rangers in Super Sentai when he was only 13.
Klein has a butler, Cedric, who was Barbatos’s schoolmate at Butler Academy. Cedric multiple times prevented the demon butler from looking into Klein’s background back in season 1, seeing this as a breach of his Master’s privacy. Cedric isn’t a demon, but some kind of ethereal being, who took a male adult form to serve beside Klein. According to Cedric, he’s one of the weakest of his kind.
Due to having no self-control, Klein dates all Seven Brothers, the Royals, the Sorcerer, and the Angel. However, he fell for Lucifer first since the first time they met, and Lucifer’s still his favorite. The fact’s only known to him and the eldest. Klein’s enemies call him a man whore for this reason.
Klein’s minions are very variable, demons, robots, mutants, etc. About 30% of Little Ds swore loyalty to Klein, instead of Diavolo.
Being well-versed in science and magic, Klein realized how insignificant he was. So he decided to return to Christianity (he was born in a Christian family, however, he became lapsed when he was a teenager). Despite that, the dude is still evil. At least, he’s generous to the Church, the poor and needy.
Sins
Pride - dude here is prideful like a peacock
Greed - loves wealth; owns like 20+ illegal businesses, including selling monsters & weapons to criminals, selling prohibited substances, selling creatures in Red List, managing a black market, etc.
Envy - “It should have been ME”
Wrath - when a plan fails, nothing in the room survives
Lust - “man whore”-his evil enemies and some nasty demons
Gluttony - dude eats like a pig
Sloth - “5 more minutes, Cedric” ”Master, it’s already the 10th time you said that, please get out of bed.”
Fics featuring Klein
Klein sees the Brothers’ tongues (based on this)
Brothers saw Klein creating a monster for the first time (first time for them, not Klein)
Soulmates
Another Evil Machine pt. 2
Banners
La Course de Chevaux
Org Seeds
Pickle - Mouse
Stubble
Taro Soup
Door Kicking Practice
A Spell Went Wrong
Yogurt
Big Brother (dialogue fic)
The Most Adored Person in the Devildom
A Misunderstanding
Klein & the Boys’s Favorite Food
First Year of the Exchange Program Fics
Confusion
Lucifer x Klein
Raptor
Blood Stain
First Time
Wet Dream
Angel and Devil Klein
I Have Failed You
Rain and Thunder
Mammon x Klein
Night Talk
He Is Not Useless
La Curiosité
Levi x Klein
Supporting the Wrong Side (nonsense dialogue)
Watching Anime Together (Levi’s birthday ‘23 fic)
Satan x Klein
The Reason (nonsense dialogue)
Asmodeus x Klein
World Domination
Eater’s Bad Ending (crossover with Love Unholyc)
Barbatos x Klein
Tea Cup
I’m an Evil Overlord
Prologue: The Cancelled Factory Tour
Prologue II: Just a Coincidence?
Chapter 1: The Truth is Out
Chapter 2: Fool Me Twice
Evil Ancestor(s)
A Thousand Years Old Conspiracy
The rise of Archon of Sin
The Sacrifice
Le Deuil
Darkness and The Coffin
I'm Willing to Do Anything
World Conquest
The Fall of America pt. 1
Portraits (from Picrew)
First portrait (see above)
Second portrait
MC’s Template
Third portrait (a rb from obeythedemons)
Fourth portrait (a rb from obeythedemons)
Children
Lucius (with Lucifer)
Fics featuring his children
How Was I Born (birth of Lucius)
One Little Happy Family
Happy Birthday, Klein ‘22
MY OBEY ME MASTERLIST
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whatdoesshedotothem · 2 years
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Monday 2 July 1838
7
10 ½
fine but dull morning F63° at 8 am out A- and I at 8 ¼ to the pépinière départementale, and called at the pépinieristes’ house and took him with us – quick clever looking man he had laid out the pépinière and seemed very proud of it – said there were very few such – few are prettily, so beautifully situated – the Douze winding along at the foot of the garden – very pretty – could not well catch his nomenclature – soon found that he was gardener not botanist – asked for Mèrat little livre de botanique – he had lent it to someone – but declined selling it – said there was one published every year and referred to the great and best pépiniériste à Paris M. Ville Morin Andeliene, Quai de la Magisserie dit de la Férral, n. 30 enough – I have thus got the address of the best nurseryman – the mans’ place here worth not more than 1,400 fr. a year exclusive of house and fire wood, and a bit of ground (they wink at this) planted with vines that produce a barrique or more per annum – he and his garçon (a labourer aetatis 18) do all the work except for December to end of April when the department allows him 6 additional labourers does not know the quantity of ground he has in nursery garden – it is the property of the Department – gave me a sale catalogue of trees and shrubs, but said he had a great many not down in the catalogue – not having the catalogue till we came away, could not verifier anything and .:. learnt nothing except to know perfectly the beautiful bignonia catalpa (in flower – and with some pods also remaining of last year?) and that it is propagated by seed, and when quite young has more the appearance of a luxuriant shrub-growing plant than a fine large tree – on coming in saw the ortolans – from 150 to 220 maigre in the large darkish high narrow slip ‘volerie’ looking in the court (perhaps 6 or 7 yards long and 1 yard broad) taken off from a building that forms the back of the court, and perhaps 50 in little cages in a dark warm  ground floor large room where are empty barrels etc. etc. 3 weeks to a month in feeding – take about ¼ hour roasting at a good feu vif as for a common rôti – her brother puts down the ortolans when the potage est servi and they are ready to come in when we have done eating – that is for the last course – should be white when roasted, not red – she (the daughter) born at Eaux-Bonnes – and the mother from Oléron – goes every year to the baths of Biaritz [Biarritz] (pronounced Beeariz) very good for cutaneous complaints -  the king of Naples here 1 night – 60 people in his train – the house not large enough for all they received 3500 fr. and the other Inns were paid besides – asked the name of the proprietors of the great house at St. Sauveur ‘M. Sarrat, le maire de Luz’ – his house always let to English – not many people have passed this way aux eaux this year as yet – sat writing the above of today till 12 – having talked sometime to the demoiselle de la maison – off from Mont-de-Marsan (Hotel des Ambassadeurs, very good) at 12 40 – pass thro’ much of the little ville the smallest chef lieu of department in France – very nice little ville – fine road-avenue, the demoiselle said, all the way from here to Bayonne – beautiful sortie from the town thro’ gardens thro’ Spanish chesnut and oak and fir (left) and meadows and greed hedges and trees (right) down to the river Douze and soon pine-forests all the way to Campagne at 1 ½ (poste aux chevaux) and farmstead – our road thro’ an avenue of Platanus, poplar, catalpa, different species of [acer] etc. about Campagne a few fields corn and grass – the corn in large sheaves piled all in one pile – the pine forest again (good rubble road) with every now and then champs and picturesque farmstead to Tartas at 2 35 picturesque little ville – market day – town on the top, on the slope, and at the bottom of hill, and divided, by the Midouze river, into haute and basse ville – a calêche and pair passed us on our entering the town, and a calêche and pair set off just before us which we afterwards found it tiresome not to be allowed to pass – the people assembled here (Tartas) Pyrenees-like people – blue men with crimson sashes and women with crimson petticoats and ditto printed handkerchiefs round the head, and a few with large brimmed black beaver hats – narrow streets except the one main street – very picturesque town – the Post-house stable, an old church – nice cultivation all round the little ville – avenue, rubble road, as before – at a little distance from Tartas forest again and picturesque farmsteads and champs here and there as before – and wherever there is an opening (left) fine distance of cultivated and much wood line of hill – could have on much faster (the road so good) but for the calêche a head of us that we came up with at 3 ½, and then stopt a few minutes to let it get out of our way – at 3 50 picturesque little scattered bourg of Pontons [Pontonx], and waited ¼ hour to let the calêche get out of our way – walked ten minutes went into the little church – neat village church – and got into the carriage at the far end of the town – no regular forest this stage – fine distance (left) as before but much more seen – at 4 ½ distinct at several of the mountain forms but still too far off in misty distance to be of any importance to the view – about 5 meet scattered on the road above 20 priests – very fine drive from Pontons [Pontonx] and very good road – from Pontons  [Pontonx] to the poste at Dax at 5, and gallopt forwards and turned left to the city of Dax and alighted at the hotel St. Etienne Dax at 5 8 – settled all – to dinner at 7, and took a boy guide and A- and I sauntered out 5 35 – saw the bains de Bagnols   in passing and then to the [campagne] of M. De Borta to see his fine collection of fossils and minerals  found here – Madame de Borda just gone (and Mr. out also) sent for him – he was with his workmen cutting wood and desired them I might see whatever I liked – the tower observably locked up – ditto the minerals  .:. having taken a turn in the garden set off home again – fachée at our loss of time – In returning saw the source chaude  really very curious – and saw the plain modern cathedral – came in at 7 – dinner in an hour – then came to my room and till now 10 pm (A- in bed this ½ hour) wrote the last 9 lines of the last page and so far of this and found F66° in my bedroom – very fine day – [ga.] very abundant everywhere dans les lands some English gentleman at Mont-de-Marsan last winder for shooting – nothing has gone well since 1830 – taxes high – our hotel at M. de M. pays 210fr. per annum, and the taxes get higher and higher – our demoiselle said no Stilts (echassée in the patois [?]) except dans les gardens Lands at la Taste -12 lieues d’ici and very narrow bad roads must go on horseback – in light little carriages – ought to have gone to La Teste from Bordeaux – c'est pour une autre fois – at the baths this evening saw bains de bone, the 1st time – ordered the horses to be ordered here at 5 ¾ tomorrow morning – Dax a very nice little picturesque anciently fortified town –
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 19 : l’eau
    Elle se tenait proche du bord du fleuve. Elle l’observait. L’eau paraissait calme en surface, mais des tourbillons de bouillons blancs se formait par endroit, remontant des profondeurs de l’eau. Elle détestait l’eau. Elle avait appris à la craindre, et à la vénérer à la fois. Comme une femme. Elle attrappa son sac de cuir, et le passa en bandouillière par-dessus son épais plastron de cuir Bourgogne. En dessous de ce dernier, elle portait une chemise de lin noire, qui descendait ju’au haut de ses cuisses. Elle portait un pantalon moulant lui aussi en cuir épais, avec des renforts sur les antérieurs. À ces pieds, une grosses paires de rangers. Elle attacha grossièrement ses cheveux en chignon à l’aide d’une cordelette et repris sa route. Elle continua à longer la rivière. À quelques kilomètres devant elle, elle pouvait voir un petit bourg sur le fleuve. Eux aurait peut-être une solution à son problème.
Le jour commençait à baisser quand elle atteint enfin les premiers bâtiments. Tout semblait désert. Elle ressera la hanse de sa besace plus proche d’elle, la passa dans son dos, et sortit une courte dague de sa poche. Elle n’aimait pas l’eau. Ni les gens qui vivaient de son exploitation. L’eau était changeante et imprévisibles, comme eux, comme une femme. Elle arriva devant un ponton, où un pécheur l’appela :
-”Eh ma jolie, tu veux quelque chose ?”
Elle lui jetta un regard noir et répondit.
-”Un moyen d’aller à Safos, sans passer par le fleuve.” Le marin rigola un grand coup et lui dit : 
-”Ah moins de continuer sur une bonne centaine de kilomètres au Sud, et de payer pour le pont des Céanides, ça va etre difficile.”
-”OU est-ce que je peux acheter une monture ?”
-”Oarf, on en utilise pas beaucoup par chez nous, essaye d’aller voir le vieux Germain, la dernière fumerie de poisson.”. Lui répondit-elle en indiquant du doigts un bâtiment bas et longs en lazur bleus. Elle le remercia, lui jeta une pièce et prit cette direction. Le pécheur resta éberlué devant l’obole donné. Elle atteint rapidement l'entreprise du Germain, et frappa à la porte. Un homme à la peau tannée vint lui ouvrir. 
-" C'est pour quoi ?" lui demanda-t-il d'un ton bourru. 
-"On m'a dit que je pourrais vous acheter une monture." 
-"Pourquoi faire ?" 
-" Rejoindre Safos." Il la détailla, et s'arrêta devant le bracelet qui ornait son poignet : un serpent mordait une bague, planté en lui. Il écarquilla les yeux. 
-"J'ai ce qu'il vous faut Madame, suivez-moi." il attrapa sa canne, ferma la porte à clé et comme ça a contourné le bâtiment. Elle lui emboita le pas jusqu'à arriver à l'écurie. On entendait un cheval piaffer et cogner d'énervement à l'intérieur. Ils entrèrent. Deux gros chevaux de traits broutaient nonchalamment dans un paddock. Dans le second, un cheval à la robe fumé s'énervait. 
-"On m'a échangé cette carne et tout son équipement contre un bateau. J'pensais en tirer quelque chose, mais le bestiaux est têtu. Celui-là est à vendre." 
Elle retira 5 grosses pièces de sa poche et lui donna. 
-"Vous êtes trop généreuse Madame, je vais vous chercher cela, et un repas pour la route." dit-il d'un ton mielleux en repartant avec autant de courbettes que son état lui permettait. La jument se calma quand il quitta l'écurie. Elle l'observer. La Voyageuse tira de son sac une bourse, remplis d'une poudre de la même couleur que le cheval. Elle en souffla une pincée à son museau. La jument souffla, éternua. La Voyageuse s'approcha d'elle et la caressa. La jument ferma les yeux jusqu'au retour du pêcheur. Il portait sur lui la selle et le harnais, et dans ses bras un panier d'où dépasser une miche de pain et des queues de poisson séchés. Elle attrapa l'équipement sans écouter son discours sur le légendaire poisson séché de la région. Elle equipa la jument, et attacha son sac et le panier à la selle, et monta sur cette dernière. La jument piaffait d'impatience. Elle remercia le pêcheur, le coupant dans sa tirade, lui envoya une pièce et partit au trot. 
-"Une vraie Sauvage cette voyageuse." marmonna le Germain. Elle lui adressa un doigt d'honneur. 
Une fois sortie du bourg, elle lança sa monture au galop. La nuit était tombée. Elles chevauchèrent toute la nuit durant. Sauvage flattait régulièrement sa monture. S'ils avaient su quel cheval était en leur possession, ils ne s'en serait jamais séparé. Au petit matin, elles avaient atteint les premières lueurs du pont des Cénaides. Sauvage ralentit l'allure de sa monture et entra au pas dans la file qui sortait du poste de contrôle. Devant, elles, de nombreuses charrettes attendait déjà. Sauvage descendit de sa monture et lui murmura à l'encolure :
-"Je te nomme Nix, et je jure sur le sang de mes ancêtres, de ne jamais t'abandonner ou te vendre.”. La jument fermait doucement les yeux, apaisée. Sauvage sortit sa dague de sa botte, s’entailla la main, et l’en marqua le museau. Une tache noire se forma dans le pelage de la jument.
Le soleil avait déjà bien avancé sa course dans le ciel quand Sauvage et Nix passèrent le poste de contrôle ; en tant que simple voyageuse, elle n’avait à payer qu’une taxe. Deux files avaient été dégagées sur le pont en direction de l’autre rive ; une file piétons et une fille monture. Sauvage remonta sur Nyx, et s’engagea habillement dans le trafic. Elle dépassé rapidement les charrettes les plus chargées pour se retrouver au trop en compagnie d’autres cavalier. À cet endroit du fleuve, l’eau était profonde, et la traversée longue. De nombreuses légendes macabres expliquaient la solidité du pont, fait de cadavres et de sacrifices. En une bonne heure, elles étaient arrivées de l’autre côté. Sauvage fit bifurquer sa jument vers la droite, sur une route pavé déserte, et là lança au galop. Elles continuèrent à longer le fleuve jusqu’à la nuit. Elles n’avaient croisé personne, et aucune lumière n’était visible aux environs. Sauvage descendit de sa monture, la dessella et la laissa libre. De son sac, elle tira un bagage plus grand que le sac, qui une fois déplié s’avéra être une tente. Elle la monta rapidement. Puis, elle fouilla plus profondément et sortie une longue chainette bardé de clochette. Elle les accrocha tout autour de sa tente, et entreprit ensuite d’allumer un feu. Elle avisa le poisson dans le panier et se contenta de manger du pain. Elle regardait les étoiles en mangeant, cherchant les constellations. À la fin de son frugal repas, elle regarda le fleuve en contrebas. Les flots étaient noirs, sombres, inquiétants. Elle esperait que rien ne se passerait cette nuit. Nix était revenue. Sauvage lui souhaita une bonne nuit et rejoint sa tente. 
Le lendemain au aurores, Sauvage commença à pier bagage. Elle appella Nix, qui arriva au galop en hennissant ; son pelage avait changé ; de fumée, elle était devenue nébuleuse, avec des petites taches blanches par endroits. Elle était plus haute, plus musclée que la veille. Sauvage lui sourit. Elle examina le harnais, et en détacha de nombreuses parties avant de la remettre sur la jument. Elle la sella, harnacha son bagage et se mit en selle.
Safos fut visible dans la nuit. Le galop rapide et infatigable de Nix lui avait permis de couvrir cette distance. Mais elle ne voulait pas emmener la jument dans une ville si dangereuse. A quelques minutes d’une des portes d’entrée de la ville, elle avisa une grotte. Elle y déposa la selle et le harnachement et rendit sa liberté à Nix. La jument ne voulait pas partir.
-”J’ai un contrat à honorer dans cette ville, et je ne veux pas qu’on puisse te faire du mal. J’en ai pour une journée tout au plus et je reviendrai. Ne t’inquiète pas. Je te le promets.” La jument tapa du pied et partit en direction opposée à la grotte au pas, boudeuse. Sauvage attrapa son bagage, sortit sa capuche et se dirigea vers la ville. Elle craignait les ports, lieux de débauche, lieux de trafics. Elle entra dans la ville en se mêlant à la foule, et traversa rapidement pour se rendre sur les ports. De là, elle avisa ; des trois mats colossaux se dressaient devant elle. Les mêmes bateaux, qui des siècles auparavant, venait prendre ceux de son peuple pour les vendre au plus offrants. Elle dépassa les monstres ; des deux mats s’alignait à présent. Elle continua de marcher. Elle dépassa le quartier des poissonniers, puant et vulgaire. Les femmes d’ici avaient l’odeur des poissons de là-bas, à moins que ça ne fut l’inverse. Des lampadaires rouges marquaient l’entrée du quartier des prostitués. Elle le traversa aussi rapidement, esquivant les mains qui cherchaient à la caresser, se retenant de sortir son arme. Les bateaux à quai étaient plus modestes, voir de simples rafiots pour certains. Elle trouva enfin sa destination. La moitié d’un bateau servait de pignon sur rue à une sorcière. Elle entra précipitamment dans l’étrange échoppe. Un homme à la barbe longue lui demanda précipitamment, sortant de derrière son comptoir, sa poitrine ballotant dans son corset :
-”Sauvage ?! Mais je ne t’attendais pas avant le mois prochain ! Tu as ma commande ?” 
-”Bonjour Hermas, j’ai tous les produits que tu as demandés ; je suis partie en avance à cause des tempêtes qui se déchainent chez nous.”
-”Le front marin ?”
-”Oui, cette saloperie d’eau”. Elle retira son sac de dessous sa capuche et le posa sur le comptoir. Elle l’ouvrit et commença à en sortir de nombreux bocaux, remplis d’herbes, de fleurs, d’animaux séchés et de liquides étranges. Hermas dansait d’une jambe sur l’autre, ces talons claquant sur le sol.
-”OOOh voilà qui va me permettre de faire fortune !”
-”Tu dis ça à chaque fois… ”
-”Oui, et voilà 150 ans que tous les mortels qui désirent quelques chose de spécifique atterrissent dans ma boutique, pourquoi crois-tu que je reste dans ce rade miteux “ elle rigola. Le comptoir était plein de denrées à présent, qu’Hermas s’empressait de ranger hors de porter. Sauvage profita de ce répit pour examiner les objets de la boutiques; mains de singes à 6 doigts, yeux de tout sortes, en verre et pour voir, des drogues en tout genres. Quand Hermas eut terminé son rangement, il s’accouda au comptoir, reposant son imposante poitrine sur ce dernier et lui tendit une liasse de billet.
-”Et comme preuve de ma réussite déjà florissante grâce à cette ville de débauche, voici le paiement de cette commande et une avance sur le suivant. Sauvage rangea dans son sac et le remis sur son épaule. Elle s’apprétai à quitter l’échoppe quand elle se retourna :
-”Tu n’aura pas quelque chose pour ma monture ?” Hermas lui adressa un sourire énigmatique, et sortit un bouquet d’herbes sèches de son corsage.
-”Tiens, donne lui ça, elle te pardonnera ton absence ! Et c’est la maison qui offre, pour la meilleure coursière que j’ai jamais eue.”. Sauvage lui sourit, rangea le bouquet dans son sac.
-”Oh fait, méfie-toi de l’eau qui dort, elle cache les pires monstres”. Sauvage le regarda une dernière fois, surprise du conseil et quitta la boutique.
À peine sortie, elle réalisa qu’elle n’avait pas eu de repas correct depuis des jours, et estima qu’elle méritait au moins ça. Elle regarda autour d’elle et commença à avancer dans des petites ruelles, moins fréquentés que les quais. Au bout de quelques minutes, un parfum de viande grillée fit gargouiller son estomac. Elle chercha autour d’elle quelle gargote pouvait enfin servir une nourriture correcte dans cette ville de dépravations maritimes, et fut attirée par une minuscule devanture, coincé entre un bars bruyant et un hôtel. Les file de joies allaient de l’un à l’autre. Elle entra dans le restaurant. Trois tables, un comptoir qui donnait sur la cuisine, et trois broches de viandes différentes qui grillaient sur un grand feu. Elle s’assit au fond de la salle, pourtant déserte, et ôta sa capuche. Elle garda son sac sur elle et commença à examiner la décoration ; des paysages marins, à l’eau calme et aux nuages agités, étaient peints. Alors qu’elle se perdait dans la contemplation de ces paysages qu’elle haïssaient pourtant, une voix mélodieuse l’interrompit ;
-’Bonjour, voici la carte, vous savez ce que vous voulez boire ?”. Sauvage resta bouche bée ; la serveuse qui se tenait face à elle était d’une beauté hallucinante. Ces longs cheveux noires encadrés un visage fin à la peau diaphane. Ses yeux, bleus, était soulignés par un épais trait de khôl. Elle portait, elle aussi, un chemisier noir, largement ouvert sur une poitrine généreuse qui faisait disparaitre son tablier blancs. Sauvage n’eut plus qu’une idée en tête. L’avoir. Il lui fallait gouter cette femme au moins une fois. Le désir qui la submergée était impétueux. Elle répondit finalement.
-”Je vous fais confiance. Surprends-moi, et je prendrai de l’eau.” La jeune femme repartit avec un sourire et un dernier regard. Sauvage n’avait pas cessé de la fixer, elle avait des fesses divines et une démarche un peu étrange. On aurait dit qu’elle flottait, glissait sur le sol. Quelques minutes plus tard, la serveuse revint avec un pichet d’eau et une première assiette garni de morceaux de viandes grillés, de légumes crues et d’une purée de pois chiche. Elle déposa tout cela sur la table et déclara :
-”J’allais fermer, vous avez était ma seule cliente du jour, et je n’aime pas les hommes qui viennent ici après une certaine heure. Ça te dérange.” Sauvage sourit en se léchant rapidement les lêvres.
-”Non non, va y.” Elle se servit un verre d’eau et commença à boire. C’était étrange, d’habitude, elle détestait l’eau, mais cette dernière avait un gout différent, pétillant. La serveuse ferma la porte à clé. Dehors, sans que personne s'en aperçu, l’échoppe disparu.
(à suivre)
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carreimperial · 10 months
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Les chevaux en Russie (1812) Partie 1
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Sans trop aller dans la sociologie, il y a des similitudes entre le comportement des suiveurs de matchs sportifs et les suiveurs de documentaires napoléoniens agréés par la papauté tulardienne.
En effet, il est commun d’aimer le "spectacle", et on retiendra facilement la finale, les actions offensives, les "buts" et les marqueurs. Il n’y a qu’à voir, par exemple, à quel poste "jouent" les derniers vainqueurs du "ballon d’or".
Dans les campagnes militaires, on retient aussi tout ce qui est spectaculaire, on se focalise sur les batailles, les charges de cavalerie, car ce sont elles qui captivent, culbutent les défenses adverses et annoncent la victoire finale. Voici donc les visiteurs venus contempler les héros placés au centre des immenses tableaux, mais aucun ne s’interrogera sur les moyens techniques utilisés par l’artiste.
Loin d’être sous les feux des "projecteurs", des milliers de cavaliers eurent des missions vitales comme, par exemple, transmettre les courriers sur la ligne opérationnelle… Également, la logistique et son grand nombre de chevaux de trait indispensables pour tracter les centaines de canons, les milliers de caissons contenant trésors, imprimeries, armes, munitions, matériels divers, vivres, habits, et bagages.
Chevaux en juin 1812
L’organisation de l'Armée sous le commandement de Napoléon est bien faite. Il y a des rapports, matin et soir, des effectifs présents et absents. Le nombre précis de cavaliers dans chaque corps de cavalerie avant chaque "départ" est donc consultable au Service Historique de la Défense (SHD), à moins que… ["Les rapports ont étrangement disparu, Monsieur" (Vous êtes trop curieux, Monsieur)].
En revanche, il est difficile d’évaluer le nombre de chevaux de selle à un instant t, car les officiers pouvaient avoir entre 1 à 18 chevaux chacun, suivant leur grade ou leur fonction. Le SHD indique environ 107 000 chevaux de selle en juin 1812. La proportion approximée cheval/homme est d’un cheval pour quatre hommes.
Le nombre de chevaux de trait est également difficile à évaluer, cela varie entre 1, 2, 4 et 6 chevaux pour chaque caisson, canon, et voiture, suivant leur poids. Le SHD indique 49 816 chevaux de trait en juin 1812.
On remarque que, durant les campagnes, rien n’est laissé au hasard sur le nombre des effectifs. Il y a un équilibre des forces et une règle des pourcentages ou proportionnalité. Par exemple, les chevaux de trait représentent un peu moins de la moitié des chevaux de selle (45%), et il faut un peu plus de la moitié (55%) de ces chevaux de trait pour l’artillerie, 27 300 chevaux.
Chevaux à Moscou
Le 29e bulletin de la Grande Armée du 3 décembre 1812 indique une perte de plus de 30 000 chevaux en peu de jours, avec un pic entre le 14 et le 16 novembre. Cependant, cela n’a pas empêché d’avancer, de faire un combat et une bataille quelques jours après, puis de semer les armées russes à la Bérézina, ce qui veut dire qu’il restait un nombre suffisant de chevaux – sans, toute l’armée française aurait été prisonnière.
Essayons de trouver un nombre approximatif de chevaux durant le début du repli Moscou-Smolensk. À Moscou, au 18 octobre 1812, l’addition des effectifs des cavaliers des corps de cavalerie et de la Garde impériale correspond à 10 300 hommes. L’effectif de l’armée combattante correspond à 105 000 hommes, mais si on ajoute la gendarmerie, le quartier général, les grands parcs d’artillerie et du génie, les équipages, les ambulances, on atteint au total 116 000 hommes.
Si on respecte la règle du pourcentage 1/4, on peut estimer au minimum 29 000 chevaux, ce qui correspondrait à 20 000 chevaux de selle + 9 000 chevaux de trait, dont 5 000 pour l’artillerie.
Cependant, l’addition des bouches à feu (569) et des caissons d’artillerie (2070), début octobre, est de 2639, un nombre qui semble trop important pour l’équilibre du mouvement des forces. Admettons que l’on puisse les tracter par la moyenne de 3 chevaux, cela ferait 7 917. Ces 7 917 d’artillerie par 100/55 donneraient un total de 14 394 chevaux de trait. Additionnés aux 20 000 chevaux de selle, cela donne au maximum 35 000, un nombre plausible, compte tenu de la perte annoncée.
À Moscou, il y avait aussi 4 000 cavaliers démontés, non pas du manque de chevaux, nous l’avons constaté précédemment, mais du fait que leurs chevaux pouvaient être plus utiles ailleurs, par exemple, pour tracter les caissons civils supplémentaires ou comme réserve en cas de pertes imprévues.
Cause des pertes
La cavalerie des corps d’armée revenant de Moscou était encore très belle au 6 novembre 1812. Le temps passa du soleil aux nuages gris avec vent du nord, les premiers flocons commencèrent à recouvrir les chemins, puis la température chuta un peu jusqu’à -10 degrés la nuit. Rien de dramatique, mais pour atteindre la garnison de Smolensk, il restait encore deux à trois jours de marche pour l’avant-garde (Ve et VIIIe corps d’armée), quatre à cinq jours pour l’arrière-garde (Ier et IIIe corps d’armée), 7 jours pour le IVe corps d’armée du vice-roi Eugène…
Le verglas ralentissait l’allure, fatiguait, blessait et plusieurs centaines de chevaux mourraient chaque nuit au bivouac. Il semble que des cavaliers inexpérimentés avaient persisté dans leur indiscipline et avaient négligé de ferrer à glace les sabots de leurs chevaux, ce qui est la base dans cette situation.
Aussi, la logistique manquait de traîneaux pour tirer les canons et les caissons de munitions, de vivres et d’effets personnels. La perte générale des chevaux n’était pas due au froid, contrairement à ce que colportent les bavards des salons parisiens, mais aux marches successives et au peu de fourrage et d’avoine à certains endroits. Le cheval résiste très bien au bivouac et au froid glacial à condition qu’il soit bien nourri.
Constatons, aussi, que durant un repli, les pertes à un endroit de la marche ne sont pas des pertes définitives. À l’arrivée dans une garnison, il y a un dépôt de cavalerie qui recompléte les unités. Il y a également quelques combats et escarmouches qui permettent de récupérer des chevaux et des caissons…
Smolensk
Le séjour à Smolensk du 8 au 16 novembre était salutaire pour tous, l’essentiel était de reposer les chevaux, de recompléter la cavalerie grâce aux dépôts, et d’approvisionner en fourrage.
Aussi, Napoléon en profita pour réorganiser les troupes, en particulier la cavalerie : ordre de créer un corps actif de 6000 cavaliers en réunissant la cavalerie des cinq corps d’armée présents à Smolensk, et qui serait chargé de la protection des cantonnements d’hiver - Et oui, à ce moment-là, il était encore possible d’installer les quartiers d’hiver en Biélorussie, entre Vitebsk et Mohilof.
En plus, 5000 chevaux de Pologne étaient en partance pour Smolensk, et 30000 chevaux avaient été commandés au ministre des Relations extérieures Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano.
Étranges imprévus
Malheureusement, des imprévus « étranges » arrivèrent au même moment :
Le ministre Maret, à Vilna, avait tardé à faire les commandes de chevaux – 1 mois – irréparable.
Échecs des VIe, IIe et IXe corps d’armée (maréchaux Gouvion Saint-Cyr, Oudinot et Victor), chargés de protéger le nord de la ligne opérationnelle, perte des villes de Polotsk et de Vitebsk avec dépôts et combat perdu à Czasniki… La victoire française était pourtant indubitable, au moins de rejeter l’armée russe de Wittgenstein au delà du fleuve Dvina.
La ville de Minsk – avec dépôts et 2 millions de rations – était menacée. Les VIIe et XIIe corps d’armée (généraux Reynier et Schwarzenberg) chargés de protéger le sud de la ligne opérationnelle, étaient comme par hasard absents à plusieurs jours de marche.
Perte du dépôt de cavalerie de Gorki.
à suivre...
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