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#danny devito as ben grimm
island-delver-go · 1 year
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Um, yes please
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wanderingmind867 · 3 months
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I don't know who's in the fantastic four movie, but I don't know if I care that much. Unless Danny DeVito is the Thing, it's all a waste. Who else sounds like Jimmy Durante in this day and age? I'll tell you who: Danny DeVito. Nobody else I know of can capture that gravelly, new york/new jersey style accent that we all know the thing has. And I know Danny DeVito doesn't look anything like the human Ben Grimm, but he's just got the perfect voice! Besides, can't the thing's voice change once he's hit with radiation? I always assumed it changed. But that was just a me thing.
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mlmhumantorch · 4 years
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Fantastic Four Fancast Take 3
reed richards - oscar isaac (40) / william jackson harper (39) / rami malek (38) / john krasinski (40) 
susan storm - emily blunt (36) / kristen bell (39)
johnny storm - peter lowell (20)
ben grimm - adam pally (37) if anyone has other recommendations smash that reply button but if theyre not jewish i dont wanna hear it
alicia masters - america ferrera (35) / sofia boutella (37)
doctor doom - kevyn diana (35) he’s young but part of doom’s backstory is that he’s romani (here under early life) and i found him while searching romani actors, again taking recommendations
silver surfer - shemar moore (49) this one was my cousin’s idea because i had couldn’t think of anyone
annihilus - willem dafoe (64) 
galactus - idris elba (47) look i KNOW basically all of galactus is gonna be cgi but i think he has a good voice for the role
namor -  rami malek (38) / henry golding (32)
super skrull - jeffrey dean morgan (53)
mole man - danny devito (75)
puppet master - gary oldman (61)
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tim-burtonnet · 5 years
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Dumbo
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Quand Tim Burton a été annoncé en mars 2015 comme l’homme qui porterait l’adaptation live de Dumbo sur grand écran, la nouvelle avait été accueillie avec un certain sentiment de méfiance, pour ne pas dire de scepticisme. Après la douloureuse expérience Alice au Pays des Merveilles (2010) et un Frankenweenie en forme de vibrant hommage mais au succès mitigé en salles, l’échevelé de Burbank pourrait-il à nouveau se lancer dans une collaboration avec Disney tout en continuant de faire preuve du même entrain à la création ?
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Certes, notre Tim est chez Mickey comme chez lui et si la maison aux grandes oreilles lui a offert ses premiers jobs d’illustrateur et d’animateur (jusqu’à lui redonner l’opportunité de lancer Nightmare Before Christmas en 1993, projet jusque là bloqué dans les tiroirs de la firme), il n’en reste pas moins que la cohabitation a souvent été houleuse et que l’entertainment de masse de la boîte n’a pas toujours été raccord avec les valeurs gentiment transgressives du bonhomme.
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 D’autant que si Disney est aujourd’hui au sommet dans ce domaine, les adaptations de ses classiques en images réelles sont devenues - depuis Alice et son milliard de dollars de recettes mondiales – une véritable manne pour les studios qui ont prévu cette année la sortie de pas moins de trois de leurs classiques revisités : Aladdin (Guy Ritchie), Le Roi Lion (Jon Favreau) et le dit Dumbo qui ouvre le bal et dont l’aura par rapport aux deux succès pré-cités n’est pas aussi frais dans les mémoires du jeune public – ce qui justifie peut-être davantage sa relecture aujourd’hui.
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Or, grâce au grand succès commercial de Alice, il s’avère que ce cher Tim est indirectement responsable de cette mode et que s’il faut bien reconnaître une chose à la version proposée par le réalisateur d’Edward aux Mains d’Argent et Big Fish, c’est qu’elle s’est fendue d’une toute autre histoire que son modèle. Ce qui n’a pas été le cas d’autres gros succès live des studios – La Belle et la Bête de Bill Condon et Le Livre de la Jungle de Jon Favreau sont peut-être de belles prouesses techniques, mais elles demeurent des redites trop timorées des grands classiques qu’ils adaptent.
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Dès lors, c’est en se parant de tout son amour pour les individus étranges, d’un casting d’habitués et d’une volonté affirmée de proposer une lecture neuve du classique de 1941 réalisé par Ben Sharpsteen que Tim Burton nous livre sa propre version de Dumbo, petit éléphant mutique aux oreilles hypertrophiées, forcé de divertir un public ingrat et de satisfaire les responsables du cirque qui l’ont prématurément séparé de sa mère. Un terreau fertile de thématiques et de figures que Burton a coup sur coup défendu et conspué le long de sa prolifique et passionnante carrière de presque trente cinq ans de longévité.
Prendre son envol
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Première remarque positive à propos de ce Dumbo version live : sa complète réadaptation. Là où le dessin animé déshumanisait les personnages humains, souvent réduits à des ombres chinoises ou à la vénalité de son monsieur Loyal, Tim Burton et le scénariste Ehren Krueger ( Le Cercle, Les Frères Grimm, Transformers) leur donnent le premier rôle. Le petit éléphant devenant ici davantage le personnage-clé du récit que son acteur principal. Entièrement réalisé en images de synthèses, Dumbo n’en demeure pas moins le réceptacle privilégié des obsessions de Burton, son double à l’écran. Quiconque connaît un tant soi peu la carrière et les aspirations du réalisateur ne saura ignorer que cet éléphanteau rejeté pour sa difformité s’inscrit totalement dans la galerie des mal-aimés qu’il affectionne tant et auxquels il s’est à maintes fois identifié. On est même tenté de rapprocher Dumbo d’Edward, le semi-automate qui en 1990 lança définitivement l’amitié entre Tim Burton et Johnny Depp. Mutiques, moqués, artistes plus ou moins malgré eux dont on récupère le talent pour se donner de la valeur, les deux anti-héros partagent aussi ce regard si particulier. Celui d’un clown triste, qu’on balade au gré de ses envies et du besoin compulsif de ses voisins de se faire mousser au nom de son talent inné. En plus de ses merveilleuses oreilles qui lui permettent de voler (le plus vieux rêve de l’humanité), les deux larges billes bleues de Dumbo ressortent sur sa petite masse tendre,  ridée et grise, avec autant d’éclat que les figures des tableaux de Margaret Keane dans Big Eyes (2014), là aussi une artiste dont on exploite le talent à des fins purement pécuniaires. Ses yeux si expressifs qui se chargent de joie quand, dans une séquence superbe, des bulles de savon rose en forme d’éléphants – hommage appuyé à la marche des éléphants éthyliques du dessin-animé -  dansent dans les airs pour captiver les spectateurs du grand cirque Dreamland avant de subitement éclater et de faire revenir dans les pupilles du petit pachyderme le désespoir de l’illusion fragile si soudain envolée.
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Doit-on y voir là l’acidité d’un auteur, initialement enchanté mais qui n’a eu de cesse que de voir son travail récupéré et exploité par ceux-là même qui n’avaient pas eu le bon ton de le remarquer lors de ses jeunes années et qui aujourd’hui le courtisent avec tant d’assiduité ? Si aux mauvaises langues Burton paraîtra esclave volontaire, le dénouement du film prouvera qu’il est encore bien le seul de la sphère Hollywoodienne à pouvoir se permettre d’être élu, appelé et de jouir de sa position d’auteur intouchable pour dynamiter – littéralement - le système.
Dreamland : l’île des rêves oubliés
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PARAGRAPHE AVEC SPOILERS
Plaidoyer humaniste, ode à la différence et fable pro-animale, Dumbo va non seulement permettre à son attraction volante de finir son histoire libre des entraves du cirque (là où la fin de l’original, très discutable, laissait Dumbo revenir auprès de sa mère mais toujours sous le joug du divertissement) mais lui donne également la possibilité de se faire justice avec davantage qu’une pluie de cacahuètes sur ses tortionnaires. Initialement propriétaire de Dumbo et de sa mère, Max Medici (Danny DeVito, de retour pour la quatrième fois chez Burton dans un rôle très similaire à celui qu’il occupait dans Big Fish) accepte de vendre son affaire périclitante à monsieur Vandemere (impeccable Michael Keaton, qui revient dans le giron de Burton 25 ans après Batman le Défi). Cet homme d’affaires chic, déambulant canne à la main et dont les ambitions réelles ne sont guère discrètes, se verra acquéreur de l’éléphant volant fraîchement séparé de sa maman, avec l’objectif clair d’en faire l’attraction principale de son parc à thèmes : Dreamland, « où tout ce qui est impossible devient possible ».
Sous ce plus grand chapiteau du monde contenant cirque mais aussi attractions de fête foraine et galerie de monstres, le divertissement est roi, grandiose… et flanqué d’un grand « D ». Le message n’aura su être plus clair, jusqu’à ce que banquier et propriétaire des lieux ne s’installent dans des fauteuils de luxe pour assister au spectacle et dont les accoudoirs (filmés sous plusieurs angles) font immanquablement penser aux grandes oreilles de Mickey. Ce monde de paillettes qu’on offre clé en main à Dumbo et ses compagnons humains sont la poudre aux yeux que Vandemere espère bel et bien changer en poudre d’or. Une poudre qui, dans le film, prend parfois des atours inattendus. D’abord, ceux d’une plume. La fameuse plume magique qui fait éternuer Dumbo quand il la renifle et lui permet ainsi de s’envoler. Cette même plume qui devient alors le placebo de l’éléphant sans confiance dans ce nouveau monde trop grand où il doit justifier sa place en réitérant inlassablement chaque soir ce miracle de la nature devant un public venu en masse. Allégorie de la cocaïne ? On serait tenté de le penser quand c’est une autre poudre, celle d’haltérophile, qui vient faire rater à Dumbo sa première entrée en scène. Mais la poudre la plus explosive, c’est celle qui embrasera tout Dreamland dans une longue séquence finale où Dumbo sauvera ses amis humains en piochant de l’eau près de la galerie aux monstres. Symbole fort de la part d’un Burton qui a toujours choyé les figures issues de l’épouvante et du fantasmagorique – cette même attraction dans laquelle il retrouvera sa mère prisonnière auprès d’autres animaux grimés pour faire peur.
Il est à la fois déroutant et réjouissant de voir Disney laisser son auteur mettre le feu à ce qui est manifestement son parc et l’un des symboles de son hégémonie à travers le monde. Et pourtant, Tim Burton s’en donne à cœur joie et cet acte (quasi punk, s’il en est) permet le temps d’un instant de retrouver la gentille indécence de Burton qui, malgré qu’il ait toujours été bon joueur, semble autant  prendre un malin plaisir à incendier son décor qu’à donner la part belle à ses acteurs fétiches dont il sait à nouveau tirer tout le sel.
FIN DES SPOILERS
Le casting : amis et ennemis d’hier et d’aujourd’hui
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Si Dumbo porte le nom du film, ce sont les humains qui tirent la couverture à eux. Si le script sait rendre hommage à l’original et intelligemment réutiliser ses éléments phares (clin d’œil à la souris Timothée, la plume, la cigogne, le numéro des clowns pompiers et le fameux petit train), la surprise principale vient avant tout du casting, mené par un Colin Farrell dont c’est la première incursion dans le monde de Tim Burton. Holt Farrier est l’image du héros américain déchu, à la fois cow-boy de cirque et vétéran de guerre mutilé qui revient des tranchées de France avec un bras en moins. Un membre absent qui semble le prédestiner à être complété par l’autre attribut notoire de Dumbo : sa trompe, longue et grise à l’image de la prothèse gauchement portée par Holt. Cet homme brisé, veuf, sans chevaux à monter et avec deux enfants à charge, devient alors un freaks parmi les freaks, galerie d’artistes auxquels Burton donne à nouveau droit de citer. La famille adoptive ou de cœur est toujours au premier plan des œuvres de Burton et aussi imparfait soit le cirque de Max Medici, il fait office d’accueillante maison pour un homme qui non seulement accepte la personne qu’il est devenu mais doit également  reprendre contact avec des enfants dont les aspirations ne sont pas en phase avec les siennes.
Cet adulte « nouveau » qu’incarne Farrell est une figure autoritaire que Burton connaît trop bien : son propre père qui n’a pas toujours compris les aspirations artistiques de son fils. Ici, l’incompris devient une jeune fille : Milly (Nico Parker), une passionnée de sciences et de progrès, comme l’était le jeune Victor dans Frankenweenie (2012). C’est elle dont l’esprit éclairé verra avant les autres tout le potentiel de Dumbo. Cet espoir par les enfants, Burton en a fait son apanage depuis déjà plusieurs films – les combatifs enfants particuliers de Miss Peregrine (2016) en étant la parfaite incarnation. De nouveau père célibataire de deux enfants (comme Holt), Burton renoue enfin avec son enfant intérieur, sans sacrifier sa particularité sur l’autel du grand public ou du gimmick trop facile. Ainsi, la jeune Milly finira par offrir au cirque l’avenir radieux que nous réserve les sciences : le cinéma.
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Autre marginale, la trapéziste Colette (Eva Green qui assure elle-même presque toutes les scènes de voltige), poupée de soie bien française qu’exhibe Vandemere comme artiste et conquête dont il pourra s’enorgueillir à loisir. Au delà de sa nationalité qui la démarque en terres américaines, le personnage de Colette est aussi une figure de trophée tenue par un entrepreneur américain qui n’a de cesse de lui rappeler qu’il l’a tirée des rues pour lui offrir les cieux. Message outrancier d’une Amérique qui assoit sa puissance après avoir tiré l’Europe des griffes de l’ennemi lors du premier conflit mondial. Pas une surprise si l’artiste, qui tutoie les cieux tel le petit éléphant, finit par prendre le parti des marginaux et à sécuriser Dumbo, Holt et ses enfants sous son aile bienveillante. L’Europe (et la France, soyons chauvins) a toujours été d’un grand soutien pour Tim Burton dont la sensibilité a bien souvent trouvé un refuge et une complicité réciproque dans les cercles critiques et cinéphiles du vieux continent. Simple hasard ? On ne saurait y croire.
Mais Dumbo marque aussi le retour d’un duo de choc : Michael Keaton et Danny DeVito, les cultissimes ennemis de Batman le Défi (1992), cette fois-ci dans des rôles inversés. À Keaton, ex-homme chauve-souris, de devenir la crapule du duo. Doucereux et cupide, son personnage devient ici une sorte de Bruce Wayne maléfique et capitaliste, tournant le dos à la fenêtre pour plonger dans son journal. Lui aussi flanqué d’un majordome (et de la même voiture que Alfred Pennyworth), Vandemere emprunte aussi bien de son faste à JFK en personne qu’au Joker campé par Nicholson dans le premier Batman de Burton (1989), comme le confirme l’entrée en fanfare dirigée par une troupe de clowns dans l’impressionnant décor de Dreamland – l’un des plus crédibles et merveilleux du cinéma Burtonien depuis bien des années. Sans parler bien sûr du grand Walt Disney lui-même, homme que l’histoire a souvent retenu comme étant peu scrupuleux et colérique à l’excès.
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Cette direction artistique sans faille, le chef décorateur Rick Heinrichs la met à nouveau au service du cirque. Après Batman Le Défi et Big Fish, celui qui accompagne Burton depuis ses débuts s’est encore fendu de nombreuses références, à la fois agréablement retro et à l’usage des initiés, encore qu’avec un brin moins de systématisme que par le passé. Parmi ces réjouissantes trouvailles, on note le petit train, usé mais vaillant, qui fend la toile dès le générique, comme dans l’introduction de Dark Shadows (2012) et dont la locomotive est placardée d’un sourire très régulier dans les esquisses de Burton l’illustrateur (et qu’on retrouve dans les machines d’Edward Scissorhands ou sur le visage du chat qui décore les bâtiments de Schrek Industries dans le second Batman, ainsi que sur le faciès du chat de Alice.) Ou dans la « tour de contrôle » de Dreamland, hérissée d’épines et dont l’aspect sphérique renvoie aux bâtiments torturés et expressionnistes de Nightmare Before Christmas. Le plus beau décor demeurant Dreamland lui-même, intégralement construit en dur dans un hangar et devenu l’habitat de véritables artistes de cirques venus expressement à la demande de Burton pour effectuer des numéros inédits.
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Quant à Max Medici, il est cet entrepreneur qui lutte avec son univers, qui se rêve avoir un frère et trop souvent débordé par les responsabilités. Y aurait-il un peu de Burton là-dessous également ? Le réalisateur, artiste fatigué ? Malgré quelques défauts, son Dumbo ne le laisse en aucun cas transparaître, bien au contraire.
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Script simple ?
S’il faut bien reconnaître quelques défauts au film, il viennent avant tout de l’accessibilité obligatoire que l’on se doit d’apporter à cette histoire et qui transparaît dans le scénario. Vu sous l’œil de personnages humains, la cruauté de voir Dumbo séparé de sa mère perd sensiblement en émotion par rapport au dessin-animé qui aura fait pleurer jusqu’à un gradé de l’armée U.S dans le 1941 de Steven Spielberg (la chanson Baby Mine est ici chantée par les forains lors de la déchirante séquence où Dumbo et sa mère se tiennent par la trompe à travers les barreaux d’une cage). Bien qu’adorable, Dumbo n’en reste pas moins victime et ne devra son statut de personnage à part qu’aux réactions parfois abusives de certains personnages, uniquement motivées à l’avancement du scénario. Ainsi, Max Medici le qualifiera automatiquement de monstrueux lorsqu’il verra ses oreilles pour la première fois ; de même, les premiers spectateurs à l’apercevoir le railleront avant de le bombarder de pop-corn. Un dégoût difficile à croire quand autant de soin a été apporté à l’adorable bouille du pachyderme. De plus, un homme de spectacle aussi avisé que Max Medici aurait su déceler le potentiel d’une telle attraction, d’autant que Dumbo semble très alerte et (trop?) apte à comprendre les consignes qu’on lui donne. De même, lors de son premier vol à Dreamland qui manque de peu de rater, le banquier joué par Alan Arkin (le même qui tente de persuader Edward du bien fondé du capitalisme) se dira floué et menacera Vandemere de lui couper les vivres si Dumbo ne fait pas cinq tours de pistes. Devant le miracle que représente l’éléphant volant, cette réaction semble tout de même exagérée, d’autant que ce personnage ne réagira en rien face à la destruction du parc qui semble lui avoir coûté un certain investissement.
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C’est le souci d’un conte : il faut admettre qu’il soit parfois gros et que les méchants soient unidimensionnels et sans nuances, parfois proches de la caricature. Mais chez Burton, il n’est pas rare de tomber sur ces brutes sans que le récit en soit spécialement impacté – que ce soit le grotesque adversaire de Pee-Wee Hermann (1985), lord Barkis (Les Noces Funèbres) ou l’infect Jim dans Edward. De plus, il est parfois nécessaire pour le jeune public (à qui le film est commercialement destiné) de reconnaître le mal quand il se présente et le film possède bien assez de degrés de lecture différents pour être apprécié par tout type de spectateur.
Savoir tendre l’oreille
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Burton s’est-t-il vu comme le clown triste du grand cirque de la vie ? Fort des riches thématiques de son récit et quelles que soient ses vues sur le divertissement d’aujourd’hui, il permet pour la première fois à l’un de ses anti-héros difformes d’en réchapper et de revenir parmi les siens (la PETA ayant en partie beaucoup insisté pour que la fin originale du dessin animé soit modifiée). Dumbo revient à la famille, aux animaux qui ne portent pas de jugement et aura, au passage, participer au rapprochement d’une famille humaine désunie par la vie. Un poids bien lourd à porter pour un si petit animal doté d’aussi grandes qualités. Un petit poisson dans une grande marre où il lui a été préjudiciable de trop nager.
Contre toute attente, le 19ème film de Tim Burton le fait revenir à un certain essentiel, à une fantaisie sincère et à une humanité dans ce qu’elle a de plus éparse, imparfaite mais parfois bienveillante. Comme le cirque Medici revient à ses valeurs et à la beauté de l’exploration par l’Art, sans exploitation et en conservant son âme d’enfant. Emprunte de nostalgie.
Grâce à Tim Burton et tel Christopher Reeve avec Superman, nous pouvons désormais croire qu’un éléphant peut voler.
Arnold Petit pour Tim-Burton.net
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ilivewithengineers · 7 years
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Disney’s Live Action Line-Up
Guys, I went down a rabbit hole.
There are 20 movies, somewhere between “off-hand comments” and “currently in post-production”.
People are listed with stuff I’ve seen or I know my roommates have seen, unless I feel the actors name is enough.
Upcoming films (production or post-production):
The Nutcracker and the Four Realms (2018) dir. Lasse Hallstrom ([almost] all ABBA music videos, 2005′s Casanova) writer: Ashleigh Powell (no released credits) Drosselmeyer (godfather) - Morgan Freeman Sugar Plum Fairy - Keira Knightley Mother Ginger - Helen Mirren Mr. Stahlbum (father) - Matthew Macfayden (2005′s Pride & Prejudice - Mr. Darcy)
Mary Poppins Returns (2018) dir. Rob Marshall (Chicago, Memoirs of a Geisha, Pirates of the Caribbean: On Stranger Tides, Into the Woods) writer: David Magee (Finding Neverland, Miss Pettigrew Lives for a Day, Life of Pi) Marry Poppins: Emily Blunt (The Devil Wears Prada - Emily, Charlie Wilson’s War - Jane Liddle, Sunshine Cleaning - Norah, Into the Woods - Baker’s Wife, The Huntsman: Winter’s War - Queen Freya, The Girl on the Train - Rachel) (new) Jack The Lamplighter: Lin-Manuel Miranda (new) Cousin Topsy: Meryl Streep (new) bank president William Weatherall Wilkins - Colin Firth Jane Banks - Emily Mortimer (The Newsroom – heroine MacKenzie McHale) Michael Banks - Ben Whishaw (The Hollow Crown – King Richard, Skyfall – Q) (new) Balloon Lady - Angela Lansbury board member Mr. Dawes Jr. - Dick Van Dyke (1964’s Mary Poppins – street sweeper Bert, The [New] [Dick] Van Dyke Show, Chitty Chitty Bang Bang – Caractus Potts) maid Ellen - Julie Walters (Harry Potter franchise - Mrs. Weasley, Brave - the witch) totally-not-gay neighbor and cannon enthusiast Admiral Boom - David Warner (Tron - Ed Dillinger, Star Trek V - St. John Talbot, Batman: TAS - Ra’s al Ghul, Hogfather - Lord Downey, Penny Dreadful - Van Helsing, Wallander - Povel Wallander)
A Wrinkle in Time (2018) dir. Ava DuVernay (stuff) writer: Jennifer Lee (Wreck-It Ralph, Frozen, Zootopia) Mrs. Whatsit – Reese Witherspoon Mrs. Who – Mindy Kaling (The Office – Kelly Kapoor, The Mindy Project – Mindy Lahiri) Mrs. Which – Oprah Winfrey Dr. Alex Murry – Chris Pine Dr. Kate Murry – Gugu Mbatha-Raw (Doctor Who- Tish Jones, Jupiter Ascending – Famulus, 2017’s Beauty and the Beast - Plumette) Meg Murry – Storm Reid (stuff) The Happy Meidum – Zach Galifanakis (stuff) Red – Michael Pena (Ant-Man – Luis, The Martian – Rick Martinez) Principal Jenkins – Andre Holland (stuff) Calvin – Levi Miller (stuff) Calvin’s Father – Daniel MacPherson (stuff) ??? - Bellamy Young (Scandal – Mellie Grant, Criminal Minds – Beth Clemmons, Scrubs – Dr. Miller) ??? - Will McCormack (In Plain Sight – Robert O’Conner)
unspecified live-action fairy tale releases on: July 28, 2017; April 6, 2018; December 20, 2019.
unspecified live-action releases: August 3, 2017; December 25, 2018.
Upcoming films (pre-production or early stages)
Mulan Release date: November 2, 2018 director: Niki Caro (wrote/dir 2002’s Whale Rider, other things I’ve never heard of). writer: Rick Jaffa/Amanda Silver (Rise of the Planet of the Apes, Dawn of the Planet of the Apes, Jurassic World) will not be a musical. original draft included “30-something European trader” as love-interest. This idea did not survive rewrites. “all primary roles, including the love interest, are Chinese” “It’s a big, girly martial arts epic. It will be extremely muscular and thrilling and entertaining and moving.”
Aladdin director: Guy Ritchie (Sherlock Holmes, Sherlock Homes: A Game of Shadows, King Arthur: Legend of the Sword, Madonna: What It Feels Like For a Girl). writer: John August (Titan AE, 2000′s Charlie’s Angels, Charlie and the Chocolate Factory, Corpse Bride, Dark Shadows) will be a musical Has issues with Robin Williams’s estate regarding the Genie and his portrayal. Leads are spec’d as Middle Eastern. shooting: July 2017 - January 2018 “My stories are really about street hustlers. That’s what I know how to do. And Aladdin is a classic street hustler who makes good.” - Guy Ritchie via Disney CEO Sean Bailey
The Lion King pre-production director: Jon Favreau (Elf, Iron Man, Iron Man 2, Cowboys & Aliens, 2016’s The Jungle Book) writer: Jeff Nathanson (Catch Me If You Can, Rush Hour 3, Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull, Tower Heist) Simba: Donald Glover (Community - Troy Barnes, Magic Mike XXL - Andre, The Martian - Rich Purnell) Mufasa: James Earl Jones (Star Wars - Darth Vader, The Lion King - Mufasa, 3rd Rock from the Sun - Narrator)
Cruella Maleficent-style take on 101 Dalmations director: Alex Timbers (debut) writer: Kelly Marcel (Saving Mr. Banks, Fifty Shades of Grey) Cruella de Vil: Emma Stone (La La Land - Mia, The Amazing Spiderman 2 - Gwen Stacy, Zombieland - Wichita, Superbad - Jules)
Tink writer: Victoria Strouse (Finding Dory) Tinker Bell: Reese Witherspoon (Legally Blonde - Elle Woods)
live-action Peter Pan something director/writer: David Lowery (Pete’s Dragon) writer: Toby Halbrooks (Pete’s Dragon)
The Sword in the Stone writer: Brian Cogman (Game of Thrones)
Pinocchio writer: Peter Hedges (??)
Dumbo director: Tim Burton (*take a deep breath* Beetlejuice, Batman, Edward Scissorhands, Batman Returns, Sleepy Hollow, Planet of he Apes, Charlie and the Chocolate Factory, Corpse Bride, Sweny Todd: The Demon Barber of Fleet Street, 2010′s Alice in Wonderland, Dark Shadows) writer Ehren Kruger (Scream 3, The Ring, The Brothers Grimm, Transformers 2-4, Ghost in the Shell) CGI/live action mix Colette - Eva Green (Kingdom of Heaven - Sibylia, Casino Royale - Vesper Lynd, The Golden Compass - Serafina Pekkala, Camelot - Morgan, Penny Dreadful - Vanessa Ives, Dark Shadows - Angelique Bouchard) circus manager Medici - Danny DeVito (Batman Returns - Penguin, Matilda - Mr. Wormwood, 100+ other things I’ve never seen before)
Winnie the Pooh premise: adult Christopher Robin returning to the Hundred Acre Wood writer: Alex Perry? (Australia’s Next Top Model, Project Runway Australia)
Rose Red “Rose Red works with the dwarves to bring Snow White back to life” writer: Justin Merz? (The Boxcar Children) writer: Evan Daugherty (Snow White and the Huntsman, Divergent, Teenage Mutant Ninja Turtles, The Huntsman: Winter’s War)
Prince Charming writer: Matt Fogel? (??)
Jungle Book 2 director: Jon Favreau writer: Justin Marks (The Jungle Book (2016))
Maleficent 2 writer: Linda Woolverton (Beauty and the Beast (1991), The Lion King, Alice in Wonderland (2010), Maleficent) Maleficent: Angelina Jolie
Jungle Cruise writer: John Requa/Glenn Ficarra (Cats & Dogs, Bad Santa, Bad News Bears) ???: Dawyne “The Rock” Johnson
Fantasia something Maleficent-style retelling for the demon Chernabog writer: Matt Sazama/Burk Sharpless (The Last Witch Hunter, Gods of Egypt, Power Rangers)
Genies prequel to Aladdin writer: Damian Shannon/Mark Swift (Freddy vs. Jason, Friday the 13th)
Sources (not including IMDB pages)
http://time.com/4525871/disney-live-action-movies/
http://time.com/4308042/disney-pipeline-live-action-fairy-tales/
http://variety.com/2016/film/news/disney-claims-dates-for-several-new-movies-confirms-jungle-book-2-mary-poppins-sequel-1201760227/
http://time.com/3947750/disney-prince-charming-film/
http://www.hollywoodreporter.com/news/tim-burton-direct-live-action-780397
http://variety.com/2015/film/news/disney-developing-live-action-aladdin-prequel-1201541165/
http://ew.com/article/2016/04/13/disney-live-action-peter-pan-movie/
http://www.hollywoodreporter.com/heat-vision/emma-stone-talks-play-cruella-852693
http://time.com/4518450/disney-sets-a-date-for-live-action-mulan-movie/
http://variety.com/2017/film/news/donald-glover-simba-lion-king-remake-1201991771/
http://www.vulture.com/2016/10/fans-dont-want-a-mulan-with-a-white-male-lead.html
http://www.vulture.com/2017/03/beauty-and-the-beast-disneys-remake-machine.html
http://www.slashfilm.com/fantasia-live-action-remake/
http://hiddenremote.com/2017/03/06/lin-manuel-miranda-jack-lamplighter-new-mary-poppins-photo/
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island-delver-go · 1 year
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