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#juilliard pembroke
shujubeelamoglia · 4 months
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Keiynan Lonsdale
Milky
Photography by Vasili Papathanasopoulos
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jpbjazz · 1 month
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LÉGENDES DU JAZZ
ROLAND HANNA, PIANISTE ET VIOLONCELLISTE
"Anyone who plays music should play it primarily for the love of the art. [T]he business end of it should come as an afterthought; the music must be first."
- Roland Hanna
Né le 10 février 1932 à Detroit, au Michigan, Roland Pembroke Hanna a commencé à jouer du piano classique à l’âge de onze ans sous l’influence de son père, un ministre du culte et saxophoniste. Il avait aussi joué du saxophone alto à l’école. D’abord influencé par le gospel et le rhythm & blues, Hanna avait été familiarisé avec le jazz durant ses études au Cass Technical High School par son ami, le futur pianiste Tommy Flanagan. Décrivant Flanagan comme une de ses principales influences aux côtés d’Art Tatum et Artur Rubinstein, Hanna avait déclaré à son sujet: ''He sort of made it seem like I could do it too, so I jumped in.'' Dans le cadre de ses études au high school, Hanna avait également côtoyé Barry Harris, Hank Jones et Woody Anderson. Hanna avait aussi été influencé par des compositeurs romantiques comme Frédéric Chopin, Johannes Brahms, Claude Debussy et Maurice Ravel.
De 1950 à 1952, Hanna avait fait son service militaire et avait joué dans le groupe de l’armée.
Devenu rapidement un des pianistes dominants de Detroit aux côtés de Flanagan, Hank Jones et Barry Harris, Hanna avait contribué à fonder le style de piano de Detroit qui combinait une grande maîtrise technique aux innovations harmoniques du bebop et aux traditions du blues, du stride et du ragtime. Caractérisé par une profonde connaissance de l’harmonie, son côté percussif, son sens du swing et sa proximité avec le bebop, le style de Detroit n’avait cependant jamais vraiment convaincu Hanna de son originalité. Comme Hanna l’avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée en 2000: "I don't know anything about a Detroit approach to playing piano. I didn't make that up, and I don't have anything to do with it. But I do know that there were many, many fine Detroit pianists--and a number of guys that you probably never heard of, because they didn't leave Detroit."
Après son service militaire, Hanna avait étudié brièvement à la Eastman School of Music à Rochester, dans l’État de New York, en 1953, mais déçu qu’on ne lui permettait pas de jouer du jazz, il avait quitté Detroit deux ans plus tard pour aller étudier à la Juilliard School of Music. C’est peu avant son entrée à Juilliard que Hanna avait épousé Ramona Woodard.
Très populaire comme accompagnateur, Hanna avait amorcé sa carrière avec son compatriote de Detroit, le trompettiste Thad Jones, qu’il avait accompagné au club Blue Inn en 1952. Recruté par Benny Goodman en 1958, Hanna s’était produit notamment au Festival de jazz de Newport en 1958 et dans le cadre d’une tournée européenne qui s’était terminée à l’Exposition internationale de Bruxelles. Toujours en 1958, Hanna avait joué avec Coleman Hawkins dans le cadre de l’émission de télévision Jazz Party de Al Ford. Hawkins appréciait d’ailleurs particulièrement les pianistes de Detroit. L’année suivante, Hanna avait accompagné le contrebassiste Charles Mingus au club Half Note de New York. Comme Hanna prenant souvent des congés sabbatiques afin de se produire sur scène, il lui avait fallu cinq ans pour terminer ses études à Juilliard en 1960.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir décroché son diplôme, Hanna avait accompagné Sarah Vaughan et Al Hibbler, le chanteur de l’orchestre de Duke Ellingon. Hanna n’avait pas encore obtenu son diplôme qu’il avait enregistré un album solo intitulé ‘’Roland Hanna Plays Harold Rome's 'Destry Rides Again''' ainsi qu’un album avec son trio composé de Ben Tucker à la contrebasse et de Roy Burns à la batterie. Les deux albums avaient été publiés en 1959 par les disques Atco.
De 1963 à 1966, Hanna avait dirigé son propre trio, avec qui il avait joué au club Five Spot de New York. Après avoir remplacé son vieil ami Tommy Flanagan dans le quartet de Coleman Hawkins, Hanna avait fait une tournée au Japon en 1964 avec un quartet qui comprenait le trompettiste Thad Jones.
À partir de 1966, Hanna avait travaillé sur une base régulière avec le Thad Jones-Mel Lewis Jazz Orchestra, avec qui il avait participé à une tournée en URSS en 1972. Hanna avait finalement quitté l’orchestre en 1974, sous prétexte que le groupe était devenu trop commercial. Hanna avait alors fondé le New York Jazz Quartet, un groupe qui se concentrait sur ses propres compositions et qui comprenait le saxophoniste et flûtiste Frank Wess, un ancien membre de l’orchestre de Count Basie, ainsi que le contrebassiste George Mraz et le batteur Billy Hart. Avec le temps, Hanna avait commencé à démontrer une plus grande ouverture face au jazz-fusion. Comme Hanna l’avait expliqué en 1980: "[O]ne of the main reasons I left the Thad Jones band was because they began to play rock-oriented music with electronic instruments and all that and I just couldn't take that. But I've changed now; I still don't play electric instruments, but at least I can listen to them, and I can understand why they want to do it."
Hanna avait également dirigé le Rosengarden Orchestra dans le cadre de l’émission de télévision de Dick Cavett.
En 1969, Hanna avait fait partie d’une tournée bénéfice en Afrique au profit de l’éducation des enfants du Libéria. La tournée, qui avait permis de recruter la somme de 100 000$, avait  valu à Hanna d’être sacré chevalier par le président du Liberia, William Tubman. Très fier d’avoir participé à la tournée, Hanna insistait d’ailleurs pour être appelé ‘’Sir.’’
DERNIÈRES ANNÉES
Durant la majeure partie des années 1980, Hanna avait vécu dans une sorte de demi-retraite. Il avait cependant continué de se produire avec son quartet et de composer, écrivant notamment la chanson "Seasons" pour l’album ‘’Crazy and Mixed Up’’ de la chanteuse Sarah Vaughan en 1982. Expliquant son retrait partiel de la scène, Hanna avait précisé: "I've just found that to work alone, without the problems that other people present, is the easiest area and yet the one that offers the most challenge to me.’’ Dans les années 1980, Hanna avait également joué dans des petits groupes dirigés par le contrebassiste Ron Carter. En 1987, Hanna avait enregistré une série d’excellents albums, dont un disque en solo intitulé ‘’Round Midnight’’, d’après le titre de la célèbre composition de Monk. Sa composition ‘’Prelude’’, tirée du même album, avait d’ailleurs été écrite à l’origine pour être interprétée au violoncelle, son autre instrument de prédilection.
En 1988, Hanna avait interprété les parties de piano dans le film ‘’Bird’’ du réalisateur Clint Eastwood, consacré à la vie du légendaire saxophoniste Charlie Parker. Après la mort de Mingus en 1979, Hanna avait également fait partie de plusieurs groupes en hommage au compositeur, dont Mingus Dynasty. Il avait aussi participé en 1989 à la présentation en grande première de la composition de longue durée Mingus, ‘’Epitaph.’’
Lorsqu’il avait fait un retour dans les années 1990, Hanna s’était concentré plus particulièrement sur sa carrière solo et son travail de compositeur.
À la fin des années 1980 et au début des années 1990, Hanna avait été membre du Lincoln Center Jazz Orchestra et du Smithsonian Jazz Masterworks Orchestra. À la même époque, Hanna avait également commencé à composer de la musique de chambre et de la musique orchestrale. En plus d’écrire un ballet en vue de sa présentation sur scène, Hanna avait aussi composé de la musique pour des spectacles de danse, dont "My Name Is Jasmine, but They Call Me Jazz" qu’il avait écrite pour le BalletMet de Columbus, en Ohio, et sa "Sonata for Piano and Violin", qui lui avait été commandée par la Bibliothèque nationale du Congrès et qui avait été interprétée par la troupe Jazzdance. En 2000, Hanna avait d’ailleurs élargi la pièce pour qu’elle soit interprétée par le New York Philomusica Chamber Ensemble et le Sanford Allen Chamber Ensemble.
À la fin de sa carrière, Hanna avait troqué le piano pour le violoncelle dans le cadre d’une performance avec un trio de musique de chambre. Il avait également fait une tournée avec un quartet classique dans lequel il avait joué ses compositions pour violoncelle.
En 1993, Hanna avait été pianiste invité dans le cadre de la présentation de sa composition ''Oasis'' par l’orchestre symphonique de Detroit. La même année, Hanna avait également rendu hommage au pianiste Erroll Garner dans le cadre d’une performance en solo à Carnegie Hall. L’année 1993 avait aussi marqué la publication de l’album ‘’Maybeck Recital Hall’’ dans lequel Hanna avait démontré avec éloquence que la musique de Tommy Flanagan, Errol Garner et Thelonious Monk pouvait facilement cohabiter avec les oeuvres des compositeurs classiques du 20e siècle.
En 1999, Hanna avait participé à une tournée en solo dans le cadre d’une exposition itinérante de la Smithsonian Institution consacrée à la musique de Duke Ellington.
Même s’il gagnait bien sa vie comme pianiste et compositeur, Hanna tirait l’essentiel de ses revenus de l’enseignement. Il a notamment été professeur à la Eastman School of Music, à la New School of Music et à l’Aaron Copland School of Music du Queens College.
Résident de Teaneck, au New Jesrsey, Hanna avait continué de faire le circuit des festivals et des clubs jusqu’à trois semaines avant sa mort, alors qu’il était tombé malade durant une tournée au Japon. Hanna est décédé à Hackensack, au New Jersey, à la suite d’une infection cardiaque survenue le 13 novembre 2002. Il était âgé de soixante-dix ans. Hanna laissait dans le deuil son épouse Ramona Woodard avec qui il était marié depuis quarante-huit ans, ses fils Michael et Christopher, ses filles Cheryl et Cheri, ainsi que ses petits-enfants, ses soeurs Winifred Wells et Ethel Brown et ses frères Leonard, Elisha et Lagorce. Après sa mort, le Queens College, où Hanna avait enseigné durant de nombreuses années, lui avait rendu hommage dans le cadre d’un concert à son honneur.
Qualifié de musicien impeccable par le critique John S. Wilson du New York Times en 1985, Hanna était aussi à l’aise dans le ragtime que dans les oeuvres de jazz moderne comme celles de John Coltrane. Loin de se limiter au jazz, Hanna était également très influencé par la musique classique. Comme il l’avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée en 1988: ''Classical music has always been a driving force for me, but jazz is my natural music.'' Hanna, qui n’avait jamais vraiment apprécié les étiquettes, avait ajouté: ''For the average person, music is separated into categories, but not for me. To me, music is food, and I don't have to say 'These are apples and these are pears.' I can say 'This is music and it tastes good.' ''
Également reconnu pour ses talents d’improvisateur, Roland Hanna a écrit plus de 400 compositions et enregistré plus de quarante albums au cours de sa carrière. Parmi les albums les plus acclamés de Hanna, on remarquait ‘’Child of Gemini’’ (1971), une suite pour piano et violoncelle, et ‘’Sir Roland Hanna: A Gift from the Magi’’ (1978).
Décrivant sa passion pour la musique, Hanna avait commenté: "Anyone who plays music should play it primarily for the love of the art. [T]he business end of it should come as an afterthought; the music must be first." Durant toute sa carrière, Hanna était demeuré fidèle à ses convictions selon lesquelles la musique était une forme d’expression humaine à l’état pur. Il avait déclaré: "Music is more than just something for people who have money and who want to be amused, to go and listen to. To me, music is a sort of a help-mate for human beings to get through life with; it's a valve for us to release some of the pressure that builds up. We need it--not as sheer entertainment, but because we may not exist if it weren't here."
Qualifiant Hanna de chef d’orchestre doté d’une vision d’ensemble, le critique du magazine Down Beat, Jack Sohmer, écrivait: "[I]t is indeed a pleasure to hear from a pianist who is truly a whole musician, one who thinks and responds in manners that are beneficial to the unit at hand and not just to himself.’’ Décrivant le style de Hanna, le critique Whitney Balliett avait commenté: "Hanna is a buoyant, resplendent pianist. He uses a great many chords and baroque melody lines, and he likes to keep coming to climaxes."
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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slytherinqueen71 · 1 year
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Dance Your Way to The Top
If you like dancing or music then watch the movie “Work It;” it’s full of music and dancing. Even if you don’t like either of those, it’s still a good movie to watch when you're bored or need something to watch. The movie was released on Aug. 7 and has already seen 7,823 views so far and an IMBD score of 6.1.
Quinn Ackerman, played by Sabrina Carpenter (Girl Meets World), is a clumsy, smart girl who wants to go to Duke for college, but discovers that her lack of extracurriculars is hurting her chances of getting in. She decides to join the school’s award-winning dance team, but mean-boy Juilliard Pembroke, played by Keiynan Lonsdale (The Flash), laughs her off the stage. Quinn’s best friend Jasmine Hale, played by Liza Koshy (Liza on Demand), quits the dance team to help her friend form their very own crew, called TBD (to be determined) with the help of Jake Taylor, played by Jordan Fisher (Liv & Maddie), who used to be a famous dancer before suffering a career-ending injury. 
The TBD dance team practices and performs different types of music, making this soundtrack one of the year's best, organized by Germaine Franco. She used music that came out this year like Wow by Zara Larsson, Let Me Move You by Sabrina Carpenter and Onset by Haiku Hands.
“Work It” is a really good movie, and it deserves five out of five stars. Perhaps the best part is the portrayal of all the characters as they grow and develop. The plot is about dancing and is entertaining, but the love story between Quinn and Jake is what makes the movie memorable. And while Quinn creates this dance team to help her get into Duke, she eventually learns a lot about who she is and develops a passion for dance. 
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shujubeelamoglia · 2 months
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shujubeelamoglia · 9 months
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shujubeelamoglia · 10 months
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shujubeelamoglia · 9 months
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shujubeelamoglia · 6 months
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shujubeelamoglia · 4 months
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shujubeelamoglia · 7 months
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shujubeelamoglia · 1 year
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shujubeelamoglia · 8 months
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shujubeelamoglia · 2 months
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shujubeelamoglia · 5 months
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shujubeelamoglia · 5 months
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shujubeelamoglia · 4 months
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