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#rocher Bayard
micascarvalho · 2 months
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Do you know a spot that’s tighter than this one ? 😅
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Rocher Bayard is like a toy (as if you were a giant 100 meters tall), in red-cyan anaglyph iXYt 3D. For details please visit syla.top/by-angels-eyes/. iXYt 3D is a method of writing 3D videos for VR (or more precisely TR, transferred reality - more natural looking than common "plastic" VR, but never seen by the naked eye). ixyt.info is a worldwide affiche-map-calendar and our sponsor partner. It's a rebranding from youtube.com/@ixyt and youtube.com/@anatlaz to youtube.com/@ixyt-anatlaz and youtube.com/@ixyt-vr
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philoursmars · 2 years
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Bon mon but est d’essayer de présenter l’ENSEMBLE de mes 50.000 photos (ce n’est pas une exagération, hélas! 52845 à ce jour !!). Evidemment, pas toutes…
1989, balade en Wallonie...
- fête foraine à Tournai
- id
- Dinant
- id : Rocher Bayard
- la Meuse entre Dinant et Namur
- Spontin
- id
- Crupet : Jean-Luc devant les Saints
- id : le Diable ne peut PAS voir ça !
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Gourdouze, sur le Mont Lozère
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                       Ancien bénitier (au centre de la niche) à Gourdouze 
Randonnée en hautes Cévennes, du Mas de la Barque (Mont Lozère) au hameau de Gourdouze situé au-dessus du village de Vialas et de sa vallée
Photos Nathalie (9-12) et Bertrand (1-8) Donadille, 17 avril 2019
Départ dans la neige à plus de 1400 m d’altitude.
On a d’abord suivi le Ruisseau de Bayard en sous-bois, au bruit de l’eau et à l’aide du GPS, le sentier n’étant pas balisé, ni repérable à cause de la neige. Mais j’y venais avec ma grand-mère quand j’étais jeune et je connais le coin.
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On est arrivé ensuite à la confluence du Ruisseau de Bayard, que l’on a traversé, et du Ruisseau de Gourdouze
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A partir de là, le chemin était parfaitement repérable et balisé.
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La main de l’homme est visible partout sur les versants des vallées cévenoles comme ces bancel* ou bancau, ces bandes de terre soutenues par des murs de pierre sur lesquelles nos ancêtres cultivaient leurs plantations.
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* Bancel est dérivé du mot occitan “banc”, lui-même dérivé du terme germanique “bank” qui désignait les banquettes accolées le long des murs des pièces à vivre dans les maisons en bois germaniques et que l’on retrouve aujourd’hui dans les habitations allemandes, autrichiennes ou tchèques.
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                                            Vallée de la Gourdouze
Après avoir rejoint le GR 68, on a atteint le petit hameau de Gourdouze. Ancien prieuré au XIVe siècle, il est aujourd’hui propriété du Parc National des Cévennes.
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Du hameau, on a une vue magnifique sur les Rochers de Trenze surplombant le village de Vialas et sa vallée que l’on peut rejoindre à pied par la calade de Gourdouze qui descend en serpentant sur les flancs du Lozère.
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Au retour, on a emprunté le même chemin jusqu’au Ruisseau de Bayard que j’ai traversé au péril de ma vie !
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Mais pour la dernière partie de la randonnée, nous avons suivi les panneaux indiquant PR qui nous ont ramené sur les hauteurs enneigées du Mas de la Barque par un itinéraire légèrement différent de l’aller, après 3 h de marche tranquille et 9 km parcourus.
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reseau-actu · 5 years
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Plongée au cœur du béhourd, un sport brutal inspiré des joutes médiévales qui séduit de plus en plus de passionnés. Dans l'arène, presque tous les coups sont permis.
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Envoyé spécial à Monaco
Concassés, moulés, cuits. Dans les tentes qui font office de vestiaires à côté du chapiteau de Fontvieille à Monaco, les combattants épuisés ont déposé leur armure au sol. Elles sont jonchées d'un fatras d'épées, de fauchons, de haches longues et de masses d'armes. Torse nu, un athlète assis bichonne méthodiquement son casque de sept kilos en l'enduisant de vaseline. Un autre colosse récupère, les yeux dans le vide, une barre énergétique dans la main. «Ça a ramassé un peu, glisse en souriant à ses côtés son copain Paul, membre de l'équipe française Martel. J'ai pris un coup de hache dans l'omoplate… ça pique! J'espère pouvoir marcher normalement. Pour l'instant, on se repose, on mange, on boit et après on repart au combat!»
» LIRE AUSSI - Monaco, capitale du béhourd, sport de combat médiéval
Les duels de la première phase de groupes du tournoi ont laissé des traces sur le corps de cet ancien militaire touché au visage. «On sort avec une victoire, trois défaites. Trois? Ou quatre… Je sais plus trop», plaisante-t-il en soupirant: «Peu importe, on va tout donner.» D'ici quelques instants, dans la lice, le guerrier, sa fidèle hachette et ses compagnons d'armes iront se frotter aux mastodontes des clubs venus de l'Est, favoris de cette première édition du Buhurt Prime, l'équivalent de la Ligue des champions de football pour le béhourd, un sport de combat médiéval.
C'est en Russie, dans les années 1990, que cette pratique s'inspirant des combats médiévaux lors des joutes a resurgi, à l'occasion des reconstitutions historiques de batailles
À l'initiative d'un homme d'affaires russe installé sur le Rocher et de Pierre Casiraghi, fils de Caroline de Monaco et grand amateur de ce sport, la Principauté a accueilli le 16 février le premier sommet européen de cette discipline. Les dix meilleures formations, venues de Russie, Grande-Bretagne, Ukraine, Danemark, Pologne, République tchèque et France, se sont affrontées pour le titre suprême d'un sport ressuscité récemment. C'est en Russie, dans les années 1990, que cette pratique s'inspirant des combats médiévaux lors des joutes a resurgi, à l'occasion des reconstitutions historiques de batailles. Mais ces combats collectifs, n'obéissant à l'époque à aucune règle et d'une violence rare, tournaient au mieux en joyeux bazar. Au pire, en carnage, avec son lot de luxations et de fractures à soigner…
Un sport brutal et ouvert
Au début des années 2000, les pratiquants se sont structurés autour de fédérations nationales. Des compétitions ont petit à petit vu le jour, avec leurs codes et un règlement. Dans sa forme la plus courante, un combat oppose deux équipes de cinq soldats en armures et munis d'armes médiévales, toutes émoussées. Au cours de la mêlée (de dix minutes au maximum), tout est permis ou presque. «L'estoc, avec la pointe en avant, les coups dans les articulations, là où les béhourdeurs ne sont pas protégés, ainsi que les clés de bras sont interdits», nuance Adrien, membre de l'équipe française Aquila Sequania.
Des arbitres sont là pour veiller au grain, mais aucune règle n'est prévue pour atténuer la violence des coups sur les armures. Succès garanti auprès du public. Les guerriers, qui ne doivent pas se séparer de leur arme ni de leur bouclier dans la lice, s'aident de prises en tout genre. «C'est un sport brutal et ouvert. On pioche dans les mouvements de la boxe thaïe et de la boxe anglaise pour frapper, même si le poids des armures limite nos gestes. On retrouve aussi des prises de judo, de lutte et l'esprit du rugby car ce sport de combat est collectif», poursuit le tournoyeur. L'équipe victorieuse est celle qui parvient à mettre au sol tous ses adversaires en leur faisant toucher terre avec trois points d'appui (corps, fesses, bras, genou…).
Les recrues, très souvent passionnées d'histoire médiévale, viennent du monde du rugby et de celui des arts martiaux mixtes
Dans la lice, certains chocs sont féroces, et les combats, qui s'enlisent parfois en raison de l'épuisement des guerriers, prennent des tournures très tactiques. Les hastiers frappent avec leurs armes longues tandis que les «tanks», puissants mais peu mobiles, se neutralisent sur les bords de la lice en attendant le renfort des «runners».
Vifs et bondissants avec leur petit gabarit, les chouchous du public multiplient les attaques éclair. «L'abordage sans stratégie est voué à l'échec compte tenu du niveau ici. Notre équipe (Martel, NDRL) est réputée mobile et endurante. C'est notre force par rapport aux Russes, plus physiques», explique Édouard Eme, président de la jeune Fédération française de béhourd (créée en 2014), qui compte 300 adhérents, y compris des femmes, à travers une petite trentaine de clubs. Ses rangs s'étoffent chaque année de 20%. Les recrues, très souvent passionnées d'histoire médiévale, viennent du monde du rugby et de celui des arts martiaux mixtes (MMA) notamment, comme David Baron, ancien combattant de l'UFC, la plus importante ligue mondiale de MMA. À Monaco, trois participants ont été évacués sur civière, mais les blessures sérieuses sont rares. «C'est surtout musculaire, des gros bleus et des entorses. On vacille parfois, sonnés et à la limite du K.-O., mais l'armure protège bien. Les fractures sont exceptionnelles et les commotions cérébrales moins fréquentes qu'au rugby», assure Adrien, combattant de Franche-Comté.
«Cela nous replonge aux sources des combats médiévaux. Pierre (Casiraghi) a développé une équipe, les Grimaldi Milites, avec un vrai souci de cohérence historique par rapport à notre passé»
Le prince Albert
Le chapiteau de Fontvieille, où s'est tenu le tournoi, a baigné dans une ambiance musicale et visuelle à la Game of Thrones , mais aussi de catch grâce à un commentateur haranguant la foule au rythme des coups. Dans les gradins, le prince Albert a pu apprécier le spectacle. «J'ai déjà 60 ans et j'ai passé l'âge de pratiquer ce sport qui exige de grandes qualités athlétiques. Je serais vite dépassé par son intensité», plaisante le prince, qui a remis le trophée de vainqueurs aux Moldavo-Russes de l'équipe Bayard. «Les combats sont brutaux mais heureusement bien encadrés avec des règles strictes», rappelle-t-il.
La famille princière voit aussi dans ce tournoi un joli clin d'œil au passé de la cité-État et la mise en valeur de son patrimoine. «Cela nous replonge aux sources des combats médiévaux. Pierre (Casiraghi) a développé une équipe, les Grimaldi Milites, avec un vrai souci de cohérence historique par rapport à notre passé», glisse le successeur de Rainier III avant de rendre visite aux échoppes du village médiéval, autre curiosité qui a participé au succès de cette première apparition du béhourd à Monaco. D'ailleurs, il se murmure que la Principauté envisage d'abriter en 2020 la deuxième édition de ce rendez-vous au sommet des chevaliers des temps modernes.
L'armure historique, une carapace à 5000 euros
En plus de devoir répondre à certains critères pour assurer la sécurité des béhourdeurs, le choix d'une armure fait l'objet d'une attention particulière afin de garantir une vraie cohérence historique. Les juges font la chasse aux anachronismes. Les éléments constituant une panoplie (une quinzaine de pièces environ) doivent tous être issus d'une période ne s'étalant pas sur plus de 50 ans et doivent provenir d'une même région, même si une certaine tolérance permet de faire quelques écarts géographiques. Dans la lice, l'espace clos où se déroulent les combats, les guerriers doivent supporter le poids d'une armure pouvant dépasser les 30 kg (dont 7 kg parfois pour un casque qui ne facilite pas la respiration).
Au total, trois couches protègent les combattants: à la base, des protections modernes, qui ne doivent pas se voir, puis le gambison, constitué de vêtements matelassés qui absorbent les coups, et enfin l'armure. En acier trempé ou en titane (plus léger mais beaucoup plus onéreux), celle-ci s'achète chez des artisans spécialisés mais les pratiquants font parfois leurs emplettes dans les pays de l'Est. Là-bas, le prix d'une armure de bonne facture varie entre 1500 et 2000 euros. En France, on peut tabler sur 5000 euros auxquels s'ajoute l'achat d'une ou plusieurs armes. Comptez par exemple entre 150 et 500 euros pour acquérir une épée qui aura été émoussée avant d'être autorisée dans l'aire de combat.
Pierre Casiraghi, un héritier en armure
Féru d'histoire, Pierre Casiraghi a fondé une équipe de béhourd: les Grimaldi Milites. - Crédits photo : Olivier Huitel/Olivier Huitel / Crystal Pictures
Au milieu de deux colosses cubiques ukrainiens, Pierre Casiraghi se prête avec une grande disponibilité au jeu des selfies. À deux pas de la lice, au milieu des tentes des combattants, le deuxième fils de Caroline de Monaco est comme un poisson dans l'eau. Imaginez un membre d'une famille princière, adepte du béhourd en visite au «Buhurt Prime» dans l'écrin de la Principauté. Pour les combattants, autant férus de culture médiévale que de sport de combat, la présence du neveu du prince est une belle cerise sur le gâteau.
Pierre Casiraghi commence se faire un nom dans la petite galaxie du béhourd grâce à l'équipe qu'il a fondée il y a trois ans, les Grimaldi Milites. «J'aime beaucoup l'histoire mais aussi les sports de combat et ces deux univers se rencontrent avec cette discipline», glisse-t-il entouré de sa femme et ses enfants. «Je suis vraiment admiratif des combattants. Notre équipe n'a disputé que trois tournois et même si je m'implique réellement, nous sommes loin d'avoir le niveau des meilleurs clubs européens», avoue l'homme d'affaires, adepte de boxe thaïe et de boxe anglaise. «Il est bon combattant, surtout si l'on tient compte de l'inexpérience de son équipe. Ils font ça très sérieusement», confirme Édouard Eme, le président de la Fédération française de béhourd.
Patrimoine immatériel
Pierre Casiraghi est, à ce jour, le seul membre d'une famille princière adepte de ce sport qu'il tente de promouvoir. Il avait même organisé une démonstration à son mariage en 2015. «Contrairement à ce que beaucoup de gens peuvent penser, il ne suffit pas d'être grand, fort et de taper. C'est un sport complexe, tactique et épuisant qui permet d'aller au bout de soi-même. Et puis c'est forcément amusant de se glisser dans la peau d'un chevalier, un rêve depuis mon enfance», avoue-t-il.
Pour le jeune homme de 31 ans, la pratique de ce sport de combat constitue un formidable moyen de transmission du patrimoine immatériel de la famille Grimaldi. C'est en grande partie grâce à lui que Monaco a accueilli la première édition du «Buhurt Prime» il y a quelques jours. «L'histoire de Monaco a commencé au Moyen Âge et nos ancêtres se sont battus dans des tenues similaires à celles que nous portons aujourd'hui, au cours de la guerre de Cent Ans et pendant plusieurs générations. C'est enrichissant de pouvoir s'approcher un peu de ce qu'ils ont pu ressentir il y a plusieurs siècles», explique le vice-président du Yacht-Club de Monaco, également passionné de voile. Et ne lui demandez pas de choisir. Entre la navigation - il projette de participer à la prochaine Transat Jacques-Vabre en fin d'année - et le terrain de jeu de la lice, son cœur balance trop. «Un choix difficile, mais si je devais vraiment me décider, je continuerais à naviguer. À mon âge, je sais que je ne pourrai pas prendre des coups indéfiniment, même si pour le moment je ne me suis jamais blessé. Par contre, je me vois encore barrer un bateau pendant de longues années.» Loin de la fureur des joutes de béhourd.
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bricsl · 4 years
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#Running • Le Cheval Bayard———————————————————————————— Trônant fièrement, à côté du pont des #Ardennes, #Bayard est un des symboles de la ville de #Namur. Cependant, ce dernier est devenu célèbre grâce à son saut « magique » par dessus la Meuse, à #Dinant. Fissurant par la même occasion un rocher, devenu également célèbre, il a permis à son cavalier de sauver sa peau d’une course poursuite perdue d’avance ! De quoi je parle? La Légende du #ChevalBayard et de ses cavaliers, les frères Aymon, bien évidemment ! Légende que je vous ai conté il y a quelques mois (voir ma story à la une sur #Namur 🤓) ———————————————————————————— | | | ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• #runningfrance #courir #courseapied #run #courirpourleplaisir #courircestlavie #runningbelgium #grandangle #shotoniphone #cycling #dare2bfrance #d2bfrance ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• (à Namur) https://www.instagram.com/p/CB8gniYnHQD/?igshid=1qxfitbg2qkld
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Présentation des bornes étudiées >>>>>>>>>>>>>>>
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Ci-dessous nous vous proposons une description des bornes iGirouette étudiées dans le cadre de cette activité, ainsi qu’une description de l’environnement urbain proche pour chaque iGirouette. 
Carnot-sud -est
La borne est localisée dans un endroit assez caché de la place à l’Ouest avec un arbre à proximité ce qui rend semble la rendre évidemment moins visible. Elle reste toutefois visible depuis le tramway lorsque celui-ci passe devant (bien que certainement non lisible depuis l’intérieur des rames). Il y a une station Velo’v et un petit terrain de football à côté de cette iGirouette. La borne semble tout de même très mal localisée ce qui pose la question du choix de localisation des bornes pouvant être lié aux réseaux électriques souterrains rendant potentiellement certains choix difficiles (cette hypothèse pouvant être renforcée si l’on constate que l’allée dans laquelle se situe l’iGirouette ne représente pas l’axe principal de passage sur la place Carnot). De plus, elle est assez mal orientée par rapport aux piétons. Peu de regards semblent être jetés par les passants sur la iGirouette qui est de plus loin de l’entrée du métro « Perrache ».
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Rambaud / Suchet
De nombreuses et diverses interactions potentielles car située à une intersection sur un axe passant pour les modes-doux. Il y a plusieurs bancs et dépose-vélos qui sont proches de la borne. De plus, on remarquera la présence d’une route, d’une piste cyclable, de bancs de musculation à proximité directe de la borne. On notera aussi qu’un feu de signalisation se trouve à juste deux mètres de la iGirouette. La borne et les informations qu’elle donne à voir sont bien visibles et lisibles par les passants et les résidents des péniches. Comme pour la borne Riboud, sa centralité spatiale vis-à-vis des tronçons vélos et piétons est essentielle à sa visibilité. C’est une iGirouette qu’on ne peut que difficilement manquer lorsque l’on passe à côté. Une caméra du Grand-Lyon se trouve aussi juste à côté de la iGirouette.
On notera aussi à proximité de la borne la présence de quelques logements dans un immeuble type XIXème, de nombreux panneaux de signalisation « classiques », un commerce (un restaurant), des jeux pour enfants, un arrêt du bus S1. Elle reste néanmoins difficilement lisible depuis un bus ou une voiture passant sur la route proche, ce qui n’est évidemment pas forcément le but recherché par iGirouette qui donne plutôt priorité aux modes-doux de déplacement.
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Place des archives
Située sur la place des archives, cette iGirouette est localisée à un endroit très passant avec la proximité de la gare de Perrache, des Archives municipales, de l’université catholique de Lyon et de l’arrêt de tramway 1 « Suchet ». Elle se trouve au bas des escalators menant à la gare sur un parterre entouré par tous les éléments précédemment cités. De nombreuses voitures passent aussi sur le cours Charlemagne car il existe un arrêt pour taxi juste à c1oté de la iGirouette.
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La borne est plutôt visible depuis les Archives notamment mais reste partiellement décelable depuis la gare ou du tramway sauf quand il passe devant. Certains angles sont toutefois problématiques, la borne étant parfois cachée par des panneaux « classiques de signalisation ». La plupart des messages concernent le musée. Cette borne paraît très intéressante car localisée de façon centrale sur une place très passant avec beaucoup de flux divers.
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Par ailleurs, elle n’est pas le seul élément destinée à l’orientation des piétons, d’autres “affiches” indicatives sont présents sur la place sur du mobilier urbain aux abords des tronçons routiers. Celles-ci sont de couleur jaune et  indiquent la Gare Perrache, le métro, et la place Carnot aux piétons notamment à l’aide d’un index dirigé dans la direction proposée.
Suchet / Charlemagne
La iGirouette est ici située sur un carrefour dans un angle entre deux rues. On trouve à proximité de la borne un arrêt de bus de la ligne S1 et de tramway (Arrêt « Suchet » de la ligne T1), un passage-piéton, le cours Charlemagne dans lequel est imbriqué une piste cyclable. Des logements et commerces sont situés à chaque extrémités du carrefour.
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Cette borne est difficilement visible puisque cachée dans certains angles de vue par des panneaux de signalisation « classiques », elle est ainsi perceptible que dans un seul sens mais reste décelable depuis le tramway ou en attente de franchir le passage-piéton. Son emplacement pose la question des choix effectués pour leur localisation (les iGirouettes sont-elles implantées en fonction du réseau de câbles électriques?) Elle est d’ailleurs en dysfonctionnement, certains panneaux ne fonctionnant plus, un seul message est ici affiché et d’un seul côté du panneau.
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Bayard / Rambaud
La borne se situe à proximité directe des péniches présente en bordure des quais de Saône. Elle jouxte également un complexe d’équipements sportifs (terrain de football et de pétanque).
Elle plutôt bien lisible et visible en plus de donner des informations équivalentes et similaires à la borne précédente (Musée des Confluences or fi   H, ici tr thyk Mjc, gare, etc.). Elle est comprise entre une zone à dominante résidentielle et la Saône.
Il y a n’y a pas de station de transport, ni de station de transport en commun à proximité immédiate de la iGirouette. Toutefois, des vélos peuvent la voir en passant, tout comme les piétons, runners. Il y a aussi des bancs très proches de la iGirouette
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Charlemagne / Bayard :   
La borne est une nouvelle fois située à une intersection, entre le cours Charlemagne et le cours Bayard cette fois-ci. Il y a des feux de signalisations, un arrêt de tramway (« Sainte-Blandine ») et des passages-piétons à proximité directe. Elle se trouve entourée  au Nord et au Sud par des immeubles de logements Nous avons pu rencontrer à cette borne un employé chargé du nettoyage des iGirouette avec lequel nous avons pu brièvement échanger.
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La borne est ici plus visible, lisible et plutôt bien orientée.
Riboud
Quelques commerces à proximité et des logements. Proximité avec les quais de Saône et des terrasses, présence d’une MJC à proximité. La circulation est ici plutôt contrôlée avec des plots et barrières, seuls quelques riverains vélos, piétons et runners peuvent passer devant.
La borne est ici bien lisible mais est invisible depuis quelconque transport en commun faute d’en avoir à proximité, elle peut cependant l’être depuis certains logements. Son emplacement est central par rapport aux tronçons routiers et piétonniers, on ne peut l’éviter lorsque l’on passe à proximité.
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La borne se situe à une intersection où se trouve une station Vélo’v à proximité, une route destinée aux services et aux riverains (elle est aussi utilisée par les personnes possédant une embarcation dans le bras de Saône), ainsi qu’un espace vert destiné à la détente. Il y a aussi le stade de football « Sonny Anderson » non loin de l’iGirouette.
Charlemagne / Perrier
La iGirouette est située quasiment devant la patinoire Charlemagne ce qui lui donne un potentiel de passage d’individus intéressant. De plus, on trouve à ses côtés un dépose-vélos, une station de Velo’v. Elle est localisée sur une intersection similaire à la borne précédente à savoir devant un passage-piéton.
Elle est plutôt bien visible et lisible tout en étant encore une fois bien orientée malgré les quelques panneaux publicitaires à proximité. Le lieux est passant mais de façon moindre que les autres iGirouette présentes sur le cours Charlemagne et cela bien qu’il y ait quelques commerces et logements à l’intersection ou proches de la patinoire.
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Charlemagne / Arlès Dufour :
Borne positionnée au niveau d'une articulation de chemin piéton, cyclable, automobile et de la voie de Tramway, croisement très emprunté. Il s'agit d'un lieu de passage, à cote de l'entrée du centre commercial.
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Son positionnement dans une endroit lumineux avec beaucoup d'autres panneaux et affiches autour. Il se confond dans son environnement mais ceci le rend moins visible car il ne contraste pas avec.  Il camoufle depuis certains angles de vues des panneaux qui lui sont voisins.
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L’emplacement de la IGirouette est voisin à deux zones d’arrêt : Premièrement l’arrêt du tramway 'hôtel de région Mont-rocher' depuis lequel la borne IGirouette reste très peut visible . Et deuxièmement, les terrasses de restauration (Burger King) depuis lesquelles la borne est
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parfaitement visible. Finalement, la borne est un peu désaxée par rapport a l'axe piéton Nord-Sud. Elle est mise en valeur par rapport à l'axe piéton Est-Ouest qui est peu emprunté.
Depuis l'axe automobile, la borne est cachée par un feu rouge et est alors peu visible.
Montrochet / Croizat :
Située sur les berges, dans un endroit pas tellement fréquenté, sur une route piétonnière, quelques routes automobiles la traverse parfois et juste à côté de cette borne y en a une. Elle se cache un peu derrière le feu rouge pour ceux qui y sont sur la voie routière. 
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Quelques panneaux publicitaires la cachent aussi parfois.
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Elle se positionne au milieu d’un de la nature ce qui la permet d’être bien visible grâce à son contraste de couleur avec le paysage.
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Le sucre :
La première borne se situe sur le même chemin piétonne que la précédente, cette fois dans un endroit sans accès aux voitures, juste à côté de la sucrière, un endroit artificiel. Bien lumineuse à côté des couleurs gris de la sucrière.
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La deuxième est toujours sur le même chemin piétonne, à côté du bâtiment d’Euro news. Autour d’elle des nouvelles constructions en couleurs rayonnantes (vert fluo, verres reflets,...) cela rend plus compliqué de la visualiser.
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Charlemagne / Magellan:
Deux bornes aussi dans cet endroit, au milieu d’un carrefour, croisement routier, compliqué à voir ou à à prendre le temps de s’arrêter devant eux. La première est sur l’axe piéton qui emmène au musée de la Confluence.
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La deuxième est juste en face de la station d’essence. Toutes les deux sont cachés par les feux et les panneaux d’indications et publicitaires.
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Musée des Confluences:
Située au niveau de la route qui longe les quais (sortie de l’autoroute). Visibilité et lisibilité assez bonnes pour cette borne : depuis les extrémités du carrefour (les messages sont lisibles pour les voitures qui sont arrêtées au feu) et depuis l’arrêt de tramway (direction Debourg) + Située au niveau d’un couloir cyclable.
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Une borne qui est située au niveau d’une entrée dans la ville de Lyon (depuis l’autoroute) : pertinence des messages choisis ?
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Les bornes du quartier de Gerland :
Garnier / Debourg :
Bonne visibilité. Borne située au niveau des couloirs destinés aux modes actifs.
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Positionnée sur un très large trottoir, un endroit de rassemblement pour rentrer à la salle Tony Garnier. Sur l’axe piéton et cyclable qui emmène au musée de la Confluence.
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Stade de Gerland
Mauvaise visibilité depuis la rue M. Meyrieux. Le panneaux n’est pas visible depuis tous les côtés de l’intersection (notamment depuis les arrêts de bus).
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Très peu de passage pendant l’observation de cette borne.
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Trois éléments sont disposés à cet endroit pour permettre aux individus de se localiser et de trouver leur chemin : la IGirouette, un “plan de situation” dans le quartier, un plan des lignes de métro. Ne serait-il pas judicieux de faire dialoguer les 3 items ?
Tableau représentant la position des borne de l’IGirouette :
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