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#s'ils sont bien suivis
mopevuxikehu · 2 years
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 134
Dans la semaine qui a suivi mon retour de La Baule, j'avais tous les soir vers 20h un coup de fil de Franck pour me raconter ses dernières aventures.
Il n'avait rien fait jusqu'à ses 18 ans mais alors maintenant, c'était tout azimut ! après le maître nageur où il était encore passif, il s'est fait draguer par l'un des deux mecs qui nous avaient surpris au sortir de la douche à la salle de muscu. Là, il a oeuvré pour la première fois comme actif avec un mec. D'après son récit enthousiaste, il a aimé ça aussi. Depuis la sodomie de la meuf, il rêvait de trouver un mec à qui le faire. Il a revu aussi les deux filles. La deuxième s'est faite aussi enculer, trop intriguée par le plaisir qu'en retirait la première. Et Franck de conclure qu'il préférait mettre sa queue dans un cul que dans une chatte. Même s'il ne dédaignait pas de passer du temps à bouffer du clitoris ou du téton. De la même façon, il préférait la bouche d'un homme à celle d'une meuf, question rapport de force dans le jeu de langue et de profondeur pour les pipes.
J'ai eu aussi une fois son grand père. Il voulait voir avec moi comment compter les heures que son petit fils me bloquait par son bavardage. J'étais gêné (un peu) pour lui répondre. Du coup il m'a d'office proposé des honoraires de psy et pour le total des heures comme c'est lui qui payait son téléphone portable il saurait à la minute près. En y réfléchissant bien, c'est un peu ce que je fais sans la limite du " pas de rapports personnels ". Pour conclure il me dit qu'il m'enverrait un chèque mensuel. Je n'ai plus qu'à accepter !
Jimmy suit ses cours de code et de conduite en accéléré (merci Eric). Il doit passer son code la semaine prochaine et en est déjà à 10h de conduite. D'ici une quinzaine de jours, il devrait passer son permis. Je l'accompagne encore pour ses passes mais l'excitation n'est plus là. Par contre avec Ed, je m'amuse encore bien. Peut être parce qu'il est moins " naturel ".
Xavier m'a téléphoné que Laure et lui aimerais bien que je passe un peu de temps avec eux. Je les aime beaucoup ces deux là. lui est un de mes premiers clients pour Jean et elle j'ai adoré lui faire prendre goût à la bite de son mari (lire E_soum 11). Je me débrouille pour dégager un après midi. Celui où je laisse Jimmy entre les mains du père de Ric, j'ai toute confiance en lui.
Cela faisait longtemps que nous ne nous étions vus tous les trois. Ils sont toujours aussi beau. Elle est de plus en plus à l'aise avec la sexualité que son mec développe. En prévision d'y passer aussi, je me suis bien préparé le trou (lavements, graissage en profondeur, plug dans le cul). Quand j'arrive, Xavier vient m'ouvrir. Il est pieds nu, torse nu et son short flottant est déformé par ses 26cm gonflés de sang. Il m'entraine vers sa mini salle de sport et quand je rentre, je m'aperçois qu'ils avaient déjà commencé le taf. Elle est couchée sur un sling les jambes attachées en l'air, très écartées dévoilant une chatte rasée, aux lèvres violettes, gonflées de désir et à l'anus encore bien serré. Xavier me dit de me presser. Je suis nu en 30 secondes. Mes 20cm sont ridicules auprès de la bite de Xavier mais je complexe pas. c'est quand même grâce à eux (mes 20cm) que son mec peut maintenant la baiser ! Je continu à la bouche le travail qu'il avait commencé sur la chatte de sa femme, léchant, mordillant lèvres et clito. Lui, pendant se temps, " sodomisait " la gorge de sa meuf. Elle, la tête complètement en arrière avalait sans s'étrangler le morceau de son mari. Quels progrès par rapport à la femme qui se détournait, par peur d'avoir mal, du sexe de son homme. Je me kpotais et redressé enfilait, pour le plus grand plaisir de Xavier, sa meuf. Pénétrée des deux cotés, chauffé par le travail conjugué de son mari et du mien qui l'avait déjà fait jouir plus d'une fois, j'ai senti son vagin me comprimer par orgasme peu de temps après mon introduction et quelques va et vient. J'ai continué, la gardant chaude pour la queue de son mec. Echange de place, je profite d'une gorge élargie prenant sans aucun haut le coeur mes 20cm, tout en admirant l'assaut en règle de sa chatte. C'est toujours impressionnant de voir un morceau de 26cm disparaître dans un corps, que ce soit dans une gorge, une chatte et surtout dans un cul. Comme il se rase les couilles et tient sa toison pubienne courte, la vue est bien dégagée pour admirer le pompage de vagin. Laure gémi par dessus ma bite. mais c'est de plaisir ! je me penche et avançant le bras pince son clitoris. Convulsions immédiates, encore plus efficace que le travail des tétons. Je la laisse reprendre le rythme et recommence. Mêmes causes, mêmes effets, Xavier me dit d'arrêter sinon il va lui juter dedans alors qu'il se réserve pour moi. ;Je lui dis que je me ferais bien le cul de sa meuf avant qu'il ne la distende. Il me cède sa place et la queue kpotée, bien graissée, je m'enfile dans son anus. Laure apprécie l'assaut d'autant plus que mes mains ne sont pas inactives et j'enfonce un pouce dans son vagin avant que Xavier me passe un gode de bonne taille que je lui enfile. Les fausses couilles sur le clito, je le fais pénétrer complètement en fin d'enculade. C'est super bon sentir même une queue en plastique dans un vagin alors qu'on ramone de l'autre coté de la paroi. C'est trop trop bon. Xavier, j'en étais sûr, s'est accroupi derrière moi et après m'avoir écarté les fesses, m'a trouvé déjà occupé (le plug). Alors que je sodomise sa meuf, il joue avec, le faisant coulisser d'abord sur sa partie fine puis sur une plus grande longueur jusqu'à le tirer pour que mon anneau s'écarte à son plus gros diamètre avant de le relâcher et que je l'aspire à nouveau. Mon trou s'assouplit de plus en plus. Il se redresse contre mon dos et ses mains sur mes pecs me collent à son torse. Son bassin pousse mes fesses et rythme mes pénétrations dans sa femme. Il se décolle 2 secondes pour revenir me mettre sous le nez son poppers de compétition. Je sniffe et part de suite. Il m'arrache le plug et j'y prend du plaisir, il me pénètre de sa bite de cheval et je bande encore plus dur ! La petite pièce sent le stupre, la sueur et dans pas longtemps le sperme.
Xavier m'encule avec art. Je ressens les moindres veines de son dard planté en moi. Ses coups de rein sont d'une efficacité telle que je ne peux plus tenir et que j'explose planté au fond du cul de Laure. Elle ne jouit pas là mais comme est en est au moins à son 4ème orgasme, elle est plutôt contente que la pression retombe. Xavier m'encule par sursaut, ne pouvant bouger quand l'orgasme me fait me contracter. Cela l'achève aussi et d'un dernier coup de rein, s'enfonce au maxi et jute dans sa kpote.
Nous les hommes tombons au sol les jambes coupées. Il faut que Laure insiste pour que Xavier se lève et la détache. Elle se coule entre nous, retirant les kpotes pleines de nos sexes en phase de réduction de volume. Assis dos au mur, Xavier et Laure me remercient d'être passé. Nous papotons quelques instants. Xavier me demande d'ou me vient le diamant que je porte à l'oreille. Je leur dis que c'est le cadeau d'une cliente très satisfaite (c'est un peu le cas pour Emma je crois !). Du coup Laure me demande ce qui me ferait plaisir. ;Je leur dis -rien car mon tarif est déjà suffisamment élevé. Xavier me répond qu'un cadeaux, ce n'est pas du même ordre. Je leur répète que je n'ai besoin de rien, j'ai déjà voiture, motos et équipements, montres, pendants d'oreille, I-phone et un homme qui m'aime à la maison. Je suis déjà comblé et ne manque de rien. Ils me disent qu'ils vont quand même réfléchir à la chose. Je leur souhaite du courage pour trouver et après une bonne douche rentre à la maison avec mes honoraires (avec Laure c'était quasiment du médical au départ).
Je passe chez André, mon banquier et père de Ric chercher Jimmy qui comme d'habitude a donné entière satisfaction, discute 10mn le temps qu'il finisse de se rhabiller. André est très content de Ric. Depuis qu'il s'éclate (et qu'il l'éclate) sexuellement, ses résultats de partiels et de fin d'années sont toujours très bon. Il me dit aussi qu'il à fait l'achat à Paris d'une installation complète de stimulation électrique et qu'il va bientôt m'inviter pour l'essayer sur Ric. Je suis partant c'est sûr !
Retour à la maison. Jimmy file à l'appart et moi je rentre à la maison attendre mon Marc.
Je suis encore très chaud de mon après midi. Je file vite me mettre en jock et jeans coupé (surtout au cul) et descend à la salle de muscu. Il ne faut pas se négliger ! Je passe une bonne heure avant que Marc ne rentre.
Ok il gagne deux fois plus qu'avant, mais il est absent la moitié du temps et quand il est là, il ne rentre pas de bonne heure pour autant !!
Il me rejoint et j'entame avec lui une deuxième séance de muscu. Malgré ses déplacement, il est presque toujours dans des hôtels internationaux équipés de salle de sport. Heureusement sinon il perdrait beaucoup ! De plus il me dit que c'est de bons lieux de drague. Plus sûr que les coins off de ces pays, les salles de gym des grands hôtels permettent de se rencontrer entre occidentaux et les quelques " indigènes " qui y pénètrent sont triés sur le volet.
En attendant j'ai remarqué un infime relâchement de sa sangle abdominale. Nous finissons donc par 3/4 heures d'abdos divers. Relevés de buste, levées de jambes, ciseaux, pédalage, travail des obliques, toute la panoplie y passe. Il m'avoue qu'en déplacement c'est ce qu'il bâcle le plus souvent.
Nos exercices changent bientôt de nature. Imperceptiblement le massage que je lui fait pour détendre ses muscles vire à l'excitation sexuelle. ;Il bande tellement fort que je suis obligé de le sucer pour le calmer. Que sa bite est bonne. Comme il est sur le dos, c'est moi qui dirige. Je peux savourer doucement chaque millimètre carré de la peau fragile de son gland, en glissant ma langue, en faire le tour sous sa couronne, doucement enfoncer sa bite dans ma bouche, collant mes joues à sa peau. Arrivé au fond de ma bouche, je me penche plus et d'un coup sec m'enfonce son gland dans la gorge. Dans cette position, c'est un peu violent pour la glotte mais cela fait longtemps que j'ai perdu le reflexe de vomir à sa moindre sollicitation. Je déglutis plusieurs fois pour compresser son gland avant de le faire sortir et de respirer. Je fait cela jusqu'à ce qu'il me dise qu'il risque de m'envoyer " l'apéritif ". cela ne me freine pas et j'obtiens enfin son nectar. Premières giclées direct dans l'estomac, je recule pour en avoir en bouche. J'adore le goût de son sperme et je veux lui faire un bisou avec. En général ça le maintient bandé. Dernière salve, coup de langue pour laisser le gland propre et je me coule contre lui pour atteindre sa bouche. Baiser passionné, sa langue cherche à me voler les dernières gouttes de son sperme. Comme je m'y attendais il ne débande pas. Je l'enjambe, couché sur son torse, mon " jeans " s'ouvre et en deux, trois mouvements de cul, je place sa bite devant ma rondelle. Je me décolle de sa bouche le temps de saliver sur ma main et recommence notre pelle pendant que je me badigeonne l'anus. Ça, plus la sueur, mon trou est glissant comme une patinoire. Je me recule et je sens son gland écarter mes chairs. Ma queue bande sans pouvoir sortir de sa prison de toile, c'est bon et cela ajoute encore à mon excitation. Je recule lentement jusqu'à ce que ses 22cm soient en moi (enfin pour les avoir je doit me redresser mes mains en appuis sur ses pecs). Il me tient par les hanches pour m'empêcher se bouger. Malgré mon après midi, je sens bien sa présence en moi. Comme il vient de jouir, je sais que je vais y avoir droit un bon moment, miam ! ;Je " trotte " quelques instants avant qu'il me bascule sur le coté et ne vienne me prendre par derrière, moi couché sur le ventre, la bite et les couilles écrasées au sol. Cela me rappelle la fois ou il m'avait tiré de dessous d"un des bosquets du jardin (à l'époque du défrichage et juste fait sortir mon cul) et qu'il m'avait enculé direct. Les effets de sa sodo plus le souvenir je prend un plaisir fou. Il me plante bien. Il me finit sur le dos mes jambes relevées écartées sur ses hanches, il se couche sur moi pour me rouler un patin, écrasant mes couilles de ses abdos que nous venions de renforcer. Ses coups de rein et sa langue impérieuse me font jouir sans que je me touche et je sens mon sperme s'étaler autour de mon gland, retenu par le tissu serré du jeans. Marc l'a senti. Il se redresse, accroche ses mains à mes cuisses et dans une dernière accélération, explose en moi pour la deuxième fois. Il se couche sur moi et nous reprenons notre pelle. Nous somnolons un peu fatigués de nos deux séances (muscu + baise). C'est Samir qui nous réveille, pour nous dire que le diner est prêt. Nous prenons quand même le temps de nous laver avant de remonter.
A la fin du repas, Samir nous demande si il pourrait disposer du donjon quand il est de repos avec Ammed et que nous ne l'utilisons pas bien sûr. Marc lui en demande la raison et il nous avoue qu'Ammed est maintenant bien branché soumission et que les seules contraintes psychologiques ne lui suffisent plus. Marc est d'accord mais sous condition que nous enregistrions leurs séances et peut être d'une redéfinition de leur conditions de travail. Samir ne dit pas non pour les enregistrement nous demandant juste qu'ils ne soient pas mis sur internet ni commercialisés. Pour les conditions, il demande à les connaître. Marc improvise et il lui demande si, puisque Ammed est en train de devenir un bon soumis maso, on ne pourrait pas en profiter en petit comité ? Samir nous demande un délais de réflexion. Il n'avait pas songé à cela et nous savons qu'entre eux deux il y a de l'amour en plus.
Marc ajoute avant qu'il ne finisse le service qu'un refus de sa part n'aura aucune incidence sur le contrat de base.
JARDINIER
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recapqsmp · 8 months
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Mardi 12/09 - Le royaume des capybaras
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Pac a pris les médicaments. Il est très souriant, très heureux. Il a cependant oublié ce qui est arrivé à Mike et à WalterBob. Il pense que Richarlyson est toujours en train de dormir. Néanmoins, quand il entends parler de WalterBob, il revient à lui, il se rappelle, se sent malheureux et préfère reprendre les médicaments.
Fit et Tubbo sont allés voir Pac pour voir comment il allait. Ils ont pu se rendre compte de l'état mental de Pac sous médicaments. Pendant la conversation, Pac a dit hésiter a prendre à nouveau une pilule, les voix dans sa tête lui disant de ne pas le faire. Fit en a profité pour lui rappeler qu'il souhaitait trouver un antidote à la base. Pac a dit ne pas pouvoir faire ça, car il n'a pas trouvé la recette du médicament pour l'instant. Il réalise maintenant que les médicaments sont la solution à ses problèmes. Tubbo lui a conseillé d'écrire ses pensées dans un journal pour documenter tout ça.
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https://clips.twitch.tv/InquisitiveEnchantingHamsterArsonNoSexy-Gaf9vSUuBdGtnE-Q
Tubbo souhaitait que Fit lui montre l'entrée de la base de la fédération. Fit lui a dit qu'il la connaissait, mais qu'il ne pouvait pas lui montrer, car il risquait son boulot. Tubbo lui a demandé pourquoi il s'en souciait, la santé de ses amis et peut-être même la vie de Ramon est en jeu. Fit lui a expliqué qu'il y avait des choses bien au dessus de tout ça qui entrait en jeu, et qu'il ne pouvait pas lui en dire plus.
Pac est tombé sur un livre qu'il s'était écrit avant de prendre les médicaments. Il a hésité sur l'action a entreprendre, entre continuer a prendre les médocs ou pas. Il a décidé de prendre son courage à deux mains, et d'en livrer à Cellbit. Il en a quand même gardé sur lui, et n'a pas la force de s'en passer totalement.
QuackityStudios a posté un tweet sortant de l'ordinaire : il n'est lié à aucun évènement se déroulement au moment du post, le nombre de jour est en décimal, et il y a un message caché à droite de l'image.
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Pac a rencontré Foolish, et lui a proposé de prendre un cachet pour tester les effets sur lui. Il est très intrigué de savoir ce qui va lui arriver s'il en prend, et a décidé d'en discuter avec sa version chaotique dans le château de cellbit pour savoir ce qu'il doit faire. Son alter-égo lui a dit qu'il n'est pas une chochotte et qu'il doit les prendre. Il est aussi tombé enceinte d'un monstre.
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https://clips.twitch.tv/BlindingBashfulNikudonPeteZarollTie-K_BlweRf4m1pdoso
Foolish Fit et Tubbo ont suivi une nouvelle piste d'oranges, qui a mené vers une plateforme aérienne. Là haut, ils ont retrouvé Abuelito, qui lui a demandé d'emmener toutes les recherches sur Mr Mustard avec lui. Il lui a ensuite montré une warp plate, et les 3 compagnons sont allés au royaume des capybaras ! Là bas, ils ont rencontré quasiment tous les capybaras existant, ainsi que quelques nouveaux. Abuelito lui a expliqué qu'ils ne laissaient jamais rentrer personne ici, mais qu'ils faisaient une exception pour quelqu'un comme lui qui a toujours cherché a protéger les capybaras. Il lui a montré la maison de Mr Mustard, et lui a expliqué ce qui lui est arrivé : il a essayé de préparer une potion et elle a explosé, rendant le capybara invisible. Néanmoins, ils pensent qu'en versant de l'eau de piscine sur un feu bleu, il pourra peut-être réapparaître. Une fois fait, Mr Mustard est effectivement réapparu, et tous les capybaras ont construit un trône pour Foolish et lui ont donné une couronne, le déclarant officiellement roi des capybaras ! Lui et ses nouveaux sujets sont allés faire la fête au spawn, provoquant beaucoup d'explosions sous couvert de nombreuses musiques. Foolish a aussi pu nommer les nouveaux capybaras : SNIPYBARA, Tango et Reyna !
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https://clips.twitch.tv/MoralEndearingHeronAMPTropPunch-toZh2RJlCzCbmPPE
Foolish en a profité pour leur demander s'ils avaient entendu parler de l'absence des oeufs, mais les capybaras ne savaient même pas de quoi il parlait. Ils ont tout de même accepté, si besoin était, de participer à une opération spéciale pour aller les récupérer.
Il y a deux nouveaux travailleurs de la fédération ! L'un porte un casque bleu, l'autre un casque jaune. Tubbo a nommé le casque bleu "Fred", et le casque jaune "Jed". Ils ne connaissent pas WalterBob et n'ont aucune idée du principe d'émotion non plus.
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https://clips.twitch.tv/BoredAbstemiousPeppermintCclamChamp-_bODMFMYzf19Qmf1
BadBoy a perdu toutes ses couleurs. Il est désormais dans des nuances de gris et de noir. Par moment, son personnage ne voyait plus les couleurs non plus.
BadBoy s'est confié à Aypierre : il lui a dit tout ce qui s'était passé la veille avec Forever (sa crise de somnambulisme, son saut dans le vide…) et les deux ont décidé de contacter Roier pour tenter de traduire le livre portugais. Roier a donné une version similaire à la traduction de Pol : Forever demande de l'aide, car il n'en peut plus. Les 3 compères se sont accordés sur le fait qu'il faut tuer Forever le plus vite possible pour le débarasser de la drogue.
BadBoy a entrainé Foolish a dire non à la drogue si Forever ou Pac lui en propose. Foolish a ensuite expliqué ce qui s'était passé avec les capybaras à BadBoy. Celui-ci pense que Foolish est drogué. Aypierre pense que ce sont les capybaras qui sont drogués.
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https://clips.twitch.tv/RespectfulSmallChickpeaDancingBanana-FcagLZ72aH0KM3f9
Forever est parti du serveur en jouant une nouvelle vidéo : le parallèle entre lui, et ce qu'il souhaiterait faire dans sa tête. La vidéo alterne donc entre des scènes normales où Forever se balade puis les même scènes où Forever fait tout brûler et exploser. BadBoy est parti aussi, après avoir lu la lettre que Pomme a laissé à Baghera.
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ernestinee · 10 months
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Je suis un peu démunie par rapport à l'un de mes patients et surtout par rapport à ses parents, ou comment devenir maltraitant en essayant de "bien faire".
Ado, syndrome autistique et une notion bien particulière de ce qu'est "l'abstrait" bien sûr. Donc le calcul littéral en maths est presque impossible parce qu'il a du mal avec le fait qu'on fasse des opérations sur des lettres, qu'on puisse y mettre des exposants. En chimie il galère aussi parce qu'on utilise des symboles. La physique et l'utilisation de formules, pareil, il galère. Les autres matières sont assez bien intégrées mais comme il a ce truc un peu bizarre dans son attitude aux autres, il subit du harcèlement à l'école. Les profs sont au courant du diagnostic et c'est important pour la tolérance et la protection à son égard, les harceleurs sont sanctionnés, l'école gère comme elle peut mais H. a aussi dû frapper pour qu'on le laisse tranquille.
Il a 15 ans, l'âge où il pourrait choisir une voie sans les maths, aller vers ce qu'il souhaite "du travail dans un bureau tout seul". Il a des projets, il veut écrire, raconter et il est capable de faire pas mal de tâches répétitives, encoder des informations,etc. C'est un jeune homme capable et motivé.
Mais ses parents sont dans le déni. Ils multiplient les prises en charge pour que ce gamin rentre dans les cases. Ils délèguent en se disant "on a fait tout ce qu'il fallait et il n'y arrive pas" et ils lui font passer le message qu'il est nul en tout, bon à rien malgré "tout ce qu'on fait pour toi"
Alors là pendant les vacances, il me voit 2h par semaine pour de la méthodologie et des maths. Et il voit une absl de soutien scolaire 3h par semaine pour de la chimie et de la physique et il y a également une dame qui va chez eux 2h par semaine pour un mix de tout. Ça fait déjà 7h.
Ensuite, il a psy, 1h par semaine. Et il change de psy régulièrement parce que les psys comprennent vite que le problème ne vient pas de lui mais des parents, et les changements ne vont pas dans leur sens. Il se retrouve à raconter sa vie encore et encore à des psys différents.
Comme si ce n'était pas assez, il voit une personne 1h par semaine également pour avoir une belle écriture.
Ça fait 9h de suivi pour faire entrer un ado dans une case. Il est déjà en difficulté identitaire par le simple fait d'être ado et ses parents lui expriment de toutes les façons possibles qu'il n'est pas celui qu'ils veulent qu'il soit.
Lui il veut écrire, il ne veut pas des maths. Alors en secret on bosse l'implicite du récit, les étapes d'une fiction, la polysémie, les récits "à la manière de".
Sa mère entend ce que je dis, parce que bien sûr j'ai dit ce que j'en pensais, j'ai dit que c'était trop, que ça l'épuisait, que c'était nocif pour lui et que s'ils veulent le voir épanoui, il suffit de supprimer les maths de son emploi du temps et le laisser écrire , j'ai utilisé des mots durs pour des parents pour qu'ils sortent de leur déni. Mais rien n'y fait, ça sort aussi vite que c'est rentré et rien n'est fait des informations.
Aujourd'hui il m'annonce que le nouveau truc de son père c'est "il est mauvais à l'école, il doit faire l'armée". Le père est bizarre, malsain et toxique. Souvent absent et en conflit permanent avec son entourage. On ne sait pas ce qu'il se passe derrière les portes mais je me doute que la pression que mon patient subit vient en grande partie de son père. Je sais aussi que si je mets trop les pieds dans le plat, les parents cesseront de me consulter et la confiance est installée entre lui et moi, je n'ai pas envie de le forcer à s'habituer à une nouvelle personne, ça a déjà été très long pour construire cette confiance.
Je vois de l'acharnement, qui à ce niveau est une forme de maltraitance, je vois un ado qui ne parvient pas à être épanoui parce que les personnes qui devraient le soutenir ne le font pas. Et je suis démunie par rapport à tout ça parce que mon champ d'action n'est pas si large que je le voudrais.
C'est encore une fois une remise en question de mon rôle de praticienne et de la compréhension à avoir à l'égard des parents. Je sais que mon rôle est de protéger mon patient mais à partir de quel moment peut-on dire fuck au putain de déni des parents et leur enfoncer dans le crâne que ça ne sert à rien de s'acharner, leur gamin ne rentrera pas dans les cases. Où sont les limites de mon métier...
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firebirdxvi · 5 months
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Fils du Feu 06 ~ Flamme reconnaissante
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Pour la seconde fois en l'espace de trois mois, les Immortels connurent la stupeur puis la liesse ; du moins, autant qu'ils étaient capables d'en exprimer.
Convoquées d'urgence par le Maître, Jote et la soigneuse avaient du tout expliquer en détail à Cyril. Assis dans son fauteuil, les mains crispées sur les accoudoirs, il avait écouté sans les interrompre. Lorsqu'elles en arrivèrent au moment où l'Emissaire avait entamé sa transformation, une expression de peur fugitive se peignit sur ses traits, en comprenant la catastrophe qu'ils avaient tous frôlée.
Toutes deux épuisées par l'épreuve, elles demandèrent la permission de se retirer afin de retourner au Nid s'occuper de l'Emissaire, lui aussi bien secoué. Mais Cyril n'entendait pas les congédier aussi facilement :
- "Comment va-t-il ? Son état n'a pas empiré ? Si c'est le cas, sachez que..."
- "Il va bien, à ce qu'il semble", répondit la femme. "Il a recouvré sa mémoire, sa voix et une partie de ses pouvoirs d'après ce que nous avons tous pu en juger. Mais je connais la question que vous allez me poser..."
- "Et bien ?"
- "Il sortira du Nid quand il le décidera. Il voudra sans doute se rendre présentable pour cette occasion. Cela ne devrait pas tarder, la chambre n'est plus aussi confortable qu'auparavant..."
- "Les dégâts sont si importants ? J'aimerai m'en rendre compte..."
- "Sauf votre respect, Maître, je vous déconseille de tenter d'y entrer. Sa Grâce n'est pas prêt à vous donner audience pour l'instant."
Cyril resta silencieux, se demandant s'il devait interpréter ces mots comme de l'insubordination ou s'y plier par respect pour son dieu. Il opta pour la seconde option.
- "Je... j'attendrais que Sa Grâce vienne à moi dans ce cas." Il y avait une telle humilité dans sa voix... "Et alors, je lui fournirai les informations qu'il souhaitera. Ses souvenirs ne lui ont pas donné toutes les réponses."
- "En effet. Quelques minutes après la fin de la thérapie, il a demandé à voir son frère..." La soigneuse baissa la tête. "Vous allez devoir lui annoncer ce qu'il en est. Pour ma part, je ne lui ai rien révélé ; j'ai prétendu ne rien savoir."
- "Vous avez fait ce qu'il fallait. Même si la décision que vous avez prise sans m'en parler aurait pu nous coûter la vie à tous..."
- "C'est pour cette raison que nous sommes les Immortels. Vivre et mourir pour le Phénix, n'est-ce pas ?"
La soigneuse avait atteint la porte, suivie de son assistante qui regardait la joute verbale sans intervenir.
- "Certes...", murmura Cyril.
Les deux Immortelles remontèrent le long couloir jusqu'au Nid sous les regards fixes de leurs acolytes. En chacun d'eux se disputaient l'incompréhension et l'admiration. Un espoir fou jalonnait chacun des pas de Jote et de sa supérieure ; l'espoir de voir le Phénix ouvrir de nouveau ses ailes et arpenter le monde aux côtés de ses fidèles serviteurs. Beaucoup voyaient déjà l'archiduché de Rosalia reconstruit, la gloire d'antan resplendir de nouveau sur Valisthéa. L'empire de Sanbrèque allait devoir répondre de nombreuses accusations...
Pour le moment, la seule pensée de Jote et de la soigneuse était de préserver Joshua durant le peu de temps où il pouvait encore l'être. Elles l'avaient laissé endormi sur le lit bancal, dans le Nid dévasté et répugnaient encore à trop s'en éloigner. Il allait encore avoir besoin d'elles. Et ensuite, et bien, ensuite...
- "Il s'envolera où il le voudra, je suppose...", soupira la femme.
Comment réagirait-il en apprenant que sa famille n'existait plus ? S'en doutait-il ? Elle aurait tant voulu lui dire tout ce qu'elle savait, ne pas le laisser sans défense face à Cyril... Elle refusait plus que tout qu'il continue de souffrir...
Elle pressa la clef contre la porte qui s'ouvrit par à-coups, car son dispositif avait été perturbé par l'onde de choc. La pièce était toujours dans un état lamentable. Assis sur le lit redressé à moitié, l'Emissaire leur tournait le dos et faisait face au miroir mural. Elle répugnait à interrompre cette confrontation, alors elle murmura à Jote :
- "Va rallumer les cristaux qui fonctionnent encore..."
La petite fille alla tapoter les appliques, mais la moitié ne répondait plus. Quand elle arriva près de Joshua, celui-ci se tourna vers elle et lui sourit tristement. Il n'avait pas beaucoup changé ; mais sa bouche avait un pli différent, et ses sourcils se contractaient plus souvent, lui donnant l'air plus âgé que ses quinze ans. Il continua de se contempler dans le miroir et toucha son visage.
- "Je suis affreux...", souffla-t-il douloureusement.
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Jote voulut immédiatement le contredire, mais sa supérieure le fit avec plus de tact. Elle s'assit sur le lit et prit l'adolescent par l'épaule avec douceur.
- "Mais que dites-vous là ?" s'exclama-t-elle en écartant une mèche de cheveux de devant le visage de Joshua. "Je ne sais pas de qui vous parlez. Je ne vois qu'un magnifique jeune homme..."
- "Je ressemble... à un mort..."
Sa voix avait entamé sa mue et se perdait parfois dans les aigus quand l'émotion le submergeait.
- "Vous reprendrez des couleurs quand vous verrez de nouveau le soleil. Vous allez devoir manger beaucoup de carottes."
- "Oh non ! je n'aime pas ça !" La spontanéité de l'Emissaire fit sourire Jote.
- "Je suis sûre que c'est parce qu'on ne vous les a jamais bien cuisinées", rétorqua-t-elle. "Je vous ferais goûter une recette personnelle, vous voudrez bien ? Pour me faire plaisir..."
Le jeune homme la regarda avec attention et c'était comme s'il la voyait pour la première fois. Son regard clair était si franc qu'elle déglutit discrètement.
- "J'essaierai, mais je ne promets rien..."
Il fut interrompu par une quinte de toux qui secoua son corps encore fragile.
- "Votre Grâce, vous allez bien ?!"
- "On dirait que je suis toujours malade...", répondit-il en se râclant la gorge.
- "Oui, je vois... J'en avais entendu parler... Votre santé a toujours été..."
- "Mauvaise, oui, depuis aussi longtemps que je me souvienne..."
Il ne donna pas plus de précisions, et se leva du lit qui s'affaissa sous la soigneuse : il venait de perdre un autre pied.
La femme remarqua en riant :
- "Vous avez cassé votre coquille, Votre Grâce..."
- "Désolé pour tout ça..."
- Vous n'y êtes pour rien. Tout s'est bien fini, c'est ce qui compte..."
- "Ma dame, je veux vous demander... Quel est votre nom ?"
La soigneuse porta la main à sa poitrine avec inquiétude ; elle ne s'était pas préparée à cette question. Et quand elle remarqua que la petite Jote semblait elle aussi en attente de sa réponse, elle comprit qu'elle était cernée.
- "Je n'ai pas de nom, Votre Grâce. Les Immortels n'ont pas de..."
- "Allons, c'est ridicule. Tout le monde a un nom, vous aussi vous en avez un", rétorqua-t-il en lui prenant les mains.
A son tour, l'Immortelle plongea dans ses souvenirs. Bien sûr, qu'elle avait eu un nom ; un nom que l'ordre n'était pas parvenu à effacer totalement de sa mémoire. Et puis, si l'Emissaire commandait, il fallait bien obéir, n'est-ce pas ?
Elle prit sa respiration, ferma les yeux et prononça des syllabes qu'elle avait gardées enfouies en elle pendant tant d'années :
- "Adalia. Je m'appelle Adalia."
- "Dame Adalia, je veux vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi."
Et le jeune homme se jeta dans ses bras sans aucune cérémonie, comme il l'aurait fait avec une amie. Elle garda les bras écartés, comme si elle avait craint d'avoir un geste déplacé, contraire à l'étiquette. Mais quelle étiquette subsistait-il encore dans cette pièce brisée comme une coquille d'oeuf ? Elle referma ses bras sur l'Emissaire et le berça comme une mère.
- "Vous n'avez pas à me remercier... Joshua...", souffla-t-elle. "Ma vie vous appartient..."
- "Je préfèrerais que vous viviez pour vous-même." Puis, il se tourna vers Jote, qui n'était pas aussi grande que lui. "Dame Jote, je vous remercie également. Vous avez été la plus agréables des compagnies."
Il la serra dans ses bras à son tour et la petite fille rougit comme une pivoine.
Essuyant discrètement ses yeux humides, Adalia reprit une contenance solennelle, digne d'une Immortelle.
- "Votre Grâce, que comptez-vous faire à présent ?"
- "Je crois que je suis prêt... à sortir", annonça-t-il fermement.
- "Aujourd'hui même ? Je vous conseille d'attendre demain. Vous devez vous préparer..."
- "Je peux passer une nuit de plus ici...", dit-il en regardant autour de lui. "Ce lit peut encore servir, je pense."
- "Il faudra enlever les deux derniers pieds qui lui restent et il sera assez confortable."
- "Pauvre lit...", soupira Joshua en riant.
La soirée était déjà bien avancée et les deux Immortelles comprenaient que l'Emissaire voulait être seul pour sa dernière nuit dans le Nid. Mais il semblait préoccupé.
- "Si je peux encore vous demander quelque chose..."
- "Tout ce que vous voudrez", répondit Adalia.
- "J'aimerais..." Il se tourna vers le miroir. "Mes cheveux... Ils sont trop longs. Je les voudrais courts... Comme avant..."
Adalia s'inclina avec empressement.
- "Mais bien sûr, Votre Grâce !" Elle tapa des mains à l'adresse de son assistante. "Jote ! Va chercher des ciseaux ! Tu le feras toi-même !"
- "Moi ?"
- "Oui, et tu as intérêt à t'appliquer."
La petite fille sortit en courant du Nid et fonça jusqu'à la réserve demander le nécessaire. Quand elle revint, l'Emissaire était de nouveau assis face au miroir et Adalia lui avait passé un linge autour des épaules. La petite Immortelle monta sur le lit derrière le garçon et se demanda par quoi commencer. Elle se rappelait de la coupe de cheveux du jeune Phénix au temps de sa gloire. C'était sans doute ce qu'il voulait.
Elle coupa avec précision et prudence une bonne longueur de chevelure blonde légèrement ondulée qui tomba sur le lit à côté d'elle. Elle se demanda ce que les autres Immortels seraient prêts à faire pour en obtenir ne serait-ce qu'une mèche... Elle tailla avec mesure, donnant de petits coups par-ci par-là, sous le regard concerné de sa supérieure. Il fallait éviter de blesser l'Emissaire et elle cru un instant lui avoir coupé l'oreille !
Elle remarqua alors les nombreuses cicatrices résultant de la Nuit des Flammes, qu'aucun soin n'était parvenu à faire disparaître totalement, ainsi que les multiples bleus qui parsemaient son dos et ses épaules, infligés durant ses convulsions. Il serait bon d'y appliquer quelques onguents. Adalia eut la même idée car elle se leva du lit pour aller chercher les produits adéquats dans une petite armoire, originellement accrochée au mur, mais qui reposait maintenant au sol au milieu d'un tas de débris. Le Nid avait vraiment souffert de la thérapie. L'oisillon qui y était demeuré trop longtemps y avait donné des coups de becs violents...
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Adalia étala les lotions sur le corps de Joshua tandis que Jote finissait son oeuvre. Pour finir, elle rassembla les mèches éparses dans le linge et le noua avec soin. Elle ne pouvait se résoudre à jeter les cheveux de l'Emissaire comme un vulgaire déchet... Elle était plutôt satisfaite, et il sembla que le jeune homme l'était aussi. Il approcha du miroir et se passa la main dans les cheveux.
- "J'ai l'air un peu moins laid comme ça."
- "Mais enfin ! Arrêtez ! " Jote n'en revenait pas de l'audace de son ton. "Vous n'êtes pas laid du tout !"
Elle s'arrêta là, craignant d'exprimer plus avant ce qu'elle pensait réellement...
- "Vous êtes gentille, Dame Jote."
Le sourire qu'il lui tendit était comme un soleil qui se lève par-dessus les nuages.
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Ce post est écrit sous 4,5g d'alcool dans le sang, je vous prierais donc d'être indulgents. Comme l'a si bien dit Dr X, "si on n'avait pas rencontré ce garagiste, on aurait perdu notre porte monnaie, mais on n'aurait pas chopé une cirrhose".
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Pourtant, la journée a bien commencé, avec notre premier petit dejeuner en liberté, au milieu des montagnes ...
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Bon, ça a demandé quelques ajustements : on a réussi à partir sans fermer le coffre, les tiroirs s'ouvrant donc à qui mieux mieux dans la montée. Fort heureusement, nos possessions ont évité de s'éparpiller aux quatre vents grâce à la puissance du saint esprit.
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De même, nous avions oublié de fermer les lanières de la tente de toit, qui nous ont suivi en mode cerf volant avant qu'on réalise qu'il y avait un problème. Bon, eh, c'est notre premier jour hein, il faut bien faire les erreurs une fois !
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Nous passons ensuite par une route en terre, Dr X conduisant avec une bonne humeur communicative, tellement communicative même que le tiroir du vide poche a passé toute la montée a essayer de danser avec mon genou en s'ouvrant de manière intempestive. Le petit coquin.
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Peu importe, nous arrivons bientôt en vue du magnifique lac de barrage de Yeso, notre objectif de la journée !
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On profite du paysage, flanant au grès de la vie, poursuivant de notre téléphone au zoom incroyable la faune locale, et rentrons à la voiture.
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Et là, le karma accumulé sur le début de journée nous rattrape... La voiture ne démarre pas. Nos phares sont restés allumés, et en une demie heure, la batterie s'est complètement vidée !!
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Nous voici donc tout penauds au milieu de nulle part, bien évidemment sans câble pour redémarrer notre batterie, à demander à toutes les âmes errantes s'ils seraient en possession de notre précieux sésame. Sans grand succès, jusqu'à arriver au propriétaire d'un minuscule boui-boui insalubre, qui nous sort une paire de ... Câbles. Mais au sens propre, deux câbles qu'on dénude au couteau.
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Un groupe de colombiens croisés à ce moment nous remonte en voiture, manque de s'électrocuter en n'éteignant pas le moteur avant de se brancher, et en bonus Dr Rathatton leur renverse une cannette de bière dans la voiture, ils doivent être heureux de nous avoir dépannés... Mais la batterie redémarre \o/
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On finit la journée en rentrant sur Santiago (où on achète une paire de câbles à mettre dans le coffre !), et on rejoint Daniel (notre garagiste de 60 ans qui fume comme un pompier) et sa compagne, qui nous invitent au restaurant. On les connait depuis deux jours, j'ai l'impression d'être des amis de toujours, c'est incroyable ce que ces gens sont généreux ! Ils nous libèrent même une chambre d'amis pour qu'on dorme au chaud ce soir ... Ce sont vraiment des gens supers 🥰
En attendant, pas de nouvelles de notre RUT, et l'agence nous a laissé un message "on a une solution, je vous appelle dans une heure !" à 14h ... Bien évidemment sans nous rappeler ou répondre à nos messages/coups de fil. Suspense pour demain, sera t on coincés ici tout le week end ?
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havaforever · 7 months
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L'ENLEVEMENT - Le film Rapito du réalisateur italien Marco Bellocchio a été projeté à la 76ème édition du Festival de Cannes, plongeant le public au cœur de l'affaire Mortara. Il offre une immersion captivante dans l'Italie du XIXe siècle et soulève des questionnements profonds sur la liberté religieuse, l'identité et la tolérance.
Le film retrace le destin extraordinaire d'Edgardo Mortara qui a suscité une vive émotion dans toute l'Italie du XIXe siècle. Les autorités sont venues chez ses parents un soir de juin 1858 et leur ont donné vingt-quatre heures pour leur remettre leur enfant. Cette intervention a été réalisée sur ordre du pape, après la révélation du baptême secret de l'enfant.
Face à cette décision implacable, les parents d'Edgardo ont tenté de comprendre et de faire valoir leurs arguments. Ils ont rapidement découvert qu’une ancienne servante catholique était à l'origine de cette trahison. Malheureusement, dans l'État pontifical de Bologne, toute discussion était vaine et les autorités ne laissaient place à aucun compromis.
En raison de son baptême, Edgardo est considéré comme un apostat et il lui est donc impossible de vivre au sein d'une famille juive. Selon les croyances de l'époque, seule l'Église peut le sauver et le protéger spirituellement. L'inquisiteur de Bologne organise donc son placement dans une maison des catéchumènes, un institut fermé destiné à la conversion au catholicisme des jeunes juifs, musulmans et chrétiens non catholiques.
L'affaire Mortara, bien qu'exceptionnelle, n'est pas un cas isolé. Lors de la conférence de presse qui a suivi la première du film, le réalisateur a révélé que de nombreux autres enlèvements et conversions forcées ont eu lieu depuis le XVIe siècle. En effet, les familles juives étaient contraintes d'employer des servantes catholiques pendant le shabbat et celles-ci se chargeaient secrètement de baptiser les petits enfants juifs dans le but de les "sauver". Cette pratique était soutenue par les autorités religieuses catholiques au nom de Dieu. Au cours du procès, la servante a d’ailleurs affirmé avoir baptisé le petit Edgardo alors qu'il était malade et qu'elle le croyait mourant, dans l'espoir de le sauver des limbes, conformément à la croyance répandue à l'époque.
Ces conversions secrètes étaient utilisées comme moyen de pression par les autorités pour inciter les familles juives à se convertir au catholicisme afin de récupérer leurs enfants. Une alternative farouchement rejetée par la famille Mortara, qui refusait de choisir entre leur enfant et leur religion.
Rapito va bien au-delà d'un simple drame historique, il rappelle l'importance de la liberté religieuse et soulève des questions profondes sur l'identité, la foi et la tolérance.
Rapito explore avec minutie le thème de l'emprise à travers l'histoire bouleversante de ce jeune enfant soudain plongé dans les préceptes de la religion catholique. Dès son arrivée dans sa nouvelle demeure, Edgardo reçoit un conseil d'un autre garçon, lui indiquant qu'il doit se comporter de manière exemplaire s'il souhaite rapidement retrouver sa famille. Cependant, ce conseil se révèle être un piège, donnant l'illusion d'une conversion heureuse, alors qu'en réalité, il renforce la décision des autorités papales de le tenir éloigné de sa famille. Parallèlement, un processus d'endoctrinement se met en place, basé sur l'enfermement et la culpabilisation.
Un autre élément remarquable de cette histoire est la trajectoire d'Edgardo Mortara lui-même. Malgré l'épreuve incommensurable qu'il a vécue, il deviendra prêtre et restera un fervent catholique jusqu'à sa mort, restant à distance de sa famille, essayant même de la convertir au catholicisme. Marco Bellocchio a mis en évidence les contradictions d'Edgardo Mortara et la souffrance qui en découle. Il utilise habilement le mystère qui entoure la psychologie du personnage tout au long du film.
Est-ce qu'il fait semblant ? Est-ce qu'il agit par réflexe de protection ou est-il victime du syndrome de Stockholm ? Tout au long du récit, le personnage fascine et suscite des questionnements.
L'histoire d'Edgardo Mortara est exceptionnelle à bien des égards, notamment par sa médiatisation. Ses parents ont lutté sans relâche contre les autorités pontificales pour récupérer leur enfant, mobilisant la presse libérale qui en a fait un scandale national. Elle est devenue un symbole de résistance face à l'inquisition, renforçant ainsi la position inflexible du pape Pie IX, déterminé à appliquer strictement les dogmes religieux et à préserver son pouvoir. Marco Bellocchio souligne que cette affaire a pris une dimension "politique", en soulignant son lien avec la "dislocation de l'État pontifical" à l'époque.
Ce contexte historique, étroitement lié à l'affaire Mortara, se reflète dans la structure du film, qui s'appuie sur trois moments clés : l'enlèvement en 1858, le procès en 1860 rendu possible par l'arrivée des nationalistes au pouvoir à Bologne, et enfin, la conquête de Rome en 1870.
L'affaire Mortara est devenue célèbre et a posé un casse-tête pour le pape Pie IX et son principal conseiller, le cardinal Antonelli. Face à la pression publique et aux pétitions incessantes de la communauté juive réclamant le retour d'Edgardo, le pape, a simplement publié son édit : "Non possumus" (Nous ne pouvons pas).
Ce n'est qu'en 1859, lorsque l'armée italienne renverse la domination papale à Bologne, qu'un nouvel espoir surgit avec un procès contre Felletti, l’inquisiteur. Malheureusement, il est disculpé et l'avocat répond sèchement à Momolo, désespéré de ramener Edgardo à la maison, que cela ne sera possible que lorsque Rome sera prise.
Marco Bellocchio a découvert le destin d'Edgardo Mortara dans un livre de Vittorio Messori, un auteur catholique et conservateur qui défendait les raisons justifiant la séparation de l'enfant de sa famille par le pape. Cette affaire hautement médiatisée a suscité des passions déchaînées et a donné lieu à de nombreux récits, parfois contradictoires, parmi lesquels il a fallu faire le tri. Lors de la conférence de presse, Marco Bellocchio, le réalisateur, et Susanna Nicchiarelli, la coscénariste ont déclaré avoir eu la chance de travailler sur les sources directes de l'affaire Mortara, notamment les dépositions du procès, dont celle de Mariana Mortara, la mère, qui a décrit en détail les événements relatés dans la première partie du film, tels que l'arrivée des policiers et leur demande du nom des enfants. Cette richesse d'informations a permis de sélectionner parmi de nombreux éléments réels. Cependant, il restait à imaginer l'intimité des personnages, un aspect pour lequel très peu d'informations étaient disponibles.
Le film documente de près les circonstances de l'enlèvement d'Edgardo et les premiers efforts pour le ramener. Malgré son jeune âge, Sala a brillamment incarné le personnage, même s'il n'a probablement pas pleinement saisi l'importance du film en raison de sa jeune expérience de vie. Le réalisateur estime avoir fait un choix judicieux en sélectionnant cet acteur très jeune, qui a su apporter une profondeur émotionnelle remarquable à son interprétation. Il souligne également que Sala, n'ayant jamais mis les pieds dans une église et étant dépourvu des contraintes d’une éducation catholique, sans être non plus juif, et a pu puiser dans une profondeur intérieure pour incarner le personnage.
Marco Bellocchio a révélé que Steven Spielberg avait également prévu de réaliser un film sur l'affaire Mortara et avait même commencé à repérer des lieux en Italie. Cependant, il a finalement abandonné le projet, ouvrant ainsi la voie à Bellocchio et son équipe, ce qui est préférable, le film devant être tourné par des italiens et en langue italienne.
NOTE 17/20 - En plus de susciter une réflexion intense et captivante sur l'univers des religieux, la croyance et ses modalités d'adhésion, Rapito plonge le public au cœur d'un épisode bouleversant de l'histoire italienne.
Les performances exceptionnelles des acteurs donnent vie aux personnages avec une intensité émotionnelle palpable. L'esthétique soignée du film s'inspire des grands maîtres de la peinture pré-impressionniste italienne et française, tel Eugène Delacroix.
Les décors minutieusement reconstitués, les costumes somptueux et les couleurs vives et contrastées créent une atmosphère visuelle captivante, transportant le spectateur dans un univers saisissant de réalité.
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yumeka-chan · 1 year
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Smut de Noël - Pendragon 2.0
Pendragon 2.0 c'est l'histoire d'Arthur Pendragon, si Arthur avait été plus proche de l'idée qu'on se fait de son père. Un "tyran", colérique et qui déteste qu'on le contredise. Il a épousé Guenièvre "par obligation", mais il est tombé amoureux de cette femme à la fois naïve et avec un gros caractère. Le smut se passe alors qu'ils sont mariés depuis plusieurs mois (je dirais environ 1ans et demi. Joyeuses fêtes, et bonne lecture !
Arthur Pendragon était reconnu par les peuples voisins comme un tyran. 
Son propre peuple marchait à la baguette, et même s'il faisait prospérer Kaamelott, ça ne suffisait pas toujours à faire taire les échos de rébellion. 
Sous le manteau, on parlait aussi souvent de la Reine. 
La pauvre petite Guenièvre, si douce, si calme, obligée de vivre avec un monstre sanguinaire en guise de mari. Elle n'était qu'un trophée dont il finirait par se débarrasser. 
A l'intérieur du château, tout était différent. 
Guenièvre n'était jamais laissée seule lors des réunions. Si elle n'était pas à la table des parlementations, elle était accompagnée par une de ses servantes entraînée par Arthur au combat rapproché, et par Lancelot. 
Aujourd'hui, une délégation venue de plus loin que leurs derniers combats était à la table. Guenièvre était assise en bout de table, près d'Arthur, magnifique dans une robe couleur parme. Elle observait avec attention le traducteur lorsqu'ils en avaient besoin. Elle scrutait les invités qui parlaient à voix basse dans leur langue. 
- Il faudrait qu'on ai un dialecte à nous aussi pour pouvoir parler comme eux. Je pourrais vous apprendre le picte. Plus personne ne le parle à part eux. 
Arthur lui jeta un regard noir, avant d'observer le traducteur, lui interdisant de traduire la pensée de sa femme. Le chef de délégation les observe, alors qu'Arthur ne s'occupe plus d'eux. 
- Je vous ai déjà dit de pas parler quand on reçoit des chefs de clans! Vous savez pas tenir votre langue. 
Il aperçoit du coin de l'œil l'interprète souffler ses mots au chef de clan, dont le sourire se mue en rictus amusé. Arthur se réinstalle calmement, alors que Guenièvre reste droite, les joues un peu plus roses qu'avant. 
Les discussions reprennent bon train, jusqu'au moment où Guenièvre tend la main pour goûter un des plats qui ont été amenés par la délégation. Elle se fige alors qu'un couteau se plante devant sa main. Le chef de délégation s'est redressé pour lui interdire de toucher à la nourriture. Elle entend des mots vides de sens pour elle, alors qu'elle ne peut pas lâcher la lame des yeux. 
Arthur jette un regard à l'interprète, qui essaie de parlementer. 
- Qu'est-ce qu'il a dit?! 
- Attendez, j'essaie...
- Traduisez. Mot pour mot. Maintenant. 
Le jeune interprète recule imperceptiblement. 
- Femme, pas toucher nourriture. Perdre poids avant de plaire à lui. 
Guenièvre est mortifiée par les mots qu'elle entend. Le rire tonitruant de l'homme n'arrange rien. Une seconde plus tard, Arthur tend le bras pour écraser ses doigts sur la joue du chef de clan, qui s'effondre au sol. Lorsqu'il se relève, fou de rage, c'est pour se retrouver face à une épée enflammée, d'un rouge sang. 
- Personne ne parle de ma femme ainsi. Est-ce que c'est bien compris?! 
Alors que l'interprète essaie de parler, Arthur parle à nouveau. 
- Je suis sûr qu'il n'a pas besoin d'interprète pour ça. Si vous insultez à nouveau ma femme, je vous tuerai. Vous et tous ceux qui se mettront de votre côté. C'est clair?! 
Les flammes léchaient dangereusement la tignasse du chef de clan, qui finit par reculer en levant les mains en avant en signe d'apaisement. 
- Guenièvre, on y va. 
La Reine se redresse, et se dirige lentement vers la porte, suivie de près par son mari, qui ne lâche pas Excalibur. 
- Dites-leur qu'il n'y aura pas de discussions avant demain. Et qu'ils réfléchissent à leurs mots. 
Une fois la porte claquée, Arthur saisit sa femme par le bras et presse le pas jusqu'à leur chambre, dans une aile gardée mais où personne d'autre ne loge. Arthur et son désir de silence et de solitude. Il referme la lourde porte en bois derrière les servants qui se pressaient d'allumer un feu dans l'âtre. 
- Je suis désolée, j'aurai.... 
- Vous ne savez pas tenir votre langue. Ne donnez pas d'informations qui pourraient servir à l'ennemi. J'ai besoin de vos conseils, mais entre nous. 
Il s'approche du feu, alors que Guenièvre frissonne encore. 
- Et retirez cette horreur. 
Elle le regarde avec surprise. 
- C'est une belle robe, et puis la couleur... 
- Ma mère a encore engagé des femmes pour vous habiller. Je ne sais pas comment elle se débrouille pour en trouver autant. 
Il la regarde avancer vers lui, et lui tourner le dos, déplacer sa lourde tresse sur le côté. Avec délicatesse, Arthur défait les nombreux noeuds qui retenaient le corset dans lequel on avait enfermé sa femme. Il réfléchissait à la façon dont il pouvait trouver un moyen de ne pas laisser Guenièvre subir ça. Il détestait qu'on l'habille ainsi, il détestait qu'on la coiffe d'une tresse. Ses cheveux ondulés étaient magnifiques lorsqu’ils étaient lâchés, il pourrait s'y perdre toute une vie, rien que pour trouver cette épaule qu'on cachait dans des robes trop sages. 
Les tenues que portaient Guenièvre lors des délégations ne lui plaisaient pas. Elle lui était cachée jusqu'en haut du cou, ses mains étaient à peine apparentes. Une idée de sa mère, qui s'habillait de la même manière. Il avait déchiré bon nombre de robes auparavant. A présent, il se contentait d'aider Guenièvre à les retirer. 
Personne n'aurait pu deviner qu'Arthur savait faire preuve de douceur. Pas même les maîtresses qu'il avait accepté d'avoir. 
Ses mains rendaient sa liberté à la peau pâle de Guenièvre, accueillait avec joie chaque parcelle qu'il pouvait. Il la sentait frissonner, il voyait la chair de poule dont il était l'instigateur. Il adorait toucher sa nuque, épouser les formes qui se dessinaient alors que la robe finissait au sol. 
- Si je dois perdre du poids, je...
- Vous êtes très bien telle que vous êtes. 
- Mais ils disent... 
Arthur grogna un instant, avant d'enrouler son bras contre la taille de Guenièvre. Son autre main glissa plus bas, pour commencer à descendre les sous-vêtements qu'elle portait. Il frôlait sa nuque de ses lèvres. 
- Vous désirez partager leur lit? Celui de cette brute ? Celui de ma mère? 
- Non! Pas du...
- Alors ne vous préoccupez pas de ce qu'ils disent. 
Il retourne Guenièvre, pour lui faire face. Ses yeux brillants, son cou sur lequel il avait envie de fondre. Elle portait encore un petit bustier à peine serré qui le rendait fou. Il saisit les hanches de Guenièvre. 
- Je vous demanderai de perdre du poids lorsque je ne pourrai plus vous soulever. 
Joignant le geste à la parole, il la souleva pour l'asseoir au bord d'une table un peu plus basse que les autres. Il lui fit écarter les jambes, avant de s'agenouiller devant elle. 
- Et je vous interdit de tenir votre langue ici, c'est bien clair? 
- Oui, Arthur. 
Il commença ses baisers sur l'intérieur de ses cuisses, avec lenteur, tout en caressant délicatement sa peau, attentif à chaque vibration, à chaque petit souffle de la part de sa femme. Il avait envie de l'entendre, il voulait la faire crier de plaisir tout autant que la faire jouir indéfiniment. 
Lorsque sa langue entra en contact avec le sexe de Guenièvre, il l'entendit laisser échapper un long gémissement de plaisir, alors qu'elle se laissa glisser un peu plus en arrière sur la table. Il aimait ces moments entre eux. Il avait fallu du temps avant que Guenièvre n'arrive à lui faire totalement confiance sur la question du sexe. 
Pendant plusieurs mois, elle se retenait, elle gémissait entre ses dents, elle restait droite ou rigide. Il avait fallu qu'ils parlent, longuement, de nombreuses fois, pour qu'Arthur puisse déconstruire ce qu'on lui avait appris sur lui, sur son plaisir à elle. Les parents de Guenièvre lui avaient dit qu'elle ne pouvait pas jouir avant lui, qu'il la ferait frapper. Qu'elle devait rester silencieuse pour ne pas l'irriter. Ne jamais se plaindre. Ygerne, elle, lui avait dit de ne jamais regarder son fils dans les yeux. De ne faire aucun geste, d'être soumise jusqu'à ce qu'il ait fini. De gémir uniquement à la fin, pour montrer qu'elle était satisfaite. 
Et elle avait cru tout ça. Il avait mis des semaines, des mois à déconstruire toutes les idées toxiques qu'on lui avait inculquées. Il avait fait virer ses beaux-parents, et sa mère n'avait pas le droit de s'approcher d'elle. 
Aujourd'hui, il appréciait encore plus d'avoir une Guenièvre vraie, honnête. D'avoir ses halètements qui emplissaient la pièce au rythme de ses coups de langue, de voir son ventre se contracter alors qu'elle hésitait encore entre céder au plaisir ou faire durer encore quelques instants le désir qui la consumait. 
Comme s'ils avaient décidé d'un commun accord, Arthur ralentit le rythme. Plus lent, plus appuyé, alors que ses doigts s'ancraient dans la chair de ses cuisses. Guenièvre lâcha un râle, autant de plaisir que de frustration, et le laissa glisser totalement sur la table. Elle ne luttait plus, elle se laissait porter par le rythme d'Arthur. Elle ne respirait plus profondément pour se retenir, elle laissait ses gémissements la diriger, son corps onduler pour donner des indications à son mari. Elle ne voulait plus réfléchir. 
Lorsque l'orgasme arriva, elle poussa un cri de plaisir, suivi de petits gémissements pour supplier Arthur d'arrêter. Elle se sentait incapable de supporter un nouveau plaisir aussi intense. Il la lâcha, et elle se demanda un instant à quoi elle pouvait bien ressembler, pantoise sur une table, les jambes écartées, les cheveux défaits. 
Tout cela fut balayé par les mains d'Arthur sur sa taille. 
- Je veux venir en vous. 
Guenièvre hocha la tête, un peu surprise, avant de se redresser doucement, en appui sur ses coudes. 
- Vous voulez que je me tourne? 
Arthur lui jeta un regard surpris, alors qu'il finissait de se déshabiller, puis s'avança à nouveau vers elle. 
- Vous voudriez me priver de cette vue? 
Sa main glissait de son bas-ventre jusqu'à la naissance du bustier lâche. Au frisson qu'elle réprima, elle se rendit compte qu'elle avait encore envie. 
- J'ai juste une chose à faire avant. 
Il détacha le bustier et le laissa tomber au sol, avec un air satisfait. 
- Maintenant, c'est parfait. Vous êtes prête? 
Elle hocha la tête, et Arthur s'installa entre ses jambes, avant de la pénétrer lentement. La sensation fit rouler les yeux de Guenièvre, qui se laissa glisser en suivant la pression de la main d'Arthur. Ses mouvements étaient lents et profonds, ce qui arrachait des gémissements lascifs à Guenièvre. A chaque fois un peu plus fort, un peu plus poussif. Guenièvre ne savait plus où elle en était. Elle n'avait pas mal, Arthur était incroyablement doux et attentif, mais son corps la suffoquait. Elle semblait perdre un peu d'air à chaque fois qu'elle gémissait, n'arrivait pas à reprendre son souffle. Mais elle ne voulait pas qu'il s'arrête. C'était trop agréable pour que tout s'arrête. Elle en mourrait de frustration. 
Le dernier coup de rein d'Arthur lui arracha un cri étranglé, alors que tout son corps se mit à trembler erratiquement, submergé par un orgasme d'une intensité qu'elle n'avait pas encore ressenti. Arthur pressa son corps sur elle, pour ordonner à ses mouvements incohérents de se calmer. Elle voyait des étoiles danser devant ses yeux, elle sentait ses joues la brûler. Puis, elle vit le visage d'Arthur devant elle. Il la regardait, à la fois heureux et inquiet. 
- Tout va bien? 
- Oui, je...je crois que j'ai perdu le contrôle. 
Arthur se recula, allant chercher des linges pour eux deux. Il laissa Guenièvre, toujours assise sur la table, glisser le sien entre ses jambes, tout en surveillant qu'elle ne se recouvre pas totalement. Il voulait encore profiter de la vue qu'elle lui offrait. La chambre était chaude, aucun d'entre eux n'avait froid. 
- Je ferai demander Merlin. Juste par précaution. 
- Pourquoi? 
- J'ai un instant cru que vous alliez cesser de respirer. J'aimerais m'assurer que ce n'est rien de grave. 
Il se rapprocha, pour glisser sa main jusqu'à sa nuque, et lui voler un baiser. 
- Parce que si vous ne risquez rien, j'ai bien l'intention que la prochaine fois, ça dure encore plus. J'adore votre voix. 
Un sourire taquin se glissa sur ses lèvres, alors qu'il s'approcha pour capturer à nouveau ses lèvres. 
- Vous m'apprendrez le picte. Comme ça nous pourrons parler de tout ça sans craindre les oreilles indiscrètes. 
Guenièvre vira à un rouge coquelicot, avant qu'Arthur ne l'embrasse à nouveau, se retenant de la faire basculer à nouveau sur la table. 
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claudehenrion · 1 year
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La crise russo-ukrainienne : retour sur des vérités douloureuses…
  Devant la violence d'un pilonnage médiatique et politique qui n'admet même pas l'existence d'une pensée “autre”, j'avais opté pour une posture “en retrait”  : “Dans les périodes troubles, conseillait Sénèque, le sage se terre”. Mais, chaque jour, je reçois pourtant une véritable ‘’moisson’’ de mails, plus souvent “va-t'en guerre” qu'autre chose, qui me font peur : ou bien ils ont raison de penser que Poutine est fou… et leur “jusqu'auboutisme” nous conduit vers l’ apocalypse… ou bien ils ont raison de voir des succès ukrainiens partout… et ils n'ont alors pas besoin de tout le battage médiatique ambiant, ni de leurs prises de positions –qui ne s'expliquent que s'ils ne sont pas si sûrs du bien-fondé ou du résultat final qu'ils annoncent.
Le problème, tel que je crois qu'il se pose, est : “Faut-il mourir pour Kiev ?”. En réponse à cette question angoissante, la parole de nos soi-disant “experts du 20 heures” tient en quelques affirmations indémontrables : Poutine est fou (?), il a le cancer (?), des complots de Palais autour de lui (?), le peuple russe va se révolter (?), les dégâts des blocus successifs sont gigantesques (?), l'armée russe n'est pas prête (?) et les armements fournis par l'OTAN (?) –qui est bien entendu tout-à-fait extérieure à ce conflit (?) devaient amener assez vite la victoire totale de l'Ukraine (?), bientôt suivie de son adhésion triomphale à l'OTAN, pour le bonheur (?) des peuples européens euphoriques, dansant de joie dans les rues de nos capitales…  
Vous souvenez vous que chaque jour, au plus noir de la crise dite “du covid” , des médecins, rebaptisés “La Science”, ont eu “tout faux” jour après jour (personne ne devrait oublier une seule de leurs scandaleuses “intubations” qui assassinaient plus et mieux que tout SARS-Cov II !) ?  Eh ! bien, de la même manière, des “experts du 20 heures” sur l'Ukraine, ex-généraux d'Etat-major (CR), si admiratifs les uns des autres qu'ils se répètent en circuit fermé… ne voient pas que leur suivisme béat ne fait pas progresser le schmilblick d'un iota…  Bien au contraire : les occidentaux découvrent qu'ils sont plus isolés qu'ils ne se le racontent, et sont de plus en plus détestés : obsédés par leur “vouloir avoir raison” ontologique, ils ont cru trouver, dans le vote de  l'ONU le 24 février dernier, que (je cite) “une majorité écrasante de la communauté internationale a confirmé son fort soutien à l'Ukraine” (sic !)… alors que les 39 pays qui ont refusé de condamner l’agression russe (malgré les terribles pressions US) représentent 4,2Mds de personnes, soit sensiblement plus de la moitié de l’humanité (“Mince de majorité écrasante”, comme on dit familièrement !).
Seul contre tous (donc je me trompe sûrement)… je lis plutôt qu'une grosse moitié de la planète a tourné le dos à l'Occident –sans doute pas à cause de l'Ukraine, mais “parce qu'il est l'Occident”, ce qui ne change rien aux chiffres–, et refuse d'adhérer à ses “sanctions” –très coûteuses pour les européens mais presque inoffensives pour la Russie qui, même si ça fait mal de le dire, se porte infiniment mieux que notre France “en arrêt reconductible’‘ : pénuries et éclatement social sont bien plus graves ici que ’'là-bas”, et je parie 3 sous ½   que la popularité de Poutine en Russie est supérieure à l'impopularité XXL de Macron en France ! En attendant, à force de voir célébrées les victoires ukrainiennes chaque soir sur nos chaînes, la Russie avance, “lentement mais”… Le rouble va très, bien merci pour lui… Et l'économie russe caracole (+ 2,1 % annoncés pour 2024 par le FMI, vraiment pas “pro-russe”, contre un effondrement, en Europe). Cherchez l'erreur…
Il y a quelques jours, sans doute à cause de ce vote onusien, nos dirigeants ont enfin tous semblé ouvrir les yeux : sans rien retirer à l'horreur de la situation, au courage des ukrainiens bien à plaindre, ni au fait que Poutine, dont le “dossier” était excellent jusque là, s'est mis en tort “plein pot” en déclenchant les hostilités… tous nos Nuls majuscules ont été obligés de découvrir qu'un blocus n'a jamais servi à rien : La Russie tient bon ; ses armées ont toujours un million d'hommes de plus à jeter dans toute bataille ; et ce conflit ne peut se résoudre –comme il a été dit ici-même dès le premier jour (cf. Edito n°1386 du 28 févr. 2022 : “Faut-il mourir pour Kiev”?)– que… soit par et dans une guerre de 100 ans, soit en préférant le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes à un  maintien injustifiable de frontières  qui ont été dessinées dans des circonstances qui n'avaient rien à voir avec celles au nom desquelles on prétend les faire perdurer. (Souvenirs : Crimée et Donbass, pour ma génération, faisaient partie indiscutable de l'URSS, dans nos livres de géographie Demangeon et sur 100% de nos cartes murales Vidal-Lablache ! –j'ai vérifié).
(NDLR : “ils ont tous enfin ouvert les yeux”… avons-nous écrit ci-dessus. Ces mots s'entendent, bien sûr, “sauf Macron” qui continue à ne rien “piger” au monde actuel. A ce point et à ce niveau, c'est pathétique : notre président est le dernier spécialiste des idées d'avant-hier, et sa vision du monde –si tant est qu'il en ait une– date des années ‘70… Sa prestation en Afrique, avant hier, en a été une preuve de trop !  Ezéchiel prévenait, il y a 2700 ans : “Malheur au pays dont le Prince est un enfant”).
Les “victoires” de Zélensky (autre “puceau” politique, mais qui a surpris tout le monde, en bien, lui) sont si énormes… qu'il en est réduit à quémander de plus en plus d'armes de plus en plus puissantes : toutes celles déjà livrées n'ont, en gros, servi à peu près à rien (si ce n'est un effet-retard)… mais ont mis “à poil” et ’'à l'os’’ les stocks d'armements des pays occidentaux. Et je ne suis pas certain que nos états-majors soient ravis de donner (pour rien et contre encore moins) d'avantage d'armes et de munitions qu'ils n'en possèdent (pour les voir détruites par les russes), au moment où la planète semble “en veillée d'armes d'une conflagration Chine-USA”. Et on se demande même ce qu'il va nous rester à faire défiler sur les ‘’Champs’’, le 14 Juillet ? Des fantassins à trottinette, armés de sarbacanes ? 
Mais une fois qu'il a demandé et obtenu des milliards de dollars, puis des millions de tonnes de munitions, puis des canons César, puis des tanks légers AMX 10, puis des chars lourds Leopard ou autres, puis d'autres milliards de dollars, puis d'autres millions de tonnes de munitions… il a fallu qu’il demande des avions, qui arrivent. Et comme tout ce ‘’matos’’ n'a aucune chance d'entraîner un effondrement russe (ce qu'on sait depuis le début !)… il reste quoi ? Mais voyons : la demande d'armes nucléaires tactiques (pour commencer… sauf qu'il faudra bien s'aligner devant la réplique russe, qui sera vraisemblablement monstrueuse…). Et tant pis pour nous (les démocrates US, eux, protégés des batailles, encaisseront les dividendes…).
Personne n'a “voulu” la guerre, ni en 1914, ni en 1939, surtout telles qu'elles se sont déroulées… mais un petit truc en a entraîné un petit autre, sans véritables différences quali- ou quantitatives avec ce que nous vivons. Le résultat de cette myopie volontaire fut… 2 ou 300 millions de morts “tout compris”, à ± 50 millions près, à chaque fois ! Ce coup-ci, la barre serait infiniment plus élevée, nucléaire commande ! Malgré ça, nous refusons de voir que nous sommes en train de danser au bord d'un précipice avec un pied et demi en permanence dans le vide
Biden, pourtant, devrait avoir compris que son ennemi –et le danger, pour lui– n'est pas la Russie mais la Chine… et que 140 milliards de dollars et un véritable arsenal ont déjà été “détournés” de leur véritable objectif asiatique pour ou vers un objectif finalement secondaire (avec tous les “bémols” et les excuses qu'exige l'emploi de ce mot… dont je demande pardon au peuple ukrainien… Mais je ne dispose que d'une page “A4” pour chaque “édito”, et des raccourcis sont donc inévitables !).
Notre “lider minimo” répète devant les caméras, le menton mussolinien, la rouflaquette tremblante et le verbe belliqueux (mais en bras de chemise et en boite de nuit !) que Zélensky “ne peut ni ne doit perdre cette guerre qu'il a peu de chances de gagner”, et que Poutine, lui, “ne doit ni ne peut gagner cette guerre… qu'on lui interdit de gagner”… ce qui, concrètement, ne veut rien dire : une fois qu'on a récité des mots creux… on fait quoi, pratiquement, à part regretter, amèrement, de s'être auto-enfermés dans une nasse sans aucune sortie autre que “à qui perd, perd” dans un jeu sans issue… autre que totalement inenvisageable, et qu'il va pourtant falloir envisager ? Rarement autant qu'aujourd'hui n'ai-je été aussi content (d'une joie morose, et même plus noire que “rose”) de n'être que ce que je suis : à la fois rien et personne !
H-Cl.
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leslarmesdesmorts · 9 months
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@danceofthedruid Jake to HyeJin
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Jake avait ouvert son agence depuis quelques mois maintenant et cela fonctionne vraiment bien. Il avait eu de la chance, la plupart des célébrités avec qu'il travaillait précédemment l'avait suivis. Il fallait reconnaître qu'il leur avait offert sur un plateau un contrat que personne ne pouvait refuser. S'il avait bien appris quelque chose depuis qu'il était dans le métier de la gestion d'artiste est que plus la répartition des gains est élevé, le plus de célébrité sont intéresser. Si bien qu'il avait proposé un retour des gains de 90% pour l'artiste et 10% pour la compagnie. Cela lui réussissait plutôt bien.
Ces derniers mois, il avait ouvert une nouvelle section, après les acteurs et les groupes de kpop et MC, il avait décidé de gérer les influenceurs. Il cherchait encore par qui commencer. Beaucoup avaient essayé de contacter l'agence depuis l'annonce, mais comme à son habitude Jake voulait être prudent. Il ne voulait pas d'influenceur trop problématique, cela nuirait à l'image de marque ainsi que les autres artistes sous l'entreprise. Le destin avait fait bien les choses, car une vidéo d'une jeune femme faisant un Munk bang faisait fureur sur le net. Jake sortis de son bureau pour aller dans le bureau de ces chasseurs de têtes. Il ouvrit la porte du bureau et leur montra son écran de téléphone.
"- Vous me la trouvez immédiatement !" Ordonna-t-il. "Je vous ai envoyé le lien de la vidéo par email. Je veux qu'elle soit dans notre agence. Et faite tout pour qu'elle y soit." "- Bien Monsieur !" Dirent en cœur ces employées. "- N'oubliez pas par non plus de vous alimenter pendant cette course contre le temps."
Il fit un signe de la main à ces équipes avant de retourner à son bureau. Il lui fallait une personne comme elle ! Cette femme était le début de sa nouvelle branche. Jake remit son téléphone dans sa poche de costume un sourire sur les lèvres.
"- Monsieur, vous semblez bien heureux." Commenta RoWoon, son assistant et amis depuis toujours. "- RoWoon, pas monsieur." Grimaça-t-il. "- Jake, tu es sûre de pouvoir l'avoir ?" S'inquiéta-t-il. "Il semblerait que de nombreuses agences la veuille." "- Je ne m'en fais pas pour ça. Il y a toujours un moyen de convaincre les gens."
Il tapa gentiment l'épaule de son ami puis entra dans son bureau et reprit la lecture de ces documents. Il leva la tête alors que RoWoon était toujours devant lui.
"- Quoi ?" "- Tu es sûre de toi ?" "- Absolument, alors dès que tu as son numéro, tu reviens me voir."
RoWoon fit oui de la tête et sortie du bureau laissant Jake à sa paperasse.
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homomenhommes · 4 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 173
Aménagement du Second (en vue de la touze estivale)
Dans la semaine qui a suivi notre décision d'aménager le second étage en dortoir, Olivier nous faisait passer les plans et nous rencontrions l'entrepreneur pour le devis.
Il est arrivé toujours aussi " sexe " même avec 3 ans de plus. Short court, cater aux pieds et marcel blanc immaculé. Dans le séjour/salon, nous étalons les plans sur la grande table et lui expliquons ce qu'on attend de lui. Nous montons voir sur place. Il donne quelques coups de tournevis dans les cloisons pour vérifier que ce ne sont, justement, que des cloisons en briques. Nous parcourons tout l'étage et il nous dit qu'il va devoir revenir avec son plombier et son électricien afin d'établi un devis qui tienne la route. Il nous quitte après un apéro léger et l'assurance de revenir dès le lendemain fin d'après midi avec ses collègues.
Ils déboulent à 4. Il me les présente, deux mecs 40aine le plombier et l'électro et, le dernier la 20aine, son Second. Si le Maçon et ses collègues sont softs (pantalon et chemisette), son Second lui est dans la tenue que son chef avait la veille, short aux jambes roulées sous les fesses, marcel blanc moulant et Cater aux pieds. Je déshabille ce dernier du regard. Un beau mec musclé, bronzé, avec un sourire " Colgate " qui lui barre le visage. Quand nos regards se croisent, je reconnais un des apprentis de la piscine. Il me fait un clin d'oeil complice.
Nouveau passage au Second, les deux artisans complémentaires prennent leurs notes et nous quittent. Le Maçon et son Second restent un peu afin de soit disant vérifier l'état de la piscine 3 ans après. Ils commencent par faire le tour du bassin, vérifiant la terrasse, les margelles. Pour vérifier le rebord intérieur, le Second se met à 4 pattes et se penche au dessus de l'eau. Le Maçon à mes cotés me fait la remarque que s'il s'est bien développé (son apprenti), c'est toujours la même salope que quand ils étaient venu faire la piscine. Je me penche au dessus du jeune mec et pose ma main droite sur son short tendu par ses fesses musclées. Ce simple geste le fait se cambrer. Il m'a l'air d'avoir évolué aussi de ce coté là, je me rappelais un jeune mec beaucoup plus timide. En attendant, mes doigts glissent sous la ceinture qui baille dans son dos. Je ne perçois pas le tissu d'un slip. Comme j'en fais la remarque au Maçon, il me dit que c'est plus simple et plus rapide quand il a besoin de se vider les couilles. Je me redresse et je soupèse son paquet. Son 18 épais commence à s'alourdir et je lui défais ceinture et boutons. Le pantalon tombe sur ses pieds et je retrouve la belle bite avec laquelle j"avais joué. Son Second s'était retourné ;et sans se relever, sa bouche est venue avaler la queue de son patron. J"ai pu voir que mes leçons de l'époque avaient bien porté leurs fruits (cf. la piscine parution en 2007 ou 8). C'est toute entière qu'il lui a enfoncé dans la bouche. Ma main du coup passait des couilles pendantes à la gorge du suceur, sentant se soulever le larynx à chaque passage de gland. Je passais derrière le pompeur et les bras autour de sa taille, je déboutonnais son short. Il m'a un peu aidé pour que je le fasse glisser à ses genoux. J'ai découvert un beau fessier blanc rond, musclé et rasé de près.
Son patron me dit que je peux y aller, il s'assure qu'il est toujours " clean " quand il va chez des clients. De mes pouces j'écarte ses deux fesses et de vois une superbe rondelle rose plissée sans aucun poil. Je fais part de mon admiration. Maçon me dit qu'il s'était rappelé mes conseils et qu'il lui faisait faire mes exercices de contractions anales. Et pour me le prouver, sous mes yeux, Second s'est mis à faire palpiter son anus. Un véritable appel à la bite ! Maçon a senti mon excitation et très gentiment (où très commerçant), me dit que je peux en profiter. Après tout, j'avais bien participé à la formation de son apprenti. En 2 secondes je suis à poil sauf la queue revêtue de sa kpote. la " salope " en a profité pour se défaire de son short et de son marcel. Avec juste ses Caters aux pieds, il est encore plus bandant ! Son patron lui aussi s'est mis à l'aise. ;Ils reprennent la position, Second les jambes écartées. Je m'agenouille entre elles et pose mon gland sur sa rondelle. Son patron me dit que je peux y aller, il l'avait déjà enculé dan la matinée. j'ajoute une noisette de gel à l'interface et sans prévenir, enfonce mes 20cm jusqu'aux couilles. Surpris Second en ouvre encore plus la bouche et de ce fait, se prend son boss derrière les amygdales. Cela coupe court à tous reproches. Il serre son anneau et je ne peux plus bouger. Je caresse sa taille et le félicite d'une telle prouesse. Il se détend et je commence mes va et vient. Je commente à son patron le plaisir que son trou me donne. Il me dit que ça lui fait ça à lui aussi et c'est pour cela qu'il l'avait gardé et pas l'autre apprenti (même et probablement à cause du fait qu'il ait été plus expérimenté de la chose, l'autre apprenti). En attendant je me régale à sodomiser ce beau jeune homme. Sa position penchée en avant, les mains accrochées aux cuisses de son boss, me fait découvrir son dos et le développé en V de ses dorsaux. Ma main caresse ses muscles et je sens sous mes doigts frémir sa peau à leur passage. J'en glisse une sur son torse. Les pecs aussi sont bien développés et vu la taille des tétons, je me doute qu'il doit se les faire travailler. Quand mes doigts les font rouler, il gémit de façon fort convaincante tout en serrant sa rondelle ! Son boss me dit que l'année après la construction de notre piscine, son apprenti est venu loger chez lui et que comme cela il a bien pu le prendre en main (si l'on peut dire). Je le félicitais du travail effectué. Il me dit qu'en général ses clients en était très content et que ce ;plus de " services " par rapport à ses confrères lui assurait bon nombre de chantiers. Car même les hétéros les plus coriaces se laissaient tenter par le beau corps de Second et la promesse de plaisir qu'il pouvait leur donner. Promesse en partie connue par, en général, une pipe avant les signatures de commandes.
Je me régale de ce cul musclé et mes coups de reins semblent lui donner toutes satisfactions. Avec son boss, nous nous rappelons nos premières expériences ensemble autour du trou en chantier (la piscine, pas celui de l'apprenti !). D'ailleurs, à ce propos je me souviens que Maçon baisait bien et je lui indique que vu comme il était dur dans la bouche de son Second, il pourrait sans difficultés perforer mon cul.
Je lui tends une kpote et Second se charge de la lui enfiler. J'ai juste eu le temps de poser une grosse noix de gel sur ma rosette qu'il se positionnait derrière moi. Le temps de m'enfoncer à fond dans le cul de Second et je le sentais pousser sa bite large dans mon trou. Détente, il entre son morceau. La largeur me fait grimacer à la première intromission mais après ça va. Ses grandes mains rugueuses me prennent aux hanches et il me tire vers lui. Collé à son pubis, je sors de Second jusqu'à ne laisser que mon gland emprisonné dans son trou. Là je leur demande de ne plus bouger et je m'active. Sortie de Second = pénétration de Maçon et inversement enculage de Second = libération de mon trou. ça marche quelques instants jusqu'à ce que le Maçon soit trop excité et qu'il prenne les choses en main (si l'on peut dire). Là j'ai reçu des coups de bite qui par ricochet me faisait m'enfoncer dans Second et je profitais qu'il se retire pour faire la même chose. Pour moi peu de différence à part une certain " virilité " dans le geste mais pour Second, mes coups de bite se sont fait nettement plus hard et il devait s'arque bouter pour résister à la poussée de nos deux corps. Second a été le premier à juter sur le pavage de la terrasse. Ses contractions anales m'ont conduit à la même extrémité et enfoui au fond de ses boyaux, j'ai rempli ma kpote alors qu'au même moment je sentais le Maçon remplir la sienne plantée bien au fond du mien (de boyau).
Etalés sur les fauteuils de jardin, j'ai demandé à Maçon s'il ne recevait pas régulièrement des primes pour la réalisation du chantier. Il m'a répondu que non car quand cela se présentait, il laissait la chose à Second. Du coup je me tournais vers lui et lui posait la même question. Il m'a répondu franchement qu'il n'avait pas à se plaindre allant jusqu'à recevoir près de 10% (du montant facturé par son boss) sur certains chantiers un peu long. Rapide calcul mental et son boss avec moi, nous avons exprimé notre étonnement. Second de sourire et de nous dire que oui, il savait se " sacrifier " et que oui, il était devenu très bon à la chose (ça je m'en étais aperçu tout seul !).
Rapide passage aux douches du sous sol et nous étions présentables quand Marc est arrivé. Enfin avec Second toujours aussi sexe avec son short dont les bords roulés soulignaient le bas de ses fesses. D'ailleurs Marc y a réagit. J'ai vu se gonfler la masse qui lui pend en haut des cuisses. Le temps que je résume l'état d'avancement du projet, il fixait Second. Maçon qui s'en était bien aperçu lui a carrément proposé de baiser son Second histoire qu'après il soit réceptif à nos explications d'aménagement.
Sans attendre sa réponse, Second est venu s'agenouiller devant lui et sans attendre non plus de permission, lui a défait ceinture et braguette pour pouvoir sortir du boxer ses 22 cm. Après juste un " miammm " de commentaire, il a grand ouvert la bouche et sous nos yeux, nous avons vu disparaître entièrement la queue de Marc. Bien que nous soyons vidés récemment Maçon et moi, je me suis remis à bander et lui aussi. Un coup d'oeil appuyé d'un mouvement de tête de Marc et je m'agenouillais à mon tour mais devant Maçon pour imiter Second. Sans difficultés j'avalais les 18cm dans ma gorge (habituée a 22 de Marc et parfois plus de certains de nos amis, mais alors pas en position a genoux !).
Et les deux sucés d'échanger sur les techniques respectives de leurs deux suceurs. L'un appréciant les coups de langue enveloppant son gland quand il occupait la bouche, l'autre kiffant mes déglutitions quand il pénétrait ma gorge. Du coup, je m'appliquais à plus faire tourner ma langue sur le gland au passage de ma bouche et j'entendais mon voisin tenter la déglutition en gorge profonde. De chaque coté les mains sont venu se poser sur nos tête et prendre le relais pour le rythme, avec la remarque que nous étions deux bonnes salopes qui s'amélioraient à chaque instant. Un quart d'heure plus tard, notre savoir faire les avait entrainé vers l'issue attendu et Second et moi recevions leurs spermes. Moi sur mon polo et Second entre son marcel et la peau de son cou.
Avec le souvenir de la piscine et la stimulation d'une prime en cas de fin de chantier 4 semaines plus tard, nous avons conclu le marché.
Pendant toute la durée du chantier, j'ai fait deux points journalier avec notre " maître d'oeuvre " et /ou son Second. J'ai mieux compris pourquoi Maçon avait embauché Second. Ok coté sexe il assurait et même plus que bien mais aussi coté taf professionnel, il s'est révélé être une pointure. Organisation, surveillance, prise de décision, second n'a pas fait une faute. Et 4 semaines de chantier plus tard, nous entrions en possession d'un second étage totalement refait.
Comme prévu, nous disposons maintenant d'un dortoir de presque 100 m² avec tout au bout, contre le pignon l'installation sanitaire. Sur le mur gauche, les 6 lavabos (nous avons décidé d'en mettre plus que lors de nos premières idées), en face contre l'autre mur, les 3 WC et entre les deux les douches. Finalement, avec cette disposition, nous avons pu mettre 10 pommes de douches couplées par deux et avançant perpendiculairement au pignon. Le tout sur une surface carrelée avec juste une marche/rebord pour assurer qu'aucun débordement d'eau ne passe coté couchage.
Dans la zone " nuit ", Marc a décidé de faire réaliser un grand sommier de 10m de long par 2m de large et de le fixer au sol au centre de la pièce avec par dessus 5 matelas de 2m x 2m.
Dans le sommier, d'un coté des grands tiroirs pour y caser les couettes en cas de besoin et de l'autre un série de plus petits pour les accessoires indispensable dans notre maison : kpotes, gels, poppers, gants et une sélection de plugs et godes réalistics.
Je tapissais les murs de posters de stars du porno au cas, improbable, où certains manqueraient d'inspiration !
Résultat : une seconde salle de baise grand format dans la maison.
Nous décidions Marc et moi de la garder secrète jusqu'à son inauguration le WE de la Méga touze.
JARDINIER
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l'équipe du Ranch pour l'été
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recapqsmp · 8 months
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Dimanche 10/09 - O melhor dia de todos
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Vegetta est revenu sur le serveur. Avec Willy, ils ont posé des mines un peu partout sur le serveur, notamment dans la base de Tubbo. Celui-ci, déjà dans un état mental assez faible à cause de la perte des oeufs, a complètement craqué.
Forever entends le tic-tac d'une horloge en boucle dans sa tête depuis quelques jours. Il a changé de skin pour un habit blanc et un visage très souriant et a décidé de construire quelque chose à Copa Cabana pour Richarlyson. Il est persuadé que les œufs sont en vacance et que Richas n'a pas voulu aller avec eux et est encore dans sa chambre en train de dormir.
Forever a aussi des médicaments dans son inventaire. Quand il entend les bruits d'horloge dans son esprit, il se met a prendre les médicaments, et a soudainement un boost d'énergie. Il passe son temps a répéter que c'est le meilleur jour de sa vie, que tout va bien.
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https://clips.twitch.tv/FreezingIgnorantSangSMOrc-BUfpSCmjv9Hx4YN0
Cellbit, en rentrant dans la salle de Forever, a rencontré un "homme mysterieux", dont la voix a été modifié. Il lui a dit qu'ils se rencontreraient bientôt, et s'est enfuit.
Cellbit Antoine et Pac ont voulu investiguer la base de Forever pour comprendre ce qui lui arrive. En se promenant dans son sous-sol, ils ont remarqué une salle secrète, ressemblant à un jardin d'enfant, avec une petite maison. Dans celle-ci, ils ont vu le lit de Richas, mais à la place de l'oeuf endormi se trouvait un cailloux. Forever a définitivement perdu la tête.
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https://clips.twitch.tv/StormyPowerfulAsparagusNerfRedBlaster-HUPsNeDozHtu-DWv
Alors que Forever voulait avoir si Romero Richas avait réapparu avec l'aide de Cellbit et Pac, ils ont rencontré à nouveau l'homme mysterieux dans le château de Cellbit. Celui ci leur a dit qu'il les observait depuis longtemps. Quand ils lui ont demandé s'il était de la fédération, il a répondu que c'était classifié et est parti.
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Forever a demandé à avoir un rendez-vous avec Cucurucho. Ceux-ci sont parti dans son bureau, mais Antoine BadBoy et Cellbit les ont suivi en invisible. Cucurucho a essayé de les tuer, mais au bout de 5 minutes à ne pas arriver à les toucher, Cucurucho et Forever sont partis au club pour discuter. Cellbit Badboy et Antoine ont regardé les livres que Cucurucho avait donné à Forever, et ont compris que la fédération a drogué le président.
Forever l'a d'abord remercié pour les médicaments, même s'il n'avait pas envie de les prendre au début, cela lui a changé la vie. Ensuite, il lui a demandé où en était ses demandes. Cucurucho lui a donné une arme et ses autorisations. Ensuite, Forever lui a montré le système de vote, et lui a demandé s'il pouvait faire quelque chose pour réparer ça. Cucurucho lui a répondu que c'est lui qui a construit ça, donc c'est lui le plus a même de le réparer. Néanmoins, la fédération peut aider a sécuriser le bâtiment et fournir de quoi le réparer. Ensuite, Forever a expliqué vouloir construire la prison non loin de son bureau. Cucurucho a répondu que la fédération allait s'en assurer. Enfin, Forever a demandé ce qu'il se passait avec les quêtes des oeufs, car il n'y en a pas aujourd'hui et il veut faire les quêtes de Richas aujourd'hui. Cucurucho a répondu qu'il y avait un problème dans le système de quête, et lui en a donné dans un livre à la place.
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https://clips.twitch.tv/FaintGiantHareRalpherZ-KZi_E34h2lTwCCgW
Forever est allé voir le faux Rircharlyson pour commencer ses quêtes. Il lui a donné de la nourriture, puis est allé à CopaCabana pour récupérer une photo pour lui. Néanmoins, en revenant, Cellbit l'a confronté, pour lui dire qu'il se trompait, que ce n'était pas richas, qu'il fallait pas qu'il tombe là dedans car il avait besoin de lui. S'en est suivi une grosse enguelade, et Cellbit a cassé le lit du faux Richarlyson avant de partir. Forever s'est assis dans un coin, en pleurant, puis a replacé le lit et a continué ses quêtes. Il est parti en disant qu'il est content que Richas soit encore là, car si quelqu'un lui faisait du mal, il le tuerait. Une vidéo s'est joué, où on le voit poser des blocs ensemble, avec un message glitché disant "I'll end it all". La vidéo se termine avec Forever, deux TNT dans les mains.
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https://www.twitch.tv/forever/clip/ThoughtfulInterestingSandwichPeteZarollTie-WR43D_xXTK0jqXQN
Cellbit a reçu des coordonnées de l'homme mystérieux. En y allant, il a découvert une espèce de crypte, et un livre disant qu'ils se reverraient bientôt, signé d'un "A" en binaire. L'homme est réapparu dans son château, lui disant que peut importe où il irait, il serait là avec lui.
Les joueurs ont décidé de détruire les bâtiments de la fédération. Ils ont commencé a répandre de la lave et de l'eau sur le bâtiment présidentiel, et a casser des murs avec des machines Create. Cellbit, passant par là, leur a dit qu'au début il voulait les en empêcher, mais qu'au final, la fédération mérite ça après tout ce qu'ils ont fait à leurs enfants.
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https://clips.twitch.tv/FrailGleamingFlamingoKAPOW-V4oFGqZvwnsSAKdb
Etoiles Cellbit Antoine et Bad se sont mis d'accord sur un plan : il faut tuer Forever pour lui voler ses "médicaments" et lui redonner la raison. Vu que Forever a des milliers de totems sur lui, Cellbit a proposé à Etoiles de s'en occuper, car son épée est capable de tuer avant que le refill de totem ne s'active. Etoiles a accepté la mission, et a précisé à Cellbit que son épée n'était pas complète et pourrait être bien plus forte que cela. Cellbit a donc pour idée de demander à Cucurucho l'épée du code en tant que récompense de ses enquêtes, même s'il pense que la fédération ne pourra pas répondre à sa demande.
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randomnameless · 1 year
Note
J'ai pas trop suivi les discussion sur Gilbert, mais les gens ne l'aiment pas?
Ben...
Perso, il me fait penser à Finn de Jugdral, sans les bottes et la jolie love interest, surtout si tu l'as mis en couple dans FE4 avec Lachesis et que Delmud est son gamin ou pas avec Lachesis, justement.
Mais au moins Gilbert pense à sa fille, il se sent juste trop nul pour lui envoyer des lettres et se punit lui même, il sait que sa punition pèse sur sa famille, ce qui le fait se sentir encore plus nul, mais pour lui, rester avec sa famille alors qu'il pense être un moins que rien ne leur causerait que du mal.
C'est un genre de blague avec les Nodions, mais entre Eldie qui n'en a rien à battre de son fils (il ne mentionne ni sa femme, ni Ares dans ses lignes!) et Lachesis qui dépose Delmud quelque part pour aller dans la péninsule puis ensuite ditcher Nanna pour rejoindre Delmud (dans FE5) c'est pas une famille avec les meilleurs parents du monde -
Et Finn, Nodion par alliance ou pas, reste à Leonster pour surveiller le fils de son seigneur, même s'il sait que sa possible femme a fini en charbon à Barhara et ignore où sont ses enfants (peut-être que Lachesis lui a dit que les enfants se sont barrés avec Aidean avant le barbecue?) et qui ne pense jamais à eux -
Après j'adore Finn et les jeux et leur script sont différents, mais pour tout le foin que le fandom fait pour avoir des persos complexes, dès qu'il y a un truc qui n'est pas joli-joli ça part dans les noms d'oiseau immédiatement.
Je ne dirais pas que Gilbert fait passer ses devoirs avant sa famille, mais Gilbert pense que son échec impacte forcément sa famille, et ne veut pas leur faire subir les conséquences de son ultime erreur (ne pas avoir pu protéger le roi) et que genre, tout le monde rejette Annette et sa mère à cause de leur lien de parenté.
Gilbert me fait plus penser à Galzus dans un sens, Galzus pense qu'il ne peut pas rester avec Mareeta parce que ses mains sont maculées de sang ou un autre truc edgy dans ce genre, et veut la laisser à Eyvel sans jamais la revoir en pensant que ce sera mieux pour elle, mais Eyvel, étant la meilleur maman de la franchise, lui dit osef, et lui demande de venir au moins une fois par an.
Bref, je pense qu'avec le fandom qu'on a actuellement, Jugdral ne sera pas bien reçu. Mais alors pas du tout.
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equipe · 2 years
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Se faire remarquer : leçon 003
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Se faire remarquer
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Messieurs dames, bonjour ! Dans le post d'aujourd'hui, nous verrons comment la Touille s'incorpore à son nouvel habitat naturel. Tout d'abord, via la coiffure. Cette oeuvre d'art fut nommée "les algues".
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Ensuite, telle un caméraman ninja, votre chère et tendre s'est aujourd'hui glissée, pour votre plus grand plaisir (et le sien, on ne va pas se mentir)... Dans une colonie d'otaries \o/ (enfin, de phoques à fourrure, on va supposer que c'est ça)
Je suis super contente, j'ai pu super bien les voir ! Je suis tombée sur une troupe de trois un peu par hasard, ils ont été aussi surpris que moi je crois, et le premier s'est enfui en se servant de son voisin comme d'un cousin d'amortissage pour pouvoir sauter de son rocher. Suivi du troisième, le plus à droite sur la photo... Leur camarade a moyennement apprécié 🤣 par contre, une fois dans l'eau, qu'est ce que c'est souple et élégant !
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Je suis donc partie ce matin de mon beau lac d'hier soir, à fusionner avec les chardons locaux qui voulaient m'intégrer à leur prairie.
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Une fois de plus, c'est un ancien filon d'or, d'où le paysage un peu étrange (et le lac d'ailleurs, qui n'existait pas avant qu'ils creusent).
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Direction ensuite le littoral, qui n'est d'ailleurs jamais bien loin en Nouvelle Zélande ! Mission chag point, où je vois mes premières otaries ...
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Et où je me demande s'il existe un seul endroit dans ce pays qui ne soit ne serait ce que "passable", tout est trop beau...
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Puis le phare de Katiki, ou j'espérais voir des pingouins jaunes ! Pas de volatiles, et le phare en lui même n'avait pas d'intérêt, mais c'est là que j'ai observé l'énorme colonie d'otaries !
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Je pars ensuite finir ma journée sur la plage des Moeraki boulders, une petite aberration géologique digne de l'Australie tiens.
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(non, le caillou de la photo du dessus n'a pas été taillé) la plage est couvert de ces grandes boules, 3m de diamètre pour les plus grosses quand même ! Et je vous expliquerais bien comment ils se sont formés, mais mon cerveau n'aime toujours pas la geol, et je n'ai plus internet pour retrouver les explications que j'ai déjà oubliées, je vous dirai donc que si cela vous intéresse, Google est votre ami 😘
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Je me pose ensuite tranquilou sur un parking/aire de pique nique pour y passer la nuit, on verra si je me fais virer de là ! L'avantage étant que je suis à 10m de la plage et orientée plein est, le lever de soleil devrait être royal demain 🥰
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Couteau Suisse Digital - "Outils de pilotage et suivi de projet : Comment bien choisir pour votre entreprise"
Visiter CouteauSuisseDigital.com BoosteTonPlaisir.com Vous êtes à la recherche d'outils pour piloter et suivre efficacement vos projets au sein de votre entreprise ? Ne cherchez plus, nous avons rassemblé pour vous les meilleures solutions pour un suivi de projet optimal sur Tumblr ! Qu'il s'agisse d'un projet de développement de produit, de la gestion d'équipe ou encore de la planification d'événements, il est primordial de mettre en place des outils de pilotage et de suivi performants pour garantir la réussite de votre projet. Alors comment faire le bon choix pour votre entreprise ? Voici quelques conseils pour vous guider. Premièrement, déterminez vos besoins en fonction de votre projet. Souhaitez-vous un outil pour gérer les tâches et les délais, pour collaborer avec votre équipe en temps réel, ou pour générer des rapports et des graphiques ? Chaque projet a ses spécificités, prenez donc le temps de cerner vos attentes avant de sélectionner un outil. Ensuite, pensez à la simplicité d'utilisation. Il est important que l'outil choisi soit facile à prendre en main pour tous les membres de votre équipe. Optez pour une interface claire et intuitive qui facilitera l'adhésion de tous. Un autre point essentiel est la compatibilité de l'outil avec vos autres logiciels et applications déjà en place. Assurez-vous que votre outil de pilotage et de suivi de projet puisse s'intégrer facilement avec vos outils de gestion de tâches, de communication ou encore de stockage de fichiers. Bien entendu, il est également important de prendre en compte le coût de l'outil. Si certaines solutions sont gratuites, d'autres peuvent être plus onéreuses, mais proposent des fonctionnalités plus avancées. Comparez les différentes options pour trouver l'outil qui correspond à votre budget et à vos besoins. Et pourquoi ne pas opter pour une solution tout-en-un, comme BoosteTonPlaisir.com ? Notre plateforme vous offre un suivi de projet complet avec des fonctionnalités telles que la gestion des tâches, la communication en temps réel et même la possibilité de créer des tableaux de bord personnalisés pour visualiser votre avancée en un coup d'oeil. N'oubliez pas également de prendre en compte les avis des utilisateurs sur les différents outils. Consultez les avis sur les blogs, les réseaux sociaux et les sites spécialisés pour vous faire une idée de leur fiabilité et de leur niveau de satisfaction client. Enfin, n'hésitez pas à tester plusieurs outils avant de faire votre choix final. La plupart proposent une période d'essai gratuite, profitez-en pour vous familiariser avec l'outil et voir s'il répond à vos attentes. En suivant ces conseils et en choisissant un outil adapté à vos besoins, vous pourrez piloter et suivre vos projets de manière efficace et gagner en productivité au sein de votre entreprise. N'oubliez pas que le bon choix d'outil peut faire toute la différence dans la réussite de votre projet ! Sur Tumblr, BoosteTonPlaisir.com vous offre des outils performants et adaptés pour booster vos projets professionnels. Alors n'attendez plus et découvrez dès maintenant notre plateforme pour une gestion de projet optimale ! #BoosteTonPlaisir #outilsdepilotage #suivideprojet #efficacité #gestiondéquipe #collaboration #stockage #productivité #choix #test #meilleuresolutions #motsclefs #moteursderecherche Reserver un appel sur CouteauSuisseDigital.com ou consulter notre article Couteau Suisse Digital — “Aidez votre entreprise à choisir les bons outils de pilotage de projet”
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