Tumgik
#stavisky
jacquesdemys · 11 months
Photo
Tumblr media Tumblr media
Elle - March 25, 1974. Anny Duperey photographed by Peter Knapp, costumes designed by Yves Saint Laurent for the film Stavisky (1974, dir. Alain Resnais)
3K notes · View notes
7thart4ever · 6 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
JEAN PAUL BELMONDO in STAVISKY
3 notes · View notes
sondheims-hat · 3 months
Text
0 notes
dreaminginthedeepsouth · 10 months
Text
Tumblr media
Moonrise over the Bell Valley near Ratón, NM. Photo: Steve Staviski (June 2023) :: [Robert Scott Horton]
* * * *
She did feel it. A dark hand had let go its lifelong hold upon her heart. But she did not feel joy, as she had in the mountains. She put her head down in her arms and cried, and her cheeks were salt and wet. She cried for the waste of her years in bondage to a useless evil. She wept in pain, because she was free. What she had begun to learn was the weight of liberty. Freedom is a heavy load, a great and strange burden for the spirit to undertake. It is not easy. It is not a gift given, but a choice made, and the choice may be a hard one. The road goes upward towards the light; but the laden traveller may never reach the end of it.
— Ursula K. Le Guin, The Tombs of Atuan
[alive on all channels]
12 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Albena Denkova and Maxim Staviski's costumes for their free dance to a modern version of Albinoni's Adagio in G minor, seen here at the 2006 Worlds and 2006 Olympics.
(Sources: 1 and 2)
4 notes · View notes
dozydawn · 2 years
Text
Albena Denkova and Maxim Staviski 2003 OD “March + Waltz”
music: march for the turkish ceremonies by jean-baptiste lully and dance of the witches by henry purcell.
Tumblr media
34 notes · View notes
balticmay-blog · 3 days
Text
Coincidences.
Tumblr media
I found Joe's twin. Maxim Staviski/Joe Langridge Brown! Do you agree? Maxim is an champion, figure skater, and Joe is a talented poet, musician, composer, historian, and Light! 😍
1 note · View note
figureskatingfanblog · 6 months
Text
Today was the first day of competition at the Denkova-Staviski Cup.
Burak Demirboga of Turkey and Aleksandra Feigin of Bulgaria lead the Senior Men's and Women's events respectively. Tamir Kuperman of Israel and Chiara Hristova of Bulgaria lead the Junior Men's and Women's events respectively.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
pacingmusings · 2 years
Photo
Tumblr media
Seen in 2022:
Stavisky . . . (Alain Resnais), 1974
1 note · View note
doodlesink · 2 years
Text
In Plain View:  Amish Women at a Glance by Judy Stavisky--Book Review
Happy Monday!  In Plain View:  Amish Women at a Glance by Judy Stavisky allows readers to learn more about the day-to-day lives of Amish women.  Stop by to learn more about this fascinating book.  Happy Reading!
Tumblr media
https://bibliophileandavidreader.blogspot.com/2022/08/in-plain-view-daily-lives-of-amish.html
0 notes
paganimagevault · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Panjakent Mural - The Blue Hall - Rustam Cycle, circa 740 CE. More images on my blog, link at bottom.
"Contrary to what one might expect, the impressive set of wall paintings known as the “Rustam Cycle” was not located in the hall of a royal palace, but in a house of average size in Panjikent, a small town sixty kilometers east of Samarkand . This painting cycle stands out among other excavated examples for its exceptionally well-preserved (and now, well-restored) murals, which can be dated to about 740. It is also, ironically, the last of the magnificent cycles to be painted at Panjikent; Fig. 1. The city’s ruler, Devastich, was killed in 722 and the city itself subjected to punitive Arab incursions. Despite this artwork and other evidence of Panjikenters resuming their way of life, the city was finally abandoned after the 770s.
Discovered in 1956–57 by archaeologist Boris J. Stavisky, the Rustam Cycle is the most famous painted hall of Panjikent. Named after its main figure, Rustam, a major hero in the great Iranian epic the Shahnameh [“Book of Kings”], it is typical of narrative cycles found at Panjikent as well as other Sogdian cities, such as Afrasiab and Varakhsha . Episodes are organized into different registers, each running horizontally along the length of the walls. Here, the two main registers contain the stories of Rustam’s exploits and are set between a lower tier, depicting scenes from fables and moral tales, and an upper tier, illustrating a religious subject, perhaps related to a family cult.
Two fragments of the Rustam story written in Sogdian have survived: one kept in the Bibliothèque nationale de France, the other in the British Library. Dated to the 9th century, they predate by 200 years the first complete version of the Shahnameh written in Persian by the poet Firdowsi."
-The Smithsonian, Julie Bellemare and Judith A. Lerner
62 notes · View notes
lepartidelamort · 3 months
Text
Tumblr media
« Au début de l’année 1934, éclatait encore une fois un gros scandale financier de la Troisième République, l’escroquerie des Crédits municipaux, ayant, comme par hasard, pour principal auteur un Juif russe naturalisé, Stavisky. La complicité dans cette filouterie d’une justice putréfiée – ses personnages n’ont point changé – de la plupart des politiciens radicaux et maçons, n’avait jamais été plus flagrante. La presse et les organisations de droite s’en emparèrent, firent une campagne énorme. L’opinion suivit. Camille Chautemps, président du Conseil, le plus lourdement compromis parmi les protecteurs avérés du coquin juif, dut se démettre le 27 janvier. Son remplaçant, Daladier, apparut dès ses premiers actes comme le radical réputé "dur", chargé de sauver le parti et ses loges. Les manifestations de rues conduites par les troupes d’Action française se multipliaient et s’amplifiaient de jour en jour au chant du Ça ira.
L’extrême-gauche communiste amorçait une campagne parallèle. Le limogeage du préfet de police Chiappe, d’un arbitraire grossier, acheva de mettre le feu aux poudres. Le 6 février au soir, le rassemblement de plusieurs centaines de milliers de Parisiens, sur la place de la Concorde, prit rapidement l’aspect d’une insurrection populaire, ayant pour but immédiat l’Assemblée du Palais Bourbon. La police, fidèle en majorité au préfet éconduit réagissait mollement. La garde mobile créée par un ministère de droite contre les "rouges", défendait le pont. Le premier barrage fut forcé. La garde tira. Le premier mort tomba vers sept heures et demie. La manifestation, plus ou moins disloquée, devenue sporadique et qui, jusque-là, avait compris de nombreux curieux, se regroupa beaucoup plus serrée, et redoubla de violence à partir de dix heures. Les assauts des Parisiens, les fusillades de la garde se prolongèrent jusqu’à plus de minuit. La journée s’acheva avec le dernier métro…
La vieille République maçonnique demeurait maîtresse du terrain. Daladier, pourtant, était démissionnaire quelques heures plus tard. Paris vécut la journée du 7 pratiquement sans État, sous le contrôle des pelotons de la garde, dont on ne savait plus à qui ils obéissaient. Le soir, enfin, on apprenait l’arrivée au pouvoir d’un "conciliateur", Doumergue, dit par Léon Daudet "Gastounet le Brandadair". La démocratie était définitivement sauvée. Les vingt patriotes militants tombés dans la nuit du Six Février – exceptions les quelques curieux tués en dehors de la bagarre – ont leurs noms inscrits en tête du livre d’or de notre Révolution. (…)
Rien ne fut plus abject que la contre-offensive des Juifs, des Maçons, de la Ligue des Droits de l’Homme, des démocrates-chrétiens, de tous les humanitaires professionnels, tombant en transes pour l’exécution de quelque terroriste chinois, pour une touffe de cheveux arrachée dans le ghetto, et n’ayant que sarcasmes et rictus joviaux devant les morts français, les morts naïfs et purs de la Concorde. Jamais le bourreau ne fut plus cyniquement érigé en victime, et martyr désarmé mué en égorgeur. (…)
Nous avons longtemps traité avec beaucoup trop de pudeur et de réserve l’un des aspects pourtant essentiels de 1934. Nous avons porté rituellement de pieuses gerbes sur les tombes de nos camarades morts. Nous avons qualifié comme il convenait – nul ne l’a fait avec plus de puissance qu’Henri Béraud – les infectes et stupides canailles parlementaires qui les firent massacrer. Nous n’avons pas assez dit que nos morts furent aussi les victimes de leurs chefs. (…)
Le Six Février 1934, les chefs nationaux n’étaient pas sur la Concorde. J’y étais, aux minutes les plus meurtrières. Je ne les y ai pas vus, personne ne les y a vus. Ils étaient donc dans leurs postes de commandement. Ce pouvait être leur place. Je les y ai vus aussi, entre deux fusillades. Ils s’y tournaient les pouces, il s’y faisaient des mots d’esprit, ils se refusaient à croire qu’il y eût tant de morts que ça ! Ils n’avaient pas une consigne à distribuer, pas une idée en tête, pas un but devant eux. Les uns et les autres étaient moralement les obligés de la démocratie. Hors d’elle, ils n’avaient aucune raison d’exister. Sur ses tréteaux, ils assumaient le rôle obligatoire de l’opposant. Sautant sur une occasion assez considérable en effet, mécontents aussi du limogeage d’un policier indulgent à leurs frasques, ils venaient de se livrer au jeu classique de l’émeute, en forme de menace tartarinesque : "Retenez-moi ou je vais faire un malheur."
Mais pour ce petit jeu-là, ils avaient mobilisé des dizaines de milliers de jeunes hommes, de croyants ingénus, d’anciens soldats. Ils les avaient excités, fanatisés, chauffés à blanc. Au moment de l’action, la foule réapprit les gestes du combat et de la barricade, avec des morceaux de plâtre, des poignées de gravier et quelques lames Gillette fichées au bout d’un bâton. Les chefs, qui les avaient jetés poings nus contre les armes automatiques, s’étaient volatilisés, les uns sans doute par calcul (je pense à l’abject La Rocque), les autres saisis peut-être de vagues et tardifs remords, n’ayant plus guère qu’un souci : nier la gravité de l’événement qu’ils avaient criminellement engendré. Cette nuit-là, j’entendis Maurras dans son auto, parmi les rues désertes, déclarer avec une expression de soulagement : "En somme, Paris est très calme !" Oui, mais c’était le calme d’une chambre mortuaire.
La suite de l’histoire ne fut pas moins déshonorante. Les "chefs" de la droite firent un concert de clameurs. Certes, les "fusilleurs" étaient ignobles. Mais que leur reprochaient les "chefs" des ligues ? Ils leur reprochaient d’avoir triché en faisant tirer. Admirable politique de ces vieillards ! Incomparable symbole de cette bourgeoisie dégénérée, qui, pour n’avoir jamais eu la virilité de prendre les armes librement, de mettre sur sa conscience quelques cadavres nécessaires, aura été le complice de ses hallucinantes et imbéciles hécatombes, après desquelles le Six Février n’est même plus un fait divers en deux lignes ! Il eût fallu, en somme, que la République laissât aimablement bafouer et reconduire à coups de canne ses gendarmes, déculotter ses députés, envahir, saccager et brûler son Parlement, le tout représentant du reste, en l’occurrence, le chef d’œuvre de l’acte gratuit. Les ministres du Six Février, inutile de le cacher, avaient le droit de tirer. C’était même un devoir. (…)
Les chefs communistes, autres tireurs de ficelles, mais ceux-là, fort avisés, avaient lancé leurs fidèles sur le pavé pour profiter à toutes fins utiles du hourvari. Mais la majorité de ses fidèles ne s’en doutait pas. Pour la première fois depuis fort longtemps, les étudiants de Paris et les prolétaires rouges, armée traditionnelle de nos révolutions, manifestaient côte à côte contre la même corruption, avec la même sincérité, au même cri : "À bas les voleurs !" Les chefs de droite n’y comprirent rien, ils n’avaient rien prévu, ils ne savaient rien voir. (…)
Le Six Février (...) engendra certainement le Front populaire, favorisa en tout cas singulièrement sa naissance, en faisant figure d’une provocation énorme, passant de loin l’idéal de ce que l’adversaire le plus machiavélique pouvait rêver dans le genre. (…) Le Six Février démontra que l’armée d’une révolution nationaliste existait en France, mais que son erreur principale avait été de ne point faire d’abord sa révolution contre de pseudo-chefs.
Cette armée n’a pas pu s’anéantir en deux lustres. Éparse, elle existe toujours. Mais le "fascisme" français à la mode de 1934 n’était pas viable parce qu’il conservait trop d’attaches avec la vieille bourgeoisie de droite. Cette bourgeoisie accumula, dans ces heures fiévreuses de la dernière insurrection du type romantique, c’est-à-dire anachronique, les preuves définitives de sa caducité, de son aboulie, de son incapacité politique, de sa désunion, de sa légèreté cocardière. »
Lucien Rebatet, Les crimes du 6 février 1934, Je suis partout, 4 février 1944
5 notes · View notes
macaroni-rascal · 3 months
Note
I don’t know if this interview translation is accurate but I hope it is (from 2022):
Maxim Staviski: The goal was to make the judgment as objective as possible by creating certain criteria. But it turned out that Papadakis / Cizeron did something; everyone liked it, and everyone began to make programs in the same style. Although personally, I put Virtue / Moir above their pair.
Why?
Maxim Staviski: The program that Cizeron performs, Moir will learn and do in half an hour. But on the contrary: what Virtue and Moir do, Papadakis and Cizeron will never do. Canadians are real geniuses. And the French are just talented skaters who have found their own style.
Yo! Not sure what you're asking here, nonny.
Why what?
Why was judging made as objective as possible? It wasn't that's impossible.
Why did everyone copy P/C's style? To me, because it was a very very easy style of copy, it's open, flowing, and simple; they were also getting wildly high scores out of nowhere so naturally ice dancers scrambled to be like them in the hopes of receiving the same love.
Why did Maxim put Virtue and Moir above P/C? He has taste, he has eyes, and he has a brain.
He is also, of course, correct in his second quote. That's what I base mastery on, V/M could do everything P/C can do, V/M could do every single one of P/C programs easy as pie, and P/C wouldn't be able to do a single one of Tessa and Scott's programs to an level besides passive mediocrity. Hell, they couldn't end do one of their lifts.
5 notes · View notes
sondheims-hat · 8 months
Text
Tumblr media
Stavisky film poster, France 1974
1 note · View note
Photo
Tumblr media
Here in northern New Mexico, we're preparing for five days of monsoon storms, and the heavens already look pretty weird. This shot from Cibola Co. 
Photo: Steve Staviski (Aug 16, 2022) :: [Scott Horton]
* * * *
ON THE MAPS drawn by geographers it’s labeled the Colorado Plateau, with its eighty-five million acres sprawling across Arizona, Colorado, New Mexico and Utah. It is larger than any of those states; mostly high and dry and cut by countless canyons eroded eons ago when the glaciers were melting and the rain didn’t stop for many thousand years. The few people who live on it call it the Four Corners, the High Dry, Canyon Land, Slick Rock Country, the Big Empty. Once a writer in more poetic times called it the Land of Room Enough and Time.
+
Bernie was hanging on every word, and Leaphorn was obviously enjoying the attention. He’d been explaining to her why he had always been skeptical of coincidence, and Chee had heard that so often when he was the man’s assistant in the Window Rock office that he had it memorized. It was bedrock Navajo philosophy. All things interconnected. No effect without cause. The beetle’s wing affects the breeze, the lark’s song bends the warrior’s mood, a cloud back on the western horizon parts, lets light of the setting sun through, turns the mountains to gold, affects the mood and decision of the Navajo Tribal Council. Or, as the Anglo poet had put it, “No man is an island.”
Hunting Badger (Leaphorn & Chee, #14) :: by Tony Hillerman
26 notes · View notes
Photo
Tumblr media
Albena Denkova and Maxim Staviski skating their free dance at the 1997 Skate Canada and 1998 European Championships. Their music was Sing, Sing, Sing by Louis Prima and 1941 Hollywood by John Williams. 
(Photos by J.B. Mittan)
3 notes · View notes