Tumgik
grand-mechant-loup · 10 days
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S.
Il y a ce profil sur lequel je tombe un jour. Des profils, sur les applis de rencontre il y en a des centaines, voire plus. Alors on espère toujours tomber sur le profil qui vous fera chavirer, mais la vérité c’est qu’à force de « swiper » on se fait anesthésier. Les profils semblent être tous les mêmes.
Et donc il y a ce profil un jour. Une fille brune, jolie. Elle s’appelle S.. Un sourire discret mais franc. Et surtout il y a ce truc en plus, ce truc que je vois et qui me parle. Ce truc qui me plait. C’est quelque chose que je n’explique pas. Même en y réfléchissant je n’ai pas la réponse. J’ai rencontré une autre fille il y a quelques mois de ça, qui physiquement lui ressemblait un peu et avec qui j’avais eu des échanges très agréables. Mais après deux rencontres j’ai réalisé qu’il n’y aurait rien de plus. En tout cas rien qui puisse venir de moi, aussi sympathique qu’elle fut, il n’y avait aucune alchimie. Je le lui ai expliqué et elle n’a pas insisté, semblant même touchée par ma sincérité.
S. donc. Il y a « match » et nos échanges débutent. Ils sont fluides et faciles. Elle s’exprime bien et sans faute, c’est toujours appréciable.
Je ne sais plus trop comment nous basculons sur WhatsApp. Elle m'explique qu’elle a deux enfants et qu’elle n’a eu depuis sa séparation qu’une relation « non exclusive ». Un plan cul quoi. Je me dis que si elle est encore sur ce type d’appli c’est peut-être qu’elle cherche autre chose. Je lui explique que pour ma part, je ne suis pas à l’aise dans ce type de relation. Elle me rétorque qu’elle en a un peu fait le tour et qu’elle ne serait pas forcément contre une vraie relation. Et d’ailleurs ma façon de voir les choses l’interpelle.
Problème : nous avons des enfants et nos emplois du temps ne coïncident pas du tout. Nous envisageons de nous voir mais il y a toujours quelque chose qui bloque. Et puis elle est en train de changer de travail et cela l’accapare pas mal. Nos échanges s’espacent puis cessent totalement. Je tente de temps en temps de la relancer. Sans réponse. Ce que j’ignore à ce moment-là c'est qu’elle a changé de numéro.
C’est des mois plus tard que je la retrouve sur la même appli. Je me dis qu’elle va probablement me ghoster et que si elle a cessé de me parler c’est que je ne l’intéresse tout simplement pas. Mais il n’en est rien. La conversation reprend et elle semble enthousiaste de me « retrouver ». Elle me demande de lui envoyer de nouvelles photos de moi, ce que je fais. Elle me dit les apprécier. Ça me surprend toujours mais je commence à accepter l’idée que je puisse plaire à une femme. A. me répétait sans cesse à quel point elle me trouvait beau. P. me l’avait dit aussi, de façon plus clinique. Un constat objectif que j’avais trouvé amusant. Elle m’avait même plusieurs fois expliqué que je pouvais me montrer beaucoup plus entreprenant. Avec elle mais avec les filles en général.
S. et moi n’avons toujours pas d’emplois du temps qui coïncident mais nous percevons quelques jours en semaine qui nous autoriseraient à boire un verre. Nous fixons donc une date et un rdv dans un bar.
Nous sommes donc en semaine, j’ai travaillé, je dors mal, il fait froid, il pleut et ressortir ce soir là est à la limite de la torture. Mais cela fait des mois maintenant que nous discutons (malgré une longue coupure) et je perçois sans savoir vraiment pourquoi, qu‘il y a quelque chose à creuser. Alors je me mets un coup de pied aux fesses et je me rend à ce rendez-vous.
« On part du principe qu’on aura mangé ? Me dit-elle ». Je trouve ça prudent de sa part. Si ça ne le fait pas, inutile que ça se prolonge de trop. Va donc pour un verre.
Nous nous retrouvons donc peu après 21h dans un pub (après sa séance de sport qu’elle ne louperait pour rien au monde).
J’arrive le premier et l’attend à l’extérieur. Quand elle arrive, je la vois se garer sur le parking et je me demande quelle sera la première impression. Si ça ne doit pas le faire, on le sent tout de suite et s’en suit au minimum une heure de souffrance. Plus si on est poli. Et je suis poli.
S. s’avance vers moi, et je sais à ce moment-là que je n’aurai même pas besoin d’être poli. Elle est souriante, élancée, discrète mais avec une présence évidente. Plus jolie que sur les photos où elle ne semblait pas très à l’aise. C’est ce qu’elle dégage qui me plait. Nos premiers échanges sont timides et hésitants. Nous entrons dans le pub, il y a du monde, Nous nous installons au bar et commandons deux bières qui vont nous durer presque 3 heures.
Notre conversation est d’abord banale. Je pense que nous parlons de nos emplois respectifs puis peu à peu nous dévions sur des sujets plus intimes : nos vies, nos séparations, nos enfants, nos histoires depuis que nous sommes séparés. Je me sens à l’aise à son contact, j’aime sa façon de parler. Par moment elle a des tournures de phrase qui pourraient être les miennes et ça me surprend autant que cela me rassure. Je pense que je me livre pas mal. Peut-être trop. Elle me dira plus tard qu’elle m’a trouvé intéressant et touchant. Je ne sais pas dans quelle mesure c’est un compliment. Je pense que c’en est un mais ça résonne en moi comme une mise en garde que je me fais à moi-même de ne pas être cette personne trop sensible qui pourrait agacer à la longue.
La soirée s’étire jusqu’à presque minuit. Autour de nous, les derniers clients quittent le pub et les serveuses s’agitent ostensiblement comme pour nous indiquer qu’il est l’heure de rentrer chez nous. Je paie les bières et me demande si je ne fais pas une bêtise. Mais S. ne m’a pas paru outrageusement féministe et je me dis qu’elle ne prendra pas mal que je m’acquitte de la note. Elle me remercie même.
Je la raccompagne à sa voiture. Moment gênant. Que doit-il se passer à ce moment-là ? Elle me propose de monter dans sa voiture et de me conduire à la mienne qui est garée plus loin. J’y vois une invitation mais je ne suis pas garé assez loin pour justifier qu’on m’y conduise. On fait encore un peu traîner la conversation, j’ai du mal à la laisser. J’ai envie que cette soirée continue. On se dit qu’on va se revoir. « Oui, vraiment ! » je dis, parce que j’en ai vraiment envie et je crois percevoir qu’elle aussi. Mais pour ce soir nous nous laissons. J’approche mon visage du sien pour lui faire la bise et elle pivote légèrement ce qui fait que les commissures de nos lèvres se touchent presque.
*
« Vas-y on s’en fout, on se voit quand même ! »
Notre première rencontre remonte à des semaines. Il ne fait plus aucun doute que nous nous plaisons et que nous voulons nous revoir. Une date a été fixée mais finalement annulée pour une raison qu’elle ne me donne pas tout de suite (un bouton de fièvre).
La fenêtre pour nous revoir entre ce souci et les possibilités suivantes (10 jours plus tard) est étroite, d’où ma proposition de nous voir quand même.
S. accepte. Nous nous verrons le lendemain, un lundi, chez elle comme elle me l’avait déjà proposé.
Elle a même annulé son sport quotidien pour que nous puissions nous voir sans être pressés par le temps. Je note l’effort.
Une fois chez elle, nous nous installons sur son canapé et reprenons notre conversation de l’autre soir. Je la trouve très belle. Et plus que ça elle me plait vraiment énormément. Je regarde ses lèvres et je sens que je la désire. Il est déjà minuit quand je lui dis : « J’ai un problème, tu vois comme je te disais tout à l’heure j’ai encore le sentiment d’être en lutte permanente contre moi-même. Tu vois bien que je ne suis pas le garçon le plus entreprenant du monde, mais l’envie est là même si je me retiens ». Quelques minutes plus tôt, quand je lui ai fait remarquer qu’il était déjà tard elle m’a dit : « Oui, il va falloir faire quelque chose. »
Maintenant elle me sourit : « Et il se passe quoi si tu ne te retiens pas ? »
C’est là qu’on s’est embrassés. Sa bouche a immédiatement été entreprenante. Sa langue de suite présente. Ses lèvres sont charnues et délicieuses. Nous nous sommes longuement embrassés. Elle est venue sur moi, m’a dit que si elle guérie, en revanche c’était la mauvaise semaine du mois. Cela ne m’a pas paru être un problème dans la mesure où le moment était déjà délicieux et plein de promesses.
Elle a commencé à appuyer son entrejambe contre moi. Les soupirs ont fait place aux gémissements. Nos mains sont parties à la découverte de nos corps en glissant sous nos vêtements. J’ai découvert sa poitrine, j’ai sucé ses seins, elle a défait mon pantalon et a caressé mon sexe d’abord à travers mon caleçon. Je ne sais plus dans quel ordre. Je sais qu’elle m’a sucé et qu’elle m’a fait assez confiance pour laisser mes doigts s’aventurer dans sa culotte puis à l’entrée de son sexe. Elle a répété « Putain ! » plusieurs fois en soupirant. « C’est terrible… ». J’ai pincé ses tétons : « Je ne te fais pas mal ? - Non j’aime quand c’est fort… »
Elle m’embrasse et me dit que je suis beau.
Tout cela a duré jusqu’à plus de 2h du matin. A chaque fois que nous faisions une pause, tout repartait dans un baiser. Je crois que je ne pourrais jamais me lasser de ses lèvres.
« Tu peux rester si tu veux… »
Bien sûr que j’aurais voulu, mais nous travaillions tous les deux le lendemain, il était déjà plus de 2h et il était clair que tous les deux dans le même lit, nous n’allions pas dormir.
Sur le pas de sa porte, elle me rend ma veste en jean. « Elle a l’air chaude, je pourrais te la voler. » Je l’enfile et elle vient se blottir contre moi. Elle me serre contre elle. L’espace d’un instant je me dis que la vie n’est pas si compliquée, que c’est ça que je veux : quelqu’un qui a envie de se blottir contre moi. Je glisse mes mains dans son dos pour toucher encore une fois la délicatesse de sa peau si fine. Je sens les muscles tendus de part et d’autre de sa colonne vertébrale et je me dis que je veux rester là.
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grand-mechant-loup · 1 month
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Le harnais de cuir
Tu es nue devant moi. Je t’embrasse. Je t’ai déjà passé le collier et les menottes aux poignets et aux chevilles. Tu sais désormais que tu es à moi. Je mets les pinces sur tes tétons durcis de froid. Tu souris un peu en me regardant dans les yeux puis en observant attentivement mes gestes sur tes seins.
Une fois les pinces mises en place, je viens attacher ton poignet droit à ton sein droit. Ton poignet gauche à ton sein gauche. La contrainte, plus psychologique que réellement physique, t’empêche de trop bouger. En tout cas, ce serait au prix de la douleur de tes seins.
Je t’embrasse une dernière fois puis je présente le bâillon devant ta bouche. Tu me regardes plus avec défiance qu’avec gêne. Je sais que le bâillon te pose un problème et tu sais aussi que c’est ce que je recherche. Alors, sans protester, tu ouvres la bouche et viens te saisir de la boule. J’attache la boucle puis je prends un peu de recul et je te contemple. D’une main je te bouscule légèrement, au niveau des épaules puis des hanches. Le but est que tu sois négligemment déséquilibrée et qu’en te rattrapant tu sois obligée à des mouvements inconfortables.
Je te demande de te tourner et de te pencher légèrement en avant. Je commence alors à te fesser avec le paddle. Je ne cherche pas à te faire trop souffrir mais je veux que tes fesses soient rouges et chaudes. Quand c’est le cas, je te saisis par la taille et mon autre main descend jusqu’à ta chatte. Elle est trempée d’une mouille épaisse. Je joue avec. Mes doigts s’enfoncent un peu. Ressortent. Te frustrent. Je joue ainsi pendant quelques minutes. Allant même au bord de ton orgasme, avant de m’arrêter. Cette fois tu protestes malgré la boule qui t’empêche d’articuler. Tu m’en veux de ne pas t’avoir satisfaite. Mais pour l’instant, ce n’est pas ce que je veux. Je prends le masque et le pose sur tes yeux. Je l’ajuste bien puis je m’écarte de toi. Les yeux ainsi bandés et les bras repliés contre ton corps, ton équilibre est précaire. Je ne dis rien, je te laisse ainsi dans ton obscurité, tes sensations et ton silence.
Je saisis alors le harnais de cuir que tu n’as jamais vu et dont tu ignores l’existence. J'attache la première sangle autour de ta taille. Je serre fermement. Je passe ensuite une main entre tes cuisses et te force à les écarter un petit peu. j’attache les sangles autour de tes cuisses en serrant assez pour qu’elles viennent marquer l’arrondi de tes fesses.
Des anneaux métalliques reliant les sangles entre elles dans ton dos et sur tes hanches me permettront de venir fixer tes menottes quand bon me semblera.
Pour l'instant, tu ne vois pas à quel point tu es belle dans ce cuir et cet inconfort.
Du bout du paddle, je profite que tes jambes soient restées un peu écartées pour venir malmener ta chatte. La tapoter, la presser. Et puis j’utilise le wand. J’alterne entre l’un et l’autre pour mieux te frustrer. Et juste une fois, je te permets d’aller jusqu’à l’orgasme.
Une fois que tu as repris tes esprits, je te guide jusqu’au lit, je t’aide à t’allonger puis j’ôte ton masque et le bâillon. Je détache tes poignets de tes seins et je te prends dans mes bras. Je t’embrasse. Je passe ma main dans tes cheveux, je les saisis fermement puis je les délaisse pour ton cou que je serre durant de longues secondes. Te pensant définitivement libre, tu tentes d’ôter mes vêtements mais je t’en empêche. Je te force à t’allonger sur le dos en comprimant ton thorax quelques instants tandis que mon autre main caresse lentement ta chatte.
Quand tu abandonnes tout libre arbitre, j’attache les menottes de tes poignets aux anneaux du harnais, au niveau de tes hanches. Je décide ensuite de fixer la barre d’écartement à tes chevilles. Je la manipule de manière à relever tes jambes et ouvrir ta chatte. Je maintiens la barre d’une main et je te lèche. De mon autre main, je fais entrer mes doigts dans ta chatte. Loin, tout au fond. Encore une fois je te frustre jusqu’à ce que je décide de libérer ton plaisir et que tu gicles abondamment. Je profite que tu reprennes doucement tes esprits pour te mettre sur le ventre, détacher tes poignets de tes hanches et les fixer à la barre. Te voilà les bras en arrière, les jambes relevées, dans une position inconfortable.
Je caresse tes fesses, je les mords et je glisse un doigt entre. Je pénètre ton cul et je le lubrifie sans ménagement. Je saisis ensuite le plug et le dépose à l’entrée de ton trou. La position dans laquelle tu es ne te permet pas de te détendre et je suis obligé de forcer pour faire entrer le plug. Là non plus, je ne te ménage pas, et je t’entends te plaindre malgré toi. Je te laisse dans cette position quelques minutes encore. Je joue un peu avec ton cul et avec tes cheveux. Quand je te libère enfin, nous nous enlaçons. Rapidement tes mains se glissent sous mes vêtement, me caressent, me pincent. Tu retires mon t-shirt, mon pantalon et mon caleçon et je me retrouve nu. Tu saisis ma queue que tu branles avant de la guider dans ta bouche. Mes mains se perdent dans tes cheveux, saisissent ta tête et je commence de lents et profonds va-et-vient pour mieux baiser ta gorge. Après de longues minutes de ce traitement, je t’attire vers moi et tu me chevauches.
Je veux te baiser…
Ma queue tente d’entrer dans ta chatte mais le plug en bloque quasiment l’accès. Je saisis le harnais. D’un coup de cul tu me fais entrer. Tu es trempée et je dois t’affronter pour ne pas te pénétrer trop loin. Mon gland joue à l’entrée de ta chatte. Il la frustre avant d’aller plus avant, brusquement. Je sens ton corps se tendre et ta chatte couler sur mon ventre. Tu trembles un peu.
Nous roulons alors sur le côté. Tu es sur le dos et je me branle au-dessus de toi. Ta main est entre tes cuisses et tu te branles en me regardant. Le plaisir me submerge tout autant que ta beauté et je gicle sur ton ventre, tes seins et même jusqu’à ta bouche…
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grand-mechant-loup · 2 months
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grand-mechant-loup · 3 months
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Cordes, pinces et nouveau jouet
Tu m’attends à genoux sur le lit, en sous-vêtements. Tu es un peu tremblante. Tu as froid. Je viens m'assoir contre toi. Je te prends dans mes bras. Je tente de te réchauffer, je t’embrasse, te caresse pendant quelques minutes. Je sens tes baisers devenir plus pressants, tes mains se posent sur moi et je modère cette ardeur en te demandant de te mettre nue. Entièrement. Tu rechignes un peu mais tu t’exécutes.
Tu es désormais totalement nue. Tu trembles bien plus. Je te contemple. Je balaye ton corps de mon regard. Tu as froid et tu es gênée. Tu ne sais pas comment te comporter. Tu as la chair de poule et tes seins sont durs.
Je te passe alors le collier. Non, pas le fin. Pas le discret, pas celui que tu pourrais presque porter lors d’une sortie au restaurant. Non, je t’ai prévenue, ce soir ce ne sera pas facile, ce sera pas tendre. Ce sera rude et intense. Je veux te contraindre et te faire mal.
J’enserre ton cou dans le collier en cuir. Je serre bien la boucle. Je veux que tu te sentes un peu oppressée.
Je te passe ensuite les menottes en cuir autour des chevilles mais pas aux poignets. Tes poignets je les joins dans ton dos et je les attache avec une corde. Et j’attache une autre corde à tes cheveux.
Pour le moment je les laisse tombantes. Je t’aide à te lever et je te positionne sous la barre de tractions. A tes chevilles j’attache la barre d'écartement. Les jambes ainsi ouvertes, ta chatte est accessible et tes mains, attachées dans ton dos, ne peuvent pas te défendre. Je caresse ta chatte. Elle est déjà humide. Je fais glisser un doigt entre tes lèvres. Puis plus loin. Jusqu’à cette zone un peu dure à l’entrée de ton vagin, cette zone qui t’arrache immédiatement soupir et gémissements. J’ajoute un doigt mais je ne les fais pas aller plus loin. Ou alors très rapidement, une seule fois. Comme pour créer une envie intense et la frustrer juste après. Je t’embrasse, je goûte ta langue avant de lui faire goûter mes doigts, trempés de ta mouille épaisse. Je les enfonce lentement dans ta bouche puis dans ta gorge, sans m’arrêter, jusqu’à ce qu’il ne soit plus possible à mes doigts d’aller plus loin. Tu gémis. Je sors mes doigts et je t’embrasse à nouveau.
D’un geste rapide je saisis la corde qui lie tes poignets, je la fais passer par-dessus la barre de tractions et je la tire. Tes bras tendus derrière ton dos s’élèvent et contraignent ton corps à se pencher en avant. Dans cette position, tes fesses s’écartent. Quand j’estime que ta position est satisfaisante, j’attache la corde.
Je saisis maintenant la corde nouée à tes cheveux et je lui fais suivre le même chemin que la corde qui lie tes poignets. Je tire dessus pour te faire relever la tête et que tu ne puisses plus la baisser. Cette position est visiblement inconfortable. C’est maintenant que je vais pouvoir commencer.
Je pose les pinces à tes seins. Tu gémis de douleur. Je joue avec la chaîne. Je donne du mou puis je la laisse retomber de tout son poids. Tu sembles te retenir de protester à chaque fois.
La tête en arrière, ta bouche est ouverte et je viens déposer ma queue à son entrée. Immédiatement tu aspires mon gland. Avec le peu de marge de manœuvre que tu as, tu tentes des mouvements pour me prendre en entier. Je joue le jeu et je m’enfonce en toi. Jusqu’à ta gorge. Je reste au fond sans bouger plusieurs instants puis je me retire et je recommence plusieurs fois, jusqu’à faire couler tes larmes.
Je sors ma queue et me rhabille. Je me penche pour t’embrasser. Ta bouche est chaude. Tu es comme essoufflée. Je te mets cette fois le bâillon. Je l’attache fermement.
Ta bouche est condamnée désormais. Maintenant je vais m’occuper de tes autres trous. Ils sont à moi.
Je passe derrière toi sans que tu puisses voir ce que je prépare. Tu comprends cependant assez vite quand je fais couler du lubrifiant sur ton anus. Je le caresse doucement et fais entrer un doigt. Tu gémis un peu. Je fais aller et venir mon doigt pour bien te lubrifier, puis je présente le plug à l’entrée de ton cul. Tu te contractes au contact du métal froid. Je le pousse lentement sans le faire entrer totalement. Je m’arrête quand l’écartement de ton cul est au maximum de la largeur du plug. Je maintiens ce moment inconfortable qui précède normalement le soulagement de la pénétration totale, quand les muscles se referment sur la tige. Là non, je veux que ce moment dure un peu. Que ton cul reste ouvert plus longtemps. Puis je le fais entrer complètement. Encore une fois tu gémis et tes fesses semblent se dandiner de gauche à droite, comme pour mieux appréhender le jouet. 
Je contemple ton cul ainsi exposé. Sous le plug, ta chatte est ouverte, gonflée et humide. Je m’agenouille derrière toi et me mets à te lécher. Je tiens tes fesses bien écartées et je vais chercher ta mouille avec ma langue. Ce petit jeu dure un moment, d’autant que chaque coup de langue te fais mouiller un peu plus et que ma quête semble infinie.
Puis, sans que tu te doutes de ce que je fais, j’introduis quelque chose dans ta chatte. Tu ne reconnais pas ce que c’est et tu ne peux pas voir. Ce quelque chose vient se loger confortablement et tes chairs se referment doucement dessus.
Maintenant tu es à moi.
Je dénoue alors ma ceinture en faisant volontairement tinter la boucle pour que tu sois alertée par le son. Que tu le reconnaisses et que tu anticipes ce qui t’attend.
Je forme alors une boucle et je commence à fouetter ton cul durement. Je le veux rouge. Je veux que tu aies des marques que je puisse encore observer le lendemain.
Quand tu te contractes de douleur au point de quasiment rejeter les objets enfoncés en toi, je les réinsère aussitôt.
Quand ton cul est assez rouge, qu’il est meurtri, je mets fin aux coups.
Je prends le Wand et je viens le faire vibrer contre les lèvres de ta chatte. Je le fais passer sur ton clitoris. Et si ton plaisir devient trop évident, s’il monte trop haut, alors j’arrête tout plusieurs secondes pour te frustrer. Puis je recommence.
Ce que tu ne sais pas encore c’est que le jouet dans ta chatte peut lui aussi vibrer intensément, et au même rythme que le Wand. Je les commande depuis mon téléphone et je joue avec toi jusqu’à te faire jouir. Le Wand + le Lush, tu ne résistes pas très longtemps.
Après cet orgasme forcé, je commence à te détacher. Tes cheveux d’abord, puis tes mains. Le bâillon et enfin la barre d'écartement. Ainsi libérée, tu viens te lover contre moi. Tu m'embrasses.
A ce moment, je mesure une fois de plus la chance que j’ai. Je vois la beauté de ton abandon, te ton corps, je sens ta dévotion et tout cela me trouble profondément. Je t’embrasse et je te conduis jusqu’au lit. Mais ce n’est pas fini. J’attache cette fois les menottes en cuir à tes poignets et tandis que tu es sur le dos, j’attache ton poignet droit à ta cheville droite. Ton poignet gauche à ta cheville gauche. Ta tête est au bord du lit, elle pend un peu en arrière. Je retire alors mes vêtements. Ta bouche m’attend, bienveillante. Je l’embrasse d’abord, je veux ta langue. Puis je viens déposer mes couilles sur tes lèvres. Tu les lèches instantanément, tu les gobes, les suces…
Après quelques instants de ce jeu, c’est ma queue que je viens enfoncer dans ta bouche. Mais dans cette position, c’est ta gorge que je viens chercher. Ouverte et profonde. Tu m’accueilles avec bonheur malgré ta respiration contrariée. Tu gémis comme pour m’indiquer de continuer. Plus d’une fois je me perds tout au fond de toi. Ai-je déjà été aussi loin ? C’est absolument délicieux. Pendant que tu me suces, je défais les pinces de tes tétons. L’un après l’autre. Lentement. Tu crie à chaque fois malgré ma queue qui t’étouffe presque. Et tandis que je pénètre ta bouche en profondeur, je dépose encore une fois le wand sur ta chatte entre tes jambes repliées et écartées. Et encore une fois je couple ses vibrations à celles du Lush. Je sens bien que tu perds le rythme avec ta bouche, que le plaisir prend le dessus et que tu protesterais sûrement si tu le pouvais. Mais tu ne le peux pas et il n’y a rien qui m’excite plus que de te voir prendre du plaisir. Alors je laisse aller les vibrations jusqu’à l’orgasme. Tu jouis alors avec ma queue dans ta gorge et cette image m’excite tant que je jouis à mon tour. Mon sperme remplit ta bouche abondamment. Tu tètes ma queue jusqu’à tout prendre, tout avaler. Je m’extrais de toi et un dernier spasme de plaisir fait jaillir une ultime giclée de sperme à la commissure de tes lèvres. Le liquide épais coule doucement le long de ta joue.
Je libère tes mains et tes chevilles. Je te prends dans mes bras. Du bout de ma langue je viens récolter le sperme sur ta joue et nous le partageons dans un baiser profond.
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grand-mechant-loup · 3 months
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grand-mechant-loup · 3 months
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grand-mechant-loup · 4 months
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RÈGLES DU JEU
Préparation
La Soumise doit être équipée d'un collier, de menottes de poignets et de chevilles. Elle doit également être nue.
Le temps de préparation doit être un temps de caresses, de baisers et de mise en confiance.
La Soumise doit comprendre et ressentir qu'elle est aimée, chérie mais qu'elle appartient totalement à son Maître qui, le temps de la partie, pourra disposer d'elle et de son corps comme bon lui semble.
Quand tout est prêt, le jeu peut commencer.
Déroulement du jeu 
Le jeu consiste à tirer une, deux ou trois cartes simultanément, au hasard. C'est la Soumise qui les tire et les présente au Maître. Le Maître doit alors appliquer le châtiment en fonction de la ou des cartes tirées.
Il est conseillé de commencer avec une seule carte. La Soumise pourra choisir d'augmenter l'intensité du jeu en tirant plusieurs cartes quand elle se sentira prête.
🃏 La charge du Maître sera de combiner les cartes entre elles à chaque tour. Par exemple, si une carte "fessée" et une carte "barre de traction" sont tirées ensemble alors le Maître pourra demander à la Soumise de se tenir à la barre sans bouger tandis qu'il la fesse.
🍑 Si la Soumise tire une carte indiquant que son cul doit être fessé ou fouetté, alors elle doit également lancer deux dés qui détermineront le nombre de coups qu'elle recevra.
⚠️ À partir du moment où la soumise a tiré plusieurs cartes (par exemple deux) elle ne peut alors plus redescendre en dessous de ce chiffre pour les tours suivants. Elle devra donc tirer désormais au moins deux cartes à chaque tour.
😈 La Soumise n'a pas d'autre choix que d'accepter la punition infligée par le Maître. Cependant, il est remis à la Soumise en début de partie, un Joker qu'elle pourra utiliser une seule fois au cours de la partie. Ce Joker annule le tirage d'une carte du choix de la Soumise. Cette carte ne sera pas réutilisée au cours de la partie mais devra être remplacée par une autre carte.
♠️ Il y a 3 cartes "plug" dans le jeu. Si la Soumise tire plusieurs fois une carte "plug" au cours de la partie, alors ils seront utilisés du plus petit au plus gros. De même pour les cartes "gode".
Un plug inséré est gardé jusqu'à la fin de la partie et ne doit être retiré que pour laisser place à un plus gros. Si la Soumise laisse échapper le plug, elle est sanctionnée en tirant une carte supplémentaire et le plug est réinséré.
❤️‍🔥 À tout moment, la Soumise a le droit d'exprimer un désir. Ce sera au Maître d'accepter de le satisfaire ou pas.
🍒 Les pinces à seins ne servent que le temps d'un tour. Cependant la carte quand elle a été piochée est remise dans le paquet et pourra être réutilisée lors d'un tour suivant.
🔥 La Soumise a le droit de remettre dans la pioche une carte qu'elle a déjà tirée afin d'avoir une chance de retomber dessus. Cependant si elle pioche à nouveau cette carte, elle devra en piocher une supplémentaire.
🎲 Le nombre de dés utilisés doit correspondre au nombre de cartes tirées.
Fin de partie
Le nombre de tours peut être déterminé avant ou pendant la partie d'un commun accord entre le Maître et la Soumise.
Quand la partie touche à sa fin, le Maître prendra soin d'ôter ses entraves à sa Soumise et de la féliciter (ou pas) pour son attitude au cours de la partie.
C'est à ce moment que le Maître décidera d'attribuer ou non une récompense à sa Soumise. La récompense est une carte blanche qui autorise la Soumise à prolonger la soirée comme bon lui semble. Si le Maître a offert cette récompense, il n'aura pas d'autre choix que d'accepter la décision de sa Soumise.
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grand-mechant-loup · 4 months
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“J’ai deux demandes pour ce soir. Je veux que tu penses à prendre le wand évidemment, et je veux que tu portes une culotte qui me laisse tes fesses accessible sans que j’ai à la retirer. Je veux pouvoir te fesser en retirant uniquement ton pantalon”
Le soir, après le repas, nous regardons une série. Tu as retiré ton pantalon et tu t’es couverte avec le plaid. “C’est juste pour me mettre à l'aise” me dis-tu dans un sourire complice.
Tout au long de l’épisode, je ne peux m’empêcher de t’embrasser. Tu m’as tellement manqué. Je prends ton visage dans mes mains. Je veux ta bouche, ta langue, ta salive…
Mes mains parcourent ton corps mais je me retiens pour que nous puissions finir l’épisode.
Quand il est terminé, je reprends mes baisers. Mes mains sont plus audacieuses. J’empoigne ton cul. Je serre chacune de tes fesses jusqu’à te faire mal. Tu protestes un peu mais tu te laisses faire.
Je te demande de t’agenouiller sur le canapé, face au dossier. Je veux que tu fasses bien ressortir ton cul et tu t’exécutes. Tu sais à quel point je te trouve magnifique dans cette position. A quel point ton cul m’excite et je sens que tu en joues un peu.
Je me mets à te fesser. Les claques font rougir tes fesses. Tu gémis un peu mais je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir. Tu ne te dérobes pas, au contraire, tu continues de creuser les reins pour mieux faire ressortir tes fesses.
Après quelques minutes de ce jeu, je te laisse reprendre ton souffle puis je défais ma ceinture. J’en fais une boucle et je commence à t’asséner des coups puissants et précis. Cette fois ce ne sont plus des gémissements mais des cris de douleur. Pourtant, tu continues à accepter ton sort dans un élan de soumission qui me fascine autant qu’il m’excite. J'essaie de faire en sorte que le cuir couvre la totalité de tes fesses. Ta peau rougit encore plus. Tes cris s’intensifient tandis que mes coups se font plus durs et plus rapprochés.
Quand je termine enfin. tu sembles te tordre un peu de douleur, mais tu as gardé la même position.
Je t’invite à te lever. Je t’embrasse. Je te dis à quel point tu es merveilleuse. A quel point tu es parfaite. Puis je te guide jusqu’à la chambre.
Tu t’agenouilles sur le lit. Tu attends mes instructions.
“Déshabille-toi entièrement”
Je te veux nue. Vulnérable. Je garde mes vêtements pour accentuer cette vulnérabilité.
Tu es désormais totalement nue, agenouillée. Je te regarde. Je me nourris du spectacle de ta nudité. Je t’embrasse, je te pince un sein, je serre ton cou dans ma main. Ces jeux ne durent que quelques secondes.
Je murmure “Ma Soumise…”
Ces mots sont comme une caresse pour toi. Tu soupires.
Cependant ton statut de soumise ne peut pas uniquement répondre à des attentes de ta part.
“Aujourd’hui je ne vais pas te mettre de collier. Ce n’est pas pour autant que tu vas rester sans marque de soumission. Tu es ma Soumise et je veux que ça se voit.”
Tu acquiesces.
“Aujourd’hui la marque qui prouveras que tu m’appartiens sera le plug.”
Je le tiens dans ma main. Je l’enduis de lubrifiant du bout du doigt.
“Tourne-toi et penche-toi un peu en avant et tiens tes fesses écartées.”
Tu obéis et je peux ainsi utiliser mon doigt couvert de lubrifiant pour caresser ton anus puis le pénétrer lentement mais sûrement. Je le fais entrer assez loin. Tu gémis un peu.
Je ressors mon doigt puis je te demande de me refaire face.
“Je vais te demander de faire quelque chose pour moi que tu n’aimes pas faire. Tu sais ce que c’est ?
- Oui.
- Dis-le.
- Tu veux que je me mette moi-même le plug.
- Exactement.”
Tu me regardes dans les yeux et je devine ton inconfort. Mais je sais qu’à cet instant tu m’es totalement dévouée.
Tu trouves une position et tu guides le plug à l’entrée de ton cul. Je te regarde dans les yeux, je regarde ton cul, tes jambes écartées, ta position impudique, ta chatte que je devine humide puis je reviens à tes yeux. Tu fermes les tiens comme pour mieux appréhender tes sensations. Tu pousses l’objet en métal qui écarte doucement tes chairs. Tu soupires un peu tandis que le plug, sous l’effet de petits va-et-vient répétés, finit par écarter ton trou de toute la largeur imposée par le métal.
Et puis le plug entre entièrement et ton cul se referme sur sa base. Tu gémis de protestation, mais une tension se libère et tu reprends un rythme de respiration plus régulier.
Je te prends alors dans mes bras. Je te serre fort, quitte à empêcher ta respiration momentanément. Je t’embrasse avec toute la douceur du monde. “Ma Soumise”.
Puis je saisis les cordes.J’attache tes poignets dans ton dos, bras tendus. Je fais remonter les cordes puis je les enroule autour de ta cage thoracique. Une fois, deux fois. Au passage je malmène tes seins. Je frotte tes tétons avec le chanvre, j’insiste sur la tension de tes liens. Je veux te contraindre fortement.
Quand les cordes forment enfin un harnais oppressant autour de ton corps, je passe délicatement une main dans tes cheveux. J’y plonge mes doigts, les fais glisser. Petit à petit, je les réunis dans la paume de ma main avant de les emprisonner dans une nouvelle corde. Je prends soin de ne pas les abîmer en les emprisonnant dans une boucle coulissante.
Quand ils sont captifs, je relis la corde qui les maintient à tes cheville, obligeant ton corps à se tendre comme un arc, la tête tirée en arrière par tes cheveux.
Ainsi immobilisée, tu es à ma merci. Je t’embrasse, je serre ton cou, je caresse ta chatte, j’y enfonce mes doigts. Je veux désormais ton plaisir. Je veux te sentir ruisseler entre mes doigts. Et rapidement, je sens les zones les plus sensibles. Je sens ta chatte se contracter et commencer à couler. Je te fais un peu languir avant d’appuyer davantage mes caresses jusqu’à ce que tu gicles abondamment dans ma main.
Tes cuisses se referment sur ma main mais je prolonge mes caresses et tu gicles une deuxième fois.
Tu reprends ton souffle mais je ne te détache pas. Tu es couchée sur le côté. Je caresse longuement ton corps. 
Plus tard, quand tu as repris tes esprits, je me saisis d’une poignée de pinces à linge. J’en pose autour de tes seins, sur tes tétons, sur la peau de ton ventre, j’en dispose même quelques unes sur les lèvres de ta chatte. Pendant quelques minutes, je joue avec les pinces. Je les tire un peu. Les enlève, les remets. Je cherche les zones les plus délicates, les plus sensibles et j’insiste sur ces endroits. Tu te débats un peu ce qui a pour effet de tirer tes cheveux et ta tête en arrière. Ta bouche est ouverte et je ne résiste pas à l’envie de sortir ma queue et de la glisser entre tes lèvres. Juste le gland. Tu te mets à le sucer avec envie. Tu tentes d’en avoir plus mais je ne te laisse pas faire. Je ne te laisse que mon gland. Tu le suces avec force.
Après quelques minutes, je ne résiste plus et je m’enfonce dans ta gorge de toute la longueur de ma queue. Je sens que je te force mais tu m’accueilles pourtant avec dévotion. De temps en temps, je ressors ma queue couverte d’une salive épaisse avant de m’enfoncer à nouveau, chaque fois un peu plus loin. Ton visage tout entier travaille à mon plaisir et cette image me trouble profondément.
Puis je me retire de ta bouche, j’ai encore la sensation de sentir les muscles de ta gorge enserrer mon gland. Des larmes perlent à tes yeux. Je m’allonge face à toi et je t’embrasse. Nos langues se retrouvent dans ce surplus de salive qui a facilité le passage de ma queue.
Une à une, je retire les pinces à linge, je dénoue tes liens. Je te libère. Et quand tu es totalement libre, tu viens te blottir contre moi.
Je te caresse, je t’embrasse. Je dépose des baisers sur les zones que j’ai martyrisées avec les pinces. Tu reprends ton souffle. Tu es tellement parfaite…
Quand nous sommes tous les deux apaisés, tu murmures à mon oreille : “Je veux m’occuper de ton cul…”
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grand-mechant-loup · 5 months
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Petite Femme avait pour habitude de me voler ma ceinture. Quand on s'est séparés je suis parti avec.
Depuis j'ai rencontré S. qui aime que je la fesse et que je la fouette avec différents accessoires. Dont ladite ceinture.
Et puis j'ai acheté une nouvelle ceinture et j'ai donné l'ancienne à Petite Femme.
Si elle savait...
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grand-mechant-loup · 5 months
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grand-mechant-loup · 5 months
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Craving
J’ai un incessant besoin d’écrire. Il se passe trop de choses dans mon ventre. Je ne sais pas comment le sortir. J’ai envie de me lancer par terre en gémissant comme une enfant. J’ai gouté à quelque chose de trop grandiose et je veux juste en avoir plus.
C’est depuis que je vois la Licorne américaine. Ça devient de plus en plus intense.
Première date. On s’est embrassés rapidement en fin de soirée.
Deuxième date. On s’est embrassés et on a fini chez lui. On s’est teasés en débile. On croit tous les deux à la règle du sexe à la troisième date. Ce qui a fait monter le désir. On a parlé de kinks, de bdsm, on a ouvert une porte gênante géante.
On a rempli le tableau Check list bdsm chacun de notre côté.
Troisième date. Il a pris mes éléments préférés du tableau pour jouer un peu avec moi. J’ai dormi chez lui. J’en voulais plus.
Quatrième date. Il m’a dit qu’il serait plus méchant. J’ai demandé si je pouvais m’habiller plus kinky. Il est allé encore plus fort sur les punitions. Il avait même acheté une cravache. J’adore ça. Je fais tout ce qu’il me demande. J’en veux encore plus. Je veux être une bonne fille.
Cinquième date. On est allés dans un lounge à thématique kinky. Il a activé la culotte vibrante pendant qu’on prenait un verre. On est allés chez moi. J’ai eu encore plus de spanking, de punitions, de récompenses. Il m’a fait l’amour je ne sais plus combien de fois. C’est magique à chaque fois. On a dormi quand le soleil se levait.
Sixième date. Le lendemain. J’avais juste envie de jouer encore. Mais il me présentait ses amis. On était vidés par manque de sommeil. On est allés au karaoké où les gens se déshabillent en chantant. J’étais très allumée. J’ai voulu qu’il revienne chez moi. J’en voulais plus. Et j’ai l’impression qu’il m’a punie en me faisant languir. Je devrais attendre la prochaine fois. Et je sais ce qu’il me prépare.
Septième date. C’est demain. Il m’a dit qu’il allait recréer un de mes porns préférés. Qu’il allait me filmer. J’étais tellement contente quand il me l’a dit.
Ça fait des années que j’étudie des fantasmes que je n’arrivais pas à réaliser. Que je lis sur le bdsm, le dollification, les kinks. Que je regarde de la porn en rêvant que ça m’arrive. Que je partage ou consulte sur Tumblr des textes et des images qui m’allument. Et lui, il arrive, avec son air gêné, et il me fait vivre toutes ces choses que j’espérais. Une à la fois. Et je suis fucking excitée.
Il repart aux États-Unis à la fin de la semaine. Juste comme ça. Et j’ai l’impression que je serai là, la bouche ouverte, en manque, jamais capable d’être rassasiée, à chercher de nouvelles façons de pousser tout ça encore plus loin.
On verra bien.
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grand-mechant-loup · 6 months
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grand-mechant-loup · 6 months
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grand-mechant-loup · 6 months
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grand-mechant-loup · 8 months
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Jiminy Cricket
Je trouve des gars sur mon app pour les ramener ici. Tout revient toujours à ce witty empire.
Au printemps j’ai eu des conversations avec un gars visiblement très intelligent. Mais très discret aussi. Photos mystère avec une habileté à jouer avec les mots et les concepts qui me fascinait. On a failli se donner rendez-vous.
J’étais comme dans un magasin de bonbons. J’avais trop de dates en même temps. Mauvais timing. J’ai délaissé l’app.
Quand il m’a recontacté dernièrement, il semblait aussi avoir apprécié nos échanges. Je ne l’ai donc pas complètement échappé.
Il me demande des nouvelles, veut savoir si j’ai encore deux amoureux et un baise en ville. Et c’est là qu’il me glisse de le recontacter quand je serai plus active sexuellement.
« je ne crois pas t'avoir déjà dit que ça m'allumait énormément une femme qui "rencontre beaucoup" »
OMG.
Conversation qui déboule.
« J’aime beaucoup le concept. Je te conserve dans ma to do list en attendant le slut season »
« Le terme salope est tout sauf péjoratif pour moi, c'est une grande qualité à mes yeux. »
Je lui ai envoyé quelques captures de mes histoires. Allumé, il a voulu lire mon Tumblr.
Il n’en fallait pas plus pour que je débute le slut season. Quand j’ai fait venir Le producteur dans ma chambre d’hôtel, j’avais tellement hâte de lui raconter mon exploit.
Ça me rappelle un peu l’excitation que j’avais quand Barbe bleue voulait que je lui raconte mes dates en détail.
Bonne nouvelle pour vous, ça veut aussi dire que j’ai une forte envie d’écrire à nouveau.
Slut. Season. Is. On.
Bonne rentrée bitches!
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grand-mechant-loup · 8 months
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Son fantasme
On travaille dans le même milieu. On s’est rencontrés sur mon app de dating. On a vite transféré sur Facebook. Il prend de mes nouvelles. Il est gentil. Un peu trop même des fois. Comme s’il vendait sa salade de gars sûr de lui. Il me dit qu’il se branle en pensant à moi. Et je lui demande son fantasme du moment.
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Ça tombait bien, j’étais seule à l’hôtel pour la nuit. Je lui ai dit qu’on ne se connaissait pas tant que ça encore, que c’était réalisable. Il m’a dit que si j’étais sérieuse il serait là dans 20 minutes.
Il m’a dit qu’il allait cogner à la porte, que je devais lui ouvrir, ne pas dire un mot, aller sur le lit, et le laisser faire.
Quand il est arrivé j’étais tellement mouillée. Il a regardé autour pour voir s’il n’y avait pas une caméra cachée ou je ne sais quoi. Il a enlevé son short. Il a pris ma main pour que je me touche. Il s’est branlé, le gland qui frottait mon clit. Après quelques minutes il est venu sur mes lèvres, en se frottant encore. Il s’est relevé. M’a dit « merci beaucoup ». J’ai sorti mon jouet, pour me faire venir, j’ai pas eu le temps il est parti comme prévu.
Nous l’appellerons Le producteur.
Il me texte déjà pour une prochaine fois… à suivre…
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grand-mechant-loup · 10 months
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