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#poésie

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Machszine, première présentation , Galerie Métanoïa, Paris IIIe. Tirages de CANNES 2020 Oeuvre: X par Hector Castells Matutano, Installation

#poésie #poetry

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Photographie (clic sur les titres pour avoir un aperçu) Séries réalisées: SAM. HUG. 2019 This series composed of about 70 digital and analog pictures stands for a model's whole portrait. In 2019, S. was shown my tumblr photo blog by a friend. S. was looking for someone to capture her body freshly inked by @caroleytattoo . In a quest of identity, she was curious about seeing different shapes of her body in someone else's eyes and sensitivity. As an artist, i was in a particular research with black and white body photography to represent the authentic deep soul of human subject through a kind of therapy session while the model and photograph are in an intimate context where any feelings could be freely and truly expressed. From the beginning to the end of the three hour session, S. didn't tell me about the tattoo's meaning. It was only when we finished that she revealed to me the scars were a big hug to embrace and share anytime with all the love she could find in herself and special people. The frames are part of a puzzle of her body playing with the borders of the squares and the lines of her tattoo. The unique details of her folds, moles and skin fragilities are graphicly celebrated with light and grace. Sometimes the frame enlarges and her body dives and floats in the minimal, sober and soft ground which corresponds to me to the texture she can reflect. CANNES 2020 Suite à une chute, une opération du fémur cassé m'a amené à une convalescence chez une amie qui eut la bienveillance de m'accueillir. J'errais de longues journées avec mes cannes dans cet appartement de la Croix de Chavaux où je pouvais apercevoir la foule et ses tri ou quadripèdes. Je fus marquée par toutes les personnes étant dans cette situation, cet unijambiste vaillant qui apparaissait au matin... Saviez-vous qu'une personne sur cinq connaissait cette nécessité au moins une fois dans sa vie? A partir de ce moment, ce motif devint mon obsession. Cette série montre une partie invisible du paysage urbain et de nos pairs: des recoins déserts ou presque, où seule la lumière vient se nicher près des pieds de ces corps appuyés. #PEOPLEWEARINGMYSUNGLASSES Dans ma tête, lunettes = fête. Un accessoire qui rend anonyme. En cours: CANNES 35MM AUTOPORTRAITS 2019-2022 DIPTYQUES LOVE IS LOVE FACES ON WALLS Photographe hors cadre, je pratique activement le portrait et la photo de rue depuis une dizaines d'années déjà. Ma photographie s'inscrit dans une démarche brute et spontanée. Ainsi , les images prises sur le vif , affichant une mise en scène dépouillée, se démarquent par leur relief insolite et saturé de contraste. Le sujet humain, tantôt mes camarades de jeunesse, tantôt des silhouettes inconnues , les instants poétiques urbains ou intimistes forment l'objet de mes principales études. Je travaille avec des outils conformes à la sobriété de ces images: d'abord avec des jetables lors de mon adolescence, puis un argentique automatique chiné qui me trouva par trois fois, un appareil numérique hybride usé, fidèle outil de mon rallye cycliste et pédestre dans les rues de Paris et de sa banlieue. Lors de mon parcours, diverses performances de danse ou d'art contemporain ont touché mon objectif et j'ai pu être sollicitée notamment par des compagnies de théâtre et des groupes de musique pour les photographier sur scène et en coulisses. L'une de mes photos de théâtre masqué est parue en 2021 dans une revue. Cette même année, j'ai participé à la remise en état de l'atelier du Studio Boissière à Montreuil, tenu par la famille de photographes emblématique et historique du quartier, les Kasparian. Je passe aussi régulièrement devant l'objectif en tant que modèle pour parfaire mon art. Dans l'ensemble, il s'agit d'un journal photographique, fidèle à l'authenticité de mon regard érigeant en muses les âmes lumineuses. Crédits : Cécile Desailly

#photography

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Prix: Lauréate du concours LAPHIA (CNRS x Université Bordeaux Montaigne), 2e photo de la catégorie "Sources de lumière".

#photography

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Poème illustré pour la revue DOCK(S) "Animal Blessé", 2023

Photo: Bibliothèque Marguerite Audoux

#poetry #poésie

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Minotaure, 2020, papier et acrylique

Affiche Hector Castells

#theatermask

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Spiridon MAXINDANE 2020 Papier, Acrylique

A joué au Kamut à Clichy pour Le Ménage de Caroline, Cie L’Echarpe de Colombine

#theatermask mask commediadellarte #ghelderode #spiridon #colombine #mask #commedia dell'arte #theater mask #theatermask

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Créature MAXINDANE 2020 Papier, Pigments Exposé au Théâtre du Mouffetard

#mask #theatermask #carnival #creature

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                                                Qui est Max Indane?

Artiste autodidacte ayant déposé ses valises à Paris en 2016, Amandine a néanmoins suivi une formation continue des arts vivants avec des professeurs et des compagnies. Elle obtient cette même année un diplôme de marionnettiste au Théâtre aux Mains Nues. Bien que cette discipline fut étudiée par estimation hautement poétique, la comédienne joue beaucoup au théâtre et danse ponctuellement le Butô pendant une dizaine d’années en tout. De même pour la photographie, qu’elle ne cesse de pratiquer après avoir obtenu un prix et des expositions à Bordeaux pour une image sélectionnée par le laboratoire du CNRS. Fascinée par les visages, le portrait est omniprésent dans ses productions. En photographie mais aussi en dessin, street art, aquarelle, poésie... Son premier poème est par ailleurs publié en 2023 dans la revue de poésie expérimentale DOCK(S). Elle réalise des masques inspirés de la mythologie en 2020 avec les Ateliers de Paris exposés au Théâtre de Verre, au Mouffetard notamment. Pour finir avec ses atouts orphiques, nous évoquerons ses paroles, compositions et spectacles musicaux donnés en 2021 sous le nom de MAX ainsi que deux mini-albums parus en 2022 et 2023 avec le groupe Max et son ferrailleur. Photo: Faustine Ferrer

#mxndn #quiestmaxindane #fluctuatnecmergitur