Tumgik
paulysson1 · 8 days
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mon cœur et mon esprits vont bien plus vite que ma parole
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paulysson1 · 1 month
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Ferme tes yeux, jolie larmes d'ange.
Je viens créer en toi musique qui scintille jusqu'à la fin de ton éclat.
Et lorsque tu soupira,
Que la fin viendra,
Je t'écrirais des poèmes sur ta mort, sur ta vue, sur ta réacarnation en ma fille ou garçon,
Comme disaient m'est démons :"le monde est vouer à la lissesse;
Et pourtant tout les dieux se sont réunis pour dire qu'ici était la vie,
Ils se sont tous rejoints, dans l'espace ideux,
Et pourtant si c'est moi qui est encré votre entièreté,
Je m'en excuse d'avoir ouvert les effluves,
De qui vous étiez réellement.
À jamais votre dément
P.amis
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paulysson1 · 1 month
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Naissance, nous n'avons jamais eu "d'appels adolescents"
Mâcher le chewing-gum et s'endormir,
Sans se brosser les dents et reproduire,
Le schéma de l'amour.
Tu t'endors et je reste à veiller sur ton futur réveil,
Pour demain à jamais le tiens et sur les traces des synapses qui écarquilles ta vision,
Tu es l'ombre allumé qui m'inscrit dans la pénombre de ceux qui n'ont pu boire à ma torche.
Je te t'appelle Agnessou ma babay,
L'anneau de dieu qui se serait oublié,
Un dragon de feu sous une moumoute.
Exprimé tous,
Et exprimer bien,
Sans mauvaise notes, et sans mauvais refrains,
Tu es suspicieuse,
De mon alcoolisme malheureux.
Et pourtant,
Je me soigne avec toi belle compagne,
Et je me rappelle,
Et je le remémore,
Que tu es belle,
Et que je me suis repentis.
P.amis
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paulysson1 · 2 months
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Je t'écris
Je t'écris sans savoir qui tu es,
Ni qui suivra,
Le souverain de se monde perdu jusqu'à son renouveau,
Est tombé bien bas,
Et tombé de haut.
Mais qu'elle éclat,
Car dans sa chute,
Il y avait cet aire de flûte,
Et de friandise,
De se dire que l'on l'élise encore,
Comme une église morte,
Donne lettre point morte.
Et devant ces complexité de l'existence qu'est nos pensées trop souvent blessées,
Se donner un peu de repos...
Et dans mon dos non tatoué encore,
J'écrirais vos pleures,
Et vos damnations.
Je transmettrais vos sourires et vos pardons,
Vos enseignements,
Je graverais la vertue que vous avez perdu avec les âges et les anges déchues,
Je donnerais plus afin que les larmes sortent.
Donner raison aux démons,
J'en sais quelque chose j'en ai moi-même mes déraisons
Je donne ce qui est donnant,
Sans réclamer ce qui est dément,
C'est clairement la passion de mon nom et prénom qui donne l'intuition aux sans dons pour qu'ils me donnent la raison sans pression.
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paulysson1 · 2 months
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L'Onde
Ce n'est pas une ôde mais une rôde,
De savoir ce que cela faisait d'être un bambin,
D'avancer en groupe pour se sentir serein.
Sur le sentier amenant au puits qui nous fournit la droiture de la grâce du pansement,
Oublier ce qui est gênant,
Et avancer, aller de l'avant.
L'Onde,
Sacré caractère,
Je dirais que ces Dieu et ses chimères,
Ils nous inondes,
Et ce n'est pas une mince à faire de vivre avec l'invisible.
Il arrive parfois que cela nous divise au lieu de nous rapprocher,
Ce n'est pas un drame,
Rien n'est métastasé.
Chapitre compliqué du livre de ma vie,
Mais ce n'est pas le pire et aujourd'hui j'ai l'expérience afin de surmonter l'obstacle et la difficulté,
La Vie est une école qui nous colle en nous laissant s'éloigner d'elle,
Ce n'est pas si espiègle,
De souhaiter à ses apprentis de voler de leur propres ailes.
et puis je pense à elle,
à ne pas la quitter pour ne pas la blesser,
ni elle, ni moi.
et comment te dire que je peux t'épauler,
te donner le bon refrain,
de vouer d'Amour que veulent ce qui en ont la faim.
Dans les bas-fonds de l'existence je recréer l'essence qui anime et casque chaque être.
Protection individuelle mais précaire qui nous rappelle que nous sommes fragiles.
Pourquoi ne pas s'accompagner ?
Cela fais des siècles que c'est le cas,
Qu'à chaque naissance nous nous retrouvons et avançons ensemble jusqu'à la conclusion,
Volé par les papillons,
Ce soir je reste et demain je te quitte,
Non pas de notre relation mais de ceux qui en ont la clé,
Je les envies,
Moi aussi je veux créer.
Et torrent de feu lorsque tu me forge avec l'alliage d'un acier oxydé.
L'Onde, elle, m'abonde,
Me faire sentir puissant au cœur d'une bataille qui ne m'appartient pas,
D'une guerre qui est déjà commencé et finit avant même que la bataille n'atteigne mon cœur.
Et lorsque que mon cerveau ne sera plus irrigué par le sang que pompe mon cœur,
Un dernier effort, une caresse, qui m'effleure,
Comme un doux baiser emplit de pensées et de sauvegardes mentale du fait que l'on existe plus à par au travers de ce qui vive encore.
P.amis
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paulysson1 · 2 months
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Papillon calciné
Et si la nature,
Ou bien dieu,
Me donne la droiture de me relever à nouveau,
J'écrirais les beaux mots, pour ceux qui s'éloignerais de la droiture de l'Amour,.
Et dans mon tombeau,je serais si beau,
Devant ton regard si jamais tu as eu de l'amour à mon égard.
Sinon je l'effacerais sans reste,
Pas bien plus que rien que ne "lesse".
Esclave de n'avoir jamais vécu telle que j'aurais été,
Je me demande ce que donne ceux qui ont déjà donné.
Dans le festin de l'âme j'imagine tes coquicallages de debonheur,
Je le vois et n'y participe pas,
Comme un ange gardien qui ne s'y aventure pas.
Je me fais entrainer dans tes tranché de l'existence,
Je l'avoue d'une certaine impuissance,
Pour te rendre gloire.
S'il n'y avait qu'à croire...
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paulysson1 · 2 months
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Alcoolique
Quel déclique,
pour dire que je suis une loque qui trépigne devant le simple galon de vin qui s'offre à lui ?
Comment peux-tu me diminuer ainsi ?
Comment peux-tu avoir aussi peut d'espoir en moi ?
C'est comme-ça que tu me vois ?
Je suis pourtant l'ombre de l'innocence,
Ou bien l'innocence de l'ombre,
Qui s'annonce,
Une histoire de ronce, qui ne sait plus qui écrit et qui est écrit,
qui ne sait plus qui est piqué de celui qui est piqué,
Et pourtant je m'accroche de mes épines à toi,
Sans doute un vieux réflexe, de mon enfance qui croit en l'Amour,
Qui ne ce donne point,
À part pointer du doigt ceux qui éclate leur existentitalité,
Qui ne sait pas comment te plaire,
Lorsque tu me met chaque jour à enrager...
Le dessin de celui qui s'enfuit vers l'aube de ceux parties au grand large,
De ceux qui écrives les pages de ceux qui n'écrivent plus,
De ceux qui n'ont âme qu'à vivre et non pas à réfléchir,
Jeté les laisses,
Amuse toi bien dans tant de tristesse ...
Perso je suis "mon ivresse" et écrit ce qu'il y a de plus beau de ce quil y a d'algèbre sans erreurs,
Le temps t'importe car tu as déjà tes enfants,
Moi pas,
La croix du temps avance et je suis dans un désert,
Tu l'ignore dans ton égoïsme et dans ton esprit étriqué,
Où tout est toi, rien que toi,
Sans laisser la place au prochain que tu surveillera, ta finalité de surveiller ce qu'il n'est point la finalité mais bien le commencement ...
Et à chaque chagrin chaque câlin,
Ne donnant pas plus et pas moins que ceux qui donne de la substance à la vie.
À toi de voir ce que tu désire,
Ce que tu veux écrire dans le livre de tes épanouissement...
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paulysson1 · 3 months
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Je t'aime
Pas la même naissance.
Pas le même caractère.
Pas les mêmes besoins.
L'humanité est vaste et variés ce qui la rend complète et belle.
Pas le même vécu.
Pas les mêmes attentes.
Pas les mêmes souvenirs.
Pourtant nous sommes tous liées et devons avancer ensemble à la fois afin de progresser dans notre existence charnelle mais également psychique et spirituelle afin de nous élever.
Pas les mêmes forces.
Pas les mêmes faiblesses.
Pas les mêmes tords.
Mais cela n'empêche pas les Êtres de s'aimer et de désirer construire à deux.
1- tes colères
Danse du tonerre dans ton esprit,
Décharge électrique qui induit forcément de faire conduire le courant,
Mais je suis épris,
Je me branche et prend l'épanchement.
Comment reflèter ces émotions qui te submerges ?
Créer mentalement des berges,
Te dire que l'avenir n'est pas très éloigné de tes doux rêves...
Si je devrais donner une méthode je dirais qu'il faut tout d'abord que tu te résonne dans le fait que tu es accomplie ==> tes enfants, ta famille, tes amis, ta maison, ta Vie.
2- les pots cassés
Je paie et accepte de recevoir les coups qui ne sont pas portés à ceux qui les ont provoqués,
Comme-ci une averse pouvait arrosé un désert mais faire pousser une fleur à l'autre bout du continent. Et l'inverse.
Mon conseil est de compartimenté chaque seconde,
Exercice mentale de se dire que l'on est qu'une pétale qui se fane mais qu'avant cela croie dans l'évolution,
Sans poison délégué apposé à ceux qui ne l'ont pas mérité.
3- Le deux poids, deux mesures
Banale et non voulu d'imposer à autrui ce que l'on souhaite.
Repprocher ce que l'on se repproche à soi-même tel un miroir sans teint en plein interrogatoire interne où l'inspecteur serait son subconscient.
Relativiser, ce dire que la vie est faite pour se tromper et des moments d'égarement,
Que ton conjoint n'a que dans une journée 24h de temps et essai de l'organiser en apaisant,
Souvent maladroitement,
T'es tiraillement,
Te donner le sentiment que lorsque tu fis d'être c'est que je suis,
Ce dire que le produit est finit lorsque la fin est un renouveau se dire qu'il est beau.
Pas la même douleurs.
Pas les mêmes remors.
Pas les mêmes blessures.
Interlude
Dessiner dans tes cheveux de jolies runes qui vont devenir poèmes, des rêves espiègles lorsque tu t'endors et que je veille à garder tes yeux fermés, te dire en te susurrent à l'oreille que tu es étincelle dans le dortoirs de Lucifer le porteur de lumière.
Et pour finaliter simplement dire que parfois écrire les maux, et les mots endormis dans le temps, et les temps s'échange de lendemains en lendemains,
4- Et je te dirais
Que j'appartiens à ceux qui favorise la cicatrisation de l'âme,
Ceux qui balayes,
Ce qu'il y a de plus noirâtre.
Je suis de ceux qui te soulèverons, et t'apaiserons,
Qui te donnera le droit d'être Toi et pas une autre.
D'être épanouie et sans frisson, de revêtir le blouson de la silhouette qui t'habite depuis tout ce temps,
Et un jour,
Si toc le néant,
Je ressortirait du tiroir du diable d'où mes chaînes m'entraves afin de te ramener obligatoirement vers le bonheur escompté.
Je suis damné,
Et je suis perdu,
Mais dans ta non vertue j'ai vu une âme qui abîme ceux qui s'enivrent,
Et j'écrirais toujours sur le sujet de l'avenir,
Et le pire,
C'est que :
Je te Loupic <3
P.amis
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paulysson1 · 3 months
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Les fêtes
Sourire,
Amour,
Moments partagés.
Comment espérer plus qu'il n'en est indispensable dans toute ses rêveries ?
Et comment redessiner ce sourire qui t'habite depuis ta renaissance ?
Ton bonheur est le miens et tiens au creux de ceux qui veulent le promouvoir.
Te voir dans ton élément,
Quel mélange de sentiments.
La chrysalide est sur le point de rompre et tel comte il te raconte milles histoire qui s'émerveilleront de te voir omnisciente.
Comment écrire une histoire qui n'a pas de fin ?
Comment adopter un Cheminement qui ne se conclu point ?
Devant les écrits,
Tellement de rire, ou bien d'ignorance.
Mais dans ton regard, ton regard à toi, j'écris de la joie et du doux bonheur.
Et dans la pénombre je guide tes songes et abonde,
Abonde de dédoublement de moi-même,
Je reecris que tu es la plus belle,
Pas seulement extérieurement mais également,
Un entrelacé de complexité si romantique à aimer qu'est ta pensée.
Je te Loupic, je t'aime !
Et que jrien nivelle dans le contre sens de la Clémence de ton pardon pour mes doux poisons,
Je memesure et te demande de venir,
À la rencontré de mon âme impie,
Qui fait tant rire les escargots démago qui assombrissent le dessin,
De nos esquisses,
De nos refrains,
De nos friandises partagées lorsque vient et part l'été.
Paul.amis
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paulysson1 · 3 months
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L'idée
Et si je n'étais que l'idée d'une pensée entremêlement des circonstances atténuante de nos "non volontées",
J'écris parfois pour parler mais souvent pour réfléchir et chérir.
Et dans le miroir de nos dessins qui font vibrer nos égoïsmes gargantuesque,
J'écrirais,
Et j'abreuverais dans tes nuits assoupies les ombres des êtres maudits qui avales tes nuits,
J'en ferais des brimades pour tes ennemis de papier,
Je carresserais tes peurs et t'apprendrai à donner à chaque jours le meilleur,
Je t'offre tout ce dont je suis,
Ce n'est pas grand chose,
Mais devant tant de vie,
Je te donnerais mes secrets les plus enfouies,
Et même mon enfance.
Et le soleil brille sur la neige ne se brisant point,
Qui te rappelle,
Le premier flocon de neige que tu as reçue,
Ou bien ces souvenirs,
D'où tu ignorais ce qui t'attendais de la vie.
Tu m'as trouvé,
Ne me perds pas,
Je porte bonheur.
Mais si c'est le cas,
Je n'en voudrais pas,
Ni mal, ni peur,
De te perdre ou de te garder comme amie,
Même si mes sentiments se nies.
P.amis
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paulysson1 · 5 months
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Miriade
Comment expliquer que deux entités puissent s'aimer en s'ignorant,
Comment expliquer qu'ils sont totalement liés, toujours pour amant...
Paisible idyle enfanté de mille tourments,
Brillant sans bailler l'ennui de se savoir orgueilleux.
Différente histoire,
Différents espoirs,
Se donner le centre d'une table d'où l'on peu échanger chacuns son point de vue.
Donner et recevoir de l'amour sans avoir à porter sa carapace,
Avec classe, et envie.
Et profitez !
Comment ne peux-tu pas voir dans la buée essuyé sur le miroir le doux reflet de vie qui vous annonce d'être ?
Comment ne pas se conjuguer lorsque même sur les synapses il y a marqué le nom de l'autre ?
Et pourquoi essayer d'éviter cette routine qui divise sans jamais rassembler ?
Le pouvoir est au creux de vos mains, qui sont faites je le rappelle soit pour caresser ou bien travailler... rarement pour nuire.
Malaxer l'amour qui court sur les gouttières du toit garder par Tik Tok.
N'oubliez pas ==>
Ce serment,
Fait il y a bien longtemps,
Cet écrit verbale qui vous a scellé dans le béton de vie propres au secret de vos émotions.
Avez-vous oubliés ?
P.amis
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paulysson1 · 5 months
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Nous allons nous aimer, nous haïr. Mais surtout nous combattrons la vie demain
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paulysson1 · 5 months
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Comment t'écrire
Que tu es limpide comme un signaux mystérieux venu d'ailleurs,
Et que leclaboussure de ton passer 3st tel une jolie épopée.
E n'aime pas partager tes molécules,
Ni même trop phrasé et ton impulsivité qui te caractérise.
Tu es belle,
Physisuqmement bien sûr,
Mais également la profondeur de tes ondes, de ton regard.
Si seulement tu le savais et en avait la sagesse,
De te dire que déesse égale à ecchymoses ?
Non pas physique mais psychique,
J'écris plus vite que le rythme de la musique mais contrairement au lindy hope je sais que tu suis à la note prêt mes écrits.
J'aime cela
Et comment dessiner une dispute lorsqu'elle ne sont pas nécessaire ?
Comment t'expliquer que je t'attends tel un fou chez moi qui tu ouvre ta porte à toi.
Je te libère.
De ma dominance masculine, à par celle qui texcute au plus profond.
Je t'offre.
La liberté de te déterminer toi-même,
Je ne serait qu'un accompagnant d'une douce femme qui a la vision du présent.
.donne moi.
Le droit d'être un archiviste de notre vie ==>
Inscrire à l'encre de mes veines le secret de celle qui n'a su renoncer à al plus grande reine méconnue du 21eme siècle.
Celle qui sans forçant inclut tout ceux qui s3 régale à côtoyer ta belle âme.
P amis
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paulysson1 · 5 months
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Melancolie
Je me demande toujours comment écrire en parlant de toi,
Déesse, oiseau, saphir ?
Nulle n'est moins pire que de dire que je suis heureux si en me lisant je t'arrache un jolie sourire.
Comment te dire,
J'explose la langue, les mots, les fables et bien d'autres maléfices,
Comment te l'avouer,
Tu es un serpent qui me mord et me tue,
Et tellement de vrai en nous deux,
Terriblement ambitieux qui exagère dans ce tumulte dquest l'existence.
P,amis
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paulysson1 · 5 months
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Goutte
Et lorsque je serai sous perfusion,
Et lorsque la dernière goutte de sang me donnera le ton,
Je referais l'arc-en-ciel de ma vie,
Entouré des miens que j'aurais éloigné du néant.
Je donnerai fortune et gloire à ceux qui auront ries à mes plus beaux éclats.
Comme la fin de la mèche d'une bougie je me teint et me calcine dans l'infini des turbines de la vie,
Amenant au paradis que je n'accepterai point, trop frustré d'avoir été trop honoré par les miens.
Éteins moi mes pleures dans ce monde des mille et une douleurs,
Dis-moi que ce n'est que blesser afin de mieux savourer,
Dis-moi que je créer avec mon souffle un milliard d'univers qui aurait leur propre horloge et symphonie.
Et comment ne pas fermer les paupière lorsque sa dulcinée est à ses côté et que l'enfer n'est qu'un arrière goût éphémère ?
Comment dans un ronronnement ne pas être content qu'elle se détende et accepte ta présence d'Être impie.
Comment dire je suis un démon repenti,
J'écris mais je ne sais pas mon passé, celui depuis ma naissance mais également celui d'avant ma naissance. Comment dire, je ne suis qu'un morceau de récipient de l'existence, qu'elle me donne enfin ses traits de caractère,
J'en ferais mes armoiries,
Je me demande qu'est-ce qui bouge,
Dans l'ombre,
Ce sont mes âmes sœurs,
Je n'ai enfin plus peur.
P.amis
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paulysson1 · 7 months
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La salle d'attente
Et là,
Parmi milles âmes torturées,
Je sème les graines de mon bonheur poussées sur des racines de névroses.
Je leur raconte des histoires et des sentiments dont ils ont perdu le fils il y a bien longtemps,
Musique éphémère de l'espièglerie qui nous caractérise,
Ramener l'amour et sa soif de bonheur qui nous attends.
Difficile masque qui nous entrave les traces de nos réceptions synaptique,
Il peut y avoir un declic,
Si nous nous amusons à nous retrouver sans démission.
Un homme en face de moi,
Un homme formé,
Mais un homme.
Comment peut-il répondre à des attentes alors que j'en sais plus que lui sur moi-même ?
Comment confondre mes frissons et l'éternel charnel, qui est le roi et qui guidera-t-il ?
Est-ce que j'apprends de lui ou bien est-ce lui qui apprend aux travers de mes travers trop longtemps enfouies ?
Et dans ce mélange d'échange sans change que j'imagine avant de passée à l'acte de parler,
Je me sens déjà mieux que je ne sois plus seul,
Mais presque deux.
Comment poussière devient âme,
Comment devient-on brave après une bataille perdu ?
Comment conclure une répartie si celle-ci n'est pas poésie ? Qu'elle n'enlève pas le mal-être qui noorcie dans nos cœurs.
Je veux créer un chemin une union.
Je veux une pulsion et une éclaircir qui redonne la vie,
Celle que l'on oublie avec tous nos petits problèmes et no questionnements.
Maisbpour un mot, une plaisanterie,
Je revois la Vie.
Dans la salle d'attente, beaucoup d'esprit en instance de divorcés avec elles-même.
Une personne perdu et triste,
Qui se répare,
Qui veut mordre la vie plus fort qu'elle ne l'a mordue,
Comme une vengeance bien enchevêtré qui nois fait avancer.
Et moi,
Dans tout cela,
Et elle,
Dans tout cela ?
Une pause qui pourrait durer l'éternité,
Non plus dans une salle d'attente mais dans l'action des moments passant, passés et à créer.
Comment décrire ce qui m'inspire ce qu'elle me donne chaque jours et qui me porte autant que des dosages médicamenteux ce qui instille ce qui est le plus espiègle en moi,
Et que d'effroi,
Si elle lit ces lignes,
Qu'elle comprebdra que le soleil vrille lorsqu'elle met un chapeau pour l'assombrire lui,
Et non pas moi,
Pour une fois qu'un Être se donne plus à moi qu'à lui...
Qu'offrir à la salle d'attente ?
Une histoire plaisante.
P.amis
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paulysson1 · 8 months
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Le paon
Je peux bien créer à l'aide de mes muses invisibles.
Et devant le tournant à prendre entre sentier dans la multitude où bien sur une seule idées, Elle, mon naturel me dit de foncer.
Comment entrecroiser nos passés ?
À par parler de nos cicatrices réciproques, nos tromperies de vies qui ne reviens avant le sommeil,
Celui qui nous laisse jusqu'au matin au réveil.
C'est parce que pour te clore les yeux tendrement je remettrais des bûches dans la flamme.
Je remettrais le soleil en haut de sa splendeur, ainsi que la lune bercent dans ton cœur.
Tu deviendra, libre comme l'aire,
Tu deviendra luciole qui va aider à ébair les humanoïdes non chalands.
T'es marmots tu leur trabsmettra ta flamme,
Aiguisé et juste, un peu excentrique qui attire sans désir ceux qui l'ont perdu.
Et lorsque tu aura faite le tour de toutes tes capacités, ai co fiancé en l'humanité ==> d'autres viendront t'aider, t'inspirer, te conseiller,
Avec plus au moins de maladresse.
Tu a sleeping droit de laisser tomber,
Tu as de très beaux et belles garde fou,
Tu es une princesse dessinera un Disney,
Gant de toilette sur les pieds afin de faire la syrene,
Tu es une déesse qui s'exprime,
Comme une enclume qui allume ce qui de droit.
Et lorsque parfois quelques larmes s'amusent sur tes joues,
Je les ramasse et te les cachés afin de créer avec leur aide uen fiole de bonheur avec laquelle je t'éclabousserai.
L'océan est bien plus grand que tout le chagrin que tu possède, mais tu fera vivre un simple homme, moi, plus fort que tout les marins des 7 sept mers.
P amis
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