Tumgik
plaque-memoire · 5 days
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Petre Sergescu et Marya Kasterska
Type : Lieu de résidence
Adresse : 7 rue Daubenton, 75005 Paris, France
Date de pose : 1978
Texte : Pierre Sergesco, mathématicien, historien des sciences, 1893-1954 ; Marya Kasterska-Sergesco, femme de lettres, 1894-1969, ont habité cette maison
Quelques précisions : Petre Sergescu (1893-1953), aussi connu sous le nom francisé de Pierre Sergesco, est un mathématicien et historien roumain. Après avoir étudié en Roumanie et été fait prisonnier pendant la Première Guerre mondiale, il obtient une bourse d'études pour Paris, où il rencontrera sa future femme, Marya Kasterska (1894-1969), écrivaine et journaliste roumaine. Tous deux vivent à Paris après avoir quitté en 1948 la Roumanie où Sergescu était retourné pour assurer des fonctions universitaires. Farouchement nationaliste, il éprouve par ailleurs un respect pour la France et son apport à la Roumanie.
0 notes
plaque-memoire · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Lucie et Raymond Aubrac
Type : Commémoration
Adresse : 16 rue Michelet, 21000 Dijon, France
Date de pose : Entre mai 2012 et août 2013
Texte : Dans cet immeuble propriété du Secours populaire français de 1972 à 2011 a eu lieu en 1939 le mariage de Lucie Bernard et Raymond Samuel Aubrac, leur nom de résistants
Quelques précisions : Lucie (1912-2007) et Raymond Aubrac (1914-2012) sont un couple de résistants français. Tous deux engagés dans le communisme, leur première véritable rencontre a lieu à Strasbourg. Ils s'enfuient en zone libre après que Lucie a aidé Raymond, alors prisonnier de guerre, à s'évader. Installés à Lyon, ils s'impliquent autant qu'ils le peuvent dans la Résistance, interagissant avec de nombreux groupes dans le cadre d'activité aussi diverses que la diffusion de tracts, l'organisation d'opérations de sabotage et la mise en place d'émissions clandestines. En 1943, Lucie aide à deux reprises son mari à s'évader de prison. Ils gagnent Londres en 1944 et tous deux maintiennent leur engagement au service de la Résistance. Ils survivent à la Seconde Guerre mondiale et maintiennent des liens avec le Parti communiste français. Auréolés de prestige, ils continuent à s'engager au service des droits de l'homme et de la diplomatie, tant en France qu'à l'étranger, et publient plusieurs livres sur leur engagement antinazi durant la guerre. Décédés à cinq ans d'intervalle, tous deux restent des figures incontournables de la Résistance qui sont souvent honorées, ensemble ou séparément, à l'occasion de commémorations.
0 notes
plaque-memoire · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Léon Tolstoï et Ivan Tourgueniev
Type : Lieu de résidence
Adresse : 9 rue de la Liberté, 21000 Dijon, France
Date de pose : 29 avril 2010
Texte : Les romanciers Léon Tolstoï et Ivan Tourguéniev ont séjourné à l'hôtel de la Cloche du 9 au 14 mars 1857
Quelques précisions : Léon Tolstoï (1828-1910) et Ivan Tourgueniev (1818-1883) sont deux écrivains russes ayant partagé une amitié complexe et tumultueuse qui a fait couler beaucoup d'encre. Ils se rencontrent pour la première fois en 1855, après que Tourgueniev a exprimé son admiration pour le style de Tolstoï. Tolstoï découvre les cercles littéraires russes grâce à Tourgueniev, mais ne s'y plaît pas et son comportement décomplexé est aux antipodes de celui de Tourgueniev. Ils se voient régulièrement, y compris lors d'un séjour en France en 1857 (à Paris et à Dijon), mais leurs personnalités restent incompatibles, leur affection mutuelle s'exprimant d'autant plus qu'ils sont loin l'un de l'autre. Bien que n'étant pas rivaux sur le plan littéraire (Tourgueniev exprime une grande admiration pour des œuvres majeures de Tolstoï comme Guerre et Paix ou Anna Karénine), ils s'opposent sur de nombreux sujets, y compris en politique, l'exemple principal étant celui de l'émancipation des serfs, et se brouillent pendant près de 17 ans. Ils sont également très différents sur le plan de la spiritualité, une notion particulièrement importante chez Tolstoï mais beaucoup moins pour Tourgueniev. Ils se réconcilient toutefois, et, sur son lit de mort, Tourgueniev rédige une vibrante lettre d'adieu à Tolstoï, qui sera très affecté par son décès.
0 notes
plaque-memoire · 3 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Paul Turgné
Type : Lieu de décès
Adresse : 85 rue de Charenton, 75012, Paris, France
Date de pose :
Texte : Ici a été mortellement blessé par les Allemands le 19 août 1944 Paul Turgné, inspecteur de police, membre du groupe de résistance Honneur de la Police
Quelques précisions : Paul Turgné (1906-1944) est un policier et résistant français. Il intègre la police en 1928 et rejoint une décennie plus tard le service des Renseignements généraux. Durant la Seconde Guerre mondiale, en 1941, il rejoint la Résistance, agissant notamment au sein du groupe Honneur de la Police. Il aide à faire évader plusieurs prisonniers juifs, ce qui lui vaut plusieurs mesures de rétorsion. Arrêté en 1944, il parvient à s'évader du train qui devait l'emmener en déportation et revient à Paris. Il compte participer à l'insurrection pour la libération de Paris, mais est tué dans les premières heures des affrontements.
0 notes
plaque-memoire · 3 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Marco Lazard
Type : Lieu de décès
Adresse : Square Albert Tournaire, Pont d'Austerlitz, 75012 Paris, France
Date de pose :
Texte : Ici est tombé le 19 août 1944, 1er jour de l'insurrection nationale, Marco Lazard F.F.I., à l'âge de 19 ans
Quelques précisions : Marc Lazard (1925-1944), dit Marco, est un résistant français. Étudiant au moment de la Seconde Guerre mondiale, il est forcé de fuir en zone libre en raison de son ascendance juive, mais revient à Paris sous une fausse identité. Il s'engage dans la Résistance, au sein du mouvement F.T.P.F. Il prend part aux combats pour la libération de Paris en août 1944, durant lesquels il est tué par les Allemands.
0 notes
plaque-memoire · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Kléber Meunier et Georges Bruneau
Type : Commémoration
Adresse : 11 avenue Stephen Pichon, 75013 Paris, France
Date de pose :
Texte : A la mémoire de Meunier Kléber, mort en déportation, Bruneau Georges, F.F.I, tous deux tombés pour que vive la France
Quelques précisions : Kléber Meunier (1888-1942, photo) est un militant communiste français. Après son service militaire, il combat pendant la Première Guerre mondiale, durant laquelle il est blessé et emprisonné après avoir été soupçonné de désertion. Devenu ouvrier après la guerre, il devient syndicaliste et s'engage aux côtés du Parti communiste. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il s'oppose à l'occupation nazie, ce qui entraîne son arrestation en 1942. Il est déporté à Auschwitz, où il meurt.
Il est en revanche plus difficile de trouver des informations sur Georges Bruneau.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Déportés de la Seconde Guerre mondiale
Type : Commémoration
Adresse : Gare de Dijon-Ville, cour de la Gare, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : Passant... De 1940 à 1944 pour avoir voulu défendre leur liberté et la tienne aussi des milliers de Françaises et de Français sortis de la prison de Dijon furent embarqués sur les quais de cette gare à destination des camps de la mort hitlériens. Plus de la moitié ne sont jamais revenus. Souviens-toi !
Quelques précisions : La Seconde Guerre mondiale prélève un lourd tribut sur la population de Dijon et de ses environs. De nombreux Juifs, résistants et autres prisonniers de droit commun sont incarcérés dans la maison d'arrêt de Dijon et dans le fort d'Hauteville situé dans la banlieue de la ville, et ces installations pénitentiaires furent pour beaucoup un préalable à la déportation vers des camps de concentration depuis la gare. Cette plaque commémorative est située à côté d'une autre honorant les victimes de la Seconde Guerre mondiale.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Victimes de l'incendie du boulevard Vincent Auriol
Type : Commémoration, Lieu de décès
Adresse : 20 boulevard Vincent Auriol, 75013 Paris, France
Date de pose :
Texte : A la mémoire des 17 victimes qui ont succombé dans l'incendie de la nuit du 25 au 26 août 2005
Quelques précisions : L'incendie du boulevard Vincent Auriol est un incendie, vraisemblablement volontaire, ayant eu lieu à Paris dans la nuit du 25 au 26 août 2005. Il se produit dans le cadre d'une vague d'incendie à Paris, dans un immeuble en mauvais état et mal entretenu, principalement habité par des familles issues de l'immigration africaine (130 habitants en tout). Aggravé par la présence de planches hautement inflammables (installées contre la peinture au plomb de l'immeuble), l'incendie entraîne la mort de trois femmes et de quatorze enfants. L'auteur de l'incendie n'ayant jamais été identifié, seules la société qui gérait l'immeuble et celle responsable de la pose des planches sont jugées et condamnées à verser des amendes aux survivants. L'immeuble sera plus tard détruit et remplacé par un nouveau bâtiment (dans lequel aucun des survivants de l'incendie n'a souhaité être relogé).
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Claude Billod
Type : Lieu de naissance
Adresse : 8 rue du Palais, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : En cette maison est né le 10 novembre 1832 le légionnaire Billot Claude Jules qui fut l'un des héros du combat de Camerone de la Légion étrangère, blessé le 30 avril 1863 à Camerone, il décéda le 11 juin 1863 à Huatusco des suites de ses blessures
Quelques précisions : Claude Billod (1832-1863) est un militaire français. Incorporé à la Légion étrangère, il est visiblement connu pour ses accès de colère et sa forte propension à boire. Il prend part à la bataille de Camerone contre les troupes mexicaines. Il est grièvement blessé lors des affrontements et décède de ses blessures.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Victimes de la Seconde Guerre mondiale
Type : Commémoration
Adresse : Gare de Dijon-Ville, cour de la Gare, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : La République française en hommage aux victimes racistes et antisémites et des crimes contre l'humanité commis sous l'autorité de fait dite "gouvernement de l’État français" (1940 - 1944). N'oublions jamais
Quelques précisions : Lors de la Seconde Guerre mondiale, la ville de Dijon est occupée par les Allemands de juin 1940 à septembre 1944. Si la ville ne souffre guère de dégâts matériels en comparaison avec d'autres agglomérations françaises (seule la gare étant véritablement détruite), les persécutions contre les Juifs et les opposants y sont tout aussi féroces que dans le reste de la France. La Gestapo y dispose d'une forte implantation et planifie de nombreuses opérations de démantèlement des réseaux de la Résistance. Des mesures antisémites ont été mises en place, aboutissant à la persécution des Juifs, à des arrestations et à des déportations vers les camps de concentration nazis. Ainsi, la rafle de Dijon, en février 1944, verra la déportation de 87 hommes, femmes et enfants (une seule femme survivra). La ville est finalement libérée par les troupes alliés : la bataille y est légère, les Allemands ayant préféré battre en retraite. Cette plaque commémorative est située à côté d'une autre honorant les personnes parties en déportation depuis la gare de Dijon.
1 note · View note
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Olivier Danjean
Type : Lieu d'arrestation
Adresse : Place du Monument aux morts, 69220 Belleville-en-Beaujolais, France
Date de pose :
Texte : Ici fut arrêté par la Gestapo le gendarme Danjean Olivier, médaille militaire, déporté et assassiné à Flossenburg pour avoir servi la France
Quelques précisions : Pas d'autre information disponible pour le moment, à l'exception du fait qu'il fut arrêté à la suite d'une dénonciation.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Maurice Blondel
Type : Lieu de naissance
Adresse : 32 rue Chabot-Charny, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : Ici est né le 2-11-1861 le philosophe Maurice Blondel
Quelques précisions : Maurice Blondel (1861-1949) est un philosophe français, connu pour ses contributions à la philosophie de l'action et à la philosophie de la religion. Il est ainsi principalement reconnu pour son œuvre majeure, L'Action (1893), dans laquelle il développe sa philosophie de l'action et explore les implications de l'action humaine dans la connaissance et la réalité. Penseur à la fois influent et controversé, il critique les positions du rationalisme traditionnel, affirmant que la philosophie devait prendre en compte la dimension active de l'expérience humaine. Catholique pratiquant, il développe également une réflexion philosophique sur la relation entre la foi et la raison. Il explore la question de la relation entre l'homme et Dieu, s'efforçant de concilier la foi et la pensée rationnelle dans un contexte de changements sociaux et culturels importants. Au-delà de L'Action, il écrit d'autres ouvrages significatifs, notamment Histoire et dogme (1904) et Méthodes en philosophie et en science des religions (1935). Il laisse derrière lui un héritage philosophique et théologique durable. Son travail continue d'être étudié et débattu, en particulier dans les domaines de la philosophie de la religion, de la métaphysique et de la philosophie de l'action.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Cyprian Kamil Norwid
Type : Lieu de résidence
Adresse : 119 rue du Chevaleret, 75013 Paris, France
Date de pose :
Texte : Ici vécut de 1877 à sa mort le 23 mai 1883 Cyprian Kamil Norwid, poète polonais. "Bo pieśń nim dojrzy, człowiek nieraz skona, A niźli skona pieśń, naród pierw wstanie"
Quelques précisions : Cyprian Kamil Norwid (1821-1883) est un poète artiste et écrivain polonais. Voyageant beaucoup en Europe dans les années 1840 (il étudie aux Beaux-Arts de Florence), il s'installe à Paris en 1849. Il s'essaye à différentes formes d'art, dont la gravure et la sculpture, mais c'est aujourd'hui en tant que poète qu'il est principalement célébré, et il est ainsi considéré comme l'un des plus importants poètes polonais du XIXème siècle, avec des idées révolutionnaires pour l'époque (il évoque ainsi un possible conflit mondial qui préfigure la Première Guerre mondiale, ainsi que l'idée d'une réunification européenne). Vivant dans la misère, il s'installe à l'hospice de l'Œuvre Saint-Casimir, au fort héritage polonais, où il décède. Le texte en polonais de cette plaque renvoie à deux vers de son poème Do obywatela Johna Browna.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Chabot-Charny
Type : Œuvre
Adresse : 67 rue Chabot-Charny, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : En ce lieu fut l'hôtel où, dans un conseil mémorable, sur la motion de Jeannin, Chabot comte de Charny, lieutenant général en Bourgogne résolut de sauver cette province des massacres de la Saint-Barthélémy. Août MDLXXII
Quelques précisions : Léonor Chabot, dit Chabot-Charny (1525-1597) est un noble français. A la tête de plusieurs compagnies, il combat durant les guerres de Religion. Nommé lieutenant-général au gouvernement de Bourgogne, il jouit d'une certaine reconnaissance dans cette région pour avoir empêché la mort de nombreux protestants lors du massacre de la Saint-Barthélémy en 1572. La rue où est située cette plaque commémorative porte d'ailleurs son nom.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Louis-Bernard Guyton-Morveau
Type : Lieu de résidence
Adresse : 17 place Bossuet, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : Lis. Bard. Guyton de Morveau, membre de l'Institut, né à Dijon le 4 janvier 1737, a habité cet hôtel de 1768 à 1800, mort à Paris le 2 janvier 1816
Quelques précisions : Louis-Bernard Guyton-Morveau (1737-1816) est un chimiste et un homme politique français. Avocat général au barreau de Bourgogne avant la Révolution française, il prend part à cette dernière en étant élu député de Côte-d'Or en 1791. En parallèle, il conduit de nombreux travaux en chimie, participant à des travaux encyclopédiques et menant des expériences sur les aérostats. En 1799, il est nommé directeur de l’École polytechnique, poste qu'il occupe pendant une décennie. Une rue de Paris porte son nom.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Maxime Guillot
Type : Lieu de décès
Adresse : 2 place Saint-Bénigne, 21000 Dijon, France
Date de pose : 29 janvier 1984
Texte : Dijon à Maxime Guillot, né le IV janvier 1900 à Bruailles (71). Pionnier de la Résistance, responsable de parachutage (B.O.A.), blessé grièvement en ce lieu par la Gestapo le 29 janvier 1944. Il préféra s'achever plutôt que de tomber vivant aux mains de l'ennemi.
Quelques précisions : Maxime Guillot (1900-1944) est un résistant français. D'abord cheminot puis gérant d'un café-restaurant, il utilisera son établissement lors de la Seconde Guerre mondiale pour aider des prisonniers évadés à s'enfuir. Membre de la Résistance, il planifie diverses opérations de sabotage et s'engage dans le Bureau des opérations aériennes. Très recherché par la Gestapo, il est blessé en 1944 lors d'un affrontement puis dénoncé. Gravement blessé, il refuse d'être capturé vivant et se suicide d'une balle dans la tête.
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plaque en hommage à : Alfred Richet
Type : Lieu de naissance
Adresse : 6 rue Rameau, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : Ici est né le 16 mars 1816 Alfred Richet, anatomiste, chirurgien, professeur à la faculté de médecine de Paris, membre de l'Académie des sciences et de l'Académie de médecine
Quelques précisions : Alfred Richet (1816-1891) est un médecin français. Quittant Dijon pour Paris, condisciple de Claude Bernard, il est agrégé de la faculté de médecine en 1847 et devient président de la Société française de chirurgie en 1864. Auteur de plusieurs écrits sur l'anatomie et la chirurgie, dont un célèbre Traité pratique d’anatomie médico-chirurgicale, il devient en 1879 président de l'Académie de médecine. Son fils Charles, son petit-fils Charles et son arrière-petit-fils Gabriel seront également médecins. Une rue de Dijon porte son nom.
0 notes