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#Blanche Nef (naufrage)
jbrasseul · 2 years
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C'est une péninsule !
C’est une péninsule !
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idealconservateur · 5 years
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Les Normands et la mer
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Vue du phare de Gatteville, par Jean Louis Petit. Musée d’art Thomas-Henry à Cherbourg. On aperçoit en réalité deux phares, le plus petit (XVIIIe siècle) fut remplacé par son haut voisin en 1835. Ces vigies signalaient aux marins un endroit particulièrement dangereux : le raz de Barfleur. La Blanche Nef en 1120 et La Luna en 1860 y firent naufrage.
https://www.histoire-normandie.fr/les-normands-et-la-mer-13-a-leurs-risques-et-perils
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gillestechdrone · 4 years
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Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. Les courants forts au large de la pointe de Barfleur, et les nombreux naufrages (dont le plus célèbre est sans doute celui de la Blanche-Nef) rendent indispensable l'édification d'un phare. Les courants forts au large de la pointe de Barfleur, et les nombreux naufrages (dont le plus célèbre est sans doute celui de la Blanche-Nef) rendent indispensable l'édification d'un phare. En 1774, sous le règne de Louis XVI, la Chambre de commerce de Rouen décide donc de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon (issu des houillères de Littry1) était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée. Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide en 1825 d'ériger une nouvelle tour . L'architecte et ingénieur des ponts et chaussées Charles-Félix Morice de la Rue, sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. L'ancien phare devient sémaphore. Celui-ci est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 mai 2009, tandis que le phare et les bâtiments annexes sont classés au même titre par arrêté le 19 juin suivant. Caractéristiques • Description : tour cylindrique de 9,25 mètres de diamètre à la base et 6 mètres à la passerelle. • Hauteur : 74,85 mètres, le deuxième plus haut phare d'Europe. • Matériau : 11 000 blocs de granit pesant au total 7 400 tonnes. • Nombre de marches : 365 • Architecte : Charles-Félix Morice de la Rue • Électrification : 1893 Le phare comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Music: https://ift.tt/2wBb5QI by GillesTech
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iiimmx · 5 years
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« Ok. » C’est tout ce que je récolte et juste un instant, je le regarde désemparée. Le sourire sur ses lèvres me fait douter et pas de la meilleure façon qui soit. C’est un sourire qui semble honnête mais mystérieux à la fois. Comme si la réponse est coincée là, dans sa bouche, et qu’il fait tout pour la contenir. Je suis perdue mais ça, il ne le voit probablement pas parce qu’il est concentré sur la route. Ce n’est pas plus mal, cela nous évitera de rencontrer la rambarde de sécurité et surtout, cela me permettra de laisser le spectre de mes émotions changer aussi vite que le climat quand une tempête tropicale s’annonce.
Parce qu’un « ok » n’était pas assez, la sentence tombe. Les réponses que j’attends sont remises à plus tard et l’amertume grimpe dans ma gorge. Comme toujours, avec tout le monde ou presque, je n’ai le droit qu’au traitement du plus tard. L’excuse de la patience. Le plus souvent, dans ma famille, cela s’explique parce que l’avis de la petite dernière n’est pas important. Je ne suis qu’une enfant et ce que je pense importe peu puisque bientôt, je serai mariée ailleurs. On me juge aussi trop douce et trop naïve, alors on me préserve de tout ou de rien, cela dépend du contexte. Et puis, il y a d’autres cas, comme celui de Charles, qui me pense trop stupide pour être capable d’entendre la vérité ou qui juge que de toutes les façons, cela n’a pas d’importance.
Je regarde Julien en silence un battement de cils avant de ne rompre cette contemplation. Ce n’est pas la première fois que mes questions restent sans réponse. Ce n’est pas la première fois qu’il me demande d’être patiente. Alors que moi, pourtant, je m’applique toujours à lui répondre, à faire au mieux. Aucun mensonge, seulement l’envie d’être avec lui sans limites, de ne pas avoir de secrets. Le goût âpre dans ma bouche me pousse à serrer les lèvres et c’est une sensation similaire à la première fois que j’ai vu des marques sur mon corps après avoir été la proie des empressements de Charles.
L’humiliation. Voilà le sentiment qui s’installe dans ma poitrine alors que je me réinstalle moi-même comme il faut dans le siège face à la route. Moins près de lui, le dos droit comme lorsque je me fais remettre à ma place par mes aînés, les mains en nœud serré sur les cuisses. Je sens mon corps entier se remettre ‘à sa place’, alors que j’essaye de me convaincre que je ne devrais pas réagir comme ça.
Je ne devrais pas me sentir humiliée comme une enfant qui a été vexée, simplement parce que Julien me refuse des réponses immédiates. Pourtant, je le fais quand même. Parce que j’ai cru, peut-être naïvement, être autre chose à ses yeux. Comme je lui ai demandé dans cette tente dans le désert. Quand il me regarde, je ne veux plus être « la gentille et naïve Marie-Charlotte, celle dont on use et abuse ». Et c’est exactement ce que j’ai la sensation d’être maintenant. A tort probablement, mais à force de laisser planer le mystère et le silence, les questions se multiplient, et elles prennent parfois des chemins obscurs.
« D’accord. » Mon regard vrille et passe de mes mains à ce qui se défile derrière la fenêtre alors que mon ton est aussi neutre que possible. Je veux seulement que la conversation s’arrête là. L’ambiance est encore une fois passée du feu à la glace en un temps record et la distance établie entre nous me permet de m’isoler pour faire le tri dans les sentiments qui se pressent et éclatent comme des bulles dans mon cerveau. Je repars quelques jours en arrière. Voiture similaire, conducteur différent, paysage aux antipodes. Une atmosphère aussi lourde et violente alors que mes yeux peinent à gérer la vitesse à laquelle disparaît le décor quand mon corps bascule doucement contre le siège pour se reposer.
Le bruit de fond se précise et ce sont des cloches que j’entends sonner au loin. Loin, très loin. Elles sont accompagnées du bruit de la mer. Ce bruit réconfortant de l’eau qui va et vient et qui m’apaise plus rapidement que n’importe quoi. Les cloches par-dessus s’agitent et semblent décidées à annoncer quelque chose. J’ouvre enfin les yeux et la vue devant moi me coupe le souffle un instant. Comme la première fois. Le soleil brille sur cette petite église et je l’identifie très rapidement.
Saint-Ronan, sur l’île de Molène. Une église humble avec une croix de pierre et plus loin, dans le fond, des moulins à vents. Cette église, je la reconnais pour l’avoir visitée avec ma Grand-Maman enfant, avoir retenu son histoire. Elle est l’enfant d’une ancienne chapelle dédiée à la vierge Marie qui fut elle-même remplacée par une église balayée par une tempête pas loin de 100 ans après sa construction. Le vitrail représente Saint Renan revenant de Grande-Bretagne et débarquant sur l’île au Vè siècle. Et, caché, dans la nef, un trésor sous forme d’horloge offert par la Reine Victoria suite au naufrage du Drummond Castle.
L’instant qui suit, je me trouve dans l’église. Les cloches sonnent toujours, comme pour un mariage et pourtant, l’endroit est vide. Il n’y a pas âme qui vive ici. Pas une seule personne, sauf moi. Aventureuse, j’avance vers l’autel, attirée par le linge aux vagues blanches et rouges surmontées par des macles d’or qui est posé sur le bois de châtaigner blanchi. Ces armes ne me rappellent rien et j’approche, curieuse.
Le cercueil est ouvert et la surprise manque de me faire défaillir. Je suis là, sous mes propres yeux, morte mais un sourire éteint sur les lèvres. Il n’y a aucun doute possible. Sur ma tête, une couronne d’or et de fleurs fraîches qui ne ressemble en rien à quelque chose de réel car le métal et la nature se mélangent à la perfection. Une robe blanche de soie et de dentelle sur le corps, une robe qui ressemble plus à celle d’un mariage qu’à la tenue du dernier voyage. Les mains posées sur l’estomac qui ne se soulève plus au rythme régulier de la respiration, mon œil est attiré par le roc de fiançailles de Charles sur ma main. Droite. A gauche, mon annulaire ne brille pas alors qu’il est pourtant habillé d’une couronne de diamants et de saphirs noirs.
Le soleil tape sur les vitaux et vient baigner d’un arc-en-ciel l’édifice. La lumière ricoche et vient illuminer les pierres précieuses. Et contre toute attente, ce n’est pas le diamant blanc et pur qui est aveuglant.
J’ouvre les yeux, presque surprise d’être ici, dans cette voiture. Ce rêve, je le fais depuis quelques jours et à chaque fois que je me réveille, c’est Avenue M. Le diable dort à mes côtés dans la pénombre et c’est le seul moment où il n’est pas effrayant. A mes côtés, pas de diable. Julien est là, derrière son volant et la lumière est presque aussi aveuglante que celle de mon rêve. Je me redresse pour constater que tout est différent autour. Pourtant, je ne dis rien. Je garde le silence parce que je sais que Rome n’est plus qu’une question de secondes. Mes réponses aussi.
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