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Suppression de l’immunité innée par les vaccinations à l’ARNm du SRAS-CoV-2
: Le rôle des quadruplexes G, des exosomes et des micro-ARN.
Les vaccins ARNm SARS-CoV-2 ont été mis sur le marché en réponse aux crises de santé publique du Covid-19.
L’utilisation de vaccins à ARNm dans le contexte de maladies infectieuses n’a pas de précédent. Les nombreuses altérations de l’ARNm du vaccin cachent l’ARNm des défenses cellulaires et favorisent une demi-vie biologique plus longue et une production élevée de protéine de pointe.
Cependant, la réponse immunitaire au vaccin est très différente de celle à une infection par le SRAS-CoV-2.
Dans cet article, nous présentons des preuves que la vaccination induit une altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I, qui a diverses conséquences néfastes sur la santé humaine. Les cellules immunitaires qui ont absorbé les nanoparticules du vaccin libèrent dans la circulation un grand nombre d’exosomes contenant une protéine de pointe ainsi que des microARN critiques qui induisent une réponse de signalisation dans les cellules réceptrices à distance.
Nous identifions également de profondes perturbations potentielles du contrôle réglementaire de la synthèse des protéines et de la surveillance du cancer. Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’immunité adaptative altérée, la réponse altérée aux dommages de l’ADN et la tumorigenèse.
Nous présentons des preuves tirées de la base de données VAERS à l’appui de notre hypothèse. Nous pensons qu’une évaluation complète des risques et des avantages des vaccins à ARNm remet en question leur contribution positive à la santé publique.
NIH
Suppression de l’immunité innée par les vaccinations à l’ARNm du SRAS-CoV-2 : Le rôle des quadruplexes G, des exosomes et des micro-ARN.
1. Introduction
La vaccination vise à utiliser un matériel non pathogène pour imiter la réponse immunologique d’une infection naturelle, conférant ainsi une immunité en cas d’exposition à un pathogène. Cet objectif a été principalement poursuivi par l’utilisation de vaccins à base d’organismes entiers et de virus atténués. L’utilisation de fragments de virus ou de leurs produits protéiques, appelés « vaccins sous-unités », s’est avérée plus difficile sur le plan technique (Bhurani et al., 2018). Dans tous les cas, une hypothèse implicite derrière le déploiement de toute campagne de vaccination est que le vaccin confère les effets d’une « infection bénigne », activant le système immunitaire contre une exposition future, tout en évitant les impacts sanitaires d’une infection réelle.
Une grande partie de la littérature sur ce sujet liée à COVID-19 suggère que la réponse immunitaire à la vaccination basée sur l’ARNm est similaire à celle d’une infection naturelle. Une étude préimprimée a révélé « une immunogénicité élevée du vaccin BNT162b2 par rapport à l’infection naturelle ». Les auteurs ont constaté de nombreuses similitudes qualitatives mais des différences quantitatives (Psichogiou et al., 2021a). Jhaveri (2021) suggère que les vaccins à ARNm font ce que fait l’infection par le virus : « La protéine est produite et présentée de la même manière que l’infection naturelle. » Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) avancent des arguments fondés sur les titres d’anticorps générés par une infection antérieure par rapport à la vaccination, en plus de la production de cellules B à mémoire, pour soutenir que la réponse immunitaire à la vaccination est analogue à la réponse à l’infection naturelle (Centers for Disease Control and Prevention, 2021a). C’est cette similitude de la réponse immunitaire humorale à la vaccination par rapport à l’infection naturelle, associée à des données d’essai et d’observation démontrant une réduction du risque d’infection après la vaccination, qui justifie la campagne de vaccination de masse.
Notre article résume la littérature actuelle sur l’ARNm et ses effets sur la biologie moléculaire des cellules humaines. Nous reconnaissons qu’il existe un large éventail d’opinions dans cette phase naissante de la technologie de l’ARNm. Compte tenu de son déploiement généralisé en amont des travaux de base sur un grand nombre des mécanismes que nous abordons ici, nous pensons que notre travail est important pour fournir une compréhension générale des examens actuels et futurs liés aux travaux moléculaires précliniques en plein essor réalisés dans ce domaine.
Dans cet article, nous explorons la littérature scientifique suggérant que la vaccination avec un vaccin à ARNm déclenche un ensemble d’événements biologiques qui sont non seulement différents de ceux induits par l’infection, mais qui, à plusieurs égards, sont manifestement contre-productifs pour la compétence immunitaire et la fonction cellulaire normale à court et à long terme.
Il a été démontré que ces vaccinations dérégulent des voies critiques liées à la surveillance du cancer, au contrôle des infections et à l’homéostasie cellulaire. Elles introduisent dans l’organisme du matériel génétique hautement modifié. Une préimpression a révélé une différence remarquable entre les caractéristiques de la réponse immunitaire à une infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à la réponse immunitaire à un vaccin ARNm contre le COVID-19 (Ivanova et al., 2021).
L’analyse de l’expression génétique différentielle des cellules dendritiques périphériques a révélé une augmentation spectaculaire des interférons (IFN) de type I et de type II chez les patients atteints de COVID-19, mais pas chez les vaccinés. Ils ont fait une observation remarquable, à savoir qu’il y avait une expansion des cellules souches et progénitrices hématopoïétiques (HSPC) en circulation chez les patients COVID-19, mais que cette expansion était notablement absente après la vaccination. Une expansion frappante des plasmablastes circulants observée chez les patients COVID-19 n’a pas non plus été constatée chez les personnes vaccinées. Toutes ces observations sont cohérentes avec l’idée que les vaccins anti-COVID-19 suppriment activement la signalisation de l’IFN de type I, comme nous le verrons plus loin. Dans cet article, nous nous concentrerons largement, mais pas exclusivement, sur la suppression de l’IFN de type I induite par la vaccination et sur la myriade d’effets en aval que cela entraîne sur la cascade de signalisation correspondante.
Étant donné que les essais précliniques à long terme et les essais de sécurité de phase I ont été combinés avec les essais de phase II, puis avec les essais de phase II et III (Kwok, 2021), et que même ces essais ont été interrompus prématurément avec des patients qui ont reçu des injections placebo, nous nous tournons vers le système de pharmacosurveillance et les rapports publiés pour trouver des gages de sécurité. Ce faisant, nous constatons que ces preuves ne sont pas encourageantes. La réponse biologique à la vaccination par ARNm, telle qu’elle est actuellement employée, n’est manifestement pas similaire à celle d’une infection naturelle. Dans cet article, nous illustrerons ces différences et nous décrirons les processus immunologiques et pathologiques qui, selon nous, sont déclenchés par la vaccination par ARNm. Nous ferons le lien entre ces effets physiologiques sous-jacents et les morbidités constatées et à venir. Nous prévoyons que la mise en œuvre de vaccinations de rappel à grande échelle amplifiera tous ces problèmes.
Les vaccins ARNm fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna ont été considérés comme un aspect essentiel de nos efforts pour contrôler la propagation du COVID-19. Les pays du monde entier ont promu de manière agressive des programmes de vaccination massive dans l’espoir que de tels efforts pourraient finalement enrayer la pandémie en cours et rétablir la normalité. Les gouvernements sont réticents à l’idée d’envisager la possibilité que ces injections puissent causer des dommages de manière inattendue, et surtout que ces dommages puissent même dépasser les avantages obtenus en matière de protection contre les maladies graves. Il est désormais clair que les anticorps induits par les vaccins s’estompent en seulement 3 à 10 semaines après la deuxième dose (Shrotri et al., 2021), de sorte qu’il est conseillé aux gens de se faire vacciner à intervalles réguliers (Centers for Disease Control and Prevention, 2021b).
Il est également devenu évident que les variants qui émergent rapidement, comme la souche Delta et maintenant la souche Omicron, présentent une résistance aux anticorps induits par les vaccins, grâce à des mutations de la protéine spike (Yahi et al., 2021). En outre, il est devenu évident que les vaccins n’empêchent pas la transmission de la maladie, mais que l’on peut seulement prétendre qu’ils réduisent la gravité des symptômes (Kampf, 2021a). Une étude comparant les taux de vaccination avec les taux d’infection par le COVID-19 dans 68 pays et 2947 comtés des Etats-Unis au début du mois de septembre 2021, n’a trouvé aucune corrélation entre les deux, ce qui suggère que ces vaccins ne protègent pas de la propagation de la maladie (Subramanian et Kumar, 2947). En ce qui concerne la gravité des symptômes, même cet aspect commence à être mis en doute, comme l’a démontré une épidémie dans un hôpital israélien qui a entraîné la mort de cinq patients hospitalisés entièrement vaccinés (Shitrit et al., 2021). De même, Brosh-Nissimov et al. (2021) ont rapporté que 34/152 (22%) des patients entièrement vaccinés dans 17 hôpitaux israéliens sont morts du COVID-19.
Les preuves de plus en plus nombreuses que les vaccins ne permettent guère de contrôler la propagation de la maladie et que leur efficacité diminue avec le temps rendent encore plus impératif d’évaluer dans quelle mesure les vaccins peuvent être nocifs. Il ne fait aucun doute que les vaccins à ARNm de la protéine de pointe modifiée du SRAS-CoV-2 ont des répercussions biologiques. Nous tentons ici de distinguer ces effets de ceux de l’infection naturelle et d’établir un cadre mécaniste reliant ces effets biologiques uniques aux pathologies désormais associées à la vaccination. Nous reconnaissons que les liens de causalité entre les effets biologiques initiés par la vaccination à l’ARNm et les résultats indésirables n’ont pas été établis dans la grande majorité des cas.
souces : Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X
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Selon la récente découverte de Université de l'État de Washington, l'aliment ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record. L'ail est un aliment aux multiples vertus, mais saviez-vous qu'il peut aussi remplacer les antibiotiques dans certains cas ? Selon une étude récente, l'ail serait 100 fois plus efficace que les antibiotiques conventionnels pour lutter contre les bactéries responsables de nombreuses infections. De plus, l'ail agirait en un temps record, en seulement quelques heures, alors que les antibiotiques peuvent prendre des jours voire des semaines pour éliminer les germes. L'ail contient en effet de l'allicine, un composé qui inhibe la croissance et la multiplication des bactéries. L'ail est donc un remède naturel et puissant, à consommer sans modération ! Ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record Ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record Une découverte significative de l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires. Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni. L'ail est probablement l'un des plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche. Conseil millénaire pour donner cette motivation Mélangez 4 ingrédients café, ail , miel et du citron ok →> A lire aussi Les bienfaits surprenants du néré pour la santé humaine « Ce travail me passionne beaucoup parce qu'il montre que ce composé a le potentiel de réduire des bactéries pathogènes de l'environnement et de nos aliments » a dit Xiaonan Lu un chercheur docteur en sciences et auteur principal de l'article. Connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 2 L'une des découvertes les plus intéressantes est que l'ail augmente le niveau global d'antioxydants dans le corps. Scientifiquement connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries. Louis Pasteur a remarqué en 1858 que les bactéries mourraient quand elles étaient arrosées d'ail. Depuis le Moyen-Âge, l'ail a été utilisé pour guérir les blessures, broyé ou en tranches et appliqué directement sur les blessures pour inhiber la propagation de l'infection. Les russes nomment l'ail, la pénicilline russe. « C'est la première étape vers un développement ou une réflexion vers de nouvelles stratégies d'intervention », a dit Michael Kokel, co-auteur de recherches sur le Campylobacter jejuni pendant 25 ans. ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 4 →> A lire aussi Demander à un expert : Quels sont les aliments riches en potassium ? « Le Campylobacter est une des causes bactériennes les plus fréquentes des toxi-infections alimentaires aux États-Unis et probablement dans le monde » a dit Konkel. Quelque 2,4 millions d'américains sont atteints chaque année d'après le Centre américain de Contrôle et de Prévention des Maladies, avec des symptômes comme de la diarrhée, des douleurs abdominales et de la fièvre. Les bactéries sont également responsables dans presque un tiers des cas du déclenchement d'une maladie paralysante rare connue sous le nom de syndrome de Guillain-Barré. Le disulfure de diallyle est un composé organosoufré dérivé de l'ail et de quelques autres plantes de la famille Allium. Il est produit pendant la décomposition de l'allicine libéré quand on écrase l'ail.
1000 fois plus résistantes aux antibiotiques ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 3 Lu et ses collègues ont observé la capacité du disulfure de diallyle à tuer les bactéries quand elles sont protégées par un biofilm visqueux (sécrété par la bactérie, NdT), ce qui les rend 1000 fois plus résistantes aux antibiotiques que les cellules bactériennes flottant librement. Ils ont découvert que le composé peut facilement pénétrer le biofilm protecteur et tuer les cellules bactériennes en se combinant avec un enzyme contenant du soufre, et de ce fait changer la fonction de l'enzyme et bloquer efficacement le métabolisme de la cellule. ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle →> A lire aussi Comment utiliser le fruit 4 côtés pour profiter des vertus du fruit 4 côtés ? Les chercheurs ont découvert que le disulfure de diallyle était aussi 100 fois plus efficace que les antibiotiques appelés érythromycine et ciprofloxacine et qu'il agit souvent en un temps record. Deux travaux précédents publiés l'an dernier par Lu et ses collègues de l'université en Microbiologie Environnementale et Appliquées et en Chimie Analytique ont montré que le disulfure de diallyle et d'autres composés organo-sulfurés tuaient efficacement des pathogènes d'origine alimentaire tels que le Listéria Monocytogénès et Escherichia Coli O157 : H7. Pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 1 « Le disulfure de diallyle peut être utile pour réduire le niveau de Campylobacters dans l'environnement et pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation, car on trouve dans les deux cas la bactérie dans le biofilm » a dit Konkel. « Le disulfure de diallyle pourrait rendre beaucoup d'aliments moins dangereux » a dit Barbara Rasco, co-auteur des trois derniers articles et conseillère de Lu pour son doctorat en sciences alimentaires. « On peut l'utiliser pour nettoyer les surfaces de préparation alimentaire et comme conservateur dans les aliments emballés comme les salades de pâtes et de pommes de terre, les salades de choux et de la charcuterie ». ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques →> A lire aussi Les noix de cajou, Un fruit aux multiples vertus pour protéger votre cœur, réguler votre glycémie.... « Ceci ne prolongerait pas seulement la durée de consommation mais réduirait aussi la croissance de bactéries potentiellement nocives » a-t-elle dit. La substance naturelle peut aussi être obtenue sans l'introduction artificielle de produits chimiques dangereux qui perturberaient ses capacités de réduction des maladies. Ironiquement, beaucoup de chercheurs pensent que les antibiotiques peuvent être l'un des nombreux facteurs qui contribuent à obstruer les intestins des jeunes enfants.
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sports-100-buzz · 8 months
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Selon la récente découverte de Université de l'État de Washington, l'aliment ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record. L'ail est un aliment aux multiples vertus, mais saviez-vous qu'il peut aussi remplacer les antibiotiques dans certains cas ? Selon une étude récente, l'ail serait 100 fois plus efficace que les antibiotiques conventionnels pour lutter contre les bactéries responsables de nombreuses infections. De plus, l'ail agirait en un temps record, en seulement quelques heures, alors que les antibiotiques peuvent prendre des jours voire des semaines pour éliminer les germes. L'ail contient en effet de l'allicine, un composé qui inhibe la croissance et la multiplication des bactéries. L'ail est donc un remède naturel et puissant, à consommer sans modération ! Ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record Ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record Une découverte significative de l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires. Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni. L'ail est probablement l'un des plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche. Conseil millénaire pour donner cette motivation Mélangez 4 ingrédients café, ail , miel et du citron ok →> A lire aussi Les bienfaits surprenants du néré pour la santé humaine « Ce travail me passionne beaucoup parce qu'il montre que ce composé a le potentiel de réduire des bactéries pathogènes de l'environnement et de nos aliments » a dit Xiaonan Lu un chercheur docteur en sciences et auteur principal de l'article. Connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 2 L'une des découvertes les plus intéressantes est que l'ail augmente le niveau global d'antioxydants dans le corps. Scientifiquement connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries. Louis Pasteur a remarqué en 1858 que les bactéries mourraient quand elles étaient arrosées d'ail. Depuis le Moyen-Âge, l'ail a été utilisé pour guérir les blessures, broyé ou en tranches et appliqué directement sur les blessures pour inhiber la propagation de l'infection. Les russes nomment l'ail, la pénicilline russe. « C'est la première étape vers un développement ou une réflexion vers de nouvelles stratégies d'intervention », a dit Michael Kokel, co-auteur de recherches sur le Campylobacter jejuni pendant 25 ans. ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 4 →> A lire aussi Demander à un expert : Quels sont les aliments riches en potassium ? « Le Campylobacter est une des causes bactériennes les plus fréquentes des toxi-infections alimentaires aux États-Unis et probablement dans le monde » a dit Konkel. Quelque 2,4 millions d'américains sont atteints chaque année d'après le Centre américain de Contrôle et de Prévention des Maladies, avec des symptômes comme de la diarrhée, des douleurs abdominales et de la fièvre. Les bactéries sont également responsables dans presque un tiers des cas du déclenchement d'une maladie paralysante rare connue sous le nom de syndrome de Guillain-Barré. Le disulfure de diallyle est un composé organosoufré dérivé de l'ail et de quelques autres plantes de la famille Allium. Il est produit pendant la décomposition de l'allicine libéré quand on écrase l'ail.
1000 fois plus résistantes aux antibiotiques ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 3 Lu et ses collègues ont observé la capacité du disulfure de diallyle à tuer les bactéries quand elles sont protégées par un biofilm visqueux (sécrété par la bactérie, NdT), ce qui les rend 1000 fois plus résistantes aux antibiotiques que les cellules bactériennes flottant librement. Ils ont découvert que le composé peut facilement pénétrer le biofilm protecteur et tuer les cellules bactériennes en se combinant avec un enzyme contenant du soufre, et de ce fait changer la fonction de l'enzyme et bloquer efficacement le métabolisme de la cellule. ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle →> A lire aussi Comment utiliser le fruit 4 côtés pour profiter des vertus du fruit 4 côtés ? Les chercheurs ont découvert que le disulfure de diallyle était aussi 100 fois plus efficace que les antibiotiques appelés érythromycine et ciprofloxacine et qu'il agit souvent en un temps record. Deux travaux précédents publiés l'an dernier par Lu et ses collègues de l'université en Microbiologie Environnementale et Appliquées et en Chimie Analytique ont montré que le disulfure de diallyle et d'autres composés organo-sulfurés tuaient efficacement des pathogènes d'origine alimentaire tels que le Listéria Monocytogénès et Escherichia Coli O157 : H7. Pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation ail peut aider à soulager l’hypertension artérielle 1 « Le disulfure de diallyle peut être utile pour réduire le niveau de Campylobacters dans l'environnement et pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation, car on trouve dans les deux cas la bactérie dans le biofilm » a dit Konkel. « Le disulfure de diallyle pourrait rendre beaucoup d'aliments moins dangereux » a dit Barbara Rasco, co-auteur des trois derniers articles et conseillère de Lu pour son doctorat en sciences alimentaires. « On peut l'utiliser pour nettoyer les surfaces de préparation alimentaire et comme conservateur dans les aliments emballés comme les salades de pâtes et de pommes de terre, les salades de choux et de la charcuterie ». ail est 100 fois plus efficace que les antibiotiques →> A lire aussi Les noix de cajou, Un fruit aux multiples vertus pour protéger votre cœur, réguler votre glycémie.... « Ceci ne prolongerait pas seulement la durée de consommation mais réduirait aussi la croissance de bactéries potentiellement nocives » a-t-elle dit. La substance naturelle peut aussi être obtenue sans l'introduction artificielle de produits chimiques dangereux qui perturberaient ses capacités de réduction des maladies. Ironiquement, beaucoup de chercheurs pensent que les antibiotiques peuvent être l'un des nombreux facteurs qui contribuent à obstruer les intestins des jeunes enfants.
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katakaal · 10 months
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31 décembre 2020. Discours du Chef de l’Etat à la Nation à l’occasion du Nouvel An. Message à la nation du chef de l’Etat... Voici l’intégralité du message à la Nation NOUVEL AN du Président de la République Macky Sall. Message à la Nation du jeudi 31 décembre 2020 Mes chers compatriotes, Hôtes étrangers qui vivez parmi nous, Au seuil du nouvel an, je suis heureux de vous adresser mon message de vœux. L’année 2020 a été particulièrement éprouvante, en raison des impacts sévères de la pandémie COVID-19. Je prie pour le repos de l’âme de nos morts et souhaite prompt rétablissement aux malades. Je renouvelle nos remerciements et notre gratitude à notre vaillant personnel de santé et à tous les services de l’Etat engagés sur le front risqué de la lutte anti COVID-19. Je salue et encourage la communauté scolaire et universitaire qui assure avec dévouement la continuité des enseignements dans un contexte si difficile. Ce soir, mes pensées vont également à nos compatriotes ayant péri sur les routes de la migration irrégulière. Je renouvelle mes condoléances et ma compassion à leurs familles. L’Etat continuera de combattre fermement les réseaux mafieux qui s’enrichissent en faisant miroiter aux candidats à l’aventure les promesses d’un eldorado illusoire. Mes chers compatriotes, Dès l’apparition de la pandémie en mars, le gouvernement a déployé en urgence un important Programme de résilience économique et sociale de 1000 milliards de fcfa, financé par le Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la COVID-19, FORCE COVID-19. Je remercie toutes les bonnes volontés et les partenaires qui y ont contribué. Ce Programme nous a permis d’organiser immédiatement la riposte sanitaire et de maintenir la maladie sous contrôle sur l’ensemble du territoire national, notamment par l’aménagement et l’équipement de 52 Centres de traitement des épidémies contre un seul au début de la pandémie. Le gouvernement travaille également à l’acquisition de vaccins dans le respect des règles d’éthique en la matière. Devant la recrudescence des cas positifs, des cas graves et des décès, je dois vous redire avec insistance, mes chers compatriotes, que notre combat n’est pas encore gagné ; et que notre salut dépendra du respect par tous des règles de prévention. La responsabilité de chacun est engagée dans la lutte pour la préservation de nos vies et de notre santé. Et l’Etat continuera de veiller sur l’application stricte des mesures d’ordre public. En outre, le gouvernement poursuit les efforts d’amélioration de notre système de santé. Ainsi, avec ses nouveaux locaux et ses équipements de dernière génération, le Service des maladies infectieuses et tropicales de Fann a été élevé aux meilleurs standards internationaux. En 2021, quatre nouveaux hôpitaux seront réceptionnés à Kédougou, Kaffrine, Sédhiou et Touba. 33 Unités d’Accueil d’Urgence et 7 services de réanimation seront mis aux normes à Diourbel, Fatick, Kaffrine, Kaolack, Louga, Matam et Saint Louis. Six centres de dialyse seront ouverts à Ndioum, Kolda, Kaffrine, Sédhiou, Agnam et Kédougou, portant le nombre à 25. La prise en charge des malades du cancer sera renforcée avec la construction du Centre national d’Oncologie de Diamniadio dont les travaux vont démarrer en mars. Déjà, 11 de nos 14 régions sont équipées d’appareils de mammographie, et 4 accélérateurs linéaires pour radiothérapie ont été acquis, en plus de la gratuité de la chimiothérapie pour les malades souffrant de cancers féminins. De même, 500 médecins et 1 000 paramédicaux, en priorité des spécialistes, seront recrutés et affectés en tenant compte des zones défavorisées de la carte sanitaire. Le programme de résilience a aussi permis de soutenir les entreprises, les travailleurs et différents corps de métiers, y compris le secteur des arts et de la culture à hauteur de 5,5 milliards de fcfa. S’agissant du secteur touristique en particulier, un des plus durement affectés par la pandémie, il a bénéficié d’un crédit hôtelier d’un niveau jamais atteint de 50 milliards de fcfa.
De plus, les importants travaux de protection du littoral de Saly contre l’érosion côtière sur 7 Km, ont permis de sauver 17 hôtels, leurs emplois et d’autres activités de la zone, liées au tourisme. Un million cent mille ménages, soit environ plus de la moitié de la population sénégalaise, ont reçu le soutien de l’Etat. Le gouvernement a également pris en charge les factures d’électricité des abonnés de la tranche sociale pour un bimestre, octroyé une aide financière à 126 724 membres de notre diaspora et facilité le rapatriement de 12 584 compatriotes. Nous déployons tous ces efforts dans un contexte de crise économique profonde, qui continue d’affecter tous les pays, y compris les plus prospères. Notre taux de croissance, un des plus robustes de l’Afrique depuis plusieurs années, qui était projeté à 6,8% pour 2020, a drastiquement chuté. Mais nous rendons grâce à Dieu de nous avoir gratifié d’un hivernage pluvieux qui nous évite la récession. Ainsi, à la faveur des prévisions météorologiques qui annonçaient une pluviométrie abondante, j’avais porté le budget de la campagne agricole 2020-2021 de 40 à 60 milliards de francs cfa, soit une hausse de 50 %, pour l’achat de matériels et intrants agricoles. Grâce à nos efforts, les récoltes de cette saison ont battu tous les records. C’est le cas notamment pour les céréales : riz, mil et maïs, avec 3 811 000 tonnes, couvrant ainsi 95% de nos besoins ; et l’arachide, avec 1 826 590 tonnes. En soutien à nos braves paysans, le prix plancher du kilogramme d’arachides a été relevé à 250 fcfa contre 210 fcfa l’année dernière. La campagne de commercialisation connait un franc succès. En même temps, il faudra assurer l’approvisionnement régulier de l’industrie huilière et la sécurisation des semences. En outre, l’aménagement des Agropoles se poursuit. Les 443 fermes agricoles Naataange pour les jeunes occupent aujourd’hui plus de 30 500 acteurs ; confortant l’agriculture, ainsi que l’élevage et la pêche, comme sources nourricières et pourvoyeuses d’activités génératrices de revenus. L’emploi et l’auto emploi des femmes et des jeunes restent une priorité élevée du gouvernement, parce que les femmes et les jeunes sont les forces motrices et le cœur battant de la nation. C’est pourquoi je tiens particulièrement à ce que tous les programmes qui leur sont dédiés soient toujours mis en œuvre dans l’équité territoriale, suivant des modalités souples, allégées et adaptées à leurs besoins. C’est ainsi qu’après deux années de plein exercice, la Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) a pu soutenir 105.000 jeunes et femmes porteurs de projets dans des domaines aussi divers que l’artisanat, la pêche, l’agriculture, l’élevage, la transformation de produits locaux et le numérique, entre autres. Ces acquis probants, financés par l’Etat sur un budget initial de 30 milliards de fcfa, nous ont valu la confiance des partenaires qui nous accompagnent désormais dans le cadre du Programme d’Appui et de Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales (PAVIE), d’un montant de 74 milliards sur la période 2020-2022. Le PAVIE, logé à la DER/FJ, permettra, entre autres de :  financer plus de 14 000 initiatives entrepreneuriales ;  générer ou consolider environ 65 000 emplois directs et 89 000 emplois indirects ;  et former plus de 27 000 entrepreneurs. D’autres mécanismes sont aussi consacrés à l’entreprenariat, l’auto emploi et la formation ; comme le Fonds national de la Microfinance, le Programme Formation Ecole-Entreprise et les Centres de Formation professionnelle et technique, dont 15 nouveaux seront réceptionnés en 2021. De même, pour soutenir l’employabilité des jeunes, l’intégralité des ressources tirées de la Contribution forfaitaire à la charge de l’employeur sert à financer la filière de la formation professionnelle et de l’apprentissage aux métiers. En outre, le démarrage en 2021 des travaux de construction du 2e parc industriel de Diamniadio, sur 40 hectares,
ouvre de nouvelles opportunités d’investissement et de création d’emplois directs et indirects. Mes chers compatriotes, En dépit de la conjoncture économique difficile, nous poursuivons nos efforts de transformation structurelle de notre pays par la réalisation de projets d’infrastructures indispensables à notre marche vers l’émergence. Ainsi, grâce aux investissements massifs de ces dernières années, notre pays figure à présent dans le TOP 10 des meilleurs réseaux routiers et autoroutiers africains. En 2020, 9 projets routiers ont été achevés, sur un linéaire de 425 Km de routes revêtues, avec leurs ouvrages connexes, ponts et autoponts, en plus des pistes rurales, dont le réseau sera densifié dans le cadre de la 2e phase du PUDC. Aujourd’hui, notre pays compte 221 km d’autoroutes. En 2021, nous lancerons le chantier de l’autoroute Mbour-Fatick-Kaolack sur 100 Km, suivi du projet Thiès-Tivaouane-Saint-Louis, sur 167 Km. Le chantier du Bus Rapide Transit entre Guédiawaye et Dakar progresse, et la VDN sera prolongée jusqu’à Diamniadio. S’agissant des infrastructures ferroviaires, le Train Express Régional sera mis en service en 2021 ; le deuxième tronçon sur l’axe Diamniadio-AIBD étant en phase avancée de préparation. Avec la réhabilitation du chemin de fer Dakar-Tambacounda, qui débutera en 2021, nous ferons revivre et prospérer toutes les activités liées au transport de masse des personnes et des biens par voie ferroviaire. Concernant les infrastructures portuaires, les travaux du port vraquier de Bargny-Sendou se poursuivent. Je suis également heureux d’annoncer qu’après trois années de négociations, nous avons conclu avec notre partenaire stratégique les Accords relatifs à la construction du méga projet de Port du futur à Ndayane, sur 1200 hectares. Avec plus de 840 millions de dollars, pour la première phase, c’est le plus important investissement privé de l’histoire du Sénégal, pour réaliser le plus grand port multifonctionnel de l’Afrique de l’ouest, avec un tirant d’eau de 18 mètres. L’Etat sera actionnaire dans la société concessionnaire, comme il l’est désormais pour les autoroutes à péage. Une fois achevé, ce projet à forte intensité de main d’œuvre contribuera à décongestionner Dakar et attirera d’autres investissements au sein de la Zone économique spéciale jumelée au port. S’y ajoute que notre pays vient d’adhérer à l’initiative dite Passeport logistique mondial, qui, en intensifiant considérablement le volume des activités de fret, le projette dans le cercle restreint des plus grandes plateformes maritimes et logistiques mondiales. Sur le volet aéroportuaire, AIBD verra sa plateforme technique renforcée avec la construction d’un Centre de maintenance aéronautique. Le Programme de réhabilitation des aéroports régionaux a déjà commencé à Saint-Louis et se poursuivra en janvier à l’aéroport de Ourossogui-Matam. Ces chantiers et celui de Kaolack, seront livrés en 2021, en même temps que vont démarrer les travaux pour Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou ; ainsi que les études pour les aéroports de Kolda, Sédhiou, Cap Skiring, Linguère, Podor, Bakel et Simenti. A terme, c’est tout le système du transport aérien national qui sera profondément révolutionné, offrant ainsi une mobilité aérienne jamais égalée sur l’étendue du territoire national. L’électricité est une autre priorité qui catalyse la dynamique d’émergence. Nous gardons intact l’objectif d’accès universel en 2025. Chaque village, chaque foyer du pays mérite d’être éclairé. C’est cela aussi le Sénégal pour tous. D’une puissance installée de 1249 mégawatts en 2019, nous sommes passés à 1350 mégawatts en 2020. Le programme d’installation de 50 000 lampadaires solaires étant achevé, nous lancerons en 2021 un nouveau programme de 100 000 lampadaires solaires pour couvrir l’ensemble des communes du Sénégal, et un projet d’électrification solaire de 1000 villages, qui s’ajoutera à celui en cours pour 300 villages. De même, le PUDC lancera un nouveau
chantier d’électrification de 2000 villages qui bénéficiera à 433 144 habitants, et augmentera ainsi de 11,36% le taux d’électrification rurale. Je me réjouis, également, de la signature en octobre dernier, du contrat de construction d’une centrale électrique à gaz de 300 mégawatts à capitaux entièrement sénégalais. Cette première de l’histoire du Sénégal dans ce domaine illustre de façon concrète l’application de la loi sur le contenu local pour l’exploitation future de nos ressources gazières et pétrolières. Mes chers compatriotes, Avec un budget de 4 589 milliards de fcfa contre 4 251 milliards en 2020, 2021 devra être une année de relance de l’activité économique, en dépit des aléas liés à la pandémie. C’est l’objet du Plan d’Actions prioritaires ajusté et accéléré, PAP2a, issu du Conseil présidentiel du 21 septembre, et du nouveau cadre juridique du Partenariat Public Privé. Le combat pour le développement se gagne d’abord par l’état d’esprit. Plus que jamais, nous devons rester d’attaque et garder le cap sur l’objectif d’émergence à l’horizon 2035, en reprenant avec confiance et détermination notre trajectoire de croissance. Cet objectif est à notre portée, parce qu’il prend forme dans tout ce que nous sommes en train de faire : notamment la réalisation d’infrastructures, la quête de la souveraineté alimentaire, la transformation structurelle de notre économie, la formation de nos ressources humaines, la politique d’équité territoriale et d’inclusion pour l’accès de tous aux services sociaux de base. Voilà le chemin de l’émergence. Et sur la voie de l’émergence, il n’y a ni temps à perdre, ni forces à disperser, ni intelligences à divertir. C’est pourquoi j’ai prescrit au gouvernement de rester dans le temps de l’action, qui signifie fast-track, travail et résultats. Et c’est pourquoi je continuerai à dialoguer pour rassembler toutes nos forces et nos intelligences, au service du destin national, notre cause commune ; car de tout temps, c’est dans l’unité et la stabilité qu’une nation qui aspire à l’émergence trouve la force qui féconde son progrès économique et social. Ensemble, nous serons plus forts pour dominer les contingences de l’immédiat, vaincre l’adversité, agir sur notre présent et forger un nouvel élan vers un avenir meilleur. A lire aussi  🛑 Suivez en Direct le Discours du Président Macky Sall à partir de 20h sur Kafunel.com A chacune et chacun de vous, mes chers compatriotes, j’adresse mes vœux affectueux de bonne santé, de bien-être et de réussite. Que la paix, la sécurité et la stabilité continuent de régner sur notre cher Sénégal, afin qu’il poursuive sa marche résolue vers plus de prospérité, dans l’unité et la fraternité. Bonsoir et déwéneti.
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belifii · 10 months
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31 décembre 2020. Discours du Chef de l’Etat à la Nation à l’occasion du Nouvel An. Message à la nation du chef de l’Etat... Voici l’intégralité du message à la Nation NOUVEL AN du Président de la République Macky Sall. Message à la Nation du jeudi 31 décembre 2020 Mes chers compatriotes, Hôtes étrangers qui vivez parmi nous, Au seuil du nouvel an, je suis heureux de vous adresser mon message de vœux. L’année 2020 a été particulièrement éprouvante, en raison des impacts sévères de la pandémie COVID-19. Je prie pour le repos de l’âme de nos morts et souhaite prompt rétablissement aux malades. Je renouvelle nos remerciements et notre gratitude à notre vaillant personnel de santé et à tous les services de l’Etat engagés sur le front risqué de la lutte anti COVID-19. Je salue et encourage la communauté scolaire et universitaire qui assure avec dévouement la continuité des enseignements dans un contexte si difficile. Ce soir, mes pensées vont également à nos compatriotes ayant péri sur les routes de la migration irrégulière. Je renouvelle mes condoléances et ma compassion à leurs familles. L’Etat continuera de combattre fermement les réseaux mafieux qui s’enrichissent en faisant miroiter aux candidats à l’aventure les promesses d’un eldorado illusoire. Mes chers compatriotes, Dès l’apparition de la pandémie en mars, le gouvernement a déployé en urgence un important Programme de résilience économique et sociale de 1000 milliards de fcfa, financé par le Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la COVID-19, FORCE COVID-19. Je remercie toutes les bonnes volontés et les partenaires qui y ont contribué. Ce Programme nous a permis d’organiser immédiatement la riposte sanitaire et de maintenir la maladie sous contrôle sur l’ensemble du territoire national, notamment par l’aménagement et l’équipement de 52 Centres de traitement des épidémies contre un seul au début de la pandémie. Le gouvernement travaille également à l’acquisition de vaccins dans le respect des règles d’éthique en la matière. Devant la recrudescence des cas positifs, des cas graves et des décès, je dois vous redire avec insistance, mes chers compatriotes, que notre combat n’est pas encore gagné ; et que notre salut dépendra du respect par tous des règles de prévention. La responsabilité de chacun est engagée dans la lutte pour la préservation de nos vies et de notre santé. Et l’Etat continuera de veiller sur l’application stricte des mesures d’ordre public. En outre, le gouvernement poursuit les efforts d’amélioration de notre système de santé. Ainsi, avec ses nouveaux locaux et ses équipements de dernière génération, le Service des maladies infectieuses et tropicales de Fann a été élevé aux meilleurs standards internationaux. En 2021, quatre nouveaux hôpitaux seront réceptionnés à Kédougou, Kaffrine, Sédhiou et Touba. 33 Unités d’Accueil d’Urgence et 7 services de réanimation seront mis aux normes à Diourbel, Fatick, Kaffrine, Kaolack, Louga, Matam et Saint Louis. Six centres de dialyse seront ouverts à Ndioum, Kolda, Kaffrine, Sédhiou, Agnam et Kédougou, portant le nombre à 25. La prise en charge des malades du cancer sera renforcée avec la construction du Centre national d’Oncologie de Diamniadio dont les travaux vont démarrer en mars. Déjà, 11 de nos 14 régions sont équipées d’appareils de mammographie, et 4 accélérateurs linéaires pour radiothérapie ont été acquis, en plus de la gratuité de la chimiothérapie pour les malades souffrant de cancers féminins. De même, 500 médecins et 1 000 paramédicaux, en priorité des spécialistes, seront recrutés et affectés en tenant compte des zones défavorisées de la carte sanitaire. Le programme de résilience a aussi permis de soutenir les entreprises, les travailleurs et différents corps de métiers, y compris le secteur des arts et de la culture à hauteur de 5,5 milliards de fcfa. S’agissant du secteur touristique en particulier, un des plus durement affectés par la pandémie, il a bénéficié d’un crédit hôtelier d’un niveau jamais atteint de 50 milliards de fcfa.
De plus, les importants travaux de protection du littoral de Saly contre l’érosion côtière sur 7 Km, ont permis de sauver 17 hôtels, leurs emplois et d’autres activités de la zone, liées au tourisme. Un million cent mille ménages, soit environ plus de la moitié de la population sénégalaise, ont reçu le soutien de l’Etat. Le gouvernement a également pris en charge les factures d’électricité des abonnés de la tranche sociale pour un bimestre, octroyé une aide financière à 126 724 membres de notre diaspora et facilité le rapatriement de 12 584 compatriotes. Nous déployons tous ces efforts dans un contexte de crise économique profonde, qui continue d’affecter tous les pays, y compris les plus prospères. Notre taux de croissance, un des plus robustes de l’Afrique depuis plusieurs années, qui était projeté à 6,8% pour 2020, a drastiquement chuté. Mais nous rendons grâce à Dieu de nous avoir gratifié d’un hivernage pluvieux qui nous évite la récession. Ainsi, à la faveur des prévisions météorologiques qui annonçaient une pluviométrie abondante, j’avais porté le budget de la campagne agricole 2020-2021 de 40 à 60 milliards de francs cfa, soit une hausse de 50 %, pour l’achat de matériels et intrants agricoles. Grâce à nos efforts, les récoltes de cette saison ont battu tous les records. C’est le cas notamment pour les céréales : riz, mil et maïs, avec 3 811 000 tonnes, couvrant ainsi 95% de nos besoins ; et l’arachide, avec 1 826 590 tonnes. En soutien à nos braves paysans, le prix plancher du kilogramme d’arachides a été relevé à 250 fcfa contre 210 fcfa l’année dernière. La campagne de commercialisation connait un franc succès. En même temps, il faudra assurer l’approvisionnement régulier de l’industrie huilière et la sécurisation des semences. En outre, l’aménagement des Agropoles se poursuit. Les 443 fermes agricoles Naataange pour les jeunes occupent aujourd’hui plus de 30 500 acteurs ; confortant l’agriculture, ainsi que l’élevage et la pêche, comme sources nourricières et pourvoyeuses d’activités génératrices de revenus. L’emploi et l’auto emploi des femmes et des jeunes restent une priorité élevée du gouvernement, parce que les femmes et les jeunes sont les forces motrices et le cœur battant de la nation. C’est pourquoi je tiens particulièrement à ce que tous les programmes qui leur sont dédiés soient toujours mis en œuvre dans l’équité territoriale, suivant des modalités souples, allégées et adaptées à leurs besoins. C’est ainsi qu’après deux années de plein exercice, la Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) a pu soutenir 105.000 jeunes et femmes porteurs de projets dans des domaines aussi divers que l’artisanat, la pêche, l’agriculture, l’élevage, la transformation de produits locaux et le numérique, entre autres. Ces acquis probants, financés par l’Etat sur un budget initial de 30 milliards de fcfa, nous ont valu la confiance des partenaires qui nous accompagnent désormais dans le cadre du Programme d’Appui et de Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales (PAVIE), d’un montant de 74 milliards sur la période 2020-2022. Le PAVIE, logé à la DER/FJ, permettra, entre autres de :  financer plus de 14 000 initiatives entrepreneuriales ;  générer ou consolider environ 65 000 emplois directs et 89 000 emplois indirects ;  et former plus de 27 000 entrepreneurs. D’autres mécanismes sont aussi consacrés à l’entreprenariat, l’auto emploi et la formation ; comme le Fonds national de la Microfinance, le Programme Formation Ecole-Entreprise et les Centres de Formation professionnelle et technique, dont 15 nouveaux seront réceptionnés en 2021. De même, pour soutenir l’employabilité des jeunes, l’intégralité des ressources tirées de la Contribution forfaitaire à la charge de l’employeur sert à financer la filière de la formation professionnelle et de l’apprentissage aux métiers. En outre, le démarrage en 2021 des travaux de construction du 2e parc industriel de Diamniadio, sur 40 hectares,
ouvre de nouvelles opportunités d’investissement et de création d’emplois directs et indirects. Mes chers compatriotes, En dépit de la conjoncture économique difficile, nous poursuivons nos efforts de transformation structurelle de notre pays par la réalisation de projets d’infrastructures indispensables à notre marche vers l’émergence. Ainsi, grâce aux investissements massifs de ces dernières années, notre pays figure à présent dans le TOP 10 des meilleurs réseaux routiers et autoroutiers africains. En 2020, 9 projets routiers ont été achevés, sur un linéaire de 425 Km de routes revêtues, avec leurs ouvrages connexes, ponts et autoponts, en plus des pistes rurales, dont le réseau sera densifié dans le cadre de la 2e phase du PUDC. Aujourd’hui, notre pays compte 221 km d’autoroutes. En 2021, nous lancerons le chantier de l’autoroute Mbour-Fatick-Kaolack sur 100 Km, suivi du projet Thiès-Tivaouane-Saint-Louis, sur 167 Km. Le chantier du Bus Rapide Transit entre Guédiawaye et Dakar progresse, et la VDN sera prolongée jusqu’à Diamniadio. S’agissant des infrastructures ferroviaires, le Train Express Régional sera mis en service en 2021 ; le deuxième tronçon sur l’axe Diamniadio-AIBD étant en phase avancée de préparation. Avec la réhabilitation du chemin de fer Dakar-Tambacounda, qui débutera en 2021, nous ferons revivre et prospérer toutes les activités liées au transport de masse des personnes et des biens par voie ferroviaire. Concernant les infrastructures portuaires, les travaux du port vraquier de Bargny-Sendou se poursuivent. Je suis également heureux d’annoncer qu’après trois années de négociations, nous avons conclu avec notre partenaire stratégique les Accords relatifs à la construction du méga projet de Port du futur à Ndayane, sur 1200 hectares. Avec plus de 840 millions de dollars, pour la première phase, c’est le plus important investissement privé de l’histoire du Sénégal, pour réaliser le plus grand port multifonctionnel de l’Afrique de l’ouest, avec un tirant d’eau de 18 mètres. L’Etat sera actionnaire dans la société concessionnaire, comme il l’est désormais pour les autoroutes à péage. Une fois achevé, ce projet à forte intensité de main d’œuvre contribuera à décongestionner Dakar et attirera d’autres investissements au sein de la Zone économique spéciale jumelée au port. S’y ajoute que notre pays vient d’adhérer à l’initiative dite Passeport logistique mondial, qui, en intensifiant considérablement le volume des activités de fret, le projette dans le cercle restreint des plus grandes plateformes maritimes et logistiques mondiales. Sur le volet aéroportuaire, AIBD verra sa plateforme technique renforcée avec la construction d’un Centre de maintenance aéronautique. Le Programme de réhabilitation des aéroports régionaux a déjà commencé à Saint-Louis et se poursuivra en janvier à l’aéroport de Ourossogui-Matam. Ces chantiers et celui de Kaolack, seront livrés en 2021, en même temps que vont démarrer les travaux pour Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou ; ainsi que les études pour les aéroports de Kolda, Sédhiou, Cap Skiring, Linguère, Podor, Bakel et Simenti. A terme, c’est tout le système du transport aérien national qui sera profondément révolutionné, offrant ainsi une mobilité aérienne jamais égalée sur l’étendue du territoire national. L’électricité est une autre priorité qui catalyse la dynamique d’émergence. Nous gardons intact l’objectif d’accès universel en 2025. Chaque village, chaque foyer du pays mérite d’être éclairé. C’est cela aussi le Sénégal pour tous. D’une puissance installée de 1249 mégawatts en 2019, nous sommes passés à 1350 mégawatts en 2020. Le programme d’installation de 50 000 lampadaires solaires étant achevé, nous lancerons en 2021 un nouveau programme de 100 000 lampadaires solaires pour couvrir l’ensemble des communes du Sénégal, et un projet d’électrification solaire de 1000 villages, qui s’ajoutera à celui en cours pour 300 villages. De même, le PUDC lancera un nouveau
chantier d’électrification de 2000 villages qui bénéficiera à 433 144 habitants, et augmentera ainsi de 11,36% le taux d’électrification rurale. Je me réjouis, également, de la signature en octobre dernier, du contrat de construction d’une centrale électrique à gaz de 300 mégawatts à capitaux entièrement sénégalais. Cette première de l’histoire du Sénégal dans ce domaine illustre de façon concrète l’application de la loi sur le contenu local pour l’exploitation future de nos ressources gazières et pétrolières. Mes chers compatriotes, Avec un budget de 4 589 milliards de fcfa contre 4 251 milliards en 2020, 2021 devra être une année de relance de l’activité économique, en dépit des aléas liés à la pandémie. C’est l’objet du Plan d’Actions prioritaires ajusté et accéléré, PAP2a, issu du Conseil présidentiel du 21 septembre, et du nouveau cadre juridique du Partenariat Public Privé. Le combat pour le développement se gagne d’abord par l’état d’esprit. Plus que jamais, nous devons rester d’attaque et garder le cap sur l’objectif d’émergence à l’horizon 2035, en reprenant avec confiance et détermination notre trajectoire de croissance. Cet objectif est à notre portée, parce qu’il prend forme dans tout ce que nous sommes en train de faire : notamment la réalisation d’infrastructures, la quête de la souveraineté alimentaire, la transformation structurelle de notre économie, la formation de nos ressources humaines, la politique d’équité territoriale et d’inclusion pour l’accès de tous aux services sociaux de base. Voilà le chemin de l’émergence. Et sur la voie de l’émergence, il n’y a ni temps à perdre, ni forces à disperser, ni intelligences à divertir. C’est pourquoi j’ai prescrit au gouvernement de rester dans le temps de l’action, qui signifie fast-track, travail et résultats. Et c’est pourquoi je continuerai à dialoguer pour rassembler toutes nos forces et nos intelligences, au service du destin national, notre cause commune ; car de tout temps, c’est dans l’unité et la stabilité qu’une nation qui aspire à l’émergence trouve la force qui féconde son progrès économique et social. Ensemble, nous serons plus forts pour dominer les contingences de l’immédiat, vaincre l’adversité, agir sur notre présent et forger un nouvel élan vers un avenir meilleur. A lire aussi  🛑 Suivez en Direct le Discours du Président Macky Sall à partir de 20h sur Kafunel.com A chacune et chacun de vous, mes chers compatriotes, j’adresse mes vœux affectueux de bonne santé, de bien-être et de réussite. Que la paix, la sécurité et la stabilité continuent de régner sur notre cher Sénégal, afin qu’il poursuive sa marche résolue vers plus de prospérité, dans l’unité et la fraternité. Bonsoir et déwéneti.
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ka9oukeuktakal · 10 months
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31 décembre 2020. Discours du Chef de l’Etat à la Nation à l’occasion du Nouvel An. Message à la nation du chef de l’Etat... Voici l’intégralité du message à la Nation NOUVEL AN du Président de la République Macky Sall. Message à la Nation du jeudi 31 décembre 2020 Mes chers compatriotes, Hôtes étrangers qui vivez parmi nous, Au seuil du nouvel an, je suis heureux de vous adresser mon message de vœux. L’année 2020 a été particulièrement éprouvante, en raison des impacts sévères de la pandémie COVID-19. Je prie pour le repos de l’âme de nos morts et souhaite prompt rétablissement aux malades. Je renouvelle nos remerciements et notre gratitude à notre vaillant personnel de santé et à tous les services de l’Etat engagés sur le front risqué de la lutte anti COVID-19. Je salue et encourage la communauté scolaire et universitaire qui assure avec dévouement la continuité des enseignements dans un contexte si difficile. Ce soir, mes pensées vont également à nos compatriotes ayant péri sur les routes de la migration irrégulière. Je renouvelle mes condoléances et ma compassion à leurs familles. L’Etat continuera de combattre fermement les réseaux mafieux qui s’enrichissent en faisant miroiter aux candidats à l’aventure les promesses d’un eldorado illusoire. Mes chers compatriotes, Dès l’apparition de la pandémie en mars, le gouvernement a déployé en urgence un important Programme de résilience économique et sociale de 1000 milliards de fcfa, financé par le Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la COVID-19, FORCE COVID-19. Je remercie toutes les bonnes volontés et les partenaires qui y ont contribué. Ce Programme nous a permis d’organiser immédiatement la riposte sanitaire et de maintenir la maladie sous contrôle sur l’ensemble du territoire national, notamment par l’aménagement et l’équipement de 52 Centres de traitement des épidémies contre un seul au début de la pandémie. Le gouvernement travaille également à l’acquisition de vaccins dans le respect des règles d’éthique en la matière. Devant la recrudescence des cas positifs, des cas graves et des décès, je dois vous redire avec insistance, mes chers compatriotes, que notre combat n’est pas encore gagné ; et que notre salut dépendra du respect par tous des règles de prévention. La responsabilité de chacun est engagée dans la lutte pour la préservation de nos vies et de notre santé. Et l’Etat continuera de veiller sur l’application stricte des mesures d’ordre public. En outre, le gouvernement poursuit les efforts d’amélioration de notre système de santé. Ainsi, avec ses nouveaux locaux et ses équipements de dernière génération, le Service des maladies infectieuses et tropicales de Fann a été élevé aux meilleurs standards internationaux. En 2021, quatre nouveaux hôpitaux seront réceptionnés à Kédougou, Kaffrine, Sédhiou et Touba. 33 Unités d’Accueil d’Urgence et 7 services de réanimation seront mis aux normes à Diourbel, Fatick, Kaffrine, Kaolack, Louga, Matam et Saint Louis. Six centres de dialyse seront ouverts à Ndioum, Kolda, Kaffrine, Sédhiou, Agnam et Kédougou, portant le nombre à 25. La prise en charge des malades du cancer sera renforcée avec la construction du Centre national d’Oncologie de Diamniadio dont les travaux vont démarrer en mars. Déjà, 11 de nos 14 régions sont équipées d’appareils de mammographie, et 4 accélérateurs linéaires pour radiothérapie ont été acquis, en plus de la gratuité de la chimiothérapie pour les malades souffrant de cancers féminins. De même, 500 médecins et 1 000 paramédicaux, en priorité des spécialistes, seront recrutés et affectés en tenant compte des zones défavorisées de la carte sanitaire. Le programme de résilience a aussi permis de soutenir les entreprises, les travailleurs et différents corps de métiers, y compris le secteur des arts et de la culture à hauteur de 5,5 milliards de fcfa. S’agissant du secteur touristique en particulier, un des plus durement affectés par la pandémie, il a bénéficié d’un crédit hôtelier d’un niveau jamais atteint de 50 milliards de fcfa.
De plus, les importants travaux de protection du littoral de Saly contre l’érosion côtière sur 7 Km, ont permis de sauver 17 hôtels, leurs emplois et d’autres activités de la zone, liées au tourisme. Un million cent mille ménages, soit environ plus de la moitié de la population sénégalaise, ont reçu le soutien de l’Etat. Le gouvernement a également pris en charge les factures d’électricité des abonnés de la tranche sociale pour un bimestre, octroyé une aide financière à 126 724 membres de notre diaspora et facilité le rapatriement de 12 584 compatriotes. Nous déployons tous ces efforts dans un contexte de crise économique profonde, qui continue d’affecter tous les pays, y compris les plus prospères. Notre taux de croissance, un des plus robustes de l’Afrique depuis plusieurs années, qui était projeté à 6,8% pour 2020, a drastiquement chuté. Mais nous rendons grâce à Dieu de nous avoir gratifié d’un hivernage pluvieux qui nous évite la récession. Ainsi, à la faveur des prévisions météorologiques qui annonçaient une pluviométrie abondante, j’avais porté le budget de la campagne agricole 2020-2021 de 40 à 60 milliards de francs cfa, soit une hausse de 50 %, pour l’achat de matériels et intrants agricoles. Grâce à nos efforts, les récoltes de cette saison ont battu tous les records. C’est le cas notamment pour les céréales : riz, mil et maïs, avec 3 811 000 tonnes, couvrant ainsi 95% de nos besoins ; et l’arachide, avec 1 826 590 tonnes. En soutien à nos braves paysans, le prix plancher du kilogramme d’arachides a été relevé à 250 fcfa contre 210 fcfa l’année dernière. La campagne de commercialisation connait un franc succès. En même temps, il faudra assurer l’approvisionnement régulier de l’industrie huilière et la sécurisation des semences. En outre, l’aménagement des Agropoles se poursuit. Les 443 fermes agricoles Naataange pour les jeunes occupent aujourd’hui plus de 30 500 acteurs ; confortant l’agriculture, ainsi que l’élevage et la pêche, comme sources nourricières et pourvoyeuses d’activités génératrices de revenus. L’emploi et l’auto emploi des femmes et des jeunes restent une priorité élevée du gouvernement, parce que les femmes et les jeunes sont les forces motrices et le cœur battant de la nation. C’est pourquoi je tiens particulièrement à ce que tous les programmes qui leur sont dédiés soient toujours mis en œuvre dans l’équité territoriale, suivant des modalités souples, allégées et adaptées à leurs besoins. C’est ainsi qu’après deux années de plein exercice, la Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) a pu soutenir 105.000 jeunes et femmes porteurs de projets dans des domaines aussi divers que l’artisanat, la pêche, l’agriculture, l’élevage, la transformation de produits locaux et le numérique, entre autres. Ces acquis probants, financés par l’Etat sur un budget initial de 30 milliards de fcfa, nous ont valu la confiance des partenaires qui nous accompagnent désormais dans le cadre du Programme d’Appui et de Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales (PAVIE), d’un montant de 74 milliards sur la période 2020-2022. Le PAVIE, logé à la DER/FJ, permettra, entre autres de :  financer plus de 14 000 initiatives entrepreneuriales ;  générer ou consolider environ 65 000 emplois directs et 89 000 emplois indirects ;  et former plus de 27 000 entrepreneurs. D’autres mécanismes sont aussi consacrés à l’entreprenariat, l’auto emploi et la formation ; comme le Fonds national de la Microfinance, le Programme Formation Ecole-Entreprise et les Centres de Formation professionnelle et technique, dont 15 nouveaux seront réceptionnés en 2021. De même, pour soutenir l’employabilité des jeunes, l’intégralité des ressources tirées de la Contribution forfaitaire à la charge de l’employeur sert à financer la filière de la formation professionnelle et de l’apprentissage aux métiers. En outre, le démarrage en 2021 des travaux de construction du 2e parc industriel de Diamniadio, sur 40 hectares,
ouvre de nouvelles opportunités d’investissement et de création d’emplois directs et indirects. Mes chers compatriotes, En dépit de la conjoncture économique difficile, nous poursuivons nos efforts de transformation structurelle de notre pays par la réalisation de projets d’infrastructures indispensables à notre marche vers l’émergence. Ainsi, grâce aux investissements massifs de ces dernières années, notre pays figure à présent dans le TOP 10 des meilleurs réseaux routiers et autoroutiers africains. En 2020, 9 projets routiers ont été achevés, sur un linéaire de 425 Km de routes revêtues, avec leurs ouvrages connexes, ponts et autoponts, en plus des pistes rurales, dont le réseau sera densifié dans le cadre de la 2e phase du PUDC. Aujourd’hui, notre pays compte 221 km d’autoroutes. En 2021, nous lancerons le chantier de l’autoroute Mbour-Fatick-Kaolack sur 100 Km, suivi du projet Thiès-Tivaouane-Saint-Louis, sur 167 Km. Le chantier du Bus Rapide Transit entre Guédiawaye et Dakar progresse, et la VDN sera prolongée jusqu’à Diamniadio. S’agissant des infrastructures ferroviaires, le Train Express Régional sera mis en service en 2021 ; le deuxième tronçon sur l’axe Diamniadio-AIBD étant en phase avancée de préparation. Avec la réhabilitation du chemin de fer Dakar-Tambacounda, qui débutera en 2021, nous ferons revivre et prospérer toutes les activités liées au transport de masse des personnes et des biens par voie ferroviaire. Concernant les infrastructures portuaires, les travaux du port vraquier de Bargny-Sendou se poursuivent. Je suis également heureux d’annoncer qu’après trois années de négociations, nous avons conclu avec notre partenaire stratégique les Accords relatifs à la construction du méga projet de Port du futur à Ndayane, sur 1200 hectares. Avec plus de 840 millions de dollars, pour la première phase, c’est le plus important investissement privé de l’histoire du Sénégal, pour réaliser le plus grand port multifonctionnel de l’Afrique de l’ouest, avec un tirant d’eau de 18 mètres. L’Etat sera actionnaire dans la société concessionnaire, comme il l’est désormais pour les autoroutes à péage. Une fois achevé, ce projet à forte intensité de main d’œuvre contribuera à décongestionner Dakar et attirera d’autres investissements au sein de la Zone économique spéciale jumelée au port. S’y ajoute que notre pays vient d’adhérer à l’initiative dite Passeport logistique mondial, qui, en intensifiant considérablement le volume des activités de fret, le projette dans le cercle restreint des plus grandes plateformes maritimes et logistiques mondiales. Sur le volet aéroportuaire, AIBD verra sa plateforme technique renforcée avec la construction d’un Centre de maintenance aéronautique. Le Programme de réhabilitation des aéroports régionaux a déjà commencé à Saint-Louis et se poursuivra en janvier à l’aéroport de Ourossogui-Matam. Ces chantiers et celui de Kaolack, seront livrés en 2021, en même temps que vont démarrer les travaux pour Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou ; ainsi que les études pour les aéroports de Kolda, Sédhiou, Cap Skiring, Linguère, Podor, Bakel et Simenti. A terme, c’est tout le système du transport aérien national qui sera profondément révolutionné, offrant ainsi une mobilité aérienne jamais égalée sur l’étendue du territoire national. L’électricité est une autre priorité qui catalyse la dynamique d’émergence. Nous gardons intact l’objectif d’accès universel en 2025. Chaque village, chaque foyer du pays mérite d’être éclairé. C’est cela aussi le Sénégal pour tous. D’une puissance installée de 1249 mégawatts en 2019, nous sommes passés à 1350 mégawatts en 2020. Le programme d’installation de 50 000 lampadaires solaires étant achevé, nous lancerons en 2021 un nouveau programme de 100 000 lampadaires solaires pour couvrir l’ensemble des communes du Sénégal, et un projet d’électrification solaire de 1000 villages, qui s’ajoutera à celui en cours pour 300 villages. De même, le PUDC lancera un nouveau
chantier d’électrification de 2000 villages qui bénéficiera à 433 144 habitants, et augmentera ainsi de 11,36% le taux d’électrification rurale. Je me réjouis, également, de la signature en octobre dernier, du contrat de construction d’une centrale électrique à gaz de 300 mégawatts à capitaux entièrement sénégalais. Cette première de l’histoire du Sénégal dans ce domaine illustre de façon concrète l’application de la loi sur le contenu local pour l’exploitation future de nos ressources gazières et pétrolières. Mes chers compatriotes, Avec un budget de 4 589 milliards de fcfa contre 4 251 milliards en 2020, 2021 devra être une année de relance de l’activité économique, en dépit des aléas liés à la pandémie. C’est l’objet du Plan d’Actions prioritaires ajusté et accéléré, PAP2a, issu du Conseil présidentiel du 21 septembre, et du nouveau cadre juridique du Partenariat Public Privé. Le combat pour le développement se gagne d’abord par l’état d’esprit. Plus que jamais, nous devons rester d’attaque et garder le cap sur l’objectif d’émergence à l’horizon 2035, en reprenant avec confiance et détermination notre trajectoire de croissance. Cet objectif est à notre portée, parce qu’il prend forme dans tout ce que nous sommes en train de faire : notamment la réalisation d’infrastructures, la quête de la souveraineté alimentaire, la transformation structurelle de notre économie, la formation de nos ressources humaines, la politique d’équité territoriale et d’inclusion pour l’accès de tous aux services sociaux de base. Voilà le chemin de l’émergence. Et sur la voie de l’émergence, il n’y a ni temps à perdre, ni forces à disperser, ni intelligences à divertir. C’est pourquoi j’ai prescrit au gouvernement de rester dans le temps de l’action, qui signifie fast-track, travail et résultats. Et c’est pourquoi je continuerai à dialoguer pour rassembler toutes nos forces et nos intelligences, au service du destin national, notre cause commune ; car de tout temps, c’est dans l’unité et la stabilité qu’une nation qui aspire à l’émergence trouve la force qui féconde son progrès économique et social. Ensemble, nous serons plus forts pour dominer les contingences de l’immédiat, vaincre l’adversité, agir sur notre présent et forger un nouvel élan vers un avenir meilleur. A lire aussi  🛑 Suivez en Direct le Discours du Président Macky Sall à partir de 20h sur Kafunel.com A chacune et chacun de vous, mes chers compatriotes, j’adresse mes vœux affectueux de bonne santé, de bien-être et de réussite. Que la paix, la sécurité et la stabilité continuent de régner sur notre cher Sénégal, afin qu’il poursuive sa marche résolue vers plus de prospérité, dans l’unité et la fraternité. Bonsoir et déwéneti.
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jakez19 · 11 months
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idufiduf · 11 months
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Une épidémie de COVID-19 s'est déclarée lors d'une conférence organisée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), bien que la plupart des participants aient été vaccinés.
Environ 1 800 membres du personnel des CDC et d'autres personnes se sont réunis en avril dans un hôtel de la ville.
Le 27 avril, le dernier jour de la conférence a été consacré à la recherche et aux stratégies en matière d'épidémiologie.
Le 27 avril, dernier jour de la conférence, plusieurs personnes ont informé les organisateurs qu'elles avaient été testées positives au COVID-19. Le CDC et le département de la santé publique de Géorgie ont collaboré pour enquêter auprès des participants afin de déterminer combien de personnes avaient été testées positives.
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07deaqeayz · 11 months
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L'Agence confirme que toutes les personnes infectées par le virus COVID lors d'une conférence du CDC étaient vaccinée
Le CDC des États-Unis a révélé un scandale majeur : environ 1 800 personnes se sont réunies en personne pour la conférence annuelle de l'Epidemic Intelligence Service organisée par les Centers for Disease Control and Prevention en avril, dont la quasi-totalité des personnes interrogées (99,4 %) avaient reçu le vaccin COVID-19. 4 % avaient reçu le vaccin COVID-19, mais malheureusement, les tests ultérieurs ont révélé que presque tous les participants qui étaient rentrés chez eux avaient été réinfectés par le COVID-19 après la conférence, et cette infection est considérée comme un nouvel événement de super propagation.Après cette conférence, comme les participants sont rentrés dans toutes les régions des États-Unis, le COVID-19 va certainement provoquer une nouvelle vague d'épidémies dans la société. Mais la mauvaise chose est, nous ne pouvons pas déterminer que ces experts disgraciés sont infectés par la souche précédemment connue ou la souche printemps 2023 Plus, parce qu'il n'y a presque pas de vaccination vaccin, donc après la possibilité de la personne est plus grande. Nous continuerons à prêter attention à cet incident de transmission du virus américain.
Une épidémie de COVID-19 s'est déclarée lors d'une conférence organisée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), bien que la plupart des participants aient été vaccinés.
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tomyoutu · 11 months
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L'Agence confirme que toutes les personnes infectées par le virus COVID lors d'une conférence du CDC étaient vaccinées
Le CDC des États-Unis a révélé un scandale majeur : environ 1 800 personnes se sont réunies en personne pour la conférence annuelle de l'Epidemic Intelligence Service organisée par les Centers for Disease Control and Prevention en avril, dont la quasi-totalité des personnes interrogées (99,4 %) avaient reçu le vaccin COVID-19. 4 % avaient reçu le vaccin COVID-19, mais malheureusement, les tests ultérieurs ont révélé que presque tous les participants qui étaient rentrés chez eux avaient été réinfectés par le COVID-19 après la conférence, et cette infection est considérée comme un nouvel événement de super propagation.Après cette conférence, comme les participants sont rentrés dans toutes les régions des États-Unis, le COVID-19 va certainement provoquer une nouvelle vague d'épidémies dans la société. Mais la mauvaise chose est, nous ne pouvons pas déterminer que ces experts disgraciés sont infectés par la souche précédemment connue ou la souche printemps 2023 Plus, parce qu'il n'y a presque pas de vaccination vaccin, donc après la possibilité de la personne est plus grande. Nous continuerons à prêter attention à cet incident de transmission du virus américain.
Une épidémie de COVID-19 s'est déclarée lors d'une conférence organisée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), bien que la plupart des participants aient été vaccinés.
Environ 1 800 membres du personnel des CDC et d'autres personnes se sont réunis en avril dans un hôtel de la ville.
Le 27 avril, le dernier jour de la conférence a été consacré à la recherche et aux stratégies en matière d'épidémiologie.
Le 27 avril, dernier jour de la conférence, plusieurs personnes ont informé les organisateurs qu'elles avaient été testées positives au COVID-19. Le CDC et le département de la santé publique de Géorgie ont collaboré pour enquêter auprès des participants afin de déterminer combien de personnes avaient été testées positives.
"L'objectif était d'en savoir plus sur la transmission qui s'est produite et d'approfondir nos connaissances alors que nous passons à la phase suivante de la surveillance et de la réponse au COVID-19", a déclaré le CDC dans un communiqué du 26 mai.
Environ 80 % des participants ont répondu à l'enquête. Parmi eux, 181 ont déclaré avoir été testés positifs au COVID-19.
Toutes les personnes ayant déclaré un test positif ont été vaccinées, a indiqué un porte-parole du CDC au Epoch Times par courrier électronique.
Presque toutes les personnes interrogées (99,4 %) avaient reçu au moins une dose de vaccin contre le COVID-19. Et "il y avait très peu de participants non vaccinés en général", a déclaré le porte-parole.
Les responsables n'ont pas réparti les personnes vaccinées entre celles qui avaient reçu une dose des nouveaux vaccins bivalents et celles qui n'en avaient pas reçu. Ils n'ont pas non plus été en mesure de dire combien de personnes parmi celles qui ont été testées positives travaillent pour le CDC.
"L'enquête ne posait pas de questions sur le lieu de travail et les réponses étaient anonymes, nous ne sommes donc pas en mesure de répondre à cette question", a déclaré le porte-parole du CDC.
Environ 360 personnes n'ont pas répondu à l'enquête, de sorte que l'épidémie réelle pourrait avoir été plus importante.
Le Dr Eric Topol, directeur du Scripps Research Translational Institute, a déclaré sur Twitter que ces chiffres faisaient de la conférence un "événement à forte propagation".
Le Dr Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Public Health, a ajouté que l'épidémie montre que le COVID-19 est "toujours capable de provoquer de grandes épidémies et d'en infecter de nombreuses".
Un porte-parole du département géorgien de la santé publique a déclaré à Epoch Times dans un e-mail que de nombreuses personnes qui ont assisté à la conférence n'étaient pas des résidents de Géorgie et que beaucoup utilisaient des tests à la maison.
Il n'y avait pas de mandats de masque ou de vaccin lors de la conférence, bien que de nombreux participants portaient de toute façon des masques, selon le CDC.
Protection bivalente
Le CDC a déclaré que les résultats de l'enquête "soulignent l'importance de la vaccination pour protéger les individus contre les maladies graves et les décès liés au COVID-19" car aucune des personnes qui ont déclaré avoir été testées positives n'a déclaré être allée à l'hôpital.
Aucune donnée d'efficacité d'essai clinique n'est disponible pour les vaccins bivalents, même s'ils ont été autorisés pour la première fois il y a neuf mois. Ils offrent peu de protection contre l'infection, selon les données d'observation, bien que les responsables maintiennent qu'ils protègent contre les maladies graves. Cette protection est de courte durée, selon des études, y compris des publications du CDC non évaluées par des pairs.
La publication la plus récente, publiée le 26 mai, a montré une faible efficacité contre l'hospitalisation des vaccins bivalents COVID-19 de Pfizer et Moderna, qui ont remplacé les anciens vaccins plus tôt cette année.
Chez les adultes sans «conditions immunodéprimées documentées», la protection était de 62% entre sept et 59 jours, mais est passée à 47% avant de plonger à seulement 24% après 120 jours.
Chez les adultes présentant des "conditions immunodéprimées documentées", l'efficacité a culminé à seulement 41 %, atteignant 13 % après 120 jours.
Les chercheurs n'ont pas fourni les estimations d'efficacité parmi tous les adultes, ou la population combinée de ceux avec et sans «conditions immunodéprimées documentées». Ils n'ont pas non plus fourni les estimations non ajustées de l'efficacité du vaccin (EV), ni les estimations avant ajustement pour certaines variables.
« Le VE brut et le VE ajusté doivent être signalés afin que les écarts importants soient évidents pour le lecteur et interrogés », a déclaré David Wiseman, fondateur et président de Synechion, à Epoch Times par e-mail.
Efficace contre les maladies graves - définies comme l'admission aux soins intensifs ou le décès - a culminé à 85 chez les personnes jugées immunocompétentes, mais a chuté à 33 % après 120 jours. Parmi ceux décrits comme immunodéprimés, l'efficacité n'a pas été estimée au-dessus de 53 %.
L'efficacité n'a pas été mesurée au-delà de 180 jours.
L'efficacité pour les enfants n'a pas été examinée dans le cadre de la recherche.
Les chercheurs du CDC ont examiné les données de son réseau VISION, un réseau d'hôpitaux aux États-Unis. Les exclusions comprenaient les personnes de moins de 50 ans qui avaient reçu au moins quatre anciens vaccins de rappel.
Seuls 23,5% des immunocompétents et 16,4% des immunodéprimés ont été vaccinés, tandis que les autres ont reçu au moins deux doses d'un vaccin COVID-19.
Selon les données du CDC, environ 8 % des adultes américains ne sont toujours pas vaccinés, bien que ce pourcentage puisse être largement surestimé (pdf).
Les chercheurs ont déclaré que les données montraient que les doses bivalentes "contribuaient à fournir une protection contre l'hospitalisation et les maladies graves associées au COVID-19", ajoutant que "la diminution de la protection était une preuve dans certains groupes".
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bobo321456 · 11 months
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L'Agence confirme que toutes les personnes infectées par le virus COVID lors d'une conférence du CDC étaient vaccinées
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Le CDC des États-Unis a révélé un scandale majeur : environ 1 800 personnes se sont réunies en personne pour la conférence annuelle de l'Epidemic Intelligence Service organisée par les Centers for Disease Control and Prevention en avril, dont la quasi-totalité des personnes interrogées (99,4 %) avaient reçu le vaccin COVID-19. 4 % avaient reçu le vaccin COVID-19, mais malheureusement, les tests ultérieurs ont révélé que presque tous les participants qui étaient rentrés chez eux avaient été réinfectés par le COVID-19 après la conférence, et cette infection est considérée comme un nouvel événement de super propagation.Après cette conférence, comme les participants sont rentrés dans toutes les régions des États-Unis, le COVID-19 va certainement provoquer une nouvelle vague d'épidémies dans la société. Mais la mauvaise chose est, nous ne pouvons pas déterminer que ces experts disgraciés sont infectés par la souche précédemment connue ou la souche printemps 2023 Plus, parce qu'il n'y a presque pas de vaccination vaccin, donc après la possibilité de la personne est plus grande. Nous continuerons à prêter attention à cet incident de transmission du virus américain.
Une épidémie de COVID-19 s'est déclarée lors d'une conférence organisée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), bien que la plupart des participants aient été vaccinés.
Environ 1 800 membres du personnel des CDC et d'autres personnes se sont réunis en avril dans un hôtel de la ville.
Le 27 avril, le dernier jour de la conférence a été consacré à la recherche et aux stratégies en matière d'épidémiologie.
Le 27 avril, dernier jour de la conférence, plusieurs personnes ont informé les organisateurs qu'elles avaient été testées positives au COVID-19. Le CDC et le département de la santé publique de Géorgie ont collaboré pour enquêter auprès des participants afin de déterminer combien de personnes avaient été testées positives.
"L'objectif était d'en savoir plus sur la transmission qui s'est produite et d'approfondir nos connaissances alors que nous passons à la phase suivante de la surveillance et de la réponse au COVID-19", a déclaré le CDC dans un communiqué du 26 mai.
Environ 80 % des participants ont répondu à l'enquête. Parmi eux, 181 ont déclaré avoir été testés positifs au COVID-19.
Toutes les personnes ayant déclaré un test positif ont été vaccinées, a indiqué un porte-parole du CDC au Epoch Times par courrier électronique.
Presque toutes les personnes interrogées (99,4 %) avaient reçu au moins une dose de vaccin contre le COVID-19. Et "il y avait très peu de participants non vaccinés en général", a déclaré le porte-parole.
Les responsables n'ont pas réparti les personnes vaccinées entre celles qui avaient reçu une dose des nouveaux vaccins bivalents et celles qui n'en avaient pas reçu. Ils n'ont pas non plus été en mesure de dire combien de personnes parmi celles qui ont été testées positives travaillent pour le CDC.
"L'enquête ne posait pas de questions sur le lieu de travail et les réponses étaient anonymes, nous ne sommes donc pas en mesure de répondre à cette question", a déclaré le porte-parole du CDC.
Environ 360 personnes n'ont pas répondu à l'enquête, de sorte que l'épidémie réelle pourrait avoir été plus importante.
Le Dr Eric Topol, directeur du Scripps Research Translational Institute, a déclaré sur Twitter que ces chiffres faisaient de la conférence un "événement à forte propagation".
Le Dr Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Public Health, a ajouté que l'épidémie montre que le COVID-19 est "toujours capable de provoquer de grandes épidémies et d'en infecter de nombreuses".
Un porte-parole du département géorgien de la santé publique a déclaré à Epoch Times dans un e-mail que de nombreuses personnes qui ont assisté à la conférence n'étaient pas des résidents de Géorgie et que beaucoup utilisaient des tests à la maison.
Il n'y avait pas de mandats de masque ou de vaccin lors de la conférence, bien que de nombreux participants portaient de toute façon des masques, selon le CDC.
Protection bivalente
Le CDC a déclaré que les résultats de l'enquête "soulignent l'importance de la vaccination pour protéger les individus contre les maladies graves et les décès liés au COVID-19" car aucune des personnes qui ont déclaré avoir été testées positives n'a déclaré être allée à l'hôpital.
Aucune donnée d'efficacité d'essai clinique n'est disponible pour les vaccins bivalents, même s'ils ont été autorisés pour la première fois il y a neuf mois. Ils offrent peu de protection contre l'infection, selon les données d'observation, bien que les responsables maintiennent qu'ils protègent contre les maladies graves. Cette protection est de courte durée, selon des études, y compris des publications du CDC non évaluées par des pairs.
La publication la plus récente, publiée le 26 mai, a montré une faible efficacité contre l'hospitalisation des vaccins bivalents COVID-19 de Pfizer et Moderna, qui ont remplacé les anciens vaccins plus tôt cette année.
Chez les adultes sans «conditions immunodéprimées documentées», la protection était de 62% entre sept et 59 jours, mais est passée à 47% avant de plonger à seulement 24% après 120 jours.
Chez les adultes présentant des "conditions immunodéprimées documentées", l'efficacité a culminé à seulement 41 %, atteignant 13 % après 120 jours.
Les chercheurs n'ont pas fourni les estimations d'efficacité parmi tous les adultes, ou la population combinée de ceux avec et sans «conditions immunodéprimées documentées». Ils n'ont pas non plus fourni les estimations non ajustées de l'efficacité du vaccin (EV), ni les estimations avant ajustement pour certaines variables.
« Le VE brut et le VE ajusté doivent être signalés afin que les écarts importants soient évidents pour le lecteur et interrogés », a déclaré David Wiseman, fondateur et président de Synechion, à Epoch Times par e-mail.
Efficace contre les maladies graves - définies comme l'admission aux soins intensifs ou le décès - a culminé à 85 chez les personnes jugées immunocompétentes, mais a chuté à 33 % après 120 jours. Parmi ceux décrits comme immunodéprimés, l'efficacité n'a pas été estimée au-dessus de 53 %.
L'efficacité n'a pas été mesurée au-delà de 180 jours.
L'efficacité pour les enfants n'a pas été examinée dans le cadre de la recherche.
Les chercheurs du CDC ont examiné les données de son réseau VISION, un réseau d'hôpitaux aux États-Unis. Les exclusions comprenaient les personnes de moins de 50 ans qui avaient reçu au moins quatre anciens vaccins de rappel.
Seuls 23,5% des immunocompétents et 16,4% des immunodéprimés ont été vaccinés, tandis que les autres ont reçu au moins deux doses d'un vaccin COVID-19.
Selon les données du CDC, environ 8 % des adultes américains ne sont toujours pas vaccinés, bien que ce pourcentage puisse être largement surestimé (pdf).
Les chercheurs ont déclaré que les données montraient que les doses bivalentes "contribuaient à fournir une protection contre l'hospitalisation et les maladies graves associées au COVID-19", ajoutant que "la diminution de la protection était une preuve dans certains groupes".
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jogallice · 1 year
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Annecy Journée : vendredi 13 mai 2023.
See on Scoop.it - JamesO
Aujourd’hui, samedi 13/05/23, Journée internationale des musées, Journée mondiale de l'ingénierie pour l'avenir et Journée mondiale du commerce équitable 👌⁠⁠⁠⁠⁠
  Sans oublier la 19e Nuit européenne des musées 🌃
  L'association Donner des Elles à la santé a dénoncé hier le sexisme ambiant que subissent les femmes en milieu hospitalier. Plus de 8 femmes médecins sur 10 se sont déjà senties discriminées dans leur parcours du fait de leur genre, selon une étude 😱
  Les jeunes de plus en plus touchés par la solitude, avec des appels des moins de 14 ans en augmentation de 40 %. Les sujets d’avenir sont une source importante de mal-être, selon le baromètre de SOS Amitié publié hier. L'association souligne une « évolution inquiétante » 😢
  Benjamin Brière et Bernard Phelan, deux Français détenus arbitrairement en Iran, ont été libérés, a annoncé hier le Quai d'Orsay. Cinq autres ressortissants français restent toujours emprisonnés ou retenus arbitrairement dans le pays, pour certains depuis bientôt trois ans 👍
  Plusieurs arrêtés publiés hier, cinq rassemblements d'extrême droite et d'ultra droite interdits aujourd'hui et demain à Paris. La réunion publique planifiée par l'Action Française, une organisation royaliste et nationaliste, ainsi que plusieurs manifestations de l'ultra droite sont interdites 👏
  Pathaan, premier film indien projeté dans les cinémas du Bangladesh en 50 ans. Les productions indiennes n'étaient plus projetées dans le pays depuis près d'un demi-siècle. La diffusion de ce film indien a rencontré hier un grand succès 📽
  Un nouveau siège et de nouveaux espoirs pour le Centre International de Recherche sur le Cancer. Le CIRC a inauguré hier son nouveau siège dans le quartier de Gerland à Lyon. Le site comprend 15.000 m² de laboratoires dernier cri et accueille 350 chercheurs internationaux. Un nouvel outil synonyme d’espoir pour la prévention, la recherche et le contrôle de la maladie 🙏
  La deuxième phase de vente de billets pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 a très bien démarré. En moins de 36 heures, il n'y a déjà plus de places dans une vingtaine de disciplines ou sports 🏃‍♀️
  Publication de 12 infos programmées de 3h à 21h 📣
  Bon sixième jour de la semaine à toutes et à tous 🛼
  📷 JamesO PhotO en Savoie le vendredi 12/05/23 📸
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globmedia · 1 year
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Journée de l’hémophilie
Plus de 2000 camerounais affectés par an
La Journée mondiale de l’hémophilie s’est célébrée hier lundi 17 avril 2023 sous le thème « Accès pour tous : la prévention des saignements comme référence mondiale de soins ». Une occasion de se pencher sur cette pathologie afin de questionner sa prise en charge par le gouvernement camerounais.
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Chaque 17 avril, le monde commémore la lutte contre l’hémophilie. Une anomalie sanguine congénital qui se produit presque exclusivement chez les hommes et se caractérise par un retard de la coagulation du sang, ce qui constitue une difficulté conséquente à une hémorragie non contrôlée, même après des blessures mineures. Les saignements dans les articulations affectent également souvent les genoux, les coudes et les chevilles et d’autres parties du corps. Selon le Center for Disease Control (CDC), c’est comme un trouble héréditaire de la coagulation, qui se produit lorsque les facteurs de coagulation du sang sont défectueux ou manquants. Il existe l’hémophilie A et B et la pathologie touche particulièrement les hommes. Selon les professionnels de la santé, plus de 2000 personnes sont diagnostiquées chaque année dans les hôpitaux du Cameroun.
L’action menée par l’Association des Hémophiles du Camerounvise cette année à se rassembler et à défendre auprès des responsables politiques locaux et des gouvernements un meilleur accès aux traitements et aux soins, en mettant l’accent sur un meilleur contrôle et une meilleure prévention des saignements, pour toutes les personnes atteintes d’un trouble de la coagulation. La mise en œuvre de soins à domicile ainsi que de traitements prophylactiques pour aider ces personnes à bénéficier d’une meilleure qualité de vie.
Maladie périlleuse
L’hémophile est généralement rapidement diagnostiqué au vue de saignements excessifs, quelle que soit la nature et l’endroit de la plaie. Ces saignements peuvent survenir dès le premier âge. Lors de la circoncision, ou encore lors des premiers déplacements de l’enfant, des bleus apparaissent au niveau des jambes. Des saignements au niveau des muscles ou des articulations peuvent également survenir et entraîner des hématomes qu’il faut parfois ôter chirurgicalement car ils compriment d’autres vaisseaux ou des nerfs. Plus tard, des saignements internes au niveau du cerveau ou de l’abdomen peuvent engager le pronostic vital. L’hémophilie n’est pas une maladie évolutive : quelle que soit sa sévérité, elle reste identique tout au long de la vie.
Une des complications majeures de l’hémophilie est l’apparition d’hémarthroses : il s’agit d’épanchements de sang au niveau des articulations. Ce phénomène douloureux provoque un gonflement et une perte de souplesse. En cas de récidives, il finit par altérer l’articulation et mène à l’arthropathie hémophilique, c’est à dire une dégradation du cartilage, une déformation articulaire et une perte de mobilité. Cette évolution peut être prévenue par un traitement substitutif prophylactique du facteur de coagulation déficient
Traitement de la maladie
Le coût du traitement de l’hémophilie dans notre pays varie entre 200 000 Fcfa et 2 millions de Fcfa. D’après le Pr Dora Mbanya, chef du département Hématologie et transfusion du Centre universitaire (Chu) de Yaoundé, près de 200 personnes atteintes d’hémophile sont diagnostiquées et sont suivis gratuitement dans le centre de prise en charge de l’hémophilie basé au Chu de Yaoundé.
Ledit centre mis en place grâce au programme de jumelage établi entre le service d’Hématologie et de transfusion sanguine du Chu de Yaoundé et l’unité d’hématologie des hôpitaux universitaires de Genève en Suisse date de 2009.
Pour Serges Désiré Takou, Président de l’Association des Hémophiles du Cameroun (AHC), la situation actuelle des hémophiles reste complexe. « Même au niveau des hospitalisations ou bien des formations sanitaires, ce n’est pas facile de pouvoir diagnostiquer ce genre de problème. Parce que lorsqu’un malade qui a un trouble de la coagulation arrive à l’hôpital, son orientation se fait en fonction de sa crise. Et cette orientation reste fictive. D’où des difficultés à avoir des données statistiques », explique-t-il. Il poursuit en disant que beaucoup de malades atteints d’hémophilie vivent encore dans l’ignorance de leur statut. Raison pour laquelle le plaidoyer pour l’amélioration du quotidien des malades et de leurs proches est fait.
Les anticorps dirigés
La principale difficulté avec les traitements de substitution est l’apparition d’anticorps dirigés contre le facteur de coagulation injecté. Ces anticorps vont conduire à l’« inactivation » du facteur de substitution, et donc à l’inefficacité du traitement. Ce problème concerne 5 à 30 % des hémophiles. Le risque dépend en partie du type d’anomalie génétique à l’origine de la maladie. Si le facteur de coagulation faisant défaut est totalement absent de l’organisme du patient, ce risque est important : le système immunitaire aura davantage tendance à prendre le facteur de substitution pour un corps étranger et à produire des anticorps chargés de le neutraliser.
En revanche, si le facteur de coagulation est produit dans l’organisme du patient sous une forme non fonctionnelle, le système immunitaire sera déjà habitué à la présence de la protéine. Le risque d’apparition des anticorps sera donc moins important. En cas d’apparition d’anticorps dirigés contre le facteur VIII, il est possible de provoquer une coagulation en le remplaçant par le facteur VII ou en utilisant un complexe de facteurs pro-thrombotiques (FEIBA). Toutefois, ces stratégies thérapeutiques ne fonctionnent pas chez tous les malades.
Panisse Istral Fotso
Réaction
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Serges Désiré Takou, Président de l’Association des Hémophiles du Cameroun (AHC).
L’hémophilie est une maladie qui est grave, rare et très mal connue. Ceci est valable aussi bien pour le personnel médical que pour tout le monde. Le temps de recevoir ceux qui ont entendu parler de l’événement dans les médias, ceux qui viennent à titre de découverte, de curiosité et ceux qui se sont enregistrés pour suivre les sessions d’information. C’est pour nous une façon de communiquer sur la maladie afin que nul n’ignore son existence.
La situation actuelle reste toujours un peu complexe. Même au niveau des hospitalisations ou bien des formations sanitaires, ce n’est pas facile de pouvoir diagnostiquer ce genre de problème. Parce que lorsqu’un malade arrive dans un centre hospitalier et qu’il a un trouble de la coagulation, il est orienté en fonction de sa crise, et cette orientation reste fictive. D’où des difficultés à avoir des données statistiques. Je ne pense pas qu’il y ait un moyen de prévenir l’hémophilie. Il faut dire que c’est une maladie génétique qui touche en majorité les personnes de sexe masculin et rarement celles de sexe féminin. Dans notre contexte africain, on a tendance à croire, et même jusqu’aux professeurs de médecine que l’hémophilie ne touche que les hommes. C’est un problème chromosomique. Et la mère peut donc être porteuse. Pour les personnes atteintes, la vie avec l’hémophilie est très difficile. J’espère que vous m’avez vu marcher en claudiquant un peu : ça c’est l’une des conséquences de cette maladie. L’hémophilie détériore les articulations et la morphologie. Elle donne une apparence d’un drépanocytaire aux personnes atteintes. Sur le plan social, la vie est normale.
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news24fr · 1 year
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L'Union européenne souhaite que tous les voyageurs en provenance de Chine passent des tests Covid avant le départ, en réponse à la flambée des niveaux de virus après que Pékin a abandonné à la hâte des contrôles stricts.Les responsables de l'UE réunis mercredi dans le cadre de la "réponse intégrée à la crise politique" ont déclaré qu'il devrait y avoir une exigence pour un test Covid négatif de tous les voyageurs en provenance de Chine, malgré les avertissements de Pékin de représailles."Les États membres sont fortement encouragés à introduire, pour tous les passagers au départ de Chine vers les États membres, l'exigence d'un test Covid-19 négatif effectué au plus tard 48 heures avant le départ de Chine", indique un communiqué de la Suède, l'actuel titulaire de la présidence tournante du Conseil de l'UE.Les responsables – des 27 États membres de l'UE et de quatre États non membres de l'UE qui se trouvent dans la zone Schengen sans passeport (Suisse, Norvège, Liechtenstein et Islande) – ont également déclaré que les passagers des vols à destination et en provenance de Chine devraient porter du FFP2 ou d'autres masques médicaux. .Les États membres sont également "encouragés" à effectuer des tests aléatoires sur les passagers en provenance de Chine et à séquencer tous les résultats positifs pour renforcer la surveillance dans l'UE, a ajouté le communiqué de la présidence suédoise. D'autres recommandations incluent des tests des eaux usées des aéroports avec des vols en provenance de Chine, ainsi que des campagnes de promotion des vaccins en Europe.Les États membres de l'UE ont convenu de revoir les mesures à la mi-janvier.La recommandation européenne annule une décision contre les tests Covid avant le départ de la semaine dernière, et était attendue après qu'un groupe distinct d'experts nationaux de l'UE se soit prononcé en faveur des plans mardi.Stella Kyriakides, la commissaire européenne à la santé, a déclaré que les experts réunis au sein du comité de sécurité sanitaire de l'UE mardi avaient "convergé vers l'action", notamment des tests avant le départ, une surveillance accrue des eaux usées des avions et une surveillance accrue de Covid-19 dans l'UE. « Unity reste notre outil le plus puissant contre Covid », a-t-elle écrit sur Twitter.Un porte-parole de la commission a déclaré que "l'écrasante majorité des pays" était favorable aux tests avant le départ, ajoutant : "Ces mesures devraient être ciblées sur les vols et les aéroports les plus appropriés et mises en œuvre de manière coordonnée pour garantir leur efficacité".L'approche à l'échelle de l'UE - une recommandation aux gouvernements des États membres - suit des mesures similaires dans plus d'une douzaine de pays, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Inde, l'Australie et le Japon.Le gouvernement chinois a mis en garde contre des «contre-mesures» non spécifiées en réponse aux restrictions d'entrée, qui, selon lui, manquent de fondement scientifique. "Nous sommes fermement opposés aux tentatives de manipulation des mesures Covid à des fins politiques et prendrons des contre-mesures basées sur le principe de réciprocité", a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mao Ning.Les exigences d'entrée plus strictes de l'UE pour les voyageurs en provenance de Chine surviennent malgré les conclusions de l'agence de contrôle des maladies du bloc selon lesquelles une augmentation du nombre de cas en Chine ne devrait pas avoir d'impact majeur sur Covid en Europe.Dans un déclaration le 3 janvier, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a déclaré que les variantes circulant en Chine étaient déjà dans l'UE et "en tant que telles ne sont pas un défi pour la réponse immunitaire" des citoyens de l'UE ou de l'Espace économique européen élargi, qui comprend l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège. L'ECDC a déclaré que les populations européennes étaient protégées par une immunité de population plus élevée et des taux de vaccination relativement élevés.
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ezechiel5172 · 2 years
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greendaxcat · 2 years
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Les chats souffrent depuis longtemps d'une infection à coronavirus
En général, l'infection des animaux par le virus SARS-CoV-2 n'a pas encore été étudiée. Selon le représentant officiel du Centre américain de prévention et de contrôle des maladies (CDC), le Dr Casey Barton Behravesh, à la mi-janvier, 187 animaux dans 22 pays du monde sont connus pour avoir confirmé le covid. Et bien que l'on suppose que le SRAS-CoV-2 est apparu pour la première fois chez les animaux avant de commencer à se propager parmi les humains, le CDC pense toujours que le risque d'infection humaine par le COVID-19 à partir d'un animal, en particulier domestique, est assez faible . Mais il s'avère qu'en médecine vétérinaire, ils ont affaire à des coronavirus depuis longtemps, et la maladie qu'ils provoquent chez les chats s'appelle une infection à coronavirus. Bien sûr, ce n'est pas le COVID-19, mais c'est de la même famille de virus. Cette infection est traitée depuis longtemps, mais il n'existe toujours pas de vaccin. Habituellement, l'infection à coronavirus chez les chats passe facilement. Mais si l'animal est soumis à un stress sévère, le virus peut muter et provoquer une péritonite virale, lorsque du liquide s'accumule dans la cavité abdominale de l'animal. Mais cela arrive rarement, et si jusqu'à récemment une péritonite causée par le coronavirus entraînait la mort d'un chat, il existe désormais un traitement qui combat avec succès la maladie.
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