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Suppression de l’immunité innée par les vaccinations à l’ARNm du SRAS-CoV-2
: Le rôle des quadruplexes G, des exosomes et des micro-ARN.
Les vaccins ARNm SARS-CoV-2 ont été mis sur le marché en réponse aux crises de santé publique du Covid-19.
L’utilisation de vaccins à ARNm dans le contexte de maladies infectieuses n’a pas de précédent. Les nombreuses altérations de l’ARNm du vaccin cachent l’ARNm des défenses cellulaires et favorisent une demi-vie biologique plus longue et une production élevée de protéine de pointe.
Cependant, la réponse immunitaire au vaccin est très différente de celle à une infection par le SRAS-CoV-2.
Dans cet article, nous présentons des preuves que la vaccination induit une altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I, qui a diverses conséquences néfastes sur la santé humaine. Les cellules immunitaires qui ont absorbé les nanoparticules du vaccin libèrent dans la circulation un grand nombre d’exosomes contenant une protéine de pointe ainsi que des microARN critiques qui induisent une réponse de signalisation dans les cellules réceptrices à distance.
Nous identifions également de profondes perturbations potentielles du contrôle réglementaire de la synthèse des protéines et de la surveillance du cancer. Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’immunité adaptative altérée, la réponse altérée aux dommages de l’ADN et la tumorigenèse.
Nous présentons des preuves tirées de la base de données VAERS à l’appui de notre hypothèse. Nous pensons qu’une évaluation complète des risques et des avantages des vaccins à ARNm remet en question leur contribution positive à la santé publique.
NIH
Suppression de l’immunité innée par les vaccinations à l’ARNm du SRAS-CoV-2 : Le rôle des quadruplexes G, des exosomes et des micro-ARN.
1. Introduction
La vaccination vise à utiliser un matériel non pathogène pour imiter la réponse immunologique d’une infection naturelle, conférant ainsi une immunité en cas d’exposition à un pathogène. Cet objectif a été principalement poursuivi par l’utilisation de vaccins à base d’organismes entiers et de virus atténués. L’utilisation de fragments de virus ou de leurs produits protéiques, appelés « vaccins sous-unités », s’est avérée plus difficile sur le plan technique (Bhurani et al., 2018). Dans tous les cas, une hypothèse implicite derrière le déploiement de toute campagne de vaccination est que le vaccin confère les effets d’une « infection bénigne », activant le système immunitaire contre une exposition future, tout en évitant les impacts sanitaires d’une infection réelle.
Une grande partie de la littérature sur ce sujet liée à COVID-19 suggère que la réponse immunitaire à la vaccination basée sur l’ARNm est similaire à celle d’une infection naturelle. Une étude préimprimée a révélé « une immunogénicité élevée du vaccin BNT162b2 par rapport à l’infection naturelle ». Les auteurs ont constaté de nombreuses similitudes qualitatives mais des différences quantitatives (Psichogiou et al., 2021a). Jhaveri (2021) suggère que les vaccins à ARNm font ce que fait l’infection par le virus : « La protéine est produite et présentée de la même manière que l’infection naturelle. » Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) avancent des arguments fondés sur les titres d’anticorps générés par une infection antérieure par rapport à la vaccination, en plus de la production de cellules B à mémoire, pour soutenir que la réponse immunitaire à la vaccination est analogue à la réponse à l’infection naturelle (Centers for Disease Control and Prevention, 2021a). C’est cette similitude de la réponse immunitaire humorale à la vaccination par rapport à l’infection naturelle, associée à des données d’essai et d’observation démontrant une réduction du risque d’infection après la vaccination, qui justifie la campagne de vaccination de masse.
Notre article résume la littérature actuelle sur l’ARNm et ses effets sur la biologie moléculaire des cellules humaines. Nous reconnaissons qu’il existe un large éventail d’opinions dans cette phase naissante de la technologie de l’ARNm. Compte tenu de son déploiement généralisé en amont des travaux de base sur un grand nombre des mécanismes que nous abordons ici, nous pensons que notre travail est important pour fournir une compréhension générale des examens actuels et futurs liés aux travaux moléculaires précliniques en plein essor réalisés dans ce domaine.
Dans cet article, nous explorons la littérature scientifique suggérant que la vaccination avec un vaccin à ARNm déclenche un ensemble d’événements biologiques qui sont non seulement différents de ceux induits par l’infection, mais qui, à plusieurs égards, sont manifestement contre-productifs pour la compétence immunitaire et la fonction cellulaire normale à court et à long terme.
Il a été démontré que ces vaccinations dérégulent des voies critiques liées à la surveillance du cancer, au contrôle des infections et à l’homéostasie cellulaire. Elles introduisent dans l’organisme du matériel génétique hautement modifié. Une préimpression a révélé une différence remarquable entre les caractéristiques de la réponse immunitaire à une infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à la réponse immunitaire à un vaccin ARNm contre le COVID-19 (Ivanova et al., 2021).
L’analyse de l’expression génétique différentielle des cellules dendritiques périphériques a révélé une augmentation spectaculaire des interférons (IFN) de type I et de type II chez les patients atteints de COVID-19, mais pas chez les vaccinés. Ils ont fait une observation remarquable, à savoir qu’il y avait une expansion des cellules souches et progénitrices hématopoïétiques (HSPC) en circulation chez les patients COVID-19, mais que cette expansion était notablement absente après la vaccination. Une expansion frappante des plasmablastes circulants observée chez les patients COVID-19 n’a pas non plus été constatée chez les personnes vaccinées. Toutes ces observations sont cohérentes avec l’idée que les vaccins anti-COVID-19 suppriment activement la signalisation de l’IFN de type I, comme nous le verrons plus loin. Dans cet article, nous nous concentrerons largement, mais pas exclusivement, sur la suppression de l’IFN de type I induite par la vaccination et sur la myriade d’effets en aval que cela entraîne sur la cascade de signalisation correspondante.
Étant donné que les essais précliniques à long terme et les essais de sécurité de phase I ont été combinés avec les essais de phase II, puis avec les essais de phase II et III (Kwok, 2021), et que même ces essais ont été interrompus prématurément avec des patients qui ont reçu des injections placebo, nous nous tournons vers le système de pharmacosurveillance et les rapports publiés pour trouver des gages de sécurité. Ce faisant, nous constatons que ces preuves ne sont pas encourageantes. La réponse biologique à la vaccination par ARNm, telle qu’elle est actuellement employée, n’est manifestement pas similaire à celle d’une infection naturelle. Dans cet article, nous illustrerons ces différences et nous décrirons les processus immunologiques et pathologiques qui, selon nous, sont déclenchés par la vaccination par ARNm. Nous ferons le lien entre ces effets physiologiques sous-jacents et les morbidités constatées et à venir. Nous prévoyons que la mise en œuvre de vaccinations de rappel à grande échelle amplifiera tous ces problèmes.
Les vaccins ARNm fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna ont été considérés comme un aspect essentiel de nos efforts pour contrôler la propagation du COVID-19. Les pays du monde entier ont promu de manière agressive des programmes de vaccination massive dans l’espoir que de tels efforts pourraient finalement enrayer la pandémie en cours et rétablir la normalité. Les gouvernements sont réticents à l’idée d’envisager la possibilité que ces injections puissent causer des dommages de manière inattendue, et surtout que ces dommages puissent même dépasser les avantages obtenus en matière de protection contre les maladies graves. Il est désormais clair que les anticorps induits par les vaccins s’estompent en seulement 3 à 10 semaines après la deuxième dose (Shrotri et al., 2021), de sorte qu’il est conseillé aux gens de se faire vacciner à intervalles réguliers (Centers for Disease Control and Prevention, 2021b).
Il est également devenu évident que les variants qui émergent rapidement, comme la souche Delta et maintenant la souche Omicron, présentent une résistance aux anticorps induits par les vaccins, grâce à des mutations de la protéine spike (Yahi et al., 2021). En outre, il est devenu évident que les vaccins n’empêchent pas la transmission de la maladie, mais que l’on peut seulement prétendre qu’ils réduisent la gravité des symptômes (Kampf, 2021a). Une étude comparant les taux de vaccination avec les taux d’infection par le COVID-19 dans 68 pays et 2947 comtés des Etats-Unis au début du mois de septembre 2021, n’a trouvé aucune corrélation entre les deux, ce qui suggère que ces vaccins ne protègent pas de la propagation de la maladie (Subramanian et Kumar, 2947). En ce qui concerne la gravité des symptômes, même cet aspect commence à être mis en doute, comme l’a démontré une épidémie dans un hôpital israélien qui a entraîné la mort de cinq patients hospitalisés entièrement vaccinés (Shitrit et al., 2021). De même, Brosh-Nissimov et al. (2021) ont rapporté que 34/152 (22%) des patients entièrement vaccinés dans 17 hôpitaux israéliens sont morts du COVID-19.
Les preuves de plus en plus nombreuses que les vaccins ne permettent guère de contrôler la propagation de la maladie et que leur efficacité diminue avec le temps rendent encore plus impératif d’évaluer dans quelle mesure les vaccins peuvent être nocifs. Il ne fait aucun doute que les vaccins à ARNm de la protéine de pointe modifiée du SRAS-CoV-2 ont des répercussions biologiques. Nous tentons ici de distinguer ces effets de ceux de l’infection naturelle et d’établir un cadre mécaniste reliant ces effets biologiques uniques aux pathologies désormais associées à la vaccination. Nous reconnaissons que les liens de causalité entre les effets biologiques initiés par la vaccination à l’ARNm et les résultats indésirables n’ont pas été établis dans la grande majorité des cas.
souces : Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X
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jade-curtiss · 9 months
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Les madames cis quand y'accottent pas le 6/10: body shaming. Le body shaming. Parlons-en.
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Ca se confirme, je suis bien davantage sensible à la France de René Fallet qu'au prométhéisme nietzschéen ou à l'aristocratisme évolien... On a beau lutter, vouloir, lire, essayer, à un moment, à un âge, il faut être honnête, se rendre à l'évidence, admettre, accepter. Aventurier sédentaire, conquérant contemplatif, rêveur de comptoir et voyageur en pensées, aimant la permanence, le solide, les vieilles pierres, les vieux copains, les chemins creux, les calvaires, le silence des églises et des bibliothèques, le cliquetis des bouteilles et le rire des camarades, plus sensible à la poésie de la vigne qu'à celle des envolées de fusées, à la restauration des monuments qu'à la création robotique, à la poularde aux morilles qu'à la cuisine moléculaire, aux trognes crevassées qu'aux puretés eugénistes ... La nouveauté, l'innovation me laissent de marbre, quand une vieille marche d'escalier usée par le passage des générations peut me me mener les larmes aux yeux.. La puissance m'indiffère quand la bonté m'émeut, la richesse parvenue m'écoeure quand la générosité m'oblige, le talent et l'intelligence ne m'impressionnent que lorsqu'ils sont bornés par les garde-fous de l'humilité et de la sagesse... Ne pas vivre dans le passé, bien sûr, absurde impuissance!, mais dans l'intemporel, amant et protecteur de tout ce qui mérite de subsister, la dignité des hommes et la beauté des femmes, l'eau clair des ruisseaux, la fureur des orages, le toit qui protège et la cheminée qui réchauffe. Etre le gardien non pas d'un musée mais d'un temple où dansent les muses de la raison et celles de la folie dans la bacchanale dérisoire et grandiose du quotidien.
Xavier Eman
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lemondeabicyclette · 8 months
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"On peut dire que ces répondants serbes se censurent parce qu'ils ont peur des conséquences de dire la vérité. L'Union européenne est un État policier fasciste-corporatiste qui se suicide pour plaire aux eugénistes." Commentaire de moshe sur Slavyangrad.
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duxvonzazer · 8 months
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« Partant du principe que la majorité de l’humanité n’acceptera pas volontairement des politiques de gestion qualitative de la population, Campbell souligne que toute tentative d’augmenter le QI de l’ensemble de la race humaine serait terriblement lente. Il souligne également que l’objectif général des premiers eugénistes n’était pas tant d’améliorer l’espèce que de prévenir son déclin. L’eugénisme de Campbell préconise donc l’abandon de l’Homo sapiens en tant que « relique » ou « fossile vivant » et l’application des technologies génétiques pour s’immiscer dans le génome, probablement en écrivant de nouveaux gènes à partir de zéro à l’aide d’un synthétiseur d’ADN.
Cet eugénisme serait pratiqué par des groupes d’élite, dont les réalisations dépasseraient si rapidement et si radicalement le rythme habituel de l’évolution qu’en dix générations, les nouveaux groupes auront dépassé notre forme actuelle au même degré que nous transcendons les singes. »
Ouch!!
Euvolution
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kainadjae · 1 year
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Prison et psychiatrie : à l’intersection.
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Crédit image : Nina Chanel Abney -2014 Untitled "FUCK T*E *OP"
« Il n'est à mon sens pas possible d'être anti-validiste, de critiquer les institutions d'enfermement tout en défendant le système carcéral (sans voir les liens évidents). » Harriet de Gouge.
Quel lien y’a t’il entre la prison et la psychiatrie, au-delà du fait que ce soit toutes deux des institutions ?
Entre récidives et réhospitalisations, privatisations et investissements de la part de groupes privés, exploitation de la mains d’oeuvre dans les ESAT ou en prison à moindre coût, conditions de vies handicapantes voir mortelles (violences psychologiques et/ou physiques, promiscuité, environnement pathogène, espérance de vie réduite et taux de suicide élevé) la psychiatrie et la prison partagent bien plus que de simples similitudes ; elles sont en réalité les deux faces d’une même pièce qui souvent se substituent l’une à l’autre.
Ces institutions qui dans un cas comme dans l’autre promettent réhabilitation, réinsertion, correction ou soin, peuvent difficilement cacher leur véritable motif : celui d’éloigner du système les personnes les plus en marge afin de maintenir un ordre social capitaliste, supremaciste et blanc.
L’hypothèse de Penrose
Les liens entre le milieu carcéral et la psychiatrie sont étudiés depuis quelques années déjà, notamment dans les pays anglo-saxons dans le cadre des disability studies et/ou disability justice par des activistes anti-validistes et/ou abolitionnistes, noir.es et/ou handicapé.es (Talila Lewis, Jamelia Morgan, Stella Akua Mensah, Liat Ben Moshe…).
Mais déjà bien avant l’avènement d’une sociologie du handicap et des mouvements de lutte anti-validistes, une étude publiée en 1939 mettait en lumière la relation étroite qui lie les populations des hôpitaux psychiatriques et des prisons.
Avec ce que l’on nomme aujourd’hui "L’hypothèse de Penrose" le mathématicien et psychiatre eugéniste Lionel Penrose démontrait il y a plus de 84 ans déjà que la population carcérale dans une loca­lité donnée augmentait ou diminuait en fonction du nombre de lits occupés dans les établissements psychiatriques.
Pour faire plus simple : d’après les résultats de cette étude, lorsque les populations des hôpitaux psychiatriques sont réduites, le nombre de personnes incarcérées augmentent et vice versa.
Aujourd’hui en France alors qu’environ la moitié des lits en psychiatrie ont été supprimés en moins de 40 ans, le nombre d’incarcération à augmenté de 88% dans le même intervalle de temps.
Pour l'anthropologue Didier Fassin : « Ce n’est pas l’augmentation de la criminalité qui explique que l’on enferme plus, mais la moindre tolérance de la société française et la plus grande sévérité de son système punitif [... ] : on criminalise des faits qui ne l’étaient pas auparavant et on sanctionne plus durement les délits et les crimes. »
Les noir.es et racisé.es handicapé.es en prison.
« Le complexe industrio-carcéral renforce le colonialisme, le racisme et le validisme, ce qui conduit à des arrestations ciblées, à la criminalisation et à des taux d'incarcération plus élevés pour les personnes racisées, les personnes handicapées et les personnes racisées handicapées. » Syrus Ware, Joan Rusa et Giselle Dias.
Si le système judiciaire durcit sa politique en matière de délinquance et de criminalité, il vise évidemment certains groupes en particulier.
Ainsi en France «77 % des personnes détenues appartiennent à des minorités ethniques, se répartissant en 35 % de noir.es, 32 % d’arabes et 5 % de Roms.» et la majorité des détenu.es sont des hommes* présentant dans 55% des cas au moins un trouble psychiatrique et dans 45% des cas un handicap psychique à leur arrivée.
Pour la chercheuse américaine en justice sociale Leah Pope « Si les noir.es et racisé.es sont plus susceptibles d'être impliqué.es dans le système de justice pénale, il est prouvé qu'iels sont moins susceptibles d'être identifié.es comme ayant un problème de santé mentale. De plus, iels sont moins susceptibles d'avoir accès à un traitement une fois incarcérés. »
Les noir.es et racisé.es handicapé.es se retrouvent davantage en prison qu’en psychiatrie tout d’abord parce qu’iels ont moins accès au service de soins psychiatriques et donc au diagnostic que les blanc.hes.
L’incarcération massive de noir.es et racisé.es handicapé.es, s'explique aussi par le fait que certains comportements ou délis, alors qu’ils seront pathologisés chez les blanc.hes handicapé.es seront criminalisés et pénalisés chez les noir.es ou racisé.es handicapé.es.
De plus ces personnes -du fait du racisme systémique- se trouvent placées (ghettoïsation, gentrification, discriminations sur le marché du travail et de l’immobilier, ZEP, centre de détention pour migrant.es…) dans des environnements ou situations accentuant la précarité, la marginalité, l’exclusion et les menant sur la voie de la délinquance.
Ce sont aussi des populations davantage surveillées et controlées (concentration de l’action des forces de l’ordre dans les quartiers populaires et banlieues , politiques strictes sur l’immigration des personnes non-blanch.es, profilage racial…) et les délits qu’elles  commettent sont plus sévèrement punis. Ainsi elles ont plus de chance de se voir condamner à une peine de prison ferme que d’avoir accès à des soins adaptés et réguliers ou un suivi psychiatrique.
La violence de la prison et de la psychiatrie.
« La prise en charge institutionnelle est de par sa conception même une forme de violence. » Kate Rossiner et Jen Rinaldi 
Au-delà des violences policières parfois mortelles qui peuvent précéder l’incarcération, le milieu carcéral est un lieu qui contribue à créer, entretenir ou accentuer les handicaps psychiques (anxiété, dépressions, addictions, troubles psychotiques…) et/ou physiques (violence, négligence des soins, innaccessibilité ) et/ou les maladies (VIH, hépatite C, tuberculose, diabète…). La promiscuité, l’insalubrité et la surpopulation des prisons, en font des lieux extrêmement pathogènes et les conditions de détention jouent sur la santé mentale et physique des prisonnier.es 
En psychiatrie aussi les conditions de détention (isolement, contention, soins sans consentement, violences physiques/psychiques/sexuelles…) accentuent les maladies, les handicaps et/ou la détresse psychologique des populations incarcérées.
Les noir.es et racisé.es sont davantage vulnérables face à ces violences institutionnelles. Puisqu’en plus du classisme propre à la prison et de la psychophobie inhérente aux hôpitaux psychiatriques, ces dernier.es expérimentent aussi le racisme. Iels ont par exemple plus de chances que les blanc.hes d’être placé.es en psychiatrie sans leurs consentements et d'être catégorisé.e comme «personne à haut risque» mais aussi moins de chance de recevoir des soins adaptés (cf syndrome médittéranéen). 
Enfin, ces lieux de détentions en plus d'être handicapants et propices au développement de maladies et troubles, sont aussi mortels :  l’espérance de vie y est réduite et les morts par suicide y sont extrêmement fréquentes.
Récidives et réhospitalisations.
Pour les défenseur·euses de l'institutionnalisation, la prison et la psychiatrie permettraient d'offrir un contexte et des ressources aux individu·es marginalisé·es et inadapté·es, afin qu'iels puissent se (ré)insérer dans la société. Mais la réalité est tout autre. 
La réhabilitation, la réinsertion ainsi que le soin qui devraient être des priorités, sont délaissés au profit de pratiques violentes et punitives.
D’après les chiffres, la prison crée des conditions (précarité, isolement, handicap…) propices aux récidives : 63 % des personnes condamnées à une peine de prison ferme sont à nouveau condamnées dans les 5 années suivant leur libération. 
La psychiatrie est elle aussi un lieu propice aux réhospitalisations ( cf syndrome de la porte tournante). Plus on passe de temps en psychiatrie plus on à de chances d’être à nouveau hospitalisé.e : après trois mois de détention un·e patient·e à une chance sur cinq d'être à nouveau hospitalisé·e, au bout de vingt-quatre mois, la probabilité est de une chance sur deux.  
Les institutions participent à la reproduction et même l’aggravation des inégalités, en contribuant à la stigmatisation, le développement de handicaps, de troubles et/ou de maladies, la précarisation et l’isolement des populations incarcérées.
Alors pourquoi donc entretenir et renforcer des institutions aussi inefficaces en termes de réhabilitation/réinsertion ?
Privatisation et exploitation
« L’emprisonnement de masse génère des profits en même-temps qu’il dévore la richesse sociale. » Angela Davis
Au-delà de la condamnation des conditions d'incarcération appauvrissantes, handicapantes et violentes qui sévissent au sein des institutions, le lien entre la lutte anti-validisme (pour la désinstitutionnalisation) et la lutte anti-carcérale repose aussi sur la volonté d’en finir avec l’exploitation des personnes institutionnalisées. 
Car avec l’émergence des complexes carcéro-industriels et médico-industriels, les institutions sont en passe de devenir de véritables entreprises. Entre la privatisation des hôpitaux psychiatriques et des prisons et la sous-traitance de la main d'œuvre dans les prisons et ESAT par des entreprises publiques et/ou privées, les populations institutionnalisées sont envisagées comme un véritable marché propice aux investissements.
« L'objectif a toujours été de faire du profit sur le dos de celleux qui sont jugé·es sans valeur, par tous les moyens. Le profit ne provient pas seulement de l'extraction de la main-d'œuvre, mais aussi de la marchandisation de leur incarcération, institutionnalisation […] » Talila TL Lewis  
C’est aussi pour ces raisons que le système à tout intérêt à ce que ces institutions ne désemplissent pas.   
Ainsi 30% de la population carcérale travaillent pour un salaire mensuel moyen de 280 euros alors que les frais de vie en prison s’élèvent en moyenne à 200 euros par mois.
En psychiatrie, il n’y a pas de travail à proprement parler, mais bien des frais d’hospitalisation qui peuvent monter jusqu'à 450 euros dans le public et encore davantage dans le privé auquel s'ajoutent des frais de vie. Même si le travail en psychiatrie n’existe pas, le travails des psychiatrisé.es lui existe : une partie des patient·es ayant été incarcéré·es pendant une longue période bénéficient du statut de travailleur·euses handicapé·es et sont orienté·es pour travailler au sein d’ESAT, où le salaire moyen est de seulement 750 euros. 
La main-d’œuvre carcérale et psychiatrisée en plus d'être bon marché ne bénéficie pas de droit du travail, ce qui avantage encore les entreprises.
« Le fait que de nombreuses entreprises présentes sur le marché mondial s’appuient aujourd’hui sur la prison en tant que source non-négligeable de profits explique la rapidité avec laquelle ces prisons se sont mises à proliférer alors que les études officielles montraient un taux de criminalité en baisse. » Angela Davis
La lutte anti-validiste doit être anti-carcérale et anti-raciste. 
Alors que la désinstitutionnalisation est défendue par pratiquement l’ensemble des militant.es handi.es et anti-psychiatrie (et soutenue par l’ONU), le cas de la prison n'est ni compris ni discuté au sein des luttes anti-validistes blanches en France.
La prison, qui compte un nombre extrêmement élevé de personnes handicapées et poly-handicapées se trouve dans l’angle mort de la lutte anti-validiste française.
Et il y a une explication simple à cela : l'écrasante majorité des détenu·es sont des personnes noires, racisées, des migrant·es, des roms, des sdf et le mouvement anti-validiste français est sans surprise blanc, raciste et classiste. 
Prôner la désinstitutionnalisation sans soutenir l’abolition de la prison, c'est promouvoir la criminalisation du handicap, la transinstitutionnalisation** et l’incarcération d’un nombre toujours grandissant de personnes noires/racisées/pauvres et/ou handicapées.
Les oppressions systémiques créent et/ou accentuent la précarité et donc par découlement le handicap et la criminalité.
Ainsi les luttes anti-validistes doivent se dresser contre toutes les formes de discriminations (racisme anti-noir.es, classisme, putophobie, transphobie, grossophobie, psychophobie…) et d’exploitations capitalistes (emplois précaires, institutionnalisations, écocides, colonialisme, traite d’êtres humains…) qui amènent les individu.es (en particulier noir.es et racisé.es) à subir la précarité et/ou le handicap ou à se diriger par défaut vers la voie de la délinquance.
*Le terme homme est utilisé ici en tant que catégorie sociale
** Un processus par lequel des individu.es, soi-disant désinstitutionnalisé.es en raison des politiques de soins communautaires, se retrouvent dans des institutions différentes. Par exemple, les personnes qui sortent des hôpitaux psychiatriques ou qui n'y sont plus admis.es se retrouvent fréquemment dans des prisons, foyers, établissements médico-social, maisons de retraite...
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Le sanitarisme global de l’OMS n’est que la forme prise par l’idéologie qui a produit le nazisme, qui loin d’avoir été vaincu s’était replié en couvade dans le ventre flatulent des pseudo-démocraties libérales, pour ressurgir avec les mêmes dispositions de destruction, de désolation et de crime, soutenu par la même structure de financements, gouverné par le même fantasme eugéniste et hygiéniste qui se présente comme le nouveau Bien, le Bien Social. L’empire du Bien.
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raisongardee · 2 years
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“Aventurier sédentaire, conquérant contemplatif, rêveur de comptoir et voyageur en pensées, aimant la permanence, le solide, les vieilles pierres, les vieux copains, les chemins creux, les calvaires, le silence des églises et des bibliothèques, le cliquetis des bouteilles et le rire des camarades, plus sensible à la poésie de la vigne qu’à celle des envolées de fusées, à la restauration des monuments qu’à la création robotique, à la poularde aux morilles qu’à la cuisine moléculaire, aux trognes crevassées qu’au puretés eugénistes… La nouveauté, l’innovation me laissent de marbre, quand une vieille marche d’escalier usée par le passage des générations peut me mener les larmes aux yeux. La puissance m’indiffère quand la bonté m’émeut, la richesse parvenue m’écœure quand la générosité m’oblige, le talent et l’intelligence ne m’impressionnent que lorsqu’ils sont bornés par les garde-fous de l’humilité et de la sagesse… Ne pas vivre dans le passé, bien sûr, absurde impuissance ! Mais dans l’intemporel, amant et protecteur de tout ce qui mérite de subsister, la dignité des hommes et la beauté des femmes, l’eau claire des ruisseaux, la fureur des orages, le toit qui protège et la cheminée qui réchauffe. Être le gardien non pas d’un musée mais d’un temple où dansent les muses de la raison et celles de la folie dans la bacchanale dérisoire et grandiose du quotidien.”
Xavier Eman, Hécatombe. Pensées éparses pour un monde en miettes, 2021.
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L'un des thèmes qui revient plus ou moins consciemment sous ma plume est celui du racisme et c'est l'une des raisons pour lesquelles j'écris de la Fantasy.
On trouve de tout dans ce genre : du plus progressiste au pire eugéniste… Le fait est que disposer de plusieurs races non humaines permet d'ouvrir le débat des discriminations en général (sexisme inclus).
Je prends bien soin, au cœur de mes races, de représenter plusieurs couleurs, genres, identités, orientations… Il ne s'agit pas d'une volonté d'attirer des lecteurs mais d'un acte militant.
Je crois que si on crée de bons personnages sortant de la norme statistique européocentrée et hétérocentrée, les préjugés s'estomperont. Il faut que les gens s'habituent à lire, voir et entendre de tout. Les idiots obtus ne changeront malheureusement pas.
Dans ce contexte, je conserve une logique au sein de mes races. Aucune n'est bonne ou mauvaise par nature, aucune n'est meilleure que les autres. J'aborde les questions de colonialisme, impérialisme, esclavage, rapports de force, domination économique… (en arrière-plan mais j'y tiens)
Mes Tuäl sont en majorité isolationnistes ce qui explique leur homogénéité. Ils vivent dans un royaume centralisé depuis des millénaires. Ils sont, pour la plupart, contemplatifs et conservateurs ce qui n'en fait pas des "méchants" pour autant.
Au contraire, mes Dewald sont divisés en une infinité de cités, principautés, régimes politiques divers, tribus nomades… Ils se présentent donc sous toutes les silhouettes et couleurs. Ils acceptent mieux les différentes sexualités ce qui ne le rend pas moins violents et individualistes.
Mes Vampires, issus des Dewald, peuvent convertir des Humains. Il y a donc naturellement toutes sortes de Vampires et cela ne pose aucun problème mais ils haïssent les Tuäl et se déchirent entre eux (pour des raisons de succession au trône…)
Ces généralités ne s'appliquent pas à tous !
Mes personnages principaux sont issus d'un métissage et/ou d'une transformation. Ce n'était pas intentionnel au départ. J'avais besoin qu'ils sortent du cadre pour lancer l'histoire. Ils sont confrontés aux discriminations et à des crises identitaires. Dotés de qualités, de défauts, de pouvoirs et de valeurs différentes, ils évoluent et se posent plus de questions qu'autre chose.
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mariesrbouipochodian · 2 months
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Comme je vis à Marseille, je sais que tout Marseille et la France, on est en rééducation.
Il faut faire son autocritique pour sortir de rééducation.
On a découvert que tout le socialisme pue.
Ça fait peur parce qu'on y a tous cru au socialisme utopique, avant Marx et Engels et leur communisme.
Le siècle des lumières en France avait permis le socialisme utopique.
Mais c'est en France qu'il y a eu le racisme antisémite : le fichage eugéniste des juifs.
1984 dans toute son horreur.
Je ne suis pas un numéro.
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yespat49 · 3 months
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La constitutionnalisation peut mener à des avortements de fin de grossesse, eugénistes, en fonction du sexe ou de critères génétiques
Le sénateur Reconquête Stéphane Ravier déclare dans Valeurs Actuelles : Tout ce que nous avions annoncé avec la Manif pour tous lors des débats sur la légalisation du mariage homosexuel tend à se produire. On nous avait promis, à l’époque, que le mariage pour tous ne serait absolument pas une porte d’entrée vers l’adoption pour les couples du même sexe, la PMA ou la GPA. C’est exactement ce qu’il…
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immunobiz · 5 months
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Le Dr Tedros de l'OMS/WEF a été choisi par Bill Gates pour diriger cette organisation eugéniste.
Plus tristement célèbre pour avoir été complice des épidémies de choléra de 2017, sa citation la plus notable reste : « Il n'y aura AUCUN retour à l'ancienne normalité dans un avenir prévisible ».
Il doit faire face à la justice.
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Religion et droit:Ezéchiel 18:20:l'âme qui pêche,c'est elle qui mourra.
Cette citation du prophète Ezéchiel semble aller à contre-courant de certaines doctrines eugénistes et des anciennes coutumes du peuple hébreux:pour le prophète Ezéchiel,les holocaustes de justice doivent être privilégiés par rapport aux autres:Ceux-sont ceux qui ont commis une infraction qui devront mourir(Chapitre 2) ,toutefois,le droit positif établit une gradation des infractions: toutes les…
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lemondeabicyclette · 1 year
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Voici la contre-histoire du Covid-19.
Celle qui ne vous sera pas racontée à la télévision (ni par Dominique Scali du Whore-Nal), celle qui n'a pas été écrite par les vainqueurs. Cette histoire commence par la simulation d'une pandémie, puis sa diffusion pour un plan eugéniste de gouvernance mondiale, le tout habillé d'une narration empruntant aux plus basiques techniques d'ingénierie sociale.
Cette histoire, malheureusement, est la vraie.
C'est celle d'un crime contre l'humanité.
EVENT 201 : simulation de pandémie du 18 octobre 2019
https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/videos.html
Envoyé Spécial :
https://odysee.com/envoyespecialcoronavirusoriginelabo:e
https://www.france.tv/france-2/envoye-special/2299271-passion-faits-divers.html
Article scientifique Unusual features :
https://fr.scribd.com/document/475998860/The-Yan-Report#fullscreen&from_embed
Luc Montagnier sur les manipulations génétiques du Covid-19 – CNEWS
https://www.youtube.com/watch?v=6-dO78JpL9A&t=461s
Sur les nombres de cycles dans les Tests PCR en France :
British Medical journal 22 septembre 2020 :
https://www.bmj.com/content/bmj/370/bmj.m3699.full.pdf
Recommandations de l’ASM du 7 octobre 2020 :
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/10/Avis-SFM-valeur-Ct-excre%CC%81tion-virale-_-Version-Finale-07102020-V3.pdf
Avis du conseil scientifique du 27 juillet 2020 : nombre de cycles page 30
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/avis_conseil_scientifique_27_juillet_2020.pdf#page=30
Confinement :
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/eci.13484
PARTIE 2 :
Bill Gates conférences TED
2010 : « innovating to zero »
https://www.youtube.com/watch?v=JaF-fq2Zn7I
2015 : “the next pandemic”
https://www.youtube.com/watch?v=6Af6b_wyiwI
Bill and Melinda Gates foundations Grants :
https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants
https://www.wsj.com/articles/bill-gates-the-best-investment-ive-ever-made-11547683309
Lionel Astruc : « Bill Gates : l’art de la fausse générosité PDF »
https://issuu.com/zveinx/docs/l_art_de_la_fausse_g_n_rosit___la_fondation_bill_e
https://www.theguardian.com/environment/2015/mar/19/gates-foundation-has-14bn-in-fossil-fuels-investments-guardian-analysis
European Union vaccine roadmap :
https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf
OMS vaccination plan 2011-2020 :
https://www.who.int/publications/i/item/global-vaccine-action-plan-2011-2020
Film PLANDEMIC :
https://plandemicseries.com/
CladeX : a pandemic exercice :
https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/events/2018_clade_x_exercise/players/index.html
France Soir Mortalité en Israel :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-vaccination-en-israel-le-diable-est-dans-les-details
Endométrioses liées au recepteur de Spike :
https://academic.oup.com/biolreprod/article/104/2/336/5987085
Carnets de vaccination à nanoparticules :
https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/dans-le-futur-le-carnet-de-vaccination-pourrait-etre-injecte-sous-la-peau-1158342
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html
Klaus Schwab : the great reset
https://www.youtube.com/watch?v=VHRkkeecg7c
The Great Reset – PDF (Français) :
https://u.pcloud.link/publink/show?code=XZ76E8XZsjTRvWaLrpfVqtjlQoHVhkM1hBOy
Schwab, Family Values, Johnny Vedmore :
https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/
OMS : traité international pour les pandémies :
https://www.who.int/news/item/30-03-2021-global-leaders-unite-in-urgent-call-for-international-pandemic-treaty
Simulations pandémiques :
WHO Simulation training exercise
https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/training/simulation-exercise
Rockfeller Foundation Scenarios for the Future of Technology and International Development
http://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf
PARTIE 3 :
Deux films à vivement recommander :
« Ceci n’est pas un Complot » de Bernard Crutzen (Belgique)
https://odysee.com/@DEEPSATE:b/CECI-N'EST-PAS-UN-COMPLOT---BERNARD-CRUTZEN:8
« Mal-Traités » d’Alexandre Chavouet
https://odysee.com/@zagada:8/MAL-TRAIT%C3%89S---Alexandre-Chavouet:4
Lits d’hôpitaux :
Fermetures de lits - Bastamag
https://www.bastamag.net/carte-des-suppressions-de-lits-hopital-covid-reanimation-ARS-CHU
Bernard Kron :
https://odysee.com/@WakeUp:d/Le-chirurgien-Bernard-Kron-demolit-chez-Cnews-le-narratif-des-merdias-sur-la-saturation-des-reanimations:a
60 – 70% de cas Covid de la troisième vague au Royaume-Uni sont des personnes vaccinées :
https://www.telegraph.co.uk/news/2021/04/06/government-models-warning-third-wave-based-flawed-figures-telegraph/
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TRIBUNE 2023 : Pour abolir la fête des mères et introniser la fête de lutte pour les droits des mères et des parents issus de minorités de genre.
Pour abolir la fête des mères et introniser la fête de lutte pour les droits des mères et des parents issus de minorités de genre.
Nous, mères, daronnes, parents issus des minorités de genre, parents non liés par le schéma normatif de la famille, futur•e•s et présent•e•s, non-parents féministes, appelons aujourd'hui à repenser la fête des mères comme une fête de lutte pour les droits des mères et des parents issus de minorités de genre. Aujourd'hui, nous luttons contre la dépolitisation de notre condition, et contre la récupération de nos vécus à des fins de marchandisation dans le sillon de ce que proposait Diariatou Kebe en 2016.
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Repenser la maternité et la parentalité collectivement est un enjeu féministe et de société, nécessaire à notre épanouissement et à celui de nos familles. Nous adhérons à un idéal de justice reproductive qui élargit la question des droits reproductifs en prenant en compte les rapports de pouvoir liés à la classe, la race, le genre, la sexualité, le handicap...  qui entravent la possibilité des personnes de choisir d'avoir des enfants ou non, et de les élever dans un environnement sain et protégé des violences. La théorisation de la justice reproductive comme lutte, mouvement et utopie a été produite par le collectif de femmes noires Sister Songs aux États-Unis en 1984 et a été à la source de l’engagement de la chercheuse, activiste, organizer Loretta Ross depuis 3 décennies.
Nous proposons alors de mettre en avant au cours de cette journée des initiatives œuvrant pour la justice reproductive dans notre paysage féministe français et d'introniser la journée de luttes pour les droits des mères et des parents issu•e•s de minorités de genre.
Il est urgent de dénoncer les politiques eugénistes et racistes de ce gouvernement qui souhaite encourager le développement de naissance en métropole et incite à la stérilisation à Mayotte dans le même temps. Le ministre des solidarités Combe s’alarme du faible taux de natalité de 1,8 par femme “en forte baisse et qui ne permet pas le renouvellement des générations dans notre pays, ce qui fait peser de fortes tensions sur notre système de protection sociale", alors que le directeur de l’Agence régionale de santé de Mayotte Olivier Brahic légitime l’incitation aux stérilisation à Mayotte (renforcée par l’opération Wuambushu) comme un moyen de lutter contre « la croissance démographique [qui] met à rude épreuve les structures de santé”
 Tsippora Sidibé créatrice du Podcast Tant Que Je Serai Noire appelle à l’arrêt de cette politique dans cette pétition que nous vous proposons de signer 
Nous condamnons également les pratiques eugénistes et validistes à l'œuvre de stérilisation des personnes handicapées, souvent placées sous le régime déshumanisant de tutelle ou institutionnalisées en ESAT, privées de leur libertés, notamment reproductive. 
ll est urgent que nos droits consolidés, étendus et appliqués, et en particulier : 
La dernière révision de la loi de bioéthique a donné en 2021 un accès incomplet à la PMA, qui n'autorise pas dans les faits toutes les personnes qui le voudraient à accéder aux technologies de la reproduction et produit des discriminations en fonction du genre. C'est pourquoi nous demandons un accès à la PMA clair et non pas dépendant du bon-vouloir des CECOS pour les personnes trans qui en sont souvent exclues après modification de la mention de genre à l'état civil. Une campagne de communication nationale sur le don de gamètes doit être menée pour pallier au manque qui touche particulièrement les personnes racisées et qui peut causer jusqu'à une décennie d'attente. Nous demandons à ce que personne ne soit exclu de la PMA ou discriminé à l'entrée des CECOS car étant une personne grosse, handicapée, ou quarantenaire; car l'âge légal d'accès à la PMA pour la personne gestante est de 45 ans, car le poids n'est pas une pathologie, car le handicap ne doit pas empêcher de faire famille. A suivre sur le sujet le travail de la Pride des Banlieues, les appels de la Marché Fémiste anti-raciste l'APGL, Les enfants d'Arc-en-ciel, le collectif Famille.s.
Nous avons le droit au respect de nos souhaits concernant nos accouchements. Nous demandons la prise au sérieux des problématiques des violences gynécologiques et obstétricales, pour une reconnaissance dans la loi et la mise en place d'une véritable stratégie de lutte contre celles-ci, ainsi que la suspension instantanée de l'autorisation d'exercer des praticiens accusés de violences sexuelles. Nous soutenons en ce sens le travail de recueil de témoignages du collectif StopVOG
Le post-partum est la première expérience de la parentalité, elle est déterminante sur notre capacité à parenter, nos liens aux enfants et notre bien-être affectif psychique et physique. Durant cette période du post-partum trop de nouveaux parents sont délaissé•e•s, ce qui peut causer des dégâts irréversibles sur notre corps et notre santé mentale. La deuxième cause de décès pendant cette période est le suicide. Nous souhaitons un accompagnement au-delà de la grossesse et de l'accouchement pour notre bien-être et le respect de notre intégrité physique et psychique, ainsi que celui de nos enfants.  Pour cela, nous soutenons les 14 revendications portées par le collectif #MonPostPartum.
Nous avons le droit de disposer de notre corps allaitant partout et tout le temps. Cela signifie un aménagement du temps de travail pour rendre l'allaitement physiologique possible ainsi qu'une véritable formation dans les entreprises sur le sujet. Nous demandons un aménagement de l'espace public qui facilite l'allaitement.
L'accès à l'interruption volontaire de grossesse doit être garanti jusqu'au délai légal, avec une prise en charge de la douleur. Pour cela nous demandons un meilleur financement des centres de planification familiale, la suppression de la clause de conscience spécifique à l'IVG, la pérennisation de l'expérimentation qui permet aux sages-femmes de pratiquer les IVG instrumentales et la fin de tout délai légal d'avortement, comme c'est le cas au Québec.
Nous demandons une formation spécifique du personnel médical sur l'accompagnement des fins involontaires de grossesse , ainsi que la mise en place d'un congé afin de pouvoir être accompagné•e•s dignement dans le vécu d'une "fausse couche".
Les personnes à qui nous confions nos enfants, souvent des femmes racisées, alertent sur la pénurie de personnel et leur précarité. Nous soutenons les revendications des professionnelles de la petite enfance pour une amélioration de leurs conditions de travail et demandons plus de structures d'accueil et plus de moyens pour celles-ci.
Les familles monoparentales doivent bénéficier d'un accès prioritaire au logement social et les aides de la caisse des affaires familiales doivent être accordées dès le premier enfant et jusqu'à l'âge de 6 ans. Nous soutenons le travail et les mobilisations de la Collective des mères isolées.
De même suite à  la déconjugalisation de l'AAH, nous demandons une hausse de l’AAH, une grande partie des personnes parentes qui en bénéficient vivent en dessous du seuil de pauvreté. Elles méritent les moyens de faire famille de façon autonome et indépendante quel que soit son handicap.
Contre la précarité infantile, nous réclamons la protection des familles de personnes migrantes, exilées, des sans-papiers et de leurs enfants et le soutien aux associations qui militent en ce sens dont Mamama. Nous dénonçons la politique de casse de l'AME.
Nous demandons une politique de fiscalité féministe qui ne désavantage pas les mères séparées par l'imposition de la pension alimentaire et la fin de la conjugalisation de l'impôts sur les revenus.
Nous exigeons la protection de nos enfants victimes d'inceste et de violences intrafamiliales, et demandons la création d'un Ministère de l'Enfance. Nous souhaitons que cesse la mise en doute de la parole des enfants en érigant le principe de présomption de vérité pour les victimes et la pleine reconnaissance de leur existence comme sujets de droits.Nous soutenons toutes les mères protectrices qui sont criminalisées, séparées de leur enfant lorsqu’elles dénoncent des violences intrafamiliales telles que l’inceste ou les agressions enfantistes. Nous soutenons Cynthia, mère séparée de son enfant J. après avoir dénoncé les violences incestueuses du père (@JusticePourCJ #JusticePourCJ sur les réseaux). Elle fait face à des violences institutionnelles, misogynoires et administratives d’une extrême violence, vous pouvez lire cet article de Cases Rebelles pour prendre connaissance de son expérience et la soutenir via cette cagnotte en ligne pour ses frais de justice.  Nous dénonçons l’utilisation du concept non scientifique de "syndrome d'aliénation parentale" devant les tribunaux par des pères accusés de violences.
Afin de prévenir les féminicides et de lutter contre les violences masculines et au sein du couple/de la famille, nous appelons à une prise en compte du danger imminent qui pèse sur les victimes en soutenant la présomption de vérité des victimes. Nous demandons à ce que des moyens majeurs soient attribués au renforcement de dispositifs locaux en victimologie, en formation des personnels médicaux, judiciaires, éducatifs. Nous réclamons une politique de prévention, de protection et d’accès au logement et à des moyens financiers facilités pour les femmes victimes de violences et leurs enfants. 
Nous demandons à ce que les parcours de transition des enfants trans soient facilités, indépendants de l'accord de leurs parents (particulièrement pour la reconnaissance de leur identité à l'école), et que tous les enfants LGBTI soient protégé•e•s des violences et des discriminations. Nous exigeons que les parents des enfants intersexes ne soient pas victimes de désinformations sur les dangers de leur intersexuation (souvent inexistants), et que le choix soit laissé à nos enfants, à un âge où iels seront en mesure de le prendre.
Nous nous alarmons des connivences entre des Ministres en place dans ce gouvernement et le mouvement du Syndicat de la famille issu de la Manif Pour Tous qui galvanise des campagnes violentes, notamment la dernière contre l’IVG sur des Velib de Paris. Nous soutenons le Planning Familial qui fait face à des attaques d’académiques, psychanalystes et groupes identitaires qui appellent au retrait de ses subventions publiques.
Nous avons le droit d'exister avec nos enfants dans l'espace public sans subir de discrimination lorsque nous avons un handicap, et de pouvoir accéder aux lieux de loisir lorsque notre mobilité est réduite. Nous voulons accompagner nos enfants dans leurs loisirs lorsque nous portons le voile et ne plus être discriminé•e•s sur la base de notre habillement, quel que soit le lieu où nous nous trouvons.
Nous voulons pouvoir faire famille en toute sûreté, sans craindre pour la sécurité de nos enfants face à un Etat policier qui les cible et les criminalise selon leur racialisation.  Nous appelons au soutien fort et collectif de toutes les mères, tantes, soeurs et proches qui luttent contre les violences policières car leurs enfants en ont été victimes. Sacrifiées, ces personnes dédient leur temps, énergie et santé à lutter contre les violences policières et sont en première ligne des combats. Elles subissent la surveillance, les intimidations et les violences intramilitantes.  Pour en apprendre plus sur leur combat : Réseau entraide et verité 
Collectif de Défense des Jeunes du Mantois
Front de Mères, premier syndicat de parents
Collectif urgence notre police assassine
Nous voulons voir grandir nos enfants en bonne santé. En tant que groupes vulnérables, iels souffrent davantage des conséquences du dérèglement climatique et de la destruction de l'environnement dans un monde qu'iels ne connaîtront jamais comme sain. Nous demandons l'inscription du crime d'écocide dans la loi et nous voulons que la France soit tenue comme responsable de ses crimes. 
Nous condamnons la décision de non lieu dans le procès du Chlordécone et soutenons les associations, dont les DiivinesLGBTQI+, qui militent pour la responsabilisation des industriels et de l’Etat français dans cette exposition qui met en péril la santé, notamment reproductive, de plusieurs générations de personnes exposées dans les DROM ainsi que leur espérance de vie. Nous avons tous.ttes le droit de vivre en famille sans être empoisonnées.
Nous demandons à être représenté•e•s dans les médias, les productions culturelles et symboliques qui forgent l'imaginaire sur nos conditions de mères et de parents trans et celui de nos enfants, en soutenant notamment les productions de mères, des parents LGBTQI+ et de parents racisé•e•s. 
Nous demandons à ce que notre maternité ou notre parentalité ne soit pas un critère de discrimination à l'embauche. Nous avons le désir et le droit de nous épanouir professionnellement sans être victime de discriminations.
À travers ces prises de positions, ces revendications qui ne sont pas exhaustives mais reflètent un peu nos dernières luttes,  nous construisons déjà un monde plus juste. Contre la fête des mères capitaliste, nous appelons à une convergence féministe, anti-capitaliste, anti-raciste, anti-validiste, queer. Pour une société qui avance toujours vers l'idéal de justice reproductive, pour nos enfants, et leurs enfants et celles et ceux qui suivront.
SIGNE LA TRIBUNE
A l'initiative de :
Mounia El Kotni, anthropologue et autrice féministe
Eva-Luna Tholance, doula @ladoulaqueer, journaliste
Johanna-Soraya Benamrouche, mère handicapée, militante féministe et anti-validiste
Signataires :
Tsippora Sidibé, créatrice du podcast "Tant que je serai noire"
@JusticePourCJ, comité de soutien pour une mère protectrice et son enfant J
La marche féministe anti-raciste
La Collective des mères isolées
Corps Dissidents, collectif anti-validiste
Héro•ïnes 95 sans frontières
L'Assemblée générale féministe Paris-Banlieue
Collectif T'as pensé à ?
L'association féministe et antiraciste Chafia de lutte contre les violences conjugales, sexistes et sexuelles
Féministes contre le cyberharcèlement
Fatou Dieng, militante contre les violences, crimes et racisme d'Etat du Comité Vérité et Justice pour Lamine Dieng
Elena Chamorro, enseignante, militante anti-validiste, mère handicapée
Elise Thiebaut, autrice
Léna Dormeau, philosophe
Sarah Demir, créatrice du podcast Mon Post Partum
Sarah Zouak, militante féministe et antiraciste et réalisatrice
Cluny, militante féministes @LesFlux
Odile Maurin, élue municipale, activisme contre le validisme
Oum Hany ES. , @sweetpotatoindaspace illustratrice
Hanane Ameqrane
Mélanie Ngoye-Gaham, militante contre les violences d'Etat, membre du collectif mutilé.e.s pour l'exemple
Daisy Letourneur, autrice et militante transféministe
Anaïs Bourdet, militante féministe
Mouvement des Mères Isolées
Julie Finidori, agente littéraire
Thérèse
Deborah Lambert, @maman_mais_pourquoi, géographe
Claire, Anne et leur fille Marie, Famille lesbotrans, deux mères, une fille
Sarah Memmi Machado, socio-démographe, féministe, référente DSSR Equipop
De Bary Cécile, enseignante
Fanny, Doula, @doulapourtoustes
Lila Lakehal, salariée d'association
Soraya Sabrina
Wissale Achargui, militante anti-raciste
Maud Le Rest, journaliste et autrice
Nora Benalia, autrice
Camille Barizien, étudiante Sage-femme
Sahara Azzeg, Artiste, mastérant-chercheur
Katy Refuveille, enseignante et doula
Nikola Dobric, militant @HandiSocial
Mathilde Soury @LaSaugeraie, Educ sociale, doula, militante féministe
Marion Coville, enseignante chercheuse et handie
Laure Salmona, militante féministe et co-fondatrice de Féministes contre le cyberharcèlement
Judith Hara-Dam, parente trans potentielle
Davy Beauvois, militant
Loth Maureen, collectif doulas radicales, Doula & accompagnante parentale
Adija Benamrouche, mère et grand-mère queer
Anna Lentzner, dessinatrice
Jessica Suzes, maman, militante féministe
Marina Carlos, autrice
Claude Péronnet, citoyenne vigilante
Lamia B, militante féministe
Laurence Jouanneau, professeure des écoles
Averlant Martin, urbaniste
Françoise Haas, mère
Cette tribune a été actualisée à partir d'une version précédente parue en 2022, à l'initiative de Cluny, Mounia El-Kotni, Eva-Luna Tholance, Johanna-Soraya Benamrouche, disponible sur ici sur https://www.tumblr.com/journeedeluttedroitsdesmeres
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christophe76460 · 1 year
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Esprit malade, corps malade
Voici une petite analogie : Si une personne anorexique et sous alimentée se dit grosse à cause de la dysphorie de sa perception de la réalité et que je lui dis qu'elle a raison, est-ce que je suis complice des conséquences des dévastations que cela aura sur elle dans sa vie ?
En participant à sa dissonance cognitive, n'est ce pas que je mens pour lui plaire et la rassurer et par le fait même est ce que je ne me perds pas moi-même ?
Maintenant, allons un peu plus loin. Imaginez que je commence à dire aux systèmes médiatiques, à la société et au système scolaire que les anorexiques sont en fait des grosses personnes prises dans un corps maigres et que nous ne devons pas juger cette personne qui ne mange pas car cela est de son droit et qu'elle ne blesse personne, est ce que je ne risque pas, par la suggestion et normalisation, de rendre la société malade et confuse ? Qu'en est il des enfants à qui l'ont dit que le poids n'est pas une mesure objective mais le sentiment étant devenu plus valide que la réalité, ne seront-ils pas confus, perdant tout repère et connexion avec la réalité ?
Pourquoi donc est-ce que le déni de la biologie et de la dysphorie des genres seraient différent de cette situation ? Depuis quand un sentiment subjectif est-il devenu plus pertinent que la biologie humaine ?
Si une personne est malade psychologiquement il faut lui procurer une aide psychologique efficace, honnête et bienveillante. Si une personne est malade physiquement elle a besoin d'un bon médecin qui examine la bonne cause pour le bon traitement. C'est cela venir en aide et aimer parfois au risque d'être détesté (e)s pour la vérité...
Ohh oui...nous sommes sur une voie dangereuse lorsque la réalité est niée au détriment des passions et désirs humains; maléables, manipulables, impulsifs et changeants. Dieu ne fait pas d'erreur... La biologie n'est pas une erreur ou une maladie mais c'est plutôt la psyché de l'être humain qui est grandement malade, détruit par la passion de la chair, le trauma, les abus, l'impudicité... Il est prophétisé que dans le temps de la fin les humains seront livrés dans leurs propres pensées, abandonnés à leurs propres désirs...
N'y a rien de plus contradictoire et hypocrite que de dire aux femmes d'apprendre à s'accepter pour qui elles sont dans un mouvement de masse supposément féministe et d'un autre côté promouvoir le total contraire de transformer complètement sa nature biologique au profit d'un lobby méga géant qui rapport des milliards chaque année à une poignée d'individus?
En vérité, Satan s'attaque au centre de ce qu'il y a de plus précieux : la création humaine naturelle, le noyau familial qui protège et solidifie nos enfants et la reproduction... Un agenda eugéniste, sataniste...: "Order out of chaos" / ordre issu du chaos...: Semer le chaos pour instaurer un nouvel ordre, un nouveau paradigme où Dieu est absent, où l'homme est détruit et où la souffrance, l'immoralité, la machine et la destruction règnent au nom de la science, de l'intelligence artificielle et de l'évolution.
Combien de temps encore pourrons nous parler ?
Il fut un temps où je croyais aussi à tous ces mensonges... Je croyais que ces croyances "inclusives" me rendaient une bonne personne, pacifiste, ouverte d'esprit, progressiste. La vérité est que je me donnais bonne image et bonne conscience en banalisant la confusion et la corruption.
Et puis, j'ai vu la dévastation que causent ces mensonges et j'ai vu la paix qu'apporte la vérité en Christ.
La réalité est que de dire la vérité de nos jours nous rend exclus, jugés et détestés, paradoxalement... On subit la projection du monde: se faire dire que l'on juge et sème la haine alors que nous aimons et sommes jugés et haïs.
Jésus est l'exemple ultime, étant lui même la vérité pour laquelle il fût crucifié. Puis, pour avoir sacrifié sa vie pour l'amour de Dieu, de son prochain au nom de la vérité, Dieu l'a ressuscité.
L'homme, la femme, le mariage et la procréation sont des créations sacrées, parfaites et merveilleuse de Dieu. C'est le péché (la rébellion des lois) qui détruit et désorganise toute la perfection de cette création.
Dieu ne sème pas la confusion car il est un Dieu d'ordre. Satan déteste l'ordre est le père de la rébellion, le père du mensonge et de la confusion : confusion dans l'ordre naturel des choses, confusion sexuelle, confusion des genres, confusion des lois établies / corruption...
Je rédige ce texte avec beaucoup d'amour pour ces personnes qui souffrent. Nous avons tous été égarés et trompés, moi la première. Mais Jésus restaure toute chose à celui qui accepte son aide.
Il a aveuglé leurs yeux; et il a endurci leur cœur,De peur qu'ils ne voient des yeux,Qu'ils ne comprennent du cœur,Qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. (Paroles de Jésus)
Jean 12:40
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