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#Musique Workshop
atelierlamine · 2 years
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Paysages Symphoniques đŸŽšđŸŽ¶ L’expressionnisme abstrait s’invite Ă  La Mine ! Merci Joan Mitchell #atelier #creation #artistes #art #peinture #acrylicpainting #atelierpourenfants #paris #exlate #musique #chefdorchestre #brush #pinceaux #workshop #artforkids (Ă  La Mine du 9) https://www.instagram.com/p/Cky5GcRLVa4/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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solarpunkaestheticweek · 11 months
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Other Events During Solarpunk Aesthetic Week
What? You mean to say there's other stuff going on during Solarpunk Aesthetic Week?
Yes! While we didn't want to clash with the usual hosting time for Solarpunk Action Week, it's impossible to host an event without other things also going on! Let's highlight just a few other things that are happening this week, so they can maybe inspire some of what you do for Solarpunk Aesthetic Week!
Pollinator Week 2023 actually takes place June 19th - 25th just like our event!
"Pollinator Week is an annual celebration in support of pollinator health that was initiated and is managed by Pollinator Partnership. It is a time to raise awareness for pollinators and spread the word about what we can do to protect them. The great thing about Pollinator Week is that you can celebrate and get involved any way you like! Popular events include planting for pollinators, hosting garden tours, participating in online bee and butterfly ID workshops, and so much more."
Feel free to check their site here to learn more! Maybe make some pollinator-inspired art and take some biodiversity-boosting actions to celebrate!
Juneteenth/Juneteenth National Independence Day is a federal holiday in the United States commemorating the emancipation of enslaved African Americans, celebrated on the anniversary of an order proclaiming freedom for slaves in Texas on June 19th 1865 (two and a half years after the Emancipation Proclamation was issued). You may see and hear of public readings, street fairs, cookouts, parades, and more celebrating this event in the US--especially since it was officially declared a federal holiday in 2021, meaning its an official day off from school and work for many people now.
Always, but especially on this day, consider the important role and contributions of African Americans and other Black groups have had and will continue to have on history, punk spaces, and the present and future of Solarpunk!
Summer Solstice is June 21st in the Northern Hemisphere, marking the official beginning of the summer season! This day symbolizes the zenith of the sun's position in the sky, and the longest day of the year.
We're called Solarpunks for a reason! And coinciding with this date was totally purposeful on our parts. Let the sun inspire your works--whether it be thinking up solar panel concepts, painting a sunny meadow scene, or just imbuing your work with the bright and blazing energy of our brightest star, go forth and create!
Winter Solstice is also June 21st in the Southern Hemisphere, marking the official beginning of the winter season! This day symbolizes the death and subsequent rebirth of the sun, and is the shortest day and longest night of the year.
When we visualize Solarpunk, we tend to think of bright and sunny spring and summer days, with lush green growth all around. But what would Solarpunk look like in the fall and winter? Let's start talking about it, changing up our color palettes and creating! And if it's wintertime for you right now, tell us about how you're solarpunking even in the colder months!
World Music Day, also known as FĂȘte de la Musique, takes place on June 23rd and celebrates the universal language of music. This day originated in France in 1982, aiming to encourage both amateur and professional musicians to showcase their talents in public spaces, while also providing free access to concerts and performances for the public. This observance promotes the importance of music in society and celebrates its cultural diversity.
Music often plays a major role in people's lives today, and I see it being no different in a Solarpunk future. Whether you're writing up song lyrics or making chill beats, or listening and contributing to our collaborative Solarpunk playlist, or anything music related--let's take a moment to consider the power of music to spread messages and hope!
June 25th is the last day of Solarpunk Aesthetic Week, and is the Day of the Seafarer! Day of the Seafarer aims to recognize the invaluable contribution of seafarers to the world economy, trade, and well-being of our people. The International Maritime Organization established this day in 2010, and is observed through various activities like ceremonies, celebrations, panel discussions, and workshops.
When it comes to thinking of Solarpunk societies, its important to consider our relationship with the sea and people who traverse it. In addition, the subsect Lunarpunk often has an association with communities living in close ties with the water--consider looking into it as we celebrate Solarpunk Aesthetic Week--there's all kinds of inspiring content out there, and we can always contribute more!
Is there more we're forgetting? Want to share the way you celebrate a particular event? Sound off and let us know--we'd love to hear about other related events and how you celebrate them!
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swedesinstockholm · 3 months
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20 février
en revenant du dentiste je suis passĂ©e au workshop d'afterwork du casino, j'Ă©tais en retard et je me suis trompĂ©e d'endroit et je suis arrivĂ©e toute Ă©chevelĂ©e. y avait deux mĂ©diatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gĂąchĂ© avec mon autosabotage j'aurai peut ĂȘtre fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme Ă  l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux mĂ©diatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthĂ© moog, il parlait anglais et d'aprĂšs ce que j'ai entendu il Ă©tait Ă©tudiant. il est parti avant la fin parce qu'il Ă©tait invitĂ© Ă  une fĂȘte qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'Ă©tait une blague ou pas. la mĂ©diatrice non plus elle savait pas. il leur a demandĂ© ce qu'elles faisaient aprĂšs le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton trĂšs lassĂ© de la vie. la brune devait dĂ©mĂ©nager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimĂ© leur demander ce qu'elles faisaient Ă  cĂŽtĂ© de leur job de mĂ©diatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y Ă©taient arrivĂ©es et pas moi, mais j'ai pas levĂ© la tĂȘte de mon moog. de son moog. c'Ă©tait le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musĂ©es mais on Ă©tait pas rentrĂ©es parce que c'Ă©tait trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a rachetĂ© le moog Ă  un ami Ă  moitiĂ© prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthĂ© moi aussi. j'aurais bien aimĂ© lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacitĂ©s sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais mĂȘme pas Ă  parler clairement, sans bafouiller. c'Ă©tait plus simple de rester plongĂ©e dans mes expĂ©rimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'ĂȘtre une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligĂ©e de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coĂ»te 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas rĂ©ussi Ă  contrĂŽler mes pulsions morbides, elles m'ont Ă©chappĂ© et elles se sont dĂ©versĂ©es sur l'autoroute de la frontiĂšre belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand mĂȘme et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas Ă  lui expliquer que si c'Ă©tait compliquĂ©, que ça faisait partie du problĂšme, que j'arrivais pas Ă  faire ces choses-lĂ  parce que quelque chose cloche trĂšs profondĂ©ment dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose Ă  l'intĂ©rieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'ĂȘtre complĂštement Ă  l'ouest chez le dentiste en plus. j'Ă©tais pas Ă  l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrĂ©taire avait pitiĂ© de moi. sinon j'ai bien aimĂ© sentir les doigts du dentiste me tenir la mĂąchoire, quand la machine dans ma bouche commençait Ă  devenir trop dĂ©sagrĂ©able je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'Ă  trois heures du matin puis toute la matinĂ©e pour le finir. l'Ă©criture Ă©tait pas terrible terrible et j'y ai trouvĂ© plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrĂȘter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mĂšre et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte Ă  son travail elle prend des initiatives et elle dĂ©cide de quitter sa coloc avec sa grand-mĂšre et elle arrive enfin Ă  jouer la scĂšne de thĂ©Ăątre qu'elle arrivait pas Ă  jouer parce que la prof lui disait qu'elle Ă©tait pas assez sensuelle. elle s'est inscrite Ă  des cours de thĂ©Ăątre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais Ă  la fin c'est le sexe qui lui a donnĂ© un corps.
tout d'un coup j'ai Ă©tĂ© prise d'un Ă©norme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmĂ© que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser Ă  une interview de vincent dedienne oĂč il disait que son premier spectacle Ă©tait pas terrible parce qu'Ă  l'Ă©poque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble ĂȘtre un passage obligĂ© pour monter sur scĂšne. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considĂ©rer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothĂ©rapie. et avant de pouvoir faire une psychothĂ©rapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas prĂšs d'arriver.
dans le livre sa vulve se met Ă  chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence Ă  ĂȘtre une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser Ă  pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a Ă©crit dans le cadre de son master de crĂ©ation littĂ©raire Ă  paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencĂ© drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours oĂč elle travaillait pas Ă  l'universitĂ©, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapĂ© et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidĂ©os d'actrices interviewĂ©es dans des talk shows et mĂȘme des sĂ©ries, ce que je m'interdis pendant la journĂ©e, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'Ă©criture.
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jpbjazz · 26 days
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LÉGENDES DU JAZZ
BUD SHANK, PIONNIER DES MUSIQUES DU MONDE
NĂ© le 27 mai 1926 Ă  Dayton, en Ohio, Clifford Everett "Bud" Shank Jr. avait commencĂ© Ă  jouer de la clarinette Ă  Vandalia, en Ohio, mais avait adoptĂ© le saxophone alto avant de commencer Ă  frĂ©quenter l’UniversitĂ© de North Carolina. Durant son sĂ©jour Ă  l’universitĂ©, Shank avait Ă©tĂ© admis dans la Pi Kappa Alpha fraternity, une organisation humanitaire.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Shank a commencĂ© sa carriĂšre en 1946 en jouant avec le groupe de Charlie Barnet. Quatre ans plus tard, il s’était joint Ă  l’orchestre de Stan Kenton sur la CĂŽte ouest. Un des membres de l’orchestre de Kenton Ă©tait le contrebassiste Howard Rumsey. AprĂšs avoir quittĂ© le groupe de Kenton, Rumsey avait formĂ© un groupe tout-Ă©toile appelĂ© les Lighthouse All Stars, d’aprĂšs le nom du club oĂč il se produisait, le Hermosa Beach Lighthouse Club. Shank s’était Ă©ventuellement joint au groupe. DĂ©crivant son sĂ©jour avec le groupe de Rumsey, Shank avait commentĂ©: ‘’I had been working at the Lighthouse for a long time before I knew anything at all about chord changes. I finally went and studied with Shorty Rogers, and learned what chords were. Because I'd played totally by ear prior to that time.’’ À cette Ă©poque, Shank avait Ă©galement formĂ© son propre quartet avec le saxophoniste et oboĂŻste Bob Cooper et des pianistes comme Hampton Hawes et Jimmy Rowles.
En 1953-54, Shank avait commencĂ© Ă  s’intĂ©resser Ă  ce qu’on appelle aujourd’hui les musiques du monde, et avait jouĂ© du jazz influencĂ© par des compositeurs brĂ©siliens comme le guitariste Laurindo Almeida, ce qui avait Ă©ventuellement contribuĂ© Ă  accroĂźtre la popularitĂ© de la bossa nova chez des musiciens comme Stan Getz par exemple. Shank avait d’ailleurs travaillĂ© avec des pionniers de la bossa nova comme Sergio Mendes. Shank avait Ă©ventuellement abandonnĂ© les musiques du monde Ă  la fin de la mĂȘme dĂ©cennie pour se concentrer sur son travail de musicien de studio. Shank avait d’ailleurs remportĂ© un grand succĂšs en jouant un solo de flĂ»te sur la piĂšce ‘’California Dreamin'' du groupe the Mamas and the Papas.
En 1958, Shank Ă©tait devenu le premier musicien de jazz amĂ©ricain Ă  enregistrer en Italie. L’enregistrement avait Ă©tĂ© effectuĂ© par un orchestre dirigĂ© par Ezio Leoni (Ă©galement connu sous le nom de Len Mercer). Shank avait ainsi ouvert la voie Ă  des musiciens comme Chet Baker qui avaient Ă©galement enregistrĂ© avec Leoni Ă  Milan plus tard. En 1958 et 1960, Shank avait aussi composĂ© la bande sonore des films de surf de Bruce Brown: ‘’Slippery When Wet’’ et ‘’Barefoot Adventure.’’ Shank avait continuĂ© de travailler dans le secteur e la musique du monde en 1962, en fusionnant le jazz avec la musique indienne dans le cadre d’une collaboration avec le compositeur et joueur de cithare indien Ravi Shankar.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1974, Shank s’était joint Ă  Ray Brown, Shelly Manne (qui avait Ă©tĂ© remplacĂ© par Jeff Hamilton aprĂšs 1977) et Laurindo Almeida pour former le groupe L.A. Four, un groupe de cool bob influencĂ© par le jazz latin avec il avait enregistrĂ© et jouĂ© en tournĂ©e jusqu’en 1982. Le groupe avait Ă©galement collaborĂ© avec l’excellent trompettiste Bobby Shew. En 2005, dans le cadre du 40e anniversaire du Neophonic Orchestra de Stan Kenton, Shank avait fondĂ© son propre big band, le Bud Shank Big Band.
Dans les annĂ©es 1990, Shank avait crĂ©Ă© une performance multimĂ©dia sous le titre de The Lost Cathedral. Il avait aussi augmentĂ© la taille du Bud Shank Jazz Workshop tout en se produisant dans de nombreux festivals de jazz, dont le Jazz Southwest Festival d’Albuquerque au Nouveau-Mexique.
Shank avait également enregistré des albums en hommage à Frank Sinatra et Gerry Mulligan. En 2004, Shank avait enregistré avec le saxophoniste alto Phil Woods. Deux ans plus tard, il avait enregistré en duo avec le pianiste Bill Mays.
MĂȘme s’il avait souffert de problĂšmes respiratoires Ă  la fin de sa carriĂšre, Shank n’avait jamais abandonnnĂ© et avait continuĂ© de faire des tournĂ©es et d’animer des cliniques de jazz.
Bud Shank est mort le 2 avril 2009 d’une embolie pulmonaire Ă  sa rĂ©sidence de Tucson, en Arizona. Il Ă©tait ĂągĂ© de quatre-vingt-deux ans. La veille, Shank venait de finir d’enregistrer un nouvel album Ă  San Diego, en Californie. Shank laissait dans le deuil son Ă©pouse Linda.
Reconnu comme un des principaux responsables de la popularisation du jazz latin et du jazz de chambre, Shank s’était produit avec plusieurs orchestres au cours de sa carriĂšre, dont le Royal Philharmonic, le New American Orchestra, le Gerald Wilson Big Band, le Neophonic Orchestra de Stan Kenton et l’orchestre de Duke Ellington.
En 2008, le rĂ©alisateur et producteur Graham Carter avait rendu hommage Ă  Shank dans un documentaire intitulĂ© "Against the Tide, Portrait of a Jazz Legend.’’ La film s’est mĂ©ritĂ© quatre prix Indie, dont le prix Aurora Awards Gold.
Shank, qui jouait Ă©galement du saxophone tĂ©nor, du saxophone baryton, de la clarinette et de la flĂ»te (qu’il avait abandonnĂ©e en 1986 pour se consacrer au saxophone alto), s’était acquis la rĂ©putation d’ĂȘtre un improvisateur d’une grande originalitĂ© et d’une grande intelligence. Souvent comparĂ© Ă  Art Pepper, le jeu de Shantz Ă©tait cependant moins langoureux et intense que celui de Pepper, et se distinguait par un ton mĂ©lancolique qui rappelait Ă  la fois le style de Charlie Parker et de Benny Carter.
Shank a remporté le prix de National Academy of Recording Arts and Sciences (NARAS) à quatre reprises. Shank avait enregistré plus de cinquante albums au cours de sa carriÚre.
©-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Bud Shank.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Bud Shank.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Bud Shank (1926-2009).’’ National Jazz Archives, 2023.
FORDHAM, John. ‘’Obituary: Bud Shank.’’ Guardian News, 6 avril 2009.
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mrullmann · 1 year
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Cette semaine au @nopi_paris Jeudi 16 FĂ©vrier 19H30 @popcornfactoryorchestra ( Soul, Pop, Funk ) Orchestre plein d’énergie qui rĂ©veillera votre envie de danser. 20H30 @mckinley_james ( Soul, Blues , Rock from USA ) “Ce jeune musicien, accompagnĂ© sur scĂšne par un papa qui prĂ©cĂ©demment Ă©paulait JD McPherson, est dĂ©jĂ  un guitariste-chanteur accompli, aussi bien Ă  l'aise dans la soul vintage que dans le rock'n roll ou le rockabilly. Dan Auerbach (Black Keys) a produit son rĂ©cent EP. McKinley James se produira, pour la premiĂšre fois en France, ne le manquez surtout pas! » Michel- @fargovinylshop -Pamlpune 23H @dakotalegroupe : power trio Pop Rock. Les 3 garçons chantent Ă  tour de rĂŽle , avec chacun un univers et une couleur singuliĂšre. Classic Rocks des Beatles ,TĂ©lĂ©phone ou ACDC jusqu’à ABBA Vendredi 17 FĂ©vrier 20H Concert Surprise. Ne posez pas de questions. Venez, si vous le regrettez pour sur. La seule excuse, ne pas ĂȘtre libre. 21H @sachanaigard ‘Combo Band : concert de prestigieux guests surprise, reprenant des tubes infaillibles 23H @lucianoandtheclouds ( Queen, Rock, 80’s & More ) Un des rĂ©sidents prĂ©fĂ©rĂ©s des NOPIENS. Samedi 18 FĂ©vrier TWIST AND SHOUT La soiree culte @twist_and_shout_ est de retour avec une date explosive, et un line-up unique. au programme: ★ Live ★ @the_hoodoo_tones est un trio de rockabilly et de rock n’roll fondĂ© en 2013 dans le Nord de la France. Peu de groupes peuvent prĂ©tendre avoir fait le tour de l’expression « faire ses armes » mais en Ă©cumant les bars, les salles et autres Ă©vĂ©nements, ont forgĂ© une expĂ©rience qui donne Ă  leur musique un caractĂšre explosif remarquĂ© en live. @lesalligators groupe essentiel du rockabilly français des 80’s reviennent, menĂ©s par leur leader historique, Alain ChenneviĂšre! @spunyboys : 1200 gigs depuis 2006 dans toute l’Europe, le Japon, Las Vegas. Une des grandes rĂ©fĂ©rences du Rockabilly qui vous rendront votre Ăąme Rock N Roll ★ Dj Set ★ avec le fondateur du Twist and Shout @alessio_granata + warm UP vinyl Set par @nicobandini et @nicolasullmann ★ Workshop de danse 50's ★ avec @martyandmissdee ÂŽs team ★ Coiffure et Maquillage d'Ă©poque (gratuit !) avec @pinupmissyou (Ă  NO.PI PARIS) https://www.instagram.com/p/Coo3Y0lKFW_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lounesdarbois · 2 years
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Semaine du 9/5
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Lundi. Etude, travail. Jeunette le soir, qui rentre d'une journĂ©e Ă  la mer. Elle reste deux heures, part, puis revient plus tard. Elle met "sa musique", notamment SĂ©bastien Tellier (bonne surprise). Prenant place devant le PC, elle fait sa sĂ©lection, explique en quoi les morceaux me sont dĂ©diĂ©es par des paroles toutes en clin d’Ɠil, ceci avec mille façons et minauderies charmantes.
Mardi. Matinée au marché. Moiteur et chaleur de l'atmosphÚre comme les matins au Vietnam. Travail en journée, entrainement le soir. La salle de boxe est attenante à une salle de "muscu". Comparaison des silhouettes : l'art Déco est à la musculature de l'athlÚte grec ce que le Rococo est à la musculature bodybuilding.
Mercredi. Livraisons. Jeunette au téléphone, furieuse pour un incident de la veille. ScÚne. Puis elle revient, plus gentille encore. 
Jeudi. Achat d'un cadeau chez Carhartt pour un camarade. Vendeuse visiblement LGBT vous réserve un accueil glacial puis elle s'engage dans une sorte de bras de fer mental de froideur qui contraste fort avec les injonctions à la courtoisie, avec la surveillance draconienne qui prévalaient dans ce type de job que je faisais à l'occasion, au début des années 2000.
La nouvelle conseillĂšre bancaire en ligne fait des siennes. Les banques vident vos comptes en vous ponctionnant de mille grignotages par des frais, des agios, des provisions, sans vous prĂ©venir. Dans le mĂȘme temps elles requiĂšrent des vĂ©rifications doubles et triples par "clĂ© digitales" pour que vous puissiez accĂ©der Ă  votre propre compte. Lorsque faire son propre secrĂ©tariat devient un parcours du combattant...
Soir. Entrainement.
Vendredi. Courses en prévision de ce qui va suivre.  Visite de * venu de Cannes pour quelques jours. Camarade de 25 ans, connu en 1997 à Grenoble. Nous faisons bombance d'un poulet rÎti "Français en exil", puis marchons dans le quartier. * tombe une bouteille de vodka, sans moi qui puis à peine en supporter une goutte.
En rentrant nous nous amusons beaucoup du jargon juridique du rÚglement intérieur de l'immeuble que nous lisons à haute voix plusieurs fois, avec plusieurs accents: "Chaque ayant-droit s'engage à jouir bourgeoisement de son bien immobilier dont il détient la jouissance exclusive en propriété privée, ce dans le cadre strictement prévu par la loi, d'une maniÚre conforme en tous points aux dispositions prévues par l'article... (etc)"
Samedi 14 Mai.
Je traĂźne * Ă  l'entrainement de boxe. Nous trempons chacun notre maillot puis rentrons. * rĂ©pare des nĂ©ons du plan de travail de la cuisine. Il faut aller au "Brico" chercher des piĂšces manquantes. En chemin nous nous laissons distraire par la vitrine d'un de ces clubs de sport en salle aux murs tous noirs. Nous entrons, un monsieur tout fier nous met la main dessus immĂ©diatement et nous tient une demi-heure pour vendre les services de son club. Nous ne comprenons rien. Tout n'est que "Xcross", "kettlebell", "workshops", "mobility", "TRX", puis "TRX flow", etc. Pourtant nous acquiesçons, pris par l'aspect incongru de la scĂšne, curieux de voir oĂč cela mĂšnera. C'est une expĂ©rience... Je ne sais si ce genre de vendeur m'inspire de la peine ou de la colĂšre et demeure stupĂ©fait de la confiance en soi de ce genre de profil. Pas une seconde le monsieur n'a soupçonnĂ© qu'il perdait son temps avec nous, ni mĂȘme n'a demandĂ© quels Ă©taient nos besoins, nos habitudes, nos centres d'intĂ©rĂȘt bref, les bases du "probing" et de l'AIDA (Attention-DĂ©sir-IntĂ©rĂȘt-Achat). Oh mon Dieu si j'avais agi ainsi chez Nespresso ou chez SThree Ă  l'Ă©poque, comme les managers m'auraient rabrouĂ©!
Aller-retour au "Brico", nous rentrons peaufiner les réparations puis prenons la route direction Seraing dans la province de LiÚge pour rendre une visite. Grand beau temps, mais toujours cette déglingue sociale latente qui rÎde, qui colle au cul de la Belgique francophone. Nous savons tant de choses et ignorons pourtant comment vivre.
Soir, retour à Bruxelles, apéritif place Jourdan, puis pizza du samedi comme de vrais papas Italiens. AtmosphÚre d'été, ambiance de station balnéaire du sud de la France.
Jour du Seigneur. Seul à l'office du matin. Joie du Regina Caeli: chant bref, ramassé, heureux. 
Retour, cafĂ© aramĂ©en avec *, puis nous montons voir Y* chez lui, un vieux Belge qui nous raconte son passĂ© de braqueur des annĂ©es 70, sa cavale de 10 annĂ©es au Venezuela, en Afrique, des faits tous vĂ©rifiĂ©s, point d'affabulations! Il a 4 enfants de 3 femmes diffĂ©rentes. Dire que notre gĂ©nĂ©ration s'embarrasse de mille scrupules inquiets avant mĂȘme d'avoir un seul enfant...
AprĂšs-midi. Kermesse devant une Ă©glise du quartier europĂ©en. Nous mangeons, buvons et parlons avec les passants Ă  droite et Ă  gauche. Un ami se joint Ă  nous, il m'enchante Ă  Ă©voquer l'histoire des Chams du Vietnam et du Cambodge, dans leurs zones de peuplement que j'ai connu en 2006, peuple extrĂȘmement beau, proche des KhmĂšres et de cette Asie brune davantage artiste qu'industrieuse, Ă  l'encontre de l'Asie jaune. Autour de nous, de nombreuses filles dont certaines assez charmantes. Je prends quelques numĂ©ros, et une fille qui pourtant s'Ă©tait refusĂ©e quelques mois plus tĂŽt, me lance un regard noir alors qu'elle me voit en compagnie d'une autre. Elles vous veulent "cĂ©libataires et fidĂšles", ces chĂšres petites dĂ©sormais! Les deux camarades et moi descendons Ă  Saint-Josse puis remontons Ă  Schaerbeek, place Dailly, en terrasse. JournĂ©e de canicule paisible, passĂ©e Ă  traĂźner, Ă  rire et boire, Ă  croiser des connaissances, Ă  taper la discussion, la vie... Plus tard, dĂźner ensemble Ă  la maison, puis un tour au parc oĂč nous prenons le frais jusque tard dans la nuit allongĂ©s dans l'herbe, tenant des conversations d'hommes. Ce con de * manque de dĂ©clencher une embrouille avec 3 cailleras en trottinette parce qu'il les vise de loin avec un pointeur laser. Le genre d'habitudes contractĂ©es Ă  Grenoble il y a plus de 20 ans, lorsque nous Ă©tions une bande de types aguerris et renseignĂ©s.
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dustedmagazine · 2 years
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Duet Emmo — Or So It Seems (Mute)
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Photo by Angela Conway
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In the early 1980s with Wire in hiatus and nominal front man Colin Newman exploring a more classic sound on A To Z and Not To, his bandmates BC Gilbert and Graham Lewis delved into abstract ambient, electronic and musique concrete under the name Dome. A studio encounter with Mute founder Daniel Miller (The Normal and Silicon Teens) led to the recording and 1982 release of this one-off collaboration which was and has been largely disregarded but has now been remastered by Stefan Betke AKA Pole.
Duet Emmo is an odd combination: the austerity of Gilbert and Lewis knocking against Miller’s playful synth pop proclivities. Or So It Seems plays with this dichotomy with mixed results finding some intersections and common ground between the three. Something of a time capsule, the album looks backwards to the BBC Radiophonic Workshop and Brian Eno’s ambient works, nods to contemporaries like Cabaret Voltaire and Throbbing Gristle and displays some DNA of future synth pop, industrial ambience and techno. 
On the song-based side, Gilbert takes lead vocals on the title track with the orotund theatricality typical of a section of the English synth scene. He aims for deep seriousness but leaves enough wriggle room to combat accusations of pretense. The result sounds like a lesser Eyeless in Gaza played over a slowed down version of Silicon Teens souped up synth rendition of “Memphis Tennessee.” “The First Hand” has a rolling squelchy Radiophonic riff and proto-techno arpeggiated synths as Gilbert and Miller intone sententious lines about love in a consumerist climate. Both are more interesting for what they could have been and how they point to the future. 
“Long Sledge” is a 16-plus minute long ambient drone piece. Distant bass drum and tom beats back machine noise that ebbs and flows like an aural tour of an ironworks in winter. When the drums drop out, it feels like the gates and windows have been thrown open to snow filled gusts as the molten metal cracks and screams at the affront. “Gatemmo” sounds like an outtake from any number of modern voice based ambient records. 
Or So It Seems is a fascinating document of its time, an anomalous entry into the discographies of its producers but nonetheless of interest to fans of both and the scenes from which they emerged and in Miller’s case championed. A step on the path from Eno, COUM Industries and Western Works to synth pop and beyond.   
Andrew Forell
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emca-muzinleontine2024 · 3 months
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Réalisation d'un zootrope revisité en volume lors d'un workshop en 48h, par groupe de 4.
J'ai participé à la réalisation de la marionnette, du socle, et de la prise de vue.
Musique : AC/DC - Thunderstruck
Logiciel(s) utilisé(s) : Dragonframe, Adobe Premiere Pro
novembre 2023
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lamilanomagazine · 3 months
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Pesaro2024 presenta il nuovo progetto di ISAC-2024: 'In Ascolto: la SonosferaÂź da dentro, fuori e oltre'
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Pesaro2024 presenta il nuovo progetto di ISAC-2024: 'In Ascolto: la SonosferaÂź da dentro, fuori e oltre'. Pesaro 2024 presenta un nuovo progetto di dossier che prende corpo nell'anno da Capitale: si tratta di 'In Ascolto: la SonosferaÂź da dentro, fuori e oltre', collocato nella sezione della 'natura vivente' della cultura, attuato dalla Fondazione Centro Arti Visive Pescheria, a cura di David Monacchi. Il progetto nasce all'interno di ISAC-2024 (International SonosferaÂź Ambisonics Competition 'Eugenio Giordani'): l'Associazione Culturale Fragments of Extinction implementa la realizzazione operativa della seconda edizione del concorso internazionale di composizione elettroacustica tridimensionale per SonosferaÂź ideato da David Monacchi nel 2023 e dedicato al M° Eugenio Giordani docente del Conservatorio Rossini scomparso nel 2020 che ha diretto per 40 anni la storica Scuola di Musica Elettronica del Conservatorio Rossini. VenerdĂŹ 15 marzo in SonosferaÂź, in programma la premiazione e il concerto dei premiati al termine di una mini-residenza dei vincitori per l'ottimizzazione delle proprie composizioni che si svolge nell'anfiteatro tecnologico per l'ascolto profondo di ecosistemi e musica di Pesaro cittĂ  creativa Unesco della Musica. Nel segno del dialogo internazionale, ISAC-2024 si avvale di un partner prestigioso: l'IRCAM Centre Pompidou di Parigi. Dopo il grande successo della prima edizione di ISAC che ha visto la partecipazione di 77 candidati provenienti da ben 26 paesi, l'IRCAM – che proprio nel 2024 celebra il 30° anniversario del suo Forum - ha proposto a Pesaro 2024 - Capitale italiana della cultura la collaborazione per il concorso 2024 per creare un premio in sinergia. La confluenza preziosa di ricorrenze rappresenta cosĂŹ un'opportunitĂ  unica per i vincitori che avranno il privilegio di viaggiare da Pesaro a Parigi, sperimentando due delle strutture pubbliche di fama mondiale per l'ascolto acusmatico High-Order Ambisonics (HOA): SonosferaÂź a Pesaro ed Espace de Projection a Parigi. Alla chiusura della call, i risultati sono straordinari: 149 candidature da 42 paesi, piĂč del doppio rispetto all'edizione ISAC-2023. Il concorso ISAC funge da piattaforma per supportare le pratiche creative nella musica interamente perifonica e nella composizione di paesaggi sonori. Contribuisce alla diffusione di una cultura incentrata sull'ascolto acusmatico tridimensionale, una visione cara ai pionieri della musica elettronica ma che finora non Ăš stata esplorata a fondo, visti i vantaggi dei moderni software e delle tecnologie elettroacustiche. Due le commissioni del concorso:  la steering committee composta da Nicola Casetta, Carmine Emanuele Cella, Tommaso Giunti, David Monacchi, Alessandro Petrolati; la giuria internazionale a cura dell'IRCAM: Núria Giménez Comas, Sivan Eldar, Philippe Langlois, Frank Madlener, David Monacchi, Markus Noisternig (Chair).  In Ascolto: la SonosferaÂź da dentro, fuori e oltre ISAC-2024 CALENDARIO Pesaro, SonosferaÂź - giovedĂŹ 14 marzo  prove dei candidati - venerdĂŹ 15 marzo 9-13 prove e ottimizzazioni composizioni dei candidati 16-17 concerto d'ascolto dei finalisti 17.15-18.15 sede in definizione cerimonia di premiazione 18.30-19.30 Concerto dei premiati - sabato 16 marzo 17-18 Concerto dei brani short list 1 18-19 Concerto dei brani short list 2 21-22 Concerto dei premiati - domenica 17 marzo 16.30-17.30 Concerto dei brani short list 2 17.30-18.30 Concerto dei premiati Parigi, Espace de projection - martedĂŹ 19- venerdĂŹ 22 marzo 2024 Partecipazione dei vincitori ai workshop del Forum IRCAM e al lavoro di remix in situ all'Institut de recherche et coordination acoustique/musique; - venerdĂŹ 22 marzo 2024 Evento finale nei workshop del Forum IRCAM 2024 e concerto finale   Alla conferenza stampa erano presenti: in collegamento Daniele Vimini vicesindaco e assessore alla Bellezza del Comune di Pesaro e Agostino Riitano direttore artistico Pesaro 2024; il professore David Monacchi ideatore di SonosferaÂź.   Ha aperto Daniele Vimini: questo progetto con due specificitĂ  importanti: ovvero quella di dimostrare le potenzialitĂ  di SonosferaÂź - anfiteatro tecnologico che nasce per raccontare paesaggi sonori ma anche per la composizione digitale - attraverso un concorso mondiale. E poi il concorso nel nome di Eugenio Giordani - fra l'altro la fase finale dei concerti avverrĂ  nei giorni del suo compleanno – Ăš caratterizzato da un forte coinvolgimento internazionale, con un senso di comunitĂ  locale e globale. Tutto ciĂČ con un grande lavoro tecnico dietro. Ed Ăš prezioso e unico che ad un concorso che aveva giĂ  un credito internazionale si sia unita un'istituzione come l'IRCAM di Parigi. E' chiaro che si tratta di uno degli appuntamenti piĂč qualificanti della Capitale della cultura perchĂ© ha anche la caratteristica della riproducibilitĂ  della formula negli anni, dunque un progetto che non si esaurisce con il 2024 ma ha la possibilitĂ  di sedimentare le esperienze diventando patrimonio consolidato.   Ha continuato Agostino Riitano: oggi con l'avvio del progetto che vede SonosferaÂź protagonista per noi Ăš anche l'occasione per ricordare che SonosferaÂź Ăš stata sicuramente una delle fonti di ispirazioni centrali per la definizione del tema del nostro dossier di candidatura che ci ha consentito poi di vincere il titolo di Capitale della cultura. All'epoca l'incontro con la SonosferaÂź Ăš stata una folgorazione perchĂ© al suo interno arte, natura e tecnologia sono straordinariamente legati tra loro e ci hanno dato la possibilitĂ  di avere una tangibile presenza nell'ecosistema culturale della cittĂ  di quella che poteva essere per noi la declinazione della natura della cultura, ovvero la relazione tra arte, natura e tecnologia. Questo Ăš stato un elemento decisivo perchĂ© dall'esperienza in SonosferaÂź abbiamo iniziato un'interlocuzione molto forte con Monacchi disponibilie fin da subito a condividere tutti i ragionamenti alla base di quella che Ăš una vera e propria invenzione artistica: Ăš importante sottolinearlo, c'Ăš un forte aspetto pioneristico e un cambiamento epocale per la fruizione ma anche per la composizione musicale. Questo Ăš alla base del concorso di cui quest'anno ricorre la seconda edizione con cui alziamo decisamente l'asticella, che ha raggiunto una maturitĂ  straordinaria e che ci darĂ  ulteriori opportunitĂ  di sperimentazione. Ricordo che sempre legato alla SonosferaÂź c'Ăš il progetto Twin Color di cui parleremo piĂč avanti.   Le conclusioni affidate a David Monacchi: ISAC Ăš un concorso che Ăš alla seconda edizione, l'anno scorso eravamo soli, avevamo lanciato questa iniziativa sotto l'idea del Maestro Eugenio Giordani che non c'Ăš piĂč e che ci ha lasciato proprio con la volontĂ  di lanciare un concorso per la SonosferaÂź che potenziasse la composizione elettroacustica a livello internazionale proprio per questi spazi tridimensionali. GiĂ  l'anno scorso abbiamo avuo grandi risultati, per l'anno in corso abbiamo la collaborazione dell'IRCAM di Parigi. Non Ăš stato facile istituire una collaborazione perĂČ Ăš stato grande l'interesse di Parigi a seguire tutte le nostre istanze e impostazioni, si sono miracolosamente accodati a questa iniziativa cui abbiamo dato forma nel segno e nel solco dell'edizione 2023. Quest'anno la call lanciata a livello internazionale ha coinvolto i nostri contatti in ambito accademico ma anche tutto il bacino di utenza del Centre Pompidou. E i numeri sono raddoppiati con tutta l'Europa rappresentata, il Nord America, Cina, Giappone, Corea, Taiwan, Hong Kong con presenza forte dell'Oriente. Quindi il concorso Ăš diventato il piĂč importante al mondo per la composizione musicale acusmatica. Dunque l'adesione cosĂŹ forte ci ha messo nelle condizioni per cui la Capitale della cultura 2024 Ăš diventata anche capitale della musica elettroacustica tridimensionale acusmatica; vuol dire che abbiamo messo in moto un meccanismo virtuoso per far capire al mondo che la musica elettroacustica puĂČ essere ascoltata in un modo molto specifico che la SonosferaÂź consente: e cioĂš essere in uno spazio del tutto buio e dove le sorgenti sonore stanno tutte attorno. La metafora del titolo 'In Ascolto: la SonosferaÂź da dentro, fuori e oltre', rende bene l'idea di questa compenetrazione.   Il significativo progresso nelle tecnologie del suono tridimensionale negli ultimi anni ha portato alla proliferazione di creazioni artistiche in diversi ambiti della produzione musicale. Generi come la musica elettronica ed elettroacustica, la soundscape composition, i documentari tematici, gli audiodrammi, le registrazioni musicali, ecc., stanno ora adottando tecniche audio spaziali. CiĂČ consente di modellare il suono all'interno di un dominio sferico, trasformando lo spazio (compresa la posizione, dimensione e prospettiva delle sorgenti sonore) in uno strumento compositivo tangibile. Fondato a Pesaro nel 1971 da Walter Branchi e sotto la direzione di Eugenio Giordani per oltre quattro decenni, il laboratorio elettronico per la musica sperimentale LEMS ha coltivato una tradizione sulla composizione elettronica pionieristica in Italia. Sebbene vi sia ormai un'ampia disponibilitĂ  di software e hardware per la sintesi, la manipolazione e la post-produzione del suono in queste creazioni, Ăš evidentemente molto meno comune poter utilizzare teatri e luoghi attrezzati per riprodurre queste opere in perifonia sferica, in particolare per un pubblico di sufficienti dimensioni. SonosferaÂź soddisfa entrambe le esigenze: uno standard tecnologico di 6° ordine Ambisonics di altissimo livello qualitativo sonoro, e una capienza di 60 posti.   SonosferaÂź E' un anfiteatro tecnologico mobile per l'ascolto profondo degli ecosistemi e della musica, progettato per Pesaro CittĂ  Creativa della Musica UNESCO da David Monacchi, inaugurato nel gennaio 2020. Lo spazio Ăš dotato di 45 altoparlanti costruiti appositamente e posizionati in uno spazio sferico isolato acusticamente e con una perfetta acustica interna. Spalti circolari trasparenti al suono sollevano il pubblico sopra un emisfero inferiore acusticamente "attivo", mentre quello superiore Ăš dotato anche di uno schermo di proiezione a 360°. L'ascoltatore si trova cosĂŹ al centro del paesaggio sonoro, nell'oscuritĂ  di una stimolante esperienza sensoriale acusmatica, talvolta "illuminata" da analisi visive del suono stesso. SonosferaÂź Ăš stato infatti originariamente progettato e costruito per la ricostruzione sferica e la visualizzazione delle registrazioni effettuate negli ecosistemi primari delle foreste pluviali tropicali, come parte del progetto a lungo termine 'Fragments of Extinction".   Espace de Projection Situato all'interno dell'IRCAM di Parigi, l'Espace de Projection Ăš una sala per spettacoli di medie dimensioni con acustica adattabile, che puĂČ ospitare circa 400 posti. Costruito negli anni '70, il suo design mirava a offrire un'ampia flessibilitĂ  in termini di forma, dimensioni e caratteristiche acustiche. Grazie a questa adattabilitĂ  architettonica, diverse caratteristiche acustiche possono essere regolate separatamente. L'impostazione audio risulta coinvolgente e senza precedenti per i nuovi media e le arti performative. Offre inoltre attrezzature all'avanguardia per la ricerca sperimentale nell'audio spaziale ad alta definizione e nella cognizione spaziale uditiva. ISAC-2024 Ăš promosso da Pesaro 2024 - Capitale italiana della cultura e Comune di Pesaro/Assessorato alla Bellezza, prodotto dall'organizzazione no-profit Fragments of Extinction in collaborazione con la Fondazione Centro Arti Visive Pescheria e il Conservatorio Rossini.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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Workshop de stop motion réalisé en groupe de 4 en deux jours en novembre 2023
Logiciels utilisés: Dragon Frame, Premiere Pro
Musique: Thunderstruck de AC/DC
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swedesinstockholm · 11 months
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21 mars
j’ai un sĂ©rieux problĂšme d’organisation de mon emploi du temps. j’arrive Ă  rien faire et j’ai tout Ă  faire. hier soir j’ai rouvert mes projets sur premiere, aprĂšs des mois de nĂ©gligence, pour voir si ça marchait toujours aprĂšs la mise Ă  jour de mon ordi (au moins j’ai enfin fait ça et ça me change la vie) et non seulement ça marche toujours mais en plus ça m’a rappelĂ© Ă  quel point j’aimais ça, la vidĂ©o, les images qui bougent, ça m’a vraiment donnĂ© envie de continuer ce projet de film sur les journaux de mon pĂšre et les miens, et puis aussi de faire un truc avec toutes les images de flamants roses et d’étang et d’éoliennes et d’algues de l’annĂ©e derniĂšre. je les regardais avec le live de vitalic sur france 4 en fond et ça allait trĂšs bien ensemble. j’ai rouvert waveform aussi mais je m’en sors toujours pas. je veux apprendre Ă  m’en servir pour faire de la musique pour mes films, et puis une fois que je saurai m’en servir je dois m’acheter un micro avec un cĂąble comme celui qu’on avait au studio de genĂšve, rien que pour le plaisir de chanter dans un micro. rien que le fait de le tenir dans la main dĂ©jĂ  ça me plait. c’est peut ĂȘtre une question d’expression, d’avoir la parole, d’ĂȘtre vue et entendue, regardĂ©e et Ă©coutĂ©e, au centre de l’attention. look at me, toujours ça.
ça me rappelle brieuc du workshop de bruxelles. je sais pas Ă  quel point il Ă©tait sincĂšre, mais dans une des impros il racontait qu’il avait pas reçu assez d’amour quand il Ă©tait enfant, et lui aussi il aimait tenir le micro. et chanter, ĂȘtre au centre, raconter sa vie et parler d’amour. il a lu des extraits de la correspondance de virginia woolf et de vita sackville west le dernier jour, et puis il a chantĂ© hentai de rosalĂ­a, d’une façon archi vulnĂ©rable. je me reconnaissais un peu en lui mais en mĂȘme temps il me mettait trop mal Ă  l’aise. il Ă©tait tout mou. parler avec lui c’était comme de marcher sur des machins en plastique qui flottent sur l’eau, ou n’importe quelle surface instable, sans prise. je savais jamais vraiment oĂč on en Ă©tait. le dernier soir on s’est briĂšvement pris dans les bras et c’était l’étreinte la plus molle et inconsistante que j’aie jamais vue.
Ă  genĂšve sophie de prague est venue nous voir au studio et quand je lui ai dit au revoir je l’ai serrĂ©e fort et ça l’a surprise et elle a dit oh i wasn’t expecting a big hug like this! mais j’étais Ă  peine embarrassĂ©e parce que j’étais vraiment contente de l’avoir revue et j’avais pas envie de m’en cacher. j’adore l’énergie de sophie, elle me met toujours Ă  l’aise. en rentrant j’ai rĂ©Ă©coutĂ© le message vocal rempli de belles choses qu’elle m’avait envoyĂ© en rentrant de prague, pour me rappeler de ce que les gens me disent, dans l’espoir toujours que ça finisse par me donner confiance en moi, que ça solidifie mes bases, mes bases aussi molles et tremblotantes que l’étreinte de brieuc. et en mĂȘme temps, j’ai quand mĂȘme l’impression d’avoir quelque chose de trĂšs solide au fond de moi.
23 mars
j’ai rĂȘvĂ© du rĂ©chauffement climatique, pour la deuxiĂšme fois je crois cette semaine, il y avait des Ă©normes feux de forĂȘt tout prĂšs de la vieille bĂątisse austĂšre oĂč une vieille dame s’occupait de notre rĂ©sidence. j’ai commencĂ© Ă  voir les collines rougeoyer mais personne ne me prenait au sĂ©rieux et il a fallu que les cendres commencent Ă  voler pour qu’on dĂ©cide de m’écouter et partir mais c’était trop tard, les routes Ă©taient saturĂ©es de voitures, alors que si on m’avait Ă©coutĂ©e plus tĂŽt on aurait pu partir sans problĂšme.
10 avril
j’ai passĂ© les trois derniĂšres semaines Ă  Ă©crire sur l’ordi, principalement le scĂ©nario pour le concours littĂ©raire national dont le thĂšme cette annĂ©e est le scĂ©nario et le maudit texte sur wittig que j’avais proposĂ© d’écrire pour les cahiers qgf et qui m’a causĂ© beaucoup de tourments. aprĂšs avoir plusieurs fois dĂ©cidĂ© d’abandonner j’ai fini par leur envoyer mon texte hier et maintenant je suis morte de peur parce que j’y parle de dragons et de tĂ©lĂ©films de tf1 et de a. (ENCORE) et j’y fais mon coming out de lesbienne non pratiquante et dans le mail j’ai mis qu’elle hĂ©sitent surtout pas Ă  ne pas le mettre dans la revue si elle le jugent pas assez pertinent. si elles le mettent pas j’oserai plus jamais les regarder en face. j’oserai mĂȘme plus jamais les voir tout court. qu’est-ce qui m’a pris. les histoires de genre et de sexualitĂ© me sortent par les oreilles. j’ai passĂ© la semaine entiĂšre Ă  travailler dessus du matin au soir, je sais pas pourquoi je voulais pas abandonner, je voulais tenir bon, me donner une chance, me faire confiance, me dire que ce que j’avais Ă  dire Ă©tait valide et pertinent et intĂ©ressant. je me sens proche et Ă  la fois trĂšs Ă©loignĂ©e de ces questions. j’y rĂ©flĂ©chis beaucoup et en mĂȘme temps j’ai l’impression que ça me concerne pas, que je vis en dehors de tout ça, en dehors de la sociĂ©tĂ©. laissez-moi tranquille.
mercredi soir je regardais l’auberge espagnole tout en travaillant sur mon texte et y a tellement de choses qui vont pas dans ce film mais j’avais trop envie de revoir les scĂšnes avec cĂ©cile de france pour voir la reprĂ©sentation des lesbiennes que j’ai eue en grandissant et essayer de me rappeler ce que j’en pensais, mais je m’en rappelle pas. je crois juste que la scĂšne de drague avec la prof de flamenco a trĂšs inconsciemment beaucoup influencĂ© mes fantasmes, cf. laura a. et puis y a une scĂšne oĂč wendy a un comportement trĂšs lesbophobe et wendy c’était mon personnage prĂ©fĂ©rĂ© Ă  l’époque, alors bon. ensuite, samedi soir Ă  the voice y avait un candidat trĂšs ambigu et androgyne et maman Ă©tait trĂšs focalisĂ©e sur le fait de savoir si c’était un homme ou une femme et j’ai dit on s’en fout un peu non? mais aprĂšs j’ai pensĂ© Ă  moi l’autre jour Ă  la performance de la fille dans l’aquarium Ă  genĂšve qui pouvais pas m’empĂȘcher de me poser la question moi aussi et Ă  la force incroyable de cette idĂ©e de la binaritĂ©, de l’emprise qu’elle a sur notre cerveau, que ce systĂšme a sur notre cerveau. si j’ai bien compris wittig, tout ça remonte Ă  aristote. j’en parle un peu dans mon texte mais je suis en train de me rendre compte que j’aurais pu en parler plus et mieux.
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jpbjazz · 6 days
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LÉGENDES DU JAZZ
GERI ALLEN, LA DURE À CUIRE DU PIANO JAZZ
”If Geri was a man she’d have been celebrated as A Giant a long time ago.”
- J.T. Lewis
NĂ©e le 12 juin 1957 Ă  Pontiac, au Michigan, Geri Antoinette Allen était la fille de Mount Allen Jr., un directeur d’école, et de Barbara Jean Allen, une administratrice du gouvernement qui travaillait au service de l’industrie. Allen avait commencĂ© Ă  jouer du piano Ă  l’ñge de sept ans. Sa formation comme pianiste de jazz avait dĂ©butĂ© au dĂ©but de l’adolescence.
Allen avait fait ses Ă©tudes au cĂ©lĂšbre Cass Technical High School de Detroit, qui avait formĂ© de grands noms du jazz comme Paul Chambers, Wardell Gray, Alice Coltrane, Gerald Wilson et Donald Byrd. Au Cass Technical High School, Allen  avait Ă©tudiĂ© avec le trompettiste Marcus Belgrave, le directeur du Jazz Development Workshop. Bekgrave avait servi de mentor Ă  des sommitĂ©s du jazz comme le saxophoniste Kenny Garrett et la violoniste Regina Carter. Allen avait plus tard retournĂ© la politesse Ă  Belgrave en l’invitant Ă  participer Ă  l’enregistrement de ses albums ‘’The Nurturer’’ et ‘’Maroons’’ au dĂ©but des annĂ©es 1990. TrĂšs proche d’Allen, la veuve de Belgrave, Joan, avait dĂ©crit ainsi la relation de son mari avec la future pianiste: “Geri called Marcus her musical father. I loved her as my sister. She was not only the pride of the Detroit jazz world, but was the most giving and loving person I have ever known. To be on the bandstand with her or watch her from the stage wings was always a spiritual encounter.”
Avec un autre mentor, le batteur Roy Brooks, Allen avait dĂ©veloppĂ© un grand intĂ©rĂȘt pour la musique de Thelonious Monk, dont elle avait souvent interprĂ©tĂ© les compositions.
AprĂšs avoir dĂ©crochĂ© son diplĂŽme d’études secondaires, Allen avait Ă©tudiĂ© Ă  l’UniversitĂ© Howard, oĂč elle Ă©tait devenue une des premiĂšres Ă©tudiantes, tous sexes confondus, du programme de jazz de l’universitĂ©, qui Ă©tait alors dirigĂ© par le trompettiste Donald Byrd. 
AprĂšs avoir obtenu son baccalaurĂ©at en 1979, Allen s’était briĂšvement installĂ©e Ă  New York et avait Ă©tudiĂ© avec le pianiste Kenny Barron. Par la suite, Allen avait Ă©tudiĂ© Ă  l’UniversitĂ© Howard sous la direction du saxophoniste Nathan Davis et du musicologue ghanĂ©en Joseph Hanson Kwabena Nketia. La thĂšse de maĂźtrise d’Allen Ă©tait une analyse de l’oeuvre du multi-instrumentiste Eric Dolphy.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
AprĂšs avoir dĂ©crochĂ© sa maĂźtrise en ethnomusicologie en 1982, Allen Ă©tait retournĂ©e Ă  New York, oĂč elle avait d’abord accompagnĂ© l’ancienne chanteuse des Supremes, Mary Wilson, avant de collaborer avec le saxophoniste Steve Coleman, le fondateur du M-Base Collective. La chanteuse Cassandra Wilson et le saxophoniste Greg Osby Ă©taient Ă©galement membre du groupe qui combinait les rythmes de la diaspora africaine Ă  l’improvisation et Ă  l’expĂ©rimentation.
Tout en saluant la connaissance d’Allen de l’histoire du jazz, Coleman avait dĂ©clarĂ© que la pianiste cherchait constamment Ă  dĂ©couvrir de nouvelles avenues. Coleman avait prĂ©cisĂ©: “We talked about music from all over the planet, and we talked about music from all eras.” La collaboration d’Allen avec Coleman avait dĂ©butĂ© en 1985 dans le cadre du premier album du saxophoniste intitulĂ© “Motherland Pulse”. Allen avait enregistrĂ© quatre albums avec Coleman, dont trois avec le groupe Five Elements.
En 1986, Allen avait retourné la politesse à Coleman dans le cadre de son album Open On All Sides In The Middle, qui mettait aussi en vedette son mentor Marcus Belgrave et le tromboniste Robin Eubanks.
Allen avait fait ses dĂ©buts comme leader en 1984 sur l’album “The Printmakers’’, un enregistrement en trio avec le contrebassiste Anthony Cox et le batteur Andrew Cyrille dans lequel elle avait dĂ©montrĂ© une grande virtuositĂ© mĂ©lodique et rythmique ainsi que ses remarquables talents de compositrice et d’innovatrice. L’album comprenait plusieurs de ses propres compositions. Toujours en 1984, Allen avait collaborĂ© avec le saxophoniste Oliver Lake dans le cadre de l’enregistrement de l’album Expandable Language publiĂ© sur Ă©tiquette Black Saint. La mĂȘme annĂ©e, Allen avait enregistrĂ© l’album Decision In Paradise avec le saxophoniste Frank Lowe.
Travaillant souvent en trio, Allen avait multipliĂ© les collaborations avec de grands noms du jazz comme le contrebassiste Ron Carter et le batteur Tony Williams (sur l’album Twenty One en 1994), le contrebassiste Charlie Haden et le batteur Paul Motian (albums Etudes, 1988 et Live at the Village Vanguard, 1990). Elle avait aussi jouĂ© avec le contrebassiste Dave Holland et le batteur Jack DeJohnette (album The Life of a Song, 2004). Allen avait Ă©galement enregistrĂ© deux albums avec Haden dans le cadre du Festival international de jazz de MontrĂ©al en 1989, dont un avec la Liberation Music Orchestra.
En 1985, Allen avait enregistrĂ© un premier album solo intitulĂ© ‘’Home Grown.’’ En 1987, Allen avait enchaĂźnĂ© avec l’album ‘’Open On All Sides—In the Middle.’’ En 1989, Allen avait enregistrĂ© “Twylight’’, un album de compositions originales qui combinait plusieurs instruments de percussion d’origine africaine avec des synthĂ©tiseurs. Lors d’un concert en duo avec le pianiste Kenny Barron Ă  Caramoor en 1994, Allen avait interprĂ©tĂ© Ă  la fois des compositions de Monk et son propre matĂ©riel.
Quelques annĂ©es plus tard, lors d’une performance au Village Vanguard de New York, Allen avait dirigĂ© un quartet composĂ© du contrebassiste Robert Hurst, du batteur Billy Hart et du percussioniste Mino Cinelu. En 1989, Allen avait Ă©galement collaborĂ© avec le saxophoniste Dewey Redman dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Living On The Edge.’’
En 1990, Allen avait accompagnĂ© la chanteuse Betty Carter sur l’album ‘’Droppin’ Things.’’ Le disque avait Ă©tĂ© mis en nomination pour un prix Grammy. De 1990 Ă  1996, Allen avait Ă©galement enregistrĂ© une sĂ©rie d’albums pour les disques Blue Note. Parmi ceux-ci, on remarquait Twenty One, un album en trio avec le contrebassiste Ron Carter et le batteur Tony Williams.
Allen s’était particuliĂšrement fait connaĂźtre pour ĂȘtre devenue une des premiĂšres pianistes acoustiques Ă  enregistrer avec Ornette Coleman depuis Walter Norris (sur l’album  Somethin' Else en 1958).  En effet, Coleman utilisait rarement des pianistes dans le cadre de ses groupes car il les trouvait trop restrictifs sur le plan harmonique. En 1996, Allen avait enregistrĂ© deux albums avec Coleman: ‘’Sound Museum: Hidden Man’’ et ‘’Sound Museum: Three Women.’’ À la mĂȘme Ă©poque, Allen s’était Ă©galement produite avec le quartet de la chanteuse Betty Carter, ce qui lui avait permis de dĂ©montrer sa grande polyvalence ainsi qu’une remarquable connaissance de la tradition.
Grande admiratrice de la pianiste Mary Lou Williams, Allen avait organisĂ© un symposium en son honneur alors qu’elle dirigeait le programme d'Ă©tudes de jazz de l'UniversitĂ© de Pittsburgh. Elle lui avait aussi rendu hommage en 2006 dans le cadre de l’album “Zodiac Suite: Revisited’’, dans lequel elle avait interprĂ©tĂ© sa cĂ©lĂšbre composition du mĂȘme titre ainsi que la piĂšce de musique sacrĂ©e “Mass for Peace.” PubliĂ© sous le nom du Mary Lou Williams Collective, l’album mettait Ă©galement en vedette le contrebassiste Buster Williams et les batteurs Billy Hart et Andrew Cyrille. En 1995, Allen avait Ă©galement fait une apparition dans le film Kansas City de Robert Altman dans lequel elle avait interprĂ©tĂ© un personnage inspirĂ© par Williams. Allen avait Ă©galement collaborĂ© avec l’actrice S. Epatha Merkerson et la docteure Farah Jasmin Griffin de l’UniversitĂ© Columbia dans le cadre de deux comĂ©dies musicales, “Great Apollo Women”, qui avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e en grande premiĂšre au cĂ©lĂšbre ThĂ©Ăątre Apollo de Harlem, et AM Conversation with Mary Lou”, qui avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e au Harlem Stage.
DERNIÈRES ANNÉES
En 2004, Allen avait participé à la tournée du groupe Orchestro Interrupto du batteur écossais Tom Bancroft.
À la fin de sa vie, Allen avait surtout enregistrĂ© pour l’étiquette new-yorkaise MotĂ©ma Records. Parmi les albums qu’Allen avait enregistrĂ©s au cours de cette pĂ©riode, on remarquait l’album solo ‘’Flying Toward The Sound et l’album de NoĂ«l ‘’A Child Is Born.’’ En avril 2016, Allen avait Ă©galement publiĂ© ‘’Perfection’’, un album en trio enregistrĂ© avec le saxophoniste David Murray et la batteuse Terri Lyne Carrington. PubliĂ© sous le nom de MAC Power Trio, l’album avait donnĂ© lieu Ă  une tournĂ©e aux États-Unis et en Europe la mĂȘme annĂ©e. Au cours de cette pĂ©riode, Allen s’était Ă©galement souvent produite en trio avec la contrebassiste Esperanza Spalding.
Aux critiques qui lui avait reprochĂ© d’abandonner la mĂ©lodie pour se livrer Ă  des envolĂ©es improvisĂ©es pour le moins explosives, Allen avait rĂ©pliquĂ©: “Audiences aren’t always given credit for being emotionally aware. I’ve found that most people are quite capable of internalizing emotions that are stimulated by music and art, even if the music isn’t immediately familiar.”
En 2006, Allen avait Ă©tĂ© mandatĂ©e par l’UniversitĂ© Howard pour composer une suite en hommage aux victimes et aux survivants de la tradĂ©gie du 11 septembre 2001. IntitulĂ©e "For the Healing of the Nations", la suite avait Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©e par la Howard University’s Afro-Blue Jazz Choir et Ă©tait dirigĂ©e par Connaitre Miller. Oliver Lake, Craig Harris, Andy Bey, Carmen Lundy, Nnenna Freelon, Jay Hoggard et la poĂšte Sandra Turner-Barnes avaient Ă©galement participĂ© Ă  l’enregistrement.
En 2011, Allen avait surpris tout le monde en enregistrant un album de NoĂ«l intitulĂ© ‘’A Child Is Born’’, dans lequel elle se produisait tant au piano qu’à l’orgue Farfisa, au cĂ©lestre, au clavinet et au clavier Fender Rhodes. Commentant l’enregistrement de l’album, Allen avait prĂ©cisĂ©: “My family is spiritually based. My pastor, Dr. William Howard, hugely impacted my musical and spiritual growth by warmly welcoming me into the church.”
Toujours en 2011, Allen avait enregistrĂ© ‘’Timeline Live’’, une collaboration avec le danseur de claquettes Maurice Chestnut qui lui avait valu une nomination pour un prix de la NAACP. Plus tard la mĂȘme annĂ©e, Allen avait enregistrĂ© ‘’Flying Toward the Sound’’, un album de piano solo dans lequel elle rendant hommage aux pianistes Cecil Taylor, Herbie Hancock et Thelonious Monk.
TrĂšs fiĂšre d’avoir gandi Ă  Detroit, Allen avait enregistrĂ© en 2013 “Grand River Crossings: Motown & Motor City Inspirations”, un album dans lequel elle avait interprĂ©tĂ© en solo plusieurs chansons de la cĂ©lĂšbre compagnie de disques Motown. Un an avant sa mort en 2017, la photographe Carrie Mae Weems avait invitĂ© le trio d’Allen Ă  se produire au Guggenheim Museum dans le cadre d’une performance intitulĂ©e "Past Tense/Future Perfect." 
Également professeur, Allen avait enseignĂ© durant dix ans le jazz et l’improvisation Ă  l’UniversitĂ© du Michigan. Allen avait amorcĂ© sa carriĂšre dans l’enseignement en prenant la relĂšve du saxophoniste Nathan Davis comme directrice du programme des Ă©tudes jazz Ă  l’UniversitĂ© de Pittsburgh en 2013. Allen avait inaugurĂ© son mandat dans le cadre d’un concert du Pitt Jazz Seminar. AprĂšs avoir amorcĂ© le concert avec une composition de son prĂ©dĂ©cesseur Nathan Davis, Allen avait enchaĂźnĂ© avec ‘’If’’, une composition originale qui rappelait davantage la piĂšce ‘’Bitches Brew’’ de Miles Davis que les piĂšces de hard bop qui avaient marquĂ© les dĂ©buts du programme de jazz quarante deux ans auparavant. En Ă©tablissant sa marque de façon aussi dĂ©cisive, Allen avait clairement dĂ©montrĂ© qu’un nouveau shĂ©rif Ă©tait dĂ©barquĂ© en ville.
En 2016, Allen Ă©tait devenue directrice artistique du Carr Center de Detroit, une organisation qui faisait la promotion de la culture afro-amĂ©ricaine. Allen avait Ă©galement Ă©tĂ© une des productrices de la version remastĂ©risĂ©e et Ă©largie de l’album ‘’The Complete Concert by the Sea’’ du pianiste Erroll Garner. Le projet avait mĂ©ritĂ© Ă  Allen une nomination au gala des prix Grammy en 2016. TrĂšs fiĂšre que ses Ă©tudiants puissent avoir accĂšs Ă  ce matĂ©riel, Allen s’était aussi produite au Festival de jazz de Monterey dans le cadre du 60e anniversaire de l’enregistrement de l’album en 2015 aux cĂŽtĂ©s des jeunes pianistes Jason Moran et Christian Sands.
Allen avait Ă©galement servi de mentor Ă  plusieurs jeunes musiciens. En 2014, Allen avait d’ailleurs participĂ© Ă  la fondation de la All-Female Jazz Residency, un programme d’étĂ© du New Jersey Performing Arts Center destinĂ© aux jeunes musiciennes de jazz de 14 Ă  25 ans. Allen travaillait aussi rĂ©guliĂšrement avec la batteuse Terri Lyne Carrington dans le cadre du Mosaic Project, un autre concept entiĂšrement fĂ©minin.
Geri Allen est morte Ă  Philadelphie le 27 juin 2017, deux semaines aprĂšs son 60e anniversaire de naissance, Ă  la suite d’une longue lutte contre le cancer du foie. Ont survĂ©cu Ă  Allen son pĂšre Mount Allen Jr., ses filles Laila et Barbara et son fils Wallace. De nombreux musiciens avaient assistĂ© aux funĂ©railles d’Allen Ă  Newark, au New Jersey, dont Cassandra Wilson, Carmen Lundy, Terri Lyne Carrington, Esperanza Spalding, Greg Osby, Kenny Barron, Vijay Iyer, Jack DeJohnette, Oliver Lake, Jeff  ‘’Tain’’ Watts, Nicholas Payton, Joe Lovano et Valerie Simpson.
RĂ©sidente de longue date de la ville de Montclair, au New Jersey, Allen avait passĂ© les quatre derniĂšres annĂ©es de sa vie Ă  Pittsburgh. Allen avait Ă©pousĂ© en 1995 le trompettiste Wallace Roney, mais le mariage s’est terminĂ© sur un divorce. Le couple avait eu une fille et un garçon. Roney est mort des suites de l’épidĂ©mie de Covid-19 en 2020. Commentant la mort d’Allen, son amie et collaboratrice, la batteuse Terri Lyne Carrington, qui avait commencĂ© Ă  jouer avec la pianiste dans les annĂ©es 1980, avait dĂ©clarĂ©:
"The jazz community will never be the same with the loss of one of our geniuses, Geri Allen. Her virtuosity and musicality are unparalleled. I will miss my sister and friend, but I am thankful for all of the music she made and all of the incredible experiences we had together for over 35 years. She is a true original — a one of kind — never to be forgotten. My heart mourns, but my spirit is filled with the gift of having known and learned from Geri Allen."
Saluant les talents d’innovatrice d’Allen, Carrington avait ajoutĂ©: “She could go anywhere, and she wasn’t in a box. That’s the kind of player that Geri was.” Pour sa part, le pianiste Kenny Barron, qui avait collaborĂ© avec Allen dans le cadre d’un concert en duo en 1994, avait soulignĂ© sa disparition en ces termes:
“I first met Geri when she was a student at Howard. She would take the train up to my house in Brooklyn for lessons. Even then it was apparent that Geri heard some things musically that others did not. In 1994 we performed a duo piano concert at the Caramoor Festival in New York and I realized how fearless she was and at the same time how focused she was. It was a lesson that I took to heart. Geri is not only a great musician, composer and pianist, she is a giant and will be sorely missed.”
De nombreux autres musiciens de jazz avaient soulignĂ© le dĂ©part d’Allen, dont le saxophoniste Wayne Shorter, qui avait dĂ©clarĂ©: “As Geri Allen’s life continues to unfold, her eternal journey will be a constant act of indestructible creativity {...). We’ll be with her all the way.’’ Quant au contrebassiste Christian McBride, il avait commentĂ©: “Today is a heartbreaking day. One of the most brilliant, creative artists of our time has transitioned. RIP to Ms. Geri Allen.” Le prĂ©sident de la chaire d’improvisation contemporaine du New England Conservatory (NEC), le docteur Hankus Netsky, avait Ă©galement Ă©tĂ© trĂšs affectĂ© par la mprt d’Allen. Il avait dĂ©clarĂ©:
“Like much of the musical world, New England Conservatory mourns the loss of pianist, scholar and educator Geri Allen, who taught at NEC in the early 1990s. A consummate musician in every respect, Geri was a gentle but demanding teacher who encouraged her students to broaden their listening, hone every aspect of their musical skills and develop their classical technique. She brought a serious diligence to everything she engaged in and championed a truly global perspective on the African American contribution to 20th-century music.” 
L’UniversitĂ© Harvard avait rendu hommage Ă  Allen aprĂšs sa mort en organisant un festival et un symposium en son honneur.
Allen a remportĂ© de nombreux honneurs au cours de sa carriĂšre, dont le prestigieux prix danois Jazzpar en 1996. Allen avait d’ailleurs Ă©tĂ© la premiĂšre femme et la plus jeune artiste Ă  se mĂ©riter cet honneur. BoursiĂšre de la Fondation Guggenheim en 2008, Allen avait Ă©galement remportĂ© un Distinguished Alumni Award de l’UniversitĂ© Howard en 1996. Allen avait aussi Ă©tĂ© rĂ©cipiendaire du Benny Golson Jazz Master Award en 2005 et du African American Classical Music Award qui lui avait Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© par le Spelman College en 2007. En 1995, Allen avait remportĂ© Lady of Soul Award pour son album Twenty-One, devenant ainsi la premiĂšre artiste Ă  se mĂ©riter cette distinction. Le prix avait Ă©tĂ© remis Ă  Allen dans le cadre de l’émission de tĂ©lĂ©vision Soul Train. Le Berklee College of Music avait Ă©galement dĂ©cernĂ© Ă  Allen un doctorat honorifique en 2014. Le CongrĂšs des États-Unis avait aussi accordĂ© Ă  Allen un Congressional Black Caucus Foundation Jazz Legacy Award en 2014. Le prix avait Ă©tĂ© remis Ă  Allen par le reprĂ©sentant du Michigan, John Conyers Jr.
ProfondĂ©ment influencĂ©e par la musique africaine, Allen avait dĂ©clarĂ© au cours d’une entrevue accordĂ©e Ă  Marc Myers du site JazzWax en 2012: “The music of most African societies integrates all of the arts, particularly dance. By doing this, the entire culture is embraced, not just music and musicians. The result is that audiences have a more vivid sense of music’s importance. The cultural embrace of music has been a big part of my reality and my art.”
Commentant un concert du trio d’Allen en 2011, le critique Nate Chinen avait Ă©crit dans le New York Times: “Her brand of pianism, assertive and soulful, has long suggested a golden mean of major postwar styles. She just as easily deploys the slipstream whimsy of Herbie Hancock, the earthy sweep of McCoy Tyner and the swarming agitation of Cecil Taylor.” Retraçant l’évolution du piano jazz sur son site Do the Math, le pianiste Ethan Iverson avait dĂ©clarĂ© que la plupart des jeunes pianistes de l’époque ne jouaient pas comme Kenny Kirkland, Marcus Roberts ou Brad Mehdlau, mais avaient plutĂŽt tendance Ă  imiter Allen. Iverson avait ajoutĂ©: “In this music, there was before Geri Allen and after Geri Allen. She’s that important.”
DotĂ©e d’une virtuositĂ© Ă©poustouflante et caractĂ©risĂ©e par une grande inventivitĂ© rythmique et mĂ©lodique, Allen avait infuencĂ© de nombreux pianistes au cours de sa carriĂšre, dont Jason Moran, Vijay Iyer, Craig Taborn et Courtney Bryan. Elle avait aussi servi de modĂšle Ă  plusieurs jeunes musiciennes. Saluant le rĂŽle qu’Allen avait exercĂ© sur son dĂ©veloppement, la pianiste d’avant-garde Algelica Sanchez avait prĂ©cisĂ©: “Geri Allen was a huge inspiration to me. I can’t believe she is gone and I know many will miss her. R.I.P. Geri.” 
Allen a enregistrĂ© une vingtaine d’albums comme leader au cours de sa carriĂšre. En plus de ses albums solo, Allen avait Ă©galement collaborĂ© avec le Atlanta Jazz Chorus (album Timeless Portraits and Dreams, 2006), le guitariste Vernon Reid (album The Gathering, 1998) et les danseurs de claquette Lloyd Storey et Maurice Chestnut (album Geri Allen & Time Line Live, 2010).
Pianiste polyvalente et trĂšs Ă©clectique, Allen avait inspirĂ© le commentaire suivant au tromboniste Craig S. Harris en 1987: “She was open to all types of music and was always willing to explore. She was about the music and helping people. She was a pleasure to work with and be with.”
Le batteur J.T. Lewis avait dĂ©clarĂ© au sujet d’Allen: ”If Geri was a man she’d have been celebrated as A Giant a long time ago.” Saluant la dĂ©vouement d’Allen pour la musique, son ancien collĂ©gue, le batteur Andrew Cyrille avait commentĂ©: “She was ubiquitous in terms of giving to the musicians and audiences. She was absolutely dedicated to the music and was always continuing to grow.”
MĂȘme si elle avait souvent Ă©tĂ© identifiĂ©e Ă  l’avant-garde, le style d’Allen Ă©tait toujours demeurĂ© trĂšs accessible. Le pianiste James Hurt expliquait: “Geri Allen managed to sustain a certain level of elegance, not arrogance, in her artistry. Long before the jazz industrial complex began to vamp marketing buzz words like ‘classically trained’ as bullish genre-superiority-complex jargon, Geri had already transcended category.”
Au cours de sa carriĂšre, Allen s’était produite avec plusieurs petits groupes dans des styles allant du jazz acoustique Ă  l’avant-garde, en passant par le jazz mainstream et le funk. Allen avait collaborĂ© avec plusieurs sommitĂ©s du jazz au cours de sa carriĂšre, d’Ornette Coleman Ă  Oliver Lake, en passant par Steve Coleman, Charles Lloyd, Arthur Blythe, Joe Lovano, Dewey Redman, Frank Lowe, Betty Carter, Dave Holland, Jack DeJohnette, Andrew Cyrille, Wayne Shorter, Woody Shaw, Ralph Peterson Jr., Charlie Haden, Jason Moran, Paul Motian, Esperanza Spalding, David Murray, Wallace Roney et Terri Lyne Carrington. Elle avait Ă©galement travaillĂ© avec le groupe rock Living Colour.
©-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de l’Imaginaire historique
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leadeaux · 6 months
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bande-démo du workshop animation, manié par Gilles Coirier ! premiers essais en animation volume (durée : deux semaines)
musique : Upside Down - Diana Ross
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nnjzz · 7 months
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SHAKEEB ABU HAMDAN & SHOLTO DOBIE + SYDNAY KOKENDOVITCH aka SLAYLOR MOON + JOACHIM MONTESSUIS + STRIE
JEUDI 16.11
SHAKEEB ABU HAMDAN & SHOLTO DOBIE lb / uk SYDNEY KOKENDOVITCH aka SLAYLOR MOON / ca JOACHIM MONTESSUIS / fr STRIE / fr aux NAUTES 1 Quai des Célestins 75004 M° Sully-Morland
20:00 portes
20:45 action
P.A.F. 6€
SHAKEEB ABU HAMDAN & SHOLTO DOBIE lb / uk Sholto Dobie est écossais, vit et travaille à Vilnius mais surtout voyage beaucoup avec ses performances et installations sonores - " intuitives, délicates, évocatrices et absurdes". Il utilise tout ce qui lui tombe sous la main, bricole ses propres instruments, des orgues ou cornemuses approximatives, notamment, assemblés grossiÚrement à partir de matériaux divers tels que des anches, des sifflets, des sacs poubelles, des ventilateurs ou des compresseurs d'air, pour s'adapter aux lieux, aux corps et aux situations dans lesquels il se trouve.
Il a prĂ©sentĂ© des performances au Berwick Film & Media Arts Festival, au CafĂ© OTO, au Glasgow International, au Scottish Sculpture Workshop, au C.N.E.A.I, Paris et au CCA, Ă  Glasgow.  Il travaille rĂ©guliĂšrement avec Ben Pritchard et Lia Mazzari, et a collaborĂ© avec entre autres,  Rie Nakajima, Ashley Paul, Judith Hamann, Antonina Nowacka, Lucia Nimcova, Marja Ahti & Nico Mahti Athi, Malvern Brume, , Alvaro Daguer, Billy Steiger, Ivor Kallin, Mark Harwood, . Il dirige Ă©galement la sĂ©rie d'Ă©vĂ©nements Muckle Mouth qu'il a fondĂ©e en 2014. Shakeeb Abu Hamdan est un artiste et musicien vivant Ă  Beyrouth, au Liban. Ses enregistrements sonores et ses performances live s’articulent autour de l’utilisation de tambours, de mĂ©taux collectĂ©s, de cloches et de cymbales qu’il augmente et amplifie avec des transducteurs de surface, des microphones, des effets de modulation de hauteur et de rythme, des mĂ©gaphones en boucle bon marchĂ© et d’autres appareils Ă©lectroniques lo-tech. Un Ă©quilibre prĂ©caire entre les sons acoustiques et amplifiĂ©s.
 Il a également travaillé sur la conception sonore et la musique pour les performances et les films.
 Son travail visuel prend la forme de publications et d'installations d'impression/dessin dans lesquelles il utilise des systÚmes d'images et des textes trouvés aux cÎtés de ses propres écrits et dessins pour examiner les façons étranges dont le récit historique est construit.
Son livre A Life Like Mine, That's Impossible a été publié par Samandal Comics en 2021.  
https://davidfpresents.com/2023/01/28/sholto-dobie/
SYDNEY KOKENDOVITCH aka SLAYLOR MOON / ca
" Experimental electronics from a gay ex-neuroscientist "  Artiste et musicienne multidisciplinaire, elle partage son temps entre Strasbourg, Paris, Leeds et Calgary (au Canada ) .
Neuroscientifique de formation, son travail s'inspire des thĂšmes de la dĂ©tection de formes, du signal/bruit, de l'optique et de la phĂ©nomĂ©nologie. Elle dĂ©fend la neurodiversitĂ© et la reprĂ©sentation/expression queer dans les arts. Ses projets musicaux sont trĂšs divers et incluent l'Ă©lectronique abstraite, la musique de danse expĂ©rimentale et la no wave. " {  ( Elle fit notamment partie du trio indie The Courtneys ou du combo " expĂ©-punk " SHEARING PINX
 et nous l'avons dĂ©jĂ  accueillie avec son projet cut-up Ă©lectroniqueTWO FORM A CLICK formĂ© avec Lurch / Gretchen ( PETRONN SPHENE ) . ) ] }
youtube
JOACHIM MONTESSUIS / fr Attention : nouvel avatar dĂ©jĂ  testĂ© lors d'un confidentiel concert d'appartement rĂ©cent et au Chair de Poule. Guitare, moult effets pour une chevauchĂ©e psych-folk-noisy pastorale et embrumĂ©e / embuĂ©e du plus bel effet. Projet nouveau - tellement nouveau que pour l'instant aucun lien internautique ne serait disponible...  " Guitare possĂ©dĂ©e et canalisation d’entitĂ©s UHF. " Figure obscure du panorama poĂ©tico-bruitiste français, a choisi l’exil et la raretĂ© pour mieux contextualiser ses actions.
https://erratum.org/
STRIE / fr Augustin Bette | batterie Alexandre du Closel | cadre de piano
Le duo pour batterie et cadre de piano STRIE interprĂšte une musique dĂ©pouillĂ©e, suite de miniatures rĂ©pĂ©titives oĂč il n'y a de dĂ©veloppement qu’involontaire, produit par la perfectibilitĂ© de gestes contraints. Le choix de ces contraintes constitue la composition.
Fly - Jo L'Indien 
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tib-tibo · 8 months
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Workshop, Octobre 2022, projet d'Ă©tude
Création d'une pochette de vinyle ainsi que d'un poster avec un effet déchiré grùce aux captures d'écrans d'un clip de musique au choix.
Clip de musique : Imagine Dragons x J.I.D - Ennemy (from "Arcane")
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davanlo · 10 months
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Ukulele Workshop Ă  Neundorf
Transmettre ma passion pour la musique et l’instrument aux autres figure en bonne place dans les nombreux objectifs de vie que je me suis fixĂ©s. AprĂšs avoir donnĂ© quelques Masterclass et animĂ© un stage avec Jasques Stotzem, l’occasion de le faire Ă  nouveau s’est prĂ©sentĂ©e avec un Workshop de 4 jours d’initiation au ukulele Ă  Neundorf prĂšs de Saint-Vith. Un « Ukulele Workshop » entiĂšrement en

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