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#animaux et pharaons
philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2015.Au Louvre-Lens il y avait aussi une très belle expo : “Des Animaux et des Pharaons”:
ici des amulettes en faïence bleue du Nouvelle Empire, avec entre autres Sekhmet et Hathor allaitant.
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titou-nz · 1 year
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Croisière sur le Nil en Felouque - Égypte
Le rôle du Nil dans la fondation de la civilisation égyptienne
La nourriture a joué un rôle crucial dans la fondation de la civilisation égyptienne. Le Nil a été une source intarissable de nourriture. Le Nil rend les terres environnantes très fertiles grâce à ses crues annuelles. Les Égyptiens pouvaient entre autres cultiver le blé et l'orge, fournissant de la nourriture pour toute la population. En outre, l'eau du Nil attire la faune telle que le buffle d'Afrique, et, après son introduction par les Perses au VIIe siècle avant notre ère, le dromadaire. Ces animaux ont pu être tués pour la viande, ou capturés, apprivoisés et employés pour labourer — ou, dans le cas des dromadaires, pour voyager. L'eau était vitale pour les humains comme pour le bétail. Le Nil était également un moyen commode et efficace de transport pour les personnes et les marchandises.
Le Nil a aussi fourni le lin pour le commerce. Le blé était également échangé, une récolte cruciale dans le Moyen-Orient où la famine sévissait souvent. Ce système marchand a fixé les rapports diplomatiques de l'Égypte avec d'autres pays et a souvent contribué à la stabilité économique de l'Égypte. En outre, le Nil a fourni des ressources telles que la nourriture (poissons, gibier d'eau, irrigation des champs) ou de l'or alluvionnaire, pour lever rapidement et efficacement des armées.
Le Nil a joué un rôle important dans la politique et dans la vie sociale. Le pharaon faisait déborder le Nil, et en échange de l'eau fertile et des récoltes, les paysans cultivaient le sol et envoyaient au pharaon une partie des ressources qu'ils avaient récoltées. En contrepartie, ce dernier utilisait ces ressources pour le bien-être de la société égyptienne.
Le Nil avait une dimension spirituelle. Le Nil signifiait tant dans la vie des Égyptiens qu'ils ont créé un dieu consacré au bien-être apporté par l'inondation annuelle du Nil. Le nom de ce dieu était Hâpy et autant lui que Pharaon étaient censés contrôler la crue du Nil. Le Nil a été aussi considéré comme un seuil entre la vie et la mort, l'au-delà. L'est était considéré comme le lieu de la naissance et de la croissance et l'ouest celui de la mort, comme le dieu Rê, le soleil, qui subit ces trois états : naissance, mort et résurrection à chaque fois qu'il traverse le ciel. Ainsi, tous les tombeaux ont été placés à l'ouest du Nil, parce que les Égyptiens croyaient que pour entrer dans l'au-delà, il fallait être enterré du côté symbolisant la mort.
L'historien grec Hérodote a écrit que « l'Égypte était un don du Nil ». Cette formulation, bien que naïve, illustre bien l'importance du Nil dans la société égyptienne. Cependant, elle passe sous silence la grande quantité de travail fournie par les Égyptiens pour mettre en valeur le fleuve (construction de canaux d'irrigation puis utilisation de chadoufs et de norias) ; en effet, ses crues dévastatrices et son cours variable (la ville de Pi-Ramsès a par exemple dû être abandonnée à la suite de l'ensablement du bras du Nil qui l'alimentait) ont rendu son exploitation laborieuse. Cette phrase passe également sous silence la mise en valeur plus anecdotique des oasis du désert Libyque, pour lesquelles il a également fallu avoir recours à d'importants travaux d'irrigation (chadoufs, norias, qanats, etc.).
Le commerce de grande envergure le long du Nil depuis des temps antiques peut être prouvé à partir de l'os d'Ishango, probablement la première indication connue de la multiplication, qui a été découverte près de la source du Nil (près du lac Édouard, au nord-est du Congo), os qui a été daté au carbone 14 à près de 23 000 années avant notre ère.
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christophe76460 · 2 days
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Enseignement ;Qui T' a oublié ?
14-«Il y avait une petite ville, avec peu d’hommes dans son sein; un roi puissant marcha sur elle, l’investit, et éleva contre elle de grands forts.
15-Il s’y trouvait un homme pauvre et sage, qui sauva la ville par sa sagesse. Et personne ne s’est souvenu de cet homme pauvre.»
‭‭Ecclésiaste‬ ‭9:14-15‬ ‭LSG‬‬
2-
16-«Le sacrificateur de Madian avait sept filles. Elles vinrent puiser de l’eau, et elles remplirent les auges pour abreuver le troupeau de leur père.
17-Les bergers arrivèrent, et les chassèrent. Alors Moïse se leva, prit leur défense, et fit boire leur troupeau.
18- Quand elles furent de retour auprès de Réuel, leur père, il dit: Pourquoi revenez-vous si tôt aujourd’hui?
19-Elles répondirent: Un Égyptien nous a délivrées de la main des bergers, et même il nous a puisé de l’eau, et a fait boire le troupeau.
20- Et il dit à ses filles: Où est-il? Pourquoi avez-vous laissé cet homme? Appelez-le, pour qu’il prenne quelque nourriture.»
‭‭Exode‬ ‭2:16-20‬ ‭LSG‬‬
Qui t'a oublié ?
1-Personne n'aime être oublié
2-Personne n'aime vivre en étant oublié,même Dieu lui-même n'aime pas que l'on puisse l'oublier
3-La bataille des souvenirs est importante
4- Quand on se souvient de toi il y a restauration de ta destinée
5-La fatalité se change en félicite et l'erreur en Bénédiction
4 -Il y a quatre grandes formules pour ne pas être oublié
1-La formule de Mardochée ( la formule de du jeûne et de la prière)
Cette nuit-là, le roi ne ne put dormir , et il se fit apporter le livre des annales, les Chroniques. On les lut devant le roi, et l’on trouva écrit ce que Mardochée avait révélé au sujet de Bigthan et de Théresch, les deux eunuques du roi, gardes du seuil, qui avaient voulu porter la main sur le roi Assuérus. Le roi dit: Quelle marque de distinction et d’honneur Mardochée a-t-il reçue pour cela? Il n’a rien reçu, répondirent ceux qui servaient le roi.»
‭‭Esther‬ ‭6:1-3‬ ‭LSG‬‬
2- La formule de Joseph ( servir Dieu et servir Les autres)
9-«Alors le chef des échansons prit la parole, et dit à Pharaon: Je vais rappeler aujourd’hui le souvenir de ma faute.
10- Pharaon s’était irrité contre ses serviteurs; et il m’avait fait mettre en prison dans la maison du chef des gardes, moi et le chef des panetiers.
11-Nous eûmes l’un et l’autre un songe dans une même nuit; et chacun de nous reçut une explication en rapport avec le songe qu’il avait eu.
12-Il y avait là avec nous un jeune Hébreu, esclave du chef des gardes. Nous lui racontâmes nos songes, et il nous les expliqua.
13-Les choses sont arrivées selon l’explication qu’il nous avait donnée. Pharaon me rétablit dans ma charge, et il fit pendre le chef des panetiers.
14-Pharaon fit appeler Joseph. On le fit sortir en hâte de prison. Il se rasa, changea de vêtements, et se rendit vers Pharaon.»
‭‭Genèse‬ ‭41:9-14‬ ‭LSG‬‬
3-La formule de Noe ( sacrifice)
1-«Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’arche; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent.
20-Noé bâtit un autel à l’Éternel; il prit de toutes les bêtes pures et de tous les oiseaux purs, et il offrit des holocaustes sur l’autel.
21-L’Éternel sentit une odeur agréable, et l’Éternel dit en son cœur: Je ne maudirai plus la terre, à cause de l’homme, parce que les pensées du cœur de l’homme sont mauvaises dès sa jeunesse; et je ne frapperai plus tout ce qui est vivant, comme je l’ai fait.
22-Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point.»
‭‭Genèse‬ ‭8:1, 20-22‬ ‭LSG‬‬
4-La Formule d'Ezechias( la droiture l 'intégrité et les œuvres)
3-«O Éternel! Souviens-toi que j’ai marché devant ta face avec fidélité et intégrité de cœur, et que j’ai fait ce qui est bien à tes yeux! Et Ézéchias répandit d’abondantes larmes.
4-Puis la parole de l’Éternel fut adressée à Ésaïe, en ces mots:
5- Va, et dis à Ézéchias: Ainsi parle l’Éternel, le Dieu de David, ton père: J’ai entendu ta prière, j’ai vu tes larmes. Voici, j’ajouterai à tes jours quinze années.»
‭‭Ésaïe‬ ‭38:3-5‬ ‭LSG‬‬
1-Dans Genèse 8:1 : " Dieu se souvint de Noé ... et Dieu fit passer un vent sur la terre,et les eaux s'apaisèrent ".
1-Fin de la captivité et Ta libération commence
2-Dans Genèse 21:1 : " L'Eternel se souvint de ce qu'il avait dit à Sarah, et l'Eternel accomplit pour Sarah ce qu'il avait promis ".
2-Accomplissement
3-Dans Genèse 30:22 :" Dieu se souvint de Rachel, il l'exauça et il la rendit féconde ".
3-Exaucement et Satisfaction
4-Dans Exode 2:24 : " Dieu entendit leurs gémissements, et se souvint de son alliance avec Abraham, Isaac et Jacob
4-Intervention divine
5-Dans 1 Samuel 1:19-20 : " Elkana connut Anne sa femme, et l'Eternel se souvint d'elle....Anne devint enceinte, et elle enfanta un fils, qu'elle nomma Samuel ".
5-Fin de la honte
Dieu se souvient de toi aussi,
Dieu se souvient de tes prières, de tes alliances, de tes sacrifices .
Et il interviendra , sois en sûr.
Dieu interviendra. Il ne permettra pas que tu sois confus, confondu, dans la honte.
Il interviendra.
Le malheur atteint souvent le juste, mais l'Eternel l'en délivre toujours Psaumes 34:20.
Ceux qui sèment avec larmes, moissonneront avec chants d'allégresse. Celui qui marche en pleurant quand il porte la semence, revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes Psaumes 126:5-6.
L'Éternel soutient tous ceux qui tombent, et il redresse tous ceux qui sont courbés
Psaumes 145:14
Conclusion
1-Fin de la captivité et Ta libération commence
2-L'Accomplissement
3-Exaucement et Satisfaction
4-Intervention divine
5-Fin de la honte
Dr Floribert Mawit
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MARDI 12 MARS 2024 (Billet 3 / 4)
« L’ATELIER DES LUMIÈRES »
L’ÉGYPTE DES PHARAONS (DE KHÉOPS À RAMSÈS II) et LES ORIENTALISTES
(Du 9 février 2024 au 5 janvier 2025 - réservation quasi obligatoire)
Nous y sommes allés dimanche, à 12h30 pour qu’il y ait moins de monde – il y en a eu quand même beaucoup mais cela ne nous a pas gênés.
C’était la troisième fois, après « Dali/Gaudi » et « Chagall/Klee ». Ces 3 programmes nous ont beaucoup plu mais l’« Égypte des pharaons », suivie des « Orientalistes » nous ont offert un somptueux voyage ! La qualité et l’animation des projections étaient remarquables, époustouflantes, exceptionnelles... Nous pourrions encore allonger d’une dizaine d’adjectifs la liste des superlatifs. Evidemment, c’est une sortie que nous vous recommandons plus que chaleureusement.
A noter : un excellent choix musical. Vous pourrez retrouver les titres utilisés sur le Site Internet de l’Atelier des Lumières…
JM a pris beaucoup de photos, il vous en propose une petite sélection après les textes d’introduction ci-dessous, projetés juste avant que les 2 « spectacles immersifs » ne commencent.
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Ensevelis sous les sables millénaires dans la vallée du Nil, les trésors et monuments de la période pharaonique révèlent l’histoire de l’Egypte antique qui aura duré plus de trois mille ans, entre 3200 et 30 avant J.-C.
Nous vous proposons un voyage à la rencontre des grands pharaons, de Khéops, Toutankhamon à Ramsès II, pour découvrir un héritage aux proportions exceptionnelles : les pyramides, les temples et les riches tombeaux funéraires participent à une vision cosmogonique unissant les hommes et les dieux.
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Au XIXe siècle un grand nombre d’artistes est fasciné par les mystères de l’Orient. Les motifs exotiques, les paysages arides et la lumière unique du Grand Sud s’emparent des salons parisiens, donnant naissance à une peinture aux allures des contes des Mille et Une Nuits.
Ingres, Delacroix, Gérôme ou encore Renoir, invitent à une expédition picturale entre récits de voyage, animaux sauvages et palais somptueux. Nourris par la littérature et leur imaginaire, ils laissent apparaître un Orient rêvé…
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TARIFS
Plein tarif : 17€
Tarif Sénior (+ de 65 ans) : 16€
ACCÈS
"Atelier des Lumières"
38 rue Saint Maur  75 011 Paris
En métro : ligne 9 (Voltaire, Saint-Ambroise), ligne 3 (Rue Saint-Maur), ligne 2 (Père Lachaise)
En bus : 46, 56, 61, 69
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shalomelohim · 3 months
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La Parachah « Bo » (Viens, souvent traduit Va)
Pensée 
“ Car YHWH passera pour frapper les Égyptiens ; et il verra le sang sur le linteau et sur les deux poteaux, et YHVH passera par-dessus la porte, et ne permettra pas au destructeur d’entrer dans vos maisons pour frapper. ” (Exode 12:23)
“ Attendez, pour malmener la terre et la mer et les arbres, que nous ayons marqué au front les serviteurs de notre Élohim. ” Et j’appris combien furent alors marqués du sceau : cent quarante-quatre mille de toutes les tribus des fils d’Israël. ” (Apocalypse 7:3-4)
Ceux-là suivent l’Agneau partout où Il va !
Quel signe ont-ils reçu, sinon celui du sang de l’Agneau à qui ils appartiennent en tant que Corps constitué… Ce signe comme le signe bien concret sur les maisons en Égypte est visible dans le domaine céleste, et le destructeur ne peut approcher, car ils sont devenus irréprochables, l’accusateur n’a pas de prise sur eux !
Ils sont « vierges » ils n’ont connu aucune « maison de femmes »… Mais que sont ces « maisons de femmes » ?
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Lectures Parachah : Chémoth / Exode 10:1 à 13:16 Haftarah : Yirméyahou / Jérémie 46:13 à 28 Bérith Hadachah : Yaïr / Luc 21:20 à 36
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.
Résumé de la Parachah Après les 7 premiers fléaux, Élohim invite Moshéh et Aharon à déclencher les trois suivants : à savoir les criquets, les ténèbres et la mort des premiers-nés.
Après l’extermination des premiers-nés au milieu de la nuit, Pharaon décrète l’expulsion des Hébreux, lesquels partent avec de riches cadeaux d’Égypte. YHWH prescrit aux enfants d’Israël de compter ce mois, le mois de l’Aviv (qui fut malencontreusement renommé Nissan après le retour de la captivité de Babylone) comme premier des mois de l’année.
Le 14 de ce mois d’Aviv est institué comme Péssah YHWH et de nombreux hommes de la maison d’Israël sont épargnés grâce au sang déposé sur les linteaux de leurs portes.
Geste qu’ils font par obéissance : c’est le premier Seder de l’histoire (Seder = repas de Péssah).
Cette parachah est celle du combat décisif de YHWH contre les puissances spirituelles et séculaires de Mitsraïm/Égypte. Pharaon est vaincu, le pays dévasté, le panthéon des faux dieux réduit au néant, à l’impuissance.
En effet, il n’a pas échappé à Pharaon et à ses prêtres magiciens que les jugements de YHWH se sont abattus sur l’ensemble des attributs idolâtres de l’Égypte, dans lesquels ils se confient : le Nil, la terre, ses produits, les animaux, l’homme pharaon, le soleil, la « lune pleine » symbole de l’oeil du dieu Horus qui assiste impuissant à la mort des premiers-nés dont l’héritier de Pharaon.
Cette parachah est aussi celle de l’unification et de la libération de ceux de la maison d’Israël et de leurs « greffés » qui redécouvrent les promesses et la puissance de l’Élohim des patriarches :
« Je suis YHWH ton Élohim, c’est moi qui t’ai fait sortir d’Égypte où tu étais esclave. » (Exode 20:2)
Préambule « Viens » ou « Va » ! Le titre de notre section hebdomadaire porte en soi déjà débat : essayons de réconcilier tous les traducteurs et experts hébraïsants en proposant une lecture moins sémantique et plus symbolique de ce terme.
Si le « Va », traditionnellement retenu par la majorité des traductions, semble devoir céder plus justement sa place à un « Viens », peut-être devrions-nous en conclure qu’en envoyant Moshéh affronter Pharaon, YHWH invite Moshéh à se rapprocher de Lui.
Ce n’est qu’en confondant ce qui est faux que nous pouvons découvrir ce qui est vrai.
Ce n’est qu’en acceptant d’affronter ce qui nous fait peur et redoutons chez l’autre que nous découvrons en Lui la réalité et le lieu de notre force.
Moshéh n’aurait-il pas préféré se sauver d’Égypte, discrètement, en pleine nuit et sans en référer à Pharaon ? Demande-t-on l’autorisation pour se sauver ? La démonstration de force que YHWH a souhaitée pour libérer son peuple de Mitsraïm ne s’accommodait pas d’une vulgaire fuite de malfaiteurs :
« car c’est d’une main puissante que YHWH t’a fait sortir d’Égypte. » (Exode 13:9).
Il fallut également la foi et le courage des deux témoins d’Élohim (Moshéh et Aharon) pour que se réalise aux yeux de toute l’Égypte, non pas la fuite, mais la spectaculaire libération de toute la Maison de d’Israël et de ceux qui s’y sont associés.
Ne pas craindre d’affronter l’adversaire, c’est aussi se rapprocher d’Élohim en laissant Sa puissance agir et en faisant taire nos peurs.
Notre Adon Yahshua n’a pas dit autre chose en déclarant :
« Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu de loups » (Luc 10:3).
Les jugements et les sorties des Israélites et des non Israélites
« Le Seigneur de l’univers, Élohim d’Israël, annonce : Je vais agir contre Amon, le dieu de la ville de Thèbes, contre l’Égypte, ses dieux et ses rois, contre le Pharaon et contre ceux qui comptent sur lui. » (Jérémie 46:25)
La terre d’Égypte et sa fertilité, personnifiées par Isis la mère nature, sont frappées en deux temps. En effet, la 8ème plaie parachève la 7ème en finissant de détruire les céréales et fruits qui avaient été épargnés par la grêle.
Une précision qui n’est pas sans importance, car l’orge était en épis et fut détruit par la grêle alors que les autres céréales encore vertes furent détruites par les sauterelles.
Il n’y a aucun hasard dans le r��cit de la libération d’Égypte, tous les détails sont retranscrits pour notre édification.
Notons également qu’il y a possibilité de repentance et une pause dans la colère divine à compter de cette 7ème plaie. Cette remarque n’est pas sans importance en considérant les 7 coupes de colère de l’Apocalypse, qui ne sont pas suivies par des 8ème, 9ème et 10ème coupes. La 7ème coupe de l’Apocalypse reproduit à l’identique le fléau de type « grêle ».
Cette plaie en deux temps est donc un avertissement pour Pharaon : il est encore temps d’obéir et de ne pas hypothéquer l’avenir du peuple égyptien en garantissant les récoltes des céréales non détruites par la grêle. 
Conscient de la menace, Pharaon accède à la demande de Moshéh et concède une autorisation de sortie aux seuls hommes d’Israël. En interdisant aux femmes, aux enfants et au bétail de quitter le territoire, la concession de Pharaon n’est qu’une ruse et il provoque lui-même l’accomplissement de la 8ème plaie.
Le dieu soleil (Râ, Ré, Amon-Râ, Amon-Ré, etc.) est frappé à son tour à l’occasion de la 9ème plaie : 3 jours de ténèbres sans pouvoir bouger ni travailler.
Du fond de ces ténèbres, à l’instar de Jonas ou de l’Adon Yahshua, les enfants d’Israël restent dans la lumière. Ceux de la maison d’Israël ont-ils vécu ces 3 jours sereinement ? Vraisemblablement, ils se sont abstenus également de vaquer à leurs obligations quotidiennes et ont contemplé la puissance d’Élohim et médité sur la protection dont ils bénéficiaient.
A l’issue de cette 9ème confrontation, les femmes et les enfants sont autorisés à suivre les hommes au désert. Une ruse de plus de Pharaon qui sait que sans bétail ce peuple nombreux n’a pas d’avenir.
« Alors Moshéh dit : Ainsi parle YHWH : Vers le milieu de la nuit, je parcourrai l'Egypte » (Exode 11:4 - d’autres traductions donnent « vers minuit »).
Le dieu Horus- fils d’Isis et d’Osiris - est symbolisé par la lune en Égypte : son oeil fut arraché par son frère Seth et la renaissance à chaque cycle lunaire de la lune - pleine - symbolise sa suprématie et son pouvoir régénérateur.  L’oeil d’Horus est notamment encore présent de nos jours sur le billet de 1 dollar. 
Par opposition, l’Élohim d’Israël commande de fêter l’absence de lune comme étape de recommencement et de renouveau du mois.
Rappelons en effet que la lune n’éclaire pas la nuit de façon directe mais brille parce qu’elle est elle-même éclairée par réverbération de la lumière de l’autre astre. Ce « déguisement de lumière » sied au faux dieu Horus qui assiste impuissant, et « l’oeil grand ouvert sur ceux qu’il devait protéger », à l’extermination des premiers-nés d’Égypte. Voilà un dernier dieu de défait !
Ceux d’Israël -et notamment les premiers-nés de chacune des familles de Jacob - furent au bénéfice du sang de l’agneau que chacun s’évertua à apposer sur les linteaux de sa porte. Tous n’étaient pas en Égypte sous les fardeaux. Certains étaient bien insérés, riches et estimés des Égyptiens comme le stipule sans ambiguïté Exode 11:2-3. L’erreur serait de voir cette sortie d'Égypte comme un scénario mythique de film hollywoodien.
Nous devons à ce titre noter et expliquer une réalité souvent escamotée : l’Israël de Moshéh plongé en Égypte a vu et a vécu les fléaux. Les 600.000 hommes rescapés de l’esclavage n’ont pas été « enlevés » au désert ou ailleurs, mais ils restèrent en Égypte, sous haute protection -notamment celle du sang - et vécurent toutes les plaies. 
La puissance de YHWH consista à les mettre à l’abri mais en aucun cas à les retirer du champ de bataille. Bien au contraire, avertis et exhortés par Moshéh et Aharon, ils devaient être occupés à PRIER et à accompagner l’action des anges d’Élohim. 
Des foyers de non Israélites furent au bénéfice de ces prières car, vivants malgré les 10 plaies, ils sortirent d’Égypte et se greffèrent sur ceux de Jacob, avec l’assentiment d’Élohim.
Exode 12:38 selon différentes traductions :
« Tout un ramassis de gens monta avec eux… Une foule nombreuse et composite se joignit à eux… Beaucoup d’autres gens partent avec eux… Un grand nombre d’étrangers montèrent aussi avec eux… Une multitude de gens de toute espèce montèrent avec eux… Une foule mêlée monta avec eux…et aussi un grand amas de gens monta avec eux… Une foule de gens d’origines diverses partirent en même temps qu’eux, etc. »
Des commentaires avancent que cette présence étrangère au sein du peuple favorisa l’épisode du veau d’or. Peut-être ces hypothèses sont-elles fondées, mais force est de constater qu’à l’occasion de la révolte de Qorah et des 250 princes d’Israël nulle mention n’est faite de l’influence de ces étrangers qui bénéficièrent de la libération des enfants de Jacob.
Rappelons également que toute cette génération rescapée de Mitsraïm doit mourir au désert et seuls Yéhoshoua (Josué) et Kalév (Caleb) ont le droit de passer le Jourdain.
Cette composition, a priori hétérogène de la colonne humaine qui quitte l’Égypte en direction de la mer des joncs, est une image de « l’unité malgré tout » que souhaite notre Élohim et de l’universalité de la Torah à venir. 
Ainsi que le confirme le plus petit des apôtres mais grand parmi les rabbins pharisiens :
« Mais quoi ? Avons-nous encore, nous Juifs, quelque supériorité ? Absolument pas ! Car nous l’avons déjà établi : tous, Juifs comme Grecs, sont sous l’empire du péché. Comme il est écrit : Il n’y a pas de juste, pas même un seul. » (Romains 3 :9)
Le calendrier d’Élohim contre les calendriers des hommes La parachah BO comporte 9 prescriptions positives et 11 prescriptions négatives. Cette lecture hebdomadaire révèle notamment la première mitsvah (ordre-commandement) donnée en terre égyptienne : ce premier commandement est également le 4ème recensé depuis le début de la Torah.
Cette mitsvah est relative au calendrier d’Élohim :
« YHWH dit à Moshéh et à Aharon au pays d’Égypte : Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l’année. » (Exode 12:2)
Pouvons-nous faire un lien entre cette 4ème mitsvah et la 4ème « parole » issue des 10 commandements ? Ces deux commandements frappés du chiffre « 4 », et donc de la lettre « d » de « PAROLE » (Davar), renvoient aux temps d’Élohim et au calendrier que le Père a souhaité pour sa Création.
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Apprendre à distinguer les jours de la semaine, à distinguer les débuts des mois, à distinguer le premier de ces mois, pour être en phase avec Elohim, répondre à ses saintes convocations et marcher avec Lui, à son rythme.
Tout autre rythme nous amènerait à marcher avec quelqu'un d'autre.
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Non pas que la compagnie de Jules César, du Pape Grégoire ou de Rabbi Hillel II soit dénuée d’intérêt, mais la compagnie et le respect de ces trois personnages auteurs d’autres calendriers ne remplaceront jamais la pleine présence de YHWH.
« C’est aujourd’hui, au mois des épis, que vous partez d’Égypte. Lorsque YHWH vous aura fait entrer dans le pays… qu’il a promis par serment à vos ancêtres de vous donner, une terre ruisselante de lait et de miel, alors vous observerez cette cérémonie, en ce même mois. » (Exode 13:4)
Voilà un commandement plutôt simple à respecter, en apparence. Il est également précisé que « cette nuit-là appartient à Élohim », ce qui suppose qu’il n’appartient pas à l’homme d’en disposer à sa bonne convenance.
Concomitamment au calendrier, Élohim institue, dans le cadre d’un décret perpétuel, un cérémoniel où apparaissent « sang du sacrifice et pain sans levain ». L’Adon Yahshua respecta ce commandement toutes les années de sa vie terrestre, à la date exacte.
Comment imaginer en effet que l’Agneau et Fils d’Élohim puisse être présenté en sacrifice à une date qui ne fut pas authentique et dans le cadre d’un calendrier détourné par l’homme ?
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Le sacerdoce renouvelé dans le « pain et le vin » à la manière de Mélkiy-Tsédeq ayant été institué à Jésuralem à l'occasion de l'entame de cette semaine sainte de Péssah, nous devons être convaincus que « ceux qui gardent les commandements d'Elohim et qui ont la fois en Yeshoua » sont également les garants de cette 4ème mitsvah calendaire, qui renvoie elle-même à la 4ème Parole instituant le Shabbat.
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Les premiers-nés Le rapport que YHWH semble vouloir entretenir avec les premiers-nés est constant dans la Révélation : ils sont à Lui !
Ils sont à Lui ceux d’Égypte qui vont mourir, ils sont à Lui ceux d’Israël qui vont être sauvés et consacrés :
« A minuit, YHWH frappa tout premier-né au pays d’Égypte, du premier-né du Pharaon, qui devait s’asseoir sur son trône, au premier-né du captif dans la prison et à tout premier-né du bétail. » (Exode 12:29)
« YHWH transmit ses instructions à Moshéh en ces termes : Consacre-moi tout premier-né qui naîtra parmi les Israélites ; qu’il s’agisse d’un garçon ou d’un animal, il m’appartient. » (Exode 13:1)
Toutefois, notre Élohim - qui a fait l’homme à Son image - n’est pas Élohim à exiger de Sa créature ce qu’Il ne ferait pas Lui-même. Aussi, a-t-Il accepté de donner Son Fils premier-né pour racheter tous les premiers-nés, qu’ils soient Égyptiens ou Israélites, pourvu qu’ils croient en Lui.
Ce rapport au premier-né nous interpelle. Déjà, Abraham avait été invité à offrir Yitshaq (Isaac) avant que ce sacrifice ne soit… reporté (« Élohim pour-voira »).
Le Pharaon précédent - malignement alerté - avait tenté de faire disparaitre l’enfant Moshéh, en tuant tous les mâles hébreux de sa génération. Les mâles égyptiens de la génération suivante payèrent un lourd tribut pour annuler la fâcheuse décision de leur aïeul et ancien maître. Nous devons en conclure que tous, hébreux comme égyptiens, appartiennent à Élohim.
Tel est le message que doivent percevoir les survivants de cette nuit d’extermination : tous appartiennent à Élohim qui seul décide.
Comme le prouve le texte de la haftarah de Jérémie en liaison avec cette parachah, Élohim n’est pas que l’Élohim des « bons » mais également l’Élohim des « méchants ». Ainsi, se jouera-t-Il à nouveau des égyptiens vers l’an -600 en leur envoyant Nabuchodonosor, un autre ennemi, alors qu’Israël avait de nouveau fait alliance avec l’Égypte.
Les premiers-nés des hébreux valent-ils plus que les premiers-nés des égyptiens aux yeux d’Élohim ? D’un point de vue moral, cette question est insupportable. Le message de notre divin Père est donc différent.
Le premier-né représentait l’héritage et la continuité de l’espèce, du clan, de la famille et de son nom. En langage moderne et économique, il était le garant du patrimoine et de l’autorité acquise au cours de plusieurs vies.
Dans l’antiquité, l’ainé était la promesse de la bonne transmission d’un pouvoir temporel âprement défendu, il était également promu à la qualité de sacrificateur, voire même de sacrifié !
En cassant cette mécanique et cette programmation sociale, Élohim - le Père - veut dire à sa Création qu’Il est le seul Père et seul détendeur de l’autorité. Tous les fils premiers-nés, morts ou vivants, Lui appartiennent.
Jugements sur Jérusalem d’abord, sur les nations ensuite.
« Ils [les habitants de Judée] seront tués par l’épée, ils seront emmenés prisonniers parmi toutes les nations, et les païens piétineront Jérusalem jusqu’à ce que le temps qui leur est accordé soit écoulé… Sur la terre, les nations seront dans l’angoisse, rendues inquiètes par le bruit violent de la mer et des vagues. Des hommes mourront de frayeur en pensant à ce qui devra survenir sur toute la terre… Alors on verra le Fils de l’homme arriver… » (Luc 21:21)
Cette prophétie de l’Adon Yahshua ne peut être contestée et doit s’accomplir. Une partie de la sentence relative à Jérusalem s’est déjà réalisée conformément à la conclusion de la haftarah de la semaine :
« Toi, Jacob, mon serviteur, ne crains point, dit YHWH ; car je suis avec toi. Je détruirai entièrement toutes les nations parmi lesquelles je t’ai dispersé ; mais toi, je ne te détruirai point entièrement ; je te châtierai avec mesure ; cependant je ne te tiendrai pas pour innocent. » (Jérémie 46:28)
Pour les nations qui se sont partagées Jérusalem : fléaux, malheurs et coupes de colère sont encore à venir.
« Quand ces événements commenceront à se produire, redressez-vous et relevez la tête, car votre délivrance sera proche. » (Luc 21:28)
A ce titre, les successifs très violents tsunamis, tremblements de terre, ouragans qui augmentent en gravité sont autant de signes annonciateurs d’une extrême proximité de ces temps de jugement.
L’humanité paie encore et toujours un lourd tribut pour les décisions (et les non décisions) de ses chefs politiques, encouragés par la communauté internationale et tous les marchands de la Terre. Les premiers-nés égyptiens - innocents par nature - payèrent de la même manière les choix de Pharaon et de ses conseils.
Les nombreuses victimes seraient-elles plus coupables que d’autres en quoi que ce soit ? Yahshua nous répond que non, en commentant l’effondrement de la tour de Shiloé. Peut-être est-il encore temps que la planète y réfléchisse !
Plaies sur l’Égypte nous raconte Moshéh,
Vengeance sur l’Égypte nous rappelle YirméYahou (Jérémie),
Colère sur Jérusalem (Sodome et Égypte) et sur les nations nous annonce l’Adon Yahshua.
Restons mobilisés, confiants (Toi, Jacob, mon serviteur, ne crains point, dit YHWH ; car je suis avec toi) et préparons-nous à sortir de notre Égypte à la hâte, en priant que cette sortie n’arrive pas en hiver (condition logistique) ou un jour de Shabbat (condition spirituelle).
Péssah : se tenir prêts à sortir
« Et j’entendis du ciel une autre voix : sortez du milieu d’elle mon peuple, afin de ne pas participer à ses péchés et de pas recevoir votre part de ses plaies » (Apocalypse 18:4)
Ce verset d’Apocalypse, qui paraît hors contexte de notre réflexion, possède néanmoins une relation sensible avec la « Parachah Bo », ne serait-ce que par les termes « sortir » « mon peuple » « ses péchés » « ses plaies ».
Réfléchissons un instant à cette similitude qui touche deux textes situés aux extrémités de notre Bible.
Y sommes-nous ? Deux évènements bien concrets, séparés de plusieurs milliers d’années, mais tellement ressemblants. Gardons cela en mémoire et revenons à la lecture de la parachah.
Ce dénouement dramatique, pesant, angoissant, qui marque la chute d’un monde inhumain, marque simultanément l’espérance dynamique pour les libérés, re-nés à la vie, dans la vision d’un Royaume de justice à venir.
Nous nous posons la question : Pourquoi fallait-il tant d’actes spectaculaires ? Deux témoins, Moshéh et Aharon qui déclament au plus haut niveau du plus grand empire de l’époque, cela ne passe pas inaperçu ! 
De plus, leur témoignage est sillonné de dix grands signes qui sont autant de jugements sur tout Mitsraïm/Égypte et ses dieux : Cela non plus n’est pas passé inaperçu, ni dans les faits, car tous les Égyptiens et tous les hébreux en furent soit témoins soit victimes, ni dans l’interprétation car il n’a pas échappé à Pharaon et à ses prêtres magiciens que les jugements s’étaient abattus sur l’ensemble des symboles idolâtres de Mitsraïm/Égypte, dans lesquels ils se confiaient : le Nil, la terre, ses produits, les animaux, l’homme pharaon, le soleil.
L’enjeu de la sortie d’Égypte dépassait par son principe la seule nécessité de libérer un peuple opprimé qui crie à Élohim, auquel cas YHWH aurait suscité des héros comme les juges ou les Maccabées, ou IL aurait favorisé un Pharaon plus clément à l’égard des hébreux comme ce fut le cas pour Yossef.
Cela n’était pas suffisant pour réaliser le dessein divin.
=====
L'Egypte / Mitsraïm, dont la signification est : angoisse, limite, étroitesse était devenue, comme toutes les puissances humaines impérialo-économico-religieuses, une "bête", l'expression terrestre des puissances des ténèbres.
C'était un lieu d'esclavage, esclavage voulu et doré pour certains, esclavage subi et maltraitance mortelle pour d'autres. Système totalitaire comme nous les connaissons avec leur "solution finale", qui ne supportent que leur propre normalité de culte, de lois, de pensée, d'activité, d'organisation. Tout le domaine humain doit être sous contrôle et imposé. Système où les mots amours, fraternité, miséricorde ne signifient rien, ou au contraire compris comme des valeurs de faiblesse. Nous comprenons alors pourquoi le mot Mitsraïm signifie "angoisse", de sorte que l'Egypte est devenue l'archétype, le modèle, le symbole des systèmes humains sophistiqués soumis à l'adversaire, le Satan.
Alors, plus qu'une délivrance, ô combien espérée, il fallait un témoignage identifiant de "quoi en profondeur" le peuple de YHWH devait se libérer et afficher aussi clairement que Mitsraïm / Egypte n'était pas seulement l'ennemi d'un peuple, mais aussi ennemi de YHWH, comme de toute l'humanité. S'attacher à détruire Israël comme le tentèrent plusieurs tyrans, c'est s'attaquer au trône du Très-Haut.
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Mais de quoi le peuple devait-il se libérer ? De l’esclavage ! Soit ! Bien que tous ne fussent pas des esclaves maltraités, il existait toute une hiérarchie, certains même tenaient des postes importants de fonctionnaires, d’autres s’étaient enrichis de leurs affaires, élevage, etc.
Mais après plusieurs siècles d'immersion dans une culture illustre, beaucoup d'habitudes, de modes de pensée, de modes de fonctionnement contribuent à dessiner notre "MOI". "On" finit par se comporter, à réagir selon les critères en vigueur, à en apprécier certains éléments et à devenir comme "tout le monde" quoi de plus normal.
Le monde nous imprègne comme le liquide imprègne les éponges et nous n'y prenons pas toujours attention. Après plusieurs siècles, les enfants de Yaaqov / Israël avaient emprunté des natures d'Egypte ! S'il fallait s'en convaincre, l'épisode du Veau d'Or est là pour nous le rappeler.
Qu’en est-il pour nous-mêmes dans nos belles civilisations et sociétés ? Comment agissons-nous ? Ne faisons-nous pas une facile et malencontreuse confusion entre les méthodes du monde et le comportement de « juste » qui devrait être le nôtre ? Ne prêtons-nous pas allégeance sans trop y prêter attention à certaines « idoles » modernes ?
C’est aussi dans ce sens que les hébreux avaient à « sortir » leur propre « Égypte » d’eux-mêmes, à se souvenir de leur véritable identité : qu’ils n’étaient pas des sujets de Pharaon, mais des enfants d’Israël, Isaac, Abraham, de ceux à qui YHWH avait fait une promesse.
Pour cela ils vivraient une longue désintoxication de leur Égypte intériorisée : évacuer, expulser toutes les habitudes prises dans le « monde », les références, les repères instinctifs de raisonnement, les comportements réflexes issus de la culture.
Et cette culture sociale dépendait « en Égypte » de principes idolâtres. Les hébreux avaient en l’occurrence besoin de comprendre que ces principes, impulsés par les forces occultes, étaient mensongers, sans puissance, et que leur Élohim en était vainqueur.
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La première des "marques" de la sortie après le Pessah fut Le Shabbat, loin du symbolique jour d'adoration du Dieu "RA" le soleil : solis dies déguisé en dominus dies... dimanche.
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« Mon Royaume n’est pas de ce monde » (Jean 18:36)
Cette parole de Yahshua ne signifie pas : mon Royaume ne se situe pas sur terre, mais :
mon Royaume n’est pas régi comme ce monde,
mon Royaume n’est pas soumis aux mêmes principes que ceux de ce monde, aux mêmes lois, aux mêmes fonctionnements de pensée et de pratique.
Donc si nous sommes des enfants du Royaume, nous ne pouvons ou ne pourrons plus nous satisfaire de la nature de notre monde qui imposera, telle l’Égypte, une vision de la normalité de comportement qui s’opposera tôt ou tard à la sainteté d’Élohim ; et cela nous le vivons déjà.
Oui, la sortie d’Égypte/Mitsraïm, vécue par les hébreux sous l’égide de Moshéh et Aharon, est un schéma qui se répétera à plus large échelle, mais sans doute sous une autre forme, car demain, et déjà aujourd’hui, l’ombre de Mitsraïm/Égypte englobe toute la planète.
Le livre des révélations de Yahshua : L’Apocalypse, que nous avons évoquée plus haut dans ce commentaire, nous avertit par de nombreuses ressemblances que le peuple d’Israël a déjà réalisé, comme un principe, il y a 3500 ans, une sortie d’Égypte qui se présente encore aujourd’hui comme prophétie à venir, à plus large résonance, car cette fois-ci le Royaume shabbatique de Yahshua intéressera les cieux et toute la terre.
Cette « sortie d’Égypte » pour le Royaume est d’ores et déjà actée par le sacrifice de l’Agneau de Péssah à Golgoltha.
Des similitudes entre Exode et Apocalypse, il y en a :
A Moshéh et Aharon, témoins des jugements correspondent les deux témoins de l ‘Apocalypse (Apocalypse 11)
A pharaon et à ses magiciens, qui opèrent aussi des miracles, correspondent les deux bêtes (Apocalypse 13:11-13)
Aux dix plaies d’exode correspondent les sept plaies d’Apocalypse
A la plaie des eaux en sang, correspond la plaie du sang sur les fleuves et les mers (Apocalypse 8:8 ; 11:6 ; 16:3 à 6)
A la plaie des grenouilles, les esprits de grenouilles (Apocalypse 16:13)
A la plaie des ulcères, les ulcères malins (Apocalypse 16:2 - 16:11)
A la plaie de la grêle, les grêles de un talent (Apocalypse 8:7 - 11:19 - 16:21)
A la plaie des criquets, la plaie des sauterelles (Apocalypse 9:3)
A la plaie des ténèbres, la plaie des ténèbres sur le trône de la bête (Apocalypse 16:10)
A la mort des premiers-nés, la mort de tous les ennemis d’Élohim (Apocalypse 19:11-21)
Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin de ne pas participer à ses péchés et de pas recevoir votre part de ses plaies… prend donc ici toute son importance pour nous qui sommes arrivés à la fin du temps.
Question Élohim est-IL dans notre conscience, Celui qui nous fait sortir de Mitsraïm, c’est-à-dire de l’homme ancien forgé par le monde ? Est-IL Celui à qui nous ferons confiance et obéirons, s’IL nous dit au fond du coeur : sors de là, quel que soit le lieu ou l’environnement qu’IL nous demande de fuir, et quoiqu’il nous en coûte, quand Yéshoua le Mashiah et Fils d’Élohim nous dit : « toi, suis-moi » ?
Si notre réponse est : oui, oui. Alors YHWH, qui a fait sortir les hébreux de Mitsraïm sous le signe de l’Agneau, est notre Élohim qui nous fait et nous fera sortir sous le signe de Yahshua.
Alors sans doute nous retrouverons-nous de cause à effet et par grâce intégrés, greffés à ce peuple nouveau-né Israël, par le sang de l’alliance renouvelée au Golgoltha.
La neuvième plaie était celle de la nuit (ténèbres) sur le monde, seules les maisons de ceux qui s’étaient rangés du coté de YHWH, en acceptant le signe de l’Agneau, étaient éclairées. 
Au milieu de la nuit de Péssah YHWH jugea l’Égypte. On entendit des grands cris en Mitsraïm et Pharaon laissa partir Israël.
« Au milieu de la nuit, il y eut un cri : Voici l'époux, sortez à sa rencontre ! » (Matthieu 25:6)
Shabbat Shalom vé-shavoua tov
Source : Juda & Ephraïm
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danieljbc · 6 months
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Chauve-souris : voleurs
Singes
Serpent : mensonges
Dragon : destructeur ( reptiles qui volent)
Leopard : souillures
Loups : voleurs prévoyants, escros .
Deuteronome, parti sur les animaux.
Deutéronome 14:12 Voici ceux dont vous ne mangerez pas: l'aigle, l'orfraie, l'aigle de mer,
Deutéronome 14:13 le milan, les diverses espèces de vautours, l’autour,
Deutéronome 14:14 toutes les espèces de corbeaux,
Deutéronome 14:15 l'autruche, le hibou, la mouette, les diverses espèces d'éperviers,
Deutéronome 14:16 le chat-huant, la chouette, le cygne,
Deutéronome 14:17 le pélican, le cormoran, le plongeon,
Deutéronome 14:18 la cigogne, les diverses espèces de hérons, la huppe et la chauve-souris.
Deutéronome 14:19 Vous considérerez comme impur tout reptile qui vole; on n'en mangera pas.
Deutéronome 14:6 Vous pourrez manger de tout animal qui a le sabot fendu ou le pied fourchu et qui rumine.
Deutéronome 14:7 En revanche, vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement ou qui ont seulement le sabot fendu ou le pied fourchu. Ainsi, vous ne mangerez pas le chameau, le lièvre et le daman, qui ruminent mais n'ont pas le sabot fendu; vous les considérerez comme impurs.
Deutéronome 14:8 Vous ne mangerez pas le porc, qui a le sabot fendu mais ne rumine pas; vous le considérerez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur viande et vous ne toucherez pas leur cadavre.
Deutéronome 14:19 Vous considérerez comme impur tout reptile qui vole; on n'en mangera pas.
Deutéronome 14:20 Vous pourrez manger tout oiseau pur.
Deutéronome 14:21 »Vous ne mangerez d'aucune bête déjà morte. Tu la donneras à l'étranger qui habitera dans ta ville afin qu'il la mange, ou tu la vendras à un immigré, car tu es un peuple saint pour l'Eternel, ton Dieu. Tu ne feras pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère.
Genèse des animaux.
Genèse 1:21 Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants capables de se déplacer: l’eau en pullula selon leur espèce. Il créa aussi tous les oiseaux selon leur espèce. Dieu vit que c'était bon,
Genèse 1:25 Dieu fit les animaux terrestres selon leur espèce, le bétail selon son espèce et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que c'était bon.
Exode 12 Fléau n° 10: la mort des premiers-nés
Exode 12:29 Au milieu de la nuit, l'Eternel tua tous les premiers-nés en Egypte, depuis le fils aîné du pharaon qui siégeait sur son trône jusqu'au fils aîné du détenu dans sa prison et jusqu'à tous les premiers-nés des animaux.
Exode 12:30 Le pharaon se leva en pleine nuit, ainsi que tous ses serviteurs et tous les Egyptiens. Il y eut de grands cris en Egypte, car il n'y avait pas une seule maison où il n'y ait pas un mort.
Le monde occulte est liée à la partie impure du monde naturel et à pour images les hybrides de ses créatures qui ont pour noms : les Démons.
le monde des morts sous le monde marin est liée fortement aux animaux impures / image de péchés .
Les Saints Anges ont pour lien la sainteté au dessus de la pureté et ont pour images la pureté sur Terre donc les animaux pure du monde animal qui englobe aussi l'Homme dans sa forme et non sa nature.
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decostatue · 10 months
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Amon, le dieu capillaire : plongez dans l'histoire divine de l'Égypte antique
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Imaginez-vous plongé dans les sables chauds de l'Égypte ancienne, où les dieux et déesses règnent en maîtres et où la mythologie s'entrelace avec la réalité. Au milieu de ce panthéon divin se trouve un dieu qui se démarque par son charisme et son mystère : Amon, le dieu égyptien au style capillaire qui ferait pâlir d'envie n'importe quel coiffeur moderne ! Il est bien plus qu'un dieu avec une coiffure impressionnante. Il a joué un rôle central dans la religion égyptienne, enflamma l'imagination des pharaons et inspira les artistes à créer des chefs-d'œuvre immortels. Dans cet article, nous allons explorer les secrets d'Amon, révéler ses attributs divins, et plonger dans l'influence qu'il a exercée sur l'art et la sculpture de l'Égypte antique. Préparez-vous à être émerveillé par les légendes et les symboles de ce dieu mystérieux, et peut-être, juste peut-être, à vous interroger sur les secrets cachés derrière les cheveux parfaits d'Amon. Allons-y !
II. L'histoire d'Amon
Les origines mythologiques d'Amon : bien plus qu'un dieu capillaire Au cœur des légendes égyptiennes, se cache l'origine fascinante de cette divinité. Selon les anciens récits, il émergea des eaux chaotiques du Nun, le chaos primordial. Mais ne vous laissez pas tromper par son apparence capillaire spectaculaire. Il est bien plus qu'un dieu avec une coiffure digne d'une publicité de shampooing divin. Il est le symbole de la création et de la puissance primordiale qui ont donné naissance à l'univers lui-même. Amon, le dieu superstar de Thèbes Thèbes, la cité antique du sud de l'Égypte, devint le bastion d'Amon et le centre de son culte grandissant. Il était initialement vénéré comme un dieu local, mais sa popularité ne cessa de croître au fil des dynasties. Les habitants de Thèbes furent captivés par ce dieu charismatique au point de le placer au sommet de leur panthéon. Ses prêtres, habiles manipulateurs de l'opinion divine, firent en sorte que leur dieu devienne incontournable et indissociable de la ville. Amon-Rê : le mariage céleste du dieu solaire et du dieu capillaire L'histoire d'Amon prit une tournure épique lorsqu'il fit une alliance céleste avec le puissant dieu solaire, Rê. Ce mariage divin créa un être tout à fait unique, Amon-Rê, une entité cosmique qui réunissait la puissance solaire de Rê et la majesté du dieu capillaire. Imaginez un instant un dieu avec des cheveux resplendissants qui illumine le monde de sa lumière éblouissante. Voilà Amon-Rê, la fusion ultime entre le soleil radieux et une coiffure divine. Ce nouveau dieu incarna la puissance suprême et devint une divinité vénérée dans tout l'Égypte.
Les attributs et symboles d'Amon
Description physique du dieu d'Égypte : des cheveux divins et une prestance imposante Si vous aviez le privilège de rencontrer cette divinité dans l'Égypte ancienne, vous seriez immédiatement captivé par sa prestance imposante. Imaginez un dieu d'une élégance inégalée, vêtu d'une longue robe drapée de pourpre et d'or, portant une barbe parfaitement taillée qui reflète sa sagesse intemporelle. Mais ce qui attire incontestablement l'attention, ce sont ses cheveux divins. Il est souvent représenté avec une crinière de boucles soigneusement arrangées, tellement impeccables qu'on pourrait presque imaginer un temple de la coiffure divin en train de prendre soin de ses cheveux. Ses cheveux resplendissants sont le symbole éclatant de sa puissance et de son aura divine, car après tout, rien ne vaut une chevelure parfaite, même pour un dieu ! Les animaux sacrés associés à Amon : béliers et oiseaux Il a ses compagnons célestes dans le règne animal. Le bélier est l'animal qui lui est le plus étroitement associé. Avec ses cornes majestueuses enroulées autour du disque solaire, le bélier symbolise la fertilité, la virilité et la force divine de ce dieu d'Égypte. On peut le voir dans les représentations artistiques, fièrement positionné aux côtés d'Amon, faisant écho à sa puissance et à son rôle en tant que dieu créateur. Les oiseaux, tels que le faucon et l'oie, sont également liés à cette divinité, reflétant sa nature céleste et sa connexion étroite avec les cieux. Ces oiseaux majestueux volent aux côtés d'Amon, porteurs de ses messages divins et gardiens des secrets mystérieux de l'univers. Les symboles et objets caractéristiques : sceptres et couronnes Il ne serait pas complet sans ses attributs de pouvoir. Parmi eux, le sceptre Héqa tient une place de choix. Ce sceptre symbolise l'autorité et la royauté, et lorsqu'Amon le tient, il affirme sa souveraineté divine. Souvent surmonté d'une tête de bélier, le sceptre Héqa renforce l'association intime entre lui et cet animal emblématique. De plus, il est fréquemment couronné de la majestueuse couronne Atef. Cette couronne blanche ornée de plumes représente sa souveraineté et sa divinité, rappelant à tous sa position de roi des dieux.
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Les cultes et sanctuaires d'Amon
Les temples grandioses de Karnak : la demeure divine d'Amon Si vous cherchez le véritable foyer d'Amon, vous devez vous rendre à Karnak, le complexe de temples le plus grand et le plus célèbre dédié à ce dieu égyptien. Situé à Thèbes, Karnak abrite des structures Égyptiennes grandioses qui témoignent de la dévotion sans égal envers ce dieu de l'antiquité. Imaginez-vous marchant dans les vastes allées bordées de colonnes imposantes, vous imprégnant de l'atmosphère mystique où la ferveur des prêtres et des fidèles était palpable. Les sanctuaires de Karnak, tels que le célèbre temple d'Amon-Rê, étaient les lieux de culte où les rituels et les cérémonies magnifiques étaient orchestrés pour honorer la divinité. Les prêtres du dieu Égyptien : gardiens des mystères divins Les prêtres d'Amon étaient des gardiens dévoués des mystères divins et des enseignements sacrés. Leur rôle était de veiller sur les sanctuaires, d'offrir des prières et des offrandes à cette divinité, et d'intercéder en faveur du peuple égyptien. Ces prêtres dévoués étaient hautement respectés et occupaient des postes de pouvoir et d'influence dans la société égyptienne. Ils étaient les intermédiaires entre les mortels et le dieu, porteurs de sa sagesse et de sa volonté. Les festivités en l'honneur d'Amon : célébrations divines Les célébrations en son honneur étaient des moments de joie et d'allégresse pour le peuple égyptien. Des festivals grandioses étaient organisés, où la musique, la danse et les processions triomphales marquaient les rues de Thèbes. Les statues sacrées d'Amon étaient portées en procession à travers la ville, permettant aux fidèles de se rapprocher de leur dieu bien-aimé. Ces festivités étaient des occasions de renouveler les vœux de dévotion envers lui, de remercier le dieu pour ses bienfaits et de chercher sa bénédiction pour l'avenir. L'influence d'Amon sur les pharaons : une divinité royale Il exerçait une influence profonde sur les pharaons égyptiens. En tant que dieu de la royauté, il était considéré comme le protecteur et le conseiller des souverains égyptiens. Les pharaons cherchaient l'approbation et la faveur d'Amon, et lui consacraient des offrandes et des prières pour s'assurer de sa bienveillance. Certains pharaons, tels que Aménophis III et Ramsès II, étaient particulièrement dévoués à Amon et entreprirent des projets de construction monumentaux pour magnifier le culte du dieu capillaire.
Amon et les pharaons : une relation divine
Le confident des pharaons : conseiller et protecteur divin Dans l'Égypte antique, la relation entre Amon et les pharaons était d'une importance capitale. Il était considéré comme le confident et le conseiller divin des souverains égyptiens. Les pharaons cherchaient la sagesse et la guidance du dieu lors de prises de décisions cruciales pour le royaume. Les oracles d'Amon étaient consultés lors de questions politiques, militaires et religieuses, car il était censé détenir une connaissance supérieure des desseins divins. Il était également perçu comme le protecteur personnel des pharaons, veillant sur leur sécurité et leur prospérité. Les titres honorifiques des pharaons : les "Fils d'Amon" En reconnaissance de leur lien spécial avec lui, les pharaons se sont attribué des titres honorifiques pour affirmer leur relation avec le dieu. Ils se désignaient souvent comme les "Fils d'Amon", affirmant ainsi leur filiation divine et légitimant leur pouvoir royal. Ce titre symbolisait leur lien étroit avec Amon, mettant en avant leur rôle de représentants terrestres du dieu. Les projets monumentaux dédiés : l'expression de la dévotion royale Les pharaons, profondément dévoués à ce dieu Égyptien, entreprirent des projets monumentaux pour magnifier le culte du dieu. Ils construisirent des temples somptueux et agrandirent les sanctuaires existants en son honneur. Le temple de Karnak à Thèbes est l'exemple le plus frappant de cet engagement pharaonique. Les pharaons investissaient des ressources considérables dans ces constructions colossales pour témoigner de leur piété envers Amon et pour s'assurer de la faveur divine et de la bénédiction du dieu. Amon et la légitimité royale : l'union des divinités et des pharaons La relation entre ce dieu et les pharaons était bien plus qu'une simple association politique ou religieuse. Ill était considéré comme l'un des dieux créateurs et était associé à la puissance suprême. En s'alignant avec cette divinité, les pharaons renforçaient leur légitimité et leur autorité royale. Ils prétendaient être choisis par Amon lui-même pour régner sur l'Égypte, affirmant ainsi leur statut divin et justifiant leur domination.
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yes-bernie-stuff · 1 year
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Pourtant Avertis ! 02/05/2023
Ceux qui ne prirent point à cœur la parole de l’Éternel laissèrent leurs serviteurs et leurs troupeaux dans les champs. Exode 9.21
Sept plaies redoutables avaient déjà touché l’Égypte exactement comme Moïse les avait annoncées. Personne ne pouvait l’ignorer ! Et Moïse annonçait la huitième qui allait détruire tout humain ou animal qui n’aurait pas été mis à l’abri.
Pourtant, il se trouva des Égyptiens pour n’en tenir aucun compte ! Incroyable !
En 1964, dans le sud de Haïti, nous annoncions sur notre radio chrétienne l’approche imminente du cyclone Flora, pressant les auditeurs d’éloigner le bétail des vallées, d’attacher les toits, de ne point sortir en mer…
Contrairement à Moïse, de tels précédents manquaient pour donner du poids à nos avertissements. De plus, la radio nationale tranquillisait le pays.
On se moqua… Les chrétiens furent seuls à tenir compte des avertissements et à suivre nos conseils. Flora passa et laissa 6000 morts ; une seule victime était chrétienne !
La Bible annonce de grands jugements pour la fin des temps. Les précédents ne manquent pas : déluge, destruction de Sodome, plaies d’Égypte … Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! une ruine soudaine les surprendra… et ils n’échapperont point, écrivait Paul1.
Nous laisserons-nous avertir ou hausserons-nous les épaules avec insouciance pour notre malheur ? Ne soyons pas insensés. Les temps sont sérieux. La fin est proche.
Richard Doulière
1 1 Thessaloniciens 5.3
__________________ Lecture proposée : Livre de l’Exode, chapitre 9, versets 13 à 21.
13 L'Éternel dit à Moïse: Lève-toi de bon matin, et présente-toi devant Pharaon. Tu lui diras: Ainsi parle l'Éternel, le Dieu des Hébreux: Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve.
14 Car, cette fois, je vais envoyer toutes mes plaies contre ton coeur, contre tes serviteurs et contre ton peuple, afin que tu saches que nul n'est semblable à moi sur toute la terre.
15 Si j'avais étendu ma main, et que je t'eusse frappé par la mortalité, toi et ton peuple, tu aurais disparu de la terre.
16 Mais, je t'ai laissé subsister, afin que tu voies ma puissance, et que l'on publie mon nom par toute la terre.
17 Si tu t'élèves encore contre mon peuple, et si tu ne le laisses point aller,
18 voici, je ferai pleuvoir demain, à cette heure, une grêle tellement forte, qu'il n'y en a point eu de semblable en Égypte depuis le jour où elle a été fondée jusqu'à présent.
19 Fais donc mettre en sûreté tes troupeaux et tout ce qui est à toi dans les champs. La grêle tombera sur tous les hommes et sur tous les animaux qui se trouveront dans les champs et qui n'auront pas été recueillis dans les maisons, et ils périront.
20 Ceux des serviteurs de Pharaon qui craignirent la parole de l'Éternel firent retirer dans les maisons leurs serviteurs et leurs troupeaux.
21 Mais ceux qui ne prirent point à coeur la parole de l'Éternel laissèrent leurs serviteurs et leurs troupeaux dans les champs.
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french-maestro12 · 1 year
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Faire un Voyage à l’Égypte
La ville du Caire est l’une des plus grandes villes égyptiennes où passe le Nil. C’est l’une des plus longues rivières du monde et attire beaucoup de touristes. Le Nil est également considéré comme une traversée de l’autre rive. Plusieurs festivals annuels, comme le Cairo Film Festival, le Drum Festival, le Jazz Festival et d’autres, se tiennent au Caire. Le Caire possède également les centres culturels les plus importants. Il est réputé pour son patrimoine ancien et sa situation stratégique. Il est également caractérisé par l’existence de monuments historiques. Le touriste y trouve des musées, tels que le Musée égyptien, qui contient la plus grande collection de reliques archéologiques des pharaons, le Musée copte, le Musée de la céramique, le Musée du chemin de fer, le Musée de l’agriculture. Quant aux monuments islamiques, Le touriste peut en trouver beaucoup, comme la mosquée Amr Ibn Al-As , C’est la première mosquée construite en Égypte et en Afrique par Amr Ibn Al-As dans la ville de Fattat, al-Azhar al-Sharif, la mosquée Ibn Tulun et la citadelle de Saladin, l’une des plus grandes forteresses de guerre construites au Moyen Âge. La civilisation égyptienne
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L’Égypte est repute qu’elle a l’une des plus anciennes civilisations sur la terre. , alors que les humains ont commencé à migrer vers les rives du Nil , à se stabiliser et à planter la terre il y a environ 10000 ans. Les pyramides de Gizeh
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La civilisation des anciens Egyptiens est la mère des civilisations du monde et l’une des sept merveilles du monde. Ils ont non seulement construit les énormes pyramides comme leurs tombes, mais aussi consacré leur conception de l’intérieur où ils les ont décorés avec des dessins pharaoniques, mis quelques statues en or privés et créer des couloirs à l’intérieur des pyramides, permettant une mobilité facile
La réserve naturelle de Napq
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La réserve est située près de montagne de Sainte Catherine entre Dahab et Sharm el-Sheikh et a de nombreux animaux tels que les cerfs, les oiseaux, la punition, les aigles, les orangs-outans et les poissons rares. La réserve de napq comprend de nombreux types de plantes, dont les plus célèbres sont les mangroves, qui vivent dans l’eau salée ou saline. Itinéaire 1èr Jour: Tour Egypte, le Caire Accueil et assistance à l'aéroport international du Caire par notre représentant pour les bagages et les formalités des douanes puis transfert à votre hôtel. Le Soir, visite facultative pour assister au spectacle son et lumière au Caire. 2ème Jour: Tour Egypte, Le Caire
Commencez votre journée de Tour en Egypte avec une visite guidée du Musée égyptien, où vous trouverez des monuments de l'ère pharaonique et les trésors du roi Toutankhamon. Après le déjeuner, visiter la Citadelle de Saladin et la Mosquée de Mohamed Ali connue par Mosquée d'Albâtre. Profitez d'une visite à pied au Khan El Khalili Bazars le plus grand marché oriental couvert du 13ème siècle 3ème Jour: Le Caire, les pyramides Une belle promenade à la ville antique de Memphis, première capitale du Royaume-Haute et Basse Egypte, puis la visite de Sakkara, le site de la pyramide de Djoser. Après le déjeuner au Caire ,visiter Pyramides de Gizeh, le Sphinx qui a été le gardien des pyramides pendant les 5000 dernières années. Retour à l'hôtel au Caire pour passer la nuit 4ème Jour: Le Caire, Louxor Vol du Caire à Louxor, arrivée et transfert à votre Croisière de luxe sur le Nil où vous passerez 8 jours .Reste de la journée libre. Nuit à Louxor. 5ème Jour: Croisière de luxe sur le Nil, Louxor, Esna Après le déjeuner,Visite du Temple de Karnak et temple Louxor,les pylônes,les salles hypostyles,les statues colossales,les sanctuaires et les obélisques.Retour à la Croisière de luxe sur le Nil pour le déjeuner,navigation vers Esna, nuit à bord 6ème Jour: Edfou, Kom Ombo
Navigation vers Edfou et visite du Temple d'Horus à Edfou, le dieu-faucon, (237 avant JC) considéré comme le mieux préservé des temples en Egypte ancienne et le deuxième en importance après le temple de Karnak. Navigation vers Kom Ombo et Nuit à Kom Ombo 7ème Jour: Kom Ombo, Assouan Navigation vers Assouan. Visite du Haut Barrage, l'Obélisque inachevé et le temple Philae. Le soir, visite facultative pour assister au spectacle son et lumière au temple Philae, nuit à Assouan 8ème Jour: Assouan, Abou Simbel Matin libre ou visite facultative des temples Abou Simbel Situés à 280 km au sud d'Assouan. Les deux temples Abou Simbel sont les temples les plus magnifiques au monde. Retour à Assouan.Promenade en Felouque nuit à Assouan
9ème Jour: Kom Ombo, Louxor Navigation trés tôt vers Kom Ombo puis la visite du Temple Kom Ombo (le temple ptolémaïque de Sobek & Haroeries), navigation vers Louxor et nuit à Louxor. 10ème Jour: Louxor
Visite vallée des rois ,temple Hatshipsout ,à Deir El Bahari et les Colosses de Memnon. Retour à votre croisière sur le Nil pour le déjeuner. La soirée en option l'assistance au spectacle son et lumiere au temple de Karnak, Nuit à Louxor. 11ème Jour: Louxor, Le Caire Vol de retour au Caire, et transfert à votre hôtel au Caire, reste de la journée libre ou visite facultative du Vieux Caire où le judaïsme et le christianisme a prospéré en Egypte. Visitez la Synagogue Ben Ezra et l'église de Saint-Serge, la mosquée Amr Ebn Elaas. Ceci est la première et la plus ancienne mosquée construite en Egypte. Érigé en 642 AD (21 AH) par Amr Ibn Elaas, le commandant de l'armée musulmane qui a conquis l'Egypte, la mosquée est également connu comme Taj al-Jawamie, nuit au Caire. 12ème Jour: Retour Après le petit déjeuner, transfert à l'aéroport internationale du Caire pour votre vol de départ. Le prix inclut:-
Accueil et assistance à votre arrivée et au départ par notre représentant
Assistance de notre personnel pendant votre tour Egypte, les visites et excursions
Transferts en véhicule de luxe privé
Hébergement pour 4 nuits dans un hôtel au Caire avec petit déjeuner
Hébergement pour 7 nuits en croisière sur le Nil à bord en pension complète
Billets du Vol intérieur d'Hurghada - le Caire sur Egyptair --Journée aux pyramides de Gizeh, Sphinx, Vallée du temple, Sakkara et Memphis
Journée pour visiter le Musée égyptien, la citadelle ,les mosquées et les églises coptes
Journée pour visiter temple de Karnak et temple Louxor
Journée à la vallée des Rois, le temple Hatshepsut et les colosses de Memnon
Demi-journée au temple Edfou
Demi-journée de visite au temple Kom Ombo
Journée au Haut-Barrage et au Temple Philae à Assouan -Demi-journée de visite à l'île Éléphantine et jardin botanique en felouque sur le Nil
Excursions selon l'itinéraire du voyage
Toutes les excursions selon l'itinéraire des croisières
Déjeuner au cours des visites au Caire et à Giza
Guide égyptologue froncophone
Billets d'entrées aux sites touristiques selon l'itinéraire du voyage
Le prix n’inclut pas:-
Vol international
Les dépenses personnelles
Excursions en option
E-mail:[email protected] Mobile:-+201001422529 Site: www.egyptonlinetours.com
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rastamanbourgeois · 2 years
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Une boîte à onguent en ivoire portant les cartouches de Ramsès II et Nefertari
Cette boîte à onguent, ronde, en ivoire d'hippopotame et bois de rose, a un diamètre qui varie de 5 à 6,4 cm. Elle est composée de trois parties : le couvercle, le contenant avec un léger "débord", et un élégant piédouche central sur lequel repose le tout.
Elle est munie, de deux "appendices" qui rompent temporairement sa forme circulaire : plats et rectangulaires, ils se répondent "exactement" sur le couvercle et le contenant. Ils servent notamment à accueillir les "mécanismes" d'ouverture et de fermeture.
L'un d'eux, placé sur le contenant, est muni en son extrémité d'un petit "bouton" de bois sombre : il va de pair avec un autre, plus petit, situé sur le couvercle. Une cordelette, entourée autour des deux, assurait la fermeture de la boîte.
L'autre appendice est percé de part en part : une cheville en bois traversante permet de faire pivoter la partie supérieure afin d'accéder au précieux onguent.
Le couvercle est orné, sur l'ensemble de son pourtour, appendices compris, de petits cercles, disposés à intervalles rapprochés. Leur centre est matérialisé par un point. Ces décorations sombres se détachent très bien sur l'ivoire, même s'il s'est, au fil du temps, patiné, voire bruni, en certains endroits.
Du côté où pivote le couvercle se trouve un petit hérisson, au corps menu et allongé, dont les piquants sont rendus par des stries croisées.
Dans la catalogue de l'exposition "Des Animaux et des Pharaons", Marc Etienne présente ainsi ce petit insectivore : "Le hérisson chasse les serpents la nuit pour s'en nourrir. De ce fait, ce prédateur efficace a été quelquefois représenté sur des objets de petite taille servant d'amulettes. Un élément réel du comportement de l'animal représenté est ainsi rapproché d'une fonction de protection magique de l'individu propriétaire de l'objet".
Dans "L'Egypte ancienne et ses dieux", Jean-Pierre Cortegianni note bien l'existence d'une déesse hérisson, "Abaset", mais son culte a été peu attesté.
Le museau effilé du petit mammifère arrive au niveau d'un double cartouche, maladroitement gravé, aux noms de Ramsès II et de sa grande épouse royale, Nefertari.
Janice Kamrin, conservatrice au Metropolitan Museum of Art de New York où est exposé cet objet, livre cette interprétation : "Unique dans le répertoire égyptien, cette boîte miniature en ivoire et ébène est ornée de cercles incisés et de la minuscule silhouette d'un hérisson. Le corps est lenticulaire, avec une épaule bien définie et un pied cylindrique. Le couvercle est plat et légèrement trop petit pour le récipient, ce qui suggère qu'ils ne vont peut-être pas ensemble à l'origine. Le type semble appartenir à la tradition nord-syrienne et est similaire aux exemples d'Ugarit".
Cependant, aucune indication ne précise sa provenance "antique".
Il semble difficile d'imaginer qu'il puisse avoir appartenu au trésor funéraire de la grande reine dont la tombe, violée et saccagée à la fin de l'époque ramesside, a été découverte en 1904, par la Mission Archéologique du Musée de Turin, dirigée par Ernesto Schiaparelli et Francesco Ballerini.
Les pilleurs n'avaient en effet laissé que "des scarabées, des fragments du couvercle du sarcophage en granit, et des fragments d'un couvercle de cercueil en bois doré. Une trentaine de "chaouabtis", de nombreux tessons de poterie… un pilier-djed en bois cloisonné avec incrustation de pâte de verre … inscrit au nom de la reine Nefertari… une paire de sandales en corde…".
Se pourrait-il qu'il s'agisse là d'un objet "commémoratif" en référence au couple royal ? On trouve, par exemple, au Louvre des boîtes à onguent portant les cartouches de la reine Tiyi et d'Amenhotep IV…
Cet artefact ré-apparaît en 1922, sous le n° 26 du "Catalogue of an Exhibition of Ancient Egyptian Art, London, 1922" : "Boîte de toilette, ivoire, avec chevilles en ébène. Couvercle orné d'une rangée de cercles concentriques autour de la surface supérieure et à l'arrière, près de la cheville pivot, est un petit animal sculpté en ivoire. Devant ce petit animal sont incisés les cartouches de Ramsès II et de la Reine Nefretari Mer-en-Mut. Contenant de forme circulaire et pied saillant à tige courte. Sur le devant du couvercle et en dessous sur le contenant, se trouvent des chevilles en ébène. La boîte contient de la pâte non onctueuse. XIXe dynastie".
Il est indiqué qu'il s'agit là d'un prêt de Lord Carnarvon, qui, en novembre de la même année, grâce à ses subsides et à la ténacité d'Howard Carter, découvrira, la tombe de Toutankhamon.
Il décèdera, quelques mois plus tard, au Caire, le 5 avril 1923. Dans un codicille à son testament, destiné à son épouse Lady Almina, il avait exprimé ses suggestions sur le devenir de sa collection au cas où elle serait amenée à s'en séparer. Ce qu'elle fera, Howard Carter étant alors chargé des négociations...
Grâce à la générosité d'Edward S. Harkness, le Metropolitan Museum of Art de New York s'en portera acquéreur pour la somme de $ 145.000. C'est ainsi que cet objet est entré dans ses collections, en 1926, sous la référence 26.7.1291.
marie grillot
Illustration : Boîte à onguent portant les cartouches de Ramsès II et Nefertari - ivoire d'hippopotame et bois de rose - Nouvel Empire - Période Ramesside - 1279-1213 av. J.-C. - provenance antique inconnue - entrée au Metropolitan Museum of Art de New York (réf. 26.7.1291) en 1926 par l'acquisition de la Collection de Lord Carnarvon
sources de l'article et illustrations complémentaires sur égyptophile
https://egyptophile.blogspot.com/2020/09/une-boite-onguent-en-ivoire-portant-les.html
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vasilzelenak · 2 years
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Geb était le père d'Osiris, Isis, Seth et Nephythys, et était un dieu sans culte. En tant que dieu de la Terre, il était associé à la fertilité et on croyait que les tremblements de terre étaient le rire de Geb. Il est mentionné dans les Textes des Pyramides comme emprisonnant les morts enterrés dans son corps. Amon: Aussi connu sous le nom d'Amen, Amon, Ammon Amon était la principale divinité thébaine dont le pouvoir a grandi à mesure que la ville de Thèbes est passée d'un village sans importance, dans l'ancien royaume, à une puissante métropole dans le Moyen et le Nouveau Royaume. Il s'est élevé pour devenir le patron des pharaons thébains et a finalement été combiné avec le dieu solaire, Ra qui avait été la divinité dominante de l'Ancien Empire pour devenir Amon-Ra, roi des dieux et souverain de la Grande Ennéade. Le nom d'Amon signifie "Un Caché, Mystérieux de Forme", et bien qu'il soit le plus souvent représenté comme un humain portant une double couronne à plumes, il est parfois représenté comme un bélier ou une oie. L'implication est que sa véritable identité ne peut jamais être révélée. Karnak était le principal temple d'Amon, mais sa renommée s'étendait bien au-delà des frontières de l'Égypte. Son culte s'est répandu en Éthiopie, en Nubie, en Libye et dans une grande partie de la Palestine. Les Grecs pensaient qu'il était une manifestation égyptienne de leur dieu Zeus. Même Alexandre le Grand a pensé qu'il valait la peine de consulter l'oracle d'Amon. Anubis: Le protecteur des morts Anubis est représenté comme un homme à tête de chacal ou comme un chacal. Son père était Seth et sa mère Nephythys. Son centre de culte était Cynopolis, maintenant connu sous le nom d'El Kes. Il était étroitement associé à la momification et protecteur des morts. C'est Anubis qui a conduit le défunt à la salle du jugement. Bastet: Bastet est représenté comme une femme à tête de chat ou simplement comme un chat. À l'origine une divinité lionne vengeresse, elle a évolué en une déesse du plaisir. Son centre de culte était dans la ville de Bubastis dans le delta occidental. De nombreux chats vivaient dans son temple et ont été momifiés à leur mort. Un immense cimetière de chats momifiés a été découvert dans la région. Bès: Contrairement aux autres dieux, Bès est représenté de face plutôt que de profil, comme un nain grotesque aux jambes bandées, la langue tirée. Il était associé aux bons moments et aux divertissements, mais était également considéré comme un dieu gardien de l'accouchement. Bes chassait les démons de la nuit et protégeait les gens des animaux dangereux. Hapi: Hapi n'était pas le dieu du Nil mais de son inondation. Il est représenté comme un homme ventru avec des seins et une coiffe faite de plantes aquatiques. On pensait qu'il vivait dans les grottes de la première cataracte, et son centre de culte était à Assouan. Hathor: Hathor était la fille de Ra et la déesse protectrice des femmes, de l'amour, de la beauté, du plaisir et de la musique. Elle est représentée sous trois formes; comme une vache, comme une femme avec des oreilles de vache et comme une femme coiffée de cornes de vache. Dans cette dernière manifestation, elle tient le disque solaire entre ses cornes. Elle était l'épouse d'Horus, et son nom signifie en fait "Maison d'Horus". Elle possédait de nombreux temples dont le plus célèbre est celui de Dendara. Il y avait un côté sombre à Hathor. On croyait que Râ l'avait envoyée punir la race humaine pour sa méchanceté, mais Hathor a fait des ravages si sanglants sur terre que Râ était horrifié et déterminé à la ramener. Il l'a trompée en préparant de grandes quantités de bière mélangée à de la mandragore et au sang des tués. Assassiner l'humanité était un travail assoiffé, et quand Hathor a bu la bière, elle est devenue si ivre qu'elle ne pouvait pas continuer son massacre. Chaque année, la déesse Hathor rendait visite à son mari le dieu Horus au temple d'Edfou pour célébrer la fête de l'Union divine. Horus: Horus était le fils d'Osiris et d'Isis et l'ennemi du méchant Dieu Seth. Il est représenté comme un faucon ou comme un homme à tête de faucon. Parfois, il est montré comme un jeune avec une serrure latérale, assis sur les genoux de sa mère. Il était le dieu du ciel et le protecteur divin des rois. Horus était vénéré dans toute l'Égypte et était particulièrement associé à Edfou, le site de l'ancienne ville de Mesen, où son temple est encore visible. Il existe de nombreuses histoires de ses guerres contre son oncle Seth, qui a assassiné son père et usurpé le trône. Finalement, Horus a vaincu Seth et est devenu le roi d'Égypte. Isis: Figure très importante du monde antique, Isis était l'épouse d'Osiris et la mère d'Horus. Elle était associée aux rites funéraires et aurait fabriqué la première momie à partir des parties démembrées d'Osiris. Comme l'enchanteresse qui a ressuscité Osiris et donné naissance à Horus, elle était aussi la dispensatrice de vie, la guérisseuse et la protectrice des rois. Isis est représentée avec un trône sur la tête et allaite parfois l'enfant Horus. Dans cette manifestation, elle était connue sous le nom de "Mère de Dieu". Pour les Égyptiens, elle représentait l'épouse et la mère idéales ; aimante, dévouée et attentionnée. Son temple le plus célèbre est celui de Philae, bien que son culte se répande dans tout le monde méditerranéen et, à l'époque romaine, s'étende jusqu'au nord de l'Europe. Un temple lui était même dédié à Londres. Khepre: Aussi connu sous le nom de Khepri, Khepra, Khepera, Khepre était un dieu créateur représenté comme un scarabée ou comme un homme avec un scarabée pour tête. Les Égyptiens ont observé de jeunes scarabées émergeant spontanément de boules de bouse et les ont associés au processus de création. Khepre était l'un des premiers dieux, auto-créé, et son nom signifie "celui qui est né", Atum a pris sa forme alors qu'il sortait des eaux chaotiques du Noun dans un mythe de la création. On pensait que Khepre faisait rouler le soleil dans le ciel de la même manière qu'un bousier fait rouler des boules de fumier sur le sol. Khnoum: Khnum, était dépeint comme un homme à tête de bélier. C'était un dieu des cataractes, un potier et un dieu créateur qui gardait la source du Nil. Son sanctuaire était sur l'île Eléphantine mais son temple le mieux conservé est à Esna. La « stèle de la famine », qui est une tablette de pierre sculptée, contient des appels à Khnoum lors d'une famine causée par une faible inondation du Nil. Khonsou: Aussi connu sous le nom de Khons Khensu, Khuns Khonsu était le fils d'Amon et de Mout, avec qui il forma la triade thébaine. C'était un dieu de la lune représenté comme un homme à tête de faucon portant une coiffe en croissant de lune surmontée du disque lunaire plein. Comme Thoth, qui était aussi une divinité lunaire, il est parfois représenté comme un babouin. On croyait que Khonsu avait la capacité de chasser les mauvais esprits. Ramsès II a envoyé une statue de Khonsu à un roi syrien ami afin de guérir sa fille d'une maladie. Son temple se trouvait dans l'enceinte de Karnak. Maât: Maât était la déesse de la vérité et de la justice, incarnant l'harmonie essentielle de l'univers. Elle était représentée comme une femme assise portant une plume d'autruche, ou parfois simplement comme la plume elle-même. Son pouvoir réglait les saisons et le mouvement des astres. Maat était le patron de la justice et le symbole de l'éthique égyptienne antique, de sorte que le vizir qui était en charge du palais de justice portait le titre de prêtre de Maat. Ma'at était le juge ultime de l'au-delà, et le cœur de la nouvelle décédée était pesé contre sa plume dans la salle des deux vérités. Ammut, dévoreuse de morts, a mangé ceux qui ont échoué à son test. Montou: Montu était un dieu guerrier qui est devenu le dieu de l'État au cours de la 11e dynastie. Il était associé au roi Montouhotep I (« Montou est satisfait »), qui a réuni la Haute et la Basse Égypte après le chaos de la Première Période Intermédiaire. Au cours de la douzième dynastie, Montou a été déplacé par la montée d'Amon, mais il a pris les véritables attributs d'un dieu de la guerre lorsque des rois guerriers tels que Thoutmosis III et Ramsès II se sont identifiés à lui. Mut: Mout faisait partie de la triade thébaine. Elle était l'une des filles de Ra, la femme d'Amon et la mère de Khonsou. Elle était la déesse Vautour et est souvent représentée comme une femme avec une longue robe aux couleurs vives et une coiffe de vautour surmontée de la double couronne. Dans son aspect plus agressif, elle est représentée comme une déesse à tête de lion. Comme Isis et Hathor, Mout jouait le rôle de la mère divine du roi. Ses amulettes, qui la représentent en femme assise allaitant un enfant, sont parfois confondues avec celles d'Isis. Néphythys: Fille de Geb et Nout, sœur d'Isis, épouse de Seth et mère d'Anubis, Néphythys est représentée comme une femme avec les hiéroglyphes d'un palais et « Neb » (un panier) sur la tête. Elle est ainsi connue sous le nom de « Dame des demeures » ou « Palais ». Nephythys a été dégoûtée par le meurtre d'Osiris par Seth et a aidé sa sœur, Isis, contre son mari, Seth. Avec Isis, elle était une protectrice des morts, et ils sont souvent représentés ensemble sur des caisses de cercueil, avec des bras ailés. Elle semble n'avoir eu ni temple ni centre de culte. Osiris: Osiris était à l'origine un dieu de la végétation lié à la croissance des cultures. Il était le premier roi mythologique d'Égypte et l'un des dieux les plus importants. On pensait qu'il avait apporté la civilisation à la race humaine. Il a été assassiné par son frère Seth, ramené à la vie par sa femme Isis, et est devenu le chef des enfers et le juge des morts. Il est généralement représenté comme une momie tenant la crosse et le fléau de la royauté. Il porte sur sa tête la couronne blanche de Haute-Egypte flanquée de deux panaches de plumes. Parfois, il est représenté avec des cornes de bélier. Sa peau est représentée en bleu, la couleur des morts ; noir, la couleur de la terre fertile ; ou vert, représentant la résurrection. Hiéroglyphes égyptiensOn pense que la tête d'Osiris a été enterrée à Abydos, son principal centre de culte. Chaque année, lors de son festival, il y avait une procession et une reconstitution de son histoire sous la forme d'un mystère. Ptah: Ptah était un dieu créateur, dit avoir créé le monde à partir des pensées de son cœur et de ses paroles. Il était représenté comme une momie avec ses mains dépassant des emballages et tenant un bâton. Il avait la tête rasée et portait une calotte. Ptah était associé aux artisans et le grand prêtre de son temple de Memphis détenait le titre de grand chef des artisans. Ra: Aussi connu sous le nom de Rê Le dieu solaire suprême était représenté comme un homme à tête de faucon, couronné d'un disque solaire et du serpent sacré. Cependant, dans le monde souterrain qu'il traverse chaque nuit, il est dépeint comme une tête de bélier. Chaque jour, Ra voyageait à travers le ciel sous la forme du soleil, à bord de son bateau solaire, et chaque nuit, il traversait le monde souterrain où il vainquit les alliés du chaos. Il renaissait chaque matin sous la forme du lever du soleil. Son influence sur les autres dieux était si forte qu'il subsuma bon nombre de leurs identités. Ainsi Amon est devenu Amon-Ra, Montu est devenu Montu-Ra et Horus est devenu Ra-Horakhty. Le dieu du pharaon Akenaton, l'Aton, était une autre forme de Ra, le disque solaire. Les rois égyptiens prétendaient descendre de Ra et s'appelaient eux-mêmes "Le Fils de Ra". Son culte était très puissant durant la période de l'Ancien Empire, lorsque des Temples du Soleil furent construits en son honneur. Son centre de culte était à Héliopolis, qui est aujourd'hui couvert par la banlieue nord du Caire. Sobek: Sobek était un dieu crocodile, représenté comme un crocodile sur un autel ou comme un homme à tête de crocodile portant une coiffe en forme de disque solaire avec des plumes et des cornes dressées. Les principaux centres de culte de Sobek étaient à Médinet el Fayoum et au temple de Kom Ombo, qu'il partageait avec Horus et qui existe encore aujourd'hui. Il y avait une piscine à Kom Ombo contenant des crocodiles sacrés et il est encore possible de voir des crocodiles momifiés originaux au temple. Seth: Aussi connu sous le nom de Set, Setekh, Suty et Sutekh Seth était le fils de Geb et Nut, et le frère maléfique d'Osiris. Il était le dieu des ténèbres, du chaos et de la confusion, et est représenté comme un homme à tête d'animal inconnu, souvent décrit comme un Typhonien par les Grecs qui l'associaient au dieu Typhon. Il est parfois représenté comme un hippopotame, un cochon ou un âne. Seth a assassiné son frère et a usurpé le trône d'Egypte et la plupart des autres dieux l'ont méprisé. Horus a finalement vaincu Seth, mais on pensait que leur bataille était une lutte éternelle entre le bien et le mal. Bien que Seth n'ait pas réussi à garder le trône d'Égypte, il a continué à être un compagnon de Ra. Il accompagnait parfois Ra à travers le ciel dans son bateau solaire, provoquant des tempêtes et du mauvais temps. Seth était vénéré par certains, et son principal centre de culte était à Naqada. Certains rois se comparaient à Seth au combat, mais pour la plupart, les gens le détestaient et sa défaite face à Horus était régulièrement célébrée. Tefnout: Tefnut était l'épouse de Shu et la mère de Nut et Geb. Elle et son mari étaient les premiers dieux créés par Atoum. Elle était la déesse de l'humidité ou de l'air humide et corrosif et était représentée soit comme une lionne, soit comme une femme à tête de lionne. Thot: Thoth était le dieu de l'écriture et de la connaissance, et était représenté comme un homme à tête d'ibis tenant un stylo et une palette de scribe, ou comme un babouin. Les Grecs l'associaient à Hermès et lui attribuaient l'invention de toutes les sciences ainsi que l'invention de l'écriture. Il est souvent représenté en train d'écrire ou de faire des calculs. Thot se distingue de la plupart des autres dieux. Il était aussi vieux que les dieux les plus anciens et agissait souvent comme intermédiaire entre les dieux. Il était associé à la lune et est parfois représenté portant un disque de lune et une coiffe en croissant. L'un de ses rôles les plus importants était d'enregistrer les actes des morts au jour de leur jugement et on le voit souvent le faire dans le Livre des Morts. Son temple principal était à Hermopolis en Moyenne Égypte. Il s’agit des principaux dieux et déesses de l’ancienne egypte. il en existe tant d’autres … la liste et le post serait trop long. (Voir mes anciens post plus précis pour chaque divinité). Connaissance personnelle et tant d’ouvrages. Khonsou Ankh Amon
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philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2015.Au Louvre-Lens il y avait aussi une très belle expo : “Des Animaux et des Pharaons”:
- statues de Sekhmet en diorite et d’Amon en quartzite - Nouvel Empire
- Montou sur son trône - Moyen Empire
- prêtre purifié par Thôt et Horus - 3ème Période Intermédiaire
- momie de chat - Basse Epoque
- momie de crocodile - Epoque Ptolémaïque
- Selqet - Basse Epoque
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titou-nz · 2 years
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Musée Égyptien du Caire - Égypte
Le masque funéraire de Toutânkhamon, appelé aussi masque d'or de Toutânkhamon, est le masque funéraire découvert le 28 octobre 19251 dans le tombeau de Toutânkhamon lorsque l'archéologue britannique Howard Carter ouvre le sarcophage contenant la momie de ce pharaon. Cette sculpture est un véritable chef-d'œuvre de l'orfèvrerie égyptienne.
En 2001, la découverte d'un ancien cartouche en grande partie effacé, sous celui de Toutânkhamon, suggère une réappropriation du masque d'un autre souverain. Lors d'une restauration du masque en 2015, une image plus précise de ce palimpseste est obtenue et l'égyptologue Carl Nicholas Reeves propose le nom de la pharaonne Ânkh-Khéperourê, la sœur de Toutânkhamon. Selon le Britannique, Toutankhamon mort prématurément à dix-neuf ans a dû être enterré à la va-vite dans une tombe qui ne lui était pas destinée, celle de sa belle-mère Néfertiti morte dix ans plus tôt, et a dû se réapproprier le mobilier funéraire (dont le masque) d'autres souverains.
Ce masque funéraire est fait de deux plaques d’or assemblées par martelage, soudées, rivetées, ciselées et brunies. D'une hauteur de 54 cm, d'une largeur de 39,3 cm et d'une profondeur de 49 cm, il est constitué de 10,32 kg d'or massif et de pierres semi-précieuses, ce qui équivaut sur le marché actuel à 500 000 $ de matériaux bruts.
Avec ses yeux rapprochés en amande, les lèvres charnues, la forme du nez et la courbe du menton, cette sculpture présenterait les caractéristiques physiques de Toutânkhamon mais il faut rappeler que souvent les représentations de ce pharaon témoignent d'un style visant à reproduire un même idéal physique, celui d'Akhenaton. Le souverain porte le némès (coiffe rayée à bandes dorées et bleues, ces dernières à base de pâte de verre imitant le lapis-lazuli) dont deux pans retombent sur la poitrine et un troisième dans le dos, se terminant par une tresse annelée. Il arbore un large collier ousekh composé de douze rangées de perles en quartz, lapis-lazuli, amazonite et en pâte de verre colorée. Ce collier est accroché au niveau des épaules par des fermoirs en forme de tête de faucon ornée d'obsidienne, rapace qui est l'image du dieu Horus.
Outre ce couvre-chef surmonté des deux animaux protecteurs du pharaon (le vautour Nekhbet pour la Haute-Égypte et le cobra Ouadjet pour la Basse-Égypte) en or avec des incrustations de cornaline, lapis-lazuli et pâte de verre, le souverain porte une barbe postiche tressée  en or et en pâte de verre.
Le blanc des yeux est fait de quartz blanc, légèrement rougi aux coins, et la pupille d'obsidienne. Ils sont rehaussés d’un liséré de lapis-lazuli pour imiter le khôl. Les oreilles ont le lobe percé. Les hiéroglyphes sur la face dorsale et les épaules du masque d'or reprennent sous forme abrégée une formule magique du chapitre 151 B du Livre des morts intitulé « Formule pour la tête mystérieuse ».
Exposition
Le masque funéraire de Toutânkhamon est exposé dans le Musée égyptien du Caire. Du 16 février au 4 septembre 1967, l’exposition « Toutânkhamon et son temps » à Paris au Petit Palais présentait le masque funéraire dans la dernière salle.
Polémiques
Au Caire, le masque échappe au pillage lors de la révolution égyptienne de 2011.
En octobre 2014, la barbe postiche du masque est abîmée dans des circonstances non précisées, les conservateurs du musée interrogés par l'agence Associated Press donnant des versions différentes des faits : comme par le passé où elle s'était déjà détachée et tenait par une simple cheville, la barbe se serait détachée après qu'un employé maladroit ait tenté de rattraper l'objet pour l'empêcher de tomber lors d'une opération de dépoussiérage ou de réparation de l'éclairage de la vitrine. Un autre conservateur affirme que la barbe a été volontairement retirée parce qu'elle commençait à se détacher. Le musée égyptien, au lieu de l'envoyer dans le laboratoire de conservation pour procéder à une restauration dans les règles de l'art, décide de le réparer rapidement et recolle grossièrement la barbe avec une résine époxy désormais visible de tous les visiteurs. De plus, un conservateur reproche à un collègue d'avoir davantage endommagé le masque en voulant gratter l'excédent de colle avec une spatule métallique. Selon le ministre égyptien des Antiquités Mamdouh Mohamed Eldamaty, la barbe est rattachée correctement et les traces de colle ont été laissées par des restaurations précédentes. Finalement, le musée entreprend des travaux de restauration en octobre 2015 afin de masquer cette colle époxy.
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christophe76460 · 3 months
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O2Vie 035-2024/08 : LA DROITE TRIOMPHANTE DE DIEU.
Ésaïe 41:10 : Ne crains rien, car je suis avec toi; Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; Je te fortifie, je viens à ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante.
Dans la Bible, la droite de Dieu est utilisée pour illustrer sa puissance, sa capacité ou encore sa force de frappe. C’est généralement la main droite qui est la main la plus habile, la plus adroite, la plus forte, celle qui agit efficacement. Ainsi, la main droite est associée à l’action, à l’habileté, à la force, à la précision et à l’efficacité. Dans le verset plus haut, Dieu parle à son peuple en citant "sa droite triomphante" afin de le rassurer. La question que l'on peut se poser est : En quoi la droite triomphante de Dieu peut être rassurante ?
La Bible regorge tellement de versets qui parlent des œuvres de la droite de Dieu. Deux actions de Dieu ont suscité mon attention :
- La création du monde
Tout ce que nous voyons autour de nous qualifie la grandeur et la toute puissance de cette droite. Les montagnes, les vallées, les étendues d'eau, les grands et petits animaux, la terre, l'homme, tellement de choses qui disent combien Dieu est tout puissant. Dans Ésaïe 48:13, Dieu dit : "Ma main a fondé la terre, Et ma droite a étendu les cieux: Je les appelle, et aussitôt ils se présentent". Aussi dans Psaumes 19:2, la Bible dit: "Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l'étendue manifeste l'œuvre de ses mains."
- La délivrance d'Israël de l'esclavage égyptienne.
A la sortie de la mer rouge, le peuple a chanté un cantique à l'Éternel racontant ce que la droite de Dieu avait fait pour eux en disant: L'Éternel est ma force et le sujet de mes louanges; C'est lui qui m'a sauvé. Il est mon Dieu: je le célébrerai; Il est le Dieu de mon père: je l'exalterai. L'Éternel est un vaillant guerrier; L'Éternel est son nom.Il a lancé dans la mer les chars de Pharaon et son armée; Ses combattants d'élite ont été engloutis dans la mer Rouge. Les flots les ont couverts: Ils sont descendus au fond des eaux, comme une pierre. Ta droite, ô Éternel! a signalé sa force; Ta droite, ô Éternel! a écrasé l'ennemi (Exode 15:2-6).
Bien-aimés dans le Seigneur, plus rassurant que la droite triomphante de Dieu, il n'y en aura jamais. La droite de Dieu triomphe toujours alors vous pouvez cesser de craindre et de promener des regards inquiétants devant cette situation qui se présente. Réjouissez-vous en la droite triomphante de Dieu qui est déjà à l'œuvre dans votre vie.
Psaumes 118:17 : Je ne mourrai pas, je vivrai, Et je raconterai les oeuvres de l'Éternel.
Bon dimanche à vous !
Pasteur Eric BODJONA & L'Equipe Eau de Vie
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vertus de la sauge
Sauge fournir une saveur apaisante et terreuse
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La sauge comme remède à base de plantes
La sauge est connue pour aider à améliorer la durée de vie. La sauge est un remède à base de plantes utilisé à cet effet depuis plusieurs années. On dit également qu'il peut aider à restaurer la mémoire chez les patients âgés.
Il existe différentes variétés de sauge disponibles, y compris la sauge grecque (Salvia fruticosa), la sauge pourpre (Salvia officinalis) et la sauge verte (Salvia officinalis). Les herboristes ont tendance à utiliser le plus souvent la sauge violette, mais la sauge verte et grecque également utilisée.
Pour préparer un remède à base de plantes à partir de feuilles de sauge et de plantes, vous pouvez utiliser. Certains herboristes considèrent les feuilles de sauge comme asséchantes et œstrogéniques, ce qui les rend très utiles pour traiter de nombreux problèmes différents, y compris le sevrage.
Divers herboristes utilisent des feuilles de sauge fraîches pour aider à stimuler le système digestif. L'été est le meilleur moment pour récolter les feuilles de sauge.
La racine de plante de sauge est utilisée dans plusieurs préparations à base de plantes. En phytothérapie, cette racine se transforme en un tonique, couramment utilisé pour «faire bouger» le sang stagnant.
Par conséquent, ce remède à base de plantes est bénéfique pour les femmes menstruées et pendant les périodes de problèmes cardiaques, y compris l'angine de poitrine. La racine de la sauge considère être un sédatif et un rafraîchissant.
La sauge peut se préparer de plusieurs manières différentes, et elle peut l'utiliser pour de nombreux maux. Il est très couramment utilisé pour traiter les piqûres d'insectes, les plaies cutanées et les éraflures cutanées. La crème de sauge est utilisée en France pour traiter de nombreuses affections cutanées.
Avantages pour la santé et utilisations de la sauge
La sauge est une plante de base dans diverses cuisines du monde.
Ses autres noms incluent la sauge commune, la sauge de jardin et la Salvia officinalis. Il appartient à la famille de la menthe, aux côtés d'autres herbes comme l'origan, le romarin, le basilic et le thym (1Trusted Source).
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La sauge a un arôme fort et une saveur terreuse, qui s'utilise généralement en petites quantités. Même ainsi, il contient une variété de nutriments et de composés essentiels.
La sauge est également un agent de nettoyage naturel, un pesticide et un objet rituel dans la combustion ou le maculage spirituel de la sauge.
Cette herbe verte est disponible fraîche, séchée ou sous forme d'huile - et présente de nombreux avantages pour la santé.
Voici les bienfaits surprenants de la sauge pour la santé.
1. Riche en plusieurs nutriments
2. Chargé d'antioxydants
3. Peut soutenir la santé bucco-dentaire
4. Peut soulager les symptômes de la ménopause
5. Peut réduire les niveaux de sucre dans le sang
6. Peut soutenir la mémoire et la santé du cerveau
7. Facile à ajouter à votre alimentation
Sage: il a de nombreuses vertus
La sauge officinale (Salvia officinalis) est une plante vivace originaire du bassin méditerranéen, qui offre de nombreux bienfaits et vertus pour la santé. Sage connaît un grand succès depuis l'époque des pharaons en tant que nourriture, pour parfumer de nombreux plats, et comme drogue.
Capable de traiter de nombreux maux, la sauge est aujourd'hui souvent associée à d'autres plantes pour préparer des sirops, des décoctions, des tisanes et des crèmes. Excellente tonique, la tisane de sauge (20 g de feuilles par litre d'eau bouillante) est bénéfique pour le tube digestif.
Utilisations du thé à la sauge
Le thé à la sauge est une infusion aromatique à base de feuilles de sauge commune (Salvia officinalis), une herbe de la même famille que la menthe.
Couramment utilisée comme épice, la sauge a également une longue histoire de médecine alternative et traditionnelle. Notamment, son thé regorge d'avantages potentiels pour la santé - bien que la recherche scientifique sur cette boisson en soit encore à ses débuts Vertus De La Sauge.
En particulier, ses antioxydants agissent pour neutraliser les composés nocifs appelés radicaux libres. Lorsque ceux-ci s'accumulent dans votre corps, ils peuvent entraîner des maladies chroniques comme le diabète de type 2 et certains cancers.
Le thé à la sauge est exceptionnellement riche en acide Rosmarinus. Des études sur des animaux et des éprouvettes ont montré que cet antioxydant offre de nombreux avantages, tels qu'une diminution de l'inflammation et de la glycémie Tisane à la Sauge.
    Bien que l'inflammation soit une réponse corporelle naturelle, l'inflammation chronique peut augmenter votre risque de maladie. La sauge fournit également une bonne quantité de vitamine K, essentielle à la santé des os, à la circulation et à la coagulation du sang. Découvrez les différents bienfaits de la sauge et du thé à la sauge sur lerucherlareinedesvosges.fr.
Visitez le site Web pour obtenir plus d'informations sur Sauge.
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shalomelohim · 1 year
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La parachah « Bo » (Viens, souvent traduit Va)
Pensée 
“ Car YHWH passera pour frapper les Égyptiens ; et il verra le sang sur le linteau et sur les deux poteaux, et YHVH passera par-dessus la porte, et ne permettra pas au destructeur d’entrer dans vos maisons pour frapper. ” (Exode 12:23)
" Attendez, pour malmener la terre et la mer et les arbres, que nous ayons marqué au front les serviteurs de notre Élohim. " Et j’appris combien furent alors marqués du sceau : cent quarante–quatre mille de toutes les tribus des fils d’Israël. ” (Apocalypse 7:3-4)
Ceux-là suivent l’Agneau partout où Il va !
Quel signe ont-ils reçu, sinon celui du sang de l’Agneau à qui ils appartiennent en tant que Corps constitué… Ce signe comme le signe bien concret sur les maisons en Égypte est visible dans le domaine céleste, et le destructeur ne peut approcher, car ils sont devenus irréprochables, l’accusateur n’a pas de prise sur eux !
Ils sont « vierges » ils n’ont connu aucune « maison de femmes »… Mais que sont ces « maisons de femmes » ?
Lectures Parachah : Chémoth / Exode 10:1 à 13:16 Haftarah : Yirméyahou / Jérémie 46:13 à 28 Bérith Hadachah : Yaïr / Luc 21:20 à 36
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.
Résumé de la Parachah Après les 7 premiers fléaux, Élohim invite Moshéh et Aharon à déclencher les trois suivants : à savoir les criquets, les ténèbres et la mort des premiers-nés.
Après l’extermination des premiers-nés au milieu de la nuit, Pharaon décrète l’expulsion des Hébreux, lesquels partent avec de riches cadeaux d’Égypte. YHWH prescrit aux enfants d’Israël de compter ce mois, le mois de l’Aviv (qui fut malencontreusement renommé Nissan après le retour de la captivité de Babylone) comme premier des mois de l’année.
Le 14 de ce mois d’Aviv est institué comme Péssah YHWH et de nombreux hommes de la maison d’Israël sont épargnés grâce au sang déposé sur les linteaux de leurs portes.
Geste qu’ils font par obéissance : c’est le premier Seder de l’histoire (Seder = repas de Péssah).
Cette parachah est celle du combat décisif de YHWH contre les puissances spirituelles et séculaires de Mitsraïm/Égypte. Pharaon est vaincu, le pays dévasté, le panthéon des faux dieux réduit au néant, à l’impuissance.
En effet, il n’a pas échappé à Pharaon et à ses prêtres magiciens que les jugements de YHWH se sont abattus sur l’ensemble des attributs idolâtres de l’Égypte, dans lesquels ils se confient : le Nil, la terre, ses produits, les animaux, l’homme pharaon, le soleil, la « lune pleine » symbole de l’oeil du dieu Horus qui assiste impuissant à la mort des premiers-nés dont l’héritier de Pharaon.
Cette parachah est aussi celle de l’unification et de la libération de ceux de la maison d’Israël et de leurs « greffés » qui redécouvrent les promesses et la puissance de l’Élohim des patriarches :
« Je suis YHWH ton Élohim, c’est moi qui t’ai fait sortir d’Égypte où tu étais esclave. » (Exode 20:2)
Préambule « Viens » ou « Va » ! Le titre de notre section hebdomadaire porte en soi déjà débat : essayons de réconcilier tous les traducteurs et experts hébraïsants en proposant une lecture moins sémantique et plus symbolique de ce terme.
Si le « Va », traditionnellement retenu par la majorité des traductions, semble devoir céder plus justement sa place à un « Viens », peut-être devrions-nous en conclure qu’en envoyant Moshéh affronter Pharaon, YHWH invite Moshéh à se rapprocher de Lui.
Ce n’est qu’en confondant ce qui est faux que nous pouvons découvrir ce qui est vrai.
Ce n’est qu’en acceptant d’affronter ce qui nous fait peur et redoutons chez l’autre que nous découvrons en Lui la réalité et le lieu de notre force.
Moshéh n’aurait-il pas préféré se sauver d’Égypte, discrètement, en pleine nuit et sans en référer à Pharaon ? Demande-t-on l’autorisation pour se sauver ? La démonstration de force que YHWH a souhaitée pour libérer son peuple de Mitsraïm ne s’accommodait pas d’une vulgaire fuite de malfaiteurs :
« car c’est d’une main puissante que YHWH t’a fait sortir d’Égypte. » (Exode 13:9).
Il fallut également la foi et le courage des deux témoins d’Élohim (Moshéh et Aharon) pour que se réalise aux yeux de toute l’Égypte, non pas la fuite, mais la spectaculaire libération de toute la Maison de d’Israël et de ceux qui s’y sont associés.
Ne pas craindre d’affronter l’adversaire, c’est aussi se rapprocher d’Élohim en laissant Sa puissance agir et en faisant taire nos peurs.
Notre Adon Yahshua n’a pas dit autre chose en déclarant :
« Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu de loups » (Luc 10:3).
Les jugements et les sorties des Israélites et des non Israélites
« Le Seigneur de l’univers, Élohim d’Israël, annonce : Je vais agir contre Amon, le dieu de la ville de Thèbes, contre l’Égypte, ses dieux et ses rois, contre le Pharaon et contre ceux qui comptent sur lui. » (Jérémie 46:25)
La terre d’Égypte et sa fertilité, personnifiées par Isis la mère nature, sont frappées en deux temps. En effet, la 8ème plaie parachève la 7ème en finissant de détruire les céréales et fruits qui avaient été épargnés par la grêle.
Une précision qui n’est pas sans importance, car l’orge était en épis et fut détruit par la grêle alors que les autres céréales encore vertes furent détruites par les sauterelles.
Il n’y a aucun hasard dans le récit de la libération d’Égypte, tous les détails sont retranscrits pour notre édification.
Notons également qu’il y a possibilité de repentance et une pause dans la colère divine à compter de cette 7ème plaie. Cette remarque n’est pas sans importance en considérant les 7 coupes de colère de l’Apocalypse, qui ne sont pas suivies par des 8ème, 9ème et 10ème coupes. La 7ème coupe de l’Apocalypse reproduit à l’identique le fléau de type « grêle ».
Cette plaie en deux temps est donc un avertissement pour Pharaon : il est encore temps d’obéir et de ne pas hypothéquer l’avenir du peuple égyptien en garantissant les récoltes des céréales non détruites par la grêle. 
Conscient de la menace, Pharaon accède à la demande de Moshéh et concède une autorisation de sortie aux seuls hommes d’Israël. En interdisant aux femmes, aux enfants et au bétail de quitter le territoire, la concession de Pharaon n’est qu’une ruse et il provoque lui-même l’accomplissement de la 8ème plaie.
Le dieu soleil (Râ, Ré, Amon-Râ, Amon-Ré, etc.) est frappé à son tour à l’occasion de la 9ème plaie : 3 jours de ténèbres sans pouvoir bouger ni travailler.
Du fond de ces ténèbres, à l’instar de Jonas ou de l’Adon Yahshua, les enfants d’Israël restent dans la lumière. Ceux de la maison d’Israël ont-ils vécu ces 3 jours sereinement ? Vraisemblablement, ils se sont abstenus également de vaquer à leurs obligations quotidiennes et ont contemplé la puissance d’Élohim et médité sur la protection dont ils bénéficiaient.
A l’issue de cette 9ème confrontation, les femmes et les enfants sont autorisés à suivre les hommes au désert. Une ruse de plus de Pharaon qui sait que sans bétail ce peuple nombreux n’a pas d’avenir.
« Alors Moshéh dit : Ainsi parle YHWH : Vers le milieu de la nuit, je parcourrai l'Egypte » (Exode 11:4 - d’autres traductions donnent « vers minuit »).
Le dieu Horus- fils d’Isis et d’Osiris - est symbolisé par la lune en Égypte : son oeil fut arraché par son frère Seth et la renaissance à chaque cycle lunaire de la lune - pleine - symbolise sa suprématie et son pouvoir régénérateur.  L’oeil d’Horus est notamment encore présent de nos jours sur le billet de 1 dollar. 
Par opposition, l’Élohim d’Israël commande de fêter l’absence de lune comme étape de recommencement et de renouveau du mois.
Rappelons en effet que la lune n’éclaire pas la nuit de façon directe mais brille parce qu’elle est elle-même éclairée par réverbération de la lumière de l’autre astre. Ce « déguisement de lumière » sied au faux dieu Horus qui assiste impuissant, et « l’oeil grand ouvert sur ceux qu’il devait protéger », à l’extermination des premiers-nés d’Égypte. Voilà un dernier dieu de défait !
Ceux d’Israël -et notamment les premiers-nés de chacune des familles de Jacob - furent au bénéfice du sang de l’agneau que chacun s’évertua à apposer sur les linteaux de sa porte. Tous n’étaient pas en Égypte sous les fardeaux. Certains étaient bien insérés, riches et estimés des Égyptiens comme le stipule sans ambiguïté Exode 11:2-3. L’erreur serait de voir cette sortie d'Égypte comme un scénario mythique de film hollywoodien.
Nous devons à ce titre noter et expliquer une réalité souvent escamotée : l’Israël de Moshéh plongé en Égypte a vu et a vécu les fléaux. Les 600.000 hommes rescapés de l’esclavage n’ont pas été « enlevés » au désert ou ailleurs, mais ils restèrent en Égypte, sous haute protection -notamment celle du sang - et vécurent toutes les plaies. 
La puissance de YHWH consista à les mettre à l’abri mais en aucun cas à les retirer du champ de bataille. Bien au contraire, avertis et exhortés par Moshéh et Aharon, ils devaient être occupés à PRIER et à accompagner l’action des anges d’Élohim. 
Des foyers de non Israélites furent au bénéfice de ces prières car, vivants malgré les 10 plaies, ils sortirent d’Égypte et se greffèrent sur ceux de Jacob, avec l’assentiment d’Élohim.
Exode 12:38 selon différentes traductions :
« Tout un ramassis de gens monta avec eux… Une foule nombreuse et composite se joignit à eux… Beaucoup d’autres gens partent avec eux… Un grand nombre d’étrangers montèrent aussi avec eux… Une multitude de gens de toute espèce montèrent avec eux… Une foule mêlée monta avec eux…et aussi un grand amas de gens monta avec eux… Une foule de gens d’origines diverses partirent en même temps qu’eux, etc. ».
Des commentaires avancent que cette présence étrangère au sein du peuple favorisa l’épisode du veau d’or. Peut-être ces hypothèses sont-elles fondées, mais force est de constater qu’à l’occasion de la révolte de Qorah et des 250 princes d’Israël nulle mention n’est faite de l’influence de ces étrangers qui bénéficièrent de la libération des enfants de Jacob.
Rappelons également que toute cette génération rescapée de Mitsraïm doit mourir au désert et seuls Yéhoshoua (Josué) et Kalév (Caleb) ont le droit de passer le Jourdain.
Cette composition, a priori hétérogène de la colonne humaine qui quitte l’Égypte en direction de la mer des joncs, est une image de « l’unité malgré tout » que souhaite notre Élohim et de l’universalité de la Torah à venir. 
Ainsi que le confirme le plus petit des apôtres mais grand parmi les rabbins pharisiens :
« Mais quoi ? Avons-nous encore, nous Juifs, quelque supériorité ? Absolument pas ! Car nous l’avons déjà établi : tous, Juifs comme Grecs, sont sous l’empire du péché. Comme il est écrit : Il n’y a pas de juste, pas même un seul. » (Romains 3 :9)
Le calendrier d’Élohim contre les calendriers des hommes La parachah BO comporte 9 prescriptions positives et 11 prescriptions négatives. Cette lecture hebdomadaire révèle notamment la première mitsvah (ordre-commandement) donnée en terre égyptienne : ce premier commandement est également le 4ème recensé depuis le début de la Torah.
Cette mitsvah est relative au calendrier d’Élohim :
« YHWH dit à Moshéh et à Aharon au pays d’Égypte : Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l’année. » (Exode 12:2)
Pouvons-nous faire un lien entre cette 4ème mitsvah et la 4ème « parole » issue des 10 commandements ? Ces deux commandements frappés du chiffre « 4 », et donc de la lettre « d » de « PAROLE » (Davar), renvoient aux temps d’Élohim et au calendrier que le Père a souhaité pour sa Création.
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Non pas que la compagnie de Jules César, du Pape Grégoire ou de Rabbi Hillel II soit dénuée d’intérêt, mais la compagnie et le respect de ces trois personnages auteurs d’autres calendriers ne remplaceront jamais la pleine présence de YHWH.
“C’est aujourd’hui, au mois des épis, que vous partez d’Égypte. Lorsque YHWH vous aura fait entrer dans le pays… qu’il a promis par serment à vos ancêtres de vous donner, une terre ruisselante de lait et de miel, alors vous observerez cette cérémonie, en ce même mois. » (Exode 13:4)
Voilà un commandement plutôt simple à respecter, en apparence. Il est également précisé que « cette nuit-là appartient à Élohim », ce qui suppose qu’il n’appartient pas à l’homme d’en disposer à sa bonne convenance.
Concomitamment au calendrier, Élohim institue, dans le cadre d’un décret perpétuel, un cérémoniel où apparaissent « sang du sacrifice et pain sans levain ». L’Adon Yahshua respecta ce commandement toutes les années de sa vie terrestre, à la date exacte.
Comment imaginer en effet que l’Agneau et Fils d’Élohim puisse être présenté en sacrifice à une date qui ne fut pas authentique et dans le cadre d’un calendrier détourné par l’homme ?
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Les premiers-nés Le rapport que YHWH semble vouloir entretenir avec les premiers-nés est constant dans la Révélation : ils sont à Lui !
Ils sont à Lui ceux d’Égypte qui vont mourir, ils sont à Lui ceux d’Israël qui vont être sauvés et consacrés :
« A minuit, YHWH frappa tout premier-né au pays d’Égypte, du premier-né du Pharaon, qui devait s’asseoir sur son trône, au premier-né du captif dans la prison et à tout premier-né du bétail. » (Exode 12:29)
« YHWH transmit ses instructions à Moshéh en ces termes : Consacre-moi tout premier-né qui naîtra parmi les Israélites ; qu’il s’agisse d’un garçon ou d’un animal, il m’appartient. » (Exode 13:1)
Toutefois, notre Élohim - qui a fait l’homme à Son image - n’est pas Élohim à exiger de Sa créature ce qu’Il ne ferait pas Lui-même. Aussi, a-t-Il accepté de donner Son Fils premier-né pour racheter tous les premiers-nés, qu’ils soient Égyptiens ou Israélites, pourvu qu’ils croient en Lui.
Ce rapport au premier-né nous interpelle. Déjà, Abraham avait été invité à offrir Yitshaq (Isaac) avant que ce sacrifice ne soit… reporté (« Élohim pour-voira »).
Le Pharaon précédent - malignement alerté - avait tenté de faire disparaitre l’enfant Moshéh, en tuant tous les mâles hébreux de sa génération. Les mâles égyptiens de la génération suivante payèrent un lourd tribut pour annuler la fâcheuse décision de leur aïeul et ancien maître. Nous devons en conclure que tous, hébreux comme égyptiens, appartiennent à Élohim.
Tel est le message que doivent percevoir les survivants de cette nuit d’extermination : tous appartiennent à Élohim qui seul décide.
Comme le prouve le texte de la haftarah de Jérémie en liaison avec cette parachah, Élohim n’est pas que l’Élohim des « bons » mais également l’Élohim des « méchants ». Ainsi, se jouera-t-Il à nouveau des égyptiens vers l’an -600 en leur envoyant Nabuchodonosor, un autre ennemi, alors qu’Israël avait de nouveau fait alliance avec l’Égypte.
Les premiers-nés des hébreux valent-ils plus que les premiers-nés des égyptiens aux yeux d’Élohim ? D’un point de vue moral, cette question est insupportable. Le message de notre divin Père est donc différent.
Le premier-né représentait l’héritage et la continuité de l’espèce, du clan, de la famille et de son nom. En langage moderne et économique, il était le garant du patrimoine et de l’autorité acquise au cours de plusieurs vies.
Dans l’antiquité, l’ainé était la promesse de la bonne transmission d’un pouvoir temporel âprement défendu, il était également promu à la qualité de sacrificateur, voire même de sacrifié !
En cassant cette mécanique et cette programmation sociale, Élohim - le Père - veut dire à sa Création qu’Il est le seul Père et seul détendeur de l’autorité. Tous les fils premiers-nés, morts ou vivants, Lui appartiennent.
Jugements sur Jérusalem d’abord, sur les nations ensuite.
« Ils [les habitants de Judée] seront tués par l’épée, ils seront emmenés prisonniers parmi toutes les nations, et les païens piétineront Jérusalem jusqu’à ce que le temps qui leur est accordé soit écoulé… Sur la terre, les nations seront dans l’angoisse, rendues inquiètes par le bruit violent de la mer et des vagues. Des hommes mourront de frayeur en pensant à ce qui devra survenir sur toute la terre… Alors on verra le Fils de l’homme arriver… » (Luc 21:21)
Cette prophétie de l’Adon Yahshua ne peut être contestée et doit s’accomplir. Une partie de la sentence relative à Jérusalem s’est déjà réalisée conformément à la conclusion de la haftarah de la semaine :
« Toi, Jacob, mon serviteur, ne crains point, dit YHWH ; car je suis avec toi. Je détruirai entièrement toutes les nations parmi lesquelles je t’ai dispersé ; mais toi, je ne te détruirai point entièrement ; je te châtierai avec mesure ; cependant je ne te tiendrai pas pour innocent. » (Jérémie 46:28)
Pour les nations qui se sont partagées Jérusalem : fléaux, malheurs et coupes de colère sont encore à venir.
« Quand ces événements commenceront à se produire, redressez-vous et relevez la tête, car votre délivrance sera proche. » (Luc 21:28)
A ce titre, les successifs très violents tsunamis, tremblements de terre, ouragans qui augmentent en gravité sont autant de signes annonciateurs d’une extrême proximité de ces temps de jugement.
L’humanité paie encore et toujours un lourd tribut pour les décisions (et les non décisions) de ses chefs politiques, encouragés par la communauté internationale et tous les marchands de la Terre. Les premiers-nés égyptiens - innocents par nature - payèrent de la même manière les choix de Pharaon et de ses conseils.
Les nombreuses victimes seraient-elles plus coupables que d’autres en quoi que ce soit ? Yahshua nous répond que non, en commentant l’effondrement de la tour de Shiloé. Peut-être est-il encore temps que la planète y réfléchisse !
Plaies sur l’Égypte nous raconte Moshéh,
Vengeance sur l’Égypte nous rappelle YirméYahou (Jérémie),
Colère sur Jérusalem (Sodome et Égypte) et sur les nations nous annonce l’Adon Yahshua.
Restons mobilisés, confiants (Toi, Jacob, mon serviteur, ne crains point, dit YHWH ; car je suis avec toi) et préparons-nous à sortir de notre Égypte à la hâte, en priant que cette sortie n’arrive pas en hiver (condition logistique) ou un jour de Shabbat (condition spirituelle).
Péssah : se tenir prêts à sortir
« Et j’entendis du ciel une autre voix : sortez du milieu d’elle mon peuple, afin de ne pas participer à ses péchés et de pas recevoir votre part de ses plaies » (Apocalypse 18:4)
Ce verset d’Apocalypse, qui paraît hors contexte de notre réflexion, possède néanmoins une relation sensible avec la « Parachah Bo », ne serait-ce que par les termes « sortir » « mon peuple » « ses péchés » « ses plaies ».
Réfléchissons un instant à cette similitude qui touche deux textes situés aux extrémités de notre Bible.
Y sommes-nous ? Deux évènements bien concrets, séparés de plusieurs milliers d’années, mais tellement ressemblants. Gardons cela en mémoire et revenons à la lecture de la parachah.
Ce dénouement dramatique, pesant, angoissant, qui marque la chute d’un monde inhumain, marque simultanément l’espérance dynamique pour les libérés, re-nés à la vie, dans la vision d’un Royaume de justice à venir.
Nous nous posons la question : Pourquoi fallait-il tant d’actes spectaculaires ? Deux témoins, Moshéh et Aharon qui déclament au plus haut niveau du plus grand empire de l’époque, cela ne passe pas inaperçu ! 
De plus, leur témoignage est sillonné de dix grands signes qui sont autant de jugements sur tout Mitsraïm/Égypte et ses dieux : Cela non plus n’est pas passé inaperçu, ni dans les faits, car tous les Égyptiens et tous les hébreux en furent soit témoins soit victimes, ni dans l’interprétation car il n’a pas échappé à Pharaon et à ses prêtres magiciens que les jugements s’étaient abattus sur l’ensemble des symboles idolâtres de Mitsraïm/Égypte, dans lesquels ils se confiaient : le Nil, la terre, ses produits, les animaux, l’homme pharaon, le soleil.
L’enjeu de la sortie d’Égypte dépassait par son principe la seule nécessité de libérer un peuple opprimé qui crie à Élohim, auquel cas YHWH aurait suscité des héros comme les juges ou les Maccabées, ou IL aurait favorisé un Pharaon plus clément à l’égard des hébreux comme ce fut le cas pour Yossef.
Cela n’était pas suffisant pour réaliser le dessein divin.
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Mais de quoi le peuple devait-il se libérer ? De l’esclavage ! Soit ! Bien que tous ne fussent pas des esclaves maltraités, il existait toute une hiérarchie, certains même tenaient des postes importants de fonctionnaires, d’autres s’étaient enrichis de leurs affaires, élevage, etc.
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Qu’en est-il pour nous-mêmes dans nos belles civilisations et sociétés ? Comment agissons-nous ? Ne faisons-nous pas une facile et malencontreuse confusion entre les méthodes du monde et le comportement de « juste » qui devrait être le nôtre ? Ne prêtons-nous pas allégeance sans trop y prêter attention à certaines « idoles » modernes ?
C’est aussi dans ce sens que les hébreux avaient à « sortir » leur propre « Égypte » d’eux-mêmes, à se souvenir de leur véritable identité : qu’ils n’étaient pas des sujets de Pharaon, mais des enfants d’Israël, Isaac, Abraham, de ceux à qui YHWH avait fait une promesse.
Pour cela ils vivraient une longue désintoxication de leur Égypte intériorisée : évacuer, expulser toutes les habitudes prises dans le « monde », les références, les repères instinctifs de raisonnement, les comportements réflexes issus de la culture.
Et cette culture sociale dépendait « en Égypte » de principes idolâtres. Les hébreux avaient en l’occurrence besoin de comprendre que ces principes, impulsés par les forces occultes, étaient mensongers, sans puissance, et que leur Élohim en était vainqueur.
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« Mon Royaume n’est pas de ce monde » (Jean 18:36)
Cette parole de Yahshua ne signifie pas : mon Royaume ne se situe pas sur terre, mais :
mon Royaume n’est pas régi comme ce monde,
mon Royaume n’est pas soumis aux mêmes principes que ceux de ce monde, aux mêmes lois, aux mêmes fonctionnements de pensée et de pratique.
Donc si nous sommes des enfants du Royaume, nous ne pouvons ou ne pourrons plus nous satisfaire de la nature de notre monde qui imposera, telle l’Égypte, une vision de la normalité de comportement qui s’opposera tôt ou tard à la sainteté d’Élohim ; et cela nous le vivons déjà.
Oui, la sortie d’Égypte/Mitsraïm, vécue par les hébreux sous l’égide de Moshéh et Aharon, est un schéma qui se répétera à plus large échelle, mais sans doute sous une autre forme, car demain, et déjà aujourd’hui, l’ombre de Mitsraïm/Égypte englobe toute la planète.
Le livre des révélations de Yahshua : L’Apocalypse, que nous avons évoquée plus haut dans ce commentaire, nous avertit par de nombreuses ressemblances que le peuple d’Israël a déjà réalisé, comme un principe, il y a 3500 ans, une sortie d’Égypte qui se présente encore aujourd’hui comme prophétie à venir, à plus large résonance, car cette fois-ci le Royaume shabbatique de Yahshua intéressera les cieux et toute la terre.
Cette « sortie d’Égypte » pour le Royaume est d’ores et déjà actée par le sacrifice de l’Agneau de Péssah à Golgoltha.
Des similitudes entre Exode et Apocalypse, il y en a :
A Moshéh et Aharon, témoins des jugements correspondent les deux témoins de l ‘Apocalypse (Apocalypse 11)
A pharaon et à ses magiciens, qui opèrent aussi des miracles, correspondent les deux bêtes (Apocalypse 13:11-13)
Aux dix plaies d’exode correspondent les sept plaies d’Apocalypse
A la plaie des eaux en sang, correspond la plaie du sang sur les fleuves et les mers (Apocalypse 8:8 ; 11:6 ; 16:3 à 6)
A la plaie des grenouilles, les esprits de grenouilles (Apocalypse 16:13)
A la plaie des ulcères, les ulcères malins (Apocalypse 16:2 - 16:11)
A la plaie de la grêle, les grêles de un talent (Apocalypse 8:7 - 11:19 - 16:21)
A la plaie des criquets, la plaie des sauterelles (Apocalypse 9:3)
A la plaie des ténèbres, la plaie des ténèbres sur le trône de la bête (Apocalypse 16:10)
A la mort des premiers-nés, la mort de tous les ennemis d’Élohim (Apocalypse 19:11-21)
Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin de ne pas participer à ses péchés et de pas recevoir votre part de ses plaies… prend donc ici toute son importance pour nous qui sommes arrivés à la fin du temps.
Question Élohim est-IL dans notre conscience, Celui qui nous fait sortir de Mitsraïm, c’est-à-dire de l’homme ancien forgé par le monde ? Est-IL Celui à qui nous ferons confiance et obéirons, s’IL nous dit au fond du coeur : sors de là, quel que soit le lieu ou l’environnement qu’IL nous demande de fuir, et quoiqu’il nous en coûte, quand Yéshoua le Mashiah et Fils d’Élohim nous dit : « toi, suis-moi » ?
Si notre réponse est : oui, oui. Alors YHWH, qui a fait sortir les hébreux de Mitsraïm sous le signe de l’Agneau, est notre Élohim qui nous fait et nous fera sortir sous le signe de Yahshua.
Alors sans doute nous retrouverons-nous de cause à effet et par grâce intégrés, greffés à ce peuple nouveau-né Israël, par le sang de l’alliance renouvelée au Golgoltha.
La neuvième plaie était celle de la nuit (ténèbres) sur le monde, seules les maisons de ceux qui s’étaient rangés du coté de YHWH, en acceptant le signe de l’Agneau, étaient éclairées. 
Au milieu de la nuit de Péssah YHWH jugea l’Égypte. On entendit des grands cris en Mitsraïm et Pharaon laissa partir Israël.
« Au milieu de la nuit, il y eut un cri : Voici l'époux, sortez à sa rencontre ! » (Matthieu 25:6)
Shabbat Shalom vé-shavoua tov
Source : Blog de la Qehila
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