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#déconfinement
leseffrontesfr · 1 year
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Salut les filles, c’est Herma. Je voulais vous partager mon kif ! (Sur mon Insta’ privé bien sûr, pas sur mon Insta’ bikini. LOL !) Alors voilà : c’est le grand bonheur ! Le papa est fou de joie, il est aux petits soins pour moi et bosse dur pour faire terminer aux ouvriers la chambre du bébé. Vous savez, il y a deux ans, je flippais ! Quand on s’est retrouvées confinées, c’était l’horreur. Plus un dragueur dans la rue, plus un garçon pour venir déplacer un meuble... ou me changer un joint de robinet... ou me poser un interrupteur… ou m’écouter. Même plus de livreurs de buddha bowl ! La lose totale. Tous les jours je faisais défiler Tinder, OkCupid, AdopteUnMec, tout ça… Que dalle ! Toujours les mêmes mecs déjà vus et revus (dont un paquet que j’avais déjà testés au pieu). Ah, c’était nul ! Je déprimais. Trente ans et enfermée comme dans un couvent. J’ai même fait une tentative de suicide. Avec du Nutella. Mais j’ai tout vomi quand les pompiers sont arrivés. Ils étaient vieux et moches, parce que j’étais chez mes parents en province. C’est pas Paris, quoi. Même les pompiers sont nazes, là-bas. Je ne vous raconte pas les bars-à-mecs : c’est le bassin aux hippopotames ! Si je n’avais pas pris mon dildo préféré, je serais morte.
Bref, au déconfinement j’ai pris les choses en main et je suis sortie tous les soirs. Et puis juste après, ils ont mis le couvre-feu ! Heureusement, j’ai rencontré Julien au Monop’, au rayon des apéritifs. Il faisait une soirée chez lui, je me suis faite invitée. Un grand loft dans le 10e, exactement mon style ! Il est chef d’entreprise, il a fondé une start-up d’informatique. Son père était PDG d’une grosse boite, mais maintenant il passe la plus grande partie de l’année à faire du bateau en Méditerranée (il est super sympa). Julien m’a tout de suite plu : grand, musclé, ingénieur, un peu voyou… J’ai su que c’était lui et qu’il était trop tard pour rentrer.
Malheureusement, j’ai dû bloquer les hateuses. Ça m’a rendu triste, je pensais que c’était des vraies copines. C’est vrai qu’on s’était toutes jurées de ne pas faire d’enfant, et surtout pas avec un homme. Et bien, je m’en fiche, j’ai eu envie, voilà… Et puis le mariage c’était pour me faire plaisir aussi. C’est comme le voile, c’est pas un symbole patriarcal si on en a vraiment envie ! J’ai surkiffé la robe ! Et puis, comme ça, Julien a pu mettre la moitié du loft à mon nom. Vous voyez bien : c’est une vraie relation égalitaire. Jalouses.
https://leseffrontes.fr/index.php/2022/12/31/leffrontee-du-mois-de-decembre-2022-herma/
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lememegeste · 2 years
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tout manquer
On ne saura jamais ce qu’il pourrait y avoir à la place du manque, cette place est manquante parce qu’on vient toujours y mettre quelque chose, on remplit machinalement le manque comme un box de stockage, on croit remplir le manque mais on le délimite seulement, on lui donne la forme de ce qui le remplit, on empile des caisses des cartons de bouffe de sexe d’alcool de drogues de livres et de poésie, ces caisses deviennent les murs du box du manque et on l’estime comblé mais ça ne cesse jamais, on ne saura pas ce qu’il pourrait y avoir à la place si on n’avait rien eu à y mettre, s’il n’y avait rien eu, on ne saura jamais ce que ça pourrait devenir et ce qu’il pourrait y avoir d’autre, à cette place-là qui n’est peut-être pas une place, qui n’est localisée nulle part avant qu’on y mette quelque chose pour la combler et qui n’est plus dès lors que cette occupation, avant que soit remplie cette place qui n’en est peut-être pas une (on n’en sait encore rien), avant qu’on soit allé chercher ce qu’il faut pour combler cet espace supposé du manque, on ne sait pas ce qui pourrait – aurait pu – être là, il faudrait pour cela tolérer le manque jusqu’au bout, on ne sait pas s’il y a un bout, et donc on ne prend pas le risque, le tolérer jusqu’à ce qu’il s’érode, jusqu’à ce que ses angles s’effritent, que ça s’effiloche aux frontières de cet espace supposé, on n’y arrivera jamais si alors qu’on pense supporter le manque on est déjà en train de le combler, c’est l’appel du vide qui suce tout l’air disponible autour et on remplit à bloc le box de stockage de tout ce qu’on trouve et de n’importe quoi, soutenus dans cette démarche par de nombreuses industries empressées à remplir tout ce qui voudra l’être, à définir des espaces pour le manque à combler, à définir ça et tout le reste avec, et on ne saura jamais ce qu’il pourrait y avoir à cette place, y avoir eu à la place de cette occupation, à moins de cesser de faire du manque un vide à combler, à moins de faire du manque un plein, de rendre le manque solide, de solidifier le manque, de le densifier et le remplir de lui-même, de le placer au noyau de chaque chose, de nourrir le manque de l’absence de tout, de ne l’alimenter de rien d’autre que lui-même, de muscler le manque, de se faire athlète du manque et de le développer comme l’organe de cette discipline nouvelle, qu’il ne soit plus le manque de rien d’autre que de lui-même, y ramener le désir, lui annexer tout désir, faire manquer le désir et désirer le manque, conséquemment dépassiver le manque, activement manquer, détransitiver le manque, manquer de rien mais manquer pour soi-même, donner substance au manque sans lui donner aucune forme, renverser le mouvement d’absorption en mouvement centrifuge, laisser le manque envahir le monde, voir le manque partout, répandre le manque, exiger le manque, faire du manque un projet politique, faire de la perte et du manque le noir et le rouge de nos drapeaux, saisir la portée révolutionnaire du manque, faire advenir le manque, propulser le manque hors de toutes frontières, déconfiner le manque, laisser le manque se répandre partout, le faire advenir, l’exporter en masse, saturer tous les marchés de manque impossible à combler jusqu’à l’obsolescence de toute marchandise positive, créer une demande de manque impossible à remplir en raison même de son omniprésence, le manque manque car tout manque, faire s’effondrer tout profit et toute rentabilité, vider les hangars et les containers pour les remplir de manque, manquer de manque et ne faire que manquer au sein même de la saturation de manque, ne pas s’arrêter là, manquer l’espace et le temps, vieillir jeune, voyager immobile et dévorer l’espace, trouver le monde trop peu et tout déjà fini, manquer le monde, le parcourir pour l’effacer, l’avaler tout entier dans le manque, faire jaillir des gouffres de l’intérieur de tout, déployer des abîmes, demander toujours plus de manque pour creuser le vide, manquer tout, n’avoir pas été né, ne pas exister encore et n’être que ce manque, se constituer utérus autour de ce manque, en pleine absence moitié sorti d’utérus et utérus soi-même à attendre l’appel qui manque, à sentir ce manque de l’appel, l’appel du manque et l’absence de cet appel, aller vers cet appel du manque, l’entendre à peine sous la forme du murmure du manque, sentir le manque premier de ce qui n’est pas su, qui n’est pas dit, qu’on ne peut pas savoir, aller vers la surface de nuit crevée de sang vers où ça appelle ou pas, manquer cela sans le connaître, continuer, activer ce manque en sortie d’utérus, le reprendre, s’en ressaisir, refaire plus de manque à partir de celui-là, manquer d’ici et maintenant, sentir s’enfuir le manque, il y a fuite de manque, ça part dans le positif, il faut manquer le positif, saisir la dessaisie, s’emparer de la déprise, voir partir et se défaire chaque instant, manquer d’instants, saturer tout d’abandon, lâcher et manquer, perdre et manquer, abandonner et manquer, faire de tout manque le manque d’autre chose encore afin que tout chose soit manquante, savoir toute chose comme un regret sans fin, regret de l’actuel comme du potentiel, savoir le monde troué, pas seulement vide mais incomplet en son centre, moyeu de la roue qui tourne mal, un donut, do-not, pas fait, pas fini, pas à faire, pas agi, non-effectué, savoir le manque au principe dynamique du monde et le regretter tout de même, manquer la complétude, la fin et l’arrêt de toute chose, manquer cela et pour cela même continuer, avancer par le manque, reconstituer plus loin le manque dans son abolition, avancer en manquant tout autour, étendre l’absence de tout au plus loin, abolir tout pour élargir l’espace du manque, il n’y aura jamais assez de manque pour tout ce qui reste à disparaître, rien ne sera jamais assez englouti par le manque, il n’y aura jamais assez de manque au regard de tout ce qui doit être perdu.
[25/06/2022]
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chrisbayonne64100 · 2 years
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Paul est un homme particulièrement bien inséré dans la société. Il vit une existence bourgeoise dans une petite ville de l'agglomération bordelaise. Il est passionné par son travail et menait une vie rangée, presque insipide. Julien est un jeune homme qui a connu une jeunesse particulièrement difficile et a préféré fuir sa vie d'avant pour s'installer dans le Sud-Ouest pour y construire sa vie professionnelle. Tout oppose ces deux hommes : génération, statut social, caractère,…. Pourtant, ils feront fortuitement connaissance dans la cabine de l'ascenseur de l'immeuble dans lequel ils résident. Rien ne les prédestinait à s'aimer mais les aléas de la pandémie de COVID 19 vont en décider tout autrement. Confinés l'un et l'autre dans le même immeuble, ils vont progressivement lier un amour intense, fort et passionné. Mais, les rebondissements liés à la progression de l'épidémie vont les balloter pendant plusieurs années, entre enfermement forcé, relations sexuelles, balades en amoureux et voyages. Pendant ce temps, ils devront également gérer les relations avec leurs entourages, leurs familles, leurs collègues et leur voisinage. Ébranlés par les confinements, les différentes mesures de freinage de l'épidémie, ils vont progressivement se découvrir jusqu'à devenir inséparables. Mais leur amour résistera-t-il au déconfinement ?
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omagazineparis · 1 month
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Comment éviter le syndrome de la cabane durant le déconfinement ?
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Après trois confinements, certaines personnes ont développé un sentiment d’angoisse à l’idée de quitter leur domicile par peur du monde extérieur. Cette inquiétude porte un nom : le syndrome de la cabane. En cette période de déconfinement, ce sentiment est d’autant plus amplifié qu’il s’ajoute aux nombreuses incertitudes sur l’avenir. Le syndrome de la cabane ou la peur d’affronter le monde extérieur Cette expression a fait son apparition pour la première fois dans un article du quotidien espagnol El País en mai 2020. Depuis cette date, les médias ont souvent repris ce terme à la suite des nombreux déconfinements dans le monde. Mais quelle est sa signification ? Le syndrome de la cabane désigne la peur des personnes de sortir de chez elles à cause de la pandémie. En ce sens, la crise sanitaire a profondément bouleversé notre existence sur tous les plans. Télétravail, couvre-feux et restrictions : ces mesures ont contraint la population à rester chez elles. Calvaire pour les uns, ce confinement fut bénéfique pour d’autres. Un confort tel qu’il incite les individus à ne plus quitter leur domicile pour se préserver du monde extérieur. Pourtant, il va bien falloir retrouver une vie normale et renouer des liens avec autrui. Surtout en ce moment, avec le déconfinement et la levée progressive des restrictions sanitaires. « Syndrome de l’escargot » ou « syndrome du prisonnier ». Autant d’expressions pour décrire ce phénomène qui peut toucher tout le monde : les jeunes, les actifs mais aussi les personnes âgées. En résumé, personne ne semble à l’abri de ce syndrome et de ses manifestations.   Les manifestations du syndrome de la cabane Le syndrome de la cabane se manifeste de manière différente selon les individus. Stress dans les transports en commun, peur de tomber malade, crainte d’aller faire les courses… Les exemples sont multiples et variés pour décrire les symptômes liés à ce syndrome. Parmi ses principales manifestations, nous retrouvons les caractéristiques suivantes : - Peur de se retrouver dans un espace clos (commerces, lieu de travail, transports en commun, etc.). - Crainte de quitter son domicile. - Baisse de motivation avec une tendance à procrastiner. - Fatigue constante. - Peur de rencontrer du monde. - Se sentir uniquement en sécurité chez soi. Vous l’aurez compris, les effets du syndrome de la cabane sont réels et palpables chez les individus. Pour ne pas céder à la morosité, nous vous proposons nos cinq astuces afin de contrer ces symptômes et de vous préparer progressivement à un retour à la normale. Cinq conseils pour se prémunir des effets du syndrome de la cabane Fixez-vous un planning En restant chez soi, vous avez sûrement développé des habitudes qui vous ont fait oublier la notion de temps. Si tel est le cas, reprenez progressivement un rythme régulier. Par exemple, levez-vous à des horaires fixes ou définissez un jour précis dans la semaine pour vous promener. Communiquez autour de vous Si vous êtes atteint du syndrome de la cabane, n’hésitez pas à en parler autour de vous. Aussi bien à vos proches mais aussi à un spécialiste si vos symptômes persistent. Que ce soit par téléphone ou en rencontrant directement les personnes, le plus important, c’est d’échanger.    Faites preuve de patience Par patience, gardez en tête que cette période n’est que transitoire. En effet, ce n’est que progressivement que la vie va reprendre son cours. Malgré le contexte actuel, sachez que l’être humain est fait pour s’adapter à tout parce qu’au final, il en ressort toujours vainqueur. Écoutez vos émotions Ne niez pas votre état émotionnel : soyez sincère avec vous-même. De ce fait, plus vous écouterez vos émotions, mieux vous appréhenderez votre anxiété par rapport au monde extérieur. Ainsi, vos peurs éventuelles diminueront petit à petit avant de totalement disparaître. Soyez en mouvement Ne restez pas dans l’oisiveté : pratiquez une activité sportive à l’extérieur pour décompresser. En effet, l’enfermement a grandement accru notre sédentarité et les mauvaises habitudes qui vont avec. Marche à pied ou running, dépensez-vous physiquement tout en aérant votre esprit !    « La patience rend tolérable ce qu’on ne peut empêcher. » Horace. Juste et empreinte de résilience, cette citation prend tout son sens en ces temps de pandémie. En somme, appropriez-vous cette phrase tel un mantra à l’approche du déconfinement. Que vous soyez atteint ou non du syndrome de la cabane, retenez la chose suivante : vous n’êtes pas seul(e). Read the full article
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7ol · 5 months
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Engagement professionnel et Zombies sociaux
Seuls 13% des employés sont investis dans leur travail.
Mais alors, s'ils ne sont pas investis dans leur travail, dans quoi sont-ils investis ?
De bonnes causes ? Leurs familles ? Leurs hobbies ?
Dans quoi sont-ils investis ?
Mauvaise question !
La bonne question est : "les occidentaux sont-ils encore investis dans quelque chose ?"
La réponse est : non.
Le meilleur exemple a été donné dans la période Covid, dans les pays ou états ayant mis en place un confinement. En effet, la famille, les enfants, sont considérés comme la forme ultime d’engagement personnel.
Mais lors des confinements des centaines de milliers de parents se sont retrouvés brutalement avec leurs enfants à demeure, avec parfois quelques heures d'activité professionnelle à effectuer. 
Nous nous sommes massivement aperçus qu'ils vivaient très mal la situation de proximité constante avec leurs enfants et leur conjoint. Car la plupart n'étaient pas investis dans leur "famille". Et n'ont pas réussi à s'y investir. Travail, famille et même loisirs, toutes ces situations sont vécues comme extrêmement stressantes.
On assistait à la détresse de parents suppliants pour que les cours reprennent, que les écoles rouvrent, à temps plein. La pic de scepticisme à l’égard de la nécessité de déconfiner les enfants a été atteint très tôt, surtout chez les populations de cadres urbains. Populations qui s’exprimaient d’ailleurs le plus sur les réseaux sociaux, critiquant fortement l’attitude gouvernementale de gestion de la scolarité.
Pour résumer : “je suis bien tranquille en confinement chez moi sans les galères du bureau et des trajets pour aller bosser, merci de me débarrasser de mes enfants que je puisse souffler comme d'habitude”.
Le confinement a également accéléré la prise de conscience que l’”engagement” professionnel était surtout composé d’éléments factices : présentéisme, machine à café obligatoire, socialisation forcée… Toutes choses qui une fois supprimées ne nuisent pas à la performance et à la productivité.
Ce sont des faits (prouvés par des études scientifiques récentes), dont l’évidence a été accélérée par les confinements.
Alors “pourquoi faire semblant ? Soyons simplement efficaces et faisons ce pourquoi nous sommes payés”.
La société a réussi à faire de la plus grande partie des citoyens, en quelques décennies, des individus autocentrés, n'ayant plus ni envie ni besoin de s'investir.
Certes, il est plus facile maintenant de manipuler rapidement ces individus au travers des idéologies politiques, et via les médias sociaux, mais que faire d'un peuple qui n'a plus d'objectif, plus de projets, plus d'envies autres que celle de la satisfaction immédiate résolue par la fast consommation ?
Le temps nécessaire pour en arriver à ces zombies sociaux, sera probablement le même qu'il faudra déployer pour les sortir de cet état. Mais l’énergie à déployer dans ce cas risque d’être bien plus grande.
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zehub · 9 months
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Transports : les ventes de vélos ralentissent, les professionnels évoquent "un phénomène inverse de celui de2020 et 2021"
La bicyclette a beau faire de plus en plus d'adeptes, et avoir connu un beau succès en période de déconfinement, fabricants et revendeurs se retrouvent aujourd'hui avec des stocks parfois trop importants et difficiles à écouler.
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jogallice · 9 months
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Montagne : face aux « toiles de tentes qui poussent partout » et aux « feux d'artifice qui pètent à minuit », le Semnoz limite le bivouac.
See on Scoop.it - JamesO
« Il est nécessaire de canaliser les gens » : poumon vert d’Annecy, le Semnoz est victime de sa sur-fréquentation. Depuis le déconfinement, le nombre de promeneurs explose en été. Mais ces derniers ne respectent pas toujours les règles de bon sens pour une bonne cohabitation avec les alpagistes. Bivouac, feux de camp, circulation sur les sentiers... Quatre communes ont pris des arrêtés municipaux pour réglementer ces pratiques.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse publié par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes le lundi 17/07/23.
  🏃‍♀️ Du 1er au dernier jour de l’année 🏄‍♀️
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  #montagne #tourisme #politique
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Annecy, le Grand Annecy et la Savoie.
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ppwbm-blog · 10 months
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Appel à participation : Projet Deconfining, étude qui vise à analyser en profondeur la problématique de la mobilité artistique et culturelle en Afrique
Dans le cadre du projet Deconfining, CFW-Culture Funding Watch lance une étude qui vise à analyser en profondeur la problématique de la mobilité artistique et culturelle en Afrique. Nous vous invitons à remplir le formulaire ci-dessous. Le projet « Déconfiner les arts, la culture et les politiques en Europe et en Afrique » vise à créer de nouveaux liens culturels équitables entre l’Europe et…
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oenodyssee · 11 months
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Cycles
Cycles
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La Bougeotte / Saint-Avit-Sénieur / Florie Sourice et Jean-Baptiste Cales
Cycliste / par temps gris / vent de face / je longe les collines de Montbazillac où / trente ans plus tôt chez / Jacques Blais / j’avais fait mes premières / vendanges / préambule à / un voyage de neuf / mois / je longe à / nouveau la rivière / bifurque vers le Périgord / ses grottes / ses abbayes / celle de Saint-Avit-Sénieur / est flanquée d’un terrain de / boulles / situé face à / un autre monument / le bistrot / institution locale / tout juste relancée sous/ ne nom de Bougeotte par  /Florie Sourice et Jean-Baptiste Cales / musique cubaine à / mon arrivée / silence à / celle de Florie / en pleine crise du Covid / confinement / coup de frein à / une vie danseuse / type Broadway / show / Paris et tournées / écriture / remise en question / déconfinement découverte d’/un lieu d’/ un homme du / lieu / Saint-Avit-Sénieur / Jean-Baptiste / rentré chez lui après huit ans de /  restauration à Perth en / Ecosse / ouvrir un premier restaurant ouvert / au vin nature comme / à la / Bougeotte où il y aura / en sus / des / performances / ce soir on sera  vingt-cinq au dithyrambe / des artistes / des artisans / des amis / des passants / des anglais  et / du vin de Julien et Charlotte Auroux dont la / cuvée Blablabla / mettra ma parole en / mouvement  / ensuite / après / l’excellente cuisine au feu de bois de / Jean-Baptiste et de son aide / californien pour / redescendre / Florie oscille entre / service et / conversation / sa vie nouvelle de / chorégraphe/ restauratrice / Joséphine Baker à / Bobino / ses vieilles voisines  qu’elle / interviewe à Saint-Avit / ici / là-bas / où est le début où / est la fin / anabatique / catabatique / argonautique / petit / moyen / grand plateau /  j’aime la vittérature cyclique / cycliste.
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fotoptika · 1 year
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Vers le déconfinement …
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achat-cb · 1 year
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La réouverture des magasins a conduit les consommateurs à retrouver progressivement certaines de leurs habitudes de consommation et de leurs marques d’avant la crise. Selon une étude menée par la fintech CDLK, le secteur de la maison et du jardin ainsi que les distributeurs de chaussures se retrouvent en tête de liste des achats, suivis de très près par les boucheries-charcuteries. Petit tour sur les achats des Français depuis le déconfinement. 
Les Français retrouvent leurs habitudes d’achat
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actu24hp · 1 year
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le déconfinement de la Chine a-t-il engendré l'apparition de nouveaux variants ?
Depuis décembre 2022, les Chinois ont retrouvé un quotidien presque normal après l’assouplissement de la stratégie « zéro Covid » en place dans le pays depuis plus de deux ans. Cela s’est accompagné d’une flambée épidémique jamais vue en Chine. De nouveaux variants sont-ils apparus à cette occasion ? La pandémie de Covid-19 est née à Wuhan en Chine à la fin de l’année 2019 et, pour arrêter la…
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williamgunst · 1 year
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Déconfinement : L'agoraphobie a augmenté pendant la pandémie... comment y faire face ?
Déconfinement : L’agoraphobie a augmenté pendant la pandémie… comment y faire face ?
la chose importante Alors que la pandémie de Covid-19 se poursuit, de nombreux Français ressentent un stress et une anxiété accrus. En plus des états anxieux, certaines personnes ont développé des troubles permanents comme l’agoraphobie… Quels sont les symptômes ? Quel lien peut-on faire entre la pandémie et l’agoraphobie ? Comment y remédier ? Le psychologue a répondu aux questions de La…
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verver · 2 years
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Où suis-je ? - Bruno Latour - Éditions La Découverte
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omagazineparis · 1 month
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Comment éviter le syndrome de la cabane durant le déconfinement ?
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Après trois confinements, certaines personnes ont développé un sentiment d’angoisse à l’idée de quitter leur domicile par peur du monde extérieur. Cette inquiétude porte un nom : le syndrome de la cabane. En cette période de déconfinement, ce sentiment est d’autant plus amplifié qu’il s’ajoute aux nombreuses incertitudes sur l’avenir. Le syndrome de la cabane ou la peur d’affronter le monde extérieur Cette expression a fait son apparition pour la première fois dans un article du quotidien espagnol El País en mai 2020. Depuis cette date, les médias ont souvent repris ce terme à la suite des nombreux déconfinements dans le monde. Mais quelle est sa signification ? Le syndrome de la cabane désigne la peur des personnes de sortir de chez elles à cause de la pandémie. En ce sens, la crise sanitaire a profondément bouleversé notre existence sur tous les plans. Télétravail, couvre-feux et restrictions : ces mesures ont contraint la population à rester chez elles. Calvaire pour les uns, ce confinement fut bénéfique pour d’autres. Un confort tel qu’il incite les individus à ne plus quitter leur domicile pour se préserver du monde extérieur. Pourtant, il va bien falloir retrouver une vie normale et renouer des liens avec autrui. Surtout en ce moment, avec le déconfinement et la levée progressive des restrictions sanitaires. « Syndrome de l’escargot » ou « syndrome du prisonnier ». Autant d’expressions pour décrire ce phénomène qui peut toucher tout le monde : les jeunes, les actifs mais aussi les personnes âgées. En résumé, personne ne semble à l’abri de ce syndrome et de ses manifestations.   Les manifestations du syndrome de la cabane Le syndrome de la cabane se manifeste de manière différente selon les individus. Stress dans les transports en commun, peur de tomber malade, crainte d’aller faire les courses… Les exemples sont multiples et variés pour décrire les symptômes liés à ce syndrome. Parmi ses principales manifestations, nous retrouvons les caractéristiques suivantes : - Peur de se retrouver dans un espace clos (commerces, lieu de travail, transports en commun, etc.). - Crainte de quitter son domicile. - Baisse de motivation avec une tendance à procrastiner. - Fatigue constante. - Peur de rencontrer du monde. - Se sentir uniquement en sécurité chez soi. Vous l’aurez compris, les effets du syndrome de la cabane sont réels et palpables chez les individus. Pour ne pas céder à la morosité, nous vous proposons nos cinq astuces afin de contrer ces symptômes et de vous préparer progressivement à un retour à la normale. Cinq conseils pour se prémunir des effets du syndrome de la cabane Fixez-vous un planning En restant chez soi, vous avez sûrement développé des habitudes qui vous ont fait oublier la notion de temps. Si tel est le cas, reprenez progressivement un rythme régulier. Par exemple, levez-vous à des horaires fixes ou définissez un jour précis dans la semaine pour vous promener. Communiquez autour de vous Si vous êtes atteint du syndrome de la cabane, n’hésitez pas à en parler autour de vous. Aussi bien à vos proches mais aussi à un spécialiste si vos symptômes persistent. Que ce soit par téléphone ou en rencontrant directement les personnes, le plus important, c’est d’échanger.    Faites preuve de patience Par patience, gardez en tête que cette période n’est que transitoire. En effet, ce n’est que progressivement que la vie va reprendre son cours. Malgré le contexte actuel, sachez que l’être humain est fait pour s’adapter à tout parce qu’au final, il en ressort toujours vainqueur. Écoutez vos émotions Ne niez pas votre état émotionnel : soyez sincère avec vous-même. De ce fait, plus vous écouterez vos émotions, mieux vous appréhenderez votre anxiété par rapport au monde extérieur. Ainsi, vos peurs éventuelles diminueront petit à petit avant de totalement disparaître. Soyez en mouvement Ne restez pas dans l’oisiveté : pratiquez une activité sportive à l’extérieur pour décompresser. En effet, l’enfermement a grandement accru notre sédentarité et les mauvaises habitudes qui vont avec. Marche à pied ou running, dépensez-vous physiquement tout en aérant votre esprit !    « La patience rend tolérable ce qu’on ne peut empêcher. » Horace. Juste et empreinte de résilience, cette citation prend tout son sens en ces temps de pandémie. En somme, appropriez-vous cette phrase tel un mantra à l’approche du déconfinement. Que vous soyez atteint ou non du syndrome de la cabane, retenez la chose suivante : vous n’êtes pas seul(e). Read the full article
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ouyander · 2 years
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Vivre Mieux Son Déconfinement s'impose ! Voici des astuces pour confectionner vos confitures pour vous régaler en toute saison. Réalisées avec des fruits de saison, bien mûrs, du jardin ou récoltés localement, des confitures faites maison pour se régaler toute l’année ! Pourquoi confectionner ses confitures soi-même ? Parce que c’est facile, c’est ludique et pas cher et que vous régalerez petits et grands. Vous savez ce que vous mettez dedans, et pouvez adapter la quantité de sucre selon la qualité de vos fruits ! L’idéal est de faire de la confiture avec des fruits provenant directement de votre jardin ou verger si vous avez la chance d’en avoir un, la qualité étant bien meilleure ! Sinon rendez visite à votre maraîcher, allez au marché ou direction une cueillette de fruits à proximité de chez vous pour vous munir de vos beaux fruits, bien mûrs, riches en vitamines et pas trop abîmés. Privilégiez des ingrédients de qualité ! Bien évidemment, utilisez les fruits de saison, plus goûteux, plus riches en nutriments mais également moins chers, notamment en fin de marché, lorsque les producteurs ont eu du mal à vendre des fruits un peu plus abîmés ou ayant atteint leur stade de maturation. Vos recettes en seront bien meilleures ! Par ailleurs, si vos fruits sont trop mûrs, préférez-les sous forme de compote, pour en préserver le goût. > Découvrez notre article : Que faire avec vos fruits trop murs ? Quelles confitures réaliser ? Le printemps annonce le retour des fraises sur les étals, pensez donc à prévoir quelques pots que vous pourrez déguster à l’automne ou à l’hiver prochain sur vos tartines de pain, pancakes, crêpes, gaufres… Pensez également à la rhubarbe, aux kiwis, nous sommes sur la toute fin de saison. Mais oui, nous trouvons sur nos étals des kiwis toute l’année, tout comme les agrumes (oranges, pamplemousses, citrons, clémentines, mandarines…), ou les pommes, poires et bananes. N’oubliez pas quelques associations bien sympathiques aboutissant à de délicieuses préparations telles que la confiture fraise-rhubarbe ou la confiture pomme-rhubarbe. Pensez aux herbes aromatiques (romarin, thym, basilic,…), aux épices (vanille, cannelle,…) ou aux fleurs pour parfumer vos mets et façonner de nouvelles saveurs ! Par la suite, selon la saison des fruits et légumes, réalisez des confitures de fruits rouges, de framboises, de cerises, d’abricots, de figues, de raisins, de myrtilles, de groseilles, de mirabelles, de prunes, de coings… Avez-vous déjà essayé la confiture de fleur ? En ce moment, de nombreuses fleurs de pissenlit colorent nos pelouses. Saviez-vous que vous pouvez en faire de la confiture ? D’autant plus que les pissenlits ont de nombreuses vertus santé notamment pour nettoyer l’organisme et pour favoriser la digestion. Les lilas sont également en floraison et leur délicieux parfum nous envoûte lorsque nous passons à proximité. Vous pouvez le retrouver sur vos tartines de pain aux céréales pour faire perdurer cette bonne odeur toute l’année. Pensez à en faire des gelées. Inspirez-vous de Christine Ferber, surnommée « fée des confitures » pour vos idées recettes de délicieuses confitures maison ! Quel sucre choisir ? Vous pouvez utiliser n’importe quel sucre pour vos confections : blanc, roux, sirop d’agave, sirop d’érable… En variant les sucres, vous pouvez obtenir des saveurs différentes et ainsi faire des mélanges originaux. Comptez en moyenne 400 à 800 g de sucre pour 1 kg de fruits. Tout dépend de la teneur en sucre de base de vos fruits et bien évidemment du type de sucre utilisé ! epinard-soupe_0-2 Peut-on faire une confiture sans sucre ? La réponse est non ! C’est le sucre qui permet la conservation dans le temps de vos pots. C’est-à-dire que si vous vous contentez simplement du sucre de vos fruits, votre confiture risque de se conserver très peu de temps. Quels gélifiants utiliser pour réussir sa confiture ? Vous pouvez utiliser des sucres
« spécial confiture » qui contiennent un gélifiant, pour vous aider à réussir votre confiture. Privilégiez un gélifiant naturel : les pépins de pomme ! Comptez 6 à 7 pépins pour 1 kg de confiture. Mettez-les dans un linge type compresse de gaze, fermez par un petit nœud pour éviter que ceux-ci ne s’échappent dans votre confiture. Ajoutez également un jus de citron, pour ajouter de la pectine et préserver la couleur de vos fruits. Si vous avez l’habitude de les réaliser sans pectine et qu’elles sont bien réussies, continuez ainsi ! Les pépins sont riches en pectine, tout comme la peau de la pomme, mais à condition que celle-ci soit bio. Le principe de ce gélifiant végétal est de figer plus rapidement votre confiture afin qu’elle cuise moins longtemps et qu’elle garde sa couleur. Pour le savoir, déposez 2 gouttes sur un pot en verre ou une assiette sortant du réfrigérateur, vous vous rendrez vite compte si votre confiture est prise. Les gouttes doivent couler lentement. En quelle quantité ? Il n’est pas nécessaire d’en réaliser une grande quantité pour réussir vos confitures. Notamment pour des nouvelles idées recettes, faites des essais avant de vous lancer. Avant cuisson, vous pouvez faire macérer pendant quelques heures vos fruits dans le sucre. Ensuite, la tradition veut qu’une confiture soit cuite dans une bassine en cuivre à feu vif jusqu’à ébullition, puis ralentissez ensuite légèrement le feu et remuez régulièrement pour ne pas qu’elle attache. Si vous avez un thermomètre de cuisine, votre confiture est prête lorsque la température atteint 105 °C. Sinon, vérifiez à l’aide d’une assiette froide inclinée, si la goutte fige, vous pouvez mettre en pot ! La mise en pot Ecumez si besoin pour ne pas ajouter d’acidité à votre confiture. Versez immédiatement la confiture dans vos pots en les remplissant au maximum, fermez le couvercle et retournez-les pour procéder à une auto-pasteurisation, étape permettant de garder vos pots plus longtemps, sans stérilisation. Désormais, vous connaissez les secrets pour réussir vos confitures et vous régaler tout au long de l’année ! Par Kafunel.com avec Marie Verny, ingénieure en alimentation et santé
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