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#l'âge de l'amour
ihatemeinfatuated · 2 years
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sabinerondissime · 2 months
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je cours après l'Amour depuis si longtemps.
Je suis fatiguée.
Il m'arrive de me dire que je n'ai plus l'âge d'être aimée.
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Oh tiens !
Il est rare qu'un homme qui me contact m'intéresse assez pour que j'ai envie de lui répondre. Mais ça arrive oui, une fois ou 2, tout les 2 où 3 ans ! ... !
Bref ! Chaque fois, c'est le même scénario. Je sais qu'au bout de quelques jours, ça va merder ! Parce que je refuse de parler de sexe, que je ne fais rien pour séduire, que je partage pas de photo de moi à moitié à poil et parce qu'avant que je commence à désirer un homme, il me faut du temps et une bonne dose de sentiments ! Alors j'explique à ce nouveau venu ce qu'il en est et bien entendu, il comprend tout à fait .... bien entendu !!
Sauf qu'il fait des remarques un peu osées de temps en temps, histoire de voir jusqu'où il peut aller trop loin. Si j'ai le malheur d'y répondre, c'est la porte ouverte à un flot de sensualité et d'érotisme dont je ne sais que faire ! Et clairement, ça me fait le même effet que si tu ouvrais la porte d'une chambre froide avec l'intention de m'y faire entrer !
Alors forcément, les choses commencent à se tendre un peu, mais pas dans le sens espéré par le monsieur. Rapidement, je deviens agressive, piquante et enfin silencieuse. Quoi que je dise, les hommes ne comprennent pas ! J'ai l'impression qu'ils imaginent tous qu'avec eux, ce sera différent ! Mais pourquoi est ce que ce serait différent ?? Je vois bien qu'au final, l'appétit sexuel de ces prédateurs et bien plus important que l'envie de me connaître. Parce que quand un homme me dit "J'ai envie de te connaître et de tout partager avec toi" cela se traduit souvent par "J'ai envie de connaitre ta façon de faire l'amour et tout tes fantasmes !"
Je pensais qu'avec l'âge, ça allait se calmer. Je pensais que les hommes de mon âge seraient plus compréhensif, mais non !
Alors certains ont trouvé des solutions à mon problème. Il faut que j'arrête de publier des photos de femmes sexy. Il faut que je quitte les réseaux sociaux. Il faut que je consulte parce que j'ai un grave problème psychologique ! Le problème, c'est moi, pas eux ! Jamais ils ne se remettent en question, jamais ils ne se disent "C'est clair, elle a été honnête dès le début, je n'avais qu'à partir puisse que ce n'est pas ce que je cherche." Non, le problème, c'est moi ! Moi qui n'ai rien demandé, moi qui n'ai écrit à personne en premier, moi qui rêve seulement d'une relation saine en prenant le temps de créer un lien, une affinité, un désir qu'on laisse naître au fil du temps.
Vous n'avez pas idée du mal que vous faites, messieurs.... vous avez détruits la femme sensuelle que j'étais avec votre pression, vos allusions, vos photos de bites, vos fantasmes exhibés sans que je n'ai rien demandé et votre demande de sexe à temps complet. Vous m'en avez quasiment dégouté !
Et c'est pour me protéger de vous, que j'ai monter ces murs autour de moi.
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jeanchrisosme · 4 months
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L’enfer des femmes c'est la vieillesse mais c'est peut etre aussi une grâce : avoir la chance de vivre longtemps peut permettre de profiter de soi, des autres, de la nature, du plaisir de voir, de penser, d'exister, dans une sérénité croissante. Le certain âge, c'est l'âge de l'amour. Car si tout passe, l'amour reste et même s'approfondit
Madeleine Chapsal
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lisaalmeida · 1 year
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" J'ai l'âge de voir les choses avec tranquillité,
mais dans l'intérêt de continuer à évoluer.
J'ai l'âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoirs. J'ai l'âge où l'amour est parfois une flamme qui a besoin de se consumer dans le feu d'une passion désirée, parfois un havre de paix, tel un coucher de soleil sur la plage.
J'ai quel âge ? Je n'ai pas besoin de nombre,
car mes désirs réalisés, les larmes que j'ai versées en voyant mes illusions se briser valent beaucoup plus que ça. Quelle importance d'avoir vingt, quarante, soixante ! Ce qui importe, c'est l'âge qui me correspond. J'ai l'âge qu'il faut pour vivre libre et sans peur, pour suivre mon chemin sans crainte, je porte avec moi l'expérience que j'ai acquise et la force de mes désirs. J'ai l'âge suffisant pour ne plus avoir peur, faire ce que je veux et ce que je ressens".
José Saramago.
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firebirdxvi · 5 months
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Fils du Feu 05 ~ Flamme du Passé
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La soigneuse prépara tout le nécessaire pendant l'absence de Jote. Laissant l'Emissaire seul quelques instants, elle sortit du Nid pour se diriger vers les réserves de l'ordre. Elle du suivre un lacis de couloirs tortueux à peine éclairés avant d'y parvenir. La porte en était toujours ouverte car il était impossible d'en retirer la moindre chose sans que les deux adeptes qui y demeuraient perpétuellement ne s'en aperçoivent. Ils se dirigèrent vers elle aussitôt.
- "La même chose ?" lui demandèrent-ils sans plus d'amabilité.
- "Oui, Sa Grâce veut prendre un bain chaud."
- "Nous vous les apportons."
L'un des adeptes s'enfonça dans les profondeurs de la réserve tandis que l'autre continuait de patrouiller au hasard, près de l'entrée. La soigneuse resta immobile, les mains croisées, ne montrant aucune nervosité. Elle savait que ce qu'elle s'apprêtait à faire pouvait signifier son arrêt de mort ou sa célébration éternelle. On la condamnerait à jamais pour avoir détruit l'Emissaire de Phénix ou on la porterait aux nues pour lui avoir rendu ses pouvoirs et sa juste place dans le monde.
Mais elle était prête aux conséquences. Sa vie appartenait à l'ordre et au Primordial du Feu. Elle ferait tout son possible pour eux. Et elle savait que Jote pensait de même.
Elle avait de l'affection pour cette petite. Ce genre d'émotion n'était guère encouragée au sein de l'ordre ; les adeptes étaient des frères et soeurs dans la dévotion au Phénix mais il ne pouvait exister entre eux aucun lien comme l'amour ou l'amitié. Elle avait pensé ainsi elle aussi, pendant longtemps. Et elle comprenait toujours le sens de cet ascétisme affectif. Mais côtoyer pendant de longs mois Jote et l'Emissaire chaque jour lui avait fait comprendre une chose : en tant que guérisseuse, elle ne pouvait pas faire son travail correctement dans un tel détachement. Il était nécessaire de ressentir la souffrance de l'autre et de la faire sienne pour la soulager. L'Emissaire était le patient qu'elle avait suivi le plus longtemps ; il ne s'agissait pas de soigner une petite blessure passagère qui ne lui aurait demandé que quelques heures de concentration, pour ensuite s'effacer de sa mémoire. Elle était liée à lui d'une façon qu'aucun autre Immortel ne pourrait comprendre ; sauf Jote bien sûr.
Cela lui coûtait de l'admettre mais elle ne voyait plus Joshua Rosfield comme une simple incarnation d'un dieu éternel. Elle l'avait observé dans son quotidien à chaque minute, avait analysé tous ses gestes et ses attitudes, même les plus intimes. Si l'esprit élémentaire qui l'habitait était divin, le jeune homme lui-même était un humain comme elle. Un humain qui aurait eu l'âge d'être son fils si on lui avait laissé le sien...
Elle se retint de pousser une exclamation. Elle se rendait bien compte qu'une telle pensée était blasphématoire. Evoquer à haute voix l'humanité de l'Emissaire de Phénix lui aurait valu l'excommunication immédiate, ou pire. "Pas de familiarités avec l'Emissaire", c'était leur credo. Mais comment aurait-elle pu l'éviter ? Ce garçon était si touchant à sa manière... Et l'expérience qu'ils s'apprêtaient à vivre tous les trois ne relâcherait sûrement pas leurs liens, bien au contraire...
L'acolyte revint avec un cristal dans chaque main qu'il remit à la soigneuse. Elle remercia en silence et tourna les talons. Les quelques Immortels qui se trouvaient sur son passage s'écartèrent et lui permirent d'atteindre le Nid sans avoir à subir de questions. Aucun ne se doutait de qui allait se passer aujourd'hui.
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De retour dans le Nid, elle se mit au travail. Tandis que Joshua la regardait avec intérêt, assis en tailleur sur son lit, elle actionna un mécanisme dissimulé dans le mur qui fit apparaître une vasque encastrée. Les Immortels avaient découvert ce dispositif durant la convalescence de l'Emissaire, tandis qu'ils cherchaient le meilleur endroit pour l'accueillir. Cette vasque avait sans doute eu une fonction précise à l'époque des Célestes, qui n'était probablement pas celle qu'elle avait aujourd'hui ; cependant, elle faisait une baignoire tout à fait acceptable et l'ordre avait décidé que cette commodité devait revenir à leur dieu. C'était ainsi que leur choix avait été arrêté.
Joshua lui posa une question par signes.
- "Oui, vous allez prendre un bain un peu spécial aujourd'hui. Vous le préparer me donnera aussi le temps de me mettre en condition pour la thérapie. Je vais devoir utiliser tout mon talent, et même m'en trouver d'autres, pour m'assurer de sa réussite. Vous êtes toujours volontaire ?"
Il opina de la tête.
La soigneuse activa la magie du premier cristal. Suspendu dans les airs, il commença à tourner sur lui-même et un liquide - de l'eau ordinaire - se mit à sourdre de ses facettes, tombant dans la vasque. Rien de nouveau pour Joshua, c'était toujours ainsi qu'on lui préparait son bain. Le processus prendrait environ vingt minutes avant que la vasque ne soit remplie.
Tandis que le processus arrivait à son terme, elle entendit frapper à la porte et Jote rentra sans tarder en refermant bien soigneusement derrière elle.
- "Tu as fait vite !" s'exclama la soigneuse. "Où es-tu allée ?"
- "Au croisement de l'Auberge, c'était jour de marché... J'avais oublié les sons ordinaires, et les bonnes odeurs..."
- "Tu as du courir pour revenir à cette heure !"
- "Un peu, oui ! Des loups m'ont attaquée dans le marais ! Quand je me suis mise à leur jeter des rochers, ils ont fui comme des lâches ! Mais j'ai continué à courir jusqu'ici..."
- "Personne ne t'a suivie ?"
- "Non, je ne crois pas, j'ai pris le chemin secret, et j'ai constamment regardé derrière moi... Mais les habitants du croisement commencent à se poser des questions sur nos aller et venues..."
Joshua écarquilla les yeux en entendant la petite fille affirmer qu'elle avait "jeté des rochers" sur des loups, mais il n'eut pas le temps de lui demander des précisions. La jeune adepte étala ses achats sur le lit devant lui.
- "Il y a tous les ingrédients pour la séance, et j'ai aussi trouvé ça..." Elle exposa devant le jeune homme une tunique lacée du plus bel effet. "Il fallait bien que j'utilise l'argent qu'on m'a remis. Je crois que c'est à votre taille. Vous pourrez l'essayer. Après que..."
Elle s'interrompit. La soigneuse constata que la baignoire était remplie et le cristal presque inutilisable. Elle se saisit du second, le retourna dans sa main et attendit qu'il monte en température. Quand il devint assez chaud, elle le laissa couler au fond de la baignoire. L'eau chaufferait en quelques minutes.
Joshua commençait à s'agiter, ne sachant pas vraiment ce qui allait se passer. Il devinait seulement qu'il n'allait pas juste prendre un bain. La soigneuse le regarda avec attention.
- "Votre Grâce, le moment est presque arrivé. Pour tout ce qui va se passer, vous allez devoir me faire confiance."
Elle attrapa les paquets d'encens et les décacheta. Puis elle les alluma tour à tour à l'aide des minuscules morceaux de cristaux inclus dans les emballages. Une fragrance étrange de senteurs mêlées se répandit dans le Nid et Jote en ressentit presque tout de suite les effets ; la somnolence la guettait mais elle devait rester éveillée. Puis, la soigneuse se saisit des flacons d'huiles et en répandit le contenu avec mesure dans la baignoire.
- "Cela n'était pas dans le livre, pourquoi vous..."
- "C'est moi qui ai décidé d'ajouter ça. Jasmin et lavande, idéal pour relaxer les muscles. Sa Grâce devra être le plus détendu possible..."
Joshua comprit que c'était son tour. Il se leva du lit et posa une question.
- "Il ne s'agit pas ici de votre hygiène. Vous n'êtes pas obligé de vous déshabiller, mais cela marchera mieux si vous le faites, je suppose. Vous devez vous sentir tout à fait... déconnecté, si je puis dire..."
Après quelques secondes d'hésitation, il commença à se dévêtir. Bien qu'elles soient dorénavant habituées à le voir nu, les deux Immortelles détournèrent les yeux par respect. Elles entendirent un clapotement liquide et surent alors que l'Emissaire s'était mis à l'aise dans la baignoire.
- "Jote, occupe-toi des lumières. Je veux une pénombre reposante."
La petite fille alla effleurer chaque cristal du Nid, et la lumière baissa en intensité. La seule source de luminosité plus intense se trouva être une petite bougie que la soigneuse venait d'allumer et avait posée sur le rebord de la vasque en face de l'Emissaire.
- "Votre Grâce, nous allons commencer", prononça-t-elle de façon solennelle en se plaçant près de sa tête. "Vous allez retrouver des souvenirs de votre passé et apprendre qui vous êtes réellement. Ces souvenirs seront peut-être... douloureux. Mais ce ne seront que des souvenirs. Rien ne sera réel. Vous ne devez pas l'oublier. Jote et moi serons à vos côtés. Si cela devient trop intense, je vous éveillerai."
Joshua se mit à frissonner malgré l'eau chaude dans laquelle il était plongé. Jote se posta à côté de la soigneuse, sur le côté de la vasque, dans l'attente de la suite. Elle aussi tremblait un peu.
- "Maintenant, vous allez m'écouter attentivement", murmura la soigneuse près de son oreille. "Ecoutez toujours ma voix. Quand je vous dirais de fermer les yeux, vous le ferez. Pour l'instant, fixez la flamme de cette bougie. La flamme est le signe de votre destin... Si vous la suivez, elle vous montrera toujours le chemin, même quand vous aurez les yeux fermés..."
Elle continua de susurrer des mots hypnotiques afin de plonger l'Emissaire dans une sorte de transe. Et cela fonctionna. Bientôt, les bras du jeune homme se détendirent et flottèrent dans l'eau sans aucune tension. Ses longs cheveux blonds se déployèrent tout autour de sa tête. En apesanteur, son corps sembla décoller du fond de la vasque. Il fixait toujours la bougie...
"Joshua." C'était la première fois qu'elle l'appelait par son nom, acte blasphématoire pour les Immortels." Vous allez fermer les yeux et plonger au plus profond de vous... Remontez dans le temps, remontez cinq ans auparavant... Vous êtes à Fort Phénix... C'est la veille d'une grande bataille pour Rosalia... Concentrez-vous, que voyez-vous ? Qu'entendez-vous ?..."
Il entend des chants guerriers. Des tambourinements sur les tables. De la joie avant le malheur... La voix d'un être aimé assis à côté de lui. Oui, il est assis à une table. Mais il ne se sent pas à sa place... Trop de bruit et de réjouissances... Il entend chanter l'hymne de Rosalia... Celle qui glorifie le Phénix... Tous aiment le Phénix mais personne ne l'aime, lui, Joshua... Sauf l'homme à côté de lui. Il essaie de le regarder, de graver ses traits dans sa mémoire... Il y lit de la fierté mais aussi de l'inquiétude. Il étouffe, il doit sortir...
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La bouche de l'Emissaire s'ouvrit comme pour parler, mais il ne produisit aucun son. La soigneuse était penchée sur lui pour capter le moindre soupir, la main posée sur sa joue. Elle continuait de le guider dans le labyrinthe de sa mémoire brisée.
"Continuez à avancer dans le noir vers la flamme. Que voyez-vous ? Qu'entendez-vous ?"
Il voit la lune et les étoiles. Il sent le souffle du vent et aussi une présence rassurante juste devant lui... Cette présence, c'est elle qui brûle comme une flamme, et il marche vers elle. A côté d'elle, il n'a plus peur... Il sait qu'elle le protègera. Il entend une voix familière, mais ne se souvient plus du visage... Il veut le regarder mais un trou noir se trouve à sa place... Il n'a pas peur. Il sait de qui il s'agit. Il cherche son nom et son visage. Il doit les trouver...
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Les paupières de Joshua se crispèrent convulsivement, comme s'il cherchait quelque chose de difficile à découvrir. Jote se pencha sur lui et se sentit inquiète. Mais elle ne dit rien ; sa voix aurait pu briser la transe.
"Que voyez-vous ? Qu'entendez-vous ?"
Il est allongé sur quelque chose de mou. Il sent une odeur de fumée... Puis un fracas, un cri, on prononce son nom avec force. Il se lève, il avance dans le noir, couloirs après couloirs... Une nouvelle odeur, celle du sang... Il fait chaud... Il suffoque, il tousse... Il tue aussi, pour la première fois. Il s'étonne de constater à quel point cela lui est facile... Il doit faire son devoir d'Emissaire... Il est fatigué... Soudain, son père surgit. Oui, c'est bien son père. C'est l'archiduc Elwin Rosfield. Il le voit parfaitement bien. Mais qui est celui qui l'accompagne et vers lequel semblent tendre toutes les fibres de son être ? Pourquoi ne parvient-il pas à se souvenir de son visage ? Il se jette dans ses bras, mais il ne peut voir son visage !
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Joshua serra les dents fortement et agrippa les rebords de la vasque de ses deux mains. Les articulations de ses doigts blanchirent sous la tension... Jote se retint de le toucher.
Il le voit enfin, face à face. Ce visage qui semble le premier de ses souvenirs... Il est tout proche du sien, lui prodiguant des paroles d'encouragement avant de l'abandonner. Mais il ne veut pas qu'il parte ! Il lui a promis de rester à ses côtés pour toujours ! S'il s'en va, il ne le reverra jamais, il le sait... Ne pars pas, ne me laisse pas...
- "Clive..."
Les deux Immortelles eurent un hoquet de surprise. L'Emissaire avait parlé ! Il avait prononcé le nom de son frère... Il était proche du but. La voix de la soigneuse se fit plus caressante ; elle se doutait que le pire restait à venir...
"Que voyez-vous ? Qu'entendez-vous ?"
Il sent le goût du sang dans sa bouche, l'odeur de la plaie ouverte... Il voit la tête rouler sur le sol... La tête de son père, qui le regarde... Le sang qu'il a sur la langue, c'est celui de son père... La lame rougie se balance devant lui... Il est le prochain. Aucune pitié à attendre du monstre à peine humain qui s'apprête à le frapper... Il est seul... face à la mort... Il n'a que dix ans...
- "Je dois... je dois... protéger... Rosalia..." Les larmes se mirent à sourdre de sous les paupières de l'Emissaire tandis qu'il agitait la tête en tous sens.
- "Jote, maintiens-le en place", murmura la soigneuse le plus bas possible. "Il ne doit pas se rompre le cou..."
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La petite fille obéit, mais à peine touchée la chair de l'Emissaire, elle se jeta en arrière, comme repoussée par une force invisible.
- "Il est... brûlant !" Elle s'était exclamée à haute voix.
En effet, une épaisse vapeur commençait à envahir le Nid. L'eau de la vasque s'évaporait progressivement sous l'action d'une chaleur de plus en plus intense.
Il ne veut pas mourir. Il veut vivre. Il veut son père et son frère. Son père est mort. Où est son frère ? Il n'est pas là, lui répond la voix intérieure du Primordial. Mais moi, je suis là. Invoque-moi. Fais-moi sortir et je les brûlerais tous. Non ! Il ne veut plus tuer ! Plus de morts ! Si tu ne le fais pas, ils vont te tuer. Je ne mourrais pas s'ils te tuent. Mais toi, tu cesseras d'exister, tu ne reverras plus ton frère !... Invoque-moi !
- "Je dois... je dois... Au secours !"
Le corps de l'Emissaire se mit à convulser. Il se cognait sur tous les rebords de la vasque et les deux Immortelles eurent toutes les peines du monde à le maintenir en place pour l'empêcher de se blesser. Sa force semblait décuplée.
Fais-moi sortir !
    Clive va venir à mon secours !
       Il ne viendra pas !
           Il vient toujours !
              Il ne viendra pas, personne ne viendra !
                 Il me protègera...
                 Je te protègerai. Je suis le seul qui sera toujours près de toi.
                      Je veux vivre...
                         Alors fais-moi sortir !
Jote vit alors quelque chose de stupéfiant. Une chose que chaque Immortel aurait souhaité contempler de si près. De la hanche de l'Emissaire elle vit jaillir une plume multicolore flamboyante. Elle se déploya comme une fleur et se dressa toute droite, comme animée d'une volonté propre, tandis que d'autres plumes semblables apparaissaient tour à tour dans le bas du dos tordu de souffrance de Joshua. Elle était hypnotisée par la beauté du phénomène et ne put s'empêcher d'en approcher la main. Les plumes de feu ne la brûlèrent pas, mais elles émettaient une lumière rayonnante tout à fait surnaturelle, d'une blancheur aveuglante. Elles semblaient bien de feu mais ce feu-là était d'une nature toute différente. Il avait la texture d'une soie nimbée de soleil, et le bien-être qu'elle ressentit en passant sa main dessus lui fit oublier un instant la gravité de la situation. Ce fut le cri de l'Emissaire qui la ramena à la réalité.
- "Je dois faire mon devoir !"
- "Jote, il est en train de se transformer !" hurla la soigneuse paniquée, agrippée au torse de l'Emissaire agité de soubresauts. "Il faut l'en empêcher ou il ne restera de cet endroit qu'un tas de gravats ! Il ne contrôle rien !"
- "Ramenez-le !"
- "J'ai essayé, il n'entend pas !" Elle le tenta encore avec l'énergie du désespoir. "Ecoutez ma voix, Joshua ! Ce n'est pas la réalité ! Tout ceci a déjà eu lieu ! Vous devez vous réveiller !"
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Une onde de choc puissante fit tomber les deux Immortelles à terre. Elle avait du parcourir tout le refuge... Jote ouvrit les yeux après sa chute, et dans une lumière aveuglante, elle discerna l'Emissaire, debout dans la vasque, le visage levé vers le plafond. Une traîne majestueuse de plumes de Phénix ondulait dans son dos, envoyant des vagues de chaleur tout autour de lui. Ses longs cheveux flottant se changèrent en fils d'or brûlants, sa peau prit la teinte du charbon incandescent et des veines enflammées sillonnèrent son corps transfiguré... Elle pensa alors avec sérénité que c'était un beau spectacle à contempler avant de mourir...
Il lui fait enfin face, à ce monstre démoniaque qui hante ses cauchemars. Ses yeux pleins de haine, ses griffes avides de mort, ses cornes recourbées prêtes à l'empaler... Il est venu pour le combattre, lui, le Phénix. Comment ose-t-il ? Je suis le seul Primordial de Feu ! Qui es-tu, démon ?! Il se jette sur lui et il sait alors qu'il ne gagnera pas. Il peut l'abattre au sol, le brûler jusqu'aux os, lui déchirer la face de ses serres, le projeter contre les murs, il se relève toujours. Le Phénix guérit et protège ; ce monstre n'existe que pour détruire. Ces deux flammes ne peuvent coexister... Elles s'affrontent, depuis l'aube des temps. Le feu qui guérit, le feu qui détruit...
Sa souffrance est insoutenable. Il est jeté à terre, et les poings gigantesques s'abattent sur lui encore... encore... et encore... Il est déjà vaincu, pourquoi s'acharner ?...
- "Cliiiiive !! J'ai mal ! Aide-moi !!"
Joshua s'était plié en deux. Ses flammes perdaient de la puissance. Les deux Immortelles parvinrent de nouveau à s'approcher de la vasque presque brisée en morceaux. Le jeune homme s'effondrait sur lui-même, se recroquevillant au fond de la baignoire en gémissant, les cheveux enroulés tout autour de lui, les mains sur le visage. Il convulsait par à-coups, comme si on le battait avec violence. Ses plumes se racornissaient et flétrissaient les unes après les autres...
- "Aide-moi ! Cliiive ! Arrête-le !!"
Jote essaya de le retourner et de lui parler mais le corps de l'Emissaire était mu par une force surhumaine. Elle sentait jusque dans ses os la brutalité des coups qu'il se souvenait avoir reçus ; comme si son organisme tout entier en avait gardé la mémoire. Elle se rappela alors dans quel état on l'avait retrouvé... et elle pleura doucement.
- "Je vous en prie, ma dame...", sanglota-t-elle en tenant l'Emissaire dans ses bras. "Faites que cela s'arrête !..."
Et, comme en réponse à sa prière, tout cessa soudainement. Le corps de Joshua se souleva une ultime fois pour retomber ensuite et ne plus bouger. Le Nid était sans dessus dessous : le lit avait été éjecté dans un coin et tous les meubles de la pièce gisaient, retournés. Une nuée de minuscules plumes de duvet flottait autour d'elles et se consumaient sous l'action de la chaleur intense qui commençait à peine à baisser. Jote était en nage, sa peau humide était glissante et sentait la fumée.
Elle écarta de son visage trempé la couche de plumes qui y était collée et vit confusément la soigneuse attraper Joshua à bras le corps et le bercer avec tristesse. La tête du jeune homme était renversée en arrière sur l'épaule de la femme. Jote voyait leur deux visages sillonnés de larmes...
- "Non, ne me dites pas que...", commença la petite fille choquée.
L'avaient-elles tué ? La violence des souvenirs revenus à la surface avait-elle eu raison de Joshua Rosfield ? Elle trembla à cette idée...
- "Joshua... Joshua...", murmura la soigneuse avec tendresse. "Par le Fondateur, ne nous laissez pas, revenez..."
Elle plaqua sa main sur la poitrine du garçon pour sentir les battements de son coeur ; puis elle prit son pouls et secoua la tête. Après avoir écarté les cheveux emmêlés du visage de l'Emissaire, elle se pencha sur ses lèvres et tendit l'oreille.
- "Clive..."
Elle crispa les paupières de soulagement et reprit assez de force pour soulever le corps de l'adolescent.
- "Jote ! Remets le lit en place !"
La petite fille réagit immédiatement. Elle concentra sa magie au creux de ses mains et d'une traction mentale qui se traduisit dans la réalité, elle parvint à redresser le lit auquel il manquait un pied dorénavant. La soigneuse y plaça l'Emissaire et toutes deux se penchèrent avidement sur lui.
Il respirait. Faiblement, mais il respirait.
- "Ma dame, vous avez réussi !..." lança Jote dans un souffle.
- "Nous avons réussi, tous les trois..."
La femme s'écroula alors la face contre le lit, et se mit à pleurer de joie et de fatigue en silence.
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perduedansmatete · 7 months
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au lieu de faire un des trucs que j'ai à faire pour demain à savoir chercher une définition de l'amour (mdr) et trouver un angle pour notre recherche j'ai stalké l'empire (romain) sur linkedin avant de trouver son insta de photos vraiment la honte mais j'ai trouvé son nom de famille sur notre espace de travail donc j'étais obligée et voilà je sais pourquoi il allait à gare de l'est vendredi soir avec son gros sac de randonneur trop mimi quand on discutait après les cours mais il n'est pas alsacien je suis déçue... et je sais aussi qu'il doit avoir l'âge de ma sœur et que par conséquent il n'est pas si vieux finalement car c'est une récurrence chez moi donc on s'est moqué de moi pour rien quand j'ai évoqué le fait qu'il devait l'être enfin bref tout ça pour dire que je nage en pleine obsession mais ça va passer et ça me change les idées de trouver quelqu'un atrocement trop mignon et intelligent et intéressant et j'ai hâte de l'entendre parler d'amour demain voilà
signé: la psychopathe qui envoie 50 audios à sa sœur pour lui donner le détail de ses trouvailles
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les-petites-meufs · 7 months
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Les Avantages des Relations avec des Femmes Cougars : L'Art de l'Amour et de l'Expérience
Rencontre cougar maintenant en cliquant ici
Les relations entre des femmes plus âgées, communément appelées « cougars », et des hommes plus jeunes ont suscité de l'intérêt ces dernières années. Bien que ces relations puissent parfois être entourées de préjugés, elles offrent de nombreux avantages pour les deux partenaires. Dans cet article, nous allons explorer les avantages que les hommes plus jeunes peuvent trouver dans les relations avec des femmes cougars, notamment l'expérience, la maturité émotionnelle, la connaissance de soi et une sexualité épanouie.
1. L'Expérience
L'une des principales raisons pour lesquelles les hommes plus jeunes sont attirés par les femmes cougars est l'expérience qu'elles apportent dans la relation. Ces femmes ont vécu plus longtemps, accumulant des expériences de vie variées, ce qui les rend souvent plus confiantes et plus à l'aise dans leur peau. Leur expérience peut se traduire dans tous les aspects de la relation, de la communication à la résolution des conflits, offrant ainsi un environnement enrichissant pour la croissance personnelle.
2. La Maturité Émotionnelle
Les femmes cougars ont généralement atteint un certain niveau de maturité émotionnelle. Elles sont moins susceptibles de jouer à des jeux ou de créer des drames inutiles dans la relation. Leur capacité à gérer les émotions et à communiquer ouvertement peut créer une atmosphère de confiance et de stabilité qui profite à la fois à elles-mêmes et à leurs partenaires plus jeunes.
3. La Connaissance de Soi
Avec l'âge vient souvent une meilleure connaissance de soi. Les femmes cougars ont généralement une compréhension plus profonde de leurs désirs, de leurs besoins et de leurs limites. Cette clarté peut faciliter la communication au sein de la relation et aider à répondre aux attentes mutuelles. Les hommes plus jeunes peuvent également bénéficier de cette connaissance de soi en apprenant à mieux se comprendre grâce à leur partenaire.
4. Une Sexualité Épanouie
Les relations avec des femmes cougars sont souvent associées à une sexualité épanouie. Ces femmes sont généralement plus confiantes dans leur corps et leurs désirs, ce qui peut se traduire par une vie sexuelle plus satisfaisante pour les deux partenaires. Elles sont souvent prêtes à explorer de nouvelles expériences et à communiquer ouvertement sur leurs préférences, ce qui peut renforcer l'intimité et la passion dans la relation.
Conclusion
Les relations avec des femmes cougars apportent de nombreux avantages aux hommes plus jeunes. L'expérience, la maturité émotionnelle, la connaissance de soi et une sexualité épanouie sont autant de qualités qui enrichissent ces relations. Cependant, il est essentiel de se rappeler que chaque relation est unique, et ce sont les personnes impliquées qui déterminent le succès de celle-ci. Si vous êtes un homme plus jeune attiré par une femme cougar, ou si vous êtes une femme cougar à la recherche d'une connexion significative, ouvrez-vous à la possibilité d'une relation basée sur le respect mutuel, la communication honnête et la croissance personnelle. Après tout, l'amour n'a pas d'âge, et les relations épanouissantes peuvent être trouvées à tout moment de la vie.
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e642 · 10 months
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Je crois que c'est la pire année depuis quelques années. Elles me paraissent toujours plus terribles les unes que les autres mais certaines se démarquent. Je crois que c'est la plus pénible depuis mon passage en hôpital psychiatrique, il y a 4 ans déjà. C'est juste que les problèmes ont évolué avec la situation, l'âge et la nature de mon existence. Chaque échec est une leçon certes mais est-ce que j'avais besoin d'autant de leçons en un lapse de temps si restreint ? Après m'être remise de tellement de choses graves, j'ai l'impression que le reste s'enchaîne. Il n'y a pas de répit, pour personne, j'ai beau le savoir, ça n'enlève pas un gramme à mon angoisse. Pour le moment, je ne retiens rien d'autres que des problèmes de santés, des problèmes relationnels, un entourage bancal, un avenir flou, un taff de merde, une façon de conduire médiocre, de l'amour lésé. Je me sens exceptionnellement bonne à rien parce que ça fait longtemps que je n'ai pas réussi quelque chose qui fait du sens pour moi. Et pour tout avouer, je ne saurais pas dire à quand remonte une chose qui aurait fait du sens pour moi. Une chose que j'aurais vécu comme une réussite personnelle, qui m'aurait apporté et donné tort au désespoir larvant dans chaque centimètre carré de mon corps. Je crois que je suis prostrée, je ne sais pas par quoi mais j'ai la sensation d'avoir un train de retard, un jet lag émotionnel, du mal à comprendre les enjeux, à éprouver à temps, à faire correctement. Je suis seulement fatiguée. Emprisonnée dans ma tête qui tantôt bourdonne de trop, et tantôt se fait ressentir comme un lointain écho. Une vraie galerie des glasses mon esprit, tout se ressemble et je peine à trouver la sortie, je me prends juste les murs en espérant finir par les reconnaître et les éviter. Je sens que ça s'accumule au niveau de mes cordes vocales, et ironiquement, chaque fois que je suis contrariée et que je voudrais hurler, j'ai une extinction de voix. C'est un flot de haine qui ne profiterait à personne, qui stagne et rend putride et fade chacun de mes mots. Un vrai tourne disque qui passe exclusivement des vinyles rayés. Une page griffonnée à l'intérieur et immaculée à l'extérieur. Ce contraste me déroute. J'ai les paupières lourde d'un chagrin qui semble avoir fait son nid au creux de mes cils, rendant chaque clignement fastidieux et impossible.
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fuckyeah-jessicabiel · 11 months
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Jessica Biel pour Eclat Magazine, Canada - Printemps 2003
FRENCH
AUX COTES DE Jessica Biel
Ex-vedette de 7th Heaven, Jessica est comblée : études supérieures, carrière en pleine ascension et un petit ami qui la dorlote.
Origines: Jessica est née au Minnesota le 3 mars 1982 et a grandi au Colorado. Elle vient tout juste de quitter l'Université Tufts de Boston pour poursuivre ses études en Californie où elle a acheté un condo.
Surnoms: Jess ou Jessie. Personne dans mon entourage ne m'appelle Jessica. C'est trop long et trop formel
Révélation: Le rôle de Mary Camden dans 7th Heaven décroché en 1996. (Désormais hors de l'équipe régulière. elle y fait quelques apparitions en tant qu'invitée.)
Où l'a-t-on vue? En adolescente rebelle dans Ulee's gold; la conquête de Freddie Prinze Jr. dans L'Amour à coup sûr; en étudiante sexuellement aventureuse dans Les lois de l'attraction.
Bientôt à l'affiche: En octobre, dans une reprise du classique Massacre à la tronçonneuse (1975). « Je suis fana de films d'horreur. Ç'a été génial de travailler sur ce projet. Le rôle et le tournage ont été les plus exigeants de ma carrière.
La proposition rêvée : jouer dans une comédie musicale à Broadway, comme Rent. (L'année dernière, elle figurait dans une production universitaire de Tommy.) *La musique a toujours occupé une place énorme dans ma vie depuis mon enfance. C'est ma plus grande passion.
Études: Aller à l'université n'est pas une question de diplôme mais, avant tout, une expérience. J'y apprends des choses que je n'aurais pas pu apprendre autrement. Enrichir mon esprit me rend plus forte..
"Quand mes cheveux m'ennuient, je change de couleur. Mais, je les teins aussi suivant les rôles. Pour l'instant, ils sont brun foncé et, dans quelques jours, je passe au blond."
Une peau superbe en cadeau : À l'âge de 12 ans, j'ai reçu de ma mère, à Noël, un ensemble de soins pour la peau. Je me souviens avoir pensé : "Me voilà une femme maintenant!". Je ne pourrai jamais la remercier assez de m'avoir montré comment prendre soin de ma peau. Aujourd'hui, je suis une vraie maniaque: nettoyant, tonifiant, hydratant, plus une crème pour le contour des yeux. Et j'applique tou- jours-toujours - une crème solaire pour la journée. »
Confidences : Mon petit ami (Chris Evans, la vedette de Pas encore un film d'ados!) a horreur du rouge à lèvres, alors j'ai adopté le baume.
Plein d'énergie : « L'exercice est un excellent antistress. J'ai l'impression de pou- voir me débarrasser de tous mes tracas si je me dépense à fond. Je fais du ballet tous les soirs-c'est épatant pour renforcer et étirer les muscles. Le jour, je cours dans Santa Monica, je-vais au gymnase ou je fais une séance de yoga bikram; j'adore ça!»
"Si vous êtes aussi fervente de la coloration que moi, il est important de revitaliser vos cheveux en profondeur. Une fois par semaine, je me couvre la tête de revitalisant que je laisse agir sous un bonnet. Parfois, je me fais donner un traitement professionnel."
Sport à gogo : J'aime presque tous les sports. Si quelqu'un joue à quelque chose, je le rejoins. J'ai joué au soccer pendant toutes mes études; j'aimerais bien faire partie d'une ligue adulte. »
Musique : « Je connais un tas de musiciens avec qui j'aimerais former un groupe. Je me fous de faire un tube vendu à un million d'exemplaires. Je veux simplement jouer de la bonne musique qui fait du bien.
Linge fétiche: Les maillots de corps pour hommes, blancs et très grands. Ça va avec tout.
ENGLISH
By the side of Jessica Biel
Former star of 7th Heaven, Jessica is fulfilled: higher education, thriving career, and a doting boyfriend.
Origins: Jessica was born on March 3, 1982, in Minnesota and grew up in Colorado. She has just left Tufts University in Boston to pursue her studies in California, where she bought a condo.
Nicknames: Jess or Jessie. Nobody in my circle calls me Jessica. It's too long and too formal.
Breakthrough: Landing the role of Mary Camden in 7th Heaven in 1996. (No longer a regular cast member, she made guest appearances on the show.)
Where has she been seen? As a rebellious teenager in Ulee's Gold; Freddie Prinze Jr.'s love interest in Summer Catch; and a sexually adventurous student in The Rules of Attraction.
Upcoming projects: In October, she will star in a remake of the classic The Texas Chainsaw Massacre (1975). "I'm a horror movie fan. It was great to work on this project. The role and the filming were the most demanding of my career."
Dream proposal: To perform in a Broadway musical, like Rent. (Last year, she appeared in a university production of Tommy.) "Music has always played a huge role in my life since childhood. It's my greatest passion."
Education: Going to university is not just about getting a degree, but primarily an experience. I learn things there that I wouldn't have learned otherwise. Enriching my mind makes me stronger.
"When I get bored with my hair, I change its color. But I also dye it according to the roles I play. Right now, it's dark brown, and in a few days, I'll go blonde."
A beautiful skin gift: At the age of 12, my mother gave me a skincare set for Christmas. I remember thinking, "Now I'm a woman!" I can never thank her enough for showing me how to take care of my skin. Today, I'm a true fanatic: cleanser, toner, moisturizer, plus an eye cream. And I always, always apply sunscreen during the day."
Confession: My boyfriend (Chris Evans, the star of Not Another Teen Movie!) hates lipstick, so I've switched to using lip balm.
Full of energy: "Exercise is an excellent stress reliever. I feel like I can get rid of all my worries if I exert myself. I do ballet every night—it's great for strengthening and stretching muscles. During the day, I go running in Santa Monica, go to the gym, or have a Bikram yoga session; I love it!"
"If you're as passionate about hair coloring as I am, it's important to deeply revitalize your hair. Once a week, I cover my head with conditioner and let it work under a cap. Sometimes, I get a professional treatment."
Sports galore: I love almost all sports. If someone is playing something, I'll join in. I played soccer throughout my studies; I would love to be part of an adult league."
Music: "I know a bunch of musicians with whom I'd like to form a band. I don't care about creating a million-selling hit. I just want to play good music that feels good."
Favorite clothing: Men's white undershirts, oversized. They go with everything.
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desomoncousin · 4 months
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Jcmmenc 1 activité décritur d fanfictn médiéval, dis moi ske tu en pens? 🏰✒️
En ceste ère lointaine, où l'amitié chevauchait sur les collines de l'âge, deux âmes liées par le fil du temps furent mises à l'épreuve. En la nuit tumultueuse où le somnambule, aveugle aux méandres de son inconscience, métamorphosa la baignoire en lieu de méprise, l'aube apporta avec elle une lueur incertaine de rédemption.
Le pardon, en ces temps de chevalerie émotionnelle, n'était point tâche aisée. Toutefois, l'ami, doté d'une compassion profonde et d'un cœur généreux, choisit d'étendre sa main vers la compréhension. Les jours suivants furent empreints de silence, une tension palpable flottant tel un fantôme entre eux. Chacun, quêtant les mots justes, cherchait à réparer les fissures invisibles dans l'étoffe de leur amitié.
Un après-midi, la réconciliation se présenta sous la forme d'une conversation franche. Assis dans le hall paré d'étoffes richement tissées, l'ami offensé exprima ses sentiments sans fureur ni reproche. Les paroles furent choisies avec soin, comme un pont jeté par-dessus les eaux troublées de leur passé.
"Je ne puis renier la blessure en mon cœur," commença-t-il d'une voix douce. "Mais je sais que tout homme trébuche en des erreurs, et je ne veux point que cela anéantisse notre amitié."
Le somnambule, humble et contrit, écouta attentivement. Les excuses sincères furent échangées, les promesses de changement murmurées à l'orée du vent. Et, au milieu de la salle où la lueur du jour dansait, une étincelle nouvelle naquit.
Les regards se croisèrent, révélant une affection profonde qui transcendait les maladresses de la nuit passée. Un sentiment, jusque-là latent, émergea comme une rose s'épanouissant sous les rayons bienveillants du soleil.
Au fil du temps, la blessure de l'incident guérit, non seulement par le baume du pardon, mais aussi par la tendre affection qui s'était épanouie entre eux. Des rires retrouvés, des souvenirs partagés, et une compréhension plus profonde émergèrent des ombres du regret, tissant un fil invisible mais solide entre leurs cœurs.
C'était une leçon pour les deux amis : que l'amour, même né des cendres de l'erreur, peut fleurir et illuminer l'obscurité. Dans le doux éclat de cette réconciliation, ils savaient tous deux qu'ils étaient liés par quelque chose de plus fort que les épreuves de la nuit passée, un lien forgé dans le feu de l'amitié médiévale et embrasé par la romance naissante.
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quentinyhk · 7 months
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La nuit de décembre d'Alfred de Musset [XIXème siècle]
LE POÈTE
Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Son visage était triste et beau : À la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il vint lire. Il pencha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire.
Comme j'allais avoir quinze ans Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied d'un arbre vint s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. Il me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline.
À l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère. Au coin de mon feu vint s'asseoir Un étranger vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Il était morne et soucieux ; D'une main il montrait les cieux, Et de l'autre il tenait un glaive. De ma peine il semblait souffrir, Mais il ne poussa qu'un soupir, Et s'évanouit comme un rêve.
A l'âge où l'on est libertin, Pour boire un toast en un festin, Un jour je soulevais mon verre. En face de moi vint s'asseoir Un convive vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Il secouait sous son manteau Un haillon de pourpre en lambeau, Sur sa tête un myrte stérile. Son bras maigre cherchait le mien, Et mon verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile.
Un an après, il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Ses yeux étaient noyés de pleurs ; Comme les anges de douleurs, Il était couronné d'épine ; Son luth à terre était gisant, Sa pourpre de couleur de sang, Et son glaive dans sa poitrine.
Je m'en suis si bien souvenu, Que je l'ai toujours reconnu À tous les instants de ma vie. C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie.
Lorsque plus tard, las de souffrir, Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu m'exiler de France ; Lorsqu'impatient de marcher, J'ai voulu partir, et chercher Les vestiges d'une espérance ;
À Pise, au pied de l'Apennin ; À Cologne, en face du Rhin ; À Nice, au penchant des vallées ; À Florence, au fond des palais ; À Brigues, dans les vieux chalets ; Au sein des Alpes désolées ;
À Gênes, sous les citronniers ; À Vevey, sous les verts pommiers ; Au Havre, devant l'Atlantique ; À Venise, à l'affreux Lido, Où vient sur l'herbe d'un tombeau Mourir la pâle Adriatique ;
Partout où, sous ces vastes cieux, J'ai lassé mon coeur et mes yeux, Saignant d'une éternelle plaie ; Partout où le boiteux Ennui, Traînant ma fatigue après lui, M'a promené sur une claie ;
Partout où, sans cesse altéré De la soif d'un monde ignoré, J'ai suivi l'ombre de mes songes ; Partout où, sans avoir vécu, J'ai revu ce que j'avais vu, La face humaine et ses mensonges ;
Partout où, le long des chemins, J'ai posé mon front dans mes mains, Et sangloté comme une femme ; Partout où j'ai, comme un mouton, Qui laisse sa laine au buisson, Senti se dénuder mon âme ;
Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu mourir, Partout où j'ai touché la terre, Sur ma route est venu s'asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Qui donc es-tu, toi que dans cette vie Je vois toujours sur mon chemin ? Je ne puis croire, à ta mélancolie, Que tu sois mon mauvais Destin. Ton doux sourire a trop de patience, Tes larmes ont trop de pitié. En te voyant, j'aime la Providence. Ta douleur même est soeur de ma souffrance ; Elle ressemble à l'Amitié.
Qui donc es-tu ? - Tu n'es pas mon bon ange, Jamais tu ne viens m'avertir. Tu vois mes maux (c'est une chose étrange !) Et tu me regardes souffrir. Depuis vingt ans tu marches dans ma voie, Et je ne saurais t'appeler. Qui donc es-tu, si c'est Dieu qui t'envoie ? Tu me souris sans partager ma joie, Tu me plains sans me consoler !
Ce soir encor je t'ai vu m'apparaître. C'était par une triste nuit. L'aile des vents battait à ma fenêtre ; J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant ; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie Qui se déchirait lentement.
Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout ce passé me criait à l'oreille Ses éternels serments d'un jour. Je contemplais ces reliques sacrées, Qui me faisaient trembler la main : Larmes du coeur par le coeur dévorées, Et que les yeux qui les avaient pleurées Ne reconnaîtront plus demain !
J'enveloppais dans un morceau de bure Ces ruines des jours heureux. Je me disais qu'ici-bas ce qui dure, C'est une mèche de cheveux. Comme un plongeur dans une mer profonde, Je me perdais dans tant d'oubli. De tous côtés j'y retournais la sonde, Et je pleurais, seul, loin des yeux du monde, Mon pauvre amour enseveli.
J'allais poser le sceau de cire noire Sur ce fragile et cher trésor. J'allais le rendre, et, n'y pouvant pas croire, En pleurant j'en doutais encor. Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée, Malgré toi, tu t'en souviendras ! Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ? Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots, si tu n'aimais pas ?
Oui, tu languis, tu souffres, et tu pleures ; Mais ta chimère est entre nous. Eh bien ! adieu ! Vous compterez les heures Qui me sépareront de vous. Partez, partez, et dans ce coeur de glace Emportez l'orgueil satisfait. Je sens encor le mien jeune et vivace, Et bien des maux pourront y trouver place Sur le mal que vous m'avez fait.
Partez, partez ! la Nature immortelle N'a pas tout voulu vous donner. Ah ! pauvre enfant, qui voulez être belle, Et ne savez pas pardonner ! Allez, allez, suivez la destinée ; Qui vous perd n'a pas tout perdu. Jetez au vent notre amour consumée ; - Eternel Dieu ! toi que j'ai tant aimée, Si tu pars, pourquoi m'aimes-tu ?
Mais tout à coup j'ai vu dans la nuit sombre Une forme glisser sans bruit. Sur mon rideau j'ai vu passer une ombre ; Elle vient s'asseoir sur mon lit. Qui donc es-tu, morne et pâle visage, Sombre portrait vêtu de noir ? Que me veux-tu, triste oiseau de passage ? Est-ce un vain rêve ? est-ce ma propre image Que j'aperçois dans ce miroir ?
Qui donc es-tu, spectre de ma jeunesse, Pèlerin que rien n'a lassé ? Dis-moi pourquoi je te trouve sans cesse Assis dans l'ombre où j'ai passé. Qui donc es-tu, visiteur solitaire, Hôte assidu de mes douleurs ? Qu'as-tu donc fait pour me suivre sur terre ? Qui donc es-tu, qui donc es-tu, mon frère, Qui n'apparais qu'au jour des pleurs ?
LA VISION
- Ami, notre père est le tien. Je ne suis ni l'ange gardien, Ni le mauvais destin des hommes. Ceux que j'aime, je ne sais pas De quel côté s'en vont leurs pas Sur ce peu de fange où nous sommes.
Je ne suis ni dieu ni démon, Et tu m'as nommé par mon nom Quand tu m'as appelé ton frère ; Où tu vas, j'y serai toujours, Jusques au dernier de tes jours, Où j'irai m'asseoir sur ta pierre.
Le ciel m'a confié ton coeur. Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude. Je te suivrai sur le chemin ; Mais je ne puis toucher ta main, Ami, je suis la Solitude.
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[Illustration dessinée par le peintre Eugène Lami au XIXème siècle.]
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Le poème d'Eluard est le premier vers du 7ème poème du premier chapitre " Première " composant le recueil "L'amour la poésie ", le titre fut inspiré par sa fille de 10 ans. On sait que le couple Eluard-Gala connaît quelques tensions. À la première lecture si déroutant, l'image éluardienne a toujours sa raison d'être, sa logique interne. Le visage rond de Gala avec sa chevelure d'orange, ses yeux bleus peuvent être comparés à la terre, cette passion est désormais devenue douloureuse par le désamour de l'être aimé. Eluard respect la chronologie des débuts encore hésitants jusqu'à la séparation qui fait mal. Dans ce poème ce que fut l'âge de sa passion avec Gala lorsque chacun savait avec sincérité son amour. Pas besoin de romances, de chansons, pour affirmer son amour.
Le poète est suspendu à cette bouche qui garde ses secrets, les vêtements sont de circonstances, on est indulgent sur leur légèreté, leur transparence faisant croire que l'on est presque nue.
En conclusion :
La terre est bleue comme une orange, ou comme une chevelure d'orange, des yeux bleus vont donner à un visage l'apparence de félicité de notre globe terrestre et devenir l'un des vers les plus célèbres de la littérature. Avec des mots simples, des métaphores, des phrases un peu décalées, symboliques, Eluard dit tout son amour à celle cependant qui a décidé de le quitter.
Que son chant d'amour est beau.
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lavengeanceestfraiche · 8 months
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C'est vrai, t'es un mec en or, et toutes les filles te veulent
J'suis désolée mon cœur, mais tu n'es rien devant ma feuille
J'ai beau me dire que j'ai passé l'âge des passades
Qu'il faut que je me case, car une femme c'est stable, mais nan
Je fais semblant d'être belle, semblant de te plaire
Peut être que je recherche un père plutôt qu'un mec
J'en sais rien, mais ce que je sais, c'est que je vais tout foutre en l'air
Puis je chercherai de l'amour
Et ce jour-la, je regretterai sûrement cet homme que j'aurai délaissé pour toi
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jeanchrisosme · 6 months
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Quel âge ai-je ? Je ne sais pas et cela n'a pas d'importance. Je suis et serai toujours assez jeune pour oser tout reprendre, quand je me réveille sur une route qui ne mène nulle part. J'aurai toujours l'âge de tomber amoureuse, de rompre et de reprendre depuis le début. J'aurai toujours l'âge de vivre comme un enfant, de faire des erreurs, d'apprendre quelque chose de nouveau, de rêver, de souhaiter, de me divertir, de changer de direction, de prendre des décisions et de changer d'avis. Je ne serai jamais trop jeune pour avoir de vieux amis et jamais trop vieux pour avoir de jeunes amis. Et je vivrai toujours l'instant présent, comme si je mourais demain. Je ne remettrai pas à plus tard le bonheur et je ne remettrai pas à plus tard l'amour. Mon âge ? Il n'a aucune importance !
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(édit : jetez un oeil au Reblog de @thehappyegg je vous promets ça vaut le détour)
Kaamelott Prompt
Anna meurt en couche laissant Loth veuf en charge d'un jeune Gauvain.
Léodagan, désireux d'ouvrir une alliance avec ses voisins du Nord, décide de marier sa fille Guenièvre au roi Loth et d'unir leur nation pour bouter les romains hors de la Bretagne. La force de la coalition que forment les Pictes, la Carmélide et les Orcaniens est dévastatrice et il ne leur faut pas beaucoup d'effort pour vaincre l'envahisseur. 
Réticente à épouser un homme qui se rapproche de l'âge de son père, Guenièvre se promet de s'enfuir. Mais l'amour est une plante tenace qui peut naître d'entre les plus durs des rochers et guérir le plus triste des cœurs. 
Malgré tout, la pourriture qui habite l'âme de Loth et son penchant pour la traîtrise peuvent-ils vraiment disparaître ou au contraire la jeune reine va-t-elle être intoxiquée par le pouvoir et la corruption ? 
Les romains chassés et Excalibur toujours fermement ancré dans son roc sacré, il ne reste plus qu'une seule question à laquelle répondre : qui va prendre le trône et devenir roi de Bretagne ?
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