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#l'etranger de la plage
x0401x · 1 year
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ya-kiri · 1 year
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Just got done seeing Stranger by the Shore. It was really sweet.
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L'investissement immobilier à l'International - La Retraite à l'Etranger - Blog Sunfim - REPUBLIQUE DOMINICAINE – BAYAHIBE FOND DE COMMERCE RESTAURANT A REPRENDRE
Bienvenue à Bayahibe, une splendide station balnéaire en République Dominicaine dotée des plus belles plages du pays. 
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marylaiine · 3 months
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L'Etranger - Camus - 1942
Edition Nrf
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Combien d'éloges ont déjà été faites sur ce roman ? Pour une raison que je n'explique pas, ce classique était passé hors de mon radar. Enfin, pas totalement hors du radar, car je savais que je ne l'avais pas, et je ne l'avais sciemment pas lu. Par pur esprit de contradiction, je refuse de lire ou voir ce que tout le monde encense. C'est idiot. On crie au chef d'oeuvre sur l'Etranger de Camus durant mes études littéraires ? Et bien soit, quitte à manger du nihilisme, je vais lire "l'être et le Néant" de Sartre. Bien des années après, c'est sur le premier que j'ai envie d'écrire, là où le second ne me rappelle plus que des nuits entières de lecture laborieuse et souffreteuses.
"L'Étranger", donc, publié en 1942, est le premier roman majeur de Camus. Il appartient au courant littéraire de l'absurde et est souvent considéré comme un chef-d'œuvre de la littérature française du XXe siècle. L'histoire se déroule en Algérie française et suit la vie de Meursault, un homme apathique et détaché, confronté à des circonstances tragiques qui le conduisent à un acte irréversible. Meursault, est un employé de bureau, dont on ne sait globalement que cela, tant il semble indifférent aux choses, aux autres, et à ses propres émotions. Après avoir tué un homme arabe sur une plage (par erreur, "à cause de la chaleur et du soleil" plaidera t'il au procès), Meursault est jugé non seulement pour ce crime, mais aussi pour son attitude insensible envers la vie (dont l'illustration la plus fameuse est sans doute l'incipit "Aujourd'hui Maman est morte, ou peut-être hier je ne sais plus").
L'intrigue explore la philosophie de l'absurde à travers le personnage principal et atteint son point culminant lors du procès où Meursault est condamné à mort.
De nombreux thèmes sont abordés dans le roman, soulignés par l'apparence simplicité du style qui apparait dépouillé, minimaliste, marqué par l'utilisation de nombreuse répétitions de termes et la maitrise du symbolisme (le ciel, le soleil, la mer, la chaleur sont autant de termes accompagnant les phrases sur l'indifférence, l'infini, l'absurdité, l'aliénation).
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Le titre lui-même invite le lecture à s'interroger avant même d'avoir ouvert le roman, mais surtout une fois qu'il l'a refermé. Qui est l'étranger, et que signifie ce terme selon Camus ?
Un Etranger en Algérie : avant la lecture du roman, c'est le premier sens du mot qui vient à l'esprit. Meursault, le protagoniste, est un Européen en Algérie, ce qui en fait un étranger dans ce contexte colonial. Cette interprétation peut être liée aux thèmes de l'aliénation sociale et de la non-conformité aux normes sociales attendues, qui est en réalisé le thème central du roman.
Étrangeté Existentielle : Le titre peut être interprété comme reflétant une étrangeté plus profonde et existentielle. Meursault est étranger aux conventions sociales, mais il est également étranger aux questions existentielles plus larges sur le sens de la vie, de la mort et de l'existence humaine. Son apparente indifférence à ces questions existentielles peut être perçue comme une forme d'étrangeté philosophique. Il est étranger à lui-même, et il est également étrange, dans le sens plus trivial du bizarre.
Étrangeté de la Condition Humaine : Le titre peut également évoquer l'idée que tous les êtres humains sont, d'une manière ou d'une autre, étrangers à la condition humaine. Dans une perspective existentialiste, chaque individu est confronté à l'absurdité inhérente à l'existence et se sent souvent étranger ou déconnecté par rapport à un monde dépourvu de sens intrinsèque.
Étrangeté de la Perception : Le roman explore également la manière dont la perception de Meursault de la réalité diffère de celle des autres. Son regard détaché sur les événements, sa focalisation sur des détails triviaux plutôt que sur des moments socialement attendus, le rendent étranger à la perception conventionnelle de la réalité.
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la liberté, la prison, le temps et l'aliénation
« Ainsi, avec les heures de sommeil, les souvenirs, la lecture de mon fait divers et l’alternance de la lumière et de l’ombre, le temps a passé. J’avais bien lu qu’on finissait par perdre la notion du temps en prison. Mais cela n’avait pas beaucoup de sens pour moi. Je n’avais pas compris à quel point les jours pouvaient être à la fois longs et courts. Longs à vivre sans doute, mais tellement distendus qu’ils finissaient par déborder les uns sur les autres. Ils y perdaient leur nom. Les mots hier ou demain étaient les seuls qui gardaient un sens pour moi.
Lorsqu’un jour le gardien m’a dit que j’étais là depuis cinq mois, je l’ai cru, mais je ne l’ai pas compris. Pour moi, c’était sans cesse le même jour qui déferlait dans ma cellule et la même tâche que je poursuivais. Ce jour-là, après le départ du gardien, je me suis regardé dans ma gamelle de fer. Il m’a semblé que mon image restait sérieuse alors même que j’essayais de lui sourire. Je l’ai agitée devant moi. J’ai souri et elle a gardé le même air sévère et triste. Le jour finissait et c’était l’heure sans nom, où les bruits du soir montaient de tous les étages de la prison dans un cortège de silence. Je me suis approché de la lucarne et, dans la dernière lumière, j’ai contemplé une fois de plus mon image. Elle était toujours sérieuse, et quoi d’étonnant puisque, à ce moment, je l’étais aussi ? Mais en même temps, et pour la première fois depuis des mois, j’ai entendu distinctement le son de ma voix. Je l’ai reconnue pour celle qui résonnait déjà depuis de longs jours à mes oreilles et j’ai compris que pendant tout ce temps j’avais parlé seul. Je me suis souvenu alors de ce que disait l’infirmière à l’enterrement de maman. Non, il n’y avait pas d’issue et personne ne peut imaginer ce que sont les soirs dans les prisons. »
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l'indifférence, le détachement
chap III "Aujourd'hui, j'ai beaucoup travaillé au bureau. Le patron a été aimable. Il m'a demandé si je n'étais pas trop fatigué et il a voulu savoir aussi l'âge de maman. J'ai dit "une soixantaine d'année", pour ne pas me tromper et je ne sais pas pourquoi il a eu l'air d'être soulagé et de considérer que c'était une affaire terminée"
Excipit : "Si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre. Personne, personne n'avait le droit de pleurer sur elle. Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l'éprouver si pareil à moi, si fraternel, j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'il m'accueillent avec des cris de haine"
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itsnikkidraws · 3 years
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I’m back with more background study of Umibe no etranger...
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aleuay · 4 years
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"Shun, I like you"
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ouchleek · 3 years
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i’ve already locked onto you!
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nochoose-onlyall · 3 years
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Yo l'etranger de la plage is getting a fucKING ANIME
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x0401x · 1 year
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L'investissement immobilier à l'International - La Retraite à l'Etranger - Blog Sunfim - THAILANDE RÉSIDENCE ULUWATU À KOH PHANGAN - PLUSIEURS VILLAS EN VEFA A LA VENTE
La Thaïlande est réputée pour ses paysages idylliques, ses plages de sable fin et son mode de vie paisible.
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aleuay · 3 years
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the cutest detail in umibe no etranger is how each character has a different colored eye shine
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dnmadetaffaraeva · 3 years
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Cabane sur la plage, inspiré de L'Etranger, Albert Camus
"Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués." Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier." Albert Camus, L'étranger
Ce livre a été l'un des plus bouleversants que j'ai pu lire jusqu'ici. L'intérêt se repose principalement sur Meursault, le personnage narrateur, "l'étranger". Le questionnement constant autour de ce personnage fait à mes yeux la grandeur de ce livre. A chaque instant du livre, l'état d'esprit du narrateur, ses dialogues ou encore ses manières de penser, paraissent en décalage avec les normes sociales, ses actes ne sont pas ceux auxquels on s'attendait.
Cette citation, c'est la première phrase du livre, elle est déroutante, intrigante, celle-ci plonge immédiatement le lecteur dans le bain. La simplicité et la légèreté dans ces paroles font de ce livre une de mes principales références littéraires.
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Transi Sibérie-Primorie Ma foi, on aura "fait" ce gros bout de terre qu'est la Russie. Du moins on aura été en transit, on aura parcouru ces quelques kilometres, parfois en réalisant l'avancée du parcours par la fenêtre de notre wagon 3ème classe RJD, parfois pas.  La Siberie laissera clairement une envie de plus dans la bouche. Même si j'avais une idée du découpage administratif de la Russie , et donc du début pseudo officiel de la région "Siberie", ça a été assez délicat de déterminer précisément "l'entrée" qui sonne pour nous, européens éduqués à coup de petits bosquets et de plaines plutôt rikikies, comme quelque chose d'immense, hostile et indomptable, à défaut d'évoquer l'histoire des goulags. La sensation de grandeur démesurée de cette nature du Nord a fait son apparation, à mon sens, une fois passé Omsk (une ville située grosso modo 200km au Nord du milieu du Kazakhstan). Les énormes prairies entourées de bouleaux laissaient déjà deviner l'infini du territoire qui courrait jusqu'au Nord. Puis, aux "abords" (c'est à dire 1000km avant, à l'échelle russe) d'Irkustk, l'apparition des forêts de conifères et de timides reliefs ont amorcé la dimension hostile du grand Nord. Qu'est ce qui se cache derrière cette montagne touffue ? Tout en sachant que le même pattern de paysage doit se répéter presque à l'identique sur encore 500km, je ne pouvais pas m'empêcher une sorte de curiosité pour ce qui pouvait suivre, loin là bas.  Le Baikal marque une rupture dans tout ce jeu de non-délimitation du territoire. La grosse banane sur la carte, là, tu sais où ça commence et tu sais où ça s'arrête. Tu te sens donc une minimum rassuré : la rationalité d'un espace-objet délimité offre un temps de repis, un confort de compréhension. Mais c'est sans compter sur la variable de l'échelle qui, encore une fois, joue des tours. L'île sur laquelle il était prévu qu'on se rende, Olkhon, était pour moi à deux pas d'Irkustk, une petite enjambée de bus quoi. Eh bah non, diou ! 6h de bus qu'on te met dans la tronche pour t'y rendre, et tout ça pour aller juste au début du lac. L'imaginaire du lac, de l'étendue d'eau, pour ceux auxquels on se frotte en Europe, c'est celui de la paisible pêche ou de la balade du dimanche. Piéton ou voiture, peu importe, le lac, tu en fais le tour en un claquement de doigts plus ou moins grand. Ici, le bordel défie toute logique classique : la longueur de la banane équivaudrait à se faire le trajet Paris-Barcelone, la rapidité de l'autoroute en moins. En ayant recours à un petit calcul cartosexuel (ma nouvelle identité sexuelle, pour ceux qui n'étaient pas encore au parfum), faire le tour à pied équivaudrait à une marche de 7 mois. Ainsi, l'arrivée au Baikal laisse pressentir le retour de cette sensation de truc insaisissable.  Puis, hop, au détour d'une colline, en passant par un petit col en hauteur, tu aperçois un bout de bleu profond, bien pur et cristallin à la fois, comme il faut. A vrai dire, on est arrivé par la rive Ouest du lac, au sud de l'île, en fait une sorte de petit de detroit qui forme une mer. Aussi le Baikal apparaissait dans un aspect assez miniaturisé : petit village sur la côte, petites falaises sculptées par le vent de l'autre côté, sur l'île, et petites courbes dessinées par les plages qui descendent des steppes. C'est Olkhon, sur son versant Ouest. Je ne reviendrai pas trop sur la morphologie de l'île. Simplement sur l'étrangeté des steppes de la côte precitée. Celles ci laissaient une impression double très saisissante : au bord de l'eau, elles semblaient délicates, comme des prairies disposées ici et là pour le plaisir du marcheur (à savoir enfoncer les pieds dans un sol qui dit "crounch-crounch" et planter la tente oklm), alors que passé les premières collines, dans les terres, elles donnaient l'impression d'être paumé sur une plateau d'Asie centrale : immenses possibles étendues arides, sans vegetation, sans obstacles, donc liberté totale de mouvement comme angoisse de se perdre dans du rien. Les quelques chevaux sauvages aperçus étaient comme là pour confirmer l'hypothèse tronquée. Aussi, les steppes nous protégeaient de la forêt qui rôdait à l'Est. Au moins, on se disait que les ours ne seraient pas succeptibles de s'aventurer dans ces paysages sans bouffe : rassurant.  Le dernier soir sur l'île, on a finalement cédé pour le confort d'une guest house, parce que les muscles tiraient un chouilla et que le froid nous avait surpris. Étant resté sur ma fin vis à vis de mes fantasmes stéréotypés de cuiteàlarusse, je suis allé faire un tour au magasin du village et me suis topé une tite bouteille de Zilionaya Marka, charmante goutue vodka au cèdre qui désinfecte tout en douceur, puis suis allé picoler sur la plage, admirer un temps les montagnes sur la rive d'en face tout en me saoulant. Là le Baikal prenait encore une autre forme. C'était comme un jeu de lui attribuer une forme de personnalité. Comme un truc de funambule, à tanguer entre présence d'une entité propre, immense profonde et hostile, et une simple étendue d'eau placée là par le hasard des acrobaties des plaques tectoniques, y'à de ça belles lurettes. Il y avait quand même un brin de mystique. Je ne sais pas si c'est dû à la présence des bâtons chamaniques que l'on croisait de temps à autre perdus au milieu de nulle part, mais sans pour autant forcer l'impression, le bordel semblait doté d'un quelque chose. Le lac inspirait simultanément l'apaisement, l'hostilité la plus totale et l'irrésistible envie d'y aller. Je pense qu'au delà de tout délire ecolo, religieux ou capitaliste, c'est un peu le genre de sensation que doit inspirer la nature lorsqu'on la saisit dans une immensité aussi flagrante : la crainte et le désir, la peur comme l'envie de s'y perdre.  C'est sur ce même sentiment que la fin de notre séjour en Siberie s'est progressivement achevé : prolongement des forêts de conifères jusqu'à disparaître pour laisser place à des bosquets de bouleaux en cascade sur fond de froide rivière. Franchement si quelqu'un me degotte ne serait qu'un semblant d'itinéraire pédestre pour se rendre du Sud au Nord de la Siberie, vers l'Arctique, je lui lèche les orteils, promis.  Ainsi donc la Siberie semblait s'achever naturellement pour laisser la place au Far East District. Ici, c'était plus l'atmosphère des villes qui conotait vers le perdu et l'abandonné. Je pense que là bas, dans des villes comme Tchita ou Khabarovsk, des trucs comme "Moscou" ou la "Fédération", c'est juste des concepts lointains. Tout semble perdu et oublié. J'aurais vraiment aimé aller faire un tour dans ce coin là, histoire de voir si l'unité russe n'est qu'un rêve de façade, un vieux projet impérialiste du Kremlin ou une réalité. Petite parenthèse : l'équivalent russe du departement, c'est l'oblast, le kraï ou la république. Et sur cette fin de siberie, il y a un tout petit département qui s'appelle "Krai autonome juif". Un drôle de WTF administratif, je veux même pas d'explication, c'est juste trop improbable,ici quoi. Mais tout cela cesse quand on repique vers le Sud, vers Vladivostok. Une dizaine de degrés en plus au thermomètre, et voilà la végétation qui change : plus luxuriante, plus dense. Avec un côté plantes exotiques qui survivent quand même aux rudesses de l'hiver. Même si je ne kiffe pas tellement ce genre de paysages, que j'associe dans mon imaginaire à la Corée, c'est tout de même surprenant. Tout semble d'un coup moins perdu. Et c'est d'autant plus vrai une fois rendu à Vladivostok. C'est encore officiellement la Russie, mais tu sens que tu rentres dans une autre sphère d'influence. Et de fait, la ville entretient je pense bien plus de relations avec la Chine, la Corée et le Japon qu'avec la Russie européenne. En arrivant, Noé à l'impression d'être sur la côte Ouest des USA : c'est assez vrai. Gros traffic, gros axes routiers et ponts emmêlés, soleil et pub partout, buildings et montagnes à la californienne en arrière plan, la végétation en plus. Moi c'est peut être un peu plus le Japon, pour les caisses surtout. Tout le monde ou presque ici conduit une gova japonaise. Hors histoire de volant à droite (et donc mega dose d'accident je suppose), l'aspect des voitures donne vraiment un côté japonais, en tout cas un côté pas Russe. Les affiches à visée commerciale sont pour beaucoup traduites en chinois et coréen, et là population semble très brassée et variée sur le plan ethnique. Plus jeune egalement : Vladi abritte la FEFU (Far East Federal University), où de nombreux étudiants se rendent, de l'etranger, mais aussi de Siberie (notre wagon était essentiellement composé de jeunes d'Irkustk ou d'Ulan Udé qui rentraient pour la reprise des cours). C'est aussi malheureusement un shlaggy hub militaire. La Marine russe quoi. Alors certes l'uniforme de marin fait plus innocent et moins agressif, même c'est tout de même la merde sur ce point. Mais le summum pour moi c'est les gigantesques grues de fret pour les bateaux. En fait Vladi, c'est Saint Nazaire en plus actif, plus gros, plus fresher, plus industriel, plus gros 4x4 et make up bourgeois, et surtout plus n'importe quoi. Donc impression d'être à la maison tout en étant à l'autre bout du continent, ce qui fait tout de même bizarre.  Sur l'actu politique locale, on a pas spécialement glané beaucoup d'infos, si ce n'est que selon notre logeuse, "ici on aime pas trop faire des manifestations mais faut pas trop nous embêter". Traduit dans les faits, ça donne une acceptation passive des megalomanies autoritaires de Sir Poutine, mais aussi une manifestation-voiture monstre lorsque celui ci vient à Vladi et annonce l'interdiction prochaine de l'import de voitures japonaises (que tout le monde conduit). Si on était dans un film, on pourrait se dire que chouette c'est les irresistibles Vladi-Gaulois qui résistent à l'envahisseur moscovite, mais en vrai on se rend compte que comme d'habitude, ça pue et qu'il ne s'agit de la défense d'un petit confort de vie, et non d'une opposition frontale à la ligne politique du pays. Bref, politiquement, c'est toujours pas la grande folie, et le plus horrible c'est qu'on finirait presque par s'habituer, même si au fond on sait que c'est degeu.  M'enfin on va pas se laisser abattre pardis ! La prochaine fois je reviens et je choppe un visa 3 mois, ça jte ldis l'ami !
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