Tumgik
#ligne quatre
huseferorin · 2 years
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<br>https://huseferorin.tumblr.com/post/692792599155818496/chaffoteaux-et-maury-hyxia-2-mode-demploi, https://huseferorin.tumblr.com/post/692792599155818496/chaffoteaux-et-maury-hyxia-2-mode-demploi, https://huseferorin.tumblr.com/post/692792599155818496/chaffoteaux-et-maury-hyxia-2-mode-demploi, https://huseferorin.tumblr.com/post/692792599155818496/chaffoteaux-et-maury-hyxia-2-mode-demploi, https://huseferorin.tumblr.com/post/692792599155818496/chaffoteaux-et-maury-hyxia-2-mode-demploi.
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ravel-ing · 24 days
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hey, je suis curieuse, comment vous avez commencé le rpg, vos tout débuts ?
parce que perso, j'ai pris des grooos détours avant d'atterrir dans la sphère rpg de forumactif (sous hide parce que c'est long).
Est-ce que quelqu'un a déjà entendu parler d'Edenya ? Je crois que ça existe toujours, c'était du high fantasy rpg illustré mais la plateforme était complètement unique, et la façon de rp était incroyablement différente. Mon perso a chopé la PESTE ... deux fois ... J'avais 13 ans et j'y suis resté trois, quatre ans, et pourtant je me souviens même pas du nom de mon perso.
J'ai appris là-bas ce qu'était le ttrpg, mais étrangement très peu d'entre eux faisait du forum rpg, à part une, et c'est elle qui m'a emmenée sur ma deuxième aventure cheloue.
Techniquement, c'était sur forumactif. Techniquement, c'était ma première réelle expérience de forum rpg comme on le connaît. En réalité ? Rien à voir.
Pour commencer, j'étais la seule joueuse pour les trois premier mois avec elle en seule admin. Cette fois je me souviens un poil plus de mon perso, Alix, mécanicienne des vaisseaux spatiaux, tester la syfy oui oui. "C'est dans l'espace" c'est aussi tout le contexte que j'ai eu avant la question "Qui est ton perso ?" donc on testait mon improv du haut de mes 16 ans clairement.
Malgré la confusion constante dans laquelle j'étais, c'était une expérience cool parce que en gros, le principe était que mon admin postait un contexte (ex: Alix reçoit une lettre de convocation à tel poste), je postais en tant qu'Alix, et l'admin continuait en tant que GM de l'univers avec ce plot créé autour de mon perso qui s'adapte constamment à mes choix. En soi, c'était bien plus proche de jeux de rôle type DND. Finalement, d'autres joueurs nous ont rejoint et je suis partie discrètement après quelques mois.
A partir de là, j'ai découvert les vrais forums rpg, mais les illustrés en premier. ET G PRIS PEUR OK.
Tout le monde parle des vieux forums où on écrivait que deux ou trois lignes, j'ai jamais connu ça ! Jusqu'à maintenant, les rps que j'avais fait étaient de la même taille qu'on fait aujourd'hui. Mais quand j'ai exploré de loin, j'ai toujours trouvé que des forums où les gens écrivaient des ROMANS, et j'exagère pas, les rps étaient 3 pages word minimum à chaque fois. C'est la raison pourquoi j'ai mis tant de temps à rejoindre les forums, je croyais que tout le monde écrivait comme ça et que je n'avais pas le niveau.
Finalement, j'ai trouvé Bazzart, et après some lurking j'ai rejoint un des fo les plus populaires à l'époque en test, croyant sincèrement que j'allais paniquer et partir et que c'était mieux de se noyer dans la foule si ça arrivait. Heureusement, le forum a crashé avant moi, peut-être deux semaines après ma validation. Mon perso était si mauvais mais j'avais good taste parce que c'était avec le fc d'Alexis Bledel ok, et elle avait des yeux de deux différentes couleurs parce qu'elle était possédée par un esprit et omg le cringe.
Le prochain forum que j'ai choisi était aussi très populaire, mais celui-là était debout depuis quelques mois, et cette fois j'ai pris un scénario pour être sûre de m'intégrer et boom je suis restée trois ans et des poussières sur ce fo, même finie par être admin dessus. (ps edit: aussi le seul perso que j'ai tué en partant, et je regrette rien fyi, mais c'est une histoire pour plus tard)
Après ça, c'était smooth sailing from there.
Merci aux pauvres âmes qui ont lu jusqu'au bout.
Sincèrement, j'adore lire les histoires des gens et ça aurait pas été juste si j'avais pas donné ma version avant mais pls parlez moi vos débuts !
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ekman · 1 month
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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les-belles-mecaniques · 4 months
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Talbot-Lago T150-C SS Pourtout Coupe (1938 - 1939)
Seulement 16 voitures ont été fabriquées
Intégralement fabriquée à la main en aluminium
Il n’existe que quatre voitures aujourd’hui.
Moteur : 6 cylindres en ligne de 4 litres
Puissance : 160ch
Boîte de vitesses manuelle à quatre rapports
Vitesse max : 185 km/h
La dernière vente aux enchères d’une des 4 à été adjugée à 3 360 000€
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callitmagicrpg · 5 months
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✧✲✧ CALL IT MAGIC ✧✲✧ (city nyc, 2.0, version 10)
Il y a un quelque chose à New-York. C'est là, flottant dans les vents changeants, dans les premiers flocons de neige, dans les derniers rayons du soleil. C'est là, au creux des mélodies de Broadway et des conversations de Wall Street. C'est là, aussi, dans le bruissement des feuilles de Central Park, dans les décors de cinéma, les promenades le long de l'Hudson River. C'est partout, partout. Un grain de folie, un nouveau souffle, un soupçon de rêves que l'ont suit en dépit des travers. C'est là, dans la paume de la Statue de la Liberté, en haut de l'Empire State Building. Dans les couchers de soleil et les levers de lune. C'est là, ici, partout au coin de ces rues qui quadrillent la ville. Il y a un quelque chose, à New-York. Quelque chose de magique.
un rp tous les deux mois - pas de minimum de lignes - toutes formes de rp encouragées (à deux, trois, quatre, en solo, en os, en flashback/flashforward, rps libres, etc…) - des bonnes vibes et c'est tout ♡♡♡
http://callitmagic.forumactif.com
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fieriframes · 1 year
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[♪ Nothing grows right anymore. Scars on every stalk. Whose mouth should I use to talk?]
VI - Les Secrets de Dieu Caché dans la texture de la montagne, se trouvait un code QR. J'ai pris mon portable, zoomé et scanné le code. Ça n'a pas marché. J'ai réessayé. Pas cette fois non plus. La caméra l'ignorait simplement. Je n'ai pas compris. J'étais sûr que c'était un code QR, j'ai regardé ce motif un million de fois ces dernières années. Après un moment, j'ai remarqué quelque chose: le code manquait un détail important. En fait, trois détails importants. J'ai trouvé un éditeur de photos rudimentaire en ligne et ouvert la couverture de l'album. J'ai dessiné un carré en haut à gauche, en haut à droite et en bas à gauche du motif pour compléter le code QR. Avec mon souffle retenu, j'ai ouvert la caméra et essayé encore une autre fois. Quelque chose se passait. En dessous du code apparaissait une carré jaune avec le texte I Tego Arcana Dei et une flèche pour ouvrir le lien du site Web dans un navigateur. J'ai longtemps regardé ces mots et finalement décidé de cliquer sur le lien.
Devant moi se trouvait un site web dans une langue que je ne comprenais pas. Une langue pas familière, un peu comme les hiéroglyphes anciens. En fait, les lettres étaient vachement jolies, très fluides et artistiques. J'ai pris une photo pour envoyer à un de mes amis et j’ai commencé à enquêter sur le site web. Au-dessus de ce texte que je ne comprenais pas, il y avait une case. J'ai commencé à écrire dedans. Des cercles sont apparus. Un mot de passe. Un coup d’épée dans l'eau, mais j'ai essayé leonora. La case s’est mise à trembler, comme pour dire non. Leonora avec un L majuscule. Non. Arcana. Non. Tarot. Non. La même avec tous les noms des cartes de tarot. Je me suis endormie en tapant La Rêveuse et je me suis réveillé quelques heures plus tard pour cliquer sur Entrée. Juste pour faire trembler à nouveau la boîte.
J'ai même envisagé de rendre une autre visite à Amélia, la lectrice de cartes de tarot, pour obtenir des conseils sur la façon de procéder, mais j'ai décidé de ne pas le faire après m'être souvenu de la façon dont j'avais laissé les choses la dernière fois.
Les jours suivants, c’était un panel de différents mot de passe et j'ai essayé et réessayé, même mon propre nom, sans aucune chance. J'avais besoin de changer de tactique, donc, j'ai décidé de rechercher la phrase I Tego Arcana Dei. En latin, se traduit par "Partez ! Je détiens les secrets de Dieu." Comme si ce n'était pas assez menaçant, c'est aussi une anagramme pour Et In Arcadia Ego, une citation latine qui signifie "Moi, je suis aussi en Arcadie". On dit que le "moi" dans cette phrase est la mort. Même au paradis, nul n'échappe au destin des mortels. Cette phrase est souvent associée à un célèbre tableau de Nicolas Poussin portant le même titre, également connu sous le nom Les Bergers d'Arcadie. Dans ce tableau, on voit une scène pastorale avec des bergers idéalisés de l'antiquité classique. Quatre bergers étaient réunis autour d'un tombeau austère portant cette inscription. Le tableau est conservé au Louvre.
Naturellement, je suis allé au Louvre. Après 30 minutes à être perdu à l'intérieur de ce musée géant, je l'ai trouvé. Les Bergers d'Arcadie. C'était immense. Je me tenais face à face avec les bergers qui pointent la tombe avec l'inscription. J'ai remarqué l’environnement, le paysage pastoral et les mêmes montagnes que la couverture de l'album (selon toute vraisemblance une coïncidence). Trois bergers étaient clairement préoccupés par la tombe et son inscription Et In Arcadia Ego tandis que la bergère semblait être dans son propre monde. Profondément dans la pensée. A quoi pensait-elle ? Que savait-elle ? En regardant ce tableau en personne, j'ai ressenti quelque chose que je n'avais pas ressenti en regardant des photos en ligne. Familiarité. Les visages, l'endroit, tout semblait étrangement familier. Pourtant, j'étais presque certain de ne pas être tombé sur ce tableau auparavant.
Alors que je déroulais mes souvenirs, ma concentration a été perturbée par un ami qui m'a appelé. J'avais oublié que j'avais envoyé une photo du site avec les symboles étranges à mon ami Paddington qui s'intéressait aux langues anciennes et à toutes les choses cachées dans le passé. Paddington s'excusa d'avoir pris autant de temps, mais comme ce n'était pas une vraie langue, iel a dû se renseigner. J'ai demandé ce qu'iel voulait dire, et apparemment, c'était un alphabet qui n'avait jamais été déchiffré. Une langue utilisée uniquement dans un livre mystérieux du début du 15e siècle appelé le Manuscrit de Voynich. Comme la langue elle-même n'avait jamais été déchiffrée, l'auteur du site Web avait utilisé une cartographie visuelle du Voynich qui contient l'alphabet latin. Après avoir identifié cette cartographie, iel a pu traduire le petit texte.
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
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romainmeynier · 2 months
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À seize ans, j’empruntais chaque samedi le RER E jusqu’à Magenta, puis la ligne 5 jusqu’à Breguet-Sabin, où je tentais en skateboard de sauter par dessus quelques volées de marches, ce que nous évitions de faire dans notre banlieue pavillonnaire, à cause du bruit des roues sur le bitume qui gênait les voisins. Plus jeune, vers mes dix ans, ma mère m’apprit à déchiffrer la signalétique du métro parisien pour que, plus âgé, je puisse m’y guider seul. J’ai embrassé une fille sur un quai aux abords de Notre-Dame, puis une autre sur le quai d’en face, bien des années plus tard ; des deux se dégageait la même odeur corporelle légèrement âcre et traînante que je gardai ensuite dans le nez plusieurs heures. Paris ne me manque pas lorsque j’en suis loin, mais je n’ai jamais envie d’en partir. Le matin, dans la ligne 2 en direction de Porte-Dauphine, s’il y a de la place, on peut s’asseoir dans le sens de la marche pour ne pas se sentir nauséeux, ou dans le sens inverse pour admirer le soleil se lever entre Jaurès et Barbès-Rochechouart. Quand j’étais en colonie de vacances, je disais aux autres enfants : Je viens du quatre-vingt-treize, du neuf-trois, pour les effrayer, ce qui généralement n’avait aucun effet sur eux. Plus tard, pour séduire une fille, j’avais simplement dit : de Paris, sans résultat, avant d’apprendre qu’elle venait de Marseille. La nuit, fenêtre ouverte, j’entends des coups de feu qui ne sont que des pétards qui explosent ou des objets qui tombent. Le 13 novembre 2015, je sortai du restaurant cinq minutes avant l’attaque, non loin, puis j’ai regardé à l’abri le nombre des victimes augmenter sur un écran d’ordinateur ; je suis ressorti vers cinq heures du matin dans une ville morte ; le 15 novembre, j’ai reçu un SMS qui disait : Le père de B. est mort au Bataclan ; le lundi 16 novembre, dans le métro, une fille pleurait à chaudes larmes, sans discontinuer, je me souviens avoir pensé, sans trop y croire, mais pour me rassurer, qu’elle avait peut-être été licenciée, ou trompée ; je me souviens aussi d’une femme qui lisait, l’air de rien, ou se forçait à lire. Je n’ai pas pu lire dans les transports pendant environ un mois. Je suis habitué à trois librairies, dans mon arrondissement ; par loyauté, quand je me rends dans l’une, j’entre aussi dans les deux autres, si bien que mon budget librairie est bien trop important ; l’intérieur de mon appartement est saturé de livres. J’ai passé une dizaine de nuits dans différents hôtels avec une fille que je n’aimais pas et qui m’a demandé en fiançailles. Quand je regarde les traces de calcaire déposées sur les verres nettoyés à l’eau courante, je pense que ces mêmes traces doivent être présentes à l’intérieur de mon corps, sur mes organes, aussi je décide d’acheter des packs d’Evian, puis me ravise en repensant aux cinq étages de mon immeuble et à l’écologie. Dans la rue, je songe parfois au milieu de la foule que la vie de chaque passant est contenue dans leurs têtes, qu’ils avancent en superposant les images de la ville à celles de leurs existences, de leurs histoires, que Paris les contient toutes et que je n’en suis qu’un fragment.
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nereidestuff · 7 months
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☽ la isla blanca;; version quatre.
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hello, hello 💕 trois mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes petits coeurs de co-admins, nox, @jeudisgris & moi-même venons vous présenter sa quatrième version sous le signe d'halloween. 👻 au programme:: espace game; afflux en masse du tourisme qui ne cesse de ravager les ruelles de leur belle ibiza; et d'autres surprises encore. la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
un extrait du contexte; loin des néons nocturnes, viennent s'écraser les vagues contre le flanc des roches immaculées. pastichés sur les rochers, gamins des plages observent au loin le soleil se lever. ici, où la nuit est longue et intense, presqu'interminable, mômes guettent le jour, attendant à nouveau, de renaître, juste une dernière fois. autrefois, régnait la paix entre l'homme et la nature. l'île aux mille et une prairies denses de posidonies, les emportait dans de douces insomnies au rythme serein de la méditérannée. berceau hippie dans les années 60, venaient ici un peuple en quête de spiritualité, d'un nouveau monde. des années durant, s'installe une parfaite symbiose entre les nouveaux arrivants, et la population locale. (…) rage gangrène et gronde toujours plus fort dans les ruelles de l'ancienne ville. le taux de criminalité augmente, parmi ceux qui tentent de survivre. l'orage monte sur l'île d'ibiza, et au loin, on peut déjà l'entendre protester.
aucun minimum de ligne ne sera exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
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meriol-lehmann · 10 months
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FRICHES
Deuxième journée sur la friche aujourd'hui. Après les essais d'hier, c'était le temps de passer sérieusement à l'action. Sur le carré d'environ dix ares, dont on peut voir les contours tracés hier, j'ai réussi à faucher quatre ares. La température et l'humidité tropicales qui régnaient sur le Petit 9e Rang de Saint-Christophe-d'Arthabaska ne m'ont certainement pas rendu la tâche aisée. Néanmoins, après bien de la sueur et une dernière séquence de râtelage en fin d'après-midi, deux andains dessinent maintenant des lignes obliques, marquant telle une médaille les efforts de la journée. Ce soir, nulle trace de la biche et de ses deux faons qui m'ont observé hier depuis l'orée de la forêt au moment de mon départ. L'affaire semble entendue, il y aura un casse-pieds sur leur terrain de jeux pour les prochains jours, mieux vaut aller voir ailleurs si l'herbe y est plus verte.
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yaggy031910 · 11 months
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Aimée Davout in her delivery bed
While I love reading and translating Davout‘s letters, I am always glad to find one written by la Maréchale Davout herself. The following letter was written in early 1813. As background information, it’s important to know that he kind of begged Aimée to organise miniature paintings:
Le 17 janvier, tandis que le maréchal remercie tendrement sa femme « des excellentes bottes fourrées » qu'on lui a envoyées et s'écrie : « Que d'obligations n'ai-je pas à ta sollicitude pour ton Louis !», la maréchale, peut-être à la même heure, lui adressait, de son lit d'accouchée, les gracieuses lignes que voici : J‘ai éparpillé ce matin les matériaux du plus charmant tableau, du plus propre a te plaire pour m‘entretenir avec toi, excellent ami. J’avais tes quatre enfants sur mon lit: J‘ai rendu Jules à as nourrice, quoiqu‘il eùt ses grands yeux bleus tout grands ouverts; j‘ai fait dinner un petit morceau de pain d‘épice à Louis pour le consoler de son renvoi; Joséphine a pris sa poupée, Léonie son Berquin et ton Aimée sa plume. Aussitôt la date mise, on m‘a rapporté ta letter du 10; je reçois maintenant exactement de tes nouvelles. Suivent mille tendres détails sur le nécessaire composé par ses ordres de tous les objets habituels de la toilette du maréchal, et la maréchale termine ainsi cette causerie. Toute à toi, mon Louis, mon unique bien, car toi et nos enfants, ce n'est qu'un, jusqu'à mon dernier soupir. Aimée.
English translation On January 17, while the marshal thanked his wife tenderly for "the excellent furry boots" which had been sent to him and exclaimed: "What obligations do I not have to your solicitude for your Louis!" The Maréchale [Aimée], perhaps at the same time, addressed the following graceful lines to him from her delivery bed: This morning I scattered the materials for the most charming picture, the one most likely to please you, in order to talk to you, my excellent friend. I had your four children on my bed: I gave Jules [the newborn baby boy] back to his nurse, even though he had his big blue eyes wide open; I had Louis [the still living eldest son] eat a little piece of gingerbread to console him for his dismissal; Joséphine [eldest living child & daughter] took her doll, Léonie [second daughter] her Berquin [I think it’s a book] & your Aimée her feather. As soon as the date was set, they brought me your letter of the 10th; I receive your news right now. This was followed by a thousand tender details about the kit she had put together with all the usual items for the Marshal's grooming, and the Maréchale ended her chat with these words. All yours, my Louis, my unique possession, because you and our children are one, until my last breath. Aimée.
Gaaaaahwd, mhmm, yes, I look up to her. 🥰🌺🌷🕊️
It‘s so saddening to know that there aren‘t that many letters of her. Nevertheless, it‘s already a privilege to be able to read any letter at all. It‘s so nice to have her voice in history as well. One can feel how protective she was over her family.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 72
Super partouze de rentrée.
Dimanche
Lorsque je me réveille, il fait grand jour, il est 10h !
Je descend à la cuisine, je suis le seul réveillé avec Marc qui prend sa douche.
J'en profite pour nettoyer les cadavres de la veille et quand Marc me rejoint le séjour et la cuisine sont propre et le café passe. Je nous sers un Nespresso. Il me prend dans ses bras et me fait un gros câlin. Quand je lui en demande la raison, il me dit que c'est pour rien, gratuit.
Yes ! il m'aime !!
Je me serre encore plus fort contre lui.
Puis le charme est rompu par nos invités qui commencent à nous rejoindre. Les têtes sont amusantes, cheveux en pétard, quelques cernes, et yeux bouffis. Dans l'ensemble des têtes de lendemain de fête !
La matinée s'étire jusqu'à 14h et le petit déjeuner se transforme en brunch. Nous voyons enfin arriver Eric et Ric. Ces derniers ne viennent sûrement pas de se réveiller et je pense qu'ils ont déjà remis ça, tous les deux !
L'ambiance est cool, nonchalante, le calme après la tempête.
Les uns matent des dessins animés sur le grand écran du salon pendant que d'autres prennent les infos sur les TV de la cuisine ou du bureau de Marc. Vous aurez deviné qui regarde quoi ;-)
Dans le salon, les fauteuils et canapés et tapis sont occupés par des corps juste vêtus de slip ou de shorty, collés les uns aux autres, les uns sur les autres. Des têtes reposent sur des cuisses et des ventres.
Malgré l'intérêt pour les Chevaliers du Zodiaque et leurs plastiques irréprochables ou grâce à cela, les tissus se tendent sous la pression des bites excitées. Des têtes glissent des abdominaux vers les bas ventres. Des bouches lèchent, sucent, mouillent les tissus qui emprisonnent les glands. Et bientôt, dans tous le salon, s'organisent des 69 et des triangulaires où tous nous suçons et sommes sucés.
Nous sommes bientôt matés par les plus vieux. Après avoir admiré le spectacle, ils nous rejoignent bites au garde à vous. La séance de sucettes s'étire en longueur, les pipes sont calmes et sensuelles, lentes mais profondes quand même. Il y a juste une recherche de bien être, pas de performance.
Ric et Jean sont les premiers à se mettre à quatre pattes pour se faire mettre. De vrai chaudasses ces deux là !!
Ça ne manque pas d'attirer Eric et Igor qui une fois Kpoté enfoncent leurs queues au plus profond des deux culs offerts.
Aussitôt la touze passe à la vitesse supérieure. Tous ceux qui veulent une bite dans le cul prennent position en ligne aux cotés de Ric et Jean. Je prend en photo l'alignement d'enculés en train de se faire mettre par les enculeurs bien calés au fond de leurs trous les mains sur leurs hanches. N'ayant pas de place (8 enculés par 8 enculeurs), je passe de bouche en bouche me faire piper. C'est amusant de comparer les différentes manifestations de plaisir, pour les enculés, ça va de pas un bruit bouche ouverte à gémissement de salope et des " oui, plus fort ". les enculeurs sont plus discrets et de leur coté ce sont plus des ahanements que des vocables intelligibles. ;Les couples ne se défont pas et dans un bel ensemble, les culs font le plein. A ce moment là je suis sous Pierre en 69. Je sens Nicolas se vider dans son cul puis rapidement le sperme de Pierre me remplir la bouche. Je jute dans la sienne. Je garde les dernières giclées dans ma bouche et me retournant les partage avec le producteur dans une pelle vorace. J'y récupère un peu de mon sperme qu'il avait gentiment gardé pour faire de même.
Quand nous nous décollons, je m'aperçois que tous ont jutés et que les corps reposent les uns sur les autres en pleine récupération.
De façon désordonnée, nous allons tous passer un moment sous les douches. J'y suis parmi les premiers avec Pierre et Olivier (qui sont tellement collés que je me demande si ils vont réussir à laver toutes leurs faces) et Ric.
Je profite que nous ne soyons pas nombreux pour vérifier l'état de ma " bête de concours ". je lui mets un doigt dans le cul (facilement) et lui demande de serrer. Ça va, il me serre le doigts avec son anus au point que je ne peux le retirer. Il rit et me dit que tous les jours il se muscle l'anneau, maintenant sur un crayon de bois car c'est plus fin que les plugs. ;Je le félicite, il me dit que son père refuse que son cul se transforme en chatte baveuse malgré tout ce qu'on lui fait prendre dedans. Je le prend dans mes bras et on se fait un câlin, sa tête sur mon épaule.
Puis les uns après les autres ils se rhabillent et nous quittent. Je retiens un instant Igor et ses jumeaux pour leur demander quand est ce qu'ils peuvent revenir, ça faisait longtemps que l'on s'était vu et ce WE on à pas eu trop le temps de discuter. J'aimerai en savoir plus sur leurs vacances avec les surfeurs ! On se fixe rendez vous pour dans 15 jours.
Quand il ne reste plus que Ric, je m'équipe et je le ramène en moto. Heureusement que le trajet est court car la selle passager de mon monster est plutôt inconfortable pour de tels gabarits.
J'ai juste le temps de dire bonjour à son paternel que ce dernier en manque depuis deux jours et alors que nous sommes encore dans l'entrée, pousse son fils à genoux et lui plaque le visage contre son entrejambe. Deux secondes plus tard sa large teub est dans la bouche en train de grossir. J'entend Ric téter comme un malade. A ce stade, son père me demande comment c'est passé le WE. Je lui décris quelques unes des turpitudes de son fils notamment qu'il s'est fait emmancher grave par deux belle bites noires dont je donne les dimensions. La description de Jean Black le surprend, il ne pensait pas possible qu'il existe des engin d'une telle longueur. Je le lui confirme et Ric toujours la bouche pleine hoche la tête pour appuyer mon propos. Quand je lui dis que seul son fils est capable de la prendre complètement de tous coté, il caresse la tête qui le suce et je le sens fier de sa progéniture.
Spectateur, je commence à me sentir à l'étroit dans mon pantalon en cuir. Le vieux s'en aperçoit et me dit de sortir mon matériel. Je ne me le fais pas dire deux fois et baissant le zip sort l'ensemble bite et couilles avant de commencer à me branler. Il sort de la bouche de Ric et nous attirant dans le salon, ordonne à Ric de se mettre à poil. Ça me laisse le temps de poser le casque et de sortir de ma combi. Quand nous reprenons le jeu, il passe tout de suite au cul de son fils, me laissant sa bouche libre pour me faire sucer. Je n'ai pas besoin de bouger, chaque coup de rein paternel m'envoi Ric se planter a fond sur ma queue et mon gland jouer avec ses amygdales. Je tiens la tête de Ric entre mes mains pendant que son père à les siennes accrochées à ses hanches pour donner le rythme des va et vient. La vue des muscles tendus du dos de Ric faisant le pont entre son père et moi, l'excitation de voir la grosse bite de son père lui ramoner l'anus et la stimulation de sa langue sur mon gland et le reste de ma hampe ont raison de moi, j'ai juste le temps de me retirer et je jute abondamment sur son crane, et son dos laissant des traînées laiteuses jusqu'à ses fesses. Son père pour ne pas être en reste, décule et ajoute son jus au miens. Un flaque se forme dans le sillon creusé sur sa colonne vertébrale. Ric ne bouge pas avant que son père ai tout épongé. Il n'a pas jouit mais sa soirée ne fait que commencer et la bite non débandée de son père laisse imaginer la suite.
Je me rhabille et repart lesté de la " pension " du Week End.
Quand je retrouve Marc, la maison a retrouvé son état normal. Je finis la soirée dans ses bras. Il trouve mon idée de personnel " spécial " pour nous servir lors des touzes intéressante. Je lui dis aussi que coté matériel, il serait bon d'investir dans des machines a laver et sécher de grande capacité.
Il me dit qu'il va se mettre à chercher rapidement de tels serveurs afin qu'on puisse les tester avant la prochaine touze.
Miamm miammm.
JARDINIER
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aisakalegacy · 4 months
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Été 1915, Saillant d’Ypres, Belgique (8/14)
Il pleut, il pleut… et surtout, on s’ennuie beaucoup. Nous restons quatre jours dans la tranchée de première ligne à jouer quelques litres de vin aux cartes, puis nous sont relevés et nous allons quatre jours en repos à l’arrière-front où sont installés les cantonnements de repos et les réserves logistiques. C’est à peu près toute l’action qui nous occupe pour l’instant.
[Transcription] Odillon Werelle, au loin : Baillonnette au canon ! Jules LeBris : Aaaaah, mais vos gueules !!! Fermez tous vos gueules !! Bert Simmon : On n’entend plus la première section… Ça va être pour nous, Capitaine. Odin Delacroix : Avec Le Bris qui beugle, je n’arrive même plus à penser… Ses crises sont de pire en pire. Couchez-vous tous. On va attendre les ordres de l’état-major.
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iranondeaira · 7 months
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« Et de fait, rien ne rend peut-être plus palpable l’énorme régression dans laquelle est entrée l’humanité depuis la première guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et à leurs libertés. Avant 1914, la terre appartenait à tous ses habitants. Chacun allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il voulait. Il n’y avait pas de permissions, pas d’autorisations, et cela m’amuse toujours de voir l’étonnement des jeunes lorsque je leur raconte qu’avant 1914, je voyageais en Inde et en Amérique sans avoir de passeport et même n’en avais jamais vu aucun. On montait dans le train et on en descendait sans rien demander, sans qu’on vous demandât rien, on n’avait pas à remplir un seul de ces centaines de papiers qu’on réclame aujourd’hui. Il n’y avait ni permis, ni visas, ni tracasseries ; ces mêmes frontières qui, avec leurs douaniers, leur police, leurs postes de gendarmerie, sont aujourd’hui transformées en réseau de barbelés en raison de la méfiance pathologique de tous envers tous, n’étaient rien d’autre que des lignes symboliques qu’on traversait avec autant d’insouciance que le méridien de Greenwich. C’est seulement après la guerre que le monde se vit bouleversé par le national-socialisme, et le premier phénomène qu’engendra cette épidémie spirituelle de notre siècle fut la xénophobie : la haine ou du moins la peur de l’autre. On se défendait partout contre l’étranger, partout on l’excluait. Toutes les humiliations qu’autrefois on avait inventées exclusivement contre les criminels, on les infligeait maintenant à tous les voyageurs avant et pendant le voyage. Il fallait se faire photographier de droite et de gauche, de profil et de face, les cheveux coupés assez court pour que l’oreille fût visible, il fallait donner ses empreintes digitales, d’abord le pouce seul, puis les dix doigts, il fallait en plus présenter des certificats : de santé, de vaccination, de police, de bonne vie et mœurs, des recommandations, il fallait pouvoir présenter des invitations et des adresses de parents, il fallait fournir des garanties morales et financières, remplir des formulaires et les signer en trois, quatre exemplaires, et s’il manquait ne fût-ce qu’une feuille de ce tas de paperasses, on était perdu. »
- Stefan Zweig, Le monde d'hier, souvenir d'un européen
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downhill-rp · 3 months
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Vivre à Downhill
Petite ville américaine sans histoire de 35 000 habitants, Downhill ne fait pas vraiment parler d'elle en dehors de ses frontières. Tellement peu, à vrai dire, que beaucoup ignorent même son existence, tant il ne s'y passe rien d'intéressant.
Quelques détails 1 · À Downhill, tous les numéros de téléphone commencent par l'indicatif (745), au lieu de ceux qui sont généralement utilisés dans le reste de l'Indiana. Cet indicatif n'est utilisé nulle part ailleurs dans le reste du pays.
2 · En réglant sa radio sur la fréquence 28.9FM on peut y entendre être diffusé quasiment en continu la même chanson, I'm Waiting Just For You par Wanda Jackson, de 9 heures du matin à 9 heures du soir. Le reste du temps, on n'y entend que du bruit blanc, et, parfois, si on tend un peu l'oreille on peut entendre une voix mécanique répéter "Warwick. Gabriel. Kieran. Patrick." en boucle.
3 · S'il n'y a pas d'écrans plats à Downhill et que les gens préfèrent les télévisions à tube cathodique, ou même les téléphones à cadrans, ce n'est pas pour autant qu'on vit entièrement dans le passé. Internet est extrêmement rapide en ville et tout le monde utilise la fibre optique.
4 · Au sud de la ville, au-delà de Chester's Lake, une base aérienne abandonnée depuis plusieurs décennies a pris domicile dans les bois. Ses vieux hangars rouillés et ses bâtiments qui tombent en ruines ont tendance à attirer les squatteurs, les excentriques et les explorateurs urbains.
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🗺️ Localisation À Downhill, on aime plaisanter que toutes les routes mènent en ville. Et c'est vrai. Situé au nord de toutes les direction dans l'Indiana, si on ne la cherche pas, Downhill est très facile à trouver. Just 100 miles away.
🌡️ Climat Le climat en ville est dans la moyenne de l'état, en plein été il peut en général faire jusqu'à 29°C et jusqu'à -6°C en hiver. De temps en temps, il arrive que la météo se dérègle et qu'il se mette à neiger en été, ou qu'il fasse plus de trente degrés en hiver, mais qu'est-ce qu'on y peut, c'est la faute au réchauffement climatique.
🧑‍🤝‍🧑 Démographie Downhill est une ville très diverse, même si selon ses propres nombres, on y compte 28% de la population avec des origines afro-américaines ; 21% avec des origines asiatiques ; 18,9% avec des origines latino ; 6% avec des origines natives-américaines ; contre 60% avec des origines blanches.
🚖 Transports La ville possède une gare ferroviaire, la même depuis sa fondation, qui a toujours été en activité et est le principal moyen de transport utilisé par les habitants pour aller et venir de la ville à une autre. On y trouve aussi quatre lignes de bus, la ligne 1, la ligne 3, la ligne 4 et la ligne 5 qui desservent tout Downhill en continu jour et nuit, sauf le mercredi. Un projet d'aéroport est en discussion depuis 1941.
🎓 Éducation Si la ville ne possède pas sa propre université, on y trouve néanmois trois collèges, deux écoles maternelles, un lycée et un community college. 67% de la population a fait des études supérieures après le lycée, et 99% des élèves de Downhill mènent leurs études jusqu'au bout. (Le lycée de Downhill ne permet plus à ses élèves d'abandonner leurs études depuis 2001.)
👮 Criminalité Avec un taux de criminalité extrêmement bas, voire parfois inexistant, Downhill a de quoi se vanter ! Les habitants de Parker's Lane, en particulier, s'y sentent tellement en sécurité qu'ils n'ont même pas besoin de verrouiller leurs portes d'entrées. Sauf le mercredi, quand les chauffeurs de bus ne travaillent pas.
🏛️ Culture Juste en face de l'hôtel de ville, on peut trouver la seule bibliothèque publique de Downhill, elle y sert aussi à conserver les archives de la ville. En centre-ville, les curieux peuvent visiter le musée de la ville et son exposition quasi-permanente sur l'Egypte Ancienne. Et, finalement, on peut aussi trouver l'observatoire astronomique sur les collines de Cove Road.
🛎️ Services Downhill est l'une des rares villes américaines à encore pleinement employer un service de livraison quotidienne de lait à domicile. Tous les jours, de 4:00 à 6:00, en même temps que les éboueurs, les livreurs de lait parcourent la ville à bord de leurs camionnettes blanches et bleues, le pistolet à la ceinture.
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cepoilfaitdestrucs · 7 months
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✧✲✧ CALL IT MAGIC ✧✲✧ (city nyc, 1 an!!!)
Il y a un quelque chose à New-York. C'est là, flottant dans les vents changeants, dans les premiers flocons de neige, dans les derniers rayons du soleil. C'est là, au creux des mélodies de Broadway et des conversations de Wall Street. C'est là, aussi, dans le bruissement des feuilles de Central Park, dans les décors de cinéma, les promenades le long de l'Hudson River. C'est partout, partout. Un grain de folie, un nouveau souffle, un soupçon de rêves que l'ont suit en dépit des travers. C'est là, dans la paume de la Statue de la Liberté, en haut de l'Empire State Building. Dans les couchers de soleil et les levers de lune. C'est là, ici, partout au coin de ces rues qui quadrillent la ville. Il y a un quelque chose, à New-York. Quelque chose de magique.
un rp par mois - pas de minimum de lignes - toutes formes de rp encouragées (à deux, trois, quatre, en solo, en os, en flashback/flashforward, rps libres, etc...) - des bonnes vibes et c'est tout ♡♡♡
http://callitmagic.forumactif.com
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odnagnisul · 1 year
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100 livres à avoir lu dans sa vie (entre autres):
1984, George Orwell ✅
A la croisée des mondes, Philip Pullman
Agnès Grey, Agnès Bronte ✅
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ✅
Angélique marquise des anges, Anne Golon
Anna Karenine, Léon Tolstoï
A Rebours, Joris-Karl Huysmans
Au bonheur des dames, Émile Zola
Avec vue sur l'Arno, E.M Forster
Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell
Barry Lyndon, William Makepeace Thackeray
Belle du Seigneur, Albert Cohen
Blonde, Joyce Carol Oates
Bonjour tristesse, Françoise Sagan ✅
Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl ✅
Chéri, Colette
Crime et Châtiment, Féodor Dostoïevski
De grandes espérances, Charles Dickens
Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Des souris et des hommes, John Steinbeck ✅
Dix petits nègres, Agatha Christie ✅
Docteur Jekyll et Mister Hyde, Robert Louis Stevenson ✅
Don Quichotte, Miguel Cervantés
Dracula, Bram Stocker ✅
Du côté de chez Swann, Marcel Proust
Dune, Frank Herbert ✅
Fahrenheit 451, Ray Bradbury ✅
Fondation, Isaac Asimov
Frankenstein, Mary Shelley ✅
Gatsby le magnifique, Francis Scott Fitzgerald ✅
Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling
Home, Toni Morrison
Jane Eyre, Charlotte Bronte
Kafka sur le rivage, Haruki Murakami
L'adieu aux armes, Ernest Hemingway ✅
L'affaire Jane Eyre, Jasper Fforde
L'appel de la forêt, Jack London ✅
L'attrape-cœur, J. D. Salinger ✅
L'écume des jours, Boris Vian
L'étranger, Albert Camus ✅
L'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
La condition humaine, André Malraux
La dame aux camélias, Alexandre Dumas Fils
La dame en blanc, Wilkie Collins
La gloire de mon père, Marcel Pagnol
La ligne verte, Stephen King ✅
La nuit des temps, René Barjavel
La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette ✅
La Route, Cormac McCarthy ✅
Le chien des Baskerville, Arthur Conan Doyle
Le cœur cousu, Carole Martinez
Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas : tome 1 et 2
Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ✅
Le fantôme de l'opéra, Gaston Leroux
Le lièvre de Vaatanen, Arto Paasilinna
Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Le nom de la rose, Umberto Eco
Le parfum, Patrick Süskind
Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde ✅
Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupery ✅
Le père Goriot, Honoré de Balzac ✅
Le prophète, Khalil Gibran ✅
Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel
Le rouge et le noir, Stendhal ✅
Le Seigneur des anneaux, J.R Tolkien ✅
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda ✅
Les Chroniques de Narnia, CS Lewis
Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë
Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos ✅
Les Malaussène, Daniel Pennac ✅
Les mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de
Beauvoir
Les mystères d'Udolfo, Ann Radcliff
Les piliers de la Terre, Ken Follett : tome 1
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May
Alcott
Les racines du ciel, Romain Gary
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig ✅
Madame Bovary, Gustave Flaubert ✅
Millenium, Larson Stieg ✅
Miss Charity, Marie-Aude Murail
Mrs Dalloway, Virginia Woolf
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee ✅
Nord et Sud, Elisabeth Gaskell
Orgueil et Préjugés, Jane Austen
Pastorale américaine, Philip Roth
Peter Pan, James Matthew Barrie
Pilgrim, Timothy Findley
Rebecca, Daphne Du Maurier
Robinson Crusoé, Daniel Defoe ✅
Rouge Brésil, Jean Christophe Ruffin
Sa majesté des mouches, William Goldwin ✅
Tess d'Uberville, Thomas Hardy
Tous les matins du monde, Pascal Quignard
Un roi sans divertissement, Jean Giono
Une prière pour Owen, John Irving
Une Vie, Guy de Maupassant
Vent d'est, vent d'ouest, Pearl Buck
Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline ✅
Total : 37/100
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