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#photo: françois flamand
dailywec · 7 days
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Nyck de Vries, Kamui Kobayashi & Mike Conway of Toyota Gazoo Racing during WEC's 2024 6H of Imola at Autodromo Internazionale Enzo e Dino Ferrari by François Flamand / DPPI / Michelin
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restaurantescapes · 3 years
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Shellona - St Barth
Feeling at the right place, at the right time  Join us every day for a mouthwatering drink or a relaxing lunch at Shellona - St Barth  #DrinkByTheSea Photo by @lorapayet —— Cuisine by Chef @yianniskioroglou @restaurantescapes #SaintBarthMagazine #RestaurantEscapes #SaintBarth #Caribbean
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reseau-actu · 5 years
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RÉCIT - Notre-Dame de Paris n’est pas qu’une cathédrale, vestige d’une époque où les hommes regardaient vers le ciel: c’est la maison commune, l’arche de notre histoire. C’est un pan inestimable de la France qui a été dévasté par les flammes.
Échouée au fil de l’eau, vers le milieu de la Seine, elle est «le vaisseau où nous pouvons embarquer et voguer hors du temps», disait François Mauriac. Elle étend sa majesté le long des voies sur berges et lance avec grâce les arcs sur son chevet. Vu du parvis, le bloc de calcaire blanc allie puissance et raffinement, force et légèreté. Les tours, bien qu’inégales (la droite est plus robuste que sa jumelle), croisent dans un parfait équilibre la grande galerie. Elles s’élèvent massivement dans le gris perlé du ciel de Paris.
Notre-Dame de Paris (*) n’est pas qu’une cathédrale, vestige d’une époque où les hommes regardaient vers le ciel: c’est la maison commune, l’arche de notre histoire. «Si tous les chemins mènent à Rome, tous partent de Notre-Dame de Paris», assure Mgr Patrick Jacquin, son énergique recteur. Et y reviennent. Vingt millions de badauds chaque année arpentent le parvis. Les promeneurs peuvent monter les marches de bois qui mènent sur un promontoire. Sur toute la largeur de la façade occidentale, les rois de l’Ancien Testament leur font face. Ils ont, dit-on, les traits des rois de France. Les Parisiens tentaient de reconnaître ici Charlemagne, là Pépin le Bref. Les historiens depuis des décennies s’interrogent sur le bien-fondé de cette croyance populaire. Les révolutionnaires, eux, ont tranché, au propre comme au figuré.
Un temple dédié au culte de la Raison
En 1793, il n’y a plus de cathédrale sur l’île de la Cité, mais un temple dédié au culte de la Raison. On peut y lire sur la façade: «Le peuple français reconnaît l’Être suprême et l’immortalité de l’âme.» On a supprimé les couronnes de la galerie des Rois. Ce n’est pas assez pour la Commune de Paris: elle exige que, sous «huit jours, les gothiques simulacres des rois de France» disparaissent. Ils sont méthodiquement détruits, décapités. Du 7 novembre 1792 au 15 août 1795, Notre-Dame est fermée. En 1796, sur le parvis, les pierres obstruent la voie publique, les immondices s’accumulent, l’endroit se transforme en latrines sauvages.
Le roi de France Louis IX (Saint Louis) apporte en procession a Notre Dame de Paris la relique de couronne d’epines de la Passion du Christ 19 aout 1239. - Crédits photo : Rue des Archives/Mary Evans/Rue des Archives
Dépouillée de ses statues, la nef est plus froide que le Panthéon, on stocke le vin dans les chapelles, les cloches se taisent. Madame se meurt. Elle qui, pendant plus de six siècles, a célébré les noces du trône et de l’autel, n’a plus ni trône ni autel.
Comme un bourdonnement entêtant après la fin de la volée, la plus belle des processions hante le vaisseau fantôme. Voici Louis IX, qui vénère, pieds nus et tunique blanche, les reliques de la Passion du Christ. Philippe le Bel a fière allure après sa victoire de Mons-en-Pévèle sur les Flamands, en 1304. Henri VI de Lancastre, l’enfant de 9 ans sacré roi de France, tremble d’être si frêle dans cette nef immense.
On songe en 1800 à y installer le Musée des monuments français
Voici la mère et le frère de Jeanne d’Arc qui assistent au procès en réhabilitation de l’héroïne. Henri IV, sa grande carcasse courbée, lave les pieds de douze pauvres le jeudi saint. Bossuet monte en chaire pour l’oraison funèbre du Grand Condé. Louis XIV s’agenouille devant les bras ouverts de la Piéta de Coustou. Louis XV rend grâce d’avoir échappé à l’attentat de Damiens ; le chœur chante, en 1785, la naissance du duc de Normandie (le futur Louis XVII). La procession s’achève. Le 14 février 1790, on donne un Te Deum en l’honneur du serment constitutionnel. L’Église de France a juré: Madame est morte.
Dio vi salvi Regina… un général corse va lui rendre la vie. Nous sommes en 1802, le jour de la messe de Pâques. Bonaparte a signé le concordat avec le pape Pie VII. Voilà des jours que l’on s’affaire pour rendre à la cathédrale un peu de sa splendeur. Pendant le Directoire, catholiques constitutionnels et théophilanthropes se sont partagé les lieux. On a songé en 1800 à y installer le Musée des monuments français. Désormais, elle a un archevêque. Un vrai. Mgr de Belloy attend le premier consul. Le vieil homme en a vu d’autres. Il est né en 1709, sous Louis XIV! Et le 2 décembre 1804, deux ans plus tard, bon pied, bon œil, il accueille le futur empereur des Français. Cartons, tapisseries, tribunes superposées sur les nefs latérales, «N» impérial cerclé de lauriers: la cathédrale est rutilante… «Dieu ne s’y reconnaîtra plus», dira Julie Talma. Tout ce que la Révolution a compté d’athées, de régicides, d’enragés s’est empanaché pour l’occasion. Fouché est déguisé en duc (il le sera bientôt) et les frères Bonaparte entrent en propriétaires. «On avait ainsi obtenu une sorte de temple néogrec, avec quelque chose de romain, çà et là, qui parut splendide», écrit José Cabanis, dans son admirable Sacre de Napoléon. Il n’y a qu’un absent, note encore l’écrivain: «Ce Nazaréen crotté qui n’avait que faire dans les triomphes qui se préparaient.» Son vicaire, le pape Pie VII, tentera de faire bonne figure.
L’arrivée de Napoléon et de l’impératrice Joséphine à Notre-Dame-de-Paris pour leur cérémonie de couronnement, le 2 décembre 1904. - Crédits photo : Bridgeman Images/RDA/Bridgeman Images
Paul Claudel est touché par la grâce
Lors, selon les mots du cardinal Feltin, à Notre-Dame, «la France récite le rosaire perpétuel de ses joies, de ses deuils et de ses gloires». Le 17 juin 1816, le mariage du duc de Berry et de Caroline des Deux-Siciles donne lieu à une cérémonie éblouissante. Des pilastres en trompe-l’œil, que surplombent des angelots porteurs de bougies, couvrent les piliers. Des tribunes accrochées de tapis et d’étoffes scandent la nef tandis qu’un dais rouge et or est suspendu entre le pavement et la voûte. Quinze ans plus tard, en 1831, après une émeute, des pillards se rendent à Notre-Dame et dévalisent la sacristie et le trésor.
Frollo tombant de la cathedrale de Notre dame de Paris sous les yeux de Quasimodo, illustration pour le roman Notre Dame de Paris de Victor Hugo (1831), gravure. - Crédits photo : Rue des Archives/©Rue des Archives/Collection Gre
Avec la parution cette même année de Notre-Dame de Paris, la République des lettres s’empare du lieu. Victor Hugo marche en tête avec, derrière lui, Nerval, Flaubert, Verlaine, Huysmans (qui n’aime pas ces tours «accablées par le poids des péchés, retenues par le vice de la ville au sol»), plus tard Péguy. Près du second pilier, à l’entrée du chœur à côté de la sacristie, en ce jour de Noël 1886, Paul Claudel est touché par la grâce: il croit!
De Second empire en IIIe République, du Te Deum pour la victoire de Sébastopol aux funérailles nationales du président Sadi Carnot, «la vieille reine de nos cathédrales» (Hugo) apprend à vivre avec l’État moderne. Les secousses de l’histoire, cependant, n’épargnent pas ses archevêques. Le 25 juin 1848, Mgr Denys Affre grimpe sur la barricade du faubourg Saint-Antoine pour tenter d’apaiser les combattants. Le calme ne dure qu’un instant. Une balle siffle et le prélat s’effondre. Il meurt dans la nuit à l’hôpital. En 1871, son successeur, Mgr Darboy, emprisonné par des communards, est fusillé le 25 mai à la prison de la Roquette.
Viollet-le-Duc lui rend sa fierté
À la fin du XIXe siècle, Notre-Dame s’est retrouvée. Viollet-le-Duc lui a rendu sa fierté, dressant statues, chimères, gargouilles. Les façades dénudées par le temps et les hommes sont peuplées de figures de pierre. Dans la galerie des Rois, une statue a les traits du génial architecte. On le retrouve aussi sur le toit, qu’il a couvert d’une nappe de plomb. Au pied de la flèche qu’il a lancée, comme un jet, vers le ciel.
Le 17 novembre 1918, on célèbre dans la cathédrale le Te Deum de la victoire. Le 19 mai 1940, le gouvernement issu du Front populaire vient en délégation implorer Notre-Dame pour qu’elle soutienne nos armées dans la bataille: laïcité oblige! Le 26 août 1944, Leclerc, la 2e DB et le général de Gaulle y entendent le Magnificat royal: Paris est libéré!
Le trésor de la cathédrale conserve un fragment de la couronne d’épines du Christ. - Crédits photo : Philippe Wojazer/Reuters
Les églises se vident, mais Notre-Dame continue d’être le point vers lequel tous convergent. On y célèbre des messes de funérailles pour de Gaulle, Pompidou, Mitterrand. Au son du glas, les Parisiens viennent y prier pour les victimes du 11 septembre 2001, celles du tsunami de l’hiver 2004, celles encore des crimes de Mohamed Merah.
Aujourd’hui encore, sous la voûte, la petite histoire rejoint la grande. Barack Obama, lors d’une visite à Paris, en juin 2009, est venu, en famille, s’incliner devant le fragment de la couronne d’épines que conserve le trésor de la cathédrale. Le 2 mars 2010, jour de la visite du président russe Dmitri Medvedev, l’orgue a joué le même morceau que celui qui avait accueilli Nicolas II et le tsarévitch. À l’Élysée, Nicolas Sarkozy a dû patienter. Son homologue avait près d’une heure de retard. Il était en prière, agenouillé devant la pauvre couronne du Roi des rois.
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* «Notre-Dame de Paris, la grâce d’une cathédrale», Éditions Place des victoires, 512 pages, 85 €.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 16/04/2019. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
Vincent Tremolet de Villers Source: premium.lefigaro.fr
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unarbreenflandres · 6 years
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Noordpeene
Nous avons vu, dans le chapitre sur Zuytpeene (Sud de la Peene), que mes arrière-grands-parents VANBREMEERSCH ont quitté leur ferme de la section du Tom à Zuytpeene, entre 1913 et 1920, pour une autre ferme située route du Schaecken à Noordpeene (Nord de la Peene), qui se trouve à trois kilomètres à vol d’oiseau de la précédente.
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la famille Vanbremeersch-Wyart et ses six enfants vers 1910 (Merci à ma cousine Maryline GARS)
Les VANBREMEERSCH logeaient deux ouvriers agricoles dans leur ferme de Zuytpeene, cela m’a poussé à penser qu’ils ont repris une ferme avec des ouvriers à demeure. Une chose est sûre, leurs ouvriers agricoles ne les ont pas suivis à Noordpeene. Ils ont été mobilisés durant la Première Guerre Mondiale et à leur retour, je retrouve Etienne BOGAERT, né le 9 décembre 1890 à Hardifort, employé comme ouvrier d’atelier à Dunkerque, en 1920, d’après sa fiche matricule. Quant à Emile PRIEM, né le 29 avril 1879 à Sainte-Marie Cappel, sa fiche matricule m’indique qu’il demeurait à Sainte-Marie-Cappel en 1919 puis à Hondeghem en 1924 et enfin à Meteren en 1941.
Après une étude fine des familles de la dizaine de cultivateurs demeurant route du Schaecken, lors du recensement de 1906, j’ai essayé de trouver qui avait pu céder cette ferme reprise par mes arrière-grands-parents et pour quelle raison ?
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la ferme qu’ont reprise mes arrière-grands-parents à Noordpeene est entourée de rouge.
Avec l’aide de ma cousine Rita DEVULDER qui a presque toujours demeuré route du Schaeken dont le nom signifie échiquier, nous avons finalement retenu la ferme MARQUIS.
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Lors du recensement de 1906, Henri MARQUIS logeait deux ouvriers agricoles dans sa ferme. J’ai donc supposé qu’il s’agissait de la ferme la plus importante de la route du Schaeken et que cette ferme était vraisemblablement équivalente à celle qu’occupait notre arrière-grand-père Jérémie VANBREMEERSCH à Zuytpeene. Même s’il avait été obligé de quitter sa ferme du Castel Veld pour cause de non renouvellement de bail, il fallait absolument qu’il reprenne une ferme équivalente à ce qu’il avait ou un peu plus grande car il lui restait tout de même quatre enfants à charge, l’aînée Noémie s’étant mariée au début de l’année 1912.
Etudions d’un peu plus près la famille MARQUIS. Le couple MARQUIS s'est marié sur le tard, en 1887, Henri MARQUIS avait quarante-deux ans ans et Louise DECLERCK trente-quatre ans. Ils ont eu trois enfants à une année d’intervalle: Albert en 1888, Agnès en 1889 et Maria en 1890.
Tous trois vivaient encore lors du recensement de 1906 mais Agnès est décédée, peu après, le 18 mars 1906, à l’âge de seize ans, et cinq ans plus tard sa mère est morte à son tour, le 24 juillet 1911, toutes deux à Noordpeene.
Albert s'est empressé de se marier juste avant la guerre 14. Il a épousé Marie Alix BLONDÉ le 28 juillet 1914 à 6h30 du matin, malheureusement un mois plus tard, il était tué dans le département de l'Aisne à Le Hérie la Viéville. Sa veuve s'est remariée après la guerre avec un de ses cousins germains. Ils sont partis dans l'Avesnois vers 1940-1950.
Le père MARQUIS est décédé le 11 octobre 1926 à Arnèke mais je n'ai aucune information sur Maria.
Au moment du décès d’Albert, son père, Henri MARQUIS avait soixante-neuf ans. Je suppose qu’il continuait d’exploiter la ferme pour la céder à son fils mais que dès novembre 1914, il a rompu le bail de la ferme, la belle-fille est repartie vivre chez ses parents et Henri et sa fille Maria se sont retirés à Arnèke. Ainsi cette ferme se trouvait à reprendre.
Novembre 1914 pourrait être la date à laquelle mes arrière-grands-parents ont déménagé de Zuytpeene à Noordpeene.
Dans l’acte de décès d’Agnès MARQUIS, l’un des témoins est son père et il était accompagné d’un autre cultivateur de trente-six ans, Henri DELVAR qui est qualifié de voisin. Cela a conforté l’idée, chez Rita, que la ferme qu’a reprise Jérémie VANBREMEERSCH était bien la ferme MARQUIS car ces deux fermes sont distantes d’environ trois à quatre cents mètres.
Qui était le propriétaire de cette ferme reprise par mes arrière-grands-parents ? Le cadastre de 1913 devrait nous donner son nom mais pour l’instant je ne connais pas la réponse.
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de gauche à droite: Maria VANBREMEERSCH et sa soeur Marie-Louise, ma grand-mère (photo prise dans la ferme de Noordpeene en 1917)
Ma grand-mère, Marie-Louise VANBREMEERSCH a donc passé six ans à Noordpeene, de novembre 1914 jusqu’à son mariage avec Paul DEHAENE, célébré le 6 septembre 1920 à Noordpeene. Ce ne furent certainement pas les plus belles années de sa vie, sur fond de Première Guerre Mondiale, avec un frère prisonnier de guerre en Allemagne.
  A Noordpeene, j’ai également rencontré d’autres tranches de vies, assez brèves, de diverses familles au cours du dix-septième siècle. Les archives paroissiales ont été bien conservées, elles commencent en 1594, et on y trouve de jolis décors dessinés à la plume.
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Au début des années 1600, vivaient à Noordpeene, les familles DEVULDER, VANDIENSTE, CAILLIAU et GALLE qui font partie de mes ancêtres.
 Jean DEVULDER, né vers 1565 a épousé Marie DEZEURE le 22 novembre 1588 à Noordpeene. Ce sont des ancêtres de mon grand-père Cyr DEQUIDT. Ils ont eu plusieurs enfants dont Marguerite, baptisée le 16 mars 1603 à Noordpeene. Sa marraine l’a portée au-dessus des fonts baptismaux en pierre noire d’Ecaussines qui datent des années 1150. Au milieu de leur riche décor, elle a reconnu Adam et Eve dans une barque, saint Denis, le patron de la paroisse, qui, après avoir été décapité tient sa tête dans la main droite. Elle a également vu  des monstres à figures humaines, des dragons et une colombe qui prend son envol pour échapper au démon.
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Les fonts baptismaux de Noordpeene datant du XII ème siècle (source: Le Patrimoine des Communes du Nord- Flohic éditions)
Marguerite DEVULDER avait tout juste dix-neuf ans lorsqu’elle a épousé Jacques VANDENABEELE le 19 avril 1622 en l’église de Noordpeene. Les actes de mariage de cette époque sont très laconiques et ne nous donnent ni l’âge ni le lieu de naissance des époux mais je suppose que le jeune couple a quitté Noordpeene pour s’installer dans une paroisse voisine, sans doute à Rubrouck. Les parents de Marguerite ont encore vécu quelques petites années à Noordpeene où Marie DEZEURE est décédée le 9 mai 1627 et Jean DEVULDER le 21 janvier 1631.
 Jeanne VANDIENSTE était du même âge que Marguerite DEVULDER et elle était également une ancêtre de mon grand-père Cyr DEQUIDT. Elle était la fille de Barbesan VANDIENSTE qui est décédé le 29 juillet 1620 à Noordpeene et de Pétronille VANGREVELYNGHE. Nous l’avons déjà rencontrée à Zuytpeene où elle a fondé une famille avec Jean BAUDENS.
 Maurice CAILLIAU était légèrement plus jeune que Marguerite DEVULDER et Jeanne VANDIENSTE. Quand il s’est marié en 1633 à Ochtezeele avec une jeune fille de cette paroisse, Anne VANDAMME, il a quitté Noordpeene pour s’installer à Ochtezeele. Ma grand-mère Marie-Louise VANBREMEERSCH avait donc déjà des ancêtres à Noordpeene trois siècles avant que ses parents ne viennent y reprendre une ferme. Je sais simplement que le père de Maurice CAILLIAU portait les mêmes noms et prénoms que lui et que sa mère s’appelait Barbe KERFYSER. Ils sont tous deux décédés après 1623, car leur dernier enfant, François est né le 30 juillet 1623 à Noordpeene.
 Robert GALLE avait sensiblement le même âge que Maurice CAILLIAU. Il était bourgeois forain d’Ypres c’est-à-dire qu’il ne résidait pas au sein de la ville d’Ypres tout en ayant choisi d’être bourgeois de cette ville. En 1639, il a épousé une jeune fille de Lynde, Jacqueline VERHAEGHE,  avec laquelle il s’est installé à Noordpeene. Leur fille Marie GALLE a été baptisée le 4 juin 1648 par le curé Jean OBYN qui avait été nommé dans la paroisse l’année précédente. Marie a vécu à Noordpeene jusqu’à son mariage, en 1669, avec Nicolas DERAM qui était greffier et également bourgeois d’Ypres. Le couple est allé habiter à Lynde d’où était originaire Nicolas. Ce sont également des ancêtres de ma grand-mère Marie-Louise VANBREMEERSCH.
 Quelques décennies plus tard, Marie Jacqueline FIERS voit le jour à Noordpeene, vers 1675. Certains la disent née le 31 janvier 1675 mais je n’ai pas trouvé d’acte de baptême. Elle est une ancêtre de mon grand-père Paul DEHAENE.
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Deux ans plus tard, allait se dérouler la bataille du Val de Cassel encore appelée bataille de la Peene parce qu’elle s’est déroulée, au pied du Mont Cassel, à la confluence des deux rivières la Peene Becque et la Lyncke Becque. En 1677, la châtellenie de Cassel appartenait encore aux Pays-Bas du Sud qui faisaient partie du royaume d’Espagne.
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En 1668, Louis XIV, le roi de France avait déjà conquis les villes de Bergues, Furnes, Tournai et Lille ainsi que tous les villages alentours faisant partie de leurs châtellenies respectives par le traité d’Aix la Chapelle. Il lui manquait celles de Saint-Omer, Cassel et Ypres pour avoir une frontière linéaire et bien défendue vis-à-vis des Pays-Bas.
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L’invasion de la Flandre par les troupes françaises de Philippe d’ORLÉANS, frère du roi Louis XIV a commencé par Saint-Omer. Aussitôt Guillaume d’ORANGE, stathouder des Pays-Bas du Nord vient au secours des Flamands. Ses troupes stationnent sur les hauteurs du Tom, mont situé dans le village de Zuytpeene. Il décide d’envoyer douze mille de ses cavaliers dans la plaine pour décimer les troupes françaises sans se douter qu’au mois d’avril les rivières sont gonflées et qu’elles débordent. C’est ainsi que les samedi 10 et dimanche 11 avril 1677 (jour des Rameaux), les troupes hollandaises se sont embourbées au pied du mont Cassel. Il ne restait plus aux troupes françaises qu’à mettre à mort les cavaliers sur leur cheval enlisé. Ceux qui ont eu la vie sauve ont rapidement pris la fuite. Et c’est ainsi que Noordpeene et toute la châtellenie de Cassel sont devenues françaises.
 Mais que sont devenus les habitants de Noordpeene durant cet affrontement éclair ? Se sont-ils simplement réfugiés dans l’église en attendant des jours meilleurs  ou ont-ils eu le temps de trouver refuge ailleurs sachant que Saint-Omer était assiégée ?
Les actes paroissiaux ne nous donnent pas de réponse. En 1677, je ne trouve aucun baptême, mariage ou sépulture avant juin. Est-ce à dire qu’il n’y en a pas eu ? Ou les feuillets correspondants ont-ils été perdus ? C’est tout à fait possible car pour 1678, je ne trouve que deux baptêmes en avril. Ou les habitants ont-ils fui plus au nord et ne sont revenus à Noordpeene que deux mois après la bataille ?
 Marie Jacqueline FIERS aurait épousé vingt ans après cette bataille, soit en 1697, Adrien LEURS mais je n’ai pas trouvé l’acte de mariage en ligne (il y a une lacune entre 1694 et 1706). Ils ont vécu environ neuf ans à Buysscheure car leurs premiers enfants y sont nés puis ils sont revenus vivre à Noordpeene.
Marie Jacqueline FIERS est décédée à Noordpeene le 28 janvier 1747. Elle a été inhumée trois jours plus tard, elle a eu droit au premier service célébré par le curé de la paroisse, François Joseph DOUSINELLE mais son corps a été enterré au cimetière et non dans l’église. Elle était pourtant épouse de laboureur et l’édit d’interdiction d’inhumer dans l’église n’est paru qu’en 1776.
En consultant les actes de sépulture de la même année, j’ai trouvé des personnes ayant eu droit au deuxième service, voire au troisième service et même au service des pauvres. Les tarifs variaient selon ce que pouvaient payer les familles.
J’ai également trouvé un fils de laboureur qui, lui, a été enterré dans l’église, il s’agit de Xavier DUVET, décédé à dix-sept ans le 3 juin 1747. Un autre DUVET, Louis Alexandre a lui aussi été inhumé, le 6 octobre 1747, dans l’église, à gauche auprès de l’autel. Il était le fils de Joseph DUVET qui avait acheté la seigneurie de la Tour en 1736. Celui-ci deviendra le premier maire de Noordpeene en 1790.
Ainsi, on peut être seigneur sans être noble. Il suffit d’avoir de l’argent et d’acheter une seigneurie, c’est pourquoi Joseph DUVET a pu passer la Révolution sans encombre et être élu maire, à quatre-vingts-dix ans, de la toute jeune commune de Noordpeene.
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 L’église de Noordpeene reconstruite en 1897, seule la tour provient de l’ancienne église.
Suite à son décès le 27 juin 1751, Adrien LEURS a eu également droit au premier service célébré cette fois par le vicaire de la paroisse, Marc Louis STEVEN et il a rejoint son épouse au cimetière de Noordpeene.
Le curé en titre, François Joseph DOUSINELLE sera inquiété, quelques années plus tard, par sa hiérarchie pour ses prises de position un peu trop radicales. A l’occasion du Carême de l’année 1755 qui commençait le 12 février, mercredi des Cendres, le prêtre avait modifié la lettre de l’évêque qui donnait la conduite à tenir durant cette période. Le curé demanda à ses paroissiens de bannir totalement la consommation d’œufs et de viande durant le Carême. Il fut convoqué par l’évêque, à Ypres, mais une maladie sans doute bien venue l’empêcha de se déplacer. Finalement, en octobre 1755, il fut convoqué au séminaire de Saint-Omer. Cette absence ne dura pas très longtemps car dès le 12 novembre Maître DOUSINELLE célèbre un baptême dans sa paroisse. Par contre, il récidiva en 1757. Selon l’abbé DAMMAN, il protesta à nouveau contre la permission de manger de la viande durant le Carême et de plus il avait soutenu des théories erronées à propos du sacrement du mariage. Vers le 20 février 1757, deux prévôts sont venus s’emparer de lui. Cette absence dura beaucoup plus longtemps qu’en 1755 puisqu’on ne retrouve la signature du curé dans les registres que seulement le 8 décembre 1760 à l’occasion des funérailles d’un jeune garçon de onze ans.
 Avant de quitter Noordpeene, je ne peux pas passer sous silence le fameux Tisje-Tasje. Son arrière-grand-père Charles DEHAENE qui a vécu à Ochtezeele était aussi l’arrière-grand-père de Bertin DEHAENE, qui était l’arrière-grand-père de mon grand-père Paul DEHAENE. Mon ancêtre Bertin DEHAENE était donc un petit-cousin de Jean-Baptiste VANGREVELYNGHE alias Tisje-Tasje, le célèbre colporteur dont la tombe se trouve au cimetière de Noordpeene. A partir de l’âge de douze ans et durant six années, il fut domestique au couvent des Guillemites tout en recevant une solide instruction. Cela lui valut de rédiger le cahier de doléances des habitants de Noordpeene durant la Révoluion alors qu’il avait vingt-et-un ans. Il servait également d’écrivain public auprès de ceux qui ne savaient pas écrire. On le rencontrait dans toutes les fêtes où il racontait, en flamand, de savoureuses histoires.
A propos de la neuvaine d’Arnèke (voir chapitre sur Arnèke) , il disait:
- Les miracles de Saint Gohard? J’en ai connu beaucoup qui partaient droit et qui revenaient de travers!
Et pour cause, il les rencontrait dans les estaminets et cabarets de la Flandre. Tout le monde connaissait bien sa haute silhouette vêtue d’une blouse bleue, un mouchoir noué autour du cou, portant sur l’épaule, une gaule d’où pendait un assortiment de tasses à café ce qui lui valut le surnom de Tasje (tasse) venant s’ajouter au diminutif Tisje de son prénom (Jean-Baptiste).
  Sources :
 La bataille du Val de Cassel de 1677 : ses préludes et ses suites par P.J.E. de SMYTTERE
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6464322p/f11.item.r=habitants.zoom
  Annales du Comité Flamand de France tome 28 (1906-1907)
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5505391m/f599.image.r=noordpeene
 Annales du Comité Flamand de France tome 38 (1932)
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9754335c/f117.image.r=noordpeene
   Un grand merci à ma cousine Rita DEVULDER et à Jocelyne WILLENCOURT de la Maison de la Bataille à Noordpeene pour l’aide qu’elles m’ont fournie.
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jessica-cptne-blog · 6 years
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Fanzine : Exposition François 1er et les arts des Pays-Bas
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Je me rendais sur Paris en vue de voir une exposition, plus particulièrement la grande exposition Dior aux arts décoratifs qui nous a été imposé de voir. Malheureusement, comme je n'ai décidément pas de chance et que j'ai certainement quelque chose contre me renseigner avant de me rendre quelque part et que ma vie est rythmée par les improvisations... Nous étions lundi et le musée était fermé. N'appréciant absolument pas Paris, il était hors de question d'être venue pour repartir bredouille. La question se posait alors : où aller ? Le Louvre était l'endroit le plus proche et contenait nombres d'expositions. Le choix était vite fait. Surtout que je m'en voulais de n'avoir jamais visité ce musée et que je me répétais depuis un certain qu'il fallait que je m'y rende. Comble d'improvisation, je suis entrée dans une exposition complètement au hasard. Puis je me suis rendu compte qu'il s'agissait d'une exposition de François premier et les arts des Pays-Bas. Le titre ne m'inspirait rien, pourtant, outre les a priori, j'ai été agréablement surprise. Voire même très impressionnée.
Cette exposition regroupait quelques artistes flamands : des peintres, des sculpteurs, des tapissiers [...] de la renaissance, du maniérisme [...] ayant travaillé à la cour de François premier, aux 16e siècles.
J'avoue sans hésitation avoir préféré les grands tableaux en bois peints à l'huile ainsi que tous les croquis à trames bien que j'aimerais mettre un point d'honneur sur les tapisseries qui méritent leur petite place dans mon article. Je suis restée époustouflée devant ces immenses bouts de tissus travaillés. Leur complexité et leur taille sont impressionnantes. Je me rappelle m'être posée la question sur la façon de créer ces œuvres ; si leurs machines étaient immenses ou si les artistes travaillaient à plusieurs, chacun travaillant un bout. Après une petite recherche, j'ai cru comprendre qu'il s'agissait plus d'une broderie qu'une véritable tapisserie. Me voilà un peu déçu, moi qui m'extasiais sur la difficulté à manier les fils pour qu’ils donnent un dessin, créant le tissu en même temps que le dessin. Malgré tout, le principe des tapisseries m'a un peu amusé : on dirait les ancêtres des pixels, en plus délavés.
Ce que j'ai retenu à propos des peintures et croquis . En particulier, deux ou trois artistes ont le plus attiré mon attention, Jan de Beer, Maître d'Amiens et Grégoire Gérard ( le dernier un peu moins). Les visages peints avaient le don de me mettre mal à l'aise. Une grande majorité des visages était tournés vers le peintre. Quand on se trouve juste en face, on se sent comme cernés, observés, presque oppressés. En bref, mon œil fuyaient leurs yeux agressifs et se plaisaient bien mieux vers les arrières plans, les différents paysages, les murs, les colonnes ou les meubles. Plus pastels, en contraste avec les couleurs saturées et chatoyantes des différentes scènes, simplifiées ou au contraire très détaillés avec une véritable recherche de texture et de réalisme, je me suis retrouvée subjuguée devant les châteaux, les collines, les arbres, les lustres et les colonnes en marbre. J'avais soit l'impression de me retrouver devant un décor de bande dessinée soit une véritable photographie alors forcément, cela me parlait bien plus que les scènes religieuses qui se déroulaient devant. J'admire également la technique et la maîtrise des maîtres peintres qui rendaient une peinture extrêmement proche et lisse, sans aucune trace de peinture. Cela m'a presque donné envie de me mettre à la peinture et d'accomplir cet exploit... À part les paysages, une seconde chose possédait une partie de mon admiration : les vêtements ! Des drapés à foison paraissant parfaitement justes, des textures qu'on n'aurait pas crues possibles à la peinture ( bon, après ce sont les premières peintures que j'ai vues depuis longtemps, mais celles-ci me paraissaient particulièrement bien travaillées et surtout mises en avant. ) ! Le velours, les armures et la fourrure en particulier, ainsi que les détails de lumières donnaient le plus gros du charme de ces peintures selon mon point de vue.
Puis j'ai aperçu les nombreux croquis en trame. À l'encre noire, bleus ou Marron sur fond blanc ou encore des trames noires et blanches sur un fond gris bleuté, ses nombreux dessins, de plus en plus petits, allant jusqu'à moins de la moitié de la paume de la main, étaient hallucinants. « Il faut absolument que j'essaie ce genre de dessin dans le laboratoire portable. » Déclarâmes Lola et moi - oui car tout le long de l'exposition, nous ne pouvions nous empêcher de commenter chacune des œuvres ; je plains les visiteurs qui se sont retrouvés avec deux jeunes qui piaillaient toutes les deux minutes. Le fond gris avec les trames d'ombre et de lumière était le plus intéressant, selon moi. Ça donnait au dessin une allure neutre et presque en relief. Les traits n'étaient pas toujours clairs, paraissaient sur le point de disparaître, pourtant, malgré les détails de la création, tout était parfaitement clair.
En bref, cette exposition était une très agréable surprise et m'a fait connaître des artistes parfois trop méconnus qui pourtant méritent d'être mis en lumière comme cette fois au Louvre. Je la conseille fortement ! ( N’ayant pas de billet, j’ai mis une photo que j’ai prise d’un croquis que j’ai particulièrement apprécié en tant que “preuve”. )
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brunovandecasteele · 7 years
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Chaque année, la commune met à l’honneur les couples qui fêtent leurs 60 et 50 ans de mariage. Les jubilaires et leurs familles ont été accueillis le 24 septembre à la salle des fêtes de Hamme-Mille. Voici la photo souvenir de ces heureux couples :
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60 ans de mariage (noces de diamant)
Robert et Marguerite Wits-Hendrix
Roger et Léonie Stroobants-Scholtus
Etienne et Christiane De Wit-Guillaume
Jean et Marie-Louise Schayes-Degelle
50 ans de mariage (noces d’or)
Hubert et Libertad Hendrickx-Mier-Mier
Guy et Mireille Frix-Vandebroek
Guy et Odette Duquaine-François
Hubert et Raymonde Boulanger-Degrève
Pierre (Pierrot) et Marie-Thérèse Gilis-Hennebel
Joseph et Andrée (Dédée) Vanderhasselt-Kayaert
Pour chaque couple, le bourgmestre Marc Deconinck (remplaçant le président du CPAS Luc Gathy, souffrant) a fait une brève allocution présentant leurs rencontres et leurs différents parcours de vie en y ajoutant l’une ou l’autre petite anecdote et des cadeaux leur ont été distribués par les membres du conseil communale et du CPAS.
L’Ensemble Musical de Beauvechain qui animait cet après-midi joua La Brabançonne et certains morceaux leur rappelant leur jeunesse. Et enfin pour terminer cette belle cérémonie, la commune leur a offert  une petite réception et un moment de partage et de conversations, moment toujours fort apprécié.
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Je termine par une réflexion personnelle qui m’a frappé cette année. Je participe en tant que conseiller CPAS depuis plusieurs années à cet évènement et il y a quelques années, quasi tous les couples se sont rencontrés lors d’un bal ou une autre festivité locale ou dans un des villages avoisinants (y compris flamands). Cette année, il y a eu plusieurs couples qui se sont rencontrés dans le train ou le bus car ils allaient tous les deux travailler ! Un beau signe d’un monde qui commençait à changer dans les années soixante …
Encore une fois mes félicitations aux couples jubilaires !
Les noces d’or mise à l’honneur à Beauvechain Chaque année, la commune met à l’honneur les couples qui fêtent leurs 60 et 50 ans de mariage.
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dailywec · 2 months
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Cars on track during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Cars on track during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Tyre marks in the pitlane during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Jenson Button of Hertz Team Jota during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Callum Ilott of Hertz Team Jota during WEC's 2024 1812KM Qatar at Losail International Circuit (01.03.23) by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Robin Frijns of BMW Team WRT during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Jenson Button of Hertz Team Jota during WEC's 2024 1812KM Qatar at Losail International Circuit (01.03.23) by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Antonio Fuoco, Miguel Molina, Nicklas Nielsen, Alessandro Pier Guidi, James Calado & Antonio Giovinazzi of Ferrari AF Corse during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit (26.02.24) by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Frédéric Makowiecki of Porsche Penske Motorsport & Richard Lietz of Manthey EMA during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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dailywec · 2 months
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Kévin Estre of Porsche Penske Motorsport during WEC's 2024 Prologue in Qatar at Losail International Circuit by François Flamand / DPPI / Michelin
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