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#rené guay
ruemorinpointcom · 7 months
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Diocèse de Chicoutimi
Dépôt du rapport de l’An 1 de la mise en œuvre du Programme de mesures réparatrices Continue reading Untitled
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memoiredelozere · 5 years
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Les personnalités de Lozère : Jean-René Debarre, sculpteur(1907-1968)
Né à Paris le 23/10/1907, Jean-René2 était le fils d’Auguste-René  Debarre et d’Antoinette Garnerets. La famille3 habitait 26 bd de Lozère. Jean-René y a passé sa jeunesse avant d’aller, plus tard, installer son atelier rue Hallé à Paris, près de Denfert-Rochereau.
Les Debarre étaient très proches  de la famille Guay4, également Palaisiens.       La famille Guay-Halle se souvient qu’il a donné des  cours de dessin à plusieurs de ses membres.
Il était ami du peintre Foujita5
Il est décédé à Paris le 17 mai 1968 et enterré au cimetière de Palaiseau, dans le caveau familial.
Quelques jours auparavant il envoyait une carte à Marie Guay, pour ses 80 ans : il y  souhaitait être présent dans 20 ans pour la retrouver centenaire, lui en ayant alors 80.
Son œuvre :
Passionné par la sculpture, il a travaillé le bois, le métal et la pierre (spécialement les bas-reliefs). Il est très marqué par le style des années 1940 et après guerre.
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               Plafond du bâtiment Comoedia del Arte à Brest
En 1932 il est lauréat du prix et de la Bourse de la fondation américaine Blumenthal.
Comme son père Auguste-René,- qui lui était peintre - il a été professeur à l’école Boulle, où il a enseigné la sculpture.
Outre ses propres sculptures, Jean-René Debarre a participé au renouveau de divers métiers d’art :
- Porcelaines pour la Manufacture nationale de Sèvres :
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- Gravures et ornements décoratifs pour meubles, à la demande de maîtres ébénistes :
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guyboulianne · 2 years
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Je vous invite à revoir notre conférence vidéo avec nos 9 intervenants : Dr Julien Devilléger, Patrice Bouriche et Philippe Pfeiffer (France), ainsi que François-René Milot, Me Claude Laferrière, Stéphane Guay, Jean Tardy et Ken Pereira (Québec) : https://guyboulianne.com/2022/01/22/revoyez-la-mega-conference-video-avec-nos-9-intervenants-de-la-france-et-du-quebec-diffusee-une-premiere-fois-samedi-le-22-janvier-2022
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Verity Bargate
No, mamá, no
Estoy en un pueblo de campania en mitad de una tormenta. Una casa preciosa de madera oscura, paredes blancas, muebles antigüos, lavamanos de marmol, cocina de juguete, agujeros en la pared que son estanterias.... y ventanas que crepitan con el viento.
No he salido de la cama, leyendo mayormente sobre pensamiento simbólico, (el Diccionario de simbolos de Cirlot, simbolos fundamentales de la ciencia sagrada de René Guénon, la explosión de textos esotéricos sobre cábala, alquimia, y sociedades secretas como los rosacruces de Raimon Arola.....)
Así que tengo la cabeza como un bombo.
El viento continúa aullando, no me apetece ver una pelicula, quisiera empezar un libro, pero cual? La elección nos es fácil despues de las últimas lecturas.....
Lo intento con El Oasis de Mary McCarthy (una de las grandes influencias de la joven Gornick) pero no......
En twiter Layla Martinez propone una cita de  club de lectura (presencial en la libreria Maryread, y online en twitter. Encuentro el libro en la libreria génesis, es incluso más cortito de lo que pienso por los comentarios, cortito...... pero intenso.
No, mamá, no va de maternidades no deseadas, de traumas infantiles, de madres con problemas con sus madres, de relaciones tóxicas entre gente guay del soho londinense en los 70. Va de violaciones dentro del matrimonio, de sentirte atrapado y sin salida, de saber que no estas loca pero oye igual un psicologo haría mucho bien, va de psicologos macho, de chantajes emocionales, de venganzas y miserias, de viejas amigas, y de amigos que haces en la lavanderia, de las amistades que no tienes, de cuanto se puede estirar la cuerda hasta que se rompa, del autoengano, del género, el feminismo, y de como todo puede salir mal.
Todo concentrado en un libro brevisimo, con una escritura fresquita, liviana, fluida, rápida, como si fuera todo una conversación. Como si de verdad estuviera pasando fuera de la literatura.
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Junie Astor.
Filmografía
1933: Étienne, de Jean Tarride
1933: D'amour et d'eau fraîche, de Félix Gandera
1934: Adémaï aviateur, de Jean Tarride
1935: Stradivarius, de Geza Von Bolvary y Albert Valentin
1935: Train de plaisir, de Léo Joannon
1935: Tovaritch, de Jacques Deval, Jean Tarride, Germain Fried y Victor Trivas
1935: Joli monde, de René Le Hénaff
1936: Les Bas-fonds, de Jean Renoir
1936: Le Coupable, de Raymond Bernard
1936: Au service du tsar, de Pierre Billon
1936: La Bête aux sept manteaux, de Jean de Limur
1936: Club de femmes, de Jacques Deval
1936: La Garçonne, de Jean de Limur
1936: Toi, c'est moi, de René Guissart
1936: 27 rue de la Paix, de Richard Pottier
1937: Police mondaine, de Michel Bernheim y Christian Chamborant
1937: Passeurs d'hommes, de René Jayet
1937: Monsieur Breloque a disparu, de Robert Péguy
1938: Adrienne Lecouvreur, de Marcel L'Herbier
1938: Noix de coco, de Jean Boyer
1938: Petite peste, de Jean de Limur
1939: Deuxième bureau contre Kommandantur, de René Jayet y Robert Bibal
1939: Quartier Latin, de Pierre Colombier y Christian Chamborant
1939: Entente cordiale, de Marcel L'Herbier
1939: Il carnevale de Venezia, de Giuseppe Adami y Giacomo Gentilomo
1939: Un mari di guai, de Carlo Ludovico Bragaglia
1940: Battement de cœur, de Henri Decoin
1940: Tutto per la donna, de Mario Soldati
1941: Fromont jeune et Risler aîné, de Léon Mathot
1941: Patrouille blanche, de Christian Chamborant
1943: L'Éternel Retour, de Jean Delannoy
1945: L'Invité de la onzième heure, de Maurice Cloche
1946: Les Beaux Jours de roi Murat, de Théophile Pathé
1946: L'Homme de la nuit, de René Jayet
1946: Triple enquête, de Claude Orval
1947: Cargaison clandestine, de Alfred Rode
1947: La Dame d'onze heures, de Jean Devaivre
1948: Du Guesclin, de Bernard de Latour
1948: L'Échafaud peut attendre, de Albert Valentin
1948: Piège à homme, de Jean Loubignac
1949: Un certain monsieur, de Yves Ciampi
1949: La Souricière, de Henri Calef
1950: La Belle Image, de Claude Heymann
1950: Coupable ?, de Yvan Noé
1951: Boîte de nuit, de Alfred Rode
1954: Escalier de service, de Carlo Rim, en el sketch Les Béchard
1956: Les Truands, de Carlo Rim
1957: Les Violents, de Henri Calef.
1957: Isabelle a peur des hommes, de Jean Gourguet
1957: La Peau de l'ours, de Claude Boissol
1957: Mademoiselle Strip-tease, de Pierre Foucaud
1959: Business, de Maurice Boutel
1960: Interpol contre X, de Maurice Boutel
1961: Cadavres en vacances, de Jacqueline Audry
1961: Les Cinq Dernières Minutes, de Claude Loursais, episodio: Cherchez la femme
1965: L'Homme de l'Inperpool, de Maurice Boutel
1966: Joë Caligula, de José Bénazéraf.
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Junie_Astor
#HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
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mysticseasons · 7 years
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Over 500 hours showcasing our athletes and the world's best on Radio-Canada and RDS
October 31, 2017, Montreal
On Friday, February 9, the opening ceremony will be held for the OLYMPIC WINTER GAMES PYEONGCHANG 2018. Radio-Canada, Canada’s official broadcaster for PYEONGCHANG 2018 in partnership with RDS, the official specialty channel, invites French-speaking audiences to take a front-row seat to the performances of Canadian athletes and the world’s best, with over 500 hours (559 hours) of Olympic programming on ICI Radio-Canada Télé (344 hours) and RDS, RDS2 and RDS Info (215 hours), from February 9 to 25, 2018.
Some 3,000 athletes will be competing in 15 disciplines, including the 200-odd members of the Canadian team. Many of them are medal hopefuls, including Justine Dufour-Lapointe and Mikaël Kingsbury in freestyle skiing; Érik Guay in alpine skiing; Marianne St-Gelais and Charles Hamelin in short-track speed skating; Ivanie Blondin in speed skating; Tessa Virtue and Scott Moir in figure skating; Alex Harvey in cross-country skiing; Kailie Humphries in bobsledding; Mark McMorris and Sébastien Toutant in snowboarding; and, of course, our men’s and women’s hockey teams.
NOVEMBER 1, 2017: 100 DAYS to go TO PyeongChang 2018!
One hundred days before the Olympic Games begin, on Wednesday, November 1, the second hour of MÉDIUM LARGE on ICI RADIO-CANADA PREMIÈRE will be devoted to PyeongChang 2018. On ICI RDI,Marie-José Turcotte will host À 100 jours deS jeux olympiques de PyeongChang 2018, on Wednesday, November 1, at 8 p.m. During this special program, she’ll take the pulse of the Canadian team as its members gear up for these Olympic Winter Games. She’ll introduce us to Canada’s Olympic hopefuls and, together with our analysts, will examine their chances of stepping onto the podium. Executive Producer: Luc Lebel
20–22 HOURS A DAY ON ICI RADIO-CANADA TÉLÉ
ICI Radio-Canada Télé will be offering 20–22 hours of live and repeat programming every day, so audiences won’t miss any of our athletes’ performances and comments. On Friday, February 9, Marie-José Turcotte will give audiences a glimpse of what lies ahead, and will follow the opening ceremony with Patrice Roy (live broadcast from 5 to 8:30 a.m., repeat from 6:30 to 9:30 p.m.). She will also be on hand for the closing ceremony with Dominick Gauthier on Sunday, February 25(live from 6:30 to 9:30 a.m., repeat from 5:30 to 8 p.m.).
Every night, Marie-José Turcotte, covering her 15th Olympics, will host the coverage in prime time as the day of competitions gets underway for our athletes over in Pyeongchang. The figure skating,
snowboarding, freestyle skiing and alpine skiing events will be presented primarily in the evening. The evening coverage will also spotlight men’s and women’s hockey games and key competitions. The morning coverage, starting at 5 a.m. with host Guy D’Aoust, will feature short-track and long-track speed skating. The morning program will also include coverage of the bobsleigh, skeleton, luge, ski jumping, cross-country skiing, biathlon and curling events.
Programming will be offered in five time slots, with five anchors:
Marie-José Turcotte will present the competitions from 7 p.m. to 1 a.m. during the week, and from 6:30 p.m. to 1 a.m. on the weekend (from 8:30 or 9 a.m. to 3 p.m. in Pyeongchang). Diane Sauvé will present from 1 to 5 a.m. (from 3 to 7 p.m. in Pyeongchang). Guy D’Aoust will present from 5 to 10 a.m. (from 7 p.m. to midnight in Pyeongchang). Martin Labrosse will be on the air from 10 a.m. to noon with a roundup of the day’s performances in the company of athletes, analysts and personalities. Alexis de Lancer will bring viewers the day’s highlights from 12:30 to 4 p.m. during the week, andfrom 12:30 to 5 p.m. on the weekend (nighttime in Pyeongchang).
A seasoned team of commentators and analysts will follow each of the disciplines. In addition, two special analysts will be on location to comment on PyeongChang 2018 and all the competitions: Special analyst during Sochi 2014 and Rio 2016, Dominick Gauthier will be back to provide his insights on Team Canada’s daily performances, while Kansas City Chiefs football guard Laurent Duvernay-Tardif will have the opportunity to satisfy his curiosity and share his fascination with Olympians. He’ll speak to athletes and the people in their lives to gauge their state of mind in the hours leading up to and following a competition. In addition, Jean-René Dufort will be back at the Olympic Games with his special take on PyeongChang 2018 and life in Korea.
Executive Producer: Luc Lebel Chief Editor: Chantal Léveillé Producers: Catherine Dupont and François Messier
Finally, our correspondent Anyck Béraud and reporter Pascal Poinlane will provide daily news updates related to PyeongChang 2018.
ON RDS, RDS 2 AND RDS INFO
RDS, RDS2 and RDS Info will offer 215 hours’ live coverage of the Olympic Winter Games, depending on the schedule of the various events to be shown on all three channels.
Claude Mailhot, who covered his first Olympics Games at Montreal 1976 and has over 40 years of experience as a sports broadcaster, will be the main anchor on RDS each day during peak viewing hours.
RDS, RDS2 and RDS Info will present all the key moments from events such as speed skating, ski jumping, biathlon, cross-country skiing, hockey, curling and more.
The opening and closing ceremonies of the Olympic Winter Games PyeongChang 2018 will be broadcast on RDS.
ON RADIO-CANADA.CA AND MOBILE APPS
Radio-Canada.ca/jeuxolympiques is where Internet users can catch all the PyeongChang 2018 action. Not only will they be able to watch and listen to all our TV and radio programs; they’ll also have access to over 2,500 hours of competition live coverage. Fans can choose to watch among up to 7 events available at the same time, enjoying the Olympic Games experience to the fullest. They can also watch part or all of the ceremonies and competitions in catch-up mode, check the results and medal count, read the bios of Canadian and international athletes, and get reports and news on the Olympic Winter Games and South Korea. All content can be accessed via the mobile app,downloadable prior to PyeongChang 2018.
Fans can also download a virtual reality app to watch 360-degree videos of the ceremonies and certain competitions, as if they were there.
ON ICI RADIO-CANADA PREMIÈRE
Reporter Robert Frosi will be on location for the duration of PyeongChang 2018. Every day, he’ll discuss our athletes’ performances and share the latest Olympic news on GRAVEL LE MATIN and MÉDIUM LARGE radio shows. Reporter Maxime Coutié will also be on hand to contribute to radio newscasts.
Throughout the Olympic Winter Games, host Pierre Brassard will share his special take on the event with radio listeners and offer a different perspective on the Olympics in two programs from PyeongChang 2018, on Saturday, February 17 and 24, from 4 to 5 p.m.
Serge Bouchard and Jean-Philippe Pleau will explore the theme of competition and the issues it raises in two episodes of C’EST FOU, on Sunday, January 28 and February 4, from 7 to 8 p.m. Host Jacques Beauchamp will look at the Olympic Games and Korea from a historical perspective, as part of a special week of AUJOURD’HUI L’HISTOIRE, from Monday to Friday, February 5 to 9, from 8 to 8:30 p.m.
Every Monday on Radio-Canada.ca/premiereplus, Marie-José Turcotte and Robert Frosi will co-host a podcast to catch up with the friends and family of the athletes before they leave for their respective competitions at PyeongChang 2018.
ATHLETE PORTRAITS ON ICI RADIO-CANADA TÉLÉ
This four-part series will turn the spotlight on athletes likely to shine at PyeongChang 2018. The episodes will air on Saturday, from 12:30 to 1 p.m. on ICI Radio-Canada Télé, between January 13 and February 3, 2018:
Érik Guay, encore plus vite (January 13): Profile of the most decorated alpine skier in Canadian history. His tenacity, professionalism and need for speed made him the world’s best in 2016, at the age of 35.
Alex Harvey et cie (January 20): Alex Harvey was born with cross-country skis on his feet. Through talent and determination, he has risen up the ranks of his sport, garnering two world titles. But his Olympic story remains to be written. Fully aware of the reasons for his unsuccessful performance in Sochi 2014, he has found the support he needs to win a medal at PyeongChang 2018.
Le goût de l’or (January 27): After capturing gold in Vancouver, ice dancing duo Tessa Virtue and Scott Moir had to settle for silver at Sochi. After taking a two-year break, changing coaches and moving to Montreal, they’re ready to be crowned again.
Le trio (February 3): X-Games stars Mark McMorris, Sébastien Toutant and Max Parrot, who turned in stellar performances at Sochi 2014, will have two snowboarding challenges at PyeongChang 2018. How hungry are the three Canadian athletes for medals at these upcoming Olympic Winter Games? Researchers: Manon Gilbert, Olivier Pellerin Producers: Éric Santerre, Jérôme Voyer-Poirier, Vincent Tremblay
*A detailed program schedule will be available subsequently.
facebook.com/radiocanadasports @RC_sports instagram.com/rc_sports youtube.com/radiocanadasports
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sanremista-dal51 · 4 years
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Già, un Lorenzo c'è già. Già, un Lorenzo c'è già. Già, un Lorenzo c'è già. Allora che si fa? Di sicuro il posto non lo rubo io a Lorenzo, che da quando è nato dice quello che pensa. Però Io sarò reale. In America son tanti, ce ne sono all'infinito tanti rappers quanti santi. Quindi voglio rappare con voi senza problemi, dire quello che penso quello che voglio, dire che tutti mi seguon mi sembra non voglio perchè c'è qualcuno qualcuno che rappa, che scrive canta e dice tutto quello che pensa. Già, un Lorenzo c'è già. Già, un Lorenzo c'è già. Già, un Lorenzo c'è già. Allora che si fa? Oggigiorno guarda un po' non puoi fare un po' di rap che ti dicono di tutto questi qua proprio di tutto: "tu imiti Lorenzo, ma cosa mi fai? Continuando di questo passo tu ti metterai nei guai." E non mi importa voglio rappare con voi senza problemi, dire quello che penso quello che voglio, dire che tutti mi seguon mi sembra non voglio perchè c'è qualcuno qualcuno che rappa, che scrive canta e dice tutto quello che pensa. Già, un Lorenzo c'è già. Già, un Lorenzo c'è già. Già, un Lorenzo c'è già. Allora che si fa? Salto fuori proprio ora e non c'entro proprio niente deliziare chi mi ascolta e primare alla mia mente. Il mio nome è Flash per cultura generale e quel che vorrei vedere è difficile spiegare: colori intorno al mondo, gioia e sensazione, di vivere tranquillo come se fossi nel pancione, a chi non ha un tetto un tetto gli auguro, fratello ti amo io prego per te. La vita gira in fretta e pochi ce la fanno a uscire dignitosi dal mondo senz'affano; anch'io qui sto lottando tra mille vaffanculo di gente che il mio rap non l'accetta di sicuro, perchè c'è già qualcuno qualcuno che rappa, che scrive canta e dice tutto quello che pensa (perchè c'è già qualcuno qualcuno che rappa, che scrive canta e dice tutto quello che pensa). (testo completo nei commenti) (Alessandro De Francesca detto DJ Flash) #sanremo #sanremo46 #sanremo96 #sanremo1996 #festivaldisanremo #esclusa Brano: Un Lorenzo c'è già Immagine: Decalcomania - René Magritte - 1966 https://www.instagram.com/p/B_fh1vqFVGs/?igshid=1gx2e4bk33x5m
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gri-sa · 5 years
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Diseño y sentido
Desolación,
Pienso que es una buena palabra y de igual forma creo que cubre mis necesidades de dramatismo en el momento actual. Como siempre me decía mi mamá: “Eres bien teatrera”, en otras palabras dramática, pero que bien que las mamás casi siempre son buenas para decir las cosas, ¿no? Sí, de vez en cuando se siente bien indagar en lo “dramático” pero aunque no sea muy notable, mi gusto por ello era más por la exageración irreal tirándole a la comedia, porque en sí, nunca hacía las cosas cuando me ponía en modo DRAMA de forma seria, más porque no había internet y se tenían que encontrar formas de divertirse. Si mi hermano grande podía jugar aviones con sus propias manos, ¿por qué yo no con la actuación innecesaria? Aun así hay una expresión que dice que la vida es tu teatro entonces es muy apropiado. Como dijo Renée la clase pasada lo que vimos de chicos nos influenció de cierta forma. Pues yo crecí con Disney y no se si tu fuiste más chica Nikelodean o Cartoon Network pero en el canal de Disney la forma de actuar era mega exagerado y pues me daba risa entonces lo aplicaba de vez en cuando. #truestory Creo que esto es una gran explicación de la enigma no tan enigma que es mi persona: me gusta hacer/decir las cosas solo porque a mi me dan risa.
Anyways...
Regresando de este gran tangente, perdón, a la palabra: desolación. Según San Google, es ‘la sensación de hundimiento o vacío provocada por una angustia, dolor o tristeza grande’. Énfasis en vacío, me siento a la deriva, Gris, nadando en una nada mental en donde no se a dónde ir o qué hacer. Solo yo, ahí, en medio de la oscuridad entre tantas opciones. Creo que esto acompaña cualquier cambio grande en la vida y pienso que el transcurso de la mía me está llevando a uno. O sea, me ando estresando por cosas que aun no pasan. ¡Ya se! Es tonto, pero lo desconocido si da miedo. Saliendo de la prepa, sentí que todo era posible, me quería alejar de ese infierno pequeño, Cancún, spread my wings and fly away. Aquí me ves, casi cuatro años después, por salir de la Universidad, y no se que viene. La realidad se quiere enfrentar conmigo, me preguntó: “Ey, ¿quiéres pelear? A las 3 afuera de la Carpa” y yo así como guay de rito. Ahora esto es algo que he estado pensando desde el principio de este semestre y el catalizador fue hoy. Un paso, cada día más, hacia mi futuro. Mi novio, Lalo (ya lo conoces), se mudó de regreso a Cancún a trabajar en el estudio que inició con dos amigos. Se me hace muy chido que siempre supo lo que quiso hacer y que hasta ahora lo está logrando. Pero yo no, ¿Qué viene para mí? Hago las cosas no tanto por planear, más por reflexión y por tomar las cosas como vienen pero ante esto pues siento que se necesita algo de planeación. ¿Me regreso a Cancún? ¿Me quedo aquí? ¿Me voy a mi maestría? Y ¿Qué chingados quiero estudiar? Según yo, quería estudiar sustentabilidad en Japón pero cada día estoy menos segura. No quiero hacer las cosas por hacerlas. Lalo representa una futura posibilidad para mi pero siempre me imaginaba en todos los lugares excepto Cancún (bueno no todos, no me iría a Timbuktú). No sé, me da miedo cerrar la puerta a alguien que amo porque sé que ya no lo podré volver abrir después y pues como ya hemos hablado tendré que vivir con esa decisión. Esa decisión tendrá que ser pronto. Entonces, hoy me desperté con el pie derecho.
Digo el pie derecho porque soy zurda, born and raised. A mí tampoco me gusta esa frase, pero si ves, este concepto ya está integrado a la sociedad. Solo mira las imágenes del diablito y el angelito en los hombros susurrando el bien y el mal en las caricaturas. Adivina dónde está el diablito. No te preocupes, yo te digo, en el hombro izquierdo de la persona. En las culturas que comen con la mano, la derecha se usa especialmente para comer mientras que la izquierda se reserva para el baño. Hasta las bancas especiales de nuestro salón de Epistemología son anti zurdos. La señal de la cruz, ¡Dios mío!, es con la derecha. Desde chica comprendí esta disparidad contra mi mano principal pero me oponía a creer en él como algo incorrecto. Solo quedaba encontrar la forma de acomodarse en un mundo donde prevalecen los diestros, donde las tijeras no siempre te van a cortar y los verniers siempre se tendrán que voltear para ver la medida. Está chistoso porque son objetos sin gran incidencia para la mayoría de la población porque están “bien diseñados” pero esta no es la realidad para lo que resta de la minoría. Hasta los objetos más inconsecuentes son perfectos e imperfectos a la vez. Aún así espero que tu día haya terminado más positivo que como empezó. Aunque tampoco me gusta pensar que cualquier cosa buena tiene que ir acompañado por algo malo. Pero, de seguro el que lo inició solo quería sentir que algo bueno estaba por venir y esto le otorgaba cierta tranquilidad como a tí hace dos días.
A como lo entendí, ya que no pude ir a la clase del jueves por estar en San Luis, parece estar relacionado lo que les platicó Lorena con la lectura que leímos en clase y la forma en el que cognitivamente hacemos sentido de las cosas que nos rodean. Los objetos agarran significado por nosotros y por la forma en el que lo contextualizamos. Esto agrega significado y aumenta conforme más sentido emocional le das ya que se le otorga apego más allá que solo la funcionalidad. En sí, lo emocional es algo más interno mientras que lo funcional se queda en lo externo, alejado a nosotros, una herramienta más. Pero pienso que lo más interesante de esto es que la cosas, aunque basados en lo emocional, tienen que ver con nuestro interior y también reflejan nuestro exterior y se relacionan con lo exteriorizado por los demás. Si lo piensas es un ciclo interminable, un ouroboros en donde el inicio y el fin o en este contexto interior y exterior se conocen íntimamente sin que nosotros lo reconozcamos.
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De cierta forma solo andamos nadando en una alberca pública llena de emociones y necesidades envés de pis y sudor. How fun!
Puede que el secreto de un diseño perfecto después de todo este rato simplemente recaía en el diseño emocional, justo como lo habías dicho, Gris. Al crear una necesidad en el usuario, ya sea por estatus o significado, se crea también una verdadera conexión con el objeto. Pero pienso que también se nos está yendo un aspecto importante, es más complicado que solo la emoción ya que también se involucra la identidad. Cualquier objeto que nos haga pertenecer y al mismo tiempo diferenciarnos (para no quitarnos lo especial) parece ser, actualmente, más relevante que el objeto meramente emocional. Sí, el collar que heredaste de tu abuela es importante pero no tiene uso para mostrar quienes somos ante los demás, ante la sociedad. Es triste pero también hay que contabilizar esa superficialidad: vivimos para los demás, porque aparentemente nuestro valor en nuestra sociedad se determina por lo que los demás piensan o hablan de nosotros (si acaso eso llegan a hacer). Al final, buscar esta pertenencia también recae en las emociones porque identificarnos como queremos nos hace feliz o la falta de ello tristes y esto nos hace actuar. Somos seres emocionales pero lo que tenemos que buscar es qué es lo que nos hace más emocional y eso es la pertenencia, por lo menos con respecto a nuestro contexto actual.
Esta teoría de la perfección como algo holístico más que dual se me hace interesante y en la forma en la que te estás expresando también se podría ver como perfecto/imperfecto o feliz/triste. No solo podría ser lo feliz o lo triste sino ambos generan la misma idea. Como lo estás describiendo también entran a la idea de un ourobouros de un ciclo infinito. Puede que lo bueno siga lo malo para que siga lo bueno para que siga lo malo y eso es la perfección.
Justo hoy, mientras me arreglaba estaba pensando sobre la perfección y el hecho de que se puede encontrar en muchos ámbitos. Siempre me encuentro relacionándolo con cosas que escucho, leo, veo. En sí cualquier cosa que se pueda describir con las palabras: mejor, más, bien; estos se pueden relacionar automáticamente a la perfección. Es una constante búsqueda. Como sociedad, como humanos, buscamos lo mejor para nosotros. Ya sea porque esto nos hace sentir mejores, nos da cierto estatus o porque constantemente nos recuerdan que las cosas deben ser así aunque nuestra realidad sea otra. Pero, ¿sabes qué otra cosa también se encuentra en todos lados y se puede determinar como perfecto e imperfecto a la vez? Dios. Si lo vemos, la perfección es Dios. Más que ese señor con una buena barba sentado sobre una nube tan suave que te da ganas de comértelo, la perfección es algo abstracto, el todo y nada a la vez. Hasta si lo notas, la perfección tiene esa misma ambigüedad. ¿Existe o no? ¿Cómo existe? ¿Qué es? ¡No manches! Son las mismas preguntas que se hacen en la religión. Todo este tiempo concibiendo la perfección como algo más terrenal cuando también puede ir más allá. ¿Qué implica esto? Parece ser que el diseño se vuelve una herramienta para la espiritualidad. Pero no la espiritualidad como la conocemos, sino uno más volcado hacia nosotros. Ya que si nosotros tenemos la habilidad de contextualizar los objetos como perfecto entonces todos somos dioses. El diseñador es el puente para esta espiritualidad, el usuario el dios y la perfección el resultado así como el principio. La perfección se vuelve uno con Dios y con nosotros. Entonces, nosotros somos perfectos. Somos capaces de la perfección. LA PERFECCIÓN EXISTE. Puede que la palabra que estábamos buscando para que reemplace la perfección estaba bajo nuestras narices. ¿Crees que Dios puede ser esa? O ¿Solo se vuelve más ambiguo?
Espero tu respuesta con ansias.
Que diosito [la perfección] te cuide.
~Isa
Bibliografía 
(2018) Desolación. Google. Recuperado el 13 de Marzo del 2018 de: https://www.google.com/search?q=desolaci%C3%B3n&rlz=1C1CHZL_esMX682MX682&oq=desolaci%C3%B3n&aqs=chrome.0.69i59j69i60j0l4.1892j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
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nineteeneighty4 · 5 years
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Mi piaccion le sedie Munari
Mi piaccion le tette Manara
Mi piaccion le onde Hokusai
Ma tu negl'occhi hai solo guai
Sei bella, come René Magritte
Seduto in silenzio
A cambiare il mondo
Sei bella come Marina Abramović
Seduta in silenzio
A fottermi il mondo❣️❣️❣️🎶🎙️🎶🔊
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iannozzigiuseppe · 4 years
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Il bastardo. Capitolo tre
Il bastardo. Capitolo tre
Il bastardo
Iannozzi Giuseppe
Ogni riferimento a persone esistenti o a fatti realmente accaduti è puramente casuale.
Capitolo tre
Un topo si fa sotto i miei piedi. Squittisce. Dovrei farlo secco. Stranamente mi fa pena. E’ solo e non sembra se la passi tanto meglio di me. Lo lascio a sé stesso, libero di lasciare le sue tracce sulle macchie di sangue incrostato, che dipingono il pavimento di…
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bibliocsl-blog · 7 years
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Sur la scène (hiver 2017)
L’équipe de la bibliothèque vous propose une compilation des pièces présentées dans douze théâtres de la région montréalaise au cours de l’hiver 2017. Certains textes font partie de notre collection et peuvent être empruntés. Bon théâtre!
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Théâtre d’Aujourd’hui
Siri   [texte : Maxime Carbonneau et Laurence Dauphinais; mise en scène : Maxime Carbonneau]
J’accuse   [texte : Annick Lefebvre; mise en scène : Sylvain Bélanger]
Dehors   [texte : Gilles Poulin-Denis; mise en scène : Philippe Ducros]
Irène sur Mars   [texte : Jean-Philippe Lehoux; mise en scène : Michel-Maxime Legault]
Toccate et fugue   [texte : Étienne Lepage; mise en scène : Florent Siaud]
Nuits frauduleuses   [textes : Mathieu Arsenault et al.; mise en scène : Alix Dufresne]
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Théâtre Aux Écuries
Habiter Villeray   [coproduction : Théâtre Aux Écuries et Théâtre Les Porteuses d’Aromates]
La trilogie du futur   [L’assassinat du président / Épopée Nord / Clotaire Rapaille : l’opéra rock]
L’assassinat du président   [texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay; mise en scène : Olivier Morin]
Épopée Nord   [texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay; mise en scène : Olivier Morin]
Clotaire Rapaille : l’opéra rock   [texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay; mise en scène : Olivier Morin]
Non finito   [idéation et direction artistique : Anne-Marie Guilmaine et Claudine Robillard]
16e Festival du Jamais Lu
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Théâtre Denise-Pelletier
Being Philippe Gold   [création : Philippe Boutin]
Assoiffés   [texte : Wajdi Mouawad; mise en scène et collaboration au texte : Benoît Vermeulen]
L’enfance de l’art – Doigts d’auteur de Marc Favreau   [textes : Marc Favreau et autres auteurs invités; adaptation et mise en scène : Nicolas Gendron]
L’avare   [texte : Molière; mise en scène: Claude Poissant]
Le lac aux deux falaises   [texte : Gabriel Robichaud; mise en scène : Louis-Dominique Lavigne]
Antigone au printemps   [texte : Nathalie Boisvert; mise en scène : Frédéric Sasseville-Painchaud]
Les zurbains 2017   [texte : Kim Thúy et quatre auteurs adolescents; mise en scène : Monique Gosselin]
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Théâtre Espace Go
Manifeste de la jeune-fille   [texte et mise en scène : Olivier Choinière]
Le déclin de l’Empire américain   [d’après l’œuvre de Denys Archand; texte : Alain Farah et Patrice Dubois; mise en scène : Patrice Dubois]
Avant-garde   [texte : Marieluise Fleisser; mise en scène : Denis Marleau]
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Théâtre Espace La Risée
Dans un food court   [création inspirée de Chaque automne j’ai envie de mourir de Véronique Côté et Steve Gagnon; mise en scène : Marie Fannie Guay et Solo Fugère]
Welcome (mes amis les animaux)   [exposition : Émilie Sigouin]
Quand vient le soir   [lectures publiques : Dominic Laperrière-Marchessault et al.]
Peut contenir des traces d’égo   [texte et interprétation : Anne-Sophie Maguire Armand et al.]
Greta, gardienne de prison   [texte et interprétation : Rozane de Bruyn; mise en scène : Francine Côté et James Keylon]
La veillée d’Aubuchon   [présentation de Josiane Aubuchon et associés]
Récréation   [texte : David Bélanger et François Ruel-Côté; mise en scène : Cédrik Lapratte-Roy]
Les femmelettes, l’an 4   [direction artistique : Julie Dignard]
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Théâtre Espace Libre
Table rase   [texte : Catherine Chabot avec la collaboration de Brigitte Poupart et du Collectif Chiennes; mise en scène : Brigitte Poupart]
Ai-je du sang de dictateur?   [texte, interprétation et mise en scène : Didier Lucien]
Dans la tête de Proust   [texte et mise en scène : Sylvie Moreau]
No strings (attached)   [texte : Sunny Drake; mise en scène : Gein Wong]
Coin Fullum et Parthenais   [texte : Alexis Martin et Pierre Lefebvre; mise en scène : Daniel Brière]
La singularité est proche   [texte et mise en scène : Jean-Philippe Baril Guérard]
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Théâtre Jean-Duceppe
Les héros   [texte : Gérald Sibleyras; mise en scène : Monique Duceppe]
Ne m’oublie pas   [texte : Tom Holloway; mise en scène : Frédéric Dubois]
Harold et Maude   [texte : Colin Higgins; mise en scène : Hugo Bélanger]
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Théâtre de la Licorne
Une mort accidentelle   [texte : François Archambault; mise en scène : Maxime Denommée]
Yen   [texte : Anna Jordan; mise en scène : Jean-Simon Traversy]
Gamètes   [texte : Rébecca Déraspe; mise en scène : Sophie Cadieux]
Sylvie aime Maurice   [texte : Florence Longpré; mise en scène : Nicolas Michon]
Pour réussir un poulet   [texte et mise en scène : Fabien Cloutier]
Baby-sitter   [texte : Catherine Léger; mise en scène : Philippe Lambert]
Le nombril du monstre   [texte, mise en scène et interprétation : Félix Beaulieu-Duchesneau]
L’amour est un dumpling   [texte : Nathalie Doummar et al.; idée originale et mise en scène : Mathieu Quesnel]
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Théâtre du Nouveau Monde
La bonne âme du Se-Tchouan   [texte : Bertold Brecht; mise en scène: Lorraine Pintal]
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran    [texte : Éric-Emmanuel Schmitt; mise en scène : Anne Bourgeois]
Caligula   [texte: Albert Camus; mise en scène et dramaturgie: René Richard Cyr]
Le jeu de l’amour et du hasard    [texte : Marivaux; mise en scène : Alain Zouvi]
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Théâtre Prospero
Blink [texte : Phil Porter; mise en scène : Charles Dauphinais]
Act of God [texte et mise en scène : Marie-Josée Bastien et Michel Nadeau]
Don Juan revient de la guerre [texte : Ödön von Horváth; mise en scène : Florent Siaud]
La cloche de verre [texte : Sylvia Plath; mise en scène : Solène Paré]
Far away [texte : Caryl Churchill; mise en scène : Édith Patenaude]
Big shot [texte : Jon Lachlan Stewart; mise en scène : Georgina Beaty]
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Théâtre de Quat’sous
Auditions ou Me, myself and I   [adaptation, conception et mise en scène : Angela Konrad]
Peer Gynt   [texte : Henrik Ibsen; adaptation et mise en scène : Olivier Morin]
Attentat   [textes : Hubert Aquin et al.; mise en scène : Gabrielle Côté et Véronique Côté]
Les manchots   [texte et mise en scène : Olivier Kemeid]
La bibliothèque-interdite   [texte et musique : Denis Plante; mise en scène : Brigitte Haentjens et Sébastien Ricard]
Parfois, la nuit, je ris tout seul   [textes: Jean-Paul Dubois; dramaturgie, mise en scène et interprétation : Michel-Maxime Legault et Marcel Pomerlo]
IDentité   [parcours immersif conçu par Q∅D]
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Théâtre du Rideau vert
La cantatrice chauve suivie de La leçon  [texte : Eugène Ionesco; mise en scène : Normand Chouinard]
Vol au-dessus d’un nid de coucou [texte : Dale Wasserman (d’après le roman de Ken Kasey); mise en scène : Michel Monty]
Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu? [d’après le fim de : Philippe de Chauveron; adaptation : Emmanuel Reichenbach; mise en scène : Denise Filiatrault]
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guyboulianne · 2 years
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Je vous invite à revoir notre conférence vidéo avec nos 9 intervenants : Dr Julien Devilléger, Patrice Bouriche et Philippe Pfeiffer (France), ainsi que François-René Milot, Me Claude Laferrière, Stéphane Guay, Jean Tardy et Ken Pereira (Québec) : https://guyboulianne.com/2022/01/22/revoyez-la-mega-conference-video-avec-nos-9-intervenants-de-la-france-et-du-quebec-diffusee-une-premiere-fois-samedi-le-22-janvier-2022
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alexlacquemanne · 3 years
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Septembre MMXX
Films
Tout feu, tout flamme (1982) de Jean-Paul Rappeneau avec Yves Montand, Isabelle Adjani, Alain Souchon et Lauren Hutton
Normandie nue (2018) de Philippe Le Guay avec François Cluzet, Toby Jones et François-Xavier Demaison
Pentagon Papers (The Post) (2017) de Steven Spielberg avec Meryl Streep et Tom Hanks
Le Corps de mon ennemi (1976) d’Henri Verneuil avec Jean-Paul Belmondo, Bernard Blier et Marie-France Pisier
L'Ivresse du pouvoir (2006) de Claude Chabrol avec Isabelle Huppert, François Berléand, Patrick Bruel et Robin Renucci
Tucker (Tucker: The Man and His Dream) (1988) de Francis Ford Coppola avec Jeff Bridges, Joan Allen, Martin Landau et Frederic Forrest
La Poursuite impitoyable (The Chase) (1966) d’Arthur Penn avec Marlon Brando, Jane Fonda, Robert Redford et Angie Dickinson
Un cadavre au dessert (Murder by Death) (1976) de Robert Moore avec Peter Falk, Peter Sellers, David Niven, James Coco et Maggie Smith
Des hommes et des dieux (2010) de Xavier Beauvois avec Lambert Wilson, Michael Lonsdale, Olivier Rabourdin, Philippe Laudenbach et Jacques Herlin
Spectacle
Gilberto Gil, un Dieu dans son jardin (2020)
Les Vieilles Canailles (2017) avec Eddy Mitchell, Jacques Dutronc et Johnny Hallyday
Séries
The Grand Tour Saison 3, 1
Chinois ou chez moi ? - Le choix de la jeunesse - Échappée marocaine
Top Gear Saison 21, 22, 10, 12, 9, 20, 7, 13, 20, 14, 18
Destination Thaïlande - La course des Tsars ! - Abou Dabi, du sable dans le carbu - La traversée de Londres - 1200Km en un plein - La fièvre du vintage - Un train peut en cacher un autre - Ils ont roulé sur l’eau - Une voiture.. dans l’espace - Supercars à petit budget - Trophée Andros - Patagonie Première Partie - Mission Camping-Car - Top Gear de A à Z - Caravane volante - Bolide électrique - Totalement Twingo - Surfin’ USA - Spécial Journée Circuit - Hommage à Saab - Un train peut en cacher un autre
Friends Saison 1
Celui qui emménage 
Doctor Who Saison 10
The Green Death - The Time Warrior - Invasion of the Dinosaurs -  Death to the Daleks
Chapeau Melon et Bottes de Cuir Saison 5
Bons baisers de Vénus - Les Marchands de peur - Remontons le temps - L'Homme transparent
Nestor Burma Saison 1, 2
Corrida aux Champs-Élysées - Fièvre au Marais - Le soleil naît derrière le Louvre
Benny Hill
The Rookie Saison 2
Impact - Recherche appartement - Le Pari - Le Billet en or - 
Castle Saison 4, 5
Chasseur de têtes - Tueur intergalactique - Œil pour œil - Rock haine roll - Seuls dans la nuit - Des fleurs pour ta tombe - Nuageux avec risques de meurtre 
Firefly Saison 1
Les Nouveaux Passagers - L'Attaque du train - Pilleurs d'épave
Alexandra Elhe Saison 2
Le Miracle - La survivante
Brooklyn Nine Nine Saison 4
Fugitive : Première partie - Fugitive : Deuxième partie
Stargate SG-1 Saison 6
Réunion
Livres
Les Psy Tome 1 : Quel est votre problème ? de Raoul Cauvin et Bédu
Kaamelott Tome 6 : Le Duel des Mages d’Alexandre Astier et Steven Dupré
Le Petit Spirou Tome 3 : Mais qu'est-ce que tu fabriques ? de Philippe Tome et Janry
Nota Bene Tome 3 : La Mythologie nordique de Benjamin Brillaud et Mathieu Mariolle
Astérix Tome 1 : Astérix le gaulois d’Albert Uderzo et René Goscinny
Lucky Luke : Daisy Town de Morris et René Goscinny
L'homme qui tua Lucky Luke de Matthieu Bonhomme
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toiledrone · 4 years
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Gloses (en vie ensembles)
J’écris pour que tu me lises, la main appuyée sur une joue fraîche. Tu es assis dans ta chambre sous les plafonds haut. Tu surplombes un bureau et le corps de la pulpe. C’est une texture de ma voix, la pulpe. La paix est au dessus de 6000$ de machines et c’est la lumière en halot qui guide le mouvement de ses voiles. Tu prends le cercle, les pages, les mots. Tu as l’air doux et tu es beau sans barbe. J’aurai envie de te prendre en photo, juste là.
J’écris, très simple, je sais. Pas de grands mots et de complexité. Je me garde près. Je me colle, c’est cohérent. Tu parles philo dans les jours positifs, tu lis philo quand il pleut et tu te casses les dents sur plus coriace mais tu me lis, moi. Pour prendre une pause. Puis tu regardes la fenêtre pour prendre une pause de cette pose là. Tu peux comprendre les référents. Et puis danser sur les souvenirs de la pâte filo. C’est faux. Tu ne comprendras pas. Je parle de Pâte Filo juste parce que j’écoute l’album de Malajube pour la première fois en trois ans. Je me suis dis que lorsque tu étais jeune, à Laval, tu devais tripper dessus. J’ai voulu te faire plaisir. À table et par terre, lors des banquets et des anniversaires. Je lève un verre d’eau froide à la santé, je le verse dans ta douche jaune. Il y a du bruit dans la cour. 
On fait un concour de hauteur: Ludovic se lève, s’assoit, à répétition, Jules se sert un drink et s’engorge, Marieke et moi escaladons les chaises. Tu voudrais passer au travers de la vitre. Tes muscles se tordent sous la peau de la pièce. C’est un concour de circonstance, un contexte habité quoi. Chest, bras, chest, bras, j’ai une jambe autour d’un poteau, la main sur l’escabeau. Je me force. Les guirlandes de noël sont tombées, ça nous a remplis de lumière. Il y a une ampoule dans le marc des tasses vintages. Elle fait de l’oeil à la barre. On m’a dit qu’elle veut être en amour, c’est nouveau. Ça grésille, ça pétille et ça fume. Ça botche dans les mêmes tasses. Regarde bien, Charles, ce sont de petits incidents. Ne te lève pas. Regarde. 
Nous construisons le silence à même nos respirations puis, on les retient. Pas un son.  
La paix est au dessus de 6 milliards de machines, pendant que nos corps reviennent à ce qui attend. Tu nous aime et pourtant tu ris de l'apesanteur. C’est aussi ce qui nous rassure. 
Quand je finis un épisode de Bojack Horseman, je suis toujours triste. Et je pense à toi. Je l’écris au marqueur sur ta vitre, tu vas être en criss. Je mets la chanson du générique pour que ça passe mieux. Tu es en train d’essuyer le vandalisme quand Charles-Loup arrive, il trouve ça drôle. On commence des complots dirigés tous vers toi. On construit des cabanes dans les tresses de ses cheveux, on va t’attraper dans les lianes. Les lianes s’accrochent à tes majeurs. Essaye même pas, on a pensé à tout. Tu es peinard dans le piège, sur un matelas de plume, on te rafraîchit à la feuille géante, tu tournes une page. Tu manges un fruit. Le raisin déloge la pomme dedans. Je ne cherche pas loin. 
Je marche sur mon propre pied hors du champs. L’odeur du gymnase s’appelle cologne et j’ai laissé le chandail sur votre banc. Les gars. Laissez moi vous rejoindre. Mes cris ne portent pas. Je suis cachée au bout de vos palette pour m’envoler dans les slapshots. Charles, n’oublie pas le cercle, ce n’est pas adéquat pour ce que tu veux. Le rond brûle, nous survole, il va s’écraser quelque part au nord. Tu m’éclaires, tu m’explique la courbe. Je fume une puff juste pour dire “c’est l’automne”. Ce qui est bien c’est que tu ne trouves pas ça important. Tu vas me lire et ça va te donner envie de boire une bière glacée. Avec tes colocs. Sans tes colocs. Devant le cégep du Vieux. Devant la Paroisse St-Viateur-D’outremont. C’est vraiment là dedans que repose l’essentiel. 
Chloé a ramené toutes les caisses et les cadavres au dépanneur au coin de Parc. Elle t’a volé 20$. Elle a bien fait. 
Les gars d’Idles ont les yeux fermés sur le bar du théâtre Fairmount. Tu bouges au ralenti en arrière plan. Tu as l’air si malheureux avec ta canne. Je peux gueuler moi aussi. Pour compenser ta blessure, juste au coin de l’oreille, le pied sous mon pied qui marche sur ton pied. Je peux gueuler des mots compliqués pour que tu sois comfortable:
STRATOSPHÈRE                                                                        
                                                                CONATUS 
      ABSCONS
                                               INTERLOPE                                             XYLOGLOTTE
                                                                       TRUISME
                             PIPIT                                                                 GLOSE
MUTIQUE 
                                                  ISAGOGIQUE 
GERMANOPRATIN 
                                                                                     MONADE 
                       DEXTROGYRE
CIRCUMAMBULATION
J’ai trouvé une banque de mots pour compléter les manques en écrivant dans le moteur de recherche: mots compliqués pour frimer. C’est le premier lien. Clique. 
Je suis fatiguée, fais moi le lit sur le divan. J’ai une guirlande qui s’est coincée dans les plantes et vos meuble, ça a fait plein de dégâts. J’ai essayé de tout ramasser mais c’est votre bordel qui prend le dessus. Ludovic s’envole à Paris, je campe 5 jours. 
Je détruis le divan. Je suis un petit chien qui chie dans la chambre. Rien ne me suffit. Amène moi faire l’épicerie, je vais te rappeler ce qu’il vous manque. C’est ce qui me spécialise. 
Marieke s’envole à Berlin. J’embrasse le sol. Je suis toute nue dans le tutu rouge que j’ai fait à Chuck l’année dernière, je me suis réveillée seule et je capote. Je chigne. Je gémis dans la douche et sur le bol, Charles-Loup est gêné. Il me dit que je suis une pro du multitask.
Mon ex est un Olive oil junkie. Professional multitasker. Fr/eng/esp.
C’est sa description Tinder. Je dis “mon ex” seulement parce qu’il frenche une fille très belle à Paris. C’est une boutade. J’y reviens trop à mon goût. Ça martèle ton univers et ça te fait bailler. J’ai écrit une lettre pendant que tu dormais à côté de moi, tu étais mignon et ça m’a répandu. Tu bailles, je braille. Tu te lève de ton bureau, tu regardes ton lit. Tu penses à ton lit, quand tu montes et descend les ronds point d’édifices. 
Tu pense à ton lit hors du rêve. Tu penses à quelques tremblements. 
On rigole au travers des nuits noires. On se prend un lampadaire pour emporter. Notre bave a la forme des cailloux blancs et j’ai faim mon dieu que j’ai faim. 
On attache les lumières plus solidement, on escalade, tu prête la main. Jules se réveille tout d’un coup de sa cuite, il est déjà au four pour faire cuire le poisson. Ça frétille. Ça barbotte et ça fume. “C’est l’automne”. Je ne veux plus de cet asthme social répété. On s’ennuit trop pour nos âges. Je vais me relire à un moment et on rira tous en même temps. Synchronisés dans nos limites pleines. Je vais me relire et je vais grincer des dents, c’est sûr. J’écris drama-emo since day one, je m’habitue à ça. Je vole des miettes par ci par là aux gens que j’admire pour raconter nos vies. Pour croire en la beauté et le pouvoir du temps sur les choses. Les inébranlables. Je les fait manger à la cuillère, je leur fait le coup de l’avion. Yvon, Colonna, Desrosiers, Gendreau, Geoffroy, Char, Artaud, Réhel et Fallu sont tous très énervés, en séismes. La montagne de chaise s’écroule, Marieke l’évite de justesse pendant qu’elle met la table. Je caresse Woolf, la Renarde, Guay, Cotton, Sackville, Catellier et les amis de Langevin, je les invite à souper, je les soudoie. J’embrasse Langevin. Je l’accroche à des post-it poétiques installés sur mon dos. Je fais de l’ironie pas mal. Je l’aurais porté partout.
Quand on mange, je chatouille tes joues. Ça t’écoeure un peu. Langevin rit et tous tes philosophes retournent à leur moutons. La table se libère de moitié, recouverte de saumons roses et gris. Les pores du bois s’accouplent aux tasses sales, quelque chose marmonne qui nous nourrit encore.
Dans un monde idéal, Marieke me filme quand je bondis dans ton lit, au travers des fenêtre. Elle ne manque aucune occasion de compiler ma vie. Dans un monde idéal je l’ai contaminé de la peur des amnésies. Elle revient auprès de moi. Je me retrouve moins seule, à compter nos désirs et nos peines. J’ai à nouveau plus d’espace sur mon téléphone pour les notes. Il m’est à nouveau possible de vouloir de vous. 
Si je vieillis telle que planifié, je m’habillerai chaque jour entièrement d’une couleur: toute en jaune pour prendre le métro à Jean-Talon, toute en rouge pour être une dame qui marche dans le quartier de maman, reine soleil de St-Michel. Je vais devoir faire des zig-zag entre les guerres de gang. Je n’y aurait aucun rapport. Je t’inviterai à sauter dans mon char, sur les banquettes zébrées, et on fumera des cigarettes bleues. So you wanna be a player ? Roule avec moi encore. 
Tu as les mains pleines de coupure, j’ai fait mon livre en papier verre. Il blesse quand on passe à autre chose. 
Il blesse quand tu l’abandonnes. 
Nous irons regarder les météorites passer. À l’île René-Levasseur. On mettra le doigt dans l’oeil du lieu qu’on habite. J’ai eu un professeur de musique au secondaire avec le même nom de famille. Ses pantalons étaient toujours incroyablement serrés, sa voix incroyablement serrée. Il était un traumatisme en soi. 
Je ne t’ai pas vraiment appris cette période. Ça ne te parle pas trop. 
Tu comprendras que le cercle c’est aussi le météore qui a frappé la région vers la fin du Trias de l’ère mésozoïque. C’est l’arc d’un slapshot de l’univers au complet. Une petite boucle mignonne. Pour l’île, on peut imaginer que ça a à voir avec l’incident de Greta. Ou bien que la main de l’homme tient en tout temps une petite pelle de plastique pour ranger les larmes. La morve. Le sang. Pour remplir le cratère et imiter les filles du canyon. Tout le monde voudrait être une jeune fille. Personne n’écoute vraiment la jeune fille. Quand tu auras finis Gloses, trouve et lis la pièce d’Olivier Choinière. 
Ce n’est pas obligé de tout faire avec sens. 
On se laisse ensevelir par la végétation, à l’abris des lianes de la réserve Louis-Babel. On va écouter la langue glissante et noire, sur les successions des plans du paysage. Nous marquerons les bords de pages de nos livres, avec des gants. Pour les mettre à terme. Les déposer bien en équilibre sur le bord de la tente. Attendre que la littérature fende la nuit en deux. Attendre la tombée du brin de scie des voisins pour protéger la marchandise. Ça vaut un paquet de sous quand même ces mécaniques là. 
Puis, on va enlever le doigt de l’oeil pour mettre un peu de baume sur les mots. Tu sais ce que nous aurons ? Le temps des racines. De quoi devenir nous mêmes du papier. 
Je ne suis pas l'aéro literal. Je ne suis pas un synonyme exact non plus. Souvent, je n’ai pas d’impact mais j’ai cette écriture pour faire gercer les lèvres. Et tu me lis. Moi.
Les abres vivent. JP m’a dit qu’ils communiquent entre eux et ne se touchent jamais. Je me demande comment. Nous sommes clairement des arbres nous aussi. 
Tu es sûrement mon arbre à moi. 
Dans la rencontre de l’air et du corps étranger, entre les rondes du sommeil.
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Text
C'è una mostra d'arte contemporanea
Mi piace quando non dici: Potevo farlo anch'io
E l'uovo è di forma perfetta
Benché sia uscito dal culo
E tu assomigli un po' a Venezia
Che male c'è
Voler mangiarsi una città
Fermarsi all'Autogrill
E pensare un po' a Duchamp
Che male c'è
Dire sui muri la verità
Morire soli per strada
Jean-Michel Basquiat
Vorrei tu ti sbagliassi a non volermi mai
Vorrei non avere in testa il coyote di Beuys
E Bologna, Bologna è veloce
Bologna mi sfugge
Bologna ogni volta
Bologna più forte
Bologna più bella
Ed assomiglia un po' a te
E Bologna, Bologna è veloce
Bologna mi sfugge
Bologna c'ha un casco
Bologna è una bici
Bologna è uno zaino
E sempre corre con te
E il tempo ci ha insegnato
Che non tutti i tempi son preziosi
Ma il nostro sì
Dai, vieni via con me
C'è Alighiero Boetti che espone
E Blu sta coprendo i suoi fili
Ed è il momento migliore
Per non perderci più di vista
Mi piaccion le sedie Munari
Mi piaccion le tette Manara
Mi piaccion le onde Hokusai
Ma tu negl'occhi hai solo guai
Sei bella, come René Magritte
Seduto in silenzio
A cambiare il mondo
Sei bella come Marina Abramović
Seduta in silenzio
A fottermi il mondo
E Bologna, Bologna è veloce
Bologna mi sfugge
Bologna ogni volta
Bologna più forte
Bologna più bella
Ed assomiglia un po' a te
E Bologna, Bologna è veloce
Bologna mi sfugge
Bologna c'ha un casco
Bologna è una bici
Bologna è uno zaino
E sempre corre con te
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ryanwoolfolk · 5 years
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