#road trip avec abel

[leleaulait]

Future road trip de Septembre : la route Transfagarasan en Roumanie 🌍

#road trip #road trip avec abel #perso #roumanie #Transfagarasan #travel #on est en train de look le trajet et de voir les arrêts qu'on fait ☺️

[lesmoumousstrotter-blog]

D’une île à l’autre ..

À Karamea, le 16/03/2018.

🎶🏝.. on dirait le sud, le temps dure longtemps, et la vie sûrement plus d’un million d’année .. et toujours en été ...🎶🌴

Récit de nos différentes aventures et petites anecdotes depuis notre dernière article sur le Tongariro. Le voyage suit son cours, on espère que tout va bien pour vous de l’autre côté du globe.

Whanganui River Journey :

Nous avons passé 5 jours à bord d’un canoë canadien sur la rivière Whanganui à enchaîner les rapides et les coups de pagaie. Chaque soir nous avions la chance d’installer notre bivouac au bord de la rivière. Grande expérience dans un décor somptueux avec comme seuls participants nous et la nature !

Le scoop : nous nous sommes renversés qu’une seule fois mais 🤫, c’est un secret !

Mont Taranaki et région de New Plymouth :

Le Mont Taranaki est l’un des volcans les plus célèbres de Nouvelle Zélande et sûrement l’un des plus beaux. On prend donc la direction de New Plymouth à l’Est de l’île du Nord pour voir ce fameux Mont Taranaki. On y va directement après la Great Walk en canoë avec comme objectif d’être déjà sur place le lendemain matin. Surtout profiter d’être dans une « grande » ville pour faire les course, lessives, douches, recharger les batteries de nos appareils électriques, etc avant de faire une petite randonnée au abord du Volcan. GPS branché, on range les affaires et on y va. Ce que le Gps ne nous avait pas dit, c’est qu’il s’agissait de la pire route empruntée en Nouvelle Zélande, si on peut appeler ça une route (on dirait plus un chemin de pierre. A t’elle point qu’il l’appelle ici la route du « Monde Interdit ». On vous laisse imaginer les détails. 3h plus tard (le gps nous annonçait 1h30), nous arrivons avec en prime le couché de soleil sur le Mont Taranaki : Somptueux (la seul fois où nous le verrons en 3 jours).

New Plymouth, Dimanche 25 Février, pas pris de douche depuis plus d’une semaine, on apprend qu’il y a une bactérie dans l’eau suite à une grosse tempête passée par là les jours précédents. Bon, ben la douche attendra ! On continuer de zieuter le temps pour voir si une fenêtre de soleil s’ouvre pour se balader et prendre quelques clichés du Mont Taranaki. En vain, notre route continue .. (pour info, nous avons réussi à prendre notre douche le lendemain, haha. Nous avons quand même adoré ce coin et l’ambiance qui y règne.

L’info crado : Ça restera encore aujourd’hui comme notre record de jours sans prendre de douche : 8 jours).

Wellington, la capital :

La route nous emmène vers la capital de la Nouvelle Zélande. Passage obligatoire pour passer sur l’île du Sud. Nous avions prévu de passer 3 jours pour découvrir l’ambiance de la ville, le front de mer, la craft Beer et la folie des habitants pour le café. Le moindre qu’on puisse dire c’est que nous n’avons pas été déçus. Entre des marchés de nuit, une formation de Barista pour Morgane, une virée nocturne à Welly et une découverte de la ville à pieds, nous avons littéralement adoré cette capital.

L’inspiration : un projet est en train de naître mais il va falloir être patient pour en savoir plus !

La traversée en ferry :

Samedi 3 Mars, le moment tant attendu de passer sur l’île du Sud. On a entendu tellement de belles choses à son sujet que nous sommes impatients de la découvrir. Ça marque aussi une nouvelle étape de notre voyage et nous voyons que le temps avance vite, très vite. La plus belle croisière que nous avons fait jusqu’à présent (on en a pas fait beaucoup 😜). Elle ne dure seulement que 3h mais les paysages sont grandioses du début à la fin. Ça annonce la couleur.

Le + : sandwich avec pâte Hénaff sur le ponton, juste whaouuu !

Les Marlborough Sounds :

Premier pas sur l’île du Sud. On s’engouffre dans les routes sinueuses. On en profite pour faire une randonnée sur la Queen Charlotte Track et on trouve un camping super charmant avec vue sur mer.

Point culinaire : les moules cueillies sur les rochers en direct et cuisinées aux petits oignons. Un régal !! Des fruits de mers ! hummm ! Ça faisait tellement longtemps. Manquait juste le vin blanc’ et le pain beurre

La belle rencontre : bel instant de partage avec un américain et un franco anglais sur ce mini camping / parking. Apéro, partage des bons plans et de notre pêche du jour, un beau moment de convivialité !

Abel Tasman Great Walk :

Le plus beau trek que l’on ai fait jusqu’à présent dans notre road trip. Des paysages époustouflants, des magnifiques plages au sable de couleur orangée, des lagunes baignées par les eaux turquoises, et des formations rocheuses nous laissent des images impérissables. Endroit inaccessible par la route, quelle chance nous avons d’avoir randonnée dans cette endroit.

Le moment inoubliable : installer son bivouac sur la plage, manger des noodles face à la mer en regardant un magnifique couché de soleil.

La Golden Bay :

Entre nature et ambiance hippie, on « chill » comme ils disent ici. On vadrouille au gré de nos envies à la découverte de la « Baie Dorée » : Petite escapade au Firewell Split point le plus au Nord de l’île du Sud et ses dunes de sables à perte de vue, soirée electro avec Arnaud & Élise, les copains belges rencontrés au début de notre périple. Le mot d’ordre : D.É.T.E.N.T.E

L’info shopping : Morgane à acheteé de belles boucles d’oreilles. 🎉

Nelson Lake :

Direction Saint Arnaud, ville au nom très français située plus au Sud au cœur d’une grande chaîne de montagne. Bizarrement on recent une fraîcheur que l’on avait pas connu jusque là. Au programme, ascension du Mont Robert le lendemain qui culmine a 1421 mètres. Bonne grimpette et des mollets qui chauffent pour avoir une belle vue sur le lac Rotoiti. Pique nique sur le col pour apprécier le panorama.

L’instant piquant : invasion de Sandfly, une sorte de moustique local, qui nous oblige à déguerpir de notre camping le plus vite possible.

Karamea :

Notre position aujourd’hui. A quelques pas de la Golden Bay ou nous étions il y a quelques jours mais a pas moins de 400km par la route. Nous profitons d’explorer le coin pauvre en habitation mais d’une nature si sauvage. A notre gauche la Mer et ses vagues fracassentes et à notre droite les montagnes et sa végétation très denses.

Dès dimanche, nous attaquons un HelpX chez une famille Kiwi sur la côte Ouest (Hokitika) pendant une semaine. On ne connaît pas trop encore nos missions mais on sait déjà que ça va nous faire bizarre de retrouver un vrai lit et des vrais repas après 5 mois de nomadisme dans notre Moumouss’Mobile.

Ici la Nouvelle Zélande, à vous la France ... ☎️

Les Moumouss’ qui trottent ! 💁🏻‍♂️🙋🏻‍♀️

#nouvellezelande #backpackerslife #roadtrip #recitdaventure

[matoz1423]

Le road trip continue sur l'île du sud. Petit résumé de ces 3 derniers jours assez mouvementés. Nous avons retrouvé Violaine et Mehdi, couple français rencontré lors de l'abominable ascension du Roys Peak. Nous faisons plus ou moins le même trajet jusqu'à l'île du nord. On se fait un apéro pour fêter ça, le premier d'une petite série :).

Apres un réveil à 6h pour avoir la chance de voir un geyser à Pancake Rocks (observable uniquement à marée haute), nous ne verrons finalement que les rochers, la mer n'est pas assez agitée pour que l'eau jaillisse du trou dans la roche. Le spectacle est quand même très beau. On a même rencontré un Weka, l'oiseau qui a failli piquer la place du kiwi comme emblème du pays. Comme le kiwi, il ne peut pas voler et est endémique.

On continue en direction du parc national Abel Tasman. L'un des joyaux de la nouvelle Zélande. Sur la route se succèdent forêts de palmiers et de sapins, et des moutons toujours des moutons. Les routes sont très sinueuses et toutes en travaux ! Notre prochaine destination est Golden Bay où l'on profite d'un apéro sur la plage tous les 4. On dort sur place. Le lendemain nous avons réservé des taxi boats pour nous rendre dans le parc Abel Tasman et faire une rando à la journée. Malheureusement, la route unique qui nous ramène à l'endroit d'où partent les taxis est fermé toute la journée. Il est 9h et nous devons attendre 17h pour pouvoir passer … Et le pompon c'est qu'un nombre limité de voitures pourra prendre la route entre 17 et 18h … Aucun panneau n'annonçait ces travaux et la route fermée ! Le mec des travaux est d'une amabilité je ne vous raconte pas ! (On accroche beaucoup moins avec les néo-zélandais qui sont assez froids). Bref on est sur les dents. En plus de ça, impossible d'annuler le taxi boat, nous sommes donc obligés de reporter au lendemain la rando et d'annuler la journée kayak qu'on avait prévue ce jour là. Dans l'histoire, On perd 75$ et une journée de visite. Mais on essaye de garder le moral. En attendant on décide de rebrousser chemin et d'aller visiter la source la plus pure du monde selon les kiwis (Pupu Springs, nom étrange). L'eau est plus pure que l'eau en bouteille.

Après quelques heures de glandage dans la petite ville on remonte attendre l'ouverture de la route pour être dans les premiers. 14h : on est en place ! Plus que 3h d'attente. On en profite pour jouer aux cartes sur le bord de la route. On se programme un gros apéro le soir pour se remettre de nos émotions.

Le lendemain on part en ballade dans le parc Abel Tasman où la forêt rencontre les plages et l'eau turquoise. Ca nous fait penser à la Corse et au sud de la France (comme pas mal de paysages ici en NZ). La journée est belle, on se baigne.

Demain on prend le ferry vers l'île du nord.

See you

M & T

[lespetitspedestres]

La ruée vers le N’ord

Et voilà, les copains sont partis. C’est donc à trois dans notre Josy toutes options (mais néanmoins deux places, voiture de sport oblige) que nous reprenons la route en direction du nord de l’ile.

Le temps, clément durant les derniers jours devient rapidement menaçant et, alors que nous parvenons à la petite bourgade de Hanmer spring, réputée pour ses sources d’eau chaude, la pluie commence à faire son apparition. Pas de chance pour nous, d’autant que nous nous sommes lancé dans l’ascension de la petite colline surplombant le village. Il ne nous faut que 5 minutes pour rentrer nous mettre à l’abri dans notre maison roulante, mais c’est plus de temps qu’il n’en faut pour être trempé jusqu’aux os. Ça commence bien.

Nous continuons donc notre route en direction de Kaikoura, sur la côte Est, sous une pluie disons… qui mouille. Nous y parvenons en fin d’après midi et restons les deux jours suivants afin de faire une balade sur la côte où nous pouvons observer un grand nombre de phoques et de réaliser le rêve d’un grand nombre de personnes : nager avec des dauphins. Oui oui. Le deuxième jour, nous embarquons donc sur un bateau à la recherche de ces petites bêtes et, après 45 minutes à guetter leur présence, nous finissons par les repérer et nous nous jetons à l’eau. Alors, il y a une chose à savoir si vous souhaiter un jour vous livrer à cette expérience au demeurant fort sympathique : N’observez pas les albatros aux jumelles durant le trajet en bateau, surtout si la mer est un peu agitée. Voilà qui est dit, d’autant que le jeu consiste ensuite à tourner en rond sur soi-même dans l’eau de manière à éveiller la curiosité des dauphins. Bref, l’instant bien que magique de par le contexte ne m’a permis à terme, de rentrer en communion non pas avec les dauphins, mais bien avec un seau en plastique rouge. Enfin, quoiqu’il en soit, ce fut une bonne expérience.

3 heures et 20 litres de matière régurgitée plus tard, nous retournons sur la terre ferme (celle qui ne bouge pas) et prenons un bon repas au bord de l’eau (visiblement ça va mieux). Alors que nous mangeons un paquet de short bread, Félix qui, je ne sais plus pour quelle raison tient un gâteau à bout de bras, se fait dérober l’aliment susnommé par une mouette. Joli coup de la part de l’animal. La justice est enfin rendu (voir le coup du canard). Nous repartons donc après la sieste direction Lewis pass, mais ne pouvons-nous empêcher d’éprouver quelque inquiétude : N’y aurait-il pas un complot mondial entre mouettes et canards pour prendre le contrôle du monde ? Et si oui, la question que nous devons nous poser est : Pourquoi ont-ils besoin de tous ces biscuits ?

Nous passons les deux jours suivants dans le secteur de Lewis Pass où nous nous livrons une fois encore à notre activité favorite. C’est ainsi que nous avons effectué deux randonnées. Une permettant de rejoindre un sommet offrant une vue imprenable sur le secteur, et l’autre menant à un petit lac au beau milieu de la forêt. Cette dernière, pas merveilleuse, aura au moins eu le mérite de nous permettre de faire un peu de sport malgré la météo quelque peu capricieuse. Ce fut aussi l’occasion d’assister à la tentative de franchissement d’une flaque par Chloé. Un peu court… Et plouf ! Atterrissage en plein milieu de la flaque et de l’eau jusqu’au genou. Bref, une scène assez marrante.

Nous prenons la direction du Nelson national park et dénichons un petit camping fort sympathique qui nous fait penser à la Thailande de par les paysages environnants.  Endroit parfait pour glandouiller avant la randonnée conduisant à Angelus hut. Quatre heures d’ascension jusqu’à la Hut  (gite de montagne)  sous un vent à décorner les bœufs, qui nous empêchait parfois d’avancer et une visibilité d’eau moins 3 bon mètres!  En clair, des conditions parfaites pour ce genre d’activité. Mais l’on a échappé au pire puisque 5 minutes seulement après notre arrivé la pluie s'abat, ouf ! Nous avions prévu de passer la nuit en tente, mais la météo ne le permettant pas, nous dormons finalement à même le sol, dans la pièce commune du refuge. Fort heureusement, le lendemain le ciel se dégage et nous pouvons profiter pleinement de la vue sur les lacs de montagne.

Et maintenant, direction le parc national  maritime d’Abel Tasman. Ici, de nombreuses aventures nous attendent. Le premier jour, nous débutons très fort avec une journée de glandouille intense. La vie est vraiment trop dure. Le second jour, nous embarquons pour une excursion en canoë dans le parc et la réserve marine. Nous sommes accompagnés d’une guide dont nous ne nous souvenons pas le nom, mais qui nous aura permis de passer une excellente journée grâce, notamment à sa bonne humeur. Nous voyons au cours de la journée un certain nombre de phoques ainsi que deux pingouins bleus. Nous nous baignons également dans de magnifiques petites baies aux eaux bleues turquoise. Rectification, on aurait aimé s’y baigner mais la température de l’eau peine à dépasser les 15 degrés C.

L’heure des fêtes arrivant à grand pas nous  décidons de rejoindre un groupe de français contactés sur facebook afin de fêter noël. Grosse erreur de notre part. Nous ne sommes pas DU TOUT  sur la même longueur d’onde que les autres participants (Chloé n’a toujours pas digéré la préparation d’une salade de patate en guise de repas de noel).

C’est  donc avec un grand soulagement que nous reprenons la route le lendemain. Nous partons avec joie explorer une grotte des environs et faisons une petite balade qui nous mène à une source sacrée pour les Maoris et dont l’eau est considérée comme la plus pure du pays. Il faut l’avouer, cette eau donne très envie de se baigner, d’autant que la température en cette journée ensoleillée avoisine les 30 degrés. Le soir même, nous assistons au coucher du soleil sur , un gobelet de mousseux à la main ( plage qui est tout de même un paysage de fond d’écran Windows s’il vous plait).

Avant de retourner chiller sur les belles plages d’Abel tasman, l’appel de la montagne se fait sentir et on dégotte une petite randonnée sur notre route. Heureusement pour Félix qui reste à la voiture à cause d’une piqure de Sandfly  qu’il a beaucoup trop gratté avec ses doigts sales et qui s’est infectée au pied, ce ne sera sans doute pas la randonnée de l’année (bien qu’elle fût tout de même très agréable).Nous parvenons malgré tout, Chloé et moi-même, à un joli lac de montagne. L’eau est fraiche. Très fraiche…

Nous décidons ensuite de rejoindre l’extrémité ouest du parc Abel Tasman. Pour cela, il nous suffit de conduire notre Jozy à une quarantaine de kilomètres de là. Nous procédons donc ainsi, empruntant la route qui s’avère finalement être un chemin dont les accotements sont sujets aux éboulements et autres glissements de terrain. Mais bon, Jozy est habile et parvient à rejoindre le camping qui se trouve au bout de la route et dans lequel nous prévoyons de passer la nuit. La route a donc été  longue et nous allons enfin pouvoir nous installer pour la nuit. Et bien non ! La bonne blague. Le camping est soi-disant plein, et nous devons donc faire demi-tour et rejoindre un autre camping qui se trouve à trente kilomètres de là, sous une pluie battante. Nous décidons finalement de dormir en camping sauvage en toute discrétion, sur le bord de la route.Contre toute attente, et malgré la pluie qui ne cesse de s’abattre sur nous, nous passons une bonne nuit, et c’est tout reposé que nous nous lançons sur une randonnée d’une vingtaine de kilomètres dans les collines proches de l’océan.

Le lendemain nous prenons un taxi boat jusqu’à Bark bay, au beau milieu du park naturel d’Abel Tasman, puis revenons jusqu’à la route à pied, parcourant ainsi 25 kilomètres. Bien sûr, une fois arrivés à la route, il fallut aller chercher la voiture au village à 10 kilomètres de là. Mes tentatives de stop n’étant pas des plus fructueuses, je me résous  finalement à parcourir ce chemin en courant.

Le soir venu, je dors étonnamment  bien. Et ça tombe bien, car le lendemain, c’est le réveillon du nouvel an. Nous rejoignons donc un nouveau groupe de français trouvé sur facebook et là, bingo ! Cette fois-ci c’est la bonne. Nous passons une excellente soirée. A tel point, que nous décidons de rester le lendemain. Et le surlendemain. Cela fait du bien de rencontrer un peu de monde. Nous pêchons des moules pour le diner, buvons plus qu’il ne faut, prenons l’apéro en moyenne 3 heures par jour. Bref, nous assumons pleinement notre statut de français.

Néanmoins, les jours passent à une vitesse vertigineuse, et nous devons quitter notre compagnie de bons vivants si nous voulons avoir le temps de visiter les Marlborough sounds et french pass. Ici, pas grand-chose à raconter. Nous mangeons moules et palourdes ramassés par nos petites mains, et parcourons les routes panoramiques à bord de notre super Jozy.

Voilà, s’en est fini de notre road trip dans l’ile sud et c’est avec une pointe de tristesse, mais aussi l’envie de découvrir d’autres horizons que nous prenons le bateau direction l’ile nord.

Bientôt, il nous faudra même quitter la nouvelle zélande, mais auparavant, nous devons encore visiter certains secteur que nous avions délaissés la première fois, et nous occuper de vendre Jozy (snif)…

#nz

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Road trip with family

Road trip en famille

J+118 Retrouvailles | Après plus de 4 mois en Nouvelle-Zélande, les parents viennent me visiter. Je les retrouve à Christchurch, dans l’île du Sud. La pluie les accueille, pas de chance. Heureusement, mise à part récupérer le camping-car et organiser la prochaine quinzaine, rien n’était prévu pour cette première journée.

J+119 Lac Tekapo & Lac Pukaki | Comme vous pouvez le voir sur les photos, l’eau des lacs est d’une extrême clarté. Du Lac Pukaki nous pouvons apercevoir le Mont Cook enneigé, ça promet une belle rando pour demain puisque c’est notre prochaine étape.

J+120 Mont Cook | Une randonnée de 14 km permet d’observer le glacier noir ainsi que les montagnes constituant les Alpes du Sud, dont le fameux Mont Cook, culminant à 3724 mètres d’altitude. On retrouve des similitudes avec nos Alpes françaises.

J+121 Wanaka – Queenstone – Glenorchy | Différents lacs bordent les villes sus nommées, tous aussi jolis les uns des autres. Le temps ne nous permet pas de profiter de Queenstone, c’est bien dommage car cette ville semble très dynamique. Mais les fjordland nous attendent, nous n’avons pas une minute à perdre.

J+122 Milford Sound | Fjord : vallée glaciaire inondée et très profonde, aux berges en pente très raide. Ce paysage est très différent de tout ce que j’ai déjà pu voir, la végétation est très dense. Par chance une éclaircie s’offre à nous le temps de la croisière au cœur du Milford Sound. Nous approchons d’immenses et impressionnantes cascades, mais également deux colonies de phoques. La croisière dure deux heures et nous en met plein les yeux.

J+123 On the road | Nous avalons les kilomètres jusqu’à la West Coast, rien de plus à voir aujourd’hui mais rien que la vue sur le trajet vaut le coup.

J+124 Franz Joseph Glacier | La météo pluvieuse ne nous empêche pas de découvrir le Franz Joseph Glacier. Ayant la chance d’avoir de magnifiques paysages en France et notamment des glaciers, celui-ci n’a rien de transcendant…

J+125 Pancake Rocks | Après un passage dans la ville d’Hokitika, connue pour ses pierres de Jade, nous filons aux Pancake Rocks. Il s’agit d’une formation calcaire très érodée, aux formes toutes plus étonnantes.

J+126 Nelson Lakes | Avant de rejoindre Nelson, nous passons rapidement par les Nelson Lakes. Rapidement car les sandflies nous sont insupportables (hein papa).

J+127 Abel Tasman | Petite croisière en bateau pour nous déposer jusqu’à la plage d’Anchorage. Ensuite nous rentrons à pied par les terres. 15 kilomètres de paysages à couper le souffle, c’est sublime ! Cette dernière journée sera pour moi ma préférée, un des plus beaux endroits de Nouvelle-Zélande !

J+128 Les adieux | Nous nous séparons à Picton, je laisse les parents au ferry afin qu'ils poursuivent leurs périples en duo dans l'île du Nord.

Ce road trip familiale fut une agréable parenthèse dans mon voyage. J'ai découvert pour une première fois les trésors que recèle l'île du Sud. Ce pays est magnifique. J'ai hâte de découvrir ces mêmes paysages en hiver.

[leleaulait]

Mont Cenis (2 085 m)

#mountain #mountains #perso #road trip avec Abel #un de mes endroit préféré #je veux mettre plein de photos mais Tumblr a pas trop envie ! #je sais meme pas pourquoi j'arrive pas a les poster #T.T #mont cenis