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#spécistes
jhoumous-fr · 1 year
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Ce que c’est d’être végan
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rusticpotatoes · 2 years
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ma voisine elle frappe à ma porte en panique cet aprem pour que je vienne tuer une araignée parce qu'il y a personne chez elle et qu'elle est trop grosse
jlui dis ''ok pas de souci j'arrive pour la sortir''
ptdr j'arrive dans le salon je vois le morceau sur le rideau carrément on voyait ses pinces s'actionner ?!? ok j'ai compris pourquoi la voisine elle tremblait et était à deux doigts de pleurer mdr
je voulais archi pas la tuer de base mais là vraiment j'ai jamais vu une araignée aussi GROSSE alors je lui ai foutu des coups de pelle à balayette et la gow elle était encore vivante, elle était même pas écrasée
conclusion : jsuis une adulte sans peur mais j'ai tué un enfant d'aragog et j'ai peur qu'iels viennent se venger dans la nuit.
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MARDI 23 MAI 2023 (Billet 1 / 3)
Nous venons de recevoir ce document envoyé par un sympathique voisin, très cultivé (principalement dans le domaine des techniques et des sciences), très informé, très bricoleur… et adorable avec nous. Il nous a déjà rendu de multiples services. Cerise sur le gâteau, il a de l’humour. Nous lui avons demandé de qui il tenait ce texte, il a botté en touche. Si ça se trouve, c’est peut-être lui qui l’a écrit… car en plus, il est modeste.
Ce texte est à lire à haute voix, il est tragiquement drôle !
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Une prospective qui circule... et qui, avec ou sans virgules, ne manque pas de nous apostropher !!!
Ce matin de 2035, mon fils de 8 ans m’a fait une crise et a menacé d’appeler le 119 car je refuse qu’il aille à l’école en jupe & avec du vernis aux ongles. Ma fille Julie de 15 ans, qui se sent « non binaire », m’a traité de « boomer » car j’ai refusé de l’appeler « iel » en parlant d’« elle » et parce que je refuse de changer son prénom à l’état civil. Elle veut s’appeler « Jul » pour ne pas qu’on puisse supposer son genre. Et aussi parce que « Jul » est son chanteur préféré.
Je pars au boulot à vélo, car depuis la loi Hidalgo de 2026, la voiture (même électrique) est interdite dans les grandes agglomérations. Je parcours donc 35 km tous les jours à vélo. Avec la chaleur de ce mois de juillet, j’arrive au boulot trempé et décoiffé.
Mais ce n’est pas grave, c’est le cas de tout le monde : ici, personne ne se regarde et personne ne se juge, car c’est passible d’une amende et, éventuellement, d’une peine de prison selon la gravité de la remarque.
Mon patron me fait savoir qu’il m’a mis un blâme car, hier, j’ai écrit un mail sans écriture inclusive et qu’une cliente s’en est plainte. La prochaine fois, c’est la porte ! Il faut que je fasse attention à ce que j’écris et à comment je l’écris. Et aussi à ce que je dis… 
Ma nouvelle collègue, qui partage mon bureau, n’est pas là aujourd’hui, car c’est sa semaine de « congé menstruel ». C’est un congé mis en place depuis 2023 afin de permettre aux personnes possédant un vagin (sans distinction de genre, pour éviter d’éventuelles stigmatisations) de rester à la maison, pour motif de règles douloureuses, une semaine par mois.
Grâce à son absence, je peux donc exceptionnellement fermer la porte de mon bureau. En effet, après le mouvement #MeToo, la France a imposé l’interdiction de « portes closes » lorsque des employés de genres différents travaillent ensemble. Certaines entreprises créent même des « espaces safe », c’est-à-dire des bureaux sans aucun homme hétérosexuel pour éviter tout risque d’agression sexuelle.
A midi, pour la pause déjeuner, je n’apporte plus de viande dans mes plats, car j’en avais marre de me faire traiter de « carniste », de « spéciste » ou carrément d’arriéré par mes autres collègues – pour la majorité d’entre eux devenus « végans ». Par ailleurs, lorsque je fais les courses au supermarché et que j’ose m’acheter un rare morceau de poulet à 45 euros le kilo, je me fais systématiquement dévisager par les autres clients, emplis de dégoût.
Le soir, tout en grignotant mon bol d’insectes accompagnés de pousses de soja (bien plus écoresponsable que mon bifteck d’antan), je peux enfin me distraire devant un film Netflix : c’est l’histoire de Napoléon, joué ici par Omar Sy, et Joséphine, sa femme, jouée par une actrice mexicaine dont le nom m’échappe. La parité dans ce film est parfaitement respectée et on apprend, par ailleurs, que Napoléon était bisexuel, afro-américain et musulman. Le film a d’ailleurs obtenu 12 oscars, battant ainsi le précédent record de 11 statuettes, remporté par « Titanic », un vieux film qui racontait l’histoire grotesque d’un couple blanc hétérosexuel, voyageant dans un paquebot de luxe au début du XXe siècle.
Le film terminé, je décide de me glisser dans mon lit pour continuer ma lecture du moment « La Gloire de mon parent n° 1 ». (Pour les plus anciens comme moi, ce livre s’appelait autrefois « La Gloire de mon père », et faisait partie de la série « Souvenirs d’enfance », de Marcel Pagnol).
Je vais, d’ailleurs, bientôt attaquer « Le Château de mon parent n° 2 » qui est la suite du premier. J’ai hâte.
Ne riez pas, on y va en courant…
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yannlyr · 2 years
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Guérilla, Le Jour où tout s’embrasa
Trois policiers et leur chien se retrouvent au mauvais endroit au mauvais moment, une cité où ils n’ont pas le droit d’entrer selon les ordres de leur hiérarchie qui a laissé ce territoire perdu aux gagnants du remplacement. Les occupants se trouvent face à face avec ces intrus, et un policier ouvre le feu, malgré les consignes qui leur sont données chaque jour. Le sang se mêle à la saleté des lieux, il y a des morts parmi les intouchables, c’est l’étincelle qui fait s’embraser cette cité et toutes les autres du pays. Les médias s’en prennent aux forces de l’ordre, c’est un “crime raciste honteux”, on déplore "la mort du chien” chez les anti-spécistes mais pas celles des flics dont les corps sont abandonnés in situ avant de subir les pires outrages. Les dernières infos orientées prêchent pour un mea culpa national, le versement de nouveaux milliards de compensations, puis c’est la panne d’électricité générale, le pays s’effondre dans l’horreur, les “alliés" des “racisés” deviennent leurs premières victimes à peine sidérées. Les idéologies qui ont détruit la Nation ne disparaissent pas pour autant, les éditorialistes “bienveillants” font leurs valises quand leur fuite n’est pas arrêtée par la vengeance de ceux qu’ils avaient longtemps conspués impunément, tout venant à point à qui sait attendre.
Laurent Obertone a écrit cette dystopie du lendemain proche en 2016. Certaines des expressions qu’il emploie sont devenues courantes et ont été intégrées dans Le Petit Larousse 2023. La République du “très bien vivre ensemble” y est décrite comme intrinsèquement suicidaire, les Français ne s’aimant plus, présentant leur main gauche après qu’on a coupé leur main droite. C’est le premier roman d’Obertone qui a connu sa révélation médiatique avec son essai La France Orange mécanique (Ring) en 2013, dans lequel il recensait ce que la PQR - presse quotidienne régionale - parfois reprise par les médias nationaux, présentait comme des “faits divers”. Adepte pragmatique de l’adage “deux points forment une ligne”, il avait tracé une ligne - (de) droite, lui auront reproché ses détracteurs - qui révélait le développement d’une violence structurelle dans le pays qu’il documentait, sourçait avec le souci du journaliste consciencieux, et n’hésitait pas à en nommer les auteurs. Pour cela il fut taxé de monstre par ceux qui cachaient cette violence et de héros par ceux qui la subissaient. Pour écrire Guérilla, Le Jour où tout s’embrasa qui aura une première suite en 2019 avec Guérilla, Le Temps des barbares (Ring) et une conclusion prévue en 2023 ou en 2024, Obertone a rencontré beaucoup d’interlocuteurs de terrain du renseignement français, qui osent dire que cet embrasement est craint dans les états-majors et au sommet de l’Etat. Guérilla n’est pas un livre feel good, c’est un livre feel fucked-up.
Laurent Obertone, Ring, 19,95 € et en poche à La Mécanique générale, 9,90 €
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lalignedujour · 7 months
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J'avais déjà conceptualisé :
-l'écologie du confort : les efforts, ok, tant que je change pas mes habitudes.
-l'écologie du cadre de vie : j'ai du vert autour de moi et je consomme local, donc tout ira bien.
-l'écologie de la convivialité : dimanche matin, on va mettre en terre une dizaine de plantes aromatiques aux jardins partagés, y aura du café (produit exotique) et des croissants (produit spéciste), et du kéfir que Dominique fait elle-même (avec du sucre, drogue exotique), c'est un beau geste pour l'environnement.
-l'écologie du dernier kilomètre : je prends mes bananes séchées en vrac, donc j'ai pas d'emballage plastique sur la conscience. Et je vais chez Sephora à pied, donc j'émets pas de CO2.
Et puis, elle a pris un scarabée dans sa main (dix fois plus grosse que lui). Elle a fait "oh la la t'es trop mignon, toi !" (à dix centimètres de sa tête). Elle me l'a montré en le faisant voyager dix fois plus rapidement que sa vitesse habituelle. Et puis elle l'a relâché avec un sourire attendri et on a continué la randonnée. Elle m'en a un peu reparlé. Elle s'est sentie proche de la nature en faisant ça, alors qu'elle a dû provoquer chez ce pauvre scarabée une crise cardiaque, ou au minimum la plus grande terreur de sa vie.
En redescendant vers le hameau, j'ai ajouté à la liste : l'écologie de l'affection.
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zehub · 1 year
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Usbek & Rica - Animaux versus humains : pourquoi la guerre des espèces n'aura pas lieu
La question animale n'a jamais été aussi présente dans l’espace public. Mais, loin de créer du consensus, celle-ci constitue désormais un territoire de guérilla culturelle entre factions rivales. Spécistes contre antispécistes, viandards contre végans, éleveurs contre animalistes… Animaux contre humain. Existe-t-il une voie médiane, raisonnable et fructueuse, entre amis et ennemis de la cause animale ? C'est à cette question que répond Renaud Large dans son essai Le Choc des espèces (L'Aube, Novembre 2022), dont nous publions les bonnes feuilles.
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antikorg · 3 years
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Vivre avec des chien-ne-s dans une démarche anti-spéciste
Vivre avec des chien-ne-s dans une démarche anti-spéciste
2021-05-09 12:00:00 Source Pour échanger des infos, documents, avis, vécus et travailler dans le but d’améliorer les conditions de vie et de cohabitation des chien.ne.s avec les humain.e.s. Par exemple en rendant plus clair et accessible des connaissances sur la culture canine afin de mieux comprendre et appréhender leurs besoins et limites. Sans trop savoir comment m’y prendre j’ai envie qu’un…
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claudehenrion · 2 years
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L'écologie radicale... ou la fin de l'humanité...
  Nos jours ressemblent de plus en plus souvent à des angoisses existentielles. On voit se développer un contre-univers mortifère, rempli de terreurs qui auraient été dites ''moyenâgeuses'' il y a quelques années, peuplées de virus improbables qui ont pris la place des monstres des ''contes de méchantes fées'' que l'on racontait aux petits enfants pour que, terrifiés, ils obéissent sans trop comprendre à toutes les injonctions, sommations et avertissements... De nos jours, ces injonctions sont devenues idiotes, impératives et non-négociables... et leur coût, insupportable.  Et ‘’les méchantes fées’’, en 2022... sont des politiciens incultes, des ''experts du 20 heures'' prétentieux, des médicastres enrégimentés  (alias des consultants fort bien payés de McKinsey)... ou encore les ayatollahs de l'écologie punitive du Giec...
Dans un monde décidément devenu complètement fou, nous avons presque pris l'habitude de considérer que font partie du paysage politique et sociologique --ou illogique-- toutes les ''harkas'' de zadistes, de trotsko-mélenchoniens, d'anti-spécistes et des extrémistes L 214, ou encore ceux qui s'achètent une renommée facile en ''emmerdant'' (sic !) ceux qui ne partagent pas leur ‘’vision’’ (?) --même totalement erronée-- des choses... Conséquence (d'ailleurs cent fois annoncée) de l'emprise grandissante du progressisme sur l'intelligence (dont on dirait qu'il prend la place... ce qui n'est pas une bonne nouvelle) : tout se passe comme si moins on s'éloigne de toute ''norme'' ayant fait ses preuves depuis et pendant des millénaires, plus on est déclaré ''cas à enfermer'' par ceux... qui devraient l'être. Et plus grave encore : c'est au nom d’une fausse tolérance que chacun entend imposer aux autres ses croyances et ses lubies... ce qui est typique d'un mode de penser ''de gauche'', les ''végan'' étant un bel exemple de cette nouvelle humanité où la violence méchante tend à remplacer toute forme d'intelligence.
On ne se rend pas toujours compte de la chance qui est la nôtre, à nous qui vivons en cette époque tout de même exceptionnelle (comme toutes celles qui l'ont précédée !) de pouvoir croiser, dans la rue et dans tous les ''JT'', des climato-activistes, des écoloféministes, des anti-tech (fers de lance de la juste (?) lutte des peuples contre la  5 G ou contre le compteur Linky), des néo-utopistes promoteurs de la vie en communauté, des collapsologues, des antispécistes (ceux qui n'aiment pas la viande et, du coup, veulent en priver tous les autres), des ''élgébétistes'' en goguette, des ''trans-tout-ce-que-vous-pouvez-imaginer'',  et des écosurvivalistes qui chantent les charmes du retour à une nature réinventée (mais... à fuir : elle est aussi improbable qu'eux  !)... . Et voilà qu’Emmanuel Macron lui-même semble vouloir ironiser sur les avantages (pas faciles à trouver) d'un pseudo ''modèle Amish'' et de la lampe à pétrole... dont il ignore tout, comme de tout le reste (Contrairement à lui, j'ai étudié en 1968 les us et les êtres des amish, et je dois à ma jeunesse africaine de maîtriser parfaitement la lampe à pétrole et son usage !).
Contre toute sagesse et toute intelligence, on a l’impression que ces divers farfeluismes font ‘’souche’’ chez une partie des plus jeunes --sans doute un reste du prurit dit ''de l'atroce Greta Thunberg'' qu'on croyait enfin en voie de cicatrisation... Mais force est de constater que pour un certain nombre de ces citoyens qui votent pour cette "europe-écologie-les-verts'' qui n'est ni l'un, ni l'autre, ni le troisième (NB : je sais bien qu'il faut de tout pour faire un monde. Mais tout de même, ''y en a qui poussent'' !), le vocable ''décroissance'' n'est pas un gros mot, et ils ne veulent regarder et garder de l'héritage de leurs aînés que les quelques points qui, apparus récemment, n'ont pas trouvé le temps ou les moyens d'être soignés, voire guéris.
La mauvaise analyse des causes réelles de la cauchemardesque ''urgence climatique''  y est pour beaucoup : on ne dira jamais assez l'immensité des dégâts qu'a commis le Giec en se polarisant sur une des ''non-causes'' d'un état certes peu réjouissant ... mais auquel l'arrêt complet de toute activité industrielle ne changerait pas un ''iota'', comme on l'a constaté lors des absurdes confinements qui ont réduit l'activité industrielle à une petite fraction de ses niveaux antérieurs. Au contraire de leurs conclusions alarmistes-par-système, ce qui est inquiétant, c'est une soi-disant urgence à ce que la France se sacrifie sur l'autel de la repentance imméritée (seule parmi les Nations... alors qu'elle contribue à la pollution totale pour un ''∈psilon'' à peine perceptible, un petit ''0,9 % du total'' !). Ils confondent leur terreurs immatures avec le rejet du système capitaliste par les faux trotskystes, vraiment rétrogrades. Tout semble se passer comme si la gauche, pratiquement morte politiquement, renaissait de ses cendres et se remettait à empoisonner le monde entier de ses remugles puants (violence urbaine prétendue ''antifa'', islamo-gauchisme, idéologies ravageuses qui refont surface. C’est au point qu'un nouveau venu dans la galaxie des troubles publics, ''l'écolo-terrorisme'', commence à inquiéter, avec juste raison, nos  Renseignements et notre contre-espionnage.
La crise actuelle entre Russie et Ukraine pourrait finalement avoir un point positif : le réveil des populations et une prise de conscience que tout (je veux dire ''vraiment tout'') ce qui a été décidé ces dernières années sous l'influence des modes ''politiquement correctes'' ou sous les crises de nerfs des  soi-disant ''verts'' (ces vrais rouges mal camouflés), c'est-à-dire le pire ramassis de mauvaises idées qui puisse être et le plus ravageur des cimetières de bonnes solutions doit être ''jeté'' avec armes et bagages, y compris la voiture électrique, l'essor de l'éolien et le retrait criminel merkelo-hollandais de l'énergie nucléaire... dont nous reparlerons, bien entendu. Il est à peine exagéré de dire que le futur de l'humanité en tant que ce qu'elle est, ce qu'elle a toujours été et ce qu'elle aimerait perdurer à être tient dans la capacité d'une nouvelle race de dirigeants de fuir comme la peste toute idée qui proviendrait de ce côté-là de l'échiquier politique...
Pour conclure ce ''billet'' sur une note optimiste --une fois n'est pas coutume !-- je vais vous confier ce que mes lectures --nombreuses, très variées et politiquement multicolores-- me suggèrent, depuis quelques semaines : l'immense bobard de l'apocalypse climatique est percé à jour par de plus en plus d'honnêtes gens, qui voient enfin la lumière à travers l'obscurantisme des prophètes de malheur, ces ''philippulus'' sans vision, annonciateurs du pire et professionnels de la mise sous terreur de la pauvre Humanité : le pire, annoncé contre toute intelligence par ces inconséquents de la fin des temps, commence à se vider de ses miasmes comme un ballon de baudruche. Encore un peu de patience, et tous les ''Giec'', toutes les ''Greta Thunberg'', Sandrine Rousseau, Barbara Pompili, et la nulle Anne Hidalgo, et leurs adeptes, suiveurs et thuriféraires sans foi ni loi auront retrouvé la place qui est la leur, celle qu'ils n'auraient jamais dû quitter : la dernière. Il suffit d'attendre...
H-Cl.
PS : Quand vous lirez ce ''billet'', quelque 70 % d'entre vous se prépareront à aller voter (espérons que ce sera plus !). Comme il est constitutionnellement défendu de parler politique depuis hier (d'où les 2 derniers sujets choisis !), nous avons abandonné les ''politicards + Zemmour'' (qui n'en est pas un), pour errer parmi les climato-punitifs, les morts yéménites et ukrainiens, les agressions urbaines, les consultants douteux,... et d'autres horreurs tout aussi regrettables : c'est le monde qui nous attend, sans aucun doute, si les prévisions des officines de sondages --qui espèrent ainsi influencer sur vos votes-- se réalisent. En cette veille d'élection décisive, la seule question qui se pose vraiment est  : Y aura-t-il encore une France, dans 5 ou 10 ans , et si ''oui'' --car la géographie est persistante--, quelle langue y parlera-t-on, quel Dieu y adorera-t-on, quelle loi s'appliquera, comment seront vêtus (et vêtues) les ''plus-du-tout-français'' qui peupleront nos rues où toute musique sera interdite, toute gaîté bannie et toute fraternité oubliée et remplacée par la violence dont nous commençons à constater les ravages, tout le temps et partout ? Je pense que beaucoup, s'ils pensent à ça dans l'isoloir, vont connaître un instant de grande solitude... Puissent-ils se ressaisir avant qu'il ne soit trop tard... L’enjeu est terrifiant !
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ekman · 3 years
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Vu la coiffure, on pourrait penser que c’est là une ènième pirate des Caraïbes à l’assaut de la République diversifiée. Il n’en est rien, puisqu’Elisabeth Moreno nous arrive du Cap Vert grâce à ses parents qui, en 1977 (nous apprend sa notice Wiki sans doute écrite par sa Dir’Cab) quittèrent les rivages insulaires de l’ancienne possession portugaise pour venir tenter leur chance en France, célèbre République dite de l’emploi, du logement et des soins gratuits – gratuits pour les uns, mais payés par les autres. Précisons que les îles du Cap Vert furent découvertes par un Gênois qui débarqua au XVème siècle sur des terres rigoureusement vides de toute présence humaine. L’homme blanc fut donc, ici aussi, le premier. Quel rapport avec Madame la ministre Moreno ? Peut-être sa facilité naturelle à se déplacer dans un système conçu par l’homo occidentalis pour l’homo universalis. Car la petite Elisabeth est brillante autant qu’ambitieuse, ce qui la conduira à devenir avocate, puis dirigeante d’entreprise, jusqu’à atteindre la pédégérisation – avant-dernière marche du Graal marchand, dernier vestibule avant d’accéder au statut ultime de « partenaire associé avec prise de participations ». Pas encore pressée par l’âge (Elisabeth tutoie la cinquantaine), la fringante wineuse s’est laissée tenter par la politique – du moins par l’exercice du pouvoir public puisqu’elle n’est titulaire d’absolument aucun mandat électif. Mais en faut-il vraiment un pour présider aux destinées du ministère de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances ? Ce ministère, par essence l’un des plus inutiles qui soit, s’avère être, à l’usage, l’un des plus importants pour un gouvernement qui n’existe que dans le brouhaha et le chahut médiatiques. Précédemment aux mains potelées de Marlène Schiappa (rappelons que “essere una schiappa” signifie en italien “être nulle”), cette entité ô combien politique permet d’allumer à l’envi autant de feux ou de contre-feux que le débat public (c’est à dire Cyril Hanouna) en réclame. Aussi ne sera-t-on pas surpris d’apprendre, grâce au Grand Jury RTL-Le Monde – summum de la probité journalistique et consécration majeure pour tout politicien(ne) en mal de notoriété –, que Madame Moreno se demande s’il est de bon ton de célébrer le bicentenaire de la mort de Napoléon, car “c‘est l'un des plus grands misogynes que j’ai jamais lu et en même temps c’est un grand homme de l’Histoire française donc je ne sais pas”. Si tu es venue à Paris, Lily, pour vider les poubelles de l’Histoire sans même en connaître le contenu, il est évidemment urgent que tu te taises. Certes, nous comprenons tous qu’une femme de ta qualité puisse être choquée à l’idée qu’un macho corse qui a conquis l’Europe à dos de cheval (posture spéciste d’oppression), ose méjuger le sexe dit faible... mais quand même. Souviens-toi de Joséphine : Napoléon n’encourageait-il pas la diversité ? Mais toi, rien ne t’arrête. Tu enchaines donc (si j’ose dire), sans trembler : “Le congé paternité, en allant plus loin, permettrait de soulager les femmes qui pendant ces périodes de congé maternité, sont en difficulté”. Allons bon : voilà que le congé maternité, qui passait pour être une belle et utile avancée sociale, est devenu une épreuve pour les jeunes mamans. Dans ces conditions, terminons l’œuvre émancipatrice et supprimons tout simplement cet outil d’asservissement. Enfin, serez-vous surpris d’apprendre que notre humaniste déclare, à propos de la GPA : “À titre personnel, j’y suis favorable mais de manière très encadrée”... Faut-il comprendre qu’elle souhaite un encadrement du tarif des mères porteuses ? Wouahhh... Moreno, un gadget de plus dans la panoplie progressiste, une inutile faisant office de marionnette écarlate afin de focaliser l’attention des bovidés. On ne sera donc pas surpris d’apprendre qu’elle compte mettre en place une « convention citoyenne sur les discriminations » et qu’elle peaufine un « index de la diversité » pour les entreprises souhaitant mesurer l’espace accordé aux minorités (?) dans leur recrutement et leur gestion des ressources humaines. C’est pas merveilleux ça ? Avec son envahissante envie de ressembler à Michelle Obama, Madame Bounty se voit Progressiste-en-Chèfe, matignonisable par traorification du discours, macrono-compatible en diable. Jupiter génère toujours plus de personnages à l’incalculable vacuité, déprimantes poupées politiques destinées à être évacuées avec l’eau du bain, le moment venu. J.-M. M.
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blog59-world · 3 years
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jhoumous-fr · 2 years
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Spécisme
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to-the-pine · 4 years
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Pôtite piqûre de rappel
Il ne suffit pas de ne pas être raciste, LGBTQI-phobe, sexiste, putophobe, islamophobe ou encore spéciste. Il faut être antiraciste, anti-LGBTQIphobies, féministe/antisexiste, anti-islamophobie et antispéciste.
Quand aux personnes non concernées par une lutte, évitez svp de vous identifier dans une lutte qui n'est pas la vôtre puisque vous ne subissez pas la discrimination que subissent les personnes concernées. Vous ne prenez que la place et la voix de ces dites personnes et êtes un engrenage de cette discrimination.
Le meilleur moyen de contribuer à une lutte et d'en être allié.e.
Comment être un.e bon.ne. allié.e ? (Liste non exhaustive)
S'informer sur les luttes pour en connaître les tenants et aboutissants
Relayer les informations concernant les luttes et vulgariser les non-concerné.e.s
Ne demander des informations que si tu ne peux les trouver toi-même, on n'a pas tou.te.s le temps et l'envie d'éduquer les autres.
permettre la prise de place et de voix des concerné.e.s
les défendre quand tu es témoin d'une discrimination
aider financièrement les collectifs qui en manquent cruellement
faciliter la vie des concerné.e.s au quotidien
reprendre les autres quand iels sont discriminant.e.s
Ne jamais remettre en question la parole d'un.e concerné.e ou contredire ce.tte dernier.e
Utiliser le terme "allié.e" pour ne pas se mettre en avant.
Merci 💜❤️🖤
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sushietrenard · 5 years
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Qui sommes-nous?
Renard
Renard bipolaire et agnostique, amie de Sushi pour le meilleur de la prise-de-tête existentielle comme dans le rire. Archéologue déçue mais qui poursuit actuellement une carrière fulgurante de mère au foyer plutôt désespérée au fin fond de la campagne Bretonne malgré des prétentions féministes. Passionnée du monde antique, Moyen-Âge et vie de nos ancêtres qui se montre intéressée par toute trouvaille de crâne de syphilitique du 15e, tombe scythe ou par les dangers domestiques d'une maison Tudor (l'utilisation des cheminées n'a pas toujours été de soi, sachez-le). Planteuse d'arbres acharnée, amie de la cause animale néanmoins ne versant pas dans la misanthropie, vaguement écoterroriste (amitiés fraternelles aux anti-spécistes). Aime les mots inusités comme "âprement", "spalière" ou "désoxyribonucléique" - ou même "inusité", tiens. Fume des cigarillos qui puent (selon certains manquant à l'évidence de nez), s'intoxique au café et dors un couteau entre les dents. N'est pas trop pote avec le consensus, les frelons et les sodas contenant l'équivalent de 34 morceaux de sucre. Ah si, voyons. Lectrice frénétique, addict aux films et séries, qui aime aussi à croire qu'un jour elle finira son roman, comme à peu près 1 milliard d'autres écrivaillons misérables sur Terre. Le plus beau compliment qu'on m'ait fait : "Tu es quelqu'un d'indiscernable". Du coup, j'ai été cernée.
Sushi
Sushi est dépressive, bisexuelle et angoissée, dans cet ordre ou dans un autre, comme ça lui vient. En bonne représentante de la génération des Milléniaux, elle a fait une licence en Histoire et un certificat en gestion touristique avant de devenir secrétaire, parce que : Pourquoi pas ? Obsédée par l’Europe, elle a tenté de s’y établir, sans succès, parce que ça a fait « boom » à Paris et que le Mont-Saint-Michel a implosé du même coup (tant pis pour eux, c’est leur perte !). Un autre truc qu’elle aime bien, c’est la fistule anale de Louis XIV, et, quand elle regarde tous les courtisans qui ont demandé à avoir la même chirurgie parce qu’ils étaient des fashion victims, elle réalise que le système de santé n’a pas vraiment changé, même si elle a maintenant élu domicile au Canada, où elle est née, après tout. Nouvellement propriétaire d’un appart dans la banlieue de Montréal, elle alterne son temps entre le tricot, le coloriage thérapeutique, les mauvais documentaires sur Netflix (non, vraiment, sans chercher très loin, vous allez en trouver de très moches, elle vous l’assure). Elle réagit aux listes de la même façon que les supporters du Paris-St-Germain réagissent à un but, et elle vient tout juste de s’étonner en réalisant elle-même qu’elle savait qu’il y avait une équipe de foot qui se nommait le Paris-St-Germain, mais bon, il y a « Paris » dedans, alors ce n’est pas trop surprenant. Présentement, sa liste de films à voir dans son bullet journal fait dix-sept pages. C’est pas trop mal, quand on pense que sa liste de séries à voir en fait trente-trois. Si, un jour, vous voyez une référence à Harry Potter sur le blog, c’est sans doute de sa faute.  
Sushi et Renard
Un beau jour d’octobre 2011, Renard a écrit à Sushi pour savoir si ça lui disait de devenir son amie. Sushi a aussitôt répondu et, malgré plus de 5 000 km, elles peuvent compter sur les doigts de la main le nombre de jours depuis ce temps où elles ne se sont pas envoyés un mail. Sushi est toujours étonnée de savoir qu’il y a des renards qui bouffent les poules en liberté de Renard, même si Renard assure à Sushi que les poules ne sont pas faites pour vivre dans les poulaillers (ce qui, du haut de son T3 au quatrième étage, surprend toujours autant Sushi). Renard est toujours étonnée de la quantité de sushis que Sushi peut manger en un seul repas, et est pourtant toujours surprise quand Sushi lui répond « Non, ça, c’est les miens, je ne partage pas. Toi, qu’est-ce que tu prends ? » Elles sont toutes les deux obsédées par IKÉA, par les histoires de fantômes et par le comportement des humains, qui, on va se le dire puisqu’on est entre nous, est franchement dégueulasse. Elles vous accueillent avec grand plaisir dans leur petit univers, et espèrent que vous apprendrez de leurs erreurs, pour que vous ne les répétiez pas !
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Kenavo ar wech all!
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initiales-bd · 5 years
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Est-ce que la vie vaut vraiment le cul d’être vécu ?
La question me tripote, je viens là et j’en papotte
t’es resté en Trap je suis en retour en jungle
La piste de danse c’est jumanji, on sait jamais quelle créature va attaquer poupette
La dépression est multi-facette prends un balai et envole toi
Loin de cette fatalité qui colle à la peau
Sue de la Jean-Jacquerie je bouge la tête
Je suis irresponsable
J’ai des story mémorable
Tu as parlé sur moi je m’en souviens, sale chien
Je suis cramé par le soleil ; les naturistes se passe la crème sur la teub
Je surf dans ma tête tous les dimanches je suis en beug
Les anti-spéciste ont une réflexion crétine
crétineries
Je suis végétarien
Tu mange des radis sans pain, comment peux-tu faire ça ?
Chaque dimanche je pense à augmenter mes gains, c’est un tracas
J’ai mis mon casque pour ne pas embêter les voisins
Je veux un petit pavillon et boire du vin
Un selfie ne sera jamais un miroir
La boulimie de réseaux exprime un mal-être
Je suis l’impératif tu es l’infinitif je t’ai tué c’est définitif
Rasé pour pas qu’on me tire par les tifs 
Si tu veux on peux parler du tarif
Je le fais sans motif, bien motivé on va loin dans les chiche ou pas chiche
Maître manipulateur ne dévoile pas ses secrets
J’ai de quoi te faire froid dans le dos demande lui il le sait
Tu vas te taire sans que je demande tu le sais
C’est de pire en pire à chaque fois
Une potion et je fais n’importe quoi
Condamné damné jamais ça ne s’arrêtera
Quand je me déplace c’est en sous-marin
Tu ne me rattrapera pas je suis trop malin
La société me va bien comme ça
Mon argent mon argent mon argent
Bien souvent, la plupart du temps !
J’en ai que pour mon argent !
Discret comme Rantanplan
T’as pas vu le coup se faire en arrivant.
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obaline · 3 years
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Exhortez les dictionnaires à interdire les définitions dérogatoires et spécistes ! | PETA
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claudehenrion · 3 years
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Un français sur deux ne croit pas en Dieu...
  Cette nouvelle traverse les médias français. La plupart s'en réjouissent, deux font mine de s'en désoler, et un --peut-être-- cherche à rendre objectivement compte d'une information, ce que les organes de presse français ne savent plus faire ! De fait, ce titre interpelle, même si ce n'est pas une véritable surprise : c'est tout de même dur à avaler pour l'admirateur fervent de notre civilisation judéo-chrétienne que je me targue d'être... et qui entend bien ''continuer le combat'' contre les folies et les ravages de la ''cancel culture'' (qui est en réalité une ''CANCER culture'')... et malgré l'horreur révélée des agissements de prêtres pornographes, qui est l'autre (très) mauvaise nouvelle du jour, dont nous reparlerons très prochainement...
Bien entendu et comme toujours, ceux qui s'en tiennent aux faits vont rarement au fond des faits, et ce sondage sur la pratique religieuse en France ne saurait se lire au premier degré... ce que font ceux qui croient que ça pourrait être une bonne nouvelle. Comme il ne sert à rien de raconter des bobards (il y a les politicards et les journaleux, pour ça !), j'abats mes cartes : pour moi, c'est une triste, mauvaise et inquiétante nouvelle. Comme tout le monde, je m'en doutais, mais c'est ''autre chose'' de le voir écrit noir sur blanc, documenté. Du coup, je préfère publier ces notes ce soir plutôt que demain où pas mal de choses vont être secouées par la publication du rapport Sauvé sur la cochonnerie répugnante de certains prêtres criminels : les idées exprimées ici risquent de se retrouver vides de tout sens, demain... et pourtant, ce qui est ''stratégique'' (le rapport de l'humanité avec le sacré) ne devrait jamais s'effacer durablement devant ce qui est ''tactique'', fut-ce violent. Et on peut prévoir que le nombre des ''sortants'' de l'Eglise ne va pas diminuer, dans les jours qui viennent : c'est ''cinquante-combien'', qu'il faudra lire ?
Car une ignorance de l’existence-même de Dieu a une portée infiniment plus grande que le ''simple'' (?) fait de ne plus ''croire en Dieu'', qui est pourtant déjà lourd de conséquences. Beaucoup croient ou espèrent lire : ''51 % des français sont devenus athées''... ce qui serait en opposition avec cette croyance, mondialement répandue, que ''l'homme est un animal religieux''. L'affirmation que ''le besoin de sacré est une constante de l'humanité'' dont penseurs et philosophes se gargarisent depuis la nuit des temps serait donc un des plus gros bobards de l'histoire ? Ce serait grave, car cela mettrait en déséquilibre, au delà des fondements-mêmes de la civilisation judéo-chrétienne (ce qui est déjà énorme... et dont nous commençons à constater les dégâts irréparables sur notre quotidien et sur notre futur), le socle sur lequel repose la philosophie depuis --en gros-- l'origine de toute humanité.
Bien entendu, personne ne précise de quel christianisme il peut s’agir, dans ce sondage : la question n'est --prudemment-- pas posée. Est-ce le Christ lui-même, une croyance, l’Eglise, une institution, notre civilisation (dite judéo-chrétienne), une influenceuse de modes de vie, de lois, de morale ou de règles quotidiennes ? Les indigents et les retardataires de la pensée --si remuants aujourd'hui-- en sont restés à un stade de l'Histoire où l’Eglise toute puissante régentait le monde et les Rois : ils n'ont même pas vu que depuis le vote de la sinistre loi sur l'IVG (1975), ce n'est plus elle qui dicte les limites de la morale en France, et ils continuent à se polariser contre son influence, devenue marginale, ouvrant ainsi toute grande la porte à tous les vents du large... remplis de vraies menaces qui s’engouffrent dans le vide !
Toute une frange de ces malpensants-rétrogrades (libres-penseurs, francs-maçons, progressistes-canal hystérique, laïcards pathologiques, etc... ) s'imaginent déjà vivant dans un pays ''athée'', comme si ''rien'' était une option possible. Ils refusent d'accepter que l'Homme étant un animal religieux --et c'est même cela qui met à mal toutes les élucubrations anti-spécistes--, le ''a'' privatif de a-thée contient en lui-même sa propre fin eschatologique : on peut envisager une sortie de la chrétienté, d'ailleurs déjà bien amorcée et qui risque de s'accélérer un bon coup dans les semaines qui viennent, mais on ne peut pas imaginer le remplacement durable de ''quelque chose'' par ''rien''. C'est, en tout cas, la seule certitude qu'on puisse avoir.
Tout le monde connaît la célèbre apostrophe attribuée à Malraux : ''Le XXIè siècle sera religieux ou ne sera pas''... En réalité, cette phrase n'est qu'un ‘’truisme qui a réussi’’ : tous les siècles ont été religieux, avant et depuis la révélation christique, comme ils le seront ''après'' --quel que soit cet ''après''. Il faut avoir le courage de voir que, entre la crainte de futures pandémies fantasmées et les inquiétudes écologiques d'une partie de la population, un foisonnement de terreurs inexpliquées (qui dépassent ce que le christianisme a pu entraîner en des temps réputés plus brutaux et plus crédules que le nôtre), nous a déjà fait entrer dans un autre monde.
Comme le Giec, les ''médicastres-experts du 20 Heures'' ou le ''Conseil secret de l'Elysée'' et les ‘’ceux-qui-savent’’, de nouvelles ''iso-églises'' prennent ou ont pris la place laissée vacante, avec leur hiérarchie, leurs rites, leur vocabulaire, leur ''Credo'', leur clergé, leur hagiographie (Sainte Greta Thunberg, Sainte Rousseau, Saint Jadot...), leurs démons (Trump, Poutine, Zemmour, les complotistes et les populistes), leurs ''mystères'' (tous leurs mensonges) et leurs légendes du siècle (leur réécriture de l'Histoire)...  Mais rien ni personne ne peut affirmer qu'elles pourraient être moins ceci ou plus cela que celles qui sont en perte de vitesse...
Chesterton avait forgé un mot, l'humanitarisme, pour décrire le peu qui reste de l'humanisme après qu'il ait refoulé l'Homme au second plan en lui refusant tout droit d'accès aux vertus chrétiennes, qui ont été dévaluées en ''valeurs républicaines'', qui sont... les mêmes, mais sans l'âme, égarée --comme la transcendance--, sans qui toute vertu devient sensiblerie et mièvrerie, marches blanches, dépôt de fleurs et commémorations stériles refermées sur elles-mêmes, faute d'avoir une référence à laquelle se rattacher. En réalité, et malgré les déviances d'une Eglise qui a elle-même perdu tous ses repères et se retrouve en pleine folie (''un seul Dieu vous manque et tout est est désolé'' aurait pu écrire Lamartine), notre monothéisme transcendant, ce socle de l'Europe, ne peut pas être remplacé par ''rien''... quoi qu'en disent ceux, aveugles et enragés, qui voient le doigt, mais pas la lune.
On croise sans cesse des témoignages de ces ''polythéismes immanents'' --et non-dits, pour le moment-- que sont le consumérisme, le ''droit à'', le ''tout, tout de suite'', le ''me first, voire me only'', et, au delà, l'adoration (= traitement prioritaire) donné à des faux dieu de passage --tels  l'écologisme, ce retour raté au panthéisme qui était, lui, si beau, et si doux à l'homme... contrairement à son ectoplasme actuel--, le réchauffisme, le vaccinisme militant, le ''gestes-barriérisme'', l'amalgamisme pathologique, la tolérance poussée à l'intolérance, voire, à entendre ce que l'on entend, l'anti-zemmourisme radical le plus ayatollesque... le tout caché sous de grands mots (épicurisme, spinozisme, bouddhisme ''zen'' et ''sagesses -au pluriel- orientales'') évoqués par des gens qui auront, au mieux, lu un livre sur le sujet...
Au fond, il semblerait bien que la bonne lecture de ces réponses devrait être : ''Un français sur deux, sans trop savoir pourquoi ni jusqu'où, déclare qu'il n'est plus trop attiré par le Dieu des chrétiens tel qu'on le lui présente, mais ne va pas jusqu'à cracher sur Allah, Bouddha, ou tous les faux dieux (qu'il sait faux, en plus !) qui favorisent une paresse du corps, de l'esprit et de l'âme (pour ceux qui en ont encore une)''... Ce n'est pas tout-à-fait la même chose !
Je suis conscient que tout ce qui précède risque d'être rendu momentanément stérile par la bombe iso-nucléaire que va constituer le rapport dit ''Ciase'' qui a été remis hier aux autorités ecclésiastiques... qui ne doivent pas savoir par quel bout saisir une patate aussi chaude et non-refilable à qui que ce soit. Mais comme j'ai tout plein d'idées là-dessus (car il n'y a de vraiment nouveau dans ce document que l'étendue de ce mal absolu), nous en reparlerons très bientôt, c'est promis-juré.
H- Cl.
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