Tumgik
#traditionalisme
a-room-of-my-own · 5 days
Note
Je rebondis également sur le mouvement antisémite et pro-Palo, mais pourquoi diantre les jeunes de gauche associent Islam et socialisme/marxisme/communisme, alors qu'il s'agit d'un religion qui prône le traditionalisme donc droite voire extreme-droite ?
Écoute les communistes iraniens ont réussi l’exploit de contribuer à filer les clefs de leur pays aux mollahs avant de se faire massacrer donc comment te dire…
Je pense qu’il y a chez eux la conviction d’être plus intelligents que « les masses » qu’ils prétendent défendre. J’ai déjà raconté cette anecdote mais quand j’étais en fac, les syndicalistes étaient persuadés que si les « jeunes des quartiers » ne manifestaient pas avec eux c’était parce qu’ils n’étaient pas politisés et qu’ils devaient - en gros - aller leur prêcher la bonne parole. Ils étaient incapable de penser que ces jeunes puissent être politisés mais juste pas intéressés.
Les communistes iraniens étaient persuadés que les islamistes n’avaient pas les outils théoriques pour construire et faire tenir un état moderne. Et que naturellement après la révolution, le pouvoir leur reviendrait. Les gauchistes de chez nous font le même calcul. C’est parfaitement cynique chez les cadres.
Chez les militants il y a beaucoup de naïveté et d’envie profonde de bien faire. Ils sont très culturellement catho dans cette idée là et c’est ce qui a sous-tendu bien des actions associatives.
5 notes · View notes
aurevoirmonty · 30 days
Text
Tumblr media
"Après tout, le Traditionalisme n'est pas un 'isme' parmi les 'ismes', un courant, une vision du monde perfectionnée ou une position politique, mais le 'mouvement statique' de destruction et de renaissance, la destruction de l'Âge Sombre de la Destruction, la construction de l'Âge d'Or de la Vie et de la Lumière, une résolution inébranlable du côté de l'Autoritas libératrice du monde. L'orientation Traditionnelle ne signifie pas 'être un suiveur' d'Evola, Guénon ou Ziegler. Ces auteurs ont fait les premiers pas sur le chemin de la restauration, leurs interprétations sont significatives, leur œuvre montre la voie ; il ne s'agit pas de les suivre, mais d'aller de l'avant, de construire sur leur héritage."
Dr László András
2 notes · View notes
yespat49 · 6 months
Text
Les courants de la Tradition païenne romaine en Italie
Tout au long du XXe siècle, et, avant l’actuelle renaissance, avec le renouveau des premiers temps du Fascisme jusqu’aux Accords du Latran (11 février 1929), l’Italie a vu se manifester ce que le professeur Piero Di Vona a appelé, pour clarifier les choses, « le Traditionalisme romain ». Cet ensemble jusqu’il y a peu hétérogène, regroupant diverses personnalités, revues et tendances, n’est…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
jakez19 · 7 months
Text
0 notes
bigoudibouclebrunes · 8 months
Text
Bigoudi Bouclebrune et les rendez-vous Maginaux
« Ah, mais je vous le dis, mes amis, la liberté d’expression est morte en cette Terre du Milieu! Prenez moi, par exemple, un intellectuel intellectuellement intelligent supérieur à tous les êtres intelligents qui lisent, car moi, je lis, ma parole est censurée! On m’interdit de parler. Toujours, tout le temps. Dans toutes les tribunes que j’ai. Dans toutes les chroniques que j’ai. Dans toutes les émissions de télégraphie dont je fais partie, dans tous les partés… les gens n’ont pas la prestance, l’attente ni la décence de m’écouter! Moi, je..! »
Bigoudi replia le bout de papier qu’il tenait entre les mains. Encore une fois, Tartieux Muck-Beauté se fendait d’un éditorial enflammé sur sa condition. M’enfin, cela faisait changement de ses 4 autres sujets de prédilections, soit : Le multiculturalisme nain et elfique nous mènera à notre perte, le nationalisme et le traditionalisme en tant que salvation de nos âmes, la langue hobbite est en danger car il y a des mots qu’il ne connait pas dedans et, enfin, l’intérêt culturel qui diverge du sien est la pire chose après Morgoth et les Serpents du Nord. Bref, toute cette démagogie donnait à Bigoudi des brûlements d’estomac.
Ce qui était dommage, car, devant lui, se trouvait des bons plats de la ville de Minas Truite. En effet, il avait devant lui du bouillon de radis du Gondor avec tofu, champignons assaisonnés, algues rôties et oignons verts, du poisson panés accompagné de pommes de terres, carottes et topinambours au coulis vinaigré ainsi qu’une petite mayonnaise épicée, une salade de crevettes d’Escargoth-sur-le-Lac avec poivrons rouges et fraises avec une vinaigrette balsamique, un cœur de laitue grillée et saupoudrée de herbes de sel, un pain frais du jour avec du fromage à la crème, des rondelles de concombre et de tomates salés, des petites biscottes du Gondor avec de l’hummus, un pain brioché avec de la crème de la Comté ainsi que de la confiture, un bol de petits fruits des champs avec les premières mûres de la saison et de la crème fouettée, ainsi qu’une bière dessert au goût de gâteau forêt elfique, ainsi qu’un kouign amann, qui, selon la légende, faisait en sorte qu’une seule bouchée pouvait rassasier un homme.
Bigoudi avait testé ces dires en en prenant le quart… et selon lui, ce gâteau était en fait une tarte au beurre et au sucre, ce qui était loin de lui déplaire.
C’est alors que Grandoulf rentra en trombe avec son masque dans la chambre. « BIGOUDI! Cria-t-il. Vous devez m’accompagnez au centre Maginal de Minas Truite! J’ai enfin eu mon rendez-vous contre le mal qui afflige la Terre du Milieu! Et, selon les dires du gouverneur de cette province, vous pourriez le recevoir aussi, avec votre embonpoint et votre élémental de comorbidité qui vous suit. »
Bigoudi toisa son ami du regard, se demandant s’il devait se sentir flatté ou insulté.
Mais ses réflexions furent interrompues par des cris dans la rue, au bas de l’auberge qui les abritait.
« UN PEUPLE, FINI, JAMAIS NE S’RA ÉMU! UN PEUPLE, FINI, JAMAIS NE SERA ÉMU! »
Ainsi que le classique : « SO-SO-SO! SAUSSICE À HOT DOG! SO-SO-SO! SAUCE À SPAGHETTI! »
Bigoudi regarda le peuple composé d’au-moins… 5 dividus dans la rue, se promenant avec des pancartes sur lesquelles des messages en langue commune mal écrite nous informait que les formules magiques contre le virus ne devaient pas être prises au sérieux, que le tout était l’engeance de Morgoth ou PIRE! De Georges Sauron! Bigoudi surpris 2 hommes jacasser fortement que leur manifestation comptait au moins 400 individus! Bigoudi se demanda s’ils allaient bien, mais il se retourna vers Grandoulf en disant : « Mon cher ami, je vous accompagne volontiers au centre de magination de Minas Truite! »
Nos deux compères mirent leurs plus beaux masques pour leur grande sortie. Grandoulf arborait un masque sur lequel était écrit « Ça pourrait être pire, je pourrais être un Entreprenur Digitale » et Bigoudi, lui, alla avec un plus minimaliste masque avec des corgis.
Ils se baladèrent fièrement, ayant hâte de pouvoir avoir leur formule magique.
Ils se firent accosté par des dividus plein d’amour et se firent agonir d’injures, car ils avaient voulus montrer les masques qu’ils avaient gardés pour cette occasion.
Grandoulf, frustrés de se faire ainsi donner « de l’amour » en pleine rue, tonna de sa voix de sagicien : « C’EST QUOI, TU VEUX D’BATT’? »
Ce à quoi les dividus s’écrasèrent un peu, parlant bas, mais en mal de nos deux amis en maugréant : « t’as-tu vu comment on leur a dit? Manne, ‘sont tellement dans le mensonge de Grima-Langue-de-Serpent pis les taux vibratoires wak, eux-autres. »
C’est alors qu’un bruit, lointain, les surpris : TADROSS! TADROSS!
« Vite, Bigoudis! COURRONS! »
Nos deux amis prirent leurs jambes à leur cou, autant que faire se peu. Pas que Conspiragollum, cet être vil qui était parti à Cayo Cocovid lors de la diffusion du virus, soit bien menaçant, mais le croiser voulait invariablement dire que les cerveaux de nos amis allait soit fondre ou juste, être dans la graisse de binne et chaque minute comptait avant que Grandoulf reçoive son vaccin magique.
Nos deux comparses purent laisser derrière eux cette foule des quelques êtres remplis d’amour avant d’enfin rentrer dans l’arène de Minas Truite, cette immense centre Maginal.
Le centre était aussi bondé que possible étant donné la distance légale et les masques permis.
Cela ne prit que quelques minutes avant que nos deux amis reçoivent leur dû.
Grandoulf avait demandé à avoir un pansement avec des chevaux du Rohan.
« Tant qu’à avoir une piqûre magique, autant le faire avec style! » dit-il.
« Voici la fin de notre histoire, dit alors Bigoudi. »
Grandoulf hocha la tête… « Je crains que cela ne commence, mon cher Bigoudi, dit-il en pointant l’affiche du très hautain et démagogue Delric Mortdâme.
Le vent souffle en terre du Mordomme, mon cher Bigoudi. Il nous faudra toute notre attention afin de vaincre cette menace. »
Fin du chapitre
0 notes
lapleiade · 8 months
Text
Le nationalisme de Brasillach n'a pas tout à fait la nuance de celui de Maurras. Il est plus jeune, plus flamboyant. Brasillach est nationaliste ingénument. Ce qu'il idéalise sous le nom de gloire, de jeunesse, d'aventure, ce sont bien les valeurs maurassiennes de conquête et de concurrence. Mais Maurras les voyait en réaliste, épris d’agrandissement matériel. Brasillach les voit en poète. Les jeunes gens sont rarement secourables. Il faut être homme pour comprendre l'humanité. Nombreuses sont les légendes de chevaliers délivrant des princesses captives. [...] Brasillach est un doux poète. Il garde aussi enfermé dans son cœur, le souvenir d'une enfance féerique et, dans quelque jardin parfumé de tilleuls, l'image d'une jeune fille ardente et secrète, presque sœur, aimée d'amour courtois. [...] En fait, il s'achemine sans s'en douter vers le traditionalisme le plus conservateur. Cela se manifeste d'abord chez lui, sensible et tendre, par on ne sait quoi de fermé, qui n’est pas réserve ni pudeur, mais inaptitude à aimer hors de chez lui. [...] Cette sensibilité sans bonté n'est pas rare chez les jeunes poètes barrésiens. Adulte, Brasillach ne la dépassera pas.
— Micheline Tison-Braun, La crise de l'Humanisme, tome II 1914-1939, (Librairie Nizet, Paris, 1967)
0 notes
aureliablr · 9 months
Link
0 notes
cernesciment · 1 year
Text
Muettes sont nos paroisses
Sous l'égide de notre grande église  nous sculptons le visage de Dieu
D’anciens outils nous façonnent les idées et notre regard pointe vers le passé
Le saint traditionalisme  béni par les mains du bas clergé
Ceux au sang pur et sacré qui surplombe nos paroisses silencieuses
Nous ne goûterons jamais aux fruits niais  plus bêtes que les nôtres
Nous serons, en retour l’extase devant la grâce de vies exaltées À genoux, à jamais pour la sanctification de mes paumes écaillées
Toujours près de nous  comme le grand toucher son omniprésence divine ne recule jamais
Il se pointe au rancart quotidien ce pesant silence paroissial pour nous rappeler notre honte et nos péchés
Le bourg au grand complet nous prions pour le feu aux robes noires nous rêvons à la grande chute
Muets mais criards de coeur nous savons qu’il est de notre côté démiurge du peuple et non celui du clergé
0 notes
christophe76460 · 1 year
Text
Tumblr media
"La tradition est la foi vivante de ceux qui sont maintenant morts. Le traditionalisme est la foi morte de ceux qui vivent encore."
Jaroslav Pelikan
0 notes
rotterdamvanalles · 1 year
Text
De drie pakhuizen en kantoor aan de Wijnhaven in 1987.
De pakhuizen aan de Wijnhaven 63-67 waren een reeks van drie pakhuizen en een kantoor aan de Wijnhaven in Rotterdam Centrum. De pakhuizen en kantoor werden gebouwd tussen 1943 en 1948 en eind jaren 80 gesloopt voor nieuwbouw.
Na het bombardement van Rotterdam op 14 mei 1940 was het oude centrum grotendeels verwoest, en moest er een nieuwe binnenstad worden ontworpen voor de wederopbouw van de stad. Al vier dagen na het bombardement kreeg Willem Gerrit Witteveen de opdracht om deze nieuwe binnenstad te realiseren. Het eerste wederopbouwplan van Witteveen bestond, in tegenstelling tot het latere Basisplan van zijn opvolger en assistent Cornelis van Traa, grotendeels uit herbouw in traditionalistische trant. Deze herbouw moest pandgewijs gebeuren en bestond uit bakstenen gevels, ramen met roedeverdeling, decoratieve elementen en schuine kappen. Hij nodigde tijdens de Tweede Wereldoorlog veel verschillende architecten uit om allerlei panden in de straten te ontwerpen van een stad die uiteindelijk nooit werd opgeleverd.
Hoewel Witteveen al in 1944 vervangen werd door van Traa en daardoor de wederopbouwprioriteit van traditionalistische herbouw naar experimentele, functionalistische nieuwbouw was verschoven, werden er in de periode 1941-1953 meerdere gebouwen in de traditionalistische stijl opgeleverd. Een aantal van deze gebouwen zijn de Rotterdamsche Bank aan de Coolsingel, de zogenoemde 'bankburchten' van de Twentsche Bank, Nederlandsche Handelsmaatschappij en Amsterdamsche Bank aan de Blaak, het PTT-kantoor aan de Botersloot en een handjevol woningen aan de Oude Binnenweg. Ook deze pakhuizen en kantoor waren onderdeel van deze traditionalistische wederopbouwgebouwen.
Na het bombardement waren alle pakhuizen en loodsen binnen de brandgrens verwoest. Hoewel er nog pakhuizen en opslagloodsen beschikbaar waren direct na de het bombardement, zoals de Pakhuismeesteren op de Kop van Zuid en De Dubbelde Palmboom in Delfshaven, was hun ligging ongunstig en bleef de nood voor nieuwe pakhuizen binnen de Stadsdriehoek hoog. Het Nederlandse tabaksbedrijf Koch en Co., opgericht in 1869 door Johannes Lodewijk Koch en zijn zwager Johannes Laverge en tevens bekend als Koch-Scheltema, gaf de opdracht aan architect Kees Elffers om een nieuwe reeks pakhuizen plus kantoor aan de grotendeels verwoeste Wijnhaven te ontwerpen. Tussen 1944 en 1947 creëerde hij een schetsplan en een meervoud aan werktekeningen voor de gebouwen. De bouw van de pakhuizen en kantoor begon in 1943, maar kwam vanwege de algehele bouwstop die op 1 juli 1942 in Nederland was afgekondigd door de Duitsers pas op gang na de bevrijding van het land in 1945. De eerste paal werd op zaterdag 15 december 1945 in de grond geslagen en de werkzaamheden waren voltooid in 1948. De opening van de gebouwen gebeurde in januari van hetzelfde jaar met de keuring van de eerste na 1940 ingevoerde Java-tabak. De gebouwen hadden de huisnummers 63 tot en met 67. In 1960 werd het kantoor tijdens een verbouwing uitgebreid. Deze uitbreiding werd tevens door Elffers ontworpen.
In 1987 vond de Rotterdamse gemeenteraad dat een van de vier gebouwen, het kantoor, een 'verouderd uiterlijk' had. Hierdoor dreigde gedeeltelijke sloop als het kantoor niet van een blauwe, glazen gevel zou worden voorzien zodat het gebouw geschikt zou worden als 'modern kantoorpand'. De overige kantoren aan de Wijnhaven waren inmiddels ook van modernistische aard. Nadat het niet was gelukt om een overeenkomst te sluiten voor de aanpassing, werden alle vier de gebouwen eind jaren 80 gesloopt voor nieuwbouw.
Het gebouw stamt nog uit de periode van de eerste wederopbouwarchitect Witteveen en was opgebouwd uit vier gebouwen in pandsgewijze opzet - drie pakhuizen en een kantoor met woning voor de conciërge, allen met vijf verdiepingen. De architect voor de panden was Kees Elffers en dit ontwerp behoorde tot zijn meer traditionele werk. De gekozen bouwstijl was Traditionalisme, specifiek de Delftse School, en de bouw zou zijn goedgekeurd door de Duitse bezetter. Ondanks dat er vier verschillende gevels waren ontworpen, bleek het gebouw echter één entiteit van 1600 vierkante meter te zijn aan de binnenkant. De gevels waren historiserend van stijl, hadden de vorm van een klokgevel in jaren 50 stijl en harkte terug naar het vooroorlogse verleden van Rotterdam, toen er nog meerdere pakhuizen in het centrum waren. De vier panden hadden allen hun eigen naam in de vorm van een lint op de gevel beschreven; de drie pakhuizen hadden de namen Java, Sumatra en Rotterdam, het kantoor had de naam Bahia. Boven deze lintgevels waren op de drie pakhuizen hijsbalken bevestigd en weer daarboven stond gevelversiering in meerdere schildvormen, allen terugslaand naar het Christendom. Alle gebouwen hadden grote, monumentale deuren als toegang op de begane grond. De overige verdiepingen van de drie pakhuizen hadden grote, verticale deuren die open en dicht konden, en aan de zijkant van iedere deur een stalen hek vanaf de tweede tot de vierde verdieping. Een balk was bij alle verdiepingen in het midden geplaatst, waarschijnlijk om valgevaar te voorkomen. De vijfde verdieping bestond slechts uit een deur. Al deze pakhuizen werden gebruikt voor de opslag van ruwe tabak voor verder vervoer naar Duitse plaatsen, zoals Hamburg of Bremen. Het originele idee van Van Traa was om deze pakhuizen te gebruiken voor de opslag van materiaal voor de herbouw van het centrum van Rotterdam. Het kantoor had een hele andere vormgeving: het gebouw had meerdere ramen, een balkon op de tweede verdieping, een grote vlaggenmast en op de vijfde verdieping een kleine cirkelvormige deur die open en dicht kon. Boven de ingang op de begane grond stond met grote letters de naam van het bedrijf - "Koch & Co.". Het interieur van het kantoor was bedekt met mooi versierde trappen en een vloer gemaakt van marmer. Er stonden tevens grote, zware bureaus met Telexapparaten.
Het traditionalistische ontwerp verdeelde de Rotterdamse populatie: de een prees de panden voor het authentiek Nederlandse karakter en de greep terug naar de vooroorlogse binnenstad en pakhuizen van toen, de ander vond het gebouw verfoeilijk, nep en had liever iets modernistischer op de plaats gezien. De Winkler Prins Encyclopedie uitte in 1954 kritiek op het gebouw en zei dat de 'archaïserende vormen van de pakhuisfronten (bekleed betonskelet!)' sterk afstaken bij de 'zuivere architectuur' van metaalfirma Van Houten aan de Jufferstraat uit 1951. Ook de architect Elffers was verrassend genoeg niet blij met de architecturale keuze van die tijd, maar zette de bouw toch voort.
Foto en Informatie komt van wikipedia.
Tumblr media
0 notes
studiop8-blog · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media
Entre traditionalisme et modernité avec Youcef...
Mel Dib
21003575
0 notes
giugelea · 1 year
Text
Plaire et toucher Essai sur la société de séduction, de G. Lipovetsky.
Dans l’ouvrage Plaire et Toucher, Gilles Lipovetsky traite sur l’hyper-individualisme qui tend vers la consommation et le toujours plus. Il aborde ce sujet avec bienveillance loin des discours catastrophistes qui considère le consumérisme comme un abrutissement culturel.
Cette postmodernité est caractérisée par le besoin de séduire. Les rituels de séduction existent depuis la nuit des temps mais on était restreints par des obligations collectives. Dans la postmodernité, chacun est libre de les interpréter à sa façon. Le plaire est toucher cher à Racine se développant avec l’individualisme est passé d’une règle de représentation à une exigence constante de fabrication du désir s’immiscent partout et remplacent le traditionalisme.
Si certains considèrent la séduction comme synonyme d’uniformisation, d’infantilisations, d’addiction, de souffrance et d’aliénation, l’approche de Lipovetsky permet une personnalisation. Les consommateurs sont capables de rationaliser leur choix, faire la part des choses, etc et garde leur esprit critique.
L’hyper-individualisme n’est pas toujours synonyme de sociabilité superficielle. De plus si la société de séduction amène son lot de désarrois, Lipovetsky n’opte pas pour un discours moralisateur car l’individualisme n’est pas un frein à la profondeur des liens.
Ceux souhaitent résister au règne de la séduction doivent tout de même se rappeler que la séduction règne en maître.
0 notes
aurevoirmonty · 8 months
Text
Tumblr media
"Pour comprendre Codreanu à travers le prisme du traditionalisme de Douguine, il faut prendre conscience de l’importance du pôle, l’axe immuable autour duquel tournent les sociétés traditionnelles. Pour Douguine, ce pôle représente les principes intemporels qui restent inébranlables quels que soient les changements temporels. Dans le contexte roumain, Codreanu a identifié l’orthodoxie comme étant ce pôle. Ses batailles contre ses adversaires politiques n’étaient pas seulement des batailles politiques, mais aussi des batailles entre le monde de la tradition, avec sa verticalité, et le monde de la modernité, avec son horizontalité destructrice."
Constantin von Hoffmeister
1 note · View note
leconseildupeco · 1 year
Text
Les Polonais sont réputés pour leur conservatisme et leur traditionalisme
Les Polonais sont réputés pour leur conservatisme et leur traditionalisme
Les Polonais sont réputés pour leur conservatisme et leur traditionalisme, qui est une réalité. Leur hospitalité, fondée sur l’adage : “Un hôte chez soi, c’est Dieu dans la maison”, n’est pas une notion usurpée. À noter que ce peuple n’est pas réputé, en revanche, pour sa ponctualité. Lorsque vous êtes invité chez un particulier, arrivez un peu en retard pour ne pas trouver votre hôte au…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
guyboulianne · 2 years
Photo
Tumblr media
En 2013, Vladimir Poutine a présenté le traditionalisme comme le cœur de l’identité nationale de la Russie, déplorant des menaces telles que la mondialisation et le multiculturalisme, la volonté d’un “monde unipolaire” et l’érosion des valeurs chrétiennes: https://www.guyboulianne.info/2022/05/19/en-2013-poutine-a-presente-le-traditionalisme-comme-etant-le-coeur-de-lidentite-nationale-de-la-russie-deplorant-des-menaces-telles-que-la-mondialisation-et-le-multiculturalisme
0 notes
Photo
Tumblr media
Forteresse - Traditionalisme
29 notes · View notes