thebxckrose

[thebxckrose]

M’aime t-il ?

Je ne sais pas comment interpréter

Les regards en coin de ce garçon,

Qui dit en aimer une autre.

[thebxckrose]

Friendzone

Cette phrase qui fait si mal,

Me tue toujours un peu plus,

Quand il me dit :

“Tu es ma meilleure amie.”

[thebxckrose]

Chère Cassiopeia Black,

J’écris cette lettre car ma psychologue pense que c'est bénéfique de m'écrire à moi même. Depuis quelque temps, elle répète sans relâche que je vais mieux. Pourtant, elle a toujours ce sourire au lèvres quand je lui donne les quelques livres sterling que je lui dois. Elle répète sans cesse, que je me méfie de tout le monde et que c'est sûrement à cause d'un de mes traumatismes d'enfance. Je ne la crois pas trop car d'après elle, tous mes troubles sont dû à cause d'un traumatisme lié à mon enfance. Mais quand je repense à la froideur de maman et aux endoloris de papa, je ne peux que lui donner raison. Même maintenant à vingt-deux ans, le nom de mon père me fait frémir et je ne ferme plus l'œil de la nuit en pensant qu'il peut arriver à tout instant.

Ma psychologue m'a aussi dit d'arrêter d'aller dans des soirées avec des étrangers, mais quand j'entends les dangers de la nuit m'appeler je ne peux pas résister bien longtemps. L'odeur de la cigarette me monte à la tête et je suffoque presque tellement elle m'englobe. Des fois, je me noie dans les shots de vodka et les coupes de champagne. Certaines fois, j'en oublie même mon prénom et aussi mes problèmes, mais le lendemain matin, tout me revient dans des flashs incessants, me donnant l'envie de me balancer de ma fenêtre.

Il y a longtemps, ou peut-être que c'était hier, je suis monté sur le toit de l'appartement que je loue. J'ai regardé longuement le paysage parisien, puis je me suis souvenu de pourquoi j'étais là. Alors je me suis avancé lentement vers le bord, mon chignon habituel était défé et mes mèches brunes suivaient le sens du vent. J'ai penché la tête vers la rue en dessous de moi et la nausée m'est venue. Je me suis reculé de quelques pas et j'ai vomi tout mon saoul sur le toit, repensant à toutes ses promesses que je n'ai pas tenues.

Hier soir, au lieu d'aller rejoindre le monde de la nuit, j'ai écrit une lettre à Dorea mais je l'ai jeté. Elle était trop fade. Il n'y avait pas des mots du cœur, juste des excuses vaines. Des pardons dans le vent. C'est sûrement la chose que je sais le plus faire. De toutes manières, tout le monde préfère Dorea et je les comprends car moi aussi je la préfère. Elle a pu trouver un bon parti et avoir un merveilleux fils. Alors que moi, je ne suis que bonne aux relations d'un soir et à une maladie qui m'empêche de donner la vie. Car je donnerai tout, pour avoir un enfant rien qu'à moi. Il me donnerait sûrement le courage de me lever tous les matins et de reprendre mon métier d'écrivainne. Maintenant, je ne suis bonne qu'à faire de vulgaires nouvelles qui parlent d'amour perdu, alors que je ne l'ai même pas trouvé.

Certains jours, j'avoue à ma psychologue que je me sens horriblement vide. Comme une coquille qu'on a abandonnée sur le sable fin de la plage. Je suis la fille non désiré, qui ne vaut rien, pas même une dot enviable. Dans ces moments là, elle me répète qu'il y a bien quelqu'un sur cette terre qui veut bien de moi et je lui réponds dans un sourire qui cache mes larmes : « Sûrement mon chat, qui sans moi mourrait de faim. ». En effet, ce chat est vraiment stupide. Pas plus tard que mardi, il se prenait la vitre du salon, pensant attraper une mouche. Il ne veut même pas de mes caresses, courbant toujours le dos quand je l'approche sans nourriture. C'est peut-être lui qui me porte la poisse avec son pelage sombre, il faudrait que je pense à faire du ménage bientôt.

Un jour, un homme avec qui je passais mes nuits régulièrement m'a demandé pourquoi j'avais autant de marque sur mes avant-bras. Au début, j'ai fait l'idiote. Prétendant que je n'avais jamais remarqué ses cicatrices. Mais quand j'ai plongé mon regard dans le sien, j'ai avoué. Si je fais ça, c'est parce que je me déteste. Non même pas, c'est parce que je me hais ! Je ne m'aime pas moi même et cette pensée me dégoûte. Je me dégoûte. J'en suis même venu au point où le miroir de la salle de bain est recouvert d'un voile épais.

Je crois bien que depuis que je côtois les coins sombres de Paris, je n'ai jamais connu la jouissance d'aller au bout, toujours trop avide pour mes partenaires. Un homme de lettre avec qui je passais souvent des soirées intimistes, m'a décrit d’insatiable. Mais peut-être qu'au fond il avait raison, car je n'en suis plus à ma première orgie.

Je rêve d'un monde où tout serait plus facile et où je saurais qui je suis vraiment. Dans ce monde, je saurais distinguer le rêve de la réalité et je ne laisserai plus passer les bonnes occasions. Un monde où j'aurais une ribambelle d'enfants que j'essayerais de rendre fière, et un marié à aimer qui me satisferait même au lit. Nous ferions l'amour pendant des jours et ne nous lasserons jamais. J'aurais un chat, à poil blanc qui serait affectueux avec moi et je ne me comparrerais plus sans cesse à mes frères et soeur. J'aurais des parents aimants et un travail qui me plaît et paille bien.

Mais après tant d'euphorie, je me réveille péniblement en entendant les voisins d'à côté forniquer à travers la fine cloison qui sépare nos deux appartements. Dans ma délicatesse habituelle, je tape contre le mur et les gémissements se font de plus en plus silencieux. Je me lève avec lassitude et me dirige vers la cuisine pour manger un reste de pudding qui reste dans le frigo. Sur la table basse, des enveloppes. Une de la banque, une facture, une des huissiers qui me menacent de me prendre mon appartement et une lettre cachetée. Cette dernière doit être des parents, qui me demande où je suis et si je compte rentrer pour fêter Noël avec eux. Caché en dessous de toutes les autres lettres, se trouve aussi celle de mon éditeur qui me demande sûrement la fin de mon roman. Mais comment lui dire que les démons ont dévoré mon l'inspiration ?

La noble et pas si prestigieuse,

Cassi’

[thebxckrose]

Drago *qui vient de se réveiller* : Il est quelle heure ?

Harry *insomniaque* : L’heure que tu t’achètes une montre.

Drago *ne comprenant toujours pas* : Quoi ?

Harry : feur !

Drago : Surtout, merci de ta solicitude ! ne viens pas te plaindre, si demain matin tu ne te réveilles pas.

#drarry

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James : J’ai vraiment eu une journée horrible auj-

Regulus : Ta gueule ! Espèce de traite-à-ton-sang !

James : Tu n’es qu’un raciste !

Regulus : Je ne suis pas raciste, je déteste tout le monde de la même façon.

#jegulus

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Serdaigle *lit*

Gryffondor : Salut Serdaigle !

Serdaigle *étudie*

Gryffondor : Ça va Serdaigle ?

Serdaigle *écrit une thèse sur je ne sais quoi*

Gryffondor : Bonne nuit Serdaigle.

Deux heure plus tard.

Serdaigle *ne lève pas les yeux de son livre* : Tu m’as parlé Gryffondor ?

Poufsouffle : Il est parti se coucher depuis longtemps.

[thebxckrose]

Gryffondor *revient encore ensanglanté*

Serpentard *lève les yeux au ciel*

Poufsouffle *paniquée* : Tu vas bien ? Tu peux bouger ton petit orteil droit !? J’ai combien de doigts ??

Serdaigle : Il a sept côtes cassées, une foulure du genoux gauche et je crois bien qu’il s’est déboîté l’épaule.

Gryffondor : Vous inquiétez pas les mecs, je vais bien.

Serpentard *avec sarcasme* : Mais bien sûr.

Gryffondor *s’écroule*

[thebxckrose]

Serpentard et Serdaigle au Louvre.

Serpentard : C’est moche.

Serdaigle *prend un air sérieur* : La peinture est un art subjectif.

Serpentard : C’est subjectivement laid dans ce cas.

[thebxckrose]

Serpentard *en train de manger un paquet de biscuits*

Poufsouffle *fixe Serpentard*

Serpentard *dévisage Poufsouffle*

Serpentard : C’est bon t’as gagné je te donne UN SEUL ET UNIQUE BISCUIT !

Poufsouffle : Merci infiniment !

Serpentard *détourne le regard* : C’est bon je te donne le paquet.

[thebxckrose]

Astoria et Cassi prennent le taxi pour la première fois.

Astoria&Cassi *entre dans le taxi* : Bonjour monsieur nous aimerions nous rendre au magasin Gucci le plus proche !

Chauffeur : D’accord, ça ferra £10 pour le trajet.

Astoria *s’embrouille entre les livres sterling et les galions* : Voilà monsieur.

Cassi *émerveillée par sa découverte du bouton qui ferme et ouvre les fenêtres*

Astoria : Sinon vous pouvez nous conduire n’importe où avec cet engin ?

Chauffeur : Ma veille Becky peut vous transportez là où vous le souhaitez mademoiselle.

Cassi *ouvre de grands yeux en découvrant le porte gobelets* : La personne qui a inventé ce truc devait être drôlement intelligente !

Chauffeur *déconcerté* : D’où vient votre amie ?

Astoria : De la noble et très ancienne famille Black voyons !

Chauffeur : C’est une branche de la famille royale ?

Cassi *règle son appui-tête parce qu’elle trouve ça très drôle* : Bien sûr que nous descendons de la famille royale ! Mes ancêtres faisaient parties des plus nobles chevaliers de France avant d’arriver en Angleterre et de devenir de grands aristocrates !

Astoria *chuchote au chauffeur* : C’est un sujet assez sensible si vous voyez ce que je veux dire.

Chauffeur *ne cherche même plus à comprendre* : Je vois ça…

[thebxckrose]

Cassi : Si.

Lyall : Non.

Cassi : Siiii !

Lyall : Nooon !

Cassi : Bah si !

Lyall : BAH NON !

Cassi *vient de réaliser* : Tu peux me rappeler pourquoi on fait ça depuis ce matin ?

Lyall : Eh- bah- c’est-à-dire que… moi non plus je sais pas.

Cassi : On est vraiment irrécupérable-

Lyall : Alors oui clairement.

Cassi : Mais bon c’est ce qui fait notre charme !

Lyall : On est au-dessus des autres de toutes manières !

Cassi *met des lunettes de soleil* : Je dirais même plus, c’est de la haute qualité !

Lyall *avec de lumière autour de lui* : On est des marques de luxes.

Cassi : Ça tombe bien mon deuxième prénom c’est ✨Chanel✨.

Lyall : Et moi ✨Dior✨.

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Lyall&Cassi *trop fiers d’eux* : On est trop beaux.

Astoria *met ses lunettes de soleil* : Rectification, je suis trop belle.

Cassi :

Lyall *sent l’égaux féminin emplir tout l’espace* : On est tous les trois des bg, ok les filles ?

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6:30 am, le réveil sonne.

Cassi *éteint le réveil* : Encore deux petites minutes…

6:45 am, réveil de Callidora sonne.

Cassi *grogne* : Mais que quelqu’un éteigne ce putain de truc !

Callidora *éteint le réveil* : Mais qui a allumé ce truc ?

7:00 am, Cendrella arrive.

Cedrella : Les filles vous avez raté le petit-déjeuné.

Cassi *pas bien réveillée* : Raté quoi ?

Cedrella : Le petit-déjeuné.

Callidora *se réveille immédiatement* : NON ! Pas encore !

Cassi *toujours pas bien réveillée* : Pourquoi vous parlez de petit-déjeuné à six heure du matin ?

Cedrella : Il est exactement sept heure deux.

Cassi *se lève précipitamment et manque de se faire un croche-pâte avec son drap* : Putain, c’est la quatrième fois cette semaine !

[thebxckrose]

Mia et Cassi en plein débat.

Mia : Mais tu vois bien que les russes n’ont aucune excuse ! Il tue des gens sans la moindre raison !

Cassi : Oui mais- euh… Moscou est une très jolie ville il faut la défendre !

Mia *plaque une main sur son visage* : Est-ce que tu as conscience que ton argument ne tient absolument pas la route ?!

Cassi : Tu sous-entends donc que Moscou n’est pas une magnifique ville ?

Mia : Bien sur que non, mais-

Cassi *lui coupe la parole* : Ah tu vois même toi tu le reconnais !

Mia *désespérée* : Tu sais de quoi on débat au moins ?

Cassi : Quelle ville est la plus belle entre Kiev et Moscou, non ?

Mia *hésite encore entre pleurer ou rire* : C’est bien se que je me disais.

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The Amortentia of Cassiopeia :

l’odeur des agrumes.

le goût du miel.

un soupçon de cannel.

le son des livres froissés.

l’ambiance d’une librairie de campagne.

le touché rugueux du corail.

la nuance du vert d’eau.

le froid des nuits étoilées.

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Cassi *déjà un peu bourrée* : Tu veux un verre ?

Violetta *poliment* : Non merci.

À la fin de la soirée.

Violetta&Cassi *chante en se tenant par les épaules*

Cygnus : Que quelqu’un les arrête, j’entends déjà les magazines à scandales de demain.

Pollux : Elles ont encore recommencé ?

Dorea *avec sa tête la plus mignonne* : Je peux aller avec elle ?

Cygnus : Bien sûr que non jeune fille !

[thebxckrose]

Cassiopeia Black headcannons :

a toujours un livre dans son sac à main.

a toujours un sac à main.

adore Jules Vernes.

aime se balader dans les magasins de meubles.

écrit des poèmes quand elle s’ennuie.

déteste la montagne.

mais adore faire du ski.

a toujours apprécié Pollux, mais ne lui dira jamais.

est beaucoup trop fier.

mange toujours sa crème glacée trop vite et se plaint d’un mal de tête après.

ne peut pas sortir sans lunettes de soleil.

adore aller au cinéma.

déteste les comédies romantiques.

rêvait d’aller sur la Lune quand elle était enfant.

porte toujours des jupes à carreaux.

se pince les lèvres quand elle ment.

n’assumera jamais d’aimer les filles.

on ne lui dira jamais assez « Je t’aime ».

trouvait Marius adorable, jusqu’au moment où il lui a volé un de ses livres préférés.

écoute souvent des vinyles.

a un t-shirt du groupe Queen.

adore jouer du piano.

est une vrai alcoolique.

a fait le tour de toutes les distilleries d’Écosse.

Dorea est sa préférée de la fratrie.

a acheté toutes les rééditions de Dracula de Bram Stoker.

« Tout est relatif » est sa phrase préférée.

aime tous les alcools, fort comme doux.

a l’alcool triste en soirée.

adore le karaoké.

est kleptomane à ses heures perdues.

#cassiopeia black #cassiopeia #famille black