Tumgik
#26. Fête
apaminerala · 2 months
Text
Soirée Carnaval @ Embassy
À vos costumes… prêts, partez !La fameuse soirée Carnaval de l’UFE ROUMANIE est de retour ! Rejoignez-nous pour une soirée déguisée mémorable, avec open bar jusqu’à minuit, DJ et rires à volonté!QUAND ? Le 29 mars, à partir de 20h. OÙ ? À l’Embassy Gallery, Piata Alexandru Lahovari, nr 8.160 lei/pers tarif non-adhérent130 lei/pers tarif adhérentLien d’inscription à l’événement…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 131
Fin Aout plan Jimmy, Ed et Ric chez DGSE (190 26 épaisse)
Le dernier WE d'Août, ;j'ai organisé pour mon client " DGSE " sa soirée interrogatoires. Avec l'accord d'André pour l'utilisation de Ric (en récompense de sa malléabilité et de tout ses progrès), nous avons débarqués à 4 chez lui.
J'avais prévenu Ric de l'ambiance qui allait y avoir mais nous avons été surpris, tous, du démarrage direct dès la porte d'entrée refermée et la remise de mon enveloppe.
Les trois jeunes se sont retrouvés contre le mur de l'entrée bras écartés mains posées sur le mur et pieds en retraits écartés aussi. Palpation de vérification de port d'arme et les trois se sont retrouvés menottés dans le dos. Poussés au sous sol, ils sont entrés dans la salle des interrogatoires. J'ai noté qu'elle avait subi quelques changements : nombreux anneaux au plafond et au sol, porte ouverte sur une autre partie faisant cellule avec lits en fer.
Je me calais dans un coin pour mater le spectacle et surtout vérifier que le client n'allait pas trop loin.
Il leur a lu un chef d'accusation bidon de trafic de drogue et de prostitution puis en a enfermé deux dans l'autre pièce (Ric et Ed) attachés chacun au pieds d'un lit.
Interrogatoire de Jimmy, traité de petite pute, de dealer, intimidations, menaces etc. Pour finir, il le fout à poil et l'attache avec des chaines les bras tirés vers le plafond alors que les pieds sont fixés au sol par des menottes acier aux anneaux dont j'avais remarqué la présence nouvelle en entrant. Là il le laisse pour aller chercher Ed et Ric. Ces deux derniers sont à moitié surpris de trouver Jimmy dans cette position. DGSE leur dit que s'ils n'avouent pas, il va leur faire subir la même chose. Je vois Ed s'apeurer et Ric sourire. Ils refusent de parler (c'est évident) et ils se retrouvent tous les trois fixés aux anneaux, nu pour Ed. DGSE sort alors le matériel. Je vois apparaître sur une table roulante, plugs, godes de taille très correct à monstrueuse, baillons boule ou mini bite, bandeaux et appareillages de stimulation électrique. De mes trois " employés ", seul Ric jubile de ce qu'il voit, surtout de l'appareil de stimulation dont il n'a jamais testé les effets. DGSE commence par " jouer " avec Ed et Jimmy qui encadrent Ric. Dilatations anales, pincement de tétons, étirements de couilles... puis détachés il les encule l'un et l'autre avec les 26cm épais qu'il porte entre ses jambes, pliés sur le plateau de son bureau. Ric regarde et commence à s'impatienter. DGSE le voit mais le laisse attendre. Il prend bien le temps de limer les culs de Jimmy et Ed, jusqu'à ce que ces derniers laissent passer sa tige entière sans le freiner. Quand il arrive à ce stade, il les plug et leur demande de serrer dessus, que s'il en voit un tomber, ça va être leur fête. Puis il les rattache semi pendus au plafond.
Quand il passe à Ric, je vois dans ses yeux un éclair de vice. Il faut dire qu'encadré par les deux crevettes, Ric paraît encore plus musclé qu'il ne l'est (ce qui est impressionnant !). DGSE passe du temps à faire courir sa main sur la peau de Ric, pinçant de temps à autre pour vérifier l'absence de graisse sous cutanée. Ric est affuté, son coach à son club de gym le maintient en condition de concours. De plus l'absence totale de poil donne un effet surréaliste à la " chose " bronzé intégralement.
Il commence à le travailler. Un téton puis l'autre, les deux sont pincés et étirés. Leurs tailles au dessus de la moyenne sous entend un travail régulier. Il ne faut pas longtemps pour que Ric se mette à bander ferme et que son jeans montre la forme exacte de son gland plaqué contre sa cuisse (il n'a pas mis de slip !). DGSE s'en aperçois. Il cesse et décide de le faire débander. Il le met à poil et le douche à l'eau glacée. Je n'avais pas remarqué jusque là qu'un des coins de la pièce était aménagé pour cela, tuyau d"arrosage et siphon d'évacuation. Quand Ric revient mouillé, il a débandé. DGSE en profite pour lui enfiler une cage de chasteté qu'il cadenasse. Vue de loin, elle ne lui laissera pas beaucoup de possibilité de développement !
Il le rattache en croix et recommence à tordre ses tétons. Ric bande direct et je le vois souffrir un peu de la restriction. Avant de venir, je lui avais demandé de régulièrement me regarder pour me signifier s'il était toujours d'accord d'un clignement simple des yeux. Il cligne et me rassure par la même occasion. DGSE s'attaque alors à son anus. Il commence direct par un gode à manche d'au moins 22cm. Juste une noisette de gel et il l'enfonce jusqu'à la garde. Une fois, deux fois, trois fois avant de passer à la taille au dessus. Je vois quand même qu'il prend la précaution de ne pas le dilater plus que sa propre bite, il veut encore un peu de travail lorsqu'il rentrera son bout. Je ne dis rien mais je connais mon Ric, même dilaté, avec la musculation de son anneau, il pourrait encore serrer une petite bite après. Il détache les poignets de Ric et les lui ré-attache à ses chevilles. Pour éviter le risque qu'il ne bascule complètement, il lui passe une ceinture qui, elle se trouve attachée au plafond. Comme cela son trou devient facilement sodomisable. Ce qu'il fait. Le cul de Ric lui arrache un gémissement de plaisir. Il profite du trou une bonne demi heure s'arrêtant fréquemment pour ne pas jouir. Puis il passe à la vitesse supérieure. Je le vois tirer de la pièce adjacente un fauteuil d'examen gynéco. Il y installe Ric attachant ses chevilles aux cales pieds écartés. Il lui attache aussi les bras et lui passe un collier qu'il fixe à son tour, bloquant toute tentative de se redresser. Il défait la cage qui lui bridait le sexe et tous nous voyons se développer ses 20cm violacés. DGSE attend qu'il bande bien avant d'installer les branchements électriques. Pinces aux tétons, un anneau serrant la bite avec les couilles au ras du pubis, un autre placé sous le gland et pour finir un plug. Ric n'a pas débandé d'un poil, ça l'excite un max. L'ensemble est branché sur un bornier avec trois potentiomètres, le premier pour l'intensité, le second pour la durée de l'impulsion et le troisième pour la fréquence. Il commence gentiment, nous voyons Ric contracter sous les impulsions électriques ses pecs ou bien sa bite. Quand DGSE envoie du courant dans le plug, Ric décolle les fesses de la table. Avec l'augmentation de l'intensité, les contractions sont plus violentes mais il bande toujours autant, preuve du plaisir qu'il y prend. Je pense que j'informerais son père de cela, ils pourront ainsi varier leurs jeux. Maintenant DGSE joue sur les deux tableaux, intensité et fréquence. En faisant varier les deux, Ric ne sait plus à quoi s'attendre. Courts violents ou longs faibles, chaque type d'impulsion de fait réagir et bander un peu plus. Deux trois fois DGSE test sa résistance extrême par des impulsions hautes et longues. Ric encaisse et bande toujours autant.
Mes deux minets n'en mènent pas large. Chacun se dit qu'après Ric se sera son tour. De temps en temps, quand ils arrivent à détacher leurs regards du corps de Ric, ils me fixent interrogatifs.
DGSE a maintenant retiré le plug électrifié et kpoté s'enfile dans le conduit rétréci de Ric. Pendant ce temps là, les réglages sont sur faible intensité comme fréquence. Il prend tout son temps pour faire entrer ses 26cm. Mais bien calé au fond, il donne deux, trois coups de rein supplémentaire pour en être sûr. Ric gueule son plaisir. Le temps passant, la stimulation électrique progresse et DGSE règle sur haute intensité, court mais fréquent. Le résultat est que ses va et vient deviennent hachés. Chaque passage du courant contracte Ric qui serre son anus au point de l'empêcher de bouger. Les deux hommes ont l'air d'y prendre un plaisir incomparable. Ils finissent par ne plus tenir et nous voyons Ric éjaculer de façon extraordinaire. Son sperme gicle 5 a 6 fois à au moins 1m au dessus de lui avant de retomber sur son torse. DGSE tamponne le fond de son boyau remplissant sa kpote (quand il la videra, son sperme remplira un tiers d'un verre !).
DGSE débranche Ric. ce dernier ne tient plus sur ses jambes et il doit le porter sur un des lits. Je me permets d'aller le voir. Accroupi à sa tête, je lui demande tout bas comment ça va. Son ton est fatigué mais il me répond avoir pris un plaisir jusque là jamais atteint. Je lui dis de se reposer.
Quand je rejoins les autres, c'est au tour de Jimmy d'être sur la table d'examens. DGSE n'a pas débandé d'un pouce ! (viagra ??). Sans électricité, DGSE lui travaille le cul et ne tarde pas à l'enfiler de nouveau. Pour la première fois je vois DGSE se pencher et venir rouler un patin à sa " victime ". Jimmy apprécie et je le vois tendre la tête quand DGSE se redresse. Je ne sais si c'est l'effet salive mais j'ai l'impression que DGSE monte plus vite en pression qu'avec Ric. Il recommence à lui mettre la langue pénétrant les deux extrémités de mon petit Jimmy. Contactions, quand il se redresse ses abdos sont couvert du jus de Jimmy et quand il sort de son cul, le contenu de sa kpote me paraît encore important pour une deuxième éjaculation aussi proche de la première.
Il détache Jimmy et le prend dans ses bras pour lui rouler un dernier patin, qui dure, dure un bon moment. Jimmy lui demande s'il peut faire jouir Ed qui commence à avoir mal ;de n'avoir pas juté depuis un bon moment. Avec l'accord de DGSE, Jimmy suce Ed encore attaché jusqu'à ce qu'il jute sur son visage.
Avant de partir, DGSE me prend à part pour me demander deux choses. La première si je pouvais lui ramener Ric de temps en temps et deuxièmement si il pouvait avoir une exclusivité sur Jimmy. Pour Ric je m'y attendais un peu connaissant le loustic et ses réactions à la domination physique. Par contre pour Jimmy, c'est une surprise. Il ajoute rapidement qu'il a les moyen de me dédommager et de l'entretenir. Je lui dit que je dois y réfléchir et surtout en parler avec l'intéressé. Ça beau être ma " pute ", je l'aime beaucoup et il a beau être majeur je dois voir avec son oncle (Samir). Je lui dis que je le rappellerai plus tard. Pendant le retour, je prend Jimmy à mes cotés. Moi je n'ai pas encore juté et mes couilles me font mal tellement elles sont pleines. Dès le coin de la rue passé, je tire sa tête sur mes genoux et il me déboutonne le jeans et avale mon gland. Je suis tellement excité que je ne me retiens que 10 mn avant de le gaver de mon jus. Il avale, avale et avale encore. Il aime ça et cela laisse le pantalon propre !
Les deux autres à l'arrière ne sont pas restés sans rien faire et dans le rétroviseur, je vois Ric se faire sucer par Ed. mais quand il jute, c'est dans un mouchoir en papier.
Je lâche Ed devant chez lui, Jimmy à la maison et rend Ric à son paternel. J'accompagne Ric. André nous attendait impatient de savoir comment cela s'était passé. Je lui ai dit qu'il avait tellement bien fait l'affaire que mon client serait prêt pour une autre fois. Je lui ai dit aussi que Ric avait testé la stimulation électrique et que c'avait été efficace. Quand je lui ai raconté la sodomie sous impulsion, j'ai compris que André était intéressé.
Retour définitif à la maison. J'y suis seul Marc est en déplacement. Le dimanche sera calme propice à la réflexion. En fin de soirée je prend Jimmy et Samir dans le bureau de Marc et leur explique ce que voudrait DGSE. Jimmy est tout excité, je n'avais pas compris à quel point les trois rencontres avec ce client lui avait plu. J'explique bien à Samir qui est ce type (résultat de l'enquête de mon client flic) et ce qu'il propose. Je leur explique aussi que pour moi, cela allait devenir difficile de continuer le petit jeu de façon aussi intense et que finalement c'était ce que nous avions prévu même si c'était pour plus tard.
Samir me dit que si c'est OK pour moi, c'est bon pour lui. Je lui dis que je le tiendrais au courant de l'arrangement que je vais négocier.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
11 notes · View notes
blackswaneuroparedux · 11 months
Text
Tumblr media
At last, After our home attain'd, we turn'd, and lo! With festal fires the hills were lit! Thine eve Saint John, had come once more, and for thy sake As though but yesterday thy crown were worn, Amid their ruinous realm uncomforted The Irish people triumph'd. Gloomy lay The intermediate space; - thence brightlier burn'd The circling fires beyond it. 'Lo!' Said I, Man's life as view'd by Ireland's sons; a vale With many a pitfall throng'd, and shade, and briar, Yet overblown by angel-haunted airs, And by the Light Eternal girdled round.
Aubrey Thomas de Vere, The Sisters (1861)
June 24th is St John's Day.
Saint John's Eve, starting at sunset on 23 June, is the eve of celebration before the Feast Day of Saint John the Baptist. The Gospel of Luke (Luke 1:26–37, 56–57) states that John was born six months before Jesus; therefore, the feast of John the Baptist was fixed on 24 June, six months before Christmas according to the old Roman calculation. This feast day is one of the very few saints' days which commemorates the anniversary of the birth, rather than the death, of the saint being honoured. The Feast of Saint John closely coincides with the June solstice, also referred to as Midsummer in the Northern Hemisphere. The Christian holy day is fixed at 24 June; but in most countries festivities are mostly held the night before, on Saint John's Eve. This holiday is celebrated in many places.
In England and Ireland there is a tradition to jump over a bonfire holding hands with your lover. Your love will last all year. Save the ash from your fire. It will protect crops from lightening storms.
Across many parts of Europe they celebrate St. John’s day with bonfires.
In France, the "Fête de la Saint-Jean" (feast of St John), traditionally celebrated with bonfires (le feu de la Saint-Jean) that are reminiscent of Midsummer's pagan rituals, is a Catholic festivity in celebration of Saint John the Baptist. It takes place on June 24, on Midsummer day (St John's day). Nowadays it is seldom celebrated. In certain French towns, a tall bonfire is built by the inhabitants in order to be lit on St John's Day. In the Vosges region and in the Southern part of Meurthe-et-Moselle, this huge bonfire is named "chavande".
In Norway, as elsewhere in Scandinavian countries, this event is celebrated with a communal bonfire. The event is also known as Jonsok, meaning ‘wake of Saint John’.
42 notes · View notes
gerceval · 5 months
Text
petit souci d'organisation ces derniers jours, je vais devoir repousser l'envoi des cadeaux de secret santa au soir du 26 (matin du 27 au plus tard) je suis hyper désolée c'était trop complexe là 😔 pour celleux qui m'ont envoyé leurs cadeaux, j'essaie de répondre à tout le monde mais vous pouvez considérer que pas de nouvelles = bonnes nouvelles !! merci à toustes et passez de bonnes fêtes 🥰😘
13 notes · View notes
Text
NEUVAINE A SAINTE JEANNE D'ARC
NOVENA TO SAINT JOAN OF ARC
My English translations are not the best I am sorry.
╰┈➤ Premier jour (first day)
Jeanne, le Seigneur a chargé l’Archange saint Michel de t’apparaître et de t’annoncer ta mission de sauver le royaume de France.
Jeanne, the Lord has instructed the Archangel Saint Michael to appear to you and announce your mission to save the kingdom of France.
Jeanne, ton grand désir de servir Dieu et de tout faire pour lui plaire, Te font prononcer le « fiat » malgré tes craintes de ne pas être digne et capable d’accomplir cette mission.
Jeanne, your great desire to serve God and to do everything to please him, makes you pronounce the “fiat” despite your fears of not being worthy and capable of accomplishing this mission.
Le ciel t’a donné une épée pour combattre, et les voix de sainte Catherine et de Sainte Marguerite pour te guider.
Heaven has given you a sword to fight, and the voices of Saint Catherine and Saint Margaret to guide you.
Intercède pour que nous puissions toujours répondre à notre vocation.
Intercede so that we may always respond to our vocation.
Tumblr media
╰┈➤ Deuxième jour (second day)
Jeanne, tu rends visite au Dauphin de France
Jeanne, you visit the Dauphin of France.
Tu lui révèles qu’il est le véritable héritier de France, et fils de roi, Qu’il sera couronné à Reims et que tu es venue pour l’aider à accomplir ce désir du Ciel.
You reveal to him that he is the true heir of France, and son of a king, that he will be crowned in Reims and that you have come to help him fulfill this desire of Heaven.
Tu livres ensuite de nombreuses batailles contre les Anglais, et tu en sors toujours victorieuse.
You then fought many battles against the English, and you always emerged victorious.
Tu livres également bataille au péché dans ton propre camp et tu demandes à tes soldats de retrouver l’état de grâce.
You also give battle to sin in your own camp and you ask your soldiers to regain the state of grace.
Intercède maintenant pour que notre pays se souvienne de son baptême Et retrouve le chemin des sacrements.
Intercede now so that our country remembers its baptism And finds the way to the sacraments.
Tumblr media
╰┈➤ Troisième jour (third day)
La semaine de Pâques de cette année 1430, alors que tu te trouves dans un fossé de Melun, les voix de saintes Catherine et Marguerite t’annoncent que tu seras faite prisonnière avant la fête de la saint Jean et que Dieu te viendra en aide durant cette épreuve.
Easter week of this year 1430, while you are in a ditch in Melun, the voices of Saints Catherine and Marguerite announce to you that you will be taken prisoner before the feast of Saint John and that God will come to you help during this test.
Tu es alors envahie d’angoisse et tentée de ne pas te soumettre à la volonté divine afin de sauver ta vie.
You are then overwhelmed with anguish and tempted not to submit to the divine will in order to save your life.
Prie pour nous, afin que nous fassions toujours la volonté de Dieu, et non la nôtre.
Pray for us, that we always do God's will, not our own.
Tumblr media
╰┈➤ Quatrième jour (fourth day)
C’est le 26 Mai, après une rude bataille, que tu es prise par un archer du camp adverse.
It is on May 26, after a hard battle, that you are taken by an archer from the opposing camp.
Tu es ainsi arrêtée et accusée par l’Inquisition d’hérésie et d’idolâtrie.
You are thus arrested and accused by the Inquisition of heresy and idolatry.
Malgré tes craintes et tes peurs, tu te laisses emprisonner.
Despite your fears and fears, you allow yourself to be imprisoned.
Tu gardes confiance en tes voix, et tu demandes leur intercession afin de répondre aux questions qui te sont posées.
You keep trust in your voices, and you ask for their intercession in order to answer the questions that are put to you.
Demande à Dieu, pour nous, le courage et l’audace d’affirmer notre foi.
Ask God, for us, the courage and audacity to affirm our faith.
Tumblr media
╰┈➤ Cinquième jour (fifth day)
Tu es torturée moralement, assaillie par de nombreux et interminables interrogatoires, abandonnée et trahie de tous, y compris du Roi, traitée comme une prisonnière de guerre, menacée corporellement par les gardiens de ta cellule, accusée de nombreuses fautes que tu n’as pas commises, sans avocat.
You are morally tortured, beset by numerous and interminable interrogations, abandoned and betrayed by everyone, including the King, treated like a prisoner of war, bodily threatened by the guards of your cell, accused of numerous faults that you do not have not committed, without a lawyer.
Toujours docile aux conseils de tes voix, tu réponds sans crainte à tout ce que l’on te demande.
Always docile to the advice of your voices, you respond without fear to everything that is asked of you.
Intercède pour que nous ayons toujours recours à la prière dans nos difficultés.
Intercede that we always have recourse to prayer in our difficulties.
Tumblr media
╰┈➤ Sixième jour (sixth day)
Tous tes accusateurs s’acharnent pour te faire faillir, pour te faire contredire les faits que tu relates;
All your accusers work hard to make you fail, to make you contradict the facts you relate;
ils t’accusent, te menacent de tortures physiques, te harcèlent sans cesse durant des heures;
they accuse you, threaten you with physical torture, harass you constantly for hours;
en vain, tu as toujours réponse à toutes les questions, jusqu’au jour, où, n’en pouvant plus, effrayée par la mort, tu renies tout. 
in vain, you always have the answer to all the questions, until the day when, unable to take it any longer, frightened by death, you deny everything.
Puis, par la grâce de Dieu, tu acceptes avec courage le martyre et reviens sur tes reniements.
Then, by the grace of God, you courageously accept martyrdom and reconsider your denials.
Malgré la reconnaissance de certains de tes juges de l’intervention divine dans ta conduite, tu es condamnée à mort par le supplice du feu.
Despite the recognition of some of your judges of divine intervention in your conduct, you are condemned to death by torture by fire.
Prie pour que la France relève la face et se souvienne de ses promesses faites à Dieu.
Pray for France to raise its face and remember its promises made to God.
Tumblr media
╰┈➤ Septième jour (seventh day)
Jeanne, tu es surnaturellement soutenue par le Ciel, mais tu n’échappes pas aux angoisses provoquées par la sentence.
Jeanne, you are supernaturally supported by Heaven, but you cannot escape the anguish caused by the sentence.
Tu aurais préféré « être décapitée sept fois plutôt que brûlée et réduite en cendres. »
You would have rather "be beheaded seven times than burnt and reduced to ashes."
Sur le bûcher, une fois liée, tu demandes pardon aux anglais et à tous tes ennemis, pour les batailles livrées contre eux, et, d’une voix haute et claire, tu pardonnes à tous ceux qui t’ont condamnée.
At the stake, once bound, you ask pardon of the English and of all your enemies, for the battles waged against them, and, in a loud and clear voice, you forgive all those who have condemned you .
« Mes saintes ne m’ont pas trompée, ma mission était de Dieu. Saint Michel, sainte Marguerite et sainte Catherine, vous tous, mes frères et sœurs du Paradis, venez à mon aide… »
“My saints did not deceive me, my mission was from God. Saint Michael, Saint Margaret and Saint Catherine, all of you, my brothers and sisters in Paradise, come to my aid…”
Au milieu des flammes, tu regardes la croix qui t’est présentée, et tu prononces le Nom de Jésus avant de mourir.
In the midst of the flames, you look at the cross presented to you, and you pronounce the Name of Jesus before dying.
Sois notre modèle dans l’obéissance, dans la confiance en Dieu, et la persévérance dans notre mission
Be our model in obedience, in trust in God, and perseverance in our mission
Tumblr media
╰┈➤ Huitième jour (eighth day)
Alors que le bourreau éteint le brasier afin que tous voient le cadavre défiguré de celle qui les a fait trembler, il écarte les cendres et le miracle apparaît devant leurs yeux effrayés :
As the executioner puts out the fire so that everyone can see the disfigured corpse of the one who made them tremble, he pushes aside the ashes and the miracle appears before their frightened eyes:
Ton cœur est là, rempli d’un sang vermeil et semblant vivre encore !
Your heart is there, filled with vermilion blood and seeming live again!
Du soufre et de h’huile sont alors répandus dessus, le feu reprend puis s’éteint à nouveau, le laissant toujours intact.
Sulfur and oil are then sprinkled on it, the fire resumes and then goes out again, leaving it still intact.
Inquiet de ce miracle et craignant l’émotion du peuple, le cardinal d’Angleterre ordonne que tes os, tes cendres et surtout ton cœur soient jetés immédiatement dans la Seine.
Worried about this miracle and fearing the emotion of the people, the cardinal of England orders that your bones, your ashes and especially your heart be thrown immediately into the Seine.
Le bourreau dit alors : « J’ai grand peur d’être damné pour avoir brûlé une sainte »
The executioner then said: "I am very afraid of being damned for having burned a saint".
Des cris s’élèvent dans la foule : « Nous sommes tous perdus car une sainte a été brûlée ! »
Cries rise in the crowd: “We are all lost because a saint has been burned! »
Aide-nous à servir Dieu et à ne chercher que la gloire du Ciel.
Help us to serve God and seek only the glory of Heaven.
Tumblr media
╰┈➤ Neuvième Jour (ninth day)
Après ta mort, mourut la prospérité des anglais en France. Depuis le bûcher de Rouen, ils ne connurent que déceptions et défaites.
After your death, the prosperity of the English in France died. From the stake in Rouen, they knew only disappointments and defeats.
A leur grande honte et confusion, ils furent rejetés de tous les pays qu’ils avaient conquis.
To their great shame and confusion, they were thrown out of all the countries they had conquered.
Tous ceux qui avaient jugé avec mauvaise foi la Pucelle trouvèrent la mort peu de temps après la sienne.
All those who had judged the Maid in bad faith died shortly after hers.
L’évêque Cauchon, enrichi par le Roi d’Angleterre, mourut subitement ; il fut excommunié par le Pape et ses os furent jetés aux bêtes féroces.
Bishop Cauchon, enriched by the King of England, died suddenly; he was excommunicated by the Pope and his bones were thrown to wild beasts.
Ainsi s’accomplit la prédiction faite à Jeanne, en sa prison, par ses voix:
Thus is fulfilled the prediction made to Jeanne, in her prison, by her voices:
« Tu auras secours. Tu seras délivrée par une grande victoire. Prends tout en gré. Ne te soucie pas de ton martyre. Tu viendras enfin au Royaume du Paradis. »
"You will have help. You will be delivered with a great victory. Take it all in stride. Don't worry about your martyrdom. You will finally come to the Kingdom of Heaven."
Que la résurrection soit le seul but de notre vie.
Let the resurrection be the only goal of our life.
Sois présente à nos côtés et contribue encore à la sanctification de notre pays.
Be present at our side and still contribute to the sanctification of our country.
Tumblr media
TO BE RECITED AFTER EACH DAILY PRAYER:
Prions. Sainte Jeanne d’Arc, ton martyre est la grande victoire de Dieu sur nos ennemis .
Intercède, du Royaume des Cieux, pour que nous soyons préservés des guerres contre notre pays et des assauts contre notre foi.
Que la France se souvienne qu’elle est la Fille Aînée de l’Eglise. Seigneur, nous te rendons grâce car Tu as béni notre pays en nous donnant Jeanne d’ARC.
Suscite encore de nombreuses vocations pour garder intacte la mission apostolique de la France. Amen.
Let us pray. Saint Joan of Arc, your martyrdom is God's great victory over our enemies. Intercede, from the Kingdom of Heaven, that we may be preserved from wars against our country and attacks against our faith. May France remember that she is the Eldest Daughter of the Church. Lord, we give you thanks because you blessed our country by giving us Joan of Arc. Still arouses many vocations to keep intact the apostolic mission of France. Amen.
+ Pater, Ave, Gloria
Tumblr media
29 notes · View notes
Photo
Tumblr media
Fugazi, Salle des Fêtes, Kingersheim, France 6/10/1995 (FLS #0685)
This one was brought to my attention by @alexmitrani who earmarked it as a personal favorite. Having listened to the recording repeatedly for the last couple of days, I certainly found plenty of strongpoints to enjoy.
The tape documents a one-off performance in Kingersheim, a small commune in northeastern France. It was the last out of ten shows Fugazi played on French soil in 1995 (it appears Ian MacKaye was unusually mistaken when expressing his praise and gratitude for the country during the show, mentioning a total of 12 gigs in France in 1995). 
Fugazi performed no less than 28 songs on this particular night. And considering the running time of the recording clocks in at around 1 h 44 mins, this will surely be one of the longer shows the band ever played.
The opening of the set is a scorcher and the band comes out swinging, going balls out. The performance is pretty much on point and ardent throughout, yet particular highlights in my book include the wild Turnover breakdown, Joe’s bass driving songs such as Bed For The Scraping, Long Division and Long Distance Runner, and a phenomenal encore 2.
The set list includes a high dosage of Red Medicine tracks (10) and most of their earlier work is thrown in the mix in equal measure: In on the Kill Taker (4), Steady Diet of Nothing (4), Repeater (5), 7 Songs debut EP (4) and the 3 Songs seven-inch (1). The Margin Walker EP is the apparent absentee here. 
Note that this show features the only (!) live version of Greed in 1995, and includes rare 1995 sightings of Break-In, KYEO and Glueman as well (here even with Combination Lock - which actually appears to be encore 3 by itself - to close out the performance).
Banter is scarce yet portrays the band in an upbeat mood, not considering the occasional rebuke drawn by the local lighting tech. Note that Guy addresses the patrons in French most of the time, reminiscent of, entre autres, the phenomenal Fugazi show in Bordeaux 1992.
The only thing that takes my enjoyment of this recording and show down a notch is that the audio, particularly of the instrumentation, is stretched a bit thin and trebly, hinting at the audience source of the recording.
Video footage of this concert is available, and can be accessed through the following archival link: https://archive.org/details/fugazi1995-06-10 
Much obliged @alexmitrani.
The set list:
1. Intro 2. Merchandise 3. Public Witness Program 4. Greed 5. Do You Like Me 6. Interlude 1 7. Bed For The Scraping 8. Walken's Syndrome 9. Reclamation 10. Interlude 2 11. Turnover 12. Interlude 3 13. Back To Base 14. Downed City 15. Shut the Door 16. Waiting Room 17. Break-In 18. Bad Mouth 19. Give Me The Cure 20. Interlude 4 21. By You 22. Interlude 5 23. Forensic Scene 24. Long Division 25. Runaway Return 26. Interlude 6 27. Long Distance Runner 28. Encore 1 29. Fell, Destroyed 30. Great Cop 31. Blueprint 32. Encore 2 33. KYEO 34. Target 35. Sweet and Low 36. Glueman 37. Combination Lock 38. Outro
41 notes · View notes
fashionbooksmilano · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Sous l’Empire des crinolines   Musée Galliera
Catherine Join-Diéterle,  Françoise Tétart-Vittu
Paris Musées, Paris 2008, 212 pages, Relié, 180 ill.couleurs, 17,5 x 24,5 cm, ISBN : 978-2-7596-0069-4
euro 80,00
email if you want to buy [email protected]
Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Sous l'empire des crinolines" présentée au Palais Galliera du 26 novembre 2008 au 26 avril 2009, Editeur Paris Musées. Symbole du Second Empire, la crinoline apparaît dès 1830 avec l’utilisation de jupons en crin qui font gonfler les jupes. Ils seront remplacés en 1856 par la fameuse cage à fanons de baleine, puis substitués par une armature métallique. Le succès de cette dernière sera immédiat : en France, 5 millions sont confectionnés en 1860. Sa forme évolue également. D’abord ronde, elle est ensuite plate devant et se projette loin vers l’arrière. Puis, à partir de 1867, une «demi crinoline», plus étroite, s’impose. Souvent comparée aux coupoles en métal et en verre la crinoline témoigne de la passion de l’époque pour le volume. Cependant, ce qui frappe surtout c’est l’exubérance de la silhouette, l’emploi récurrent des volants, l’accumulation des étoffes et des ornements, l’éclectisme des décors où se mêlent historicisme et orientalisme, où le bleu vif côtoie le rose pastel. Mais au delà du port de la crinoline, de la rapidité des transformations de la silhouette, de la diversité des sources d’inspiration, la mode du Second Empire reflète les changements survenus en France depuis le début du siècle. Cet ouvrage richement illustré, témoigne de cette période très particulière dans l’histoire de la mode française. Conçu autour de trois grands thèmes (la fête à la ville et à la cour ; la modernisation ; la commercialisation) il aborde l’ensemble des aspects propres à la crinoline et à son époque. Mais il nous montre également à quel point elle fascine encore les créateurs. Regardons pour cela comment Jean-Paul Gaultier ou John Galliano (pour Dior) l’interprètent dans leurs collections automnes-hivers 2008-2009.
12/05/23
orders to:     [email protected]
ordini a:        [email protected]
twitter:          fashionbooksmilano
instagram:   fashionbooksmilano, designbooksmilano tumblr:          fashionbooksmilano, designbooksmilano
16 notes · View notes
submissivegayfrenchboy · 10 months
Text
26 / 07 / 2023
🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
MAN OF THE DAY #72:
JASON STATHAM, American actor
HAPPY BIRTHDAY JASON STATHAM!
Today, the very handsome American actor Jason Statham celebrates his 56th birthday. I wish him a happy birthday!
Tumblr media
Jason Statham is beautiful in my opinion because he is naturally virile and masculine. Tall, muscular, he is terribly sexy for a bald man and he has sublime eyes. His lips are a little too thin but it suits him well. I really like his broken nose and I dream of kissing him.
I would so love to sniff and lick his long feet, and I'm sure his sweat is very smelly and delicious.
Tumblr media
I think Jason Statham looks much more stylish when he's dressed classy.
Tumblr media
I couldn't really talk about him as an actor because I haven't really seen a movie with him.
Tumblr media
What do you think of him ? Feel free to answer them in this game.
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
🇬🇧🇺🇲 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
HOMME DU JOUR #72 :
JASON STATHAM, acteur américain
JOYEUX ANNIVERSAIRE JASON STATHAM !
Aujourd'hui, le très bel acteur américain Jason Statham fête ses 56 ans. Je lui souhaite un joyeux anniversaire !
Tumblr media Tumblr media
Il est magnifique selon moi car il est naturellement viril et masculin. Grand, musclé, il est terriblement sexy pour un homme chauve et il a de sublimes yeux. Il a des lèvres un peu trop fines mais cela lui va bien. J'aime beaucoup son nez cassé et je rêve de l'embrasser.
Tumblr media
J'aimerais tellement renifler et lécher ses pieds, et je suis sûr que sa sueur est très odorante et délicieuse.
Je trouve qu'il est beaucoup plus stylé quand il est habillé de manière classe.
Je ne pourrais pas vraiment vous parler de lui en tant qu'acteur car je n'ai vu presque aucun de ses films. Est-ce votre cas ?
Tumblr media
Que pensez-vous de lui ? N'hésitez pas à y répondre dans ce jeu.
GAME WITH AN ALPHA MALE CELEB
Tumblr media
@jasonstathamdeepthoughts @fyeahjasonstatham @jasonstathamlovesyou-blog @jasonstathammovieposters-blog @jasonstatham00-blog @jasonstathamaini-blog @fuckyeahjasonstatham @jasonstathamblog101 @jasonstathamforchuck-blog @jasonstathamidezetek @stathamlove @rainykpoptravelcreator @lovefanfiction01 @gayhopefullove @bat-woodfeet-us @torinya @fartfagoutlet @fartfinder @tidodore2 @gay-fart-stories @feet2eat @chrisevansxmalereader @inanimatetffantasies @faggotscometoworship @hemsworthfootslave @chrishemsworthservant @alphamalesuperiority
11 notes · View notes
lepartidelamort · 3 months
Text
« [C]’est l’État français qui, par sa politique, ses lois, ses tribunaux, a organisé le "grand remplacement" des populations, nous imposant la préférence immigrée et islamique avec 8 millions d’Arabo-musulmans (en attendant les autres) (…). L’État a toujours été l’acteur acharné du déracinement des Français et de leur transformation en Hexagonaux interchangeables. Il a toujours été l’acteur des ruptures dans la tradition nationale. Voyez la fête du 14 juillet : elle célèbre une répugnante émeute et non un souvenir grandiose d’unité. Voyez le ridicule emblème de la République française : une Marianne de plâtre coiffée d’un bonnet révolutionnaire. Voyez les affreux logos qui ont été imposés pour remplacer les armoiries des régions traditionnelles. Souvenez-vous qu’en 1962, l’État a utilisé toute sa force contre les Français d’Algérie abandonnés à leur malheur. » Dominique Venner, Lettre sur l’identité à mes amis souverainistes, 26 juin 2012
3 notes · View notes
Text
L’État a toujours été l’acteur acharné du déracinement des Français et de leur transformation en Hexagonaux interchangeables. Il a toujours été l’acteur des ruptures dans la tradition nationale. Voyez la fête du 14 juillet : elle célèbre une répugnante émeute et non un souvenir grandiose d’unité. Voyez le ridicule emblème de la République française : une Marianne de plâtre coiffée d’un bonnet révolutionnaire. Voyez les affreux logos qui ont été imposés pour remplacer les armoiries des régions traditionnelles. Souvenez-vous qu’en 1962, l’État a utilisé toute sa force contre les Français d’Algérie abandonnés à leur malheur.
Dominique Venner, 26 juin 2012, Site Web.
3 notes · View notes
mariepascaleremy · 2 months
Text
25 MARS - FÊTE DE L'ANNONCIATION
Tumblr media
Outre Lundi saint, premier jour de la Sainte semaine, nous célébrons aujourd'hui l'Annonciation, soit la visite de l’Archange Gabriel à la jeune Marie pour lui annoncer qu’elle sera la mère du Messie. (Lc 1, 26-38). Cet événement marial majeur est célébré chaque année au printemps, le 25 mars, 9 mois avant Noël et la naissance de l’Enfant Jésus… Un OUI audacieux et courageux, donnant chair au Verbe parmi nous. Prions pour avoir la grâce de dire OUI à l'invitation d’accueillir l'éternité dans notre cœur… pour donner de la chair à la Parole… pour être des artistes de la Bonne Nouvelle, surtout en ces jours enveloppés de peur et d'anxiété.
BONNE FÊTE DE L'ANNONCIATION !
2 notes · View notes
blogdimanche · 2 months
Text
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 12,20-28
« En ce temps-là,
20 il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque.
21 Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. »
22 Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus.
23 Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié.
24 Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.
25 Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle.
26 Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera.
27 Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci !
28 Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
Tumblr media
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Jn 12,28
« Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. » (Jn 12,28) Nous sommes dans les derniers jours avant la fête de la Pâque à Jérusalem. Jésus a fait ces jours-ci une entrée triomphale dans la ville ; c’est sûr, la foule le prend pour le Messie. Et des Grecs (c’est-à-dire des Juifs de la Diaspora) se présentent juste à ce moment-là et s’adressent à ses disciples : « Nous voudrions voir Jésus » ; pas seulement l’apercevoir, mais le rencontrer, lui parler. Ses disciples viennent dire à Jésus que des Grecs souhaitent le voir ; et il répond « L’Heure est venue pour le Fils de l’homme d’être glorifié », c’est-à-dire révélé comme Dieu. Le mot « glorifier » revient plusieurs fois dans ce texte ; mot difficile pour nous, parce que, dans notre langage courant, la gloire évoque quelque chose qui n’a rien à voir avec Dieu. Pour nous, la gloire, c’est le prestige, l’auréole qui entoure une vedette, sa célébrité, l’importance que les autres lui reconnaissent. Dans la Bible, la gloire de Dieu, c’est sa Présence. Une Présence rayonnante comme le feu du Buisson Ardent où Dieu s’est révélé à Moïse (Ex 3). Et alors le mot « glorifier » veut dire tout simplement « révéler la présence de Dieu ». Quand Jésus dit « Père, glorifie ton nom », on peut traduire « Fais-toi connaître, révèle-toi tel que tu es, révèle-toi comme le Père très aimant qui a conclu avec l’humanité une Alliance d’amour ». Pour aller jusqu’au bout de cette révélation, Jésus a accepté de subir la Passion et la croix : au moment d’aborder cette Heure décisive, l’évangile que nous lisons aujourd’hui nous dit bien les sentiments qui habitent Jésus : l’angoisse, la confiance, la certitude de la victoire. L’angoisse : « Maintenant, je suis bouleversé », « Dirai-je Père, délivre-moi de cette heure ? » On a là chez Saint Jean, l’écho de Gethsémani : le même aveu de souffrance du Christ, son désir d’échapper à la mort « Père, si tu veux, éloigne cette coupe loin de moi ! » L’angoisse, oui, mais aussi la confiance : « Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci ! » et aussi cette certitude que « si le grain de blé meurt, il portera du fruit », au sens où de sa mort, un peuple nouveau va naître. « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruits ». À l’heure extrême où il est bouleversé, où il aborde la Passion, Jésus peut continuer à dire « que ta volonté soit faite » en toute confiance : il sait que, de cette mort, Dieu fera surgir la vie pour tous. Angoisse, confiance, et pour finir, la certitude de la victoire « Quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai tout à moi »… « Le prince de ce monde va être jeté dehors ». Dans ces deux phrases apparemment dissemblables, c’est de la même victoire qu’il s’agit : celle de la vérité, celle de la révélation de Dieu. Le prince de ce monde, justement, c’est celui qui, depuis le jardin de la Genèse, nous bourre la tête d’idées fausses sur Dieu. Au contraire, en contemplant la croix du Christ, qui nous dit jusqu’où va l’amour de Dieu pour l’humanité, nous ne pouvons qu’être attirés par lui. La voilà la preuve de l’amour de Dieu : le Fils accepte de mourir de la main des hommes… L’Heure est venue, la mission est accomplie. Quand Jésus a prié « Père, glorifie ton nom », Saint Jean nous dit qu’une voix vint du ciel qui disait : « Je l’ai glorifié (mon Nom) et je le glorifierai encore ». « J’ai glorifié mon Nom », c’est-à-dire je me suis révélé tel que je suis ; « et je le glorifierai encore », cela veut dire maintenant l’Heure est venue où en regardant le crucifié, vous découvrirez jusqu’où va l’amour insondable de la Trinité. Et toute cette pédagogie de révélation n’a qu’un seul but : que l’humanité entende enfin la Bonne Nouvelle de l’amour de Dieu : « C’est pour vous, dit Jésus, que cette voix s’est fait entendre. » (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
2 notes · View notes
homomenhommes · 22 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 153
Nous traversions la cour que la voiture d'Igor entrait. Sur le perron Marc nous attendait tous.
Grandes embrassades avec Tic et Tac pendant que leur père garait la voiture. Je les entraine à l'intérieur alors que Marc et Xavier attendent Igor. Direction le salon où à trois nous mettons nos deux invités en slip. Comme de bons jumeaux, ils portaient les même sous vêtements, un slip fermé blanc Andrew Christian qui met bien leurs bites en avant.
C'est alors que les trois adultes nous ont rejoints. Igor s'est focalisé direct sur Jimmy et Ed mais nous avions décidé que nous attendrions Eric pour recommencer une séance de baise. En attendant, cela n'interdisait pas de bander ni de se caresser doucement. Les " adultes " nous ont rejoints dans notre accoutrement et nous nous sommes étalés dans tout le salon. Tic et Tac nous ont raconté qu'ils allaient passer Noël chez leurs grands parents et qu'ils y retrouveraient des cousins de leur âge mais catho-coincé ! Ed lui aussi nous a dit fêter Noël en famille. Je leur ai dit que nous, nous resterions chez nous et que nous serions entourés de Samir, Ammed et Jimmy pour qui Noël ne représente qu'une fête païenne (éducation religieuse) et donc pas de réunion familiale de leurs coté (surtout pour Jimmy avec son père alcoolo !).
Apéritif servi, puis arrivée d'Eric, en moto malgré le froid ! Voyant cela, Ed et Jimmy se sont chargés de le réchauffer et se sont collés à lui comme des sangsues. Deux minutes après la température devait être bonne car le shorty d'Eric s'est déformé sous la pression de sa bite en train de bander ferme. Ça a donné le point de départ de la première touze du WE, tout le monde étant briefé que le but premier était de tester Ed et Jimmy sur leurs capacités à supporter un gang bang. Même Tic d'habitude plus passif qu'actif était excité à l'idée de faire partie des enculeurs. 4 actifs, 2 A/P, 1 P/A et 2 passifs, léger déséquilibre des forces mais on fait avec.
Ed et Jimmy sucent tour ce qui se présente devant eux. A genoux, dos à dos, ils ont la bouche pile à la bonne hauteur. Quand c'est notre tour à Tic, Tac ou moi, ça leur repose les mâchoires ! Les 4 actifs sont chauds bouillants, ils ont soit collés dans nos dos soit en train d'envahir la gorge de Tic. Comme j'aime la bite autant que lui, quand je sui libre, je participe aussi à l'entretien (comme si c'était nécessaire) de leurs raideurs.
Nous tournons un bon moment dans les bouches de mes deux salopes. Puis, Eric décide de passer aux choses sérieuses. Il place Jimmy sur le dos et Ed par dessus en 69 avec ordre de se bouffer l'oignon. Assis autour du spectacle, Marc, Eric, Xavier et Igor nous demande (à Tic, Tac et moi) de maintenir leurs bandaisons en accueillant leurs glands au fond de nos gorges. Sur ordre, nous nous couvrons de kpote et allons débourrer nos deux amis. Je laisse Tic et Tac les pénétrer en premiers. Tic même s'il apprécie la chose se lasse plus vite que son frère et me cède sa place. J'encule alors d'un coup sec Ed qui était sa proie. Bien préparé (baise de l'après midi, pluggage, langue de Jimmy) je rentre d'un seul coup jusqu'aux couilles. Le rythme pris, je me penche pour que ma tête rejoigne celle de Tac et nous nous roulons un patin alors que nos hanches, indépendantes, poussent nos queues au plus profond des culs qui nous sont offerts. Le spectacle doit être chaud car les 4 " mâles " se collent à nous. Nous cédons à notre tour la place aux ainés. Igor et Marc sont les premiers à nous remplacer, question de progression quand à la taille des bites, 22 x 6, avant l'écartement final par Xavier et Eric montés 26 x 6 à 7.
De mon coté, avec Tac, je m'occupe de Tic. Nous le prenons façon agneau de méchoui, c"est à dire un dans la bouche et l'autre dans le cul, nos queues simulant la barre qui traverse la carcasse. Pendant que les 4 actifs tournent sur Ed et Jimmy, nous faisons pareil sur Tic, quelques instants à lui limer le cul puis massages de ses cordes vocales par nos glands. Dès que nous lui libérons la bouche, nous avons droit à " encore, c'est trop bon ". Je fais remarquer à Tac que son frère est devenu quand même une vraie salope !
Il me le confirme et me dis qu'entre la copine de leur père et Tic, il trouve toujours un trou à boucher. De toutes les façons, ils couchent plus souvent à 4 dans le grand lit de leur père que tous seuls dans leurs lits. C'est assez rare qu'ils ne se donnent pas quelques coups de bites avant de dormir. Même Sophie (la copine de leur père) s'y est mise avec un gode ceinture double (un dans sa chatte et un de libre pour un cul), elle prend du plaisir à les sodomiser lui et Tic.
Grands hochements de tête de Tic qui pourtant a la bouche pleine de mes 20cm.
Du coté de la tournante, Ed et Jimmy se sont jutés dessus mais cela n'arrête pas les 4 mâles qui continuent à les bourrer joyeusement. Les commentaires sur les trous qui se resserrent après l'éjaculation, chacun à une anecdote sur le sujet. J'entends mon prénom sur quelques récits. Il est vrai qu'une fois qu'on a éjaculé, c'est plus dur de trouver encore du plaisir à se faire limer l'anneau, au moins pendant quelques minutes. Mais ils ont raison. Lors du Gang bang, les clients n'ont rien à cirer des états d'âme de leurs proies. Ils les enfileront jusqu'à ne plus en pouvoir eux même.
A ce que je peux voir, pour Jimmy c'est sans problème. Ce ptit gars, il a été fait pour être baiser de tous les cotés et de toutes les façons possible. Sa capacité à prendre gros et même très gros (7-8cm de diamètre et plus en double sodo), l'élasticité de son anneau qui se referme très vite pour serrer les queues plus fines, son physique d'ado, et son obéissance en font une perle rare. Ed, lui c'est totalement différent. Ok il aime se faire baiser et les grosse tiges ne le dérangent plus mais chez lui, y'a plus de cérébral que d'instinctif. Il n'empêche qu'il supporte vaillamment les assauts répétés des 4 bites.
Le trio que je forme avec les jumeaux prend fin avec les éjaculations de chacun. Je jute dans ma kpote au fond du cul de Tic quand son frère le gave de sa purée. Tac prend même un grand plaisir à viser la bouche grande ouverte pour déposer son sperme sur la langue tendue. Après le dernier jet, Tic aspire le gland de son frère pour le nettoyer des derniers spermatozoïdes. La vision me laisse bandant mais je sors quand même.
De leur coté, les mâles sont sur la fin. Aux commentaires, nous devinons qu'ils sont tout près à jouir. Mar et Igor sortent brutalement des culs et dkpotés dans le mouvement jutent sur l'amalgame des corps. A ce qu'on peut voir, ils en mettent partout, cheveux, dos, épaules culs... Xavier et Eric sont rentrés de nouveau dans les anus libérés et s'achèvent en quelques coups de reins profonds qui arrivent encore à arracher quelques gémissements à nos deux cobayes. Puis comme Marc et Igor, ils sortent vite et ajoutent leurs spermes sur les corps exténués qui les abritaient quelques secondes plus tôt.
Apparition de nos hommes de service avec serviettes chaudes pour que nous effacions les traces blanchâtres avant d'en mettre partout. Ils s'occupent aussi de nettoyer Ed et Jimmy. Samir avise les plugs délaissés lors de la tournante et envoi Ammed les laver. A son retour, les deux pièces de plastique graissées rejoignent les culs de nos deux jeunes amis.
Ils nous annoncent par la même occasion que le diner est prêt.
Jimmy passera le diner assis à cheval sur une cuisse de Xavier et Ed pareil sur Eric, leurs plugs bien enfoncé dans le cul. La nuit fut calme, si Xavier avait décidé de prendre Jimmy dans son lit et Eric de " dormir " avec Ed, ne voulant pas me séparer des jumeaux, nous nous sommes retrouvés à 5 dans notre très grand lit. De gauche à droite : Marc, Tic, moi, Tac puis Igor.
Au matin, réveil en douceur par les léchouilles des jumeaux sur ma bite et mon cul. Puis avec plus de vigueur quand Marc et Igor ont pénétré mes deux extrémités ! Quel réveil !! D'autant plus que les jumeaux continuaient l'un à me sucer la bite et l'autre les tétons.
Après que nous ayons tous jouit, avec les jumeaux, je laisse la salle de bain de notre chambre à Marc et Igor et nous descendons nous laver au sous sol (notre salle de gym). Au passage, les gémissements qui traversent les portes des chambres de nos autres invités nous poussent à les ouvrir. Joli spectacle que le corps fluet d'Ed en train de chevaucher la masse musculeuse noire d'Eric avec, bien sûr, la queue de ce dernier comme pivot sur lequel s'assoir.
Dans la chambre d'à coté c'est pareil. Là, Xavier enfourne virilement ses 26cm dans le cul de Jimmy en levrette devant lui. Chacun de ses coups de rein soulève Jimmy du matelas.
Vous connaissez les jeunes, du coup nous sommes arrivés tout bandant aux douches. Après les savonnages réciproques qui ne nous ont pas fait débander pour autant, Tic s'est gentiment chargé de nous vider après rinçage. A genou à nos pieds, il a alterné les pipes sur nos deux bites (à tac et moi) pendant que nous nous roulions un patin d'enfer.
Trop bon !! Je lui ai juté dans les cheveux alors qu'il buvait son frère. Pour le remercier, nous l'avons relaver et branlé, qu'il puisse prendre son pied lui aussi.
Retour à la civilisation. Nous les avons retrouvés tous dans la cuisine à petit déjeuner / bruncher vu l'heure tardive. Nous avons fait honneur nous aussi aux préparations de Samir et Ammed.
L'après midi s'est passé en sieste avant de remettre ça mais ce coup ci au donjon.
L'intérêt de la pièce m'a permis de saturer les culs d'Ed et Jimmy grâce aux accessoires. Les bites réelles ont alterné dans leurs trous avec les gros godes et plugs. Pendant deux heures et demie, ils ont pris dans leurs culs et leurs bouches. Tic et Tac n'en revenaient pas. Et de demander à leur père la permission de se faire " gang-banguer " eux aussi.
Comme Igor ne voyait pas l'intérêt pour eux sachant que dans les touzes ils s'en prennent autant qu'il s en veulent, ils lui ont dit que psychologiquement cela n'avait rien à voir. Dans une touze c'est un échange de réciprocité selon son bon vouloir, dans un gang bang c'est une mise à l'abattage sans possibilité de se défiler même si un des mecs a une tête qui ne revient pas.
Je les calme en leur disant que de toute les manières, je n'ai pour cela que des clients TTTBM et que leurs culs ne sont pas prêts, même s'ils arrivent à prendre Eric ou Xavier au cours d'une touze. Comme ils peuvent le voir un peu avec la préparation que nous venons de faire subir à Ed et Jimmy, il faut pouvoir assurer deux à trois heures de très grosses bites dans le cul sans discontinuer. Tac se calme un peu mais pas Tic (le plus passif des deux). Igor clos le débat en disant qu'ils en reparleront plus tard. Nous laissons nos ainés se doucher en premier et alors que nous passons à notre tour, je demande à Marc de nous envoyer Ammed et Samir, nos deux ptits mecs ayant grand besoin d'un massage relaxant.
Avec Tic et Tac, je lave consciencieusement les corps éreintés d'ed et Jimmy et nous en sommes à les sécher que nos masseurs arrivent. Nous étalons Ed et Jimmy sur les tatamis et nous les regardons se faire pétrir entre les mains expertes de nos hommes de service.
En fin d'après midi je reconduis Ed chez lui. Comme d'habitude son frère est tout seul. Il me saute dessus dès la porte franchie. Ses jambes autour de ma taille, il se serre contre moi et je ne peux que remarquer, contre mes abdos, sa queue bien bandée que ne retient pas un short de sport. Je vais pour le reposer par terre mais il s'accroche et je bataille pour qu'il ne pose pas ses lèvres sur les miennes. Voyant qu'il n'y arrivait pas, il m'a menacé de me dénoncer pour viol si je refusais de l'embrasser. Le ptit con ! Pendant ce temps là, Ed lui disait de me laisser tranquille, sans effets !
Vaincu, je lui ai laissé ma bouche. Il m'a roulé un super patin, bien actif, pas trop baveux, une bonne pelle ! Naturellement j'ai bandé. Il l'a bien senti sous ses fesses et nous a dit " j'ai gagné ". Il s'est alors laissé glisser à mes pieds et m'a ouvert la braguette pour enfourner ma queue. Gros progrès dans sa pipe. Je demande à Ed s'il s'avait sur qui son frère s'entrainait car je notais de bonnes améliorations par rapport à la dernière fois. Il m'a dit qu'il ne savait pas mais en tout cas ce n'était pas sur lui ! A mes pieds, " l'asticot " avait baissé son short et quand il s'est pendu de nouveau à mon cou et que ses jambes ont enserré ma taille, je me suis retrouvé avec son anus posé sur mon gland. Je n'ai pas eu le temps de réagir qu'il s'enfonçait ma bite dans son trou. Sur le coup j'ai plus été étonné de ne pas sentir la forte résistance d'un anneau vierge que de l'inattendu de la situation.
Je m'étonnais tout haut et lui demandais depuis quand il se faisait enculer. Il nous a dit avoir passé le WE sur le net à chercher les renseignements pour préparer son anus à la première fois sans douleur. Il m'a assuré que j'étais le premier à entrer dans son cul et en haletant que c'était encore meilleur que tout ce qu'il avait pu imaginer. Je n'ai pu résister plus longtemps et je l'ai porté jusqu'à la table de la salle à mange pour le poser dos sur le plateau. Là, j'ai relevé ses jambes et posé ses chevilles sur mes épaules puis j'ai entrepris de lui faire l'amour. Une première fois, il ne faut pas la rater !
Ed, légèrement jaloux, nous a regardés faire. Mes mains ont caressé le corps qui se trémoussait sous mes assauts, le petit vicieux prenant une de mes mains pour en sucer les doigts un par un. Ed s'est penché sur son frère et a avalé ses 19cm raides. Pour une première fois il n'a pas tenu très longtemps et sous la double stimulation de son anus et de la langue d'Ed, il a eu son premier orgasme. Je n'ai pu me retenir et alors qu'il se vidait dans la bouche d'Ed, sous les pressions spasmodiques de son anneau et j'ai envoyé la sauce.
Quand nous nous sommes décollés, il est resté sur la table un sourire béat aux lèvres. Je regardais Ed et lui dit que son frérot était sacrément bon. Il m'a regardé en passant sa langue sur ses lèvres et m'a assuré que c'était aussi le cas de son sperme.
Reposé 10 secondes, Théo (le ptit frère) m'avoue qu'il ne l'aurait jamais fait (de me dénoncer). Je lui mets une claque (gentille) et il vient se blottir dans mes bras ! Il me dit que son cul ne sera qu'a moi dorénavant. ; ;
Je le remercie et lui dit qu'il faut connaître d'autres choses, faire d'autres expériences avec d'autres mecs et pourquoi pas des meufs. Dans le sexe, rien est tabou et tout est à tester.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
13 notes · View notes
claudehenrion · 2 months
Text
Trêve olympique anticipée...
Ah ! Enfin le grand jour de l'atroce hidalgo est arrivé ! Avec un bon trimestre d'avance sur l'événement, et littéralement rendue ivre par son pouvoir de nuisance, elle vient de décider de commencer à emm... quiquiner les parisiens. C'est dimanche que cette autoritariste pathologique et ennemie de.. l'auto, va détourner les lignes d'autobus (ce qu'elle rêverait de pouvoir faire avec les lignes de métro !). Parisiens, mes frères, vous n'êtes pas sortis de… ce qui vous attend ! C'est LE sujet de toutes les con-versations (Oui, je sais, je la fais souvent, cette césure... Mais c'est tellement bon d'oser l'orthographe qui convient !) dans tous les dîners-en-ville... surtout germanopratins...
Parce que, comme le suggérait hier Alain Rémond dans ''la Croix'', on va finir par les avoir, en fin de compte et de conte, ces sacrés jeux olympiques. Vous en pensez quoi, vous ? ''Vous, je sais pas, mais moi (comme aimait à le répéter Anne Roumanoff)... c'est comme vous'' : je suis complètement d'accord. Même si... bon... y aurait sans doute à redire, ici ou là, même là-bas, sur ceci ou cela et le reste, mais c'est tout de même les jeux olympiques, quoi ! Faut pas déc... On va les avoir en France (et même partout, et de préférence n'importe où), et même à Paris, ce qui n'est pas rien, pour la première fois depuis 100 ans pile --et face ! Et même que... les plus coûteux de l'histoire !
Non ? Eh ! ben... si ! Attendez, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas : vous avez raison de râler : on a toujours raison de râler. Par principe. Pour ainsi dire : préventivement : ça peut pas faire de mal, de râler. Et d'ailleurs, je le dis sans vraie fausse honte : moi aussi, je râle ! Dame ! On est français ou on ne l'est pas, non... et ''de souche'', dans mon cas ! Et si les français arrêtaient de râler, autant mettre tout de suite la clé sous la porte, quelle que soit la clé et quelle que soit la porte ! C'est comme si un ''rosbif'' se mettait à ne plus boire de cervoise tiède !
Mais bon ! Là, on parle des Jeux Olympiques : c'est pas rien, non ? La fête, le spectacle, le suspense, les records des autres nations et leurs médailles, les 3 nôtres dont on parlera comme si elle étaient 24 ou 48, les touristes, le bruit, les pick-pockets débarqués du monde entier pour piller les chinetoques et les japs, les imprévus (jamais dans le bon sens, vous avez remarqué ?), Edith Piaf massacrée (on prend le pari ?), les prix qui s'envolent à frôler le ciel (sauf le 7 ème)... tout ça, et tout... le grand frisson mondialisé, quoi.. On n'est pas aux jeux olympiques pour rien : ''i'' faut suivre... le train, et ''L'important, c'est de participer''. Et pour le reste... on pense ce qu'on pense qu'on pense, en général, même en particulier.
Mais si vous voulez que je vous dise ce que je pense que je devrais vous dire, je pense que si on n'avait pas eu à organiser les Jeux pour jouer à s'amuser à organiser des jeux, je serais aussi content de ne pas râler de ne pas avoir de raisons de râler... que d'avoir, aujourd'hui, raison de râler puisqu'on les a eus. Car si on ne les avais pas eus, qu'est-ce qu'on aurait adorer râler parce qu'on n'a même pas été fichu de les avoir ! Bon. Je crois qu'on s'est dit à peu près tout ce qu'il y avait à dire, non ? On est d'accord ?
Il ne reste qu'une correction à faire : tous nos cuistres-aux-manettes, nos pontifes, nos pros de ''l'énanisme'', nos gaspilleurs de sommes ''dingues'' dont ils n'ont pas le premier sou... confondent, à longueur de discours emmerdant, les Jeux Olympiques avec une ''Olympiade''. S'ils avaient ne serait-ce que la moitié du début d'une culture historique, ils sauraient que le mot ''Olympiade'' n'a et ne peut avoir qu'un seul sens : la période de 4 années qui sépare deux ''Jeux''. Et ''Les Jeux olympiques d'été'' qui seront célébrés à Paris du 26 juillet au 11 août 2024 seront ''les Jeux de la XXXIIIᵉ Olympiade'' (moderne). Et là, vous avez raison de râler : c'est stupide ! C'en est à croire que, comme le disait l'autre, ''la culture française n'existe pas'' !
Tout de même, on peut aussi trouver normal de râler contre le prix prohibitif des trucs dans le genre ''quoi qu'il en coûte'' qui fleurissent à en être, pour beaucoup, déjà fanés avant même d'avoir fleuri... comme hidalgo, d'ailleurs. Comme je l'avais proposé à de nombreuses reprises ici-même, il aurait été sage de prévoir une ''rallonge'', en multipliant les budgets initiaux par ''π'' (nombre dit ''irrationnel'', qu'on peut arrondir à 3,14159265358979323846264338327950288419710, pour simplifier les calculs)... Le coût final de ces jeux va être croquignolet à comparer avec les ''engagements'' (?) initiaux.
Mais bon... n'en faisons pas un ''pataquès'' : depuis que la France n'est plus qu'une socialie puis une macronie (la différence est vraiment minime)... c'est tous les chiffres qui sont devenus fous, les dépenses de l'Etat, le soutien à des causes qui ne sont les nôtres en aucun cas (cf les explications rigoureusement ''non-convaincantes'' du chef de l'Etat, hier soir...), et les impôts ! Et il reste encore deux ans à tirer... avec peut-être à la clé une vraie guerre, provoquée, contre la Russie... le temps qu'elle nous écrabouille. Décidément, on n'a pas fini de ''raquer'' !
H-Cl.
5 notes · View notes
alexisgeorge24 · 6 months
Text
24 octobre :
Arrivé à la capitale Inka à 14h30, je suis heureux de retrouver Pachacutec sur la plaza Mayor, il n'a pas bougé en 6 ans. C'est le principe d'une statue. Je me ballade dans la ville et me rappel pourquoi c'est ma ville préférée d'Amérique latine.
25 octobre :
Journée dédiée à la visite de la ville, j'ouvre le routard et fais (presque) tout ce qui y est indiqué:
Palacio Arzobispal, Museo de Santa Catalina, Museo del Convento de la Merced, Museo del Convento de San Francisco, Convento de Santo Domingo de Guzmán, Iglesia de la Compañía de Jesús.
Tout est d'une architecture espagnole mais construit sur les fondations inka qu'on aperçoit toujours. Les cloîtres des couvent sont sublimes. Même si la ville n'a pas été anéantie comme Mexico par Cortez, la Cuzco actuelle témoigne des horreurs de la conquista.
Je ne (re)-visite pas la Cathédrale qui coûte désormais 10€ (!!).
Le soir je me ballade vers San Blas et j'ai un flash back de l'endroit exact où j'avais dîner il y a 6 ans. Je n'avais pas manger de madeleines avec Proust mais l'effet est le même. Petit moment de nostalgie et prise de conscience du temps qui passe et de ce qu'on en fait.
26 octobre :
Excursion journalière vers Pisac et ses ruines Inca. Collectivo jusqu'au très charmant village puis 1h de monté vers les ruines. Avant d'y accéder il faut acheter un billet des ruines uniquement combiné avec d'autres sites touristiques qui ne m'intéressent pas (déjà fait en 2017), évidement il me coûte chère (17€) et je fais bien savoir au vendeur que je ne suis pas content de me faire (encore) voler mon argent. Ça a vraiment changé ce pays en 6 ans. Ils ont des dollars à la places des yeux.
Mais bref, le sites est magnifique, avec pas mal de vestiges et longe la montagne sur quelques km, je suis quasi seul loin des foules qui s'accumulent au Machu Picchu. Quelques photos avec des dames qui n'ont pas l'habitude de voir des gringos et retour au village où je mange chifa (chinois) dans un établissement qu'Etchebest aurait refusé de coacher, et dont mes intestins voudront intenter un procès.
Bilan: 8km, 600m d+
27 octobre :
2e excursion journaliere, cette fois pour visiter la "Montaña de 7 colores", ou Vicunca. Arrivé au début du sentier, après 3 heures de route, nous sommes 1000 mini-bus au parking, je sens que je vais étouffer. Je vois un fleuve de monde jusqu'à un col qui doit sûrement être une star sur Instagram. A mi-chemin un sentier devi vers un autre col que personne n'emprunte. C'est pour accéder à la "valle rojo", dont j'avais entendu parlé et que je vois indiqué sur la carte. Étant bien plus rapide que tous le reste du monde je décide d'y aller avant de rejoindre le point Instagram. Arrivé au col, je me fais encore raquetté de 3€ (en plus des 8€ déjà payés à l'entrée du site), mais la vue est incroyable. La roche est rouge avec des teintes blanches, or, vert, gris (expliqué par la présence de divers minéraux) et on se croirait sur Mars. Je repaye 5€ parce que visiblement les drones sont interdits, mais le monsieur "de la communauté" ne veut pas me lacher. Il m'explique que c'est parce qu'il y a des condors (que je ne vois pas), mais après l'avoir payé il me laisse refilmer...
Je rejoins le spot Instagram qui est certes jolie mais beaucoup moins que l'endroit que personne ne visite. Je décide donc de monter vers un autre col qui donne une autre vue sur la vallée rouge avant de redescendre vers le bus.
Retour à Cusco, pendant le trajet je me fais un nouvel ami, il s'appelle Tourista et notre relation sera très fluide.
Bilan: 11km, 600m d+
28 octobre :
Je voulais faire le trek de 3 jours de Salkantay mais je décide de passer la journée avec Tourista qui a l'air de m'apprécier. Je glande un peu au hostel, me ballade dans la ville, monte jusqu'au point de vue du Cristo Blanco, prends une bière et m'occupe de la logistique du trek que je commencerai finalement le lendemain.
Le soir en rentrant vers mon hostel, sur la place principale, c'était la fête. Des gens c'était déguisés (en Incas ?) et portaient des taureaux en cartons sur lesquels étaient accrochés des feux d'artifice. Apres avoir mis le feu à la mèche, ils foncaient aléatoirement sur la foule avec des etincelles projeté dans tous les sens. Je me suis surpris en train de courir pour ma vie car c'était assez flippant. Sympas la corrida vegan.
29 octobre :
05h00 départ pour la laguna Humantay avec un groupe organisé mais que je vais vite abandonner pour continuer de mon côté sur un trek de 3 jours. Je monte toute de même vers ce lac de glacier, j'en aurais vu tellement d'autre que je ne suis malheureusement pas impressionné. Je poursuis vers le col du Salkantay et pose ma tente juste avant, dans une vallée paradisiaque. Je suis, seul, juste en bas du sommet / glacier Salkantay et le ciel est totalement découvert. Au couché du soleil le sommet devient orange. C'est beau.
30 octobre :
Réveil dans de la glace, mais 0 nuage à vue. Je vais au col et me fais un café en admirant les 2 vallées, le Salkantay sous un autre angle, ainsi que d'autres glaciers au loin. Puis j'entame une looonngue descente, la plus longue jamais réalisée en une traite: 28km, 2500m d-. Je passe ainsi de la haute montagne à la jungle montagneuse... et ses moustiques avec. Bivouac sur le jardin d'un hostel du bled où je passe, pas beaucoup d'autres solutions.
Je suis à 2200m, enfin une altitude où je peux m'endormir sans avoir l'impression de respirer comme Dark Vador, et en Sibérie.
31 octobre :
Dernier tronçons jusqu'à Hydroelectrica ou un minibus m'attend. Toujours dans la jungle, mais cette fois ça monte. Je pensais que la Guyane me manquait mais finalement pas tant que ça. J'ai tellement transpiré que la flore a commencé à me demander de l'eau. Sur la descente, pause sur une terasse naturelle juste devant le Machu Picchu (à une certaine distance tout de même mais je devinais les ruines). Plus loin sur le chemin, d'autres points de vue intéressants sur les montagnes bien poilus jusqu'à destination finales.
S'ensuivent 7 heures de minibus. Puis pizza, puis dodo. Dommage que je sois fatigué il y avait une bonne ambiance dans les rues à l'occasion de Halloween.
Bilan Salkantay : 54km, 2100m d+
3 notes · View notes
Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitres 14-15
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Salut les bgs ! J’espère que vous avez passé de chouettes fêtes de fin d’année et que 2024 vous apportera de bonnes choses !
De mon côté, quoi de mieux pour commencer l’année que de reprendre ma relation équivoque et ingrate avec un bouquin qui ne m’a rien demandé. Vous l’avez compris, c’est le retour des Hatereads !
La dernière fois, Cal était mal en point, Mara apprenait que sa soeur et son crush sortaient ensemble, et pour ne rien enlever au piquant de ce charmant épisode de sitcom chapitre, tous les indices pointaient vers Robin en tant que responsable de l’attaque contre Cal, bien que le demi-elfe soit innocent !
On en était resté à la fuite de Robin des cachots du palais, qui s’accompagne, semble-t-il, d’autres mauvaises surprises…
Le chapitre d’aujourd’hui s’intitule “Lisbeth, ou comment posséder un palais tellement grand, qu’on n’arrête pas d’y perdre des gens, ce qui est ennuyeux lorsque ceux-ci sont censés être prisonniers.”
Construisez un bureau par personne que vous recevez, qu’ils disaient. Ce sera marrant, qu’ils disaient.
Ah oui, et on a déjà un problème avec ce titre, mais je vais faire une fleur en cette nouvelle année et ignorer la virgule de trop qui se balade derrière le “tellement grand”. On va dire que c’est mon cadeau de Noël en retard.
“— Quoi ?
Fou de rage, Safir Dragosh empoigna le pauvre garde qui venait de lui annoncer l’horrible nouvelle.
Selenba avait disparu.
En même temps qu’un autre prisonnier, Robin M’angil.
— Mais comment est-ce possible ? rugit le vampyr, hors de lui. Elle était sous surveillance 26 heures sur 26 !
— Nous… nous l’avons mise pendant quelques heures en prison en bas, parce que les salles du haut ont été réquisitionnées.
Safir réalisa qu’il était en train de soulever le thug, dont le visage virait au rouge et les pieds ne touchaient plus terre. Le grand vampyr prit une profonde inspiration et reposa sa victime, puis recula, histoire de ne pas lui faire mal involontairement, vu que là, il sentait ses canines l’élancer tellement il avait envie de le mordre.”
Après ce début mouvementé, je pourrais d’ores et déjà donner des mauvais points à Safir pour violence gratuite. Mais il a de la chance, ma lecture du chapitre 7 commence à remonter et je ne suis plus autant en colère contre lui qu’à ce moment-là. Et honnêtement, après avoir vu les gardes de ce palais étaler généreusement leur incompétence, je comprends la réaction. Cela dit, je garde à l’œil monsieur « Je continue de désirer mon ex, au mépris de la relation que j’ai construite avec sa sœur ».
Le fait que toutes les salles d’interrogatoire ont été réquisitionnées en même temps interpelle le vampyr, et celui-ci ordonne au garde thug de lui montrer.
« — Euh, risqua le thug avec un courage inouï, vous devriez peut-être d’abord…
Et il désigna la mâchoire de Safir qui débordait de crocs partout.
Le vampyr comprit et les rétracta d’un air mauvais. Puis lui fit signe de passer devant lui.
Le thug obéit et précéda le vampyr en évitant soigneusement de le toucher. Il avait déjà vu un vampyr perdre son sang-froid (ah ah) et il n’avait pas du tout l’intention de revoir cette scène de nouveau, il avait fait assez de cauchemars comme ça, merci beaucoup. »
Bon, okay, j’avoue, j’aime bien ce début de chapitre pour l’instant, le petit jeu de mot avec « sang-froid » était simple mais efficace, et j’aime bien le rappel selon lequel Safir est quand même quelqu’un d’effrayant. La scène fonctionne pour moi.
Ça a pas intérêt à être une préparation de chapitre nul dans un trench-coat, parce que ma méfiance est endormie pour l’instant.
« Ils sortirent en trombe sous le regard plein de compassion des autres gardes qui étaient drôlement contents de ne pas être à sa place, les soupilutes44. (Ce livre me provoque constamment avec des mots improbables jamais entendus avant, mais je jure que je n’irai pas voir le glossaire. Littéralement ce terme est mis en bout de phrase dans un coin de chapitre, il ne sert à rien. Tiens, je devrais lire l’ensemble du glossaire à la fin de ma critique, ça devrait être marrant).
Il ne leur fallut pas très longtemps pour arriver aux prisons où des tas de gens s’activaient afin d’essayer de comprendre comment quelqu’un leur avait piqué non pas un, mais deux prisonniers. (Je suppose qu’il y aura une explication à ça, mais je trouve ça assez convenient que les deux seuls évadés soient Robin et Selenba, alors qu’on sait pertinemment qu’il y a aussi dans ces prisons le type qui a tenté d’assassiner Mourmur, notamment. D’ailleurs le type qui a tenté d’assassiner Mourmur me manque, il était drôle).
Même si Safir était fou de rage, il devait avouer qu’il n’avait pas du tout envie d’être à la place de l’Imperator, responsable des armées, certes, mais aussi de la sécurité du palais, et qui venait, plusieurs fois de suite, d’être pris en flagrant délit d’incompétence. Ce que bien sûr, personne ne lui dirait jamais en face. À moins d’avoir vraiment très envie d’aller faire un petit tour en OutreMonde… »
On se passera de ton avis, Safir « J’aime toujours Selenba qui a un red flag comme étendard » Dragosh.
Cela dit, il a pas tort, à part faire le beau derrière Lisbeth et s’entraîner avec Tara, Sandor n’est pas très productif. J’ai du mal à lui en imputer la faute, cependant, on dirait que madame S.A.M. n’a voulu le penser que comme une gravure de mode, et qu’elle préfère se focaliser sur les autres personnages plutôt que sur lui. Si elle l’écrivait comme il mérite d’être écrit, quelque chose me dit que soit les gardes du palais auraient été remplacés depuis longtemps, soit il n’aurait rien du fier gaillard qu’on en fait. Quand on voit que Lisbeth refuse de l’envoyer sur Tadix sous prétexte qu’il s’en prendrait aux démons pendant des négociations commerciales, le bougre m’a l’air moins fin qu’il est décrit en permanence.
Tiens, quitte à donner mon avis sur lui, autant poursuivre. Je sais que ça fait quatorze chapitres, et que j’avais dit que je commenterais les personnages au fil de leurs apparitions, mais pour être sincère je n’en ai pas ressenti le besoin jusqu’à présent. Et surtout, les lire dans ce tome m’a permis de renforcer l’avis que j’avais jusque-là sur eux.
Lisbeth et Sandor ont une dynamique plutôt intéressante. Lisbeth est un personnage tyrannique qui n’apparaît pas toujours comme bienveillante envers Tara, et qui alterne entre complots, caprices et travail en commun avec les héros. Ça en fait un personnage très imprévisible ; ce que je nommais autrefois, dans mes tropes préférés, le « Bon Tuteur Problématique ». Sandor, par contraste, est plus droit et monolithique : il est, dans mon imagination, comme l’ombre de Lisbeth. Quelqu’un de mesuré qui exerce son devoir d’une main de fer, et n’hésite pas, contrairement à sa sœur, à montrer son antipathie envers Tara. Ils sont, en duo, depuis des années au pouvoir, et il est certain qu’ils ont traversé beaucoup de passes ; j’en veux pour preuve la sphère-négation (c’est comme ça que j’appelle l’artefact qu’ils gardent, apparue dans le chapitre 8).
Le problème, c’est que plus le temps passe, plus cette impression de dynamique est mise aux arrêts pour quelque chose de bien moins intéressant. Lisbeth, qui prenait déjà toute la lumière, éclipse totalement Sandor dans toutes leurs scènes d’apparition. De toutes les occasions où Sandor aurait pu intervenir, être utile, être enfin son propre personnage, aucune n’a vraiment été prise, et il se retrouve accessoire alors que sa position dans le gouvernement devrait en faire un acteur majeur de l’histoire. Quant à Lisbeth, elle passe d’un personnage qui nous interpelle à quelqu’un d’ennuyeux, qui reprend les tropes de superpuissance de Tara sans rien pour contraster, si bien qu’elle en devient flanderisée. Malgré toutes les décisions prises dans ce tome et l’histoire de l’empoisonnement, on dirait que le personnage perd en épaisseur, car ses motivations sont dictées par l’action. Elle n’est moteur de rien et se contente de réagir, un comble pour une Impératrice.
Bref, je ne dirais pas qu’il faut reprocher au personnage de Lisbeth d’écarter Sandor, c’est davantage une erreur d’écriture qu’autre chose. Et critiquer l’incompétence d’un personnage qu’on sous-écrit, c’est un peu cracher dans sa soupe après avoir mis trop de sel.
Bien, après cet interlude, reprenons. Safir, en observant les salles d’interrogatoire, perçoit une odeur de sang. Plus exactement, il s’agit du sang de Selenba, et ça le fait réagir au quart de tour : il se transforme en loup, et suit la piste. Celle-ci le mène à traverser un mur qui amène à un tunnel secret, où se trouve Selenba. Celle-ci est affalée et blessée, mais toujours vivante. Safir lui demande ce qu’il s’est passé, et elle prétend ne se souvenir de rien à part de quelqu’un lui jetant quelque chose sur la tête. Mais Safir perçoit qu’elle ment, ce dont il n’était pas capable quand elle était encore buveuse de sang humain.
« Il s’affaissa un peu. Ce qu’il craignait était en train de se produire. Elle l’avait piégé, elles les avaient tous piégés pour une très mystérieuse raison qui exigeait qu’elle soit au palais d’une part et qu’elle redevienne normale de l’autre. »
Tumblr media
« Il prit une grande inspiration et sourit gentiment, faisant taire son cœur blessé, encore une fois. Lui aussi pouvait jouer. Et n’allait pas s’en priver.
Galamment, il souleva Selenba dans ses bras en dépit du plafond trop bas, ce qui la fit glousser. Il faillit la laisser tomber. (t’aurais dû, ç’aurait été marrant) L’entendre glousser était tellement hors de la nature de Selenba qu’il se mordit la lèvre pour ne pas lui demander qui elle était en réalité. Mais elle passa ses deux bras autour de son cou et blottit sa tête blanche contre son épaule, avec un soupir de soulagement, et il décida que les explications pouvaient attendre.
Pour l’instant, il avait une mission.
La piéger. »
La faire tomber ça aurait été plus efficace.
Et le… le chapitre est fini ? Le chapitre intitulé « Lisbeth » où Lisbeth n’apparaît même pas… ? Est fini ? Je suis soufflée, c’était ma foi une fin de chapitre très abrupte et rapide.
Non, on peut pas s’arrêter comme ça. Pour la peine, on enchaîne. Et tant pis si le chapitre 15 fait potentiellement trente pages de long, y avait pas à me laisser sur ma faim comme ça.
Le chapitre 15 s’intitule donc « Archange, ou comment aller à un rendez-vous galant sans savoir si le type veut vous épouser ou vous assassiner… ce qui donne, indéniablement, un certain piment audit rendez-vous. ».
Si le chapitre est du point de vue de Tara et qu’Archange n’y apparaît pas, ce serait le meilleur enchaînement de l’année, je pense. Sachant qu’on est le 4 janvier, y a de la marge. (Note de la moi de plus tard : évidemment qu'Archange y apparaît pas)
« Toute idée de batifolage envolée, Tara dit à Cal qu’elle revenait très vite et fila comme un rominet. Sa tante l’attendait à la prison. Et ses vêtements, comme ses cheveux, étaient noir de nuit, noir d’encre, noir de suie, montrant très bien qu’elle n’était pas contente, mais alors pas contente du tout. (ça doit ma foi être fort peu pratique d'avoir la palette de tes émotions qui s'affiche en permanence sur ta tête. Magister et Lisbeth sont pareils de ce point de vue-là)
— Que s’est-il passé ? haleta Tara, qui, toute dignité enfuie, avait couru comme une dératée, en maudissant pour la énième fois l’inconcevable immensité du palais.
— C’est ce que j’aimerais bien savoir, répondit sa tante avec un certain agacement. D’abord on retrouve un assassin dans les poutres de mon plafond, ensuite un autre assassin se volatilise de mes prisons. Ce n’est plus un palais que j’ai, mais une véritable passoire !
A ses côtés, Xandiar sembla se ratatiner. Il était responsable de la sécurité, sous la supervision de l’Imperator. Il avait remis sa démission dix minutes plus tôt, démission qu’avait sèchement refusée l’Impératrice. »
Ok Macron.
(Pour les personnes du futur qui tomberaient par hasard sur cette critique, je fais allusion au fait que Macron a rejeté la démission de Darmanin, pas à notre cher credo « Macron démission ». Oui, je sais, ça gâte une blague de l’expliquer mais celle-là elle peut être un poil technique en fonction d’où vous êtes dans le temps)
« — Je sais que vous faites de votre mieux, avait-elle dit (Ça se discute) [...] Mais les temps changent, les technologies évoluent, la magie se perfectionne. Il va falloir que vous travailliez plus en collaboration avec nos laboratoires afin que le palais soit encore mieux protégé.
Le grand garde avait opiné. Il œuvrait déjà en étroite collaboration avec les laboratoires, sauf que leurs machins ne fonctionnaient pas toujours si bien, et que Xandiar était très partisan de la bonne vieille méthode. Mettre des yeux et des oreilles bien humaines ou thugs ou elfes un peu partout. Jusqu’à preuve du contraire, les êtres conscients étaient encore, à ce jour, plus intelligents que les machines. Que les plus malins parvenaient très bien à tromper. (Alors oui, mais les êtres conscients aussi peuvent être trompés. Vous voulez une liste des personnes présentes dans le palais qui se sont fait duper, depuis le début de ce tome, ou ça va aller ?) Mais il pouvait comprendre l’Impératrice. Depuis qu’elle avait été possédée, deux fois, puis empoisonnée, elle était particulièrement sensible à tout ce qui pouvait menacer son environnement. D’autant plus qu’à présent, elle pouvait penser à sa descendance. Il frissonna. L’Impératrice était déjà implacable, il ne voulait pas imaginer ce que cela donnerait lorsqu’elle aurait des enfants à protéger… »
Oh mais ça suffit avec vos clichés ! Qui vous dit que Lisbeth sera seulement une bonne mère ? C’est une personne capricieuse et impulsive, si ça se trouve, ce sera la pire daronne de l’univers et elle négligera ses gosses dès qu’elle en aura ! La meuf vit dans l’opulence, a tout ce qu’elle désire en un claquement de doigts et est décrite comme quelqu’un de monstrueux et d’implacable, et de plus, c’est péniblement si elle fait attention aux jeunes gens qui l’entourent (bonjour, Mara qui a pété son câble dans son coin et à laquelle personne ne fait attention (je m’en remets pas), bonjour Tara que Lisbeth est prête à envoyer à la mort sur une planète qui va exploser, bonjour Jar et rebonjour Mara, qu'elle n'a sans doute pas prévenus et qui vont se retrouver encore plus orphelins qu'avant quand tout ça va se faire sans qu'ils le sachent) ! Faut arrêter de l’imaginer comme une potentielle maman louve qui veillera sur ses gamins comme sur la prunelle de ses yeux, à la fin.
Xandiar explique que Robin a disparu et qu’il a été remplacé par un autre type, apparemment ramassé dans la rue au pif, clairement le gars a pas signé pour sa meilleure journée. Les caméras ont également été trafiquées, et aucune image de ce qu’il s’est passé deux heures auparavant n’a pu être récupérée, même par voie magique. Chose étrange, l’appareil qui empêche les prisonniers d’utiliser leur magie était bien actif deux heures auparavant, ce qui signifie que l’évasion s’est faite de façon vanilla.
Mévora et T’andilius, les parents de Robin, débarquent. Lisbeth permet à T’andilius de participer à l’enquête, et sur ce, Safir arrive à son tour avec Selenba dans les bras, et apprend à tout ce beau monde sa découverte d’un tunnel secret. Lisbeth distribue ses ordres, puis va avec Tara dans sa chambre, encore une fois. Là-bas, elle lui demande si Tara est prête à se rendre sur Tadix et à ne pas se laisser influencer par ses émotions.
« — Cal va rester ici, répondit-elle paisiblement en dépit de son cœur qui battait vite. Robin a disparu, et je ne peux rien y faire pour l’instant. Donc mes émotions ne seront influencées en rien.
— Mais, insista l’Impératrice, que se passera-t-il si Archange est sérieux ? S’il veut vraiment t’épouser, mettre en place un vrai commerce entre son univers et le nôtre ? Que feras-tu ?
Tara planta ses yeux bleu marine dans ceux, si semblables de sa tante. Sa réponse fut dictée autant par sa peur pour Robin que par sa colère et sa culpabilité. (mal parti pour être neutre émotionnellement parlant, ça.)
— Je ne peux pas te répondre, Lisbeth. Voyons d’abord ce qu’il veut exactement. Je me poserai ensuite la question de ce que je veux moi.
— Mais…
— Lisbeth, la coupa fermement Tara, je sais qu’en tant qu’Impératrice tu as l’habitude qu’on réponde à tes questions, mais je ne répondrai pas à celle-ci, parce que comme je viens de te le dire, je n’ai pas de réponse. Je te rappelle que le garçon dont j’ai été très amoureuse a disparu. Que je suis inquiète. Pour lui. Pour moi. Pour AutreMonde. Nous verrons bien lorsque nous serons confrontées aux démons. Une crise à la fois, s’il te plaît.
Lisbeth n’insista pas. Elle avait été mariée contre son gré, avec un homme qu’elle n’aimait pas et la contrariait considérablement. Puis elle avait appris à apprécier, et finalement à aimer Daril Kratus, même si cela n’avait rien à voir avec l’amour passionné qu’elle portait dorénavant à Various.
Aujourd’hui, elle voyait sa nièce se débattre exactement avec les mêmes problèmes et se demandait si Tara comprenait qu’elle n’avait pas le choix et que la paix de l’univers dépendrait sans doute de sa décision.
[...] Elle regarda sa nièce qui se mordait les lèvres avec agitation et se demanda si elle devait lui parler de ce qu’étaient, en réalité, les bombes de Tadix. »
Eh bah… paye ton Impératrice impitoyable. Tu veux dire que tu vas jouer à pile ou face, selon la réaction de Tara, en espérant que si Archange veut réellement l’épouser Tara acceptera sans broncher ? Lisbeth devrait être aux premières loges pour savoir que sa nièce ne va en faire qu’à sa tête, précisément parce qu’elle est en train de le lui avouer, et parce que l’Impératrice eu un parcours similaire au sien. En tant que personne égocentrique et politiquement investie, Lisbeth ne devrait pas lui laisser le choix, et simplement décider de partir sans Tara et négocier les termes avec Archange sans son assentiment. Que pourra faire Tara, à part protester ? Puisque l’univers dépendra de son accord ?
Ah oui, et j’ajoute mentalement un nouveau point au compteur inexistant « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ai oublié au moment où ce qu’ils concernent surgit », pour la question de la véritable nature des bombes de Tadix. Ça va finir par faire beaucoup, là.
Bon, mais Lisbeth reprend du poil de la bête, et prévient Tara qu’Angelica, son ancienne pire ennemie, sera présente parmi les invités. Tara n’est pas contente (et moi non plus, Angelica est un cliché de peste sans saveur), mais elle ne trouve rien à redire. En effet :
« — Et puis, assena-t-elle, je t’ai fait parvenir la liste de tous les invités afin que tu l’entérines, il ne me semble pas que tu aies barré son nom…
Tara fit la grimace. Sa tante venait de lui donner une leçon. Elle n’avait pas regardé la liste, parce qu’elle était furieuse que Lisbeth l’oblige à recevoir les prétendants. Petite vengeance dont elle était la victime à présent. Cela lui apprendrait à jouer au plus fin avec une nana qui dirigeait un empire alors qu’elle n’était même pas encore née. »
Ça, vous voyez, c’est un genre de passage que j’aime beaucoup dans les histoires avec des protagonistes jeunes : le moment où ils se font doubler car ils ne peuvent pas prévoir l’étendue du pouvoir que les plus âgés ont sur eux. C’est simple, c’est efficace, et ça manque cruellement dans cette série, si vous voulez mon avis.
Tara la quitte, mais rencontre Various dans les couloirs, qui est très fâché. En effet, Lisbeth refuse qu’il l’accompagne dans sa mission.
« — Par les crocs de mes ancêtres, grogna-t-il, plus loup que jamais alors que Tara savait très bien qu’il n’y avait pas de loups-garous dans sa famille… Enfin, pour ce qu’ils en savaient… (littéralement Mourmur, meuf) Cette femme va me rendre fou. À peine sommes-nous fiancés qu’elle veut aller affronter des démons. Et moi, elle croit que je suis quoi ? Un joujou ? Je suis un des meilleurs guerriers et mercenaires de Vilains. Comment pense-t-elle que j’ai conquis la plus grande partie de mon territoire ? (J’espère qu’on n’est pas censés être en désaccord avec Various ? Parce qu’il a parfaitement raison, ça ne sert à rien de l’écarter de cette mission. A la rigueur, on pourrait soulever l’argument qu’il serait nécessaire pour quelqu’un de rester sur le trône en l’absence de Lisbeth, mais Sandor remplit parfaitement ce rôle, et Various et Lisbeth ne sont pas mariés, donc la passation de pouvoir risque d’être compliquée. En l’état, Various prépare un mariage d’amour avec elle, ce n’est pas pour la laisser tomber !)
[...]
Enfin, il se tut, obligé de reprendre sa respiration, et Tara put glisser un très perfide :
— Tu sais, ma tante change souvent d’avis. Tu peux certainement la convaincre si tu t’y prends bien ! »
Mais… mais quelle connasse ?
Certes, je suis d’accord avec Various (en partie parce que je ne suis pas contre l’idée de voir des personnages plus variés dans l’action du tome), mais quand même ! L’adjectif « perfide » suggère que Tara ne soulève pas l’argument pour l’aider, mais bien pour faire chier Lisbeth. Et comment dire… c’est un peu limite de l’encourager à foncer vers sa mort, simplement pour embarrasser sa tante ?
Lisbeth n’a fait que mêler Angelica à la liste des invités, et certes, c’est monstrueux car celle-ci risque aussi la mort, mais 1/ ce n’est pas une amie de Tara, au contraire 2/ ce n’était pas le choix de Lisbeth, mais quelque chose d’imposé par le père d’Angelice 3/ il y a une réelle raison à sa présence, aka le fait qu’elle possède la main de lumière.
Encourager Various à aller sur Tadix n'est en rien équivalent ! Et comme ils avaient partagé une scène un peu complice au début de l’histoire, j’espérais que Tara tenait un peu à lui, mais il faut croire que non.
Tara tente un crochet chez Mara, qui ne répond pas, et elle s’en désole mais sans plus (connasse), et va dans sa suite, où elle ne trouve ni Cal, ni ses amis. En revanche, elle a un message de Cal, qui l’informe qu’ils ont tous décidé de venir sur Tadix pour l’aider, malgré tout.
C’est dans ces dispositions qu’elle se prépare à partir, après avoir vaguement retenté de contacter Mara, toujours sans résultat. Elle songe que sa sœur ne viendra sans doute pas la voir, même en la voyant filer vers une mort certaine. Et elle ne se dit pas que le cœur de sa frangine sera d’autant plus brisé quand Cal disparaîtra aussi direction Tadix. Connasse.
« Faire les bagages pour Tadix n’était pas très compliqué, vu qu’à son grand soulagement la seule chose que Tara devait emporter c’était son corps, son cerveau (oui, ça c’était indispensable, compte tenu de ce qui l’attendait), son pégase et sa changeline.
En revanche, pour Mourmur, qui avait décidé, en dépit du danger qu’elle lui avait abondamment décrit et qu’il avait balayé d’un dédaigneux « Tu plaisantes, jeune Tara, faire exploser une planète et me demander de ne pas y assister ? Impossible », c’était une autre paire de manches. (MON IMBÉCILE MONOMANIAQUE MAL EXPLOITÉ PRÉFÉRÉ EST DE RETOUR ET IL VA FAIRE LE TRAJET AVEC ELLE, QUE DEMANDE LE PEUPLE, JE SUIS DE NOUVEAU HEUREUSE) Tara n’imaginait même pas le nombre de tonnes que représentaient les innombrables appareils transportés par Mourmur. Et comme la plus grande partie de ces machines étaient mi-organiques mi-métalliques et respiraient, même si Tara ne voulait surtout pas savoir ni pourquoi ni comment, il ne pouvait pas les mettre dans les idéales poches sans fond de sa robe de sortcelier. »
Vous savez quoi, j’adore le concept de machines mi organiques mi métalliques. Je suis complètement biaisée mais habituez-vous vite.
Tara retrouve Grr’ul, son ancienne garde du corps troll, ainsi que le mari de celle-ci. Les deux ont décidé en leur âme et conscience de l’accompagner, en dépit des risques encourus, et wow, qu’est-ce qu’il se passe aujourd’hui, c’est la fête aux personnages secondaires ! Ce n’est franchement pas pour me déplaire, même si je m’inquiète de leurs risques de décès, et que je trouve dommage qu’ils engagent leur pomme pour Tara. Cela dit, j’aime beaucoup le fait que Various ait comme motivation d’aider Lisbeth, et Mourmur de simplement assister à une potentielle explosion planétaire – ce qui est horrible, au passage, mais bon c’est Mourmur.
Dans tous les cas, ce chapitre respire le début de l’action, et après autant de chapitres à piétiner, ça me donne très envie de voir ce qu’il va se passer.
« L’arrivée très majestueuse de l’Impératrice stoppa les protestations de Tara. Parfois, la jeune fille pensait à un film qu’elle avait vu sur Terre, Astérix et Cléopâtre. Les arrivées de Lisbeth semblaient très proches de celles de Cléopâtre. Des tas de trompes, des tas de danseurs, de chanteurs, des pétales de fleurs, des gardes partout et l’Impératrice au milieu, sur un trône d’or et de rubis flottant au-dessus du sol, tiré par des pégases dorés. (Grmblll. Avis très personnel, mais y a une façon de faire quand il s’agit d’évoquer d’autres fictions dans une histoire. Des personnages peuvent faire des rapprochements et des parallèles, pas de souci, mais là, c’est la première fois qu’on entend parler d’une arrivée en grandes pompes de Lisbeth. Du coup, ça laisse à penser que c’est vraiment pris d’Astérix, et ça donne un sentiment de facilité à la scène)
[…] La changeline, que Tara avait priée de l’habiller confortablement en prévision du voyage, s’aligna sur l’Impératrice. En l’espace que quelques secondes, Tara se retrouva juchée sur d’impressionnants talons, une somptueuse robe de dentelle grise, dorée et rouge moulant son corps pour s’évaser en une petite traîne à l’arrière, tandis qu’une couronne de rubis et de diamants venait retenir ses longs cheveux blonds.
Ben, ça allait être pratique pour voyager, tout ça. »
J’aurais bien mis un point supplémentaire à mon compteur « L’Oréal, c’est pas du tout le moment », mais ce rappel de l’existence de la changeline renforce mon impression que les changelins seront utiles dans ce bouquin, donc on va dire que cet ajout est en latence en attendant que l’impression soit confirmée ou non.
Tara voit apparaître le déclencheur de la bombe sur son hor, prêt à l’usage à tout moment, avec différentes façons de l’activer en fonction de si elle est libre de ses mouvements ou non. Elle rejoint Lisbeth sur le trône, et tout le beau monde de la délégation se prépare à partir. Tout le monde est présent, sauf…
« Elle ne vit Various nulle part. Apparemment, il n’était pas venu à bout de sa tante. Tant mieux, il aurait au moins une chance de survivre, lui »
C’est dit d’une façon tellement nonchalante, c’est pour me tuer. De manière générale, Tara n’a aucune pensée particulière pour tout ce beau monde qui va probablement mourir avec Tadix, mais bon.
« Tara eut un pincement au cœur. Elle partait pour ce qui risquait bien d’être sa dernière aventure, elle ne savait pas du tout si ses amis allaient réussir à la rejoindre et vu le visage de Mara qui la dévisageait avec fureur, elle était loin d’avoir réglé tous ses problèmes avec sa petite sœur. Celle-ci lui avait tourné le dos lorsqu’elle avait tenté de lui demander pardon. »
Oui, d’ailleurs, au passage, tu aurais pu lui dire que Cal risquait de te suivre. Même à mi-mots, en langage codé. Ça aurait peut-être capté son attention. Mais bon, tant pis, hein, dis pas adieu à ta sœur.
La délégation débarque sur Tadix, avec un changement d’ambiance plutôt chouette, au passage. Tara note que la magie fonctionne moins bien sur Tadix et que le dôme qui les protège pourrait peut-être céder à tout moment. Tout le monde est très content d’accueillir l’Impératrice d’Omois, et pendant ce temps, Tara s’inquiète car même si elle a tout fait pour empêcher Cal et les autres de la rejoindre, il est possible que rien n’y fasse.
« Observant tous les invités avec attention, Tara remarqua qu’ils étaient tous bien moins gracieux et beaux que d’habitude, y compris l’Impératrice.
Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que Lisbeth, se méfiant des espions tout autant que des démons, avait interdit toute illusion de beauté. Les ministres n’avaient pas aimé, surtout ceux d’entre eux qui étaient gros et chauves…
Tout le monde était donc dans son état naturel ce qui, justement, ne leur était pas naturel. Il y avait autant de femmes que d’hommes dans les délégations et celles d’entre elles qui avaient l’habitude d’utiliser les artifices afin de paraître plus belles faisaient grise mine. »
Pfff… déjà, assimiler la beauté au fait de n’être ni gros ni chauve, merci beaucoup, hein. C’est une tendance de la série qui m’a toujours beaucoup déplu, et qui, je pense, aurait dû être critiquée quelque part. Ce culte de l’apparence physique a une ambiance malsaine, et pour un bouquin destiné à des ados et dont tous les héros sont décrits comme étant beaux, c’est vachement chiant.
D’ailleurs, c’est un autre élément, non-ironique celui-là, qui fait que j’apprécie Mourmur : il n’est pas conventionnellement beau. Il est âgé, ça se voit à ses cheveux en pétard blancs, et de plus, il a vaguement un handicap, puisqu’il a un pied abîmé, si je me souviens bien. Croyez-moi, j’aurais bien davantage de personnages préférés dans ce foutu univers si on pouvait y croiser des personnages gros, ou pas conventionnellement beaux. Si un ou une ministre refusait de changer son apparence physique car il ou elle s’acceptait comme il/elle était, je l’adorerais à coup sûr, et ce serait un bon moyen de remettre en question cette histoire de changement d’apparence !
Sur ce, le chapitre est terminé, et ce post aussi par la même occasion ! Si le chapitre 14 m’a laissée sur ma faim, le chapitre 15 m’a beaucoup plus lancée, j’ai hâte de poursuivre la critique. Et d’ailleurs, sur ces entrefaites, nous avons atteint la moitié du livre ! Bravo à tous pour votre patience.
La prochaine fois, nous verrons le magicgang – donc le point de vue qui m’intéresse le moins, mais je vais essayer de m’accrocher.
D’ici là, passez une bonne fin de semaine !
4 notes · View notes