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#au FRAC Lorraine
artspaume · 1 month
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Vous connaissez l'artiste peintre français Ibrahim Meïté Sikely (FR)
Ibrahim Meïté SikelyTête d’étoile, 2021huile sur toile / oil on canvas150 x 70 cm Né en 1996, Ibrahim Meïté Sikely vit et travaille à Champigny-sur-Marne et Paris. Il a obtenu son DNSEP à la Villa Arson à Nice en 2022 et est actuellement étudiant à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il a récemment participé à plusieurs expositions au CAC Brétigny, au FRAC Lorraine, Metz, au…
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tropiquedessilences · 4 years
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Annette Messager - Ma Collection de Proverbes 
1974 - broderie de fils sur tissu de coton
35 x 28 cm -  Au Frac Lorraine
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jlmrtn · 5 years
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Récits invisibles /  Sylvain Couzinet-Jacques, David Fathi, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Elsa Mazeau, Bettina Samson, Susan Schuppli
Centre d’art contemporain, Chapelle Saint Jacques - Saint Gaudens
Du 19 octobre 2019 au 2 février 2020
Commissariat avec Valérie Mazouin et Camille Prunet
Vernissage samedi 19 octobre
Dans le contexte hypermédiatique actuel, les conditions de manifestation et d’enregistrement du réel sont fréquemment explorées par les artistes. Les œuvres réunies dans cette exposition cherchent à documenter le visible mais, paradoxalement, refusent ou ne parviennent pas à en donner une représentation immédiatement lisible. Les artistes proposent d'explorer le potentiel narratif de formes visuelles ou sonores peu explicites au premier abord. Ils tentent ainsi d’interroger les conditions actuelles de manifestation, d’enregistrement et de diffusion d'événements visibles ou invisibles.
Les œuvres de David Fathi, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige obtenues par excès ou manque de lumière, offrent une représentation d’une histoire sur le point de disparaître ou déjà disparue. Le caractère d'abord défaillant de leurs images cède peu à peu place à un ambivalent jeu de dissimulation et de révélation. Ces œuvres ont aussi en commun de confronter le spectateur à des événements appartenant à la fois à l'Histoire et à des récits personnels. De leur côté, les images de Bettina Samson et de Susan Schuppli tentent de redonner vie, ou en tout cas une visibilité, à des phénomènes vivants, chimiques ou biologiques. Avec un travail parfois proche de l'enquête, Elsa Mazeau, quant à elle, se demande quel récit livrer par l'image de l'espace social, des expériences des individus qui habitent un territoire. Sylvain Couzinet-Jacques, enfin, propose par une installation sonore de penser les rapports de pouvoirs dans la visibilité accordée aux cultures non-occidentales. Dans le travail de tous ces artistes, les changements d’échelle, l'opacité première des œuvres, la tension entre subjectivité assum��e et objectivité présumée, viennent souligner la difficulté à documenter le réel.
Ces démarches donnent apparemment à voir un manque, une désaturation, un désencombrement temporaire, dans le flux incessant des images mais ne refuse pas le récit pour autant. Les artistes  présentent leurs vidéos, leurs photographies, leurs installations comme des processus, et non comme des objets finis et stables. L’historien d’art W.J.T. Mitchell relève ainsi que « les images ne sont pas des mots, et il n'est pas si évident qu'elles aient quelque chose à nous "dire". Elles peuvent bien nous montrer quelque chose, mais l'acte de langage doit leur être octroyé par le spectateur, qui projette une voix dans l'image lorsqu'il y déchiffre un récit ou un message verbal »1. Le public est ainsi invité à déjouer leur apparent mutisme.
Artistes : Sylvain Couzinet-Jacques (né en 1983, vit et travaille à Paris), David Fathi (né en 1985, vit et travaille à Paris), Joana Hadjithomas et Khalil Joreige (nés en 1969, vivent et travaillent à Beyrouth et Paris), Elsa Mazeau (née en 1974,  vit et travaille au Pré-Saint-Gervais), Bettina Samson (née en 1978, vit et travaille à Paris) Susan Schuppli (vit à Londres).
Avec des œuvres du FRAC Bretagne et du FRAC Lorraine.
1 W. J. Thomas, Mitchell, Que veulent les images?? Une critique de la culture visuelle, Dijon, Les Presses du Réel, 2014, p. 154.
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photographies d’exposition :  © François Deladerrière
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julieletoquin · 3 years
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Travailler au FRAC Lorraine pendant deux jours. Oh joie ! Oh bonheur !!! https://www.instagram.com/p/CKjDYz2h-Ip/?igshid=1bwym35dnquhu
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abraabraabra · 5 years
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DESIGN GRAPHIQUE • Partition chorégraphique 
Partition chorégraphique pour une performance artistique de Marina Smorodinova, activée au FRAC Lorraine. Quatre danseurs, à leur échelle, repensent le mouvement des quatre premières planètes du système solaire.
2020
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allemagnevoyage · 5 years
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Nil Yal­ter. Exile Is A Hard Job#artall 9 mars au 2 juin 2019 au Musée Ludwig - Museum Ludwig, Cologne Nil Yalter Topak Ev, 1973 Yourte : feutre, laine de mouton, cuir de mouton, marqueur, aluminium, 10 dessins : Crayon et photocopies de photographies sur papier. Vue d'installation Nil Yalter, 49 Nord 6 Est - Frac Lorraine, Metz 2016 © Nil Yalter, Photo : Eric Chenal
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Rendez-vous – Metz – septembre 2017
Le jeudi 14 septembre, à 18 h 30, petite salle des Coquelicots, 1 rue St. Clément, « café-Diplo/revue de presse internationale ».
Rencontres et visites autour des travailleurs d'Indochine : le jeudi 14 septembre, à 19 h 30, au FRAC-Lorraine, 1 rue des Trinitaire : « Albums de familles lorrains », avec Ysé Tran, cinéaste.
Partie en 2015 sur les traces des travailleurs forcés indochinois installés en Lorraine après la Seconde Guerre Mondiale, la cinéaste d’origine vietnamienne Ysé Tran a fait escale à plusieurs reprises au 49 Nord 6 Est pour approfondir ses recherches sur le territoire. De ce long et méticuleux travail, elle nous dévoile un pan méconnu de notre histoire à travers des documents d’archives inédits, des photos de familles…Entrons dans l’intimité de ces travailleurs dont les parcours individuels nous renvoient à un passé commun. Ysé Tran a réalisé plusieurs films de fiction courts sélectionnés dans des festivals français et étrangers. Elle est aussi auteure et co-éditrice. Et a participé à diverses installations d’artistes. Le 49 Nord 6 Est a soutenu son dernier film « Une histoire oubliée » (2017).
youtube
Le vendredi 15 septembre, à 19 h 30, hôtel de ville, 1 place d'Armes : « 1945 : des Indochinois en Lorraine ». Avec Pierre Daum.
Environ 20 000 « travailleurs indochinois » arrivent en France au début de la Seconde Guerre mondiale. Le service de la Main-d’œuvre indigène nord-africaine et coloniale (MOI) est chargé de recruter les travailleurs coloniaux requis, de les acheminer et de les mettre au service des industries de la Défense nationale. La majorité des recrutements est effectuée de force au sein de la paysannerie pauvre des protectorats de l’Annam, du Tonkin et de la colonie cochinchinoise. Ces ouvriers non spécialisés sont pour la plupart employés à des travaux forestiers, agricoles et industriels notamment dans les usines d’armement. Après la défaite française, ils sont logés dans d’immenses camps de la zone libre et soumis à une discipline militaire ainsi qu’à des conditions de vie très dures. À la Libération, la majorité de ces hommes aspire à un rapatriement rapide, reporté à cause de la désorganisation de l’après-guerre et des événements qui affectent l’Indochine française. A la souffrance de l’exil, succèdent alors l’exaspération et la colère. En 1945, plusieurs milliers d’entre eux sont envoyés dans les industries lorraines. Certains y resteront quelques années, d’autres toute leur vie. A Metz, le fort de Queuleu est utilisé pour loger jusqu’à 500 de ces travailleurs.
Les samedi 16 et dimanche 17 septembre, à 15 heures : visites guidées sur les traces des Indochinois au fort de Queuleu. (renseignements sur www.fraclorraine.org).
Le jeudi 21 septembre, à 20 h 30, cloître des Récollets, 1, rue des Récollets : « Palestine : sortir de l'apartheid ! ». Avec Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontières, médecin et essayiste. En partenariat avec France Palestine Solidarité.
Le samedi 23 septembre, à 14 h 30, au FRAC : projection du film de Denis Gheerbrant On a grèvé et « Nettoyage : en grève », débat sur la situation des travailleurs/euses de ménage avec les syndicats SUD et CGT.
Ce que « grèver » veut dire
D'entrée de jeu, sur le bord du trottoir, ce matin-là, les femmes de chambre ont proclamé : - « On va grèver. » - « Oui, faut courage. » - « On va chanter, on va danser. »
Tout était là. D'un même geste, elles s'appropriaient l'espace public et défiaient la direction de leur hôtel. Elles s'appropriaient la langue, celle du patron, du colon ou du « toubab » (« le supérieur » en wolof). « On a grèvé » : qui serait venu leur dire que « ça ne se dit pas » ? « On a grèvé » nous dit l'Afrique, le chemin parcouru, hier par la traite des esclaves, aujourd'hui par l'émigration. Et si l'on y regarde de plus près, cette pratique hors droit du travail qui leur impose un salaire à la pièce, ne correspond-elle pas à une forme de délocalisation à domicile du travail ? Mais avant même que cette grève n'atteigne son but, elles avaient déjà gagné sur le plan symbolique, le statut de travailleuses en lutte. De leur communauté d'origine, elles passaient à la communauté de tous les exploités qui se battent dans le monde. Elles allaient faire de la rue la scène où chantaient celles qui devaient toujours accepter sans un mot, où dansaient celles dont les lits à faire, encore et encore, toujours plus vite, brisent le corps. « On a grèvé », tout à la fois une séculaire tradition de résistance et la lutte des classes à l'heure de la mondialisation.
Christopher Pollmann : [email protected]
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Un festival : Festival Do Disturb au Palais de Tokyo. L’intitulé de l’évènement pose le ton. "Do Disturb", 1ere édition du festival initié par le Palais de Tokyo, invite à l’impertinence. Un marathon de 36 heures (non-stop) de concerts, de performances, de projections et de fête organisé avec une belle liste d’invités prestigieux : le MoMA PS1 (New York), la Tate Modern (Londres), le Matadero Madrid, le Centre national des arts plastiques (CNAP, Paris), 49 Nord 6 Est – Frac Lorraine (Metz) et le club Berghain (Berlin). Soit 60 évènements en simultané et en succession à découvrir en se laissant aller à une promenade de sons et d'images.
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neovitae · 7 years
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L'art contemporain met le « travail à l'œuvre » à Reims, Metz et Sélestat
À Metz, au « 49 Nord 6 Est - Frac Lorraine », exposition collective et intersectionnelle « Ressources Humaines » a choisi d'aborder la dimension ... from Google Alert - "ressources humaines" -H/F http://ift.tt/2tcBE9Y
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news24hrou · 6 years
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“Marea doamnă a artei conceptuale din România”, Geta Brătescu, a murit miercuri dimineață
Artistul plastic Geta Brătescu a murit miercuri dimineaţa, au confirmat pentru AGERPRES reprezentanţi ai Uniunii Artiştilor Plastici din România (UAP).
Supranumită “Marea doamnă a artei conceptuale din România”, Geta Brătescu (n. 1926) este o reprezentantă importantă a avangardei postbelice, a cărei contribuţie artistică pluridisciplinară este rezultatul studiilor în literatură şi filosofie, urmate în paralel cu cele de artă.
Scriitoare, ilustratoarea printre altele a traducerii lui “Faust” semnate de Ştefan Augustin Doinaş, director artistic al revistei “Secolul 20/Secolul 21”, a fost distinsă în 2008 cu titlul de “Doctor Honoris Causa” al Universităţii Naţionale de Artă din Bucureşti pentru contribuţia sa la dezvoltarea artei contemporane româneşti.
Cu o carieră impresionantă, de peste 60 de ani, Geta Brătescu se bucură de apreciere în rândul publicului şi al specialiştilor din domeniul artelor în întreaga lume. Pavilionul României la Bienala Internaţională de Artă de la Veneţia, care a găzduit în 2017 proiectul “Apariţii” al artistei, a fost unul dintre mai admirate şi s-a bucurat de articole elogioase în mass-media internaţională.
Lucrările Getei Brătescu se regăsesc în colecţii importante precum cele ale MoMA, New York; Centre Georges Pompidou, Paris; Tate Modern, Londra; Hammer Museum, Los Angeles; Museum of Modern Art, San Francisco; Muzeul de Artă Modernă, Varşovia; Muzeul Naţional de Artă Contemporană, Bucureşti; MAK, Viena, MUMOK, Viena, Kontakt Collection, Viena; Moderna Galerija, Ljubljana si FRAC Lorraine, Franţa.
Artista a fost decorată cu Ordinul Naţional “Steaua României”, în grad de Ofiţer, prin decret prezidenţial.
https://ift.tt/2xmibr1 https://ift.tt/2Dkp1Dc
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fracnormandierouen · 6 years
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Visite et atelier tactiles au Frac
Le Frac a accueilli un groupe d’enfants déficients visuels du Centre Normandie Lorraine à l’occasion d’une visite et d’un atelier tactiles dans le cadre de l’exposition” Résonance - partie 2″. Des outils, comme des thermogonflages, des moulages et reproductions d’oeuvres exposées, ont été conçus pour aider au mieux les enfants à découvrir les oeuvres. Un atelier de découverte tactile de matériel, comme du fusain, du pastel, de la peinture, etc, a été pensé pour compléter au mieux la découverte et la compréhension des oeuvres présentées.
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CE QUI NOUS TIENT, CE À QUOI NOUS TENONS
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CE QUI NOUS TIENT, CE A QUOI NOUS TENONS Exposition in situ du 7 avril au 26 juin 2018 AVEC: Céline Ahond, Alain Bernardini, Camille Bondon, Jean-Baptiste Farkas, Lola Gonzalez, Julie Gouju & Adaline Anobile, Anne Immelé, Joséphine Kaeppelin, Jérémy Laffon, Camille Llobet, Violaine Lochu, Aline Morvan, porte renaud, Marie Preston, Sébastien Rémy & Cyril Verde, Matthieu Saladin, Fabien Steichen, Annie Vigier & Franck Apertet (les gens d’Uterpan), Marianne Villière Une proposition de Mickaël Roy, commissaire associé VERNISSAGE dans le cadre de la "nuit des arts" Vendredi 6 avril, 18h 18h, protocole sculptural participatif de porte renaud, "Préservation d’espèces" 19h, conférence-performance de Fabien Steichen, "Le spectateur", témoignage, 30 minutes, galerie du Granit Les performances de Fabien Steichen interrogent les protagonistes nécessaires à leur réalisation, en jouant sur différentes adresses. Ce témoignage, en l’occurrence, assume le point de vue d’un spectateur. Dans le cadre de la saison "Et, toujours, ils tiennent le monde", à la suite des expositions "Brouhaha" (16/9 – 19/12/2017) et "Désirer un coin de soi-même inconnu" (13/1 -27/3/2018) la galerie du Granit présente l’exposition "Ce qui nous tient, ce à quoi nous tenons" du 7 avril au 26 juin 2018. Conçu en trois actes et en un mouvement transversal, ce cycle d’expositions se compose de fragments de faits, de récits et de fictions, de formes, de situations, de figures et de gestes choisis en ce qu’ils peuvent contribuer à actualiser notre regard sur le monde tel qu’il va, tel qu’on le voit et tel qu’on l’imagine, en ce qu’il peut être considéré comme le théâtre d’un temps ordinaire ou exceptionnel, digne, en partie, d’être (re)présenté. Si le monde est d’une part un objet mouvant qui se perçoit par des agents et des sujets intermédiaires et s’il se pratique par la somme des individus qui le compose, il s’éprouve aussi dans l’espace des courtes distances, des rencontres et des relations interpersonnelles, là où les attentions et les présences mutuelles et réciproques d’échange et d’amitié sont porteuses d’un partage de situations sensibles. Dans ce monde plus ou moins étendu, tandis que les gestes s’adressent, la langue s’essaie et persévère, et ce faisant la parole court et revient autour de la table ou sur le terrain des liens tissés par celles et ceux qui l’animent, ramenés des coulisses sur les planches du théâtre du quotidien, là où le souci de l’autre se traduit par l’intérêt de faire ensemble et, à petite échelle, de faire société. Parce qu’aucun homme n’est une île*, "Ce qui nous tient, ce à quoi nous tenons" est une invitation à épouser certaines formes du commun, celles qui se montrent par les moyens spécifiques de l’art, et celles qui, compatibles avec le monde, se meuvent par son dehors. *John Donne, in. Devotions upon Emergent Occasions, 1624 + L’EXTENSION DU PLANCHER EST UNE LUTTE (LA RUMEUR) Avec : Camille Bondon, DeYi Studio, Anne Immelé, Joséphine Kaeppelin, Quentin Lacroix, porte renaud, Sébastien Rémy, Matthieu Saladin, Fabien Steichen, Dorothée Thébert & Filippo Filliger (Cie SousChiffre), Mathieu Tremblin, Valentine Verhaeghe, Marianne Villière Lorsque la scène du théâtre et de la galerie résonnent des jeux qui s’y tiennent, pendant ce temps-là, la scène du monde existe en permanence aussi ailleurs, par son extériorité. En parallèle de l’ensemble des expositions de la saison, se développe une autre exposition, extérieure, qui s’emploie à faire apparaitre des interventions artistiques discrètes, impromptues et/ou temporaires, qui ne s’annoncent pas pour se laisser découvrir, en relation étroite avec des espaces, des lieux et des acteurs du territoire. ÉVÉNEMENTS "En commun" Samedi 7 avril Journée de rencontres en collaboration avec le 19, Crac de Montbéliard autour des pratiques artistiques convoquant la notion de commun. De11h à 14h au Granit / de 15h à 18h au 19,Crac "L’absence de gouvernail" Jeudi 31 mai, 20h, durée 1h30 env. Hors les murs : Frac Franche-Comté, Besançon Présentation de la pièce de Dorothée Thébert & Filippo Filliger (Cie SousChiffre). Inspirés par la pensée de R. Filliou, les artistes proposent d’établir un lieu temporaire de création et d’expérimentation d’une communauté de pensée, conviviale et roborative. Gratuit sur réservation au Frac : 03 81 87 87 40 LES VISITES La première mercredi 11 avril, 17h Avant le spectacle jeudi 3 mai, 19h Sandwich jeudi 17 mai, 12h20 La dernière mardi 26 juin, 18h Visites commentées sur rendez-vous Pierre Soignon, 03 84 58 67 55, [email protected] FINISSAGE Samedi 23 juin de 13h à 18h "Ce qui vous tient, ce à quoi vous tenez" Pour conclure l’exposition et la saison, journée en forme de propositions artistiques et de tribune libre sur des expériences et des pratiques collectives. Avec la collaboration de la Bibliothèque Léon Deubel et de la BU Lucien Febvre - Belfort, de l’École d’art de Belfort G. Jacot, du Lycée Condorcet - Belfort, du 19, Crac - Montbéliard, du Lycée Aragon - Héricourt, de la Médiathèque François Mitterrand - Héricourt, de la Commune de Pérouse, du Frac Franche-Comté, Besançon Avec les prêts des artistes, du Frac Franche-Comté, du Frac Lorraine, des galeries Salle Principale et Marcelle Alix, Paris Visuel: Camille Bondon, schéma de principe issu de l’édition "Abrégé visuel", 2015, sélectionné par Mickaël Roy
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nouveau-plateforme · 7 years
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WE HAVE NO ART
Exposition sur l’œuvre de Corita Kent proposée par l’option communication en relation avec 49 Nord, 6 Est-FRAC Lorraine. 
Du mercredi 3 au mardi 16 mai 2017.
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