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#casser un couple
maraboutbadou · 1 year
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RITUEL POUR BRISER UN COUPLE
RITUEL POUR BRISER UN COUPLE Faire un rituel pour briser un couple du marabout compétent Badou est la plus efficace des solutions pour éloigner toute femme de votre époux. Parfois en amour on se trouve confronter à de pire situation qui demande d’agir en faisant recours aux forces mystiques pour obtenir gain de cause. Ce rituel pour séparer deux personne est une sorte de vengeance que vous…
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assogba · 1 year
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Comment Réaliser pour briser un couple a distance- briser 1 couple a distance.
Comment Réaliser pour briser un couple a distance- briser 1 couple a distance. Comment Réaliser pour briser un couple a distance,comment séparer un couple rapidement,prière puissante Afin de séparer un couple,comment briser 1 couple a distance,payer quelqu’un pour briser un couple,rituel pour briser un couple de suite,comment briser un couple via Facebook,rituel de l’œuf pour séparer un…
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roihangbe · 2 years
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Separer deux personnes avec du vinaigre - Rituel pour séparer ou détruire un couple
Separer deux personnes avec du vinaigre - Rituel pour séparer ou détruire un couple. L'un des sorts les plus recherchés par les gens sont ceux des sorts pour Separer deux personnes avec du vinaigre.
Separer deux personnes avec du vinaigre – Rituel pour séparer ou détruire un couple. L’un des sorts les plus recherchés par les gens sont ceux des sorts pour Separer deux personnes avec du vinaigre. En effet, les conflits sociaux, les désirs refoulés ou les prétentions personnelles vous amènent généralement à prendre des décisions drastiques pour obtenir ce que vous voulez vraiment.Les sorts…
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jezatalks · 5 months
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Vent post sur la parentalité
Pour rester dans le thème.
Ça fait des semaines, voir des mois que j'y réfléchis.
Je ne pense toujours pas vouloir d'enfants. Et c'est toujours la crainte que ça puisse casser notre couple d'ici quelques années (mon compagnon n'y pense pas du tout pour le moment et ne sait pas s'il en veut)
Pour moi ça serait vraiment briser ma vie. Déjà que j'arrive pas à me "gérer" au quotidien (+ le fait que j'ai encore du mal à accepter que c'est aussi car je suis handicapée et que c'est une des raisons pour lesquelles que faire les tâches ménagères c'est compliquer).
Le manque d'intimité, avoir la tête prise 365j/24h par un être qui est totalement dépendant. Très probable que ce soit un point négatif pour mon bien être mental et crises d'hypersensibilité.
Je n'arrive pas à m'imaginer me faire appeler "maman" ni d'avoir le rôle de mère. Je pense que je DETESTERAI la partie grossesse/accouchement = je veux pas voir mon corps changer. C'est encore un parcours pour l'accepter. Et la dysphorie que je risque d'avoir ???
Je sais que mon compagnon serait un parent formidable. Je pense que sur le plan pratique/matériel je serais irréprochable, faire attention à sa sécurité/santé/bien être. Mais tout ce qui touche au plan émotionnel je n'arrive pas à m'imaginer avoir un lien avec, un affect, ou un rapport "classique" d'amour avec un enfant.
Déjà que j'arrive pas me dire que "j'aime" ma famille. Je sais que mes parents sont cools, je m'entend relativement bien avec ma sœur. Mais sans plus. Mes cousins/oncles et tantes sont drôles et sympas. Mais pareil, je ne sais pas si j'arrive à me dire que j'ai un affect avec. Si on n'avait pas été de la même famille, probable que jamais je n'aurais essayer de tisser des liens avec.
Je l'ai vu avec ma nièce. Je réagis, j'essaye de "jouer" mais comparer à tous ceux qui jouent avec elle, je suis le moins tactile possible, je garde mes distances, je force pas les bisous et n'en donne pas (pareil pour les câlins). Je sens que je ne sais pas comment me comporter.
Je l'ai aussi dit à mon compagnon. Si jamais on en vient au point d'accord d'avoir un enfant (naturellement). Je veux être le parent qui sort en premier du congé parentalité pour amener l'argent du foyer et "fuir" ma responsabilité. Et aussi que j'ai envie de m'investir un "minimum".
C'est hyper égoïste (ptdr l'argument qu'on donne aux personnes qui n'en veulent pas et qui en veulent aussi) mais vraiment le seul truc qui me motive à avoir un enfant, c'est que je sais que moi et mon compagnon, on lui inculquerait des bonnes valeurs et qu'il sera le mieux entourer pour son éducation (au sens large).
Donc je pense que je ne serais pas un bon parents d'un point de vue interne au bordel car je m'imagine pas être capable d'être impliquée émotionnellement, que cet enfant sera le malheur de mon futur mal être personnel. Mais que de l'extérieur, personne captera car je serais un minimum impliquée.
Les seuls points positif que je vois = au bout de quelques mois de grossesse le ventre sera un support PARFAIT pour reposer mes poignets quand je jouerais aux jeux vidéo. J'espère que j'aurais le vagin plus lâche/détendu. Ce qui me permettra de pas me sentir irritée après chaque rapport (pourtant j'utilise des lub hydratants, et j'ai même fait une cure pour améliorer ma flore. Ça n'a quasi rien fait). Et apparemment, le bordel hormonal fera que j'aurais peut être moins de troubles de l'humeur liés aux hormones car vraiment, c'est de plus en plus insupportable avec les années.
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leseffrontesfr · 9 months
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Bonjour Titiou, vous êtes oracle, poétesse lyrique et potinière au forum. Après avoir récité plusieurs harangues contre le mariage devant de nombreuses jeunes patriciennes, vous revenez avec un pamphlet intitulé Mon concubin et l’argent. Comment vous est venu ce réquisitoire ?
Dès l’enfance, les garçons reçoivent plus d’argent que les filles, auxquelles on offre plutôt des cadeaux : robes, bracelets, tuniques, esclaves… Par la suite, les hommes obtiennent des carrières rémunératrices : questeur, haruspice, consul, légionnaire, préfet, et cœtera. Leurs épouses sont obligées de se contenter des revenus du domaine, d’élever leurs enfants, filer la laine et se divertir. Il faut aussi compter tout le temps qu’elles doivent passer à superviser les serviteurs. On constate par ailleurs une tendance plus forte au concubinage, où l’homme reste libre de l’usage de son patrimoine. Ce système bénéficie toujours à celui qui a le plus.
Vous évoquez la « théorie du pot de yaourt » dans votre ouvrage. En quoi consiste-t-elle ?
Je prends souvent l’exemple d’Octavia et Marcus : Octavia n’a que la dot accordée par son père, elle en tire moins de rentes que Marcus ne touche de prébendes et, à l’arrivée du deuxième enfant, ils songent à changer de char. C’est Marcus qui achète le char et les chevaux ou les rembourse seul au prêteur. Pour compenser, Octavia lui prépare d’excellents yaourts au miel ou au garum. Au moment où ils se répudient, Marcus récupère le char qu’il a payé alors qu’Octavia n’a plus que les restes de sa dot, sa laine, ses domestiques et ses pots de lait caillé. Dans un couple, le plus petit revenu (la femme) est donc celui qui a le plus intérêt à s’assurer une sécurité économique : par exemple, pour l’achat d’un char, acheter les brides et les licols (quitte à moins faire de yaourts pour avoir le temps de choisir les bijoux équestres les plus luxueux possibles), afin de se constituer un petit patrimoine.
Selon vous, la nouvelle génération est-elle en train de casser les codes ?
À Rome, la situation des femmes va en s’aggravant parce qu’il y a un décalage entre la loi qui estime que les gens vivent selon les mos majorum, dans la communauté des biens, et la manière dont ils vivent réellement (en ne se mariant plus et en privilégiant le concubinage). L’écart entre les membres d’un couple continue de se faire au détriment des femmes. Les femmes font moins de tâches ménagères grâce aux esclaves mais ce sont toujours elles qui les prennent en charge. En revanche les mouvements comme #MeQuoque contribuent à une prise de conscience. Il faut déconstruire les stéréotypes virilistes !
Avez-vous constaté des contre-exemples à votre démonstration ?
En général, les concubines se reconnaissent beaucoup dans le théorème du pot de yaourt. Il y a évidemment des contre-exemples. Ma cousine Athenais m’a fait porter ce message : « Merci, je ne savais pas tout cela. Je vais hâter mon mariage. » Elle n’a pas compris... Je ne comprends pas.
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wittylittle · 7 months
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3 gars. 2 papillons. 1 arrêt.
Vous ai-je dit comment je trouve le polyamour fascinant?
Mercredi dernier, je suis allée voir l’expo Pussy Riot au MACM avec un adorable américain. On a bu dans 3 bars, je lui ai fait visiter la ville. On s’est embrassés timidement et je suis rentrée, souriante.
Vendredi dernier j’allais jouer au pool avec Grande barbe. Ça faisait plusieurs très longs audios qu’on s’échangeait. Il était fasciné par mon intérêt pour le dollification et c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un qui était vraiment excité à l’idée de jouer à la poupée avec moi.
Il ne boit pas. À jeun, on a parlé beaucoup, on ne s’est pas embrassé mais on a convenu de se revoir.
Lundi je suis allée au cimetière avec la Licorne américaine. Puis je lui ai fait découvrir le smoked meat. On a bu des cocktails, il m’a demandé si je voulais aller ailleurs ou peut être aller chez lui « to make out ». Il était gêné d’être aussi direct. C’était notre 2e date, je pouvais bien pousser l’exploration plus loin. On a acheté des bouteilles à la SAQ. Je l’ai questionné sur ses kinks. On a frenché beaucoup. Il m’a dit qu’il aimait attendre la 3e date ou plus pour baiser. C’est drôle parce que j’aime ça aussi, le tease, faire monter la passion. On est allés dans son lit. On a frotté nos organes génitaux. C’était génial. Tellement kinky soft et challengeant.
Le lendemain il m’a fait remplir le tableau bdsm des intérêts et limites. Il m’a envoyé sa version avec ses kinks. On est très excités par nos points communs. Je le revois vendredi prochain, je suis en train de traiter nos datas, pour voir sur quels boutons on pourra appuyer.
Mardi matin Grande barbe m’a laissé un audio poli et honnête pour me dire qu’il avait eu une belle soirée mais qu’il n’avait pas assez de points en commun avec moi pour continuer de me voir. Que même si nos kinks communs étaient terriblement excitants, il avait besoin de connecter sur d’autres sujets, comme la politique, les jeux de société et le canot. J’ai respecté son opinion et lui ai souhaité bonne chance.
J’étais quand même contente, ça me laissait plus de place pour les autres, et j’aimais pas tant sa barbe.
Ce soir, j’ai rencontré le Papa à vélo pour la première fois. Il m’avait demandé d’avance si on pouvait s’embrasser dès notre rencontre, pour casser la glace. J’ai trouvé ça tellement hot. « Je suis game ». Il était nerveux. Je l’ai vite mis en confiance. On est allés au musée. On a mangé du gâteau au fromage. Je l’ai trainé dans mon spot secret au centre ville où on a frenché comme deux amoureux aux yeux pétillants pendant des heures. Des gamins. Une sensation réciproque de tomber en amour. On était tellement bien à se serrer dans nos bras en se regardant dans les yeux. Rire. Se regarder. Frencher. Se raconter des secrets gênants sur nos vies. Il est tellement beau. Il me trouve tellement belle.
En quittant cet endroit après trop d’intensité pour un débutant du dating, il me lance « peut être que c’est trop tôt pour dire ça, mais je pense que je vais avoir besoin de temps pour processer ce qu’on vient de vivre. Si je t’écris tout de suite je vais négliger ma famille, ma blonde, prend le pas mal si je ne t’écris pas tout de suite. Je ne me suis jamais senti comme ça pendant une date c’est trop hot, j’ai l’impression d’être high »
Comprenant trop bien ce qu’il vit dans sa tête, je l’ai rassuré. J’ai dit que je comprenais et que j’attendrais qu’il me texte quand il sera prêt.
De l’amour je te dis. Je l’ai senti, lui aussi, mais il a peur.
3 gars en couple. 3 niveaux d’expertise. Dans les trois cas je suis ouverte. J’ai parlé des trois gars au Patron. Et il est bien correct avec ça.
(Je pourrais développer tellement plus la dessus… je vais tenter d’être plus assidue mais tout ça me rend tellement heureuse.)
Jadoooooorre les dates. J’adore rencontrer des garçons. J’en veux plus.
BRB
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uneessencesensible · 7 months
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N°1889 – Vendredi 15 juillet 2022
Bae,
En ce jour spéciale, je voulais te souhaiter un joyeux anniversaire, mais pas que. Je tenais à te dire à quel point je suis heureuse d'être à tes côtés et de pouvoir partager un bout de chemin, aussi loin soit-il. J'ai conscience que mes craintes, qui n'appartiennent qu'à moi, ne sont pas fondées et que je peux avoir une totale confiance en toi. Je suis navrée si cela te cause du tort, ce n'est pas le but. Ce n'est pas toujours contrôlable, mais avec ma dernière séance de thérapie, j'ai compris beaucoup de choses. Je ferai les efforts qu'il faut pour que cela ne se reproduise plus. Je tenais aussi à te dire que je suis fière de l'homme que tu deviens. Je doute que tu t'en rendes compte, mais tu arrives à t'ouvrir, notamment envers moi et à te faire confiance dans notre couple. Puis, il y a tant de choses qui se sont transformées en toi. En bien évidemment. Tu comptes beaucoup pour moi et je ferai toujours en sorte que notre couple tienne aussi longtemps qu'il n'a déjà tenu, de te rendre heureux. J'espère que c'est toujours le cas. Je te remercie d'être toujours présent, dans la mesure du possible, d'être comme tu es. Tu ne le sais pas, mais ton caractère m'apporte beaucoup pour me forger et essayer de casser ses peurs qui m'empêchent, parfois, d'être complètement libre.
Ne prends pas la grosse tête quand même, tu as quand même un caractère d'un ours dans sa tanière par moment.
Sache que je t'aime comme tu es.
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VENDREDI 25 AOÛT 2023 (Billet 1 / 3)
Nous sommes allés mercredi au cinéma, avec Marie-Ange (T.), en milieu d’après-midi… et nous avons vu un film EXCELLENT à tous points de vue !!!
La critique que nous avons choisie pour vous en parler dit tout, très bien, de ce qu’on en a pensé. Ce n’est pas la peine d’en rajouter sauf, peut-être, pour vous donner une idée de notre degré d’adhésion au film (scénario, mise en scène, interprétation de la comédienne principale – elle aurait mérité largement la Palme de l’Interprétation Féminine ! – de toute la distribution, l’enfant inclus, la musique, le crescendo émotionnel, etc.), nous lui avons attribué en sortant tous les 3, ce qui est archi-exceptionnel, ❤️❤️❤️❤️❤️ sur 5 !!!
Notre conseil : n’y allez pas… courrez-y !
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« ANATOMIE D’UNE CHUTE » (2h 32min), une Palme d’Or magistrale
La réalisatrice française Justine Triet, qui a reçu la récompense suprême du Festival de Cannes en mai, dissèque la vie à deux et livre un film de procès. Avec Sandra Hüller, remarquable en veuve sur le banc des accusés.
« Qu'est-ce que vous voulez savoir ? » La première réplique d'« Anatomie d'une chute » est prononcée par Sandra Voyter, écrivain allemande reconnue, interviewée par une étudiante chez elle, un chalet isolé à la montagne, légèrement grisée par les verres de vin. Son fils de 11 ans, malvoyant, s'occupe du chien. À l'étage, Samuel, son mari français, travaille. Ou il fait semblant, poussant le volume de la musique à fond.
Deux heures et demie plus tard, le spectateur en saura beaucoup sur Sandra. Sa vie privée, son travail, ses infidélités, tout son linge, sale ou propre, sera déballé sur la place publique au cours de son procès. Elle est accusée d'avoir tué son mari, retrouvé le crâne fracassé au pied de leur chalet. Suicide ou homicide ? Le médecin légiste n'exclut pas l'intervention d'un tiers.
Mais deux heures et demie plus tard, la vérité se dérobe. Toute la vérité, rien que la vérité, échappe. L'ombre d'un doute subsiste. On le doit à l'interprétation de Sandra Hüller, implacable, opaque, rétive à toute concession. On le doit surtout à l'écriture et à la mise en scène de Justine Triet, qui cosigne avec son compagnon, le réalisateur Arthur Harari, un scénario riche en références sans jamais se laisser écraser par elles.
L'accusée est ici une femme puissante dont on apprend que le mari était professeur et dépressif. Il faisait la classe à leur fils à la maison tout en essayant, lui aussi, d'écrire malgré son incapacité à créer. Cette inversion des rôles, pour ne pas dire déconstruction, n'est pas innocente. Elle peut sembler théorique, elle est au contraire formidablement incarnée. De l'interview journalistique à l'interrogatoire judiciaire, la parole n'est jamais neutre dans « Anatomie d'une chute ». Elle instaure un rapport de force. Si Triet aime tant filmer les tribunaux, c'est par goût de la joute oratoire, forme qui assume pleinement le sens du combat.
La cinéaste ne fait pas l'économie d'un vrai film de procès. Avec des experts en criminologie et des psychiatres qui se contredisent, des passes d'armes entre un avocat de la défense en apparence fragile (Swann Arlaud) et un avocat général (Antoine Reinartz) sans pitié, « Anatomie d'une chute » est le meilleur film de procès français depuis « L'Hermine », de Christian Vincent, avec Fabrice Luchini en président de cour d'assises troublé par un amour secret au sein du jury (Nous avions énormément aimé ce film mais « Anatomie d’une chute » lui est largement supérieur – NDLR du Blog).
Un seul flash-back vient casser le huis clos de la salle d'audience. Un enregistrement sonore diffusé comme pièce à conviction s'incarne à l'image. Une dispute violente entre Sandra et Samuel. Ils ne parlent pas le même langage. L'anglais, langue tierce et terrain de négociation, n'apaise pas les esprits. Ils se crachent au visage leur incompréhension et leur ressentiment. Le sexe, le succès, la charge mentale, l'« économie » du couple, tout y passe. La jalousie de Samuel pour Sandra, qui l'éclipse ou l'écrase, crève les yeux. La scène, démente de vérité cruelle, fait passer Bergman pour un cœur tendre.
« Je ne crois pas à la réciprocité dans le couple, dit Sandra à la barre. C'est naïf et déprimant. » Triet montre que, dans le couple comme ailleurs, l'égalité ne se donne pas, elle se prend. D'ailleurs, l'égalité n'existe pas. La vie à deux est une démocratie sans cesse mise à mal par des coups d'État. « Anatomie d'une chute » est la dissection au scalpel de conjoints avec enfant. Daniel, malvoyant depuis un accident, découvre l'histoire de ses parents lors du procès. Il est joué par Milo Machado Graner, impressionnant malgré sa coupe au bol. La vraie plaidoirie, c'est à lui qu'on la doit. Mais cela ne signifie pas que la vérité sort de la bouche d'un enfant.
(Source : « Etienne Sorin, critique cinéma au Figaro »)
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deviance-nocturnale · 10 months
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14. Changement
J’adore abattre des cloisons. Le maillet destructeur dans la main. Des amis déménagent, ils vont casser des pans entiers. Je fais pareil mais avec la vie.  Avant, les lectures effrénées, les forums RPG, geekette absolue, amoureuse de MARVEL, Tony & Loki, une vie d’intérieur, pacha en pantoufles à attendre je-ne-sais-quoi ou plutôt un qui résolument décevant à vingt ans. Me gaver de films comme de pop corn. Une fille candide, il faut le dire, romantique dark cherchant dandy. Des mélodies vaguement échouées sur les touches d’un piano mélancolique. Je me complaisais dans une tristesse joyeuse, comptant les nuages entre amis.  Après vient le changement radical. Je pensais à tort que sortir de mes rêveries infantiles serait le début de la fin. C’est brut, drastique, une balle de plomb au plexus solaire, un coup vertigineux. Apprendre à composer avec le monde réel, désillusion fatidique. L’administratif, les responsabilités, les devoirs, le jeu des pouvoirs, valse qui dérange, à contre tempo. Les rencontres fastes, l’accomplissement, l’apprentissage. Le percer à jour, l’ajouter au panier, c’est comme ça que l’on fait dans la modernité. Aucun regret chaque jour, avancer ensemble, nos émois qui déferlent interminablement et nos intempéries de couple, nos orages et nos éclaircies quotidiens. On se pense toujours au-dessus de ça, mais il nous arrive de frotter des cordes sensibles. De les cramer. Et de les renouer. Inlassablement. J’ai évolué (j’espère dans le bon sens). Ma version 2.0 s’improvise chef en cuisine, ne digère plus que le sain, se la joue agence de voyages, se passionne pour la psychologie humaine, se cogne à son éducation médiévale, se sociabilise aisément, écrit une fois par an pendant trente jours, se forge une silhouette en salle de fitness, avale toujours films et séries (reels et quelques chaînes Youtube), apprivoise la nature, ne se débarrasse pas de son enfant en intra, joue encore quelques airs et surtout, n’attend plus rien d’autrui ou de l’univers pour lui dicter ce qu’elle veut faire. Elle agit, enfante et accouche de ses idées loufoques, elle bricole l’amour à sa façon, pas de méthode plus miraculeuse qu’une autre, c’est un amour artisanal qui est né.
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homomenhommes · 9 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 7
CHAPITRE 7 | LE CASSE-CUL DU MIDI (MON POTE DJ)
Merci pour tous vos messages. Je suis heureux que mes récits vous plaisent et vous excitent.
Donc, pour rappel : En couple depuis plus de quinze ans avec un parfait passif qui, faut l'avouer, est égoïste et ne pense qu'à son seul plaisir. Moi, je suis versatile avec un goût prononcé pour la sodomie passive. Avant lui, je me faisais défoncer le cul régulièrement, voire tous les jours. Aujourd'hui, après quinze ans d'abstinence, je suis tel un puceau qui ne rêve qu'à se faire casser le cul sans retenue par un mec viril dans un coin. Je suis un mec que beaucoup qualifient de bel homme. J'ai un peu plus de 40 ans, mesure 1m70 pour 58kg. Plutôt sportif avec une queue de 19 cm et un bon petit cul rasé. Tous les récits partagés ici sont tous réels.
Le récit que je vais vous raconter ici s'est déroulé bien avant ma rencontre avec le "Fantom" (chapitre 1), bien avant que je ne rase régulièrement mon cul et bien avant que je devienne quasi exclusivement passif. Même si vous allez le constater par vous même, les plans culs avec ce "casse-cul du midi", sont identiques à ceux que j'ai précédemment partagés ici.
Je sais que vous êtes nombreux à être impatients de lire mon récit sur mon pote DJ, alors c'est ainsi que notre rencontre a débuté...
À un peu plus de 23 ans, j'emménage dans mon nouvel appartement au rez-de-chaussée d'une résidence de Lille, après avoir quitté mon tout premier mec avec qui j'avais vécu 5 ans. J'étais également en recherche d'emploi. Je recommençais tout à zéro.
Bien installé dans mon appart, il était temps que je remette sur le marché. Que fait un gay célibataire de 23 ans ? Baiser, bien-sûr. Chose que je n'avais jusque là jamais faite puisque que celui, avec lequel je venais de rompre, était mon premier amour et mon tout premier amant. Je me suis donc créé un profil sur un chat de cul gay. Étant dans la catégorie "beau gosse", j'ai tout de suite eu beaucoup d'admirateurs. Ce qui n'était pas spécialement déplaisant, faut bien l'admettre. Mais je n'avais pas spécialement envie de choses romantiques ou de compliments superficiels sur ma prétendue beauté. J'avais besoin de cru.
Un message a attiré mon attention, un certain DJ, vivant et travaillant à Lille.
"Salut. Je viens de mater des photos et la seule chose qui m'intéresse, c'est ton superbe boule poilu. Si tu veux, je viens te le péter en plan direct tout de suite. Pas d'attache, pas de blabla et pas d'autres rendez-vous. Je ne casse jamais le même cul deux fois de suite, question de principe. J'ai déjà un mec, je n'en ai pas besoin d'un second."
Voilà qui avait le mérite d'être clair et c'est tout à fait ce qu'il me fallait. Après avoir fait un tour sur son profil et y avoir appris qu'il avait 30 ans et qu'il faisait 1m85 pour 78kg sans aucun autre détail si ce n'est une photo de sa belle et grosse bite au garde à vous, je lui réponds.
"- Ok. Ça me va. Mon adresse est (mon adresse). Le code d'accès à l'immeuble est le (code). Je suis au rez-de-chaussée, appartement (numéro).
- Cool. Tu comprends vite toi. Donc plan direct signifie que tu me reçois à poil, à quatre pattes sur ton canapé ou ton lit, le cul bien tendu. Je ne veux rien d'autre, juste ton trou pour me décharger et ciao la compagnie. Je ne veux pas que tu me vois alors ne me regarde pas. Tu n'es qu'un cul-objet que j'utilise pour me vider les couilles. Laisse la porte de ton appart entrouverte. Je ne suis pas loin, j'arrive dans 20 minutes."
Oh merde ! Qu'est-ce que j'ai fait. Je n'ai jamais fait ce genre de truc et là, j'invite un parfait inconnu à me péter la rondelle, en plan direct, expression que je ne connais pas. Pour couronner le tout, je lui donne le code d'accès à la résidence et il me demande de laisser la porte de mon appartement entrouverte. Je suis taré. J'étais à deux doigts d'annuler quand j'ai relu ses messages et que l'excitation a remplacé l'angoisse de la nouveauté. Je me suis dis que ce n'était pas si grave, qu'il fallait que je cesse d'avoir peur et qu'il venait me défoncer le cul, pas m'égorger.
Après avoir entrouvert la porte de mon logement et avoir préparé un flacon de gel au pied du lit, je me fous à poil et m'installe à quatre pattes sur le lit, visage dirigé vers le mur pour être certain de ne pas le voir et cul face à la porte. .
J'attends. Installé ainsi sur mon lit. Le cul bien tendu. Je suis excité mais j'ai peur. J'entends la porte de mon appartement claquer suivie d'un "C'est moi."
C'est lui. Plus le choix. Ce n'est plus le moment de se poser des questions.
"Dans la chambre. Au bout du couloir."
A quatre pattes, je frissonne. Sans doute, causé par un mélange malsain d'excitation et de peur. Sans un mot, l'une de ses mains se pose lourdement sur mes fesses. L'autre semble dégrafer les boutons de son pantalon. Puis je sens sa queue déjà bien bandée claquer sur mon cul. Puis, j'entends comme une forte "inspiration".
"- Tiens, prends ça, me dit-il en me tendant un petit flacon.
- C'est quoi ? Demande-je avec candeur.
- C'est pas vrai. Tu sors d'où toi ? C'est du poppers. Ça va t'aider à te lâcher et à encaisser.
- Je n'en ai jamais pris. Ça marche comment ?
- Ah putain, je suis tombé sur un puceau ou quoi ? Laisse moi faire."
Sur ces mots, il s'est penché sur moi, a bouché l'une de mes narines et a positionné le petit flacon sous l'autre en me demandant de sniffer très fort. Ce que j'ai fait.
Je ne saurai l'expliquer mais je me suis senti partir. Mon cœur s'est mis à accélérer. J'avais chaud. Je tendais beaucoup plus mon cul et je n'avais qu'une seule envie : qu'il me défonce le cul sans attendre.
J'ai donc, à ce moment-là, compris d'où venait cette "forte inspiration", puisqu'à nouveau, après m'en avoir donné, il sniffe son poppers.
"Tiens. Garde le bien en main et n'hésite pas à en sniffer autant que tu veux. T'as l'air de kiffer ça."
Et donc, pendant qu'il s'amusait à claquer sa queue sur mon cul puis sur ma rondelle en l'enduisant de gel, moi je sniffais ce poppers qui deviendra, après cela, un compagnon de baise des plus précieux pendant de longues années.
J'étais comme dans un état second et de plus en plus chaud. Sa bite était lourde et bien dure. Je la sentais glisser entre mes deux belles petites miches. Il s'est mis à caresser longuement ma rondelle avec son gland puis à le taper contre mon trou tels des auto-tamponneuses. Ma rondelle céda sans aucune résistance. Il rit car j'ai une nouvelle fois le poppers sur le nez.
"Putain, je sens que je vais m'amuser avec toi."
Son gland était en moi. Il s'amusait désormais à titiller mon anus avec, en le sortant et le rentrant jusqu'à ce que je m'abandonne entièrement en allongeant le haut de mon corps sur le lit tout en lui laissant mon cul tendu, visser à sa queue, comme pour l'inviter à aller plus profond. J'étais en pleine extase. Je ne bandais pas mais je mouillais de la queue d'une façon impressionnante. Il me pris par les hanches et entra sa queue entièrement en moi. Je lâche un petit cri de plaisir. Il continue sa progression en moi. Il veut être sûr que je sente bien sa grosse queue logée dans les profondeurs de mon cul. Il la laisse, plusieurs minutes, bien installée au fond de mon boule avant de commencer ses vas et viens vigoureux.
J'adore sentir sa queue coulisser dans mon cul. Il sait y faire.
Le voilà qui me détruit littéralement le trou. Il me baise comme jamais je n'avais été baisé par mon ex. Je ne sais pas si c'est le poppers ou tout simplement sa queue, mais je lui suis complètement soumis. Entendre ses petits grognements de mec en rut, me rend fou. Je ne cesse de tendre mon cul afin de sentir sa grosse queue me ravager les entrailles et taper, encore et encore, ma prostate. A mon tour, je grogne comme le chien que je suis devenu après ses coups de bite. Je jouis du cul. Ce qu'en réalité, je n'avais jamais connu (désolé mon ex mais tu ne savais pas y faire).
Il accélère ses vas et viens. Sa bite semble, à chaque coup de reins et choc contre ma prostate, sortir pour immédiatement rentrer dans mon cul. Il me défonce et se défoule dans ce trou qui désormais lui appartient. Je suis au septième ciel. Il est endurant et ce n'est pas pour me déplaire.
Puis, dans un râle bestial, il lâche une énorme giclée de foutre en moi. Je suis épuisé. Il sort sa queue puis, sans dire un mot, me la remet entièrement en moi et continue à me baiser comme s'il n'avait jamais joui. Toujours le nez dans le poppers, je me plie à sa volonté. Il procède à un ramonage vigoureux de mon cul. Puis dans un second râle, il me remplit à nouveau le cul et se retire.
Je suis lessivé et m'allonge entièrement sur le ventre. Je l'entends se rhabiller et, comme à sa demande, je me garde bien de le regarder. Il se penche, reprend le poppers qu'il m'avait confié et s'en va sans dire un seul mot.
Je suis resté là, un long moment, à savourer, encore et encore, les assauts de cet étalon en visitant mon intimité à l'aide de mes doigts qui ont découvert un trou ouvert et palpitant. Étrangement, alors que je n'avais pas joui de manière conventionnelle, je n'avais pas envie de me branler. Jouir du cul m'avait comblé bien plus que je ne l'aurais envisagé.
Le lendemain vers midi, je reçois un message de sa part.
"- Je ne suis pas loin de chez toi. Mets toi à quatre pattes, j'arrive pour te baiser.
- Ok. Je suis chez moi. Mon cul t'attend."
Et comme la veille, il m'a baisé comme un véritable mâle Alpha. Mais, à l'encontre de tous ses principes, après m'avoir défoncé, il m'a demandé s'il pouvait prendre une douche car il ne pouvait pas retourner au travail en sueur. J'ai donc eu le droit de le regarder. C'était un mec de trente ans, bien bâti, cheveux châtains clairs, yeux bleus, avec une queue à se damner et un cul de footballeur.
Après sa douche, nous avons pu discuter un peu.
"Tu sais, je ne devrais pas être là, ni même prendre le temps de discuter avec toi. Ce n'est pas dans mes habitudes. Mais je dois avouer que ton cul a quelque chose en plus. Ne me demande pas quoi, je ne sais pas moi-même mais je ne vais pas pouvoir m'en passer. T'es beau gosse, tu le sais. Mais tu n'as pas conscience du pouvoir que ton cul a. En te défonçant comme je l'ai fait hier, tes gémissements virils m'ont carrément excités. On voit que t'aimes ça. Et moi, j'ai adoré baiser un bâtard et non une salope."
Après cela, nous avons convenu qu'il pouvait disposer de mon cul quand il voulait sur le simple SMS "j'arrive pour te baiser le cul". La plupart du temps c'était à l'heure du midi mais il lui arrivait de demander mon cul le week-end ou, plus rarement, la nuit.
Il a découvert l'évolution de mon cul durant les cinq années pendant lesquelles il s'en est servi. Mon envie de porter des jockstraps ou le moment où je l'ai rasé. Il l'a immédiatement adopté en précisant que cela n'enlevait rien à ce côté viril et bâtard qu'il aimait lorsqu'il me baisait.
Parfois nous discutions autour d'une bière après qu'il m'ait baisé. Jamais de choses personnelles, il nous l'avait interdit. Il ne parlait uniquement de mon cul et de ses envies. Telles que me faire porter un vieux jean, craqué au niveau du cul ou, encore, un slip qu'il pourrait déchirer avant de me défoncer comme une bête (d'où mon attrait pour les jockstraps).
Je n'ai jamais su d'où venait ce DJ. Était-ce ses initiales ? Son métier peut-être ? J'en doutais car le midi, il venait en costard cravate pour me faire le cul. Mais, à vrai dire, je m'en foutais. Il était mon baiseur et c'était bien suffisant.
Lorsque j'ai rencontré mon mec et que je lui ai annoncé que c'était sérieux. Il avait proposé que l'on garde contact pour me défoncer le cul régulièrement. Con, que j'étais, j'ai refusé. Il m'a donc demandé un après-midi pour m'éclater le cul une dernière fois avant que je n'emménage avec mon copain. Il en a bien profité, le salaud, puisqu'il m'a cassé le cul tout l'après-midi. Il a joui quatre fois en moi.
En me quittant, cette fois-là, il m'avait prédit que je ne pourrai jamais me satisfaire d'être un actif à plein temps car j'avais un cul fait pour les bites, un parfait moule-bite.
Aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir accepté de devenir son cul particulier.
En me remémorant cette période de ma vie et tout particulièrement cette baise bestiale régulière avec mon pote DJ, j'ai un léger pincement au cœur car sa grosse queue me manque. Il savait s'occuper de mon cul que je lui avais confié pendant cinq ans.
Je me dis que notre rencontre aurait dû prendre la place du premier chapitre, car en la rédigeant, je me suis rendu compte que c'est lui, et lui seul, qui a fait de mon cul, un vrai cul jouissif. Il l'a élevé dans ce but, l'a formé à coup de bite.
A très vite pour de nouveaux récits réels sur mon cul.
LE CUL JOUISSIF
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alexar60 · 2 years
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Décalage
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Il faisait très chaud lorsque je quittais le métro. J’étais à moitié en sueur à force d’être resté coincé au milieu de la rame, empêtré parmi les voyageurs dont le but demeurait le même : Rentrer chez soi au plus vite. De plus, l’atmosphère pesante annonçait une nuit orageuse.
Comme à mes habitudes, je rentrais dans mon trois-pièces et, après avoir sorti une barquette de brandade du congélateur, après avoir lu les instructions, posé la barquette dans le four micro-onde, j’appelais Aurélie.
C’était ma compagne depuis plusieurs années. On attendait le bon moment pour se mettre ensemble, devenir un couple normal et avoir pleins d’enfants. En fait, on attendait juste que nos familles ne soient plus en décalage, la sienne bourgeoise catholique pratiquante et la mienne issue d’un milieu populaire, descendants de communistes anticléricaux. Autant dire que nos ancêtres ne combattaient pas du même côté pendant la commune de 1871, ni durant la guerre d’Espagne. Enfin, la situation était assez compliquée et nous évitions les repas de famille.
Je m’étais affalé dans le canapé, mon portable collé à l’oreille. Le téléphone sonna une fois, deux fois. Elle décrocha à la troisième.
-          Allo ?
-          Salut, ça va, ma chérie ?
Elle mit un peu de temps avant de répondre, elle semblait essoufflée. Elle chercha à reprendre sa respiration.
-          C’est bien toi, Alex ?
-          Qui veux-tu que ce soit ? Tu as supprimé mon numéro de ton téléphone ?
-          Non, c’est que…
Dès lors, mon cœur se noua lorsque j’entendis une voix d’homme lui parler. Et déjà, j’imaginai le pire ; sa voix fatiguée, la surprise d’être interrompue. Cependant, j’essayai de garder mon calme. Aurélie continua de parler avec l’inconnu puis elle reprit avec moi.
-          C’est bizarre ! Je crois que tu comprendras demain.
-          Tu…tu me fais quoi ? Tu n’es pas seule et je dois comprendre quoi demain ?
Des pas résonnèrent à cause du parquet en bois de son salon. Un léger désaccord entre elle et lui fut perceptible. Puis, il s’empara du téléphone et dit calmement avant de raccrocher:
-          Écoute, pour le bonheur de ton couple, appelle en visio.
Je restai stupéfait. Je me levai, oubliant la sonnerie du micro-onde qui venait de s’éteindre avec mon diner à l’intérieur. S’il était calme, la colère grimpait en flèche dans mon esprit. J’hésitai à aller chez elle, les rejoindre pour les surprendre. Je voulais lui casser la gueule et la gifler pour tous ses mensonges. Elle, qui la veille, disait qu’elle m’aimait. Et puis, cette voix me rappelait quelqu’un. Ce n’était pas un pote, un de nos amis. Je suspectai un collègue, un de ces gros cons en costume cravate, qui se la pète en se croyant irrésistible.
Mais avant, j’appelai de nouveau Aurélie. Cette-fois-ci avec la caméra de mon téléphone en action. Je voulais la regarder dans les yeux et me convaincre qu’il n’y avait rien entre lui et elle. Je voulais lui donner sa chance. Son visage s’afficha sur l’écran de mon smartphone. Elle recula la main, je pus voir sa chevelure bouclée. Elle souriait et semblait à la fois troublée.
-          Incroyable, dit-elle. Je…je ne sais pas quoi dire.
Elle tourna la tête et tendit l’appareil. A ce moment, j’aperçus une épaule.
-          C’est quoi le délire, criai-je énervé.
Soudain, un second visage se présenta. Dès lors, je restai abasourdi. Sa figure, son regard, ses lunettes, son nez retroussé avec une légère bosse, le trou au milieu du menton, la cicatrice au coin gauche de la lèvre…tout ça m’appartenait. C’était ma voix, c’était moi !
-          Je sais, j’ai ressenti ça hier soir quand j’ai appelé Aurélie. En fait, pour toi, nous sommes demain et pour moi, tu es hier.
-          Je ne comprends pas, dis-je.
-          C’est bien simple. Quand on aura arrêté de parler. Tu vas te dépêcher d’aller chez Aurélie. Et tu vas découvrir qu’elle est toute seule avec son chat. Alors, vous allez vous engueuler, elle ne va rien comprendre. Et tu vas réfléchir à mes conseils. Et demain, tu seras à ma place en train de parler avec le toi d’hier. Il y a un décalage d’une journée entre notre appartement et celui d’Aurélie.
Je restai silencieux. Derrière lui, j’entendais ma compagne répéter à haute voix : « C’est dingue ! ». Mon autre moi sourit, ses yeux brillaient tellement la situation le dépassait. A la différence, il en savait plus que moi.
-          Je crois que tu doutes encore. Alors, pour te prouver ma bonne foi. Il y a de la brandade de morue qui t’attend dans le four. Et dans le métro, tu te disais vouloir mater « les poupées russes » sur Netflix. Tu as été énervé par un homme qui est entré avec sa trottinette électrique dans le métro.
Sans mot, je raccrochai immédiatement et me précipitai dehors. Il avait raison, Aurélie ne m’attendait pas. Elle était seule. Une boite de croquettes sur la table de la cuisine indiquait qu’elle nourrissait Caramel, son chat. Elle ne comprit rien de mes propos. Nous eûmes des mots si forts que je sortis triste et perdu. Sur le chemin du retour, elle m’envoya un SMS, demandant de me revoir le lendemain, uniquement si j’étais calmé.
Je passais une journée de travail horrible, à me demander si ce n’était pas une blague. Puis, le soir, au lieu de rentrer chez moi, je partis chez Aurélie. Elle m’attendait, un peu inquiète. Elle espérait que j’aille bien. Nous discutâmes lorsque le téléphone sonna. En lisant le nom de la personne sur l’écran, elle garda la bouche ouverte. Je montrais que mon téléphone ne sonnait pas. Je sentais mon cœur battre comme jamais. Aurélie attendit deux sonneries, elle décrocha à la troisième :
-          Allo ?
-          Salut, ça va, ma chérie ? dis-je.
Elle mit un peu de temps avant de répondre, elle semblait essoufflée. Elle chercha à reprendre sa respiration.
-          C’est bien toi, Alex ?
-          Qui veux-tu que ce soit ? Tu as supprimé mon numéro de ton téléphone ?
-          Non, c’est que…
Et vous connaissez.la suite.
Alex@r60 – juillet 2022
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maraboutbadou · 1 year
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Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
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assogba · 1 year
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Rituel de séparation avec photo,rituel pour rompre une relation a distance.
RITUEL POUR BRISER UN COUPLE RAPIDEMENT RUPTURE SORT ENVOÛTEMENT DE MAGIE NOIRE VAUDOU SÉPARATION Grace à ce Puissant Rituel Vaudou du Grand Maitre Marabout ASSOGBA , provoquer une rupture devient un jeu d’enfant avec le rituel de séparation avec photo. Il n’est pas question ici d’une simple cassure qui peut se raccommoder. Il s’agit d’une rupture franche et nette sans possible retour en…
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sofya-fanfics · 2 years
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Pourquoi est-ce que tout le monde nous regarde ?
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Je me suis inspirée d’un prompt de @creativepromptsforwriting​ : « Pourquoi est-ce que tout le monde nous regarde ? ». J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Eijiro s'assit en face de Katsuki et lui agita son téléphone sous le nez.
« Tu ne connais pas la dernière ? Demanda-t-il. »
Katsuki lui écarta le bras et leva la tête vers lui.
« J'en ai rien à faire, grommela-t-il. -Midoriya ne t'en avait pas parlé ? Demanda Eijiro. »
Il fit comme s'il ne voyait pas que Katsuki ne voulait pas parler. Ce dernier s'arrêta de manger, soudain intrigué. Qu'est-ce que Deku venait faire là dedans ?
Disclaimer : My Hero Academia appartient à Kōhei Horikoshi.
@creativepromptfills​
AO3 / FF.NET
Katsuki entra dans la salle à manger pour prendre son petit-déjeuner. Il bailla à s'en décrocher la mâchoire. Il avait encore un peu de temps avant de se rendre à U.A. Mais depuis qu'il s'était réveillé, il avait une drôle d'impression. Comme s'il allait se passer quelque chose ou qu'il allait apprendre une mauvaise nouvelle. Il n'arrivait pas à chasser cette impression et cela l'énervait. Il s'assit à la table et remarqua que tout le monde était plus agité que d'habitude. Mina était absorbée par son téléphone. Cela n'avait d'ailleurs rien d'inhabituelle, mais plusieurs personnes l'entouraient et son téléphone était le centre de l'attention. Certaines filles et Minoru se mirent à glousser et il trouvait ce son particulièrement énervant, surtout lorsqu'il prenait son petit-déjeuner.
« Vous saviez qu'ils étaient ensemble ? Demanda Mina.
-À votre avis, depuis combien de temps ça dure ? Continua Minoru.
-Je n'en reviens pas que Ochaco-chan ait gardé le secret aussi longtemps, dit Tsuyu. »
Eijiro s'assit en face de Katsuki et lui agita son téléphone sous le nez.
« Tu ne connais pas la dernière ? Demanda-t-il. »
Katsuki lui écarta le bras et leva la tête vers lui.
« J'en ai rien à faire, grommela-t-il. »
Il avait juste envie d'être tranquille pendant qu'il mangeait. Cette impression qu'il ressentait depuis qu'il s'était réveillé n'avait pas disparu. Et quand il était comme ça, il ne voulait pas être dérangé.
« Midoriya ne t'en avait pas parlé ? Demanda Eijiro. »
Il fit comme s'il ne voyait pas que Katsuki ne voulait pas parler. Ce dernier s'arrêta de manger, soudain intrigué. Qu'est-ce que Deku venait faire là dedans ?
« De quoi tu parles ?
-De ça. »
Eijiro lui tendit son téléphone et Katsuki le prit. Il vit qu'il s'agissait d'un article sur Deku et Uraraka. Le couple du moment, comme le disait le titre. Il fit défiler l'article qui racontait comment l'histoire d'amour entre les deux apprentis héros avait commencé et des photos de Deku et Uraraka dans les bras l'un de l'autre illustraient le texte. Ils portaient leur costume de héro et ils avaient l'air de se trouver dans le quartier qui avait été attaqué par un vilain la semaine dernière.
Cette étrange sensation qu'il ressentait, c'était ça. Deku et Uraraka, Deku et Uraraka. Il n'arrivait plus à penser à autre chose. Quelque chose lui serra la poitrine et il avait de plus en plus de mal à respirer. Il n'avait qu'une envie, tout faire exploser. Izuku et Ochaco arrivèrent, accompagnés de Tenya, et ils devinrent immédiatement le centre de l'attention. Katsuki posa violemment le téléphone sur la table, se leva et jeta un dernier regard vers Izuku et Ochaco.
« Attention ! S'affola Eijiro. Tu as failli le casser ! »
Mais Katsuki ne l'entendait plus et il quitta la salle. S'il ne voulait pas exploser, il ne devait pas rester là.
******
Izuku rejoignit Ochaco et Tenya, qui l'attendaient pour aller prendre leur petit-déjeuner. Ils entrèrent dans la salle à manger et soudain, tout le monde se tut et tous les regards furent braqués sur eux. Izuku se sentit mal à l'aise.
« Pourquoi est-ce que tout le monde nous regarde ? Demanda-t-il à ses deux amis.
-Je crois plutôt que c'est vous deux qu'ils regardent, répondit Tenya en remontant ses lunettes sur son nez. »
Mina, Tsuyu et Minoru se précipitèrent vers eux, poussant Tenya par la même occasion, et commencèrent à leur poser des milliers de questions. Izuku les regarda surpris, ne comprenant pas ce qu'il se passait.
« De quoi vous parlez ? Demanda-t-il.
-De ça. »
Minoru lui donna son téléphone et Izuku fit défiler l'article. Ochaco lisait par dessus son épaule. Ils écarquillèrent les yeux et rougirent.
« Ce... Ce n'est pas ce qu'il s'est passé, tenta d'expliquer Izuku. »
Il sursauta lorsqu'il entendit quelque chose se poser violemment sur la table. Il tourna le regard vers Katsuki. Il était furieux, Izuku ne l'avait jamais vu ainsi. Mais il y avait aussi quelque chose d'autre. Il pouvait voire la peine qu'il ressentait. Katsuki quitta la pièce. Izuku voulait le suivre. Il ne voulait pas le laisser seul. Il sortit sans un mot et n'entendit pas ses amis l'appeler. Tout ce qu'il voulait, c'était retrouver Katsuki.
« Kacchan ! Appela Izuku en le retrouvant dans le couloir. »
Katsuki se tourna vers lui, agacé.
« Quoi ? Tu ne devrais pas plutôt être avec ta petite-amie ? »
Izuku écarquilla les yeux. C’était ça qui l’énervait ? Pourtant, ce n’était pas la première fois que la presse people inventait des histoires sur les héros ou les apprentis héros. C’était ainsi depuis que les héros existaient. Est-ce qu’il serait jaloux ? Il fallait que Izuku s’explique. Katsuki devait comprendre que tout était faux.
« Ils ont tout inventé, dit Izuku. Uraraka et moi, on n’est pas ensemble.
-Pourtant vous aviez l’air très proche, dans les bras l’un de l’autre. »
C’est vrai que la photo avait l’air de prouver qu’ils étaient ensemble. Pourtant, il y avait une explication.
« Tu sais que Uraraka et moi, on était en patrouille quand des vilains ont attaqué la semaine dernière. Les choses se présentaient mal pour elle, alors je l’ai aidé. Quand tout c’est terminé, elle avait été terrorisée, alors je l’ai consolé. »
Katsuki baissa la tête. Il avait l’impression que le poids qu’il avait sur la poitrine avait disparu. Il s’approcha d’Izuku. Celui-ci recula, croyant que Katsuki était toujours furieux. Katsuki l’attrapa par le col de sa chemise et le rapprocha de lui.
« Tu dis que tu ne sors pas avec Uraraka. »
Izuku acquiesça. Katsuki le regarda dans les yeux. Il le connaissait bien et il savait quand il lui mentait. Il pouvait voir la détermination dans son regard, il voulait qu’il comprenne qu’il ne mentait pas. Sans réfléchir à ce qu’il faisait, il approcha ses lèvres de celles d’Izuku et l’embrassa. Il fut surpris lorsqu’il répondit à son baiser. Pendant un instant, plus rien n’existait à part Izuku. Il était tellement heureux, qu’il ne voulait pas que ce sentiment disparaisse. Il sourit et s’écarta.
« Magne-toi. On va être en retard en cours. »
Il prit son sac qu’il avait laissé dans l’entrée. Il remarqua que le sac d’Izuku était à côté du sien. Il vit ce dernier regarder l’heure sur son téléphone et la panique se lit sur son visage. Katsuki sortit et il entendit :
« Attends-moi Kacchan! »
Izuku le rejoignit et Katsuki ne put s’empêcher de sourire. Finalement, cette journée débutait plutôt bien.
Fin
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grainedecoeur · 10 days
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Podcast #158: Une question toute simple pour retrouver le chemin de la communication dans son couple
Sortir de "l'autoroute à la tension et à la dispute" est compliqué. On a tendance à répéter les mêmes schémas, relations après relations, disputes après disputes. Trouver un outil pour casser ces schémas, et apprendre à faire autrement est essentiel.
Cliquez sur Play pour écouter le dernier Podcast de l’émission « En Amour »! Dans cet épisode, je partage avec toi une question puissante pour retourner vers la communication, l’ouverte et l’être “En Amour” dans ton couple, dès qu’une tension ou dispute pointe le bout de son nez. Si tu comprends bien ce que je te présente, et que tu l’intégres pleinement, cette question à le potentiel de vraiment…
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partyboxfr · 4 months
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Quelles sont les meilleures idées de cadeaux à faire lorsqu’on est invité à un mariage ?
Bienvenue dans le monde merveilleux des cadeaux de mariage ! Qu’il s’agisse d’un mariage de conte de fées ou d’une célébration plus décontractée, choisir le cadeau parfait pour les futurs mariés est une tâche excitante mais souvent intimidante. Pas de panique, car nous sommes là pour vous guider à travers une myriade d’idées de cadeaux qui raviront les cœurs des nouveaux mariés et feront de vous un invité inoubliable.
CADEAUX PERSONNALISÉS POUR LES MARIÉS
Imaginez la joie sur le visage des mariés lorsqu’ils découvrent un cadeau spécialement conçu pour eux ! Les cadeaux personnalisés ajoutent une touche de magie et montrent que vous avez pris le temps de créer quelque chose de vraiment unique. Optez pour un cadre photo gravé avec leur date de mariage ou un album photo personnalisé rempli de précieux souvenirs. Avec ces cadeaux, vous êtes sûr de toucher le cœur des mariés d’une manière extraordinaire.
CADEAUX UNIQUES ET ORIGINAUX POUR LES COUPLES
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Pour les couples qui aiment sortir des sentiers battus, pourquoi ne pas opter pour quelque chose de vraiment original ? Offrez-leur une illustration personnalisée de leur lieu de rencontre ou de leur lieu de mariage. Ou peut-être un objet d’art fait à la main qui ajoutera une touche de couleur à leur nouveau foyer. Avec ces cadeaux uniques, vous êtes sûr de faire tourner les têtes et de susciter des sourires éclatants.
CADEAUX TRADITIONNELS REVISITÉS POUR LES JEUNES MARIÉS
Les traditions sont merveilleuses, mais pourquoi ne pas les revisiter d’une manière moderne et élégante ? Offrez leur un ensemble de vaisselle design qui ajoute une touche de sophistication à leur table. Ou peut-être un abonnement à un service de livraison de repas pour leur permettre de profiter de repas délicieux sans le tracas de la cuisine. Avec ces cadeaux traditionnels revisités, vous êtes sûr de marquer des points auprès des mariés avec votre style et votre flair uniques.
CADEAUX DE MARIAGE TENDANCE POUR SUIVRE LES DERNIÈRES MODES
Pour les couples à la pointe de la mode, pourquoi ne pas opter pour des cadeaux qui suivent les dernières tendances ? Offrez-leur une expérience unique comme un cours de cuisine en ligne avec un chef renommé. Ou bien un abonnement à un service de streaming pour des soirées cinéma confortables à la maison. Avec ces cadeaux tendance, vous êtes sûr de les impressionner avec votre sens du style et votre attention aux détails.
CADEAUX ABORDABLES POUR LES INVITÉS SUR UN BUDGET SERRÉ
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Vous n’avez pas besoin de casser votre tirelire pour offrir un cadeau mémorable aux jeunes mariés. Optez pour des cadeaux abordables mais significatifs comme une plante d’intérieur pour symboliser leur amour qui grandit chaque jour. Ou un livre de recettes rempli d’idées pour des repas romantiques à deux. Avec ces cadeaux abordables, vous montrez aux mariés que ce n’est pas le prix qui compte, mais l’intention derrière le geste.
CADEAUX DE LUXE POUR FAIRE SENSATION
Si vous êtes prêt à investir dans un cadeau qui fera tourner les têtes, pourquoi ne pas opter pour quelque chose de vraiment luxueux ? Offrez-leur un séjour en hôtel de luxe pour une escapade romantique inoubliable. Ou peut-être des bijoux haut de gamme qui ajoutent une touche d’éclat à leur journée spéciale. Avec ces cadeaux de luxe, vous êtes sûr de les épater et de leur offrir une expérience qu’ils chériront pour toujours.
CE QU'IL FAUT RETENIR :
Optez pour des cadeaux personnalisés pour montrer votre attention aux détails et votre affection pour les mariés.
N’ayez pas peur d’être original – les cadeaux uniques sont souvent les plus mémorables.
Réinventez les cadeaux traditionnels avec une touche moderne pour surprendre agréablement les jeunes mariés.
Suivez les tendances actuelles pour offrir des cadeaux qui correspondent au style de vie des mariés.
Les cadeaux abordables peuvent être tout aussi significatifs que les cadeaux coûteux – l’important est l’intention derrière le geste.
Si vous le pouvez, optez pour un cadeau de luxe pour offrir une expérience inoubliable aux mariés.
Peu importe le cadeau que vous choisissez, l’essentiel est de montrer votre amour et votre soutien aux nouveaux mariés lors de cette étape importante de leur vie
Et voilà ! Avec cette liste d’idées de cadeaux de mariage, vous êtes prêt à impressionner les jeunes mariés et à leur offrir un cadeau qu’ils chériront pour toujours. Peu importe votre budget ou votre style, il y a quelque chose pour tout le monde dans cette sélection dynamique et pleine de vie. Alors allez-y, choisissez le cadeau parfait et préparez-vous à faire briller les yeux des mariés lors de leur journée spéciale. Et n’hésitez pas à consulter nos autres articles sur la préparation du mariage.
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