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#ferme pédagogique
le-journal-catalan · 15 days
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Programme du week-end FoirExpo Perpignan
Ce matin le maire de Perpignan Louis Aliot procède à sa visite officielle de l’événement annuel de la FoirExpo du printemps au Parc des expositions de Perpignan. L’occasion pour chacun de découvrir plus de 200 exposants et bénéficier d’offres exceptionnelles. Sur place et en même temps vous allez également profiter de Fit’n Zen, le salon de la détente, du soin et du bien-être…Voici un petit…
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esoterique-fr · 6 months
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Interview Arlette Jacquemin - L'Herberaie - Herboriste - Ateliers Pleine Lune
Notre rédaction Esoterique.eu vous souhaite la bienvenue, pour une fascinante interview avec Arlette de chez L’Herberaie, une herboristerie de référence située à Plouigneau près de Morlaix, dans le Finistère en Bretagne.  Plongeons dans l’univers de cette ferme médicinale où la culture biodynamique et la passion pour les plantes médicinales et aromatiques se rencontrent, et découvrons les…
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frenchtwistagain · 1 year
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Penny a rencontré des gros lapins ! - 03 2023
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clhook · 1 year
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On est allés se promener dans une ferme pédagogique aujourd'hui et regardez le petit bb qu'on a rencontré 😭😭😭😭
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aurevoirmonty · 11 months
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Monsieur le Président,
Je vous écris de la prison d’Édimbourg, en Grande-Bretagne, où je suis détenu depuis le 10 novembre dernier. Le 8 juin 2023, la justice écossaise se prononcera sur mon extradition que la France réclame afin de me faire purger une peine de prison à laquelle j’ai été condamné en juin 2015.
Quel délit ai-je commis pour qu’on me pourchasse encore après plus de sept ans ? Ai-je braqué une banque, fraudé le fisc massivement, violé ou tué ? Non, j’ai diffusé sur YouTube une vidéo révisionniste — vous diriez : “négationniste” — dans laquelle je dénonçais l’embrigadement politique de la jeunesse au nom du « devoir de mémoire ». J’exposais plus particulièrement les contre-vérités qui lui étaient enseignées à propos d’Auschwitz. Pour cet exposé de moins d’une heure, la justice française m’a infligé un an de prison ferme. J’ai alors fui en Angleterre.
Le révisionnisme n’étant pas un délit au Royaume-Uni, afin d’obtenir mon extradition, les autorités françaises n’ont pas hésité à mentir : elles ont lancé un mandat d’arrêt européen prétendant que j’avais été condamné pour « racisme/xénophobie », un délit qui rend l’extradition automatique. La justice écossaise flairant la manœuvre, Paris a dû lancer un deuxième mandat d’arrêt, en vertu de trois plaintes déposées contre moi, dont une pour « provocation publique à la haine ».
Dans une vidéo diffusée en 2020, j’aurais prêché l’antijudaïsme. Pour l’alléguer, les autorités judiciaires ont extrait 31 secondes d’un exposé de 45 minutes ! Je répondais à un spectateur selon lequel l’extermination des Juifs serait un « mal nécessaire ». Après avoir souligné qu’un « mal nécessaire » était une contradiction morale, j’expliquais pourquoi exterminer les Juifs ne servirait à rien, ceux-ci ne faisant que révéler des dysfonctionnements dont souffriraient nos sociétés et dont nous étions les premiers responsables. Les 31 secondes extraites résument cette opinion : elles ne sauraient constituer un appel à la haine des Juifs.
Le visionnage de toute la vidéo le confirme. Je note d’ailleurs qu’en trente ans de militantisme, je n’avais jamais été poursuivi en vertu de la loi dite “antiraciste”. Pour une raison très simple : je ne suis pas “raciste” dans le sens donné aujourd’hui à ce mot (un “raciste” prônerait la haine raciale). De plus, je me déclare judéo-indifférent. Autrement dit : je n’éprouve ni sympathie ni antipathie pour ce peuple composé — comme tous les peuples — de gens très différents.
Ces poursuites abusives pour « provocation publique à la haine » sont une nouvelle manœuvre tentée par la France qui se démène pour obtenir mon extradition. L’objectif final est de me jeter en prison et de m’y maintenir le plus longtemps possible afin de me réduire au silence.
Quel aveu, Monsieur le Président ! Je ne pouvais espérer, de la part de vos autorités, une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux. En effet, comparons les forces en présence :
d’un côté, la France dotée de multiples musées mémoriaux : le Mémorial de la Shoah à Paris, le Musée de la Déportation à Lyon, le Mémorial de Caen, le Centre de la Mémoire d’Oradour à Oradour-sur-Glane, sans compter les dizaines de « livres de mémoire » à travers tout le pays, auxquels viennent s’ajoutent les programmes scolaires (la Shoah en primaire, au collège et au lycée), les « voyages pédagogiques » au Struthof, à Oradour ou à Auschwitz, les « passeurs de mémoire », les films, les émissions, les livres, les témoins dans les établissements scolaires, car le « devoir de mémoire » bénéficie de milliers de voix — toutes conformes à l’histoire officielle — et d’un financement qui atteint les millions d’euros.
en face de cela, un homme quasiment seul, qui ne dispose d’aucune subvention, seulement des dons venus de son public restreint (deux ou trois milliers de personnes tout au plus) ; qui, pour vivre, donne des cours particuliers ; il diffuse ses travaux à compte d’auteur et vend ses ouvrages au compte-gouttes, car aucun éditeur n’accepte de publier ses recherches ; qui, chassé de toutes les grandes plateformes de partage, publie ses vidéos dans les catacombes d’Internet — à savoir, une chaîne Gab et un blogue aux États-Unis d’Amérique.
Tels sont donc les éléments en présence, que l’on pourrait dépeindre ainsi : face à une immense chorale qui chante à tue-tête accompagnée d’un orchestre assourdissant, un homme seul, muni d’un cône en papier dérisoire en guise de porte-voix. Toutefois, pour les autorités françaises, c’est encore trop : il faut faire taire cet homme seul en le saisissant à tout prix et en le jetant en prison ! Un premier mandat d’arrêt ne suffisant pas, elles en lancent un deuxième après avoir déposé trois plaintes supplémentaires. Oui, vraiment, je ne pouvais espérer une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux.
Vous alléguerez sans doute, Monsieur le Président, que la répression à mon encontre a une tout autre cause : mes thèses, direz-vous, offensent les victimes et peuvent conduire certains éléments fragiles de la population à perpétrer des actes “racistes”. Je répondrai que c’est faux, pour deux raisons.
Je n’ai jamais nié l’effroyable tragédie vécue par les gens présents à Oradour-sur-Glane le samedi 10 juin 1944. Je n’ai jamais nié le drame que fut la déportation précipitée, en pleine guerre, de millions de gens, parmi lesquels des femmes, des enfants, des vieillards, des affaiblis et des handicapés. Si les fouilles menées depuis vingt-cinq ans dans les camps de Treblinka, Sobibor, Belzec et Chelmno n’ont pas permis de découvrir des chambres à gaz, elles ont en revanche contribué à la mise à jour de nombreuses fosses communes improvisées. Ces fosses, je n’en ai jamais contesté l’existence. Elles contiennent les corps de dizaines de milliers de Juifs morts dans les trains ou euthanasiés à leur arrivée, parce que blessés, malades ou trop affaiblis pour aller plus loin vers l’Est. De nombreux récits corroborent ces constats matériels. Dans plusieurs vidéos, j’en ai cité, sans les contester ni les rejeter. S’y ajoutent les conditions de vie dans les ghettos surpeuplés et parfois mal ravitaillés en Pologne ou à l’Est : elles firent de nombreuses victimes que j’ai également mentionnées. Viennent enfin tous les déportés morts dans les derniers mois de la guerre lorsqu’au sein d’une Allemagne laminée par les bombardements, la situation à l’intérieur des camps se détériora (surpopulation, manque de médicaments, ravitaillement insuffisant). Les photos effroyables prises à la libération de Buchenwald, de Dachau, de Vaihingen ou de Bergen-Belsen, je les ai montrées à de multiples reprises, sans jamais les qualifier de montages. Personne, donc, ne peut prétendre honnêtement que j’offenserais la mémoire des victimes en niant leur mort ou les circonstances terribles de leur décès.
quant à mener certaines personnes à commettre des actes “racistes”, ma réponse sera simple : depuis trente ans que je diffuse mes travaux, aucune agression n’est à déplorer, dont je me serais révélé être l’inspirateur.
Cependant, allons plus loin. Oui, admettons que mes exposés puissent conduire une poignée de personnes fragiles à perpétrer des violences “racistes”. Faut-il pour autant priver toute la population de certaines vérités historiques en sanctionnant leur diffusion publique ? Assurément non !
Toutefois, j’entends déjà votre réplique, Monsieur le Président : « Pays de la liberté de recherche, à France n’interdira jamais la diffusion de vérités scientifiquement établies. Avec les négationnistes toutefois, il n’est pas question de vérités, mais de mensonges réfutés par les témoins fiables et une cohorte d’historiens accrédités. Vous êtes bien présomptueux, Monsieur Reynouard, de prétendre avoir raison contre ces gens. »
En réalité, je ne suis pas plus orgueilleux qu’un enquêteur persuadé d’avoir élucidé une affaire malgré les dénégations des inculpés et de leurs avocats. Pourquoi ? Parce que d’Oradour à Auschwitz, j’ai adopté les méthodes traditionnelles utilisées dans des enquêtes criminelles.
Je me suis rendu sur place afin d’examiner la scène du crime allégué ;
j’ai effectué des constats matériels afin de comprendre ce qui a pu se passer ;
j’ai vérifié les récits recueillis (témoignages et aveux) en les confrontant aux constats matériels et en analysant leur cohérence interne ;
j’ai complété mes recherches avec l’étude de documents utiles. En résumé, j’ai établi la matérialité des faits.
Ai-je tort dans mes conclusions ? Débattons-en loyalement, chaque partie pouvant librement s’exprimer et déposer ses documents sur la table. Cette confrontation à armes égales, j’y suis prêt. Je la réclame même.
Vous m’objecterez qu’on ne débat pas d’Histoire avec une personne dénuée de toute formation d’historien. Dois-je en déduire, Monsieur le Président, qu’un non-historien ne saurait intervenir dans une question d’Histoire ? Voilà trente ans toutefois, en 1993, le CNRS publia un ouvrage intitulé : Les Crématoires d’Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse.
La presse l’encensa, affirmant qu’il réfutait définitivement les thèses révisionnistes. Or son auteur, Jean-Claude Pressac, était… pharmacien de profession. Plus révélateur encore : l’homme considéré jusqu’à sa mort comme l’expert numéro un de l’Holocauste, Raul Hilberg, n’était pas, lui non plus, historien de formation. Je pourrais également citer Robert Jan Von Pelt, Jean-Jacques Fouché ou Guy Pauchou (pour Oradour). Preuve que des non-historiens peuvent intervenir dans des questions d’Histoire.
Certains de mes contradicteurs — Gilles Karmasyn par exemple — prétendent me réfuter, mais sans jamais accepter le débat. Ils sont comparables à des boxeurs qui, seuls sur le ring, donneraient des coups de poing dans le vide avant de lever les bras en criant : « J’ai gagné ! Il est KO. » À celui qui s’étonnerait de l’absence de l’adversaire, ils répondent : « Voyons ! On ne boxe pas avec un non-boxeur ». Prétendre qu’on ne débat pas d’Histoire avec un non-historien est une dérobade pitoyable.
Certes, je n’ai aucune formation en la matière, mais à Auschwitz et à Oradour, les SS sont accusés d’avoir massacré des innocents. Il s’agit donc d’affaires criminelles. Le fait que les meurtres allégués auraient été commis dans le passé ne modifie pas la nature de la question, donc ne change en rien les méthodes d’enquête. Or, je le répète, j’applique scrupuleusement ces méthodes.
En voulez-vous la preuve ? Voici : à Birkenau, les SS auraient aménagé des chambres à gaz homicides dans quatre grands crématoires. La plus meurtrière — 400 000 victimes alléguées — se serait trouvée dans le Krema II. Les SS auraient déversé le Zykon B par quatre orifices carrés pratiqués dans le toit. Les granulés mortels seraient tombés le long de quatre colonnes grillagées fixées solidement au sol et au plafond. Bien que le crématoire ait été dynamité, le toit, partiellement effondré, subsiste. L’ayant inspecté du dessus et du dessous, je n’ai vu nulle trace ni d’un quelconque orifice d’introduction ni d’une fixation de colonne grillagée. Rien.
Certes, en 2004, trois chercheurs indépendants (MM. Keren, McCarthy et Mazal) prétendirent avoir localisé trois des quatre trous ; mais les autorités du Musée d’Auschwitz n’ont jamais osé invoquer leur étude. Sept ans plus tard d’ailleurs, le directeur du Musée préfaça un Guide historique d’Auschwitz dans lequel les deux auteurs prévenaient qu’il était vain de rechercher l’emplacement exact de ces orifices fantomatiques. Depuis, rien n’a changé.
En cas de débat avec un historien, je porterais tout d’abord la discussion sur ce sujet. Je proposerais que l’on se rende ensemble sur les lieux, à la recherche des trous allégués ainsi que des traces des colonnes grillagées. Je profiterais de notre présence sur le site pour demander à mon contradicteur s’il peut me montrer des traces bleues sur le mur ou au plafond de la « chambre à gaz ».
Au printemps 1943, en effet (date du début des gazages massifs dans les crématoires d’après la chronologie officielle), la structure venait d’être construite. Par conséquent, les maçonneries étaient alcalines. L’acide cyanhydrique prétendument utilisé par les SS pour gazer en masse aurait pénétré en partie dans les matériaux humides (briques, plâtres, béton). Il s’y serait dissocié pour former un pigment à base de ferrocyanures : le Bleu de Prusse.
Très stable, résistant aux rayons lumineux et aux intempéries, les murs et le plafond de la pièce présentée comme ayant servi de chambre à gaz devraient en contenir encore aujourd’hui. Aussi devrait-on y voir des traces bleues plus ou moins larges. Toutefois, l’historien serait dans l’impossibilité de m’en montrer une seule. Prétendrait-il que ce pigment ne peut se former dans une pièce non chauffée ? Je lui démontrerais le contraire. Sur les plans originaux du crématoire, cette salle est désignée comme une morgue. Tout démontre qu’elle a été utilisée à cette fin, sans jamais avoir été reconvertie en chambre à gaz homicide.
« No Hole No Holocaust » (pas de trou, pas d’Holocauste), répétait le professeur Faurisson depuis 1994. Il avait raison, car sans ces trous, les 400 000 victimes alléguées de cette chambre à gaz sont imaginaires. Tous les témoignages et les aveux n’y changeront rien.
Les antirévisionnistes nous demandent : « si les millions de Juifs n’ont pas été exterminés, alors où étaient-ils passés en 1945 ? » Pardon, mais c’est inverser la charge de la preuve. C’est aux antirévisionnistes de démontrer que les Juifs auraient été exterminés systématiquement, parmi lesquels trois millions auraient péri dans des chambres à gaz.
D’après l’Histoire officielle, Auschwitz-Birkenau aurait été le centre de cette extermination par gaz (près d’un million de victimes). La chambre à gaz du Krema II aurait été la plus meurtrière (40 % des asphyxiés). C’est donc elle qu’il faut examiner en premier. Où sont les orifices d’introduction du Zyklon B ? Historiennes et historiens, montrez-les nous, qu’on en discute. Et où sont les traces bleues ? Il est vrai qu’une formation en chimie est nécessaire pour comprendre l’importance de leur absence. Titulaire d’un diplôme de chimie organique, je suis donc mieux placé qu’un historien pour conclure.
Il en va de même à Oradour. Les Waffen SS sont accusés d’avoir massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants dans l’église du village. Ils auraient tenté de les asphyxier avant de les mitrailler, puis d’incendier le bâtiment. L’incendie généralisé aurait transformé le lieu saint en four crématoire, et de très nombreux corps auraient été réduits en cendres. Dans cette affaire, des notions en diffusion de la chaleur, en rayonnement et en résistance des matériaux se révèlent nécessaires.
Mes études m’ayant conduit à étudier ces matières, j’ai mis mes connaissances à profit pour expertiser l’église. Cette expertise fait l’objet d’un chapitre entier de mon ouvrage paru en décembre 2022 : Oradour, le cri des victimes. J’en conclus que l’histoire officielle est fausse : les femmes et les enfants sont morts dans des explosions qui ont ébranlé tout l’édifice. Comment suis-je parvenu à cette conclusion ? Voici :
La préservation du mobilier en bois (le confessionnal dans la chapelle de la Vierge et l’autel de la chapelle Saint-Joseph) dément la thèse de l’incendie généralisé ;
La fusion partielle des cloches (des parties totalement fondues, d’autres intactes au point de montrer encore les motifs qui y étaient gravés) démontre que l’événement destructeur fut très rapide et très bref, en un mot, une explosion ;
L’observation des coups portés à la fine sphère en laiton sous la croix faîtière confirme que le phénomène destructeur fut accompagné d’un souffle puissant.
S’y ajoute l’état des corps retrouvés dans l’église ou à côté : ils ne sont pas carbonisés, mais déchiquetés, avec les habits intacts, comme après un bombardement.
Viennent enfin les récits racontés par la femme présentée comme l’unique rescapée de l’église, Marguerite Rouffanche. Quelques semaines après le drame, par deux fois en novembre 1944, puis une fois janvier 1953 (au procès des Waffen SS) et une encore une fois en 1969 (pour la télévision), elle témoigna. L’étude comparative des différentes versions fait apparaître des contradictions insurmontables et des impossibilités matérielles manifestes.
Fin juin 1944 ainsi, Madame Rouffanche affirma que le massacre de l’église avait commencé avec une « caisse » apportée par deux Waffen SS. L’engin n’avait pas explosé, il avait uniquement dégagé une épaisse fumée noire.
Quelques mois plus tard toutefois, les voûtes de la nef de l’église s’effondrèrent, attestant que l’édifice avait été ébranlé sévèrement. Pour l’expliquer, il fallait invoquer une explosion : le 16 novembre 1944, Madame Rouffanche opéra donc un virage à 180 degrés et prétendit que la “caisse” avait été le siège d’une « petite détonation ».
Toutefois, c’était insuffisant pour expliquer l’ébranlement de ce bâtiment fortifié. Deux semaines plus tard, « l’unique rescapée » changea encore sa version : elle allégua que l’engin avait explosé fortement. Ce témoignage devint le récit officiel, publié partout, cependant que celui du 16 novembre resterait à l’abri des regards, dans les archives militaires fermées au public.
Aux contradictions s’ajoutent des impossibilités manifestes. En particulier, la fuite de Mme Rouffanche hors de l’église, en se hissant jusqu’à un vitrail puis en sautant de quatre mètres de haut sur un plan fortement incliné sans s’occasionner la moindre blessure, un exploit impossible pour une femme de 46 ans.
Dans l’affaire d’Oradour, tout trahit le mensonge improvisé maladroitement. M’appuyant sur les constats matériels, sur les documents et sur des témoignages ignorés, j’affirme qu’un dépôt clandestin de munitions se trouvait sous les combles de l’église, au-dessus des voûtes.
Dans quelles circonstances a-t-il été mis à feu ? Tant que les archives militaires seront fermées aux chercheurs indépendants, aucune réponse certaine ne pourra être avancée. Toutefois, à supposer que, l’ayant découvert, les Waffen SS l’aient fait sauter pour tuer les femmes et les enfants, dès 1944, le fait aurait été révélé : Oradour-sur-Glane aurait été présenté comme un village héroïque dans sa résistance à l’Occupant, victime d’une vengeance abominable des “nazis”. Voilà pourquoi je reste persuadé que les Waffen SS ne portent aucune responsabilité directe dans le déclenchement de la tragédie de l’église.
Ayant découvert que le bâtiment servait à la Résistance locale (qui y cachait des pilotes alliés tombés en France et pris en charge par le réseau d’évasion « Comet Escape Line »), ma thèse est la suivante.
Le 10 juin 1944, des maquisards s’étaient réfugiés dans l’église, avec leurs munitions. En effet, les Waffen SS ayant cerné le village, il était impossible de fuir. Dénoncés par deux collaborateurs vivant dans le bourg (cf. le témoignage de Mathieu Borie enfin publié dans son intégralité), ils firent exploser le dépôt de munitions afin de couvrir leur fuite par une porte latérale qui donnait sur la sortie de l’agglomération. Ils n’avaient pas prévu que les explosions se propageraient au clocher, provoquant la destruction de la voûte fragilisée par la présence de l’oculus. Les gaz surchauffés se répandirent dans la nef, entraînant des débris qui mutilèrent les gens présents.
À Oradour, comme à Auschwitz, mes constats matériels sont indéniables, mes analyses, méticuleuses, et mes arguments, rationnels. Loin de toute considération idéologique, je reste sur le terrain des faits. D’où cette volonté et cet acharnement à me faire taire, les autres raisons invoquées relevant de prétextes fumeux.
La France parviendra-t-elle à me faire extrader ? Peut-être, mais il est trop tard : j’ai diffusé mes travaux sur Internet et j’ai pu de justesse — avant mon arrestation le 10 novembre 2022 — finir mon ouvrage sur Oradour. Depuis janvier dernier, il est en vente.
Voilà une trentaine d’années, tout jeune révisionniste, j’avais été invité chez les Faurisson. Un matin, je discutais dans la salle de travail ; je soulignais que nos adversaires disposaient de moyens financiers et répressifs. Le professeur Faurisson se lavait dans la salle de bain attenante. À ces mots, il entrebâilla la porte et, passant la tête, il lança : « Oui, mais nous, on dort tranquille. »
C’était vrai à l’époque, ça le reste aujourd’hui : dans ma cellule à Édimbourg, je dors tranquille, car ayant semé des graines de vérités historiques, j’ai accompli mon devoir. Désormais, mon destin personnel n’a plus aucune importance. La France que vous représentez peut s’acharner à me faire extrader pour m’emprisonner. Quand on dresse le bilan des forces en présence, son acharnement apparaît comme un aveu : l’aveu que j’ai raison et que mes travaux sont importants. Oui, vraiment, je dors tranquille, et plus vos sbires s’acharneront, plus je dormirai tranquille.
Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes sentiments choisis.
Vincent Reynouard
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camp10-14 · 9 months
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Nous sommes bien arrivés à la ferme pédagogique. C'est parti pour les activités : boulangerie, équitation, ferme
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culturefrancaise · 1 year
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« De l'institution des enfants »
S'agissant d'un enfant de noble maison qui cherche à se cultiver, non pour l'argent à y gagner (car une poursuite aussi vile est indigne de la grâce et de la faveur des Muses, et puis elle regarde autrui et vous place en sa dépendance), ni tant pour les avantages extérieurs à y trouver que pour les siens propres, et pour s'enrichir et s'en parer au-dedans, comme j'ai plutôt envie d'en tirer un habile homme qu'un homme savant, je voudrais aussi qu'on prenne soin de lui choisir un répétiteur qui ait plutôt la tête bien faite que bien pleine, et qu'on exige l'une et l'autre chose mais davantage la valeur morale et l'entendement que la science. Et je voudrais que ce répétiteur se conduise dans sa fonction d'une nouvelle manière. On ne cesse de criailler à nos oreilles comme on verserait dans un entonnoir, et notre fonction, ce n'est que de redire ce qu'on nous a dit. Je voudrais qu'il corrige ce point, et que d'emblée, selon l'envergure de l'âme qu'il a en main, il commence à la mettre sur la sellette1 , lui faisant tâter les choses, les lui faisant choisir et discerner d'elle-même ; quelquefois en lui ouvrant un chemin, quelquefois le lui laissant ouvrir. Je ne veux pas qu'il conçoive et parle seul, je veux qu'il écoute son disciple parler à son tour.
 Socrate, et après lui Arcésilas faisaient d'abord parler leurs disciples, et ensuite ils prenaient la parole pour leur répondre. « Elle nuit la plupart du temps à ceux qui veulent apprendre, l'autorité de ceux qui enseignent »  (Cicéron, De natura deorum, I,5). Il est bon qu'il le fasse trotter devant lui pour juger de son allure, et juger jusqu'à quel niveau il doit redescendre pour s'accorder à sa force. Faute de respecter cette proportion, nous gâtons tout ; savoir la choisir et s'y conduire avec une bonne mesure, c'est une des tâches les plus ardues que je connaisse ; et c'est l'effet d'une âme supérieure, et bien forte, que de savoir s'abaisser à son rythme enfantin et le guider. Je marche d'un pas plus sûr et plus ferme en montant qu'en descendant. Ceux qui, comme le veut notre usage, entreprennent, avec la même leçon et une mesure identique dans leur conduite, de faire cours en tant que régent à beaucoup d'esprits de mesures et de formes si diverses, il n'y a pas à s'étonner si, dans toute une population d'enfants, ils en rencontrent à peine deux ou trois qui produisent un juste fruit de leur instruction.
 Qu'il ne lui demande pas seulement de rendre compte des mots de sa leçon, mais du sens et de la substance, qu'il juge du profit qu'il en aura tiré, non d'après le témoignage de sa mémoire, mais d'après celui de sa vie. Que ce qu'il viendra d'apprendre, il le lui fasse retourner sous cent aspects et accorder à autant de matières différentes, pour voir s'il l'a dorénavant bien saisi et bien fait sien, prenant instruction pour la progression à suivre des exemples pédagogiques de Platon. C'est témoigner de sa crudité et notre indigestion que de recracher la viande comme on l'a avalée. L'estomac n'a pas effectué son opération, s'il n'a pas modifié la façon dont est formé ce qu'on lui avait donné à cuire et digérer.
Montaigne, Essais, I, 26, « De l'institution des enfants », 1580 Le choix d'un précepteur
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« Quand j’étais petit je n’étais pas grand. Avec les copains, nous jouions dehors toutes les fois que c’était possible. Dès avril, les culottes courtes étaient de rigueur et les genoux s’ornaient de belles plaques rouges artistement badigeonnées sur des écorchures d’anthologie par des mamans attentionnées. Normal, nous courions comme des dératés. Nous jouions aux cow-boys et aux Indiens, à Thibaud ou les croisades ou à la petite guerre sur tous les thèmes. Mais ça courait dans tous les cas.
Nous grimpions dans les arbres. Nous nous battions à l’occasion, d’homme à homme, entourés d’un cercle de témoins. Les billes en terre coûtaient un centime pièce. Les malabars se partageaient en quatre et les autos étaient à pédales. Ma famille n’avait pas de télévision et les kangourous n’avaient pas d’arêtes, mais j’ai quand même vu Zorro et Kit Carson et surtout Saturnin le canard et La
Maison de Toutou (nos vieilles voisines étaient tellement gentilles et les tartines pain- beurre-confiture-de-fraise tellement bonnes, j’ai souvent une pensée pour elles).
Les filles restaient d’étranges créatures qui jouaient à la dînette. L’école était publique mais pas mixte. Nous y allions à pied, seuls ou en groupes bruyants. Nos instituteurs étaient des demi-dieux omniscients qui n’hésitaient pas à sortir la règle ou à ouvrir la boîte à torgnoles pour nous remettre les idées en place. Nous apprenions l’histoire avec les planches pédagogiques Vidal-Lablache. Les Gaulois n’avaient pas grand chose à part un trou pour laisser passer la fumée et les seigneurs du moyen âge piétinaient les récoltes (ma première incursion dans le scepticisme historique et j’en suis très fier).
Les fables venaient de chez La Fontaine et les dictées de chez Alphonse Daudet. Une faute, un point. Il y avait encore des baignoires qui partaient à l’heure et des trains qui fuyaient devant des cyclistes dégonflés, et il était interdit de compter sur ses doigts. Tout ça rédigé au porte-plume à l’encre violette.
Il y avait aussi des ardoises et d’horribles crayons grinçants à vous déchausser les molaires. Avec dix bons-points on avait une image. L’instruction civique s’appelait cours de morale, il fallait céder sa place aux vieilles dames et aider les aveugles à traverser. Il y avait des notes et un classement (je ne dirai pas quelle était ma place habituelle par simple pudeur).
Nous lisions des livres de la bibliothèque de la classe, des histoires d’aventures en Afrique ou dans la pampa, de chevaliers héroïques ou de corsaires fougueux. Collection verte pour les garçons et rose pour les filles, il y avait aussi des Rouge et Or, mais sans la jaquette, j’y ai découvert Garneray, Vercel et Jack London, merci l’Instruction Publique. Chez moi, les bandes dessinées étaient interdites sauf pendant les vacances, avec une dérogation pour Tintin, Astérix et L’homme qui tire plus vite que son ombre (le reste : «c’est plein de fautes d’orthographe !»).
À la kermesse de fin d’année à l’école il y avait deux buvettes (ça biberonnait ferme au gros plant je ne dis que ça) et un stand de tir à la bosquette, et la semaine suivante une hécatombe de poissons rouges intoxiqués par l’ozone municipal. Nous avons tous survécu.
Nous habitions une ZUP. En 1968 notre immeuble ressemblait à un premier mai sur la Place Rouge, mais tout le monde partait faire bronzette sur les plages franquistes. Mon père préférait le camping sauvage du côté de Narbonne-Plage. L’esprit de contradiction, ça s’apprend jeune et c’est de famille, c’est comme ça, merci papa et maman. Dans le fond, je m’en suis sorti à temps. Ça m’a épargné le casque obligatoire pour faire du patin à roulettes, les pompiers au moindre bobo dans la cour de récré, les maths modernes, la notation sur cinq lettres et la méthode globale, les cours de repentance et de recyclage, le référant bondissant et les géniteurs d’apprenants, et la visite scolaire de l’expo sur les cultures du monde à la médiathèque municipale.
C’était mieux avant ? Je ne suis pas convaincu, mais là, j’évoque, c’est tout… non, non, juste j’évoque …. »
(Marc Vidal)
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latribune · 1 month
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Cette semaine chez Art et Vie .Atelier parentalite cuisine, avec des salades cueillies le matin de la sortie pédagogique à la ferme de "la Rostide " ,
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dijonbeaune · 6 months
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Foire de Dijon : une cinquantaine d'animaux vous attendent à la Ferme Côte-d'Or
Tous les ans, la Ferme Côte-d’Or est une des attractions les plus attendues à la Foire de Dijon. Animations, ateliers pédagogiques, dégustations et une cinquantaine de bêtes vous y attendent jusqu’au 9 novembre ! Cette année, plus de 1 300 élèves des écoles primaires de Côte-d’Or sont attendus sur la Ferme Côte-d’Or. © Foire de Dijon La Ferme Côte-d’Or est de retour depuis samedi au cœur de la…
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le-journal-catalan · 2 years
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Ferme de Découverte : 30 ans de passion et de transmission au service des familles et du monde éducatif
Ferme de Découverte : 30 ans de passion et de transmission au service des familles et du monde éducatif
30 ans déjà ! Créé en 1992, le parc animalier pédagogique de Saint-André continue de creuser son sillon dans un monde complexe, en proposant une “oasis” de re-connexion à la nature et aux animaux, en faveur de l’éveil des enfants. La Ferme de Découverte s’évertue depuis 30 ans à émerveiller petits et grands face à la richesse et la beauté de la relation avec la nature et les animaux. Une passion…
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mapetiteforet · 6 months
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Ecole-forêt et Cause animale : quel est le rapport ?
Quand on entend les termes “pédagogie/éducation par la nature”, “école-forêt” ou encore “classe dehors”, surgissent des images de végétaux et de forêts bien davantage que celles d’animaux mis à mort en abattoirs. Et pourtant. Dans les accompagnements que je mène au sein de la formation L’Ecole du Dehors, très souvent l’on en vient à parler de fermes pédagogiques, du statut des animaux, des…
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zehub · 6 months
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Zéro-déchet : cette ferme élève des vers pour le compost
Lancée en 2018 par Mahaba Sylla et Sébastien Bonneau, la ferme lombricole Happy Vers souhaite sensibiliser aux bienfaits du lombricompostage, autrement dit la revalorisation des déchets organique grâce aux vers à compost. Ateliers pédagogiques, vente de lombricomposteurs ou de vers à compost...la jeune pousse propose plusieurs solutions pour s’y mettre. 
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toutmontbeliard-com · 11 months
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PMA remet un chèque de 15 000 € à la Ferme d’animation du Fort Lachaux Jan Ross
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Jeudi 1er juin 20203, Charles Demouge, Président de Pays de Montbéliard Agglomération (PMA), a remis un chèque de 15 000 € à Denis Sommer, Président de l’association "la Ferme d’animation du Fort Lachaux Jan Ross". Une décision qui avait été votée lors du dernier conseil communautaire afin que l’association puisse acheter un nouveau véhicule pour poursuivre ses activités. L’association a pour mission de sensibiliser les habitants et éduquer le jeune public à l’environnement et au cheptel fermier (animations pédagogiques en direction des scolaires et durant les vacances, animations familiales, mercredis et fins de semaine) ; gérer écologiquement les espaces verts et naturels, l’environnement paysager du site du Fort Lachaux ; intégrer au projet des personnes en situation d’insertion ; proposer des partenariats avec des organismes de formations agricoles ; à moyen terme, valoriser en circuit court les productions dérivées. L’ensemble de ces activités étaient empêchées suite à l’incendie de la camionnette de l’association fin mars 2023. La camionnette est l’unique mode de transport pour le matériel, les animaux, et tout ce dont l’association a besoin pour son fonctionnement habituel. Pour faire face à la situation et poursuivre au plus vite ses missions, l’association avait besoin d’acquérir un nouveau véhicule. Elle a donc sollicité Pays de Montbéliard Agglomération qui a répondu favorablement à cette demande en lui attribuant une subvention exceptionnelle de 15 000 €. Read the full article
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associationraven · 1 year
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L’an dernier il nous avait été difficile d’immortaliser la Sitelle torchepot. Qui d’ailleurs, grâce aux graines de tournesol l’hiver, a finalement élu domicile pour de bon puisque depuis elle est constamment présente et identifiable à ses chants bien particuliers. 😁 Elle sait réclamer quand les mangeoires sont presque vides. 🤣 Cette année, c’est au tour du Grimpereau des jardins. De nature assez timide les années passées, en 2023, le voilà régulièrement proche et “comme à la maison”. Nous vous laissons en juger via les vidéos suivantes. C’est aussi cela tout l’intérêt de laisser des parcelles “à la vie sauvage” et d’éviter trop de présence humaine comme dans des structures type “ferme pédagogique” ou “sentier nature” bondé. Sans compter la chasse aux chasseurs irrespectueux et braconniers… sur ce genre de sanctuaires. On vous laisse imaginer ce que c’est de vivre réellement comme Blanche-Neige, en harmonie avec la Nature et ses habitants. 😉 #RAVEN #association #sanctuaryoftheraven #associationraven #animaux #nature #mayenne #sarthe #orne #biodiversite #biodiversité #refuge #grimpereau #grimpereaudesjardins #browncreeper #oiseaux #bird (à Association RAVEN) https://www.instagram.com/p/Cn6ecRWoIKg/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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