Tumgik
#j'espère que tout roule pour toi
superiorkenshi · 11 months
Note
Ton nouvel aesthetic is fun
Merciii en espérant que tu parlais bien de celle ci vue que j'ai mis 20 ans à répondre gjenfis
5 notes · View notes
drops-of-universe · 5 months
Note
Bisous mon coeur, j'espère que tu vas bien 🌹💕
Ok, mais comment tu fais à CHAQUE FOIS pour savoir quand ça va pas chez moi? sérieux, à chaque coup, tu m'envoies un message sympa quand je suis au fond du seau! je t'apprécie plus que tu ne peux l'imaginer. passe un super weekend, j'espère que tout roule pour toi. t'as tout pour mériter le meilleur!
3 notes · View notes
immorcha · 11 months
Text
Les larmes de mes mains
Ton sang ne circule plus dans ton corps. Ton souffle n'est plus qu'un souvenir. Jamais ta voix ne parviendra plus jusqu'à mes oreilles. Tes mains ne me caresseront plus le corps. Tes lèvres ne se poseront plus sur les miennes. Le rire de ton cœur n'égaiera plus les enfants du jardin. Ton parfum n'effleurera plus les sens passionnés des hommes. Ta souffrance n'est plus une torture. Les larmes de ton âme ne grifferont plus tes joues blanches. Tu ne t'assiéras plus dans ce fauteuil à roues. Les infirmières ne viendront plus me dire que tout va s'arranger. Ton enfant ne se demandera plus quand est-ce que tu reviens.
Ce soir, une automobile ne t'a pas vu. Tu ne l'as pas entendu. Le conducteur est saoul. Il roule trop vite. Le feu est rouge. Il ne le voit pas. Tu traverse pour me rejoindre. Je cris. Ton corps saute et se disloque. Ton corps roule dans le caniveau. L'automobile ne s'arrête pas. Je cours. Tellement de sang. Comment peut-il y en avoir autant ? Ton visage parait paisible, je l'embrasse. Je le caresse. Je le mouille de mes larmes. Quelqu'un a dû appeler les pompiers, car une sirène au loin appelle à la vie. Je sens ton pouls. Tu vis. S.A.M.U.. Pompiers. Police. Psychologue. On me questionne. Je veux rester avec toi.
Tu ne marcheras plus. Tu ne parleras plus. Tu ne verras plus. Mes caresses, mes mots, mes baisers, mes larmes. J'attends. On me dit qu'il n'y a que ça à faire. J'attends. Allongée sur un lit blanc, tu contemples le plafond blanc, les yeux clos, les bras bien alignés le long du corps, des tentacules translucides te perforent de toutes parts, ton visage est recouvert d'un masque, des tuyaux sortent de ta bouche, de tes bras, de ton sexe, d'autres entrent dans tes narines, dans tes bras, dans ton sexe. J'attends. Je te parle, je te touche, j'emmène ton enfant pleurer avec moi sur ton visage, dans tes mains, je te lis des histoires fabuleuses, et ton enfant te rejoint dans le sommeil, mais je ne parviens pas à l'imiter. J'attends. Les yeux rouges, les lèvres sèches, les mains transpirantes, je vous regarde tous les deux. Je vous aime plus que jamais, j'espère que tu te réveilleras avec l'enfant qui dort à ton côté Mais l'enfant se réveille seul. J'attends.
Les médecins m'expliquent ce que je devrais faire. Ils me disent que ce ne sera pas facile. Tu as ouvert les yeux, mais tu regardes un pays qui n'existe que dans tes songes. Les médecins me disent que tu ne peux plus bouger. Que tu ne peux plus parler. Que tu ne peux plus sentir les caresses de tes deux amours. Que ces tuyaux ne te quitteront plus jamais. L'espoir de voir ton état s'améliorer est nul. Ta colonne vertébrale n'est plus qu'un amas de miettes. Tout ce qui est certain est que tu entends. On ne sait pas si tu comprends, mais tu entends. Tu n'es plus obligé de rester dans ce lit blanc. Je t'installe dans notre chambre, là où le plafond est une fresque colorée de la voûte céleste. Tes yeux sont vides, mais ils regardent les étoiles. Je t'observe, guettant le moindre mouvement. Rien. Mes yeux inondent mes mains de larmes de douleur.
Je me souviens des discussions que l'ont avait lorsque, allongé l'un contre l'autre après l'amour, on parlait de l'avenir. Nos corps rassasiés, nos âmes apaisées, il ne restait que l'amour. Les soucis, disparus. Une fois tu me faisais promettre de te donner un enfant. Je m'appliquais à la tache de nombreuses fois jusqu'à ce que tu obtiennes l'enfant de notre amour. Tu aimais qu'il dorme avec nous, mais tu voulais aussi qu'il grandisse. Alors, la voix ferme mais l'âme en peine, tu lui disais qu'il ne pouvait plus venir dans notre lit. Je te consolais, tu me consolais. Nos corps entremêlés déchiraient le silence pour mieux lui rendre grâce une fois nos ébats terminés. Je me souviens de tout cela, lorsque tu grognes deux mots venus du plus profonds de ton cœur. J'ai peur car je t'ai compris.
Je parle à ton enfant. Il est encore jeune, mais comprends ce que je vais faire. Il pleure mais m'encourage. Il pleure et je pleure avec lui. Je m'approche de toi. Je te regarde. Je te touche. Je ne pleure plus. Je détache tous les tentacules qui t'abîme la peau. Je me couche à tes côtés. Je te caresse, te murmure des mots doux à l'oreille, t'embrasse. Ton esprit m'entend, et ton sexe me réclame. Prête à m'accueillir, pour une dernière fois. Des larmes coulent sur tes joues. Je bois cette liqueur qui vient de notre amour. Je me redresse, à cheval sur ton corps, et place mes mains autours de ton cou. Je n'ose pas le faire. Un sourire grave sur tes lèvres. Inondant nos corps de mes larmes, je sers mes mains, encore et encore. Tu ne bouges plus. Ton sang ne circule plus dans ton corps. Tu m'as dis “libères moi”. Je viens de le faire avec les larmes de mes mains.
3 notes · View notes
rayondelun3 · 11 months
Text
Quand tu roule le shit tu positionnes tes mains comme si tu allais prier. Et tu frottes, tu roules, t'étales et tu sépares tes petites boules.
Le verre à droite ;
undefined
unknown
Tumblr media
La Monster à gauche. Tu comprends qu'il n'y a que comme ça que je peux écrire et fumer une substance amer.
Je tousse, je bois une gorgée, c'est très chargé mais je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. C'était pourtant le deuxième.
J'ai trop tiré, je sais que je tire trop, je tire sur tout.
Assise par terre j'écris des trucs :
Dans mes rêves j'ai le Death Note ; classe de 3e, Mael t'es mort, c'est toi qui meurs en premier. Ensuite Hugo te rejoindra en enfer, en tout cas j'espère que c'est au moins là bas que vous finirez parce que le karma ne se montre pas - et si je devenais le karma ?
Ce serait au moins autant la merde qu'ici parce que même sous coc, sous shit, sous substances, je pense à vous et à tous les autres. À ce que vous m'avez fait endurer toutes ces années. C'est fini mais ça tourne de temps en temps comme un disque rayé dans ma tête, une partie est voilà, peut-être la pire, peut-être la boucle d'oreille que j'aimais tant que tu m'as arraché en même temps que ma culotte blanche.
J'aimerais vous enterrer vivants pour que vous compreniez ce que ça fait. Vous regarder supplier, répéter non non arrête et ne pas m'arrêter.
Parce que ma vie est extrêmement difficile à cause de vous et tous les autres, je ne suis pas encore libre mais je fais tout pour me libérer. Je me battrai encore s'il le faut.
Je ne vous laisserai plus jamais gagner.
Ma vie est un combat, je lutterai jusqu'à la mort et savourait comme si j'allais mourir la seconde suivante chaque instant de bonheur que la vie m'accordera.
Et vous, les hommes monstres, les hommes qui n'aiment pas les femmes, si vous ne changez pas, mourrez.
Vous ne réussirez pas non plus à diviser les femmes entre elles, même mon ennemie je la défendrai de vous. Monstres répugnants.
Mortellement votre ;
- Lisa.
6 notes · View notes
fallenrazziel · 2 years
Text
Les Chroniques de Livaï #547 ~ SANS AMBITION, IL N’Y A PAS DE TALENT (août 846) Livaï Ackerman
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
Tumblr media
Je suis sûr d'avoir fait le bon choix. Equipe entièrement masculine, huum... c'est une première, en général, les escouades sont mixtes, ça permet d'équilibrer pas mal de choses. J'espère que tous ces garçons vont pas finir par se bouffer le nez sans une présence féminine pour les recadrer...
Je jette un oeil dans le mess et constate que mes quatre soldats sont en train de papoter tranquillement devant un verre. Enfin, seulement trois ; Bernon ne fait qu'écouter comme à son habitude. Je sais pas encore très bien comment je vais le gérer, malgré ce que j'ai dit à Erwin... mais son talent mérite que je me creuse la cervelle.
Ils ont l'air de déjà bien s'entendre ; j'ai bien fait de les coller dans la même piaule. Erd et Gunther sont des braves gars, ils vont les mettre à l'aise. Mais pas trop non plus... Je vais devoir m'en mêler et donner le ton. Je tape fortement mes bottes sur le sol, annonçant mon arrivée et les quatre jeunes me regardent avancer vers leur table. Kryshan - bon, je vais finir par l'appeler Krys, c'est plus simple - se pousse sur son banc pour me faire de la place entre lui et son frère. Un verre plein semble m'attendre... J'enjambe le banc et renifle un peu... Du jus de pomme, ok, ça me va.
Au milieu de ces deux prodiges, je sens une grande vitalité, une énergie formidable nous entourer. Je me demande si Gunther et Erd le perçoivent aussi... Ils sont tous les deux particulièrement aimables et souriants, et ne font preuve d'aucune gêne à mon égard, comme si j'étais de leur rang. Je suis leur chef maintenant, il faut bien qu'ils le comprennent. Je suis pas à cheval sur le protocole d'habitude, mais leur décontraction innocente peut se révéler dangereuse sur le terrain. Enfin, je leur réserve de quoi les mettre au pas...
Je sirote un peu le jus de pomme, écoutant leurs bavardages, et le regard perçant de Bernon me fait tourner la tête. Il me scrute de façon neutre, puis hoche la tête sans que je puisse deviner à quoi il pense. Je me lance... Personne se moque de toi dans le régiment, ça roule ? Il acquiesce. Si quelqu'un t'emmerde, tu viens me voir. Mais ça arrivera probablement pas, les explorateurs sont des bonnes pâtes concernant les spécimens hors normes. Sauve autant de leurs culs que tu pourras et tu gagneras le respect, ça marche comme ça. Vous vous seriez fait chier comme des rats morts dans les brigades spéciales, vous avez bien fait de vous barrer.
Bernon sourit avec difficulté et observe Erd et Gunther de façon insistante, semblant leur demander quelque chose. Krys se penche en arrière sur le banc, scrute son frère puis se redresse en me faisant face. Comment ça marche, leur manège mental ? Bon, allez, qu'est-ce qu'il a dit ? Krys demande si je parle de cette façon avec tout le monde. Bernon trouve mon accent et mon vocabulaire assez extraordinaires. Ouais, ttcchhh, je parle comme ça, je suis né avec. Va falloir vous y habituer.
Et toi, explique-moi comment tu fais pour savoir ce qu'il pense. Il reste évasif, évoquant les micro-expressions, les sourcils, les mains, la bouche de son frère comme des indicateurs précis, des tas de détails qui, mis ensemble, forment des phrases qui lui paraissent tout à fait claires. Ca m'a tout l'air d'être de le magie tout ça. Je suis sûr que la bigleuse serait intéressée par vos cas. Bernon se penche pour me regarder et là, bizarrement, je comprends très bien sa question. La bigleuse, c'est le chef d'escouade de la section scientifique, vous pouvez pas la louper, elle est cradingue toute la semaine. Faites gaffe à pas trop vous approcher, c'est un germe ambulant. Krys rétorque qu'ils la connaissent déjà, car ils ont voyagé en diligence ensemble. Ouch... vous vous êtes lavés après, j'espère.
A propos de propreté... il va falloir couper vos cheveux. Ou au moins les attacher en permanence. C'est la règle. Et aussi, veillez à ne pas vous habiller pareil, que je puisse vous distinguer même de loin. Coiffez-vous et sapez-vous différemment, bref facilitez la tache aux autres. Ils hochent la tête ensemble et Krys sort de sa poche un élastique fin qu'il noue autour de sa tignasse. C'est déjà mieux.
Bon, pour ce qui est du travail d'équipe, vous vous entraînerez ensemble évidemment. Erd et Gunther, vous gardez votre tandem, Krys et... Ber - je vais m'y habituer... -, bien évidemment, vous formez équipe. Mais vous interchangerez durant les exercices, vous devez pouvoir vous adapter. Vous inquiétez pas, les nouveaux, on vous mettra au jus de toutes nos techniques et procédures dans toutes les situations ; on ne fait pas les mêmes choses que dans les autres escouades. Vous êtes dans l'élite maintenant. Mais vous apprendrez beaucoup sur le terrain. Les titans de bois, ça va cinq minutes, après on se fait chier sévère. Je vous emmènerai bientôt au Mur Rose histoire de le débarrasser des cancrelats qui y rôdent...
Krys saute sur ses pieds et annonce qu'il est prêt à y aller. Il me rappelle Claus, parfois, c'est pénible... Calme-toi, on y va pas aujourd'hui. Mais je vais vous donner une mission de la plus haute importance. Je capte parfaitement le sourire entendu de Gunther et Erd... Ils savent très bien quoi il s'agit.
Regardez autour de vous, les nouveaux. Les jumeaux obéissent, promènent leurs yeux sur les tables, les murs, le comptoir, le dessus des bancs. Vous voyez rien de choquant ? Bernon semble gêné mais secoue négativement la tête, sans savoir s'il fait bien. Ok, donc j'ai du travail avec vous. Je promène mon doigt sur la table, faisant un peu crisser mon ongle sur le bois, puis le retire et le montre aux deux frères. Vous voyez maintenant ? Là, cette graisse immonde. Dépêchez, que je puisse l'essuyer ! Ils acquiescent avec empressement et je peux enfin frotter mon doigt avec un vieux mouchoir.
Je me lève du banc et tous les quatre me suivent du regard. Le combat est jamais terminé, il se mène partout. Vous voyez, dehors, il y a une cohorte de saletés qui attendent de se faire buter. Elles sont dures à choper et plus on en tue, plus il en vient. La saleté ne meurt jamais. Il faut la nettoyer chaque jour. Dans votre quotidien, la saloperie est partout. Elle peut vous tuer aussi facilement que les titans si vous la laisser s'installer. La poussière, la crasse, les ordures, la graisse, la suie, la merde... je veux pas de ça autour de moi, et ça vaut aussi pour vous. On est militaires et c'est dur de rester propres tous les jours. Mais vous allez faire de votre mieux. Vous vous douchez au moins une fois par jour, et les cheveux doivent être propres. Vos vêtements aussi, pas de taches de quoi que ce soit. Vos lits, au carré. Et pour aujourd'hui...
J'indique du pouce la direction d'une pièce que mes deux vétérans connaissent bien : la buanderie. C'est bien ça. Vous avez deux heures pour nettoyer le mess du sol au plafond. Cet endroit est une porcherie, même l'écurie est plus propre. Ce sera parfait pour vous faire commencer le travail d'équipe ; Erd et Gunther vous montreront comment faire. Si vous ne parvenez pas à vous entraider, vous y arriverez pas. Ca demande méthode, discipline, coordination. Je reviens dans deux heures et je verrai si le test est réussi. Je peux être de très mauvais poil si c'est mal fait, je préviens...
Les jumeaux semblent stupéfaits - c'est rare de les voir ainsi - et je suis pas peu fier de les avoir mis dans l'embarras. Quoi, on vous l'a pas dit ? L'escouade d'opérations tactiques est aussi l'escouade d'élite du ménage. Ca fait partie de vos attributions maintenant.
Je m'éloigne rapidement, et leur lance un dernier avertissement avant de quitter la cantine. Oubliez pas : deux heures, pas une minute de plus. Gare à vos fesses.
11 notes · View notes
marie-swriting · 2 years
Text
Plus Jamais - Stefan Salvatore
Tumblr media
Masterlist
Résumé : Toi et Stefan couchez ensemble depuis quelques mois, mais vous n'avez pas officialisé. Vous voulez plus, mais vous avez peur que votre relation finisse comme celles que vous avez déjà vécues.
Warnings : mention de sexe, mais rien d'explicite, angst, mention de relations passées qui ne sont pas saines, mention de meurtres, dites-moi si j'ai oublié d'autres warnings !
Nombre de mots : 2,2k
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Chanson qui m'a inspiré : Fingers Crossed par Trevor Daniel & Julia Michaels
Vérifiant que Stefan est toujours endormi, tu quittes le lit. Tu fais tout ton possible pour ne pas faire de bruit, te maudissant à chaque fois que tu fais craquer légèrement le plancher. Tu prends mes vêtements et te rhabille en vitesse. Tu réajustes ton tee-shirt alors que tu te diriges vers la porte d'entrée du manoir des Salvatore. Tu es sur le point de tourner la poignée quand une voix te fait sursauter :
- Tu pars encore en douce ?
- Je ne pars pas en douce, je rétorque à Damon. Et puis, qu'est-ce que tu veux dire par "encore" ?
- S'il te plaît, commence-t-il en levant les yeux au ciel. Ça fait deux mois que tu vois mon frère tous les soirs et que tu te tires le matin comme une voleuse. Je pensais que ça deviendrait sérieux à un moment.
- Eh bien, c'est pas le cas. Je dois y aller, les filles m'attendent.
- Passe le bonjour à Elena pour moi.
- Au revoir, Damon, tu t'exclames sans écouter sa dernière phrase.
Tu montes dans ma voiture et roules jusqu'à chez Caroline, tentant de ne pas montrer que la conversation avec Damon t'a troublé. Bien évidemment, tu savais que Stefan et toi, n'étiez pas discrets. Vous êtes des vampires de plus de cent ans alors vous ne vous voyez pas en douce comme des adolescents, mais personne ne sait que vous passez presque toutes vos nuits ensemble. Mais ça ne regarde seulement lui et toi. Vous n'avez de comptes à rendre à personne. Vous savez ce que vous faites. Enfin, tu espères.
En arrivant chez ta meilleure amie, tu réalises que tu es la dernière. Elles ont déjà commencé à manger les snacks. Avec le temps, elles ont appris à ne plus t'attendre. Elles savent que tu es rarement à l'heure. Tu ne leurs en veux pas de démarrer sans toi. Tu ferais pareil. Rapidement, tu te rajoutes à la conversation en mangeant les chocolats présents sur la table.
Tu passes toute mon après-midi avec Caroline, Bonnie et Elena à discuter de tout et de rien, à regarder des films et à faire d'autres activités. Tu les connais que depuis un an et demi, mais Tu t'es vite rapprochée d'elles. Vous avez toute suite accroché à ton plus grand bonheur.
Alors que Caroline raconte un potin de la ville, tu te propose pour faire réchauffer la pizza que vous avez commandé vers les midis. Tu quittes le salon et vas dans la cuisine. Tu mets les parts au micro-onde. Quand elles sont prêtes, tu prends l'assiette en main. Tu n'as pas le temps de mettre un pied en dehors de la cuisine que Caroline court vers toi alors que Bonnie et Elena tentent de l'arrêter. Tu fronces les sourcils ne comprenant pas ce qu'il se passe. C'est quand Caroline te tend mon téléphone affichant un nouveau message de Stefan que tu comprends l'agitation.
- Quand est-ce que t'allais nous le dire ?! s'offusque Caroline alors que tu essayes de paraître détendue.
- Il n'y a rien à dire.
- Tu rigoles, j'espère ! "Tu passes la nuit chez moi ou je viens te voir ?" et t'appelles ça rien ? Tu allais nous le cacher pendant combien de temps ?
- Caroline, elle a le droit à sa vie privée, lui rappelle Bonnie.
- Et toi, tu allais nous le dire quand pour Klaus ? demandes-tu à Caroline, lui faisant ouvrir grand les yeux alors que Bonnie et Elena la regardent, choquées. Oui, il me l'a dit.
- Ne change pas de sujet !
- N'en fait pas tout une affaire, Caroline, proteste Elena.
- Vous n'êtes pas sérieuses ? Vous ne pouvez pas me dire que vous ne voulez pas en savoir plus après ce SMS ?
- Seulement si Y/N le veut, lui répond Bonnie.
- Comme j'ai dit, il n'y a rien à dire. Oui, on se voit quelques fois les soirs. Mais c'est une fois de temps en temps. Rien de sérieux.
- Attends, c'est donc toi ? te demande Elena qui vient d'avoir une illumination. Damon m'a dit qu'une femme n'arrêtait pas de quitter la chambre de Stefan avant le début du jour. Je pensais pas que c'était toi.
- Pas besoin d'en faire tout un plat.
- Eh attends à nouveau, tu nous dis "quelques fois" ? Damon m'a dit que c'était presque tous les soirs ! Sur une semaine, il doit y avoir qu'une nuit où Stefan est vraiment seul, d'après lui.
- Vraiment autant ? rigole Caroline, étonnée.
- Parfois on ne fait que parler, lui réponds-tu avant de regarder tes trois amies. Bon, vous arrêtez de parler de notre vie privée ? Je ne veux pas en discuter plus longtemps !
- Je comprends pas comment ça se fait que vous n'êtes toujours pas passés au stade au-dessus, dit Bonnie alors que tu soupires.
- Peut-être qu'on a pas envie. Honnêtement, ça me va comme on fait. Je ne sais pas si j'ai vraiment envie d'être en couple à nouveau. Et il n'a jamais parlé de rendre ça sérieux.
- Et pourquoi pas ? te questionne Elena.
- Pour ma part, j'ai presque jamais eu de chance en amour. Mon premier petit ami, enfin prétendant comme on disait, je l'ai tué car je venais d'être transformée et j'ai perdu le contrôle. Le deuxième, il a voulu me tuer quand il a appris que j'étais un vampire. Quant au troisième, on était dans une relation toxique. J'ai testé l'amour et ce n'est pas fait pour moi.
- Toi et Stefan, vous êtes faits pour être ensemble, t'assure Bonnie.
- Je ne sais pas...
- Oh, les regards que vous vous lancez ne mentent pas ! Vous devez être ensemble, s'exclame Caroline.
- On verra. Je ne veux pas qu'il se sente forcé et que..., commences-tu doucement et Elena devine la fin de ta phrase.
- Ça gâche tout ?
- En quelque sorte.
- Parlez-en. Ça se trouve il veut être avec toi, aussi.
Ne voulant pas plus en parler, tu fais en sorte de changer de sujet en rappelant que les pizzas ont dû refroidir, encore. Tu as bien vu que Caroline voulait continuer à en parler, mais un regard noir de Bonnie l'a empêché de le faire. Tu l'en remercies mentalement. Toutefois, le reste de votre journée, tu ne cesses de te repasser en boucle leur avis sur la situation. Il est vrai que tu aimerais bien rendre votre "relation" officielle, mais si ce n'était pas réciproque, tu ne saurais pas où te mettre. De plus, tu as peur que ta prochaine malédiction en amour soit toi gâchant la relation. Après ta dernière histoire, tu t'étais dit que jamais tu te remettrais en couple, mais il a fallu que Stefan et toi vous vous embrassez une fois puis que vous couchez ensemble pour remettre cette idée en question.
La nuit tombée, tu rejoins Stefan chez lui. Il vous faut peu de temps pour que la situation bascule. Quand vous avez fini, tu décides de briser un peu la narration en restant jusqu'à ce qu'il se réveille. Tu ne dors pas, réfléchissant à comment tu vas mener la conversation. Plus le temps passe et plus l'angoisse se fait ressentir. Tu essayes de penser aux pires scénarios et tu espère qu'ils ne se produiront jamais. Tu ne le supporterais pas.
Vers les sept heures du matin, tu sens Stefan remuer doucement à côté de toi. Quand il ouvre les yeux, tu le vois froncer les sourcils quand il remarque que tu es encore allongée à côté de lui. Tu tournes la tête et lui souris tendrement, essayant de paraître détendue.
- Tu es là ?
- Je pensais que ça te ferait plaisir, dis-tu en riant nerveusement.
- Désolé, je me suis mal exprimé. Je ne me plains pas, mais je m'attendais à tomber sur une place vide, comme d'habitude.
- J'ai... J'ai décidé de changer ça. Ça ne te dérange pas, j'espère ?
- Pas du tout, t'inquiète, te sourit-il.
- Stefan, je voulais te parler.
- Je t'écoute.
- Est-ce que tu penses qu'un jour on pourrait passer au stade au-dessus ? Pas que ça me dérange ce qu'on fait, loin de là ! Mais on a passé tellement de temps ensemble ces deux derniers mois et on a jamais précisé si... s'il pouvait y avoir une évolution dans notre relation.
- Je ne m'attendais pas à cette question, avoue Stefan en s'adossant contre la tête de lit.
- Ne te sens pas forcé de faire quoique ce soit ! Je veux juste savoir où on en est.
- Oui, c'est compréhensible. Mais, je dois t'avouer que je ne sais pas. J'adore être avec toi, dire le contraire serait un mensonge, mais je ne sais pas si je suis prêt à me lancer dans une nouvelle relation. Katherine m'a manipulé, Elena est tombée amoureuse de mon frère. Je ne dis pas que tu pourrais faire pareil, mais je ne veux pas revire ces situations ou quelque chose de similaire. Je suis désolé si je t'ai donné un espoir qu'on pourrait être ensemble. J'espère que tu comprends.
- Je comprends, ne t'inquiète pas, lui assures-tu d'un air détaché. Je suis... contente que la situation soit clarifiée... Je dois y aller, j'ai quelque chose à faire chez moi.
Tu vois Stefan se retenir de dire quelque chose, mais tu n'y prêtes pas plus attention et quittes le lit. Tu prends tes affaires sur le sol, mais cette fois au lieu de t'habiller discrètement, tu te dépêches, voulant vite partir. Tu savais qu'il y avait un risque qu'il te repousse mais au fond de moi, tu avais un espoir que ça ne soit pas le cas. Apparemment, tu n'as même plus besoin d'être en couple pour avoir cet horrible pincement au cœur quand tu te sens trahie. Il ne te doit rien, tu le sais, mais ça fait mal. Tu le salues rapidement et pars presque en courant du manoir.
Tu t'es isolée toute la journée. Tu as uniquement parlé à Elena par messages. Sinon, tu n'as presque pas jeté un coup d'œil à ton téléphone. Tu as préféré te perdre dans tes livres, te détachant totalement de ta réalité et de tes problèmes.
Vers les dix-neuf heures, tu regardes si tu as reçu des notifications et tu es surprise de voir plusieurs appels manqués de Stefan. Tu les supprime, ne voulant pas vraiment lui parler. Tu sais que ses raisons de te repousser sont valides. Tu le comprends, tu as ces mêmes peurs, mais tu pensais que vous en parleriez au moins un peu plus. Après, il est vrai que tu as vite coupé court à la discussion, ne supportant pas l'idée d'avoir tout ruiné. Tu t'apprêtes à retourner à ta lecture quand on frappe à ta porte. Sans trop de motivation, tu décides d'ouvrir. Tes yeux s'ouvrent en grand quand tu vois Stefan face à toi. Il a l'air d'être nerveux et de... s'en vouloir ? Il demande à entrer, tu l'invites. Quand tu fermes la porte, vous restez devant vous regardant fixement. Vous n'allez pas dans une autre pièce de la maison. Tu es trop embarrassée pour lui proposer de s'assoir sur le canapé, la conversation de ce matin se rejouant encore dans ma tête. Tu as vraiment été bête à écouter les filles ! Maintenant, c'est tendu entre vous, ce que tu ne voulais pas.
- Je m'excuse pour ce matin, commence-t-il.
- Tu n'as pas besoin, Stefan.
- Non, je te dois des excuses. Je veux passer au stade au-dessus aussi. Quand je me suis réveillé et que je t'ai vu à côté de moi, j'ai commencé à réaliser que je veux être avec toi tout comme toi. Elena m'a dit que tu souhaitais plus, même si tu m'as dit que tu voulais juste savoir.
- Ne me prends pas en pitié, s'il te plait, le supplies-tu, encore plus humiliée.
- Ce n'est pas le cas. J'aime être avec toi. J'aime les moments qu'on a passés, surtout les soirs où on a juste parlé et appris à se connaitre. Je n'avais jamais ressenti une aussi grande connexion avec quelqu'un d'autre. Mais...
- Tu ne veux pas avoir le cœur brisé à nouveau, dis-tu devinant la fin de sa phrase. Je comprends. J'ai cette peur aussi. On a pas vraiment été chanceux en amour, on dirait.
- Ouais, rigole-t-il doucement. Mais j'ai envie d'essayer. Je t'ai repoussé par peur, mais le moment où je l'ai fait, je me suis maudit. Inconsciemment, j'attendais que ce moment, mais je n'ai pas su le remarquer.
- Tes peurs ont parlé pour toi, c'est légitime. Ça a été pareil pour moi hier quand les filles m'en ont parlé, le rassures-tu. Mais avec toi, j'ai envie de surmonter ces peurs. Tu es la première personne avec qui j'ai envie de le faire. J'ai pas envie de passer à côté d'une relation qui pourrait être magnifique juste car mes anciennes blessures sont encore un peu présentes.
- Moi non plus. J'ai assez confiance en toi pour laisser mes peurs de côté. Je veux vraiment qu'on soit ensemble.
Ces dernières phrases te font ressentir une joie immense. Sans réfléchir, tu l'embrasses. Contrairement aux baisers que vous avez déjà partagés, celui-ci est rempli d'amour et de tendresse. Stefan te rapproche de lui en mettant ses mains sur tes hanches. Après quelques secondes, vous vous séparez, mais vos fronts restent collés.
- Tu ne t'enfuiras plus le matin ? veut s'assurer Stefan, un sourire au visage que tu lui rends.
- Plus jamais.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
11 notes · View notes
dream---cather · 3 months
Text
Reste avec moi
Chapitre 2
Plus tard dans la soirée lorsque je travaille Loona descend au eleven pour me parler de ça merveilleuse journée à l’école.  
“OMG il est tellement beau, il est tellement gentil et une voix tellement belle” Dit-elle avec des étoiles dans les yeux. 
Comme réponse je ne fais que lever les yeux de mes notes de cours à elle est ne fais que la regarder un court instant. 
“Ca vas me regarde pas comme ça, tu ne c’est même pas c’est quoi l’amour dû à n’a jamais eu, tu peux pas comprendre” Au même moment un client rentre dans eleven. On lui fis un bonjour.Il choisit son truc puis passe à la caisse et pars.
“Tu dois faire mes devoirs et essaye que ça soit parfait pour impressionner Félix”Dit-elle en les sortant de son sac et les déposant à côté de la caisse.
“Je l’ai veux avant de dormir” Dit-elle en partant.
Je réussie à finir ses devoirs et les mien jusqu'à avant que mes tante vienne prendre ma place pour que je puis aller manger. Une fois à l’appartement, je sors le repas du soir puis commence à le manger.
“Bon tu à fini mes devoirs j'espère”Dit Loona une fois sortie de la salle de bains. Je ne fais qu' un pouce en l’air puisque je mangeais.
 Je finis mon repas puis vais me coucher.  Le lendemain, je me lève et je me dirige vers la cuisine pour manger. Par la suite je vais prendre ma douche puis me changer pour partir à l’école.
Lorsque je me dirige vers la classe, je vois Loona et ses amies se diriger toutes contentes vers Félix et d’autres garçons. Il reste discuté ensemble jusqu’à temps que la cloche sonne puis il se sépare pour aller chacun dans leur classe.
“Salut” Dit Félix en me regardant avec un sourire. J'allais lui répondre mais le prof est arrivé au même moment.
“La semaine prochaine il aura un examen sur ce qu'on a vu depuis le début des cours” Dit le prof avant de commencer son cours. Lorsque le cours finit pour le dîner, Loona se retourne vers Félix.
“Si tu veux je peux te prêter mes notes pour mieux étudier ou on pourrait étudier ensemble si tu veux?”
“Ça ne me dérange pas” Dit Félix en la regardant.
“Génial, Samedi à la bibliothèque?”
“Ça me vas”
Je quitte la classe puis par manger sur le toit. J’allais commencer à manger mais Loona m'écris un message.
Loona:
Tu pourrais me prêter tes notes?
T/p:
Non, tu n’avais qu’à n’en prendre toi même
Loona:
Donne les moi ou je vais aller voir ma mere
T/p:
Tu les veux pour quand?
Loona :
Samedi
Je roule des yeux puis ferme mon téléphone et retourne manger.
Puisqu’un à congé aujourd’hui Loona à décider d’aller étudier avec Félix à la bibliothèque. Je suis allé avec eux pour faire de même.Bien sûr Loona m’a clairement dit de ne pas se mettre à la même table qu’eux. Je me suis mis sûr une table beaucoup plus loin d’eux. Lorsque j'étudie, un jeune homme passe à côté de moi puis me pose une question.
“Salut, je peux m'asseoir là?”Dit-il avec un sourire. Je lui fais oui de la tête et enlève mes choses sur le siège à côté.
“Désoler j’aurais pris une autre place mais il à n’a plus”Je ne fais que lui adresser une sourire.
“En Fait moi c’est Jisung” Il me tend la main et  je la sert.   
“Et toi?...tu n'as pas de nom?” Je ris et écris T/p sur un bout de papier avant de lui donner. Il le prend et le lis à haute voix en me regardant. Je lui prend le papier des mains et lui écrit quelque chose avant de lui repasser. Il prend le papier et le relie à nouveau ;à haute voix.
“Est-ce que je suis nouveau?...Oui je suis arrivé en même temps que Félix…Je pense que tu le connais? Vous êtes dans la même classe non” Je lui réponds oui de la tête et lui reprend le papier puis lui repasse.
“Comment tu sais…C’est mon petit doigt qui me l'a dit!” Je lui adresse un sourire.
“Tu fais quoi?” Je lui passe un nouveau papier
“J’étudie pour un examen…Moi je suis venu pour faire des recherches pour un oral sur la guerre de Corée!...dit tu sais ou sont les livres qui parle de ça?”Je lui tend un papier qui lui explique où sont rangés les livres qu’il cherche.
“Merci!”
0 notes
semena--mertvykh · 2 years
Text
Boulet in your head
Vendredi, c'était mon dernier jour de stage. Ayé, l'année de M1 est officiellement terminée.
Comme chaque année, depuis trois ans, à cette période, léger coup de blues.
Comme chaque année, depuis trois ans, à cette période, je vais me mettre à compter les jours et à attendre la rentrée avec impatience.
En revanche, rentrer du stage, pile un jour de Classé noir pour Bison Futé, c'est un privilège que j'espère bien ne jamais avoir à revivre un jour. Je n'ai jamais eu l'occasion de dire tout le bien que je pensais des conducteurs de l'A6, eh ben j'en profite aujourd'hui, parce qu'à mon avis, dans des circonstances exceptionnelles comme celles que nous avons connues vendredi, ils doivent se surpasser :
depuis l'impayable crampon de la file du milieu (je sais pas déboîter pour doubler les camions, alors je reste sur ma voie jusqu'à Palavas - MAIS ATAFION ! si tu essaies de me dépasser par la droite, je te fais une queue de poisson) ;
jusqu'au célèbre emmerdeur de la file de gauche, qui déboîte PILE devant toi quand tu arrives à 110 et qui roule ensuite à 60 (je cherche pas à rouler plus vite, je cherche juste à t'empêcher toi de le faire - traduction : il me reste 2 points sur mon permis, tu vas payer) ;
en passant par le type congénitalement incapable d'adapter sa vitesse aux circonstances - souvent le même que celui du dessus, d'ailleurs : je te colle au pare-chocs quand il faudrait garder ses distances / je roule comme un vélib quand j'ai un boulevard devant moi : appelez-moi ze King of ze road, les gars...
je me suis mangé un bel échantillon de ce que l'Ile-de-France compte comme boulets de la route.
(ici, insérer un smiley qui vomit)
Citons également :
Madame Pare-Chocs Fendu, qui se recoiffe dans le rétro toutes les 30 secondes (veut se faire belle pour le radar)
Monsieur Propre, qui balance ses emballages par la fenêtre (au moins, s'embête pas à se demander si c'est poubelle jaune)
J'Apprends à Lire les Panneaux, et son co-pilote, Je Ne Sais Pas Où Je Vais (je dirais bien chez le carrossier, si tu continues à changer de file sans prévenir ; au camping, c'est moins sûr)
J'en profite donc pour déposer une grosse gerbe sur le capot de tous ces conducteurs qui ont rendu mes trajets tellement plus instructifs, chaque jour de cette longue et enrichissante année.
0 notes
mcl-pauly · 4 years
Note
*roule dans l'inbox* Bonjour bonsoir ! Un peu d'amour pour toi et beaucoup de remerciements pour tout le travail que tu fais en tant que testeuse pour les guides ML ! J'espère que tout ira bien désormais et que les gens créditeront correctement votre travail ><. J'espère aussi que tout va bien là ou tu es malgré l'épidémie et que tu continueras à t'amuser en jouant aux jeux beemoov o/
merci beaucoup pour ton message 🥺 💕 en vrai je suis à deux doigts de pleurer parce que l’autre va annoncer le reconfinement dans moins de 2h maintenant mdrr bref je t’envoie plein d’amour aussi TwT/
(je teste (presque) pas par contre, je m’occupe que de la partie graphique! ;w;)
13 notes · View notes
a-child-ish · 2 years
Note
Hiiiii ! ♡ ૮꒰ ˶• ༝ •˶꒱ა
Tout d'abord j'aimerais te dire que tes créations sont véritablement magnifiques, et que j'adore revenir sur ton Tumblr pour en voir de nouvelles !! Tu as même ton propre "style" (?) à toi, qui fait qu'on reconnaît très vite l'empreinte de Childish, hihi ♡ (J'aime beaucoup trop tes colo'!!! TT)
Cela fait donc un moment que j'hésitais à entrer dans le monde des forums et je me suis lancée! Je viens par ailleurs faire une petite commande de tes doigts de fée, sur Jake (Enhypen) ! ♡ Évidemment, si cela est possible ! :3
Voici une galerie, j'ignore si cela est nécessaire/apprécié, mais here you go: https://imgbox.com/NqddCfxb
En tout cas, hâte de voir ce que tu vas en faire, j'ai essayé de trouver des images appropriées ! ♡ Plein de bisous♡♡
hii, je prends le temps pour une fois de répondre à mes asks parce que c'est rare d'avoir des messages aussi doux et avec tant d'attention !
j'espère que le monde des forums est pas trop intimidant ? on peut s'y perdre au début mais j'espère que tout roule pour toi. si tu recherches des forums cool je peux que te proposer antiromantic (oui je self-promo) mikrokosmos la famille, busan vibe même si je n'y suis plus et récemment je me suis lancée sur whisper in the night qui est plutôt chill aussi.
je me suis permise de prendre d'autres images en complément mais merci pour ta galerie et merci d'être passé par là et merci pour tes compliments!! hésite pas à repasser si besoin, je t'ai fait des avs juste là <3
1 note · View note
poly-po-quest · 2 years
Text
7729
Je me sens obligée de tapoter des bienvenues, une mise en gueule expliquant aimablement le concept de ce compte ; n'ayant rien de novateur, ce sera l'affaire d'une minute ;
Ceci est un journal. Chaque nuit, j'écrirais le récit du jour, panorama de 8 à 22 comme instant T rouge vif, c'est selon et ça importe peu. Chaque jour une trace, chaque jour du mot. Un huis clos. Les diverses Polynes se répondront, se liront, s'aimeront, j'espère !
(On roule de si gros yeux à notre manque croissant de vie privée, il est si simple de pomper les données du plus banal tout le monde et il est surtout si inutile de le faire puisqu'on se jette avec une franche obscénité et une ardeur de célébrité ratée -sous couvert d'anonymat ou pas- sur la toile. Nous pouvons prétendre à l'intimité universelle.)
Donc,
Précepte premier ; tout billet sera public.
N'importe qui peut voir ces billets, ce compte - bien que concrètement je doute que quelqu'un d'autre que la lectrice privilégiée c'est à dire l'autrice c'est à dire moi-même y tombe.
Précepte second ; un billet est inaltérable, inaliénable.
Je ne censurerais pas, tout billet écrit est un billet fini, avec ses fautes de frappes d'orthographe de délicatesse et de goût, on je raccommode pas, pire, on n'efface pas. Les mots d'un instants ne valent que pour lui et si la contradiction au fil du temps est la bienvenue, le ménage et maquillage ultérieure est formellement interdit.
Précepte troisième ; tout billet sera honnête.
Parfaitement honnête dans les mensonges que je me raconte, dans mes.incoherences, mes manquements, ma médiocrité ; aussi honnête qu'on peut l'être quand on écrit, chroniqueuse de souvenirs. Je n'ai droit à l'ellipse et au mensonge qu'en prévenant à l'avance que je l'utilise.
(Ma seule destination est la moi future. C'est pour tes yeux que j'écris. ((Et si jamais, cela donnera une matière de première choix pour l'analyse des futures spécialistes de mon œuvre.) Ou pour les enfants que je pousserai (le s pour le futur ou le subjonctif ? quandiable cela entrera t'il !?) hors de moi, quand on ne se comprendra plus, qu'ils auront besoin d'un modèle miroir, ils trouveront par "hasard" cette page, m'aimeront en semblable.) Je corrige, seule destination, le possible. Po si bleu ! Cette couleur est-elle froide pour toi ?)))
Je m'appelle Polyne ; j'ai vingt-et-unes années, quatorze semaines, soit sept mille sept cent soixante-neuf jours.
Aujourd'hui, après Red Waters, dans la dernière heure du premier février deux mille vingt-deux, je tente encore une fois de tenir un journal intime ( une fois un temps à temps un time in time). Tenir ! J'essayerai de tenir.
Bonne chance Polyne !
0 notes
fuckuuufuckingfuck · 4 years
Note
Je sais pas vraiment si cette relation est nocive ou non, j’ai pas le recule nécessaire, et avec de l’entraînement je devrais réussir à progressé à la guitare oui! Bref en tout cas, passe une bonne journée :) je reviendrais t’occuper à l’occasion
bon courage pour tes réflexions, j'espère que tu seras heureuse
oui le travail porte toujours ses fruits!
Chouette journée à toi aussi!
Ça roule, avec plaisir
0 notes
fallenrazziel · 4 years
Text
Les Chroniques de Livaï #484 ~ MONDE, JE TE FAIS MES ADIEUX (mai 846) Nadja Rosewitha
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
Tumblr media
J'entre dans l'hôtel de ville en faisant le moins de bruit possible ; cependant, le son de mes bottes me semble tonitruant, et je remarque que de nombreux regards se tournent vers moi. Je suis tentée un instant de repartir, sachant les minutes déplaisantes qui vont suivre, mais ce qui doit être fait ne peut attendre...
Je baisse la tête et remonte le couloir en regardant le sol. Il y a beaucoup de civils ici, quelques uniformes aussi. J'aurais peut-être dû retirer ma veste, car je crains qu'on ne m'arrête pour me poser des questions. Ces derniers temps, il est très difficile pour les explorateurs de circuler sans se faire interpeller au sujet de la prochaine expédition... J'ai beau faire partie de l'escouade spéciale, je ne sais rien de plus que ce que veut bien nous dire le caporal-chef. Il a été très occupé avec les civils à former rapidement, aussi nous a-t-il laissés nous débrouiller seuls entre nous. Nous avons passé beaucoup de temps tous les quatre, mais bizarrement, nous avons peu parlé...
J'espère que le major nous donnera quelques jours de congé afin que nous puissions aller voir nos familles. Je n'ai pas pu voir ma mère ni Mariele depuis l'annonce et je ne sais pas comment elles se sentent... Ont-elles confiance ? Je porte la main à mon pendentif et le roule entre mes doigts. Je suppose que Erd voudra aussi voir sa fiancée avant de partir. Quant à Gunther... c'est plutôt à moi de décider si je veux lui avouer quelque chose ou pas. Je pourrais le regretter si jamais nous... Non, je ne dois pas penser à ça, il me faut des idées positives. Je suis la plus âgée de l'équipe, je ne peux pas me laisser aller à imaginer le pire.
Je trouve enfin le bon corridor et me dirige vers les bancs d'attente situés devant la porte du notaire. Il y a déjà quelqu'un qui attend ; c'est Claus. Les mains crispées sur les cuisses, il regarde par terre sans faire attention à ce qui l'entoure. Il réfléchit sans doute. Je ne sais pas si... Techniquement, nous sommes tous en droit de déposer notre démission et d'espérer une retraite modeste, mais je ne pense pas qu'aucun d'entre nous ne se résoudra à cette lâcheté. Je ne peux pas affirmer n'y avoir jamais pensé. C'est peut-être vrai pour lui aussi. Je m'assois à côté de lui, pas trop près, et attends qu'il relève la tête.
Il prononce mon nom sans me regarder. Tu as su que c'était moi ? Toi aussi, tu as choisis aujourd'hui ? Il hoche la tête mais son expression reste triste et fermée. Il a tellement changé ces derniers temps. Il était toujours si bravache et vantard, ça me manque parfois ! Contrairement à moi, il a vécu l'évacuation des plaines de Maria, et des images de cauchemar reviennent peut-être le hanter. Il aurait toutes les excuses pour avoir peur, pour ne pas vouloir revivre cette horreur des civils poursuivis par les titans...
Nous savons tous deux pourquoi nous sommes ici ; pour mettre à jour et valider définitivement le testament que nous avons rédigé au moment de notre entrée dans le régiment. Je me souviens du jour où je l'ai fait. A ce moment, cela m'avait paru une banalité, quelque chose de futile, car la mort me paraissait loin. Mais aujourd'hui, il n'en est rien.
La mort ne m'a jamais parue plus proche et certaine. Et pourtant, je me sens si calme... Ou alors je ne réalise tout simplement pas encore ce que ça représente. A mon âge, on ne pense pas à mourir, même si nous prenons ce risque chaque fois que nous sortons. Gérer ma vie et celle de mes camarades m'a toujours paru simple, mais à présent, nous allons devoir guider des milliers de personnes et être responsables d'elles. Cela change tout. Il y a tant de facteurs à prendre en compte, tant de choses qui peuvent mal tourner...
Je fais confiance à nos supérieurs pour organiser les choses au mieux. Mais en mon for intérieur, je sais, je sens... que cette expédition ne peut pas bien finir.
Claus, regarde-moi et parle-moi, ça me donnera du courage pour relire les lignes que j'ai déjà écrites et que je ne vais sans doute pas modifier. Et toi, tu vas y changer quelque chose ? Que possèdes-tu que tu voudrais léguer ? Et ta famille, tu vas aller les voir ? Il me répond en se tournant légèrement - une mèche de ses cheveux me cache encore son visage - qu'il y pense depuis une bonne demi-heure mais qu'il ne sait pas encore. Tout comme moi, il ne doit pas posséder grand chose.
Tu sais, j'aurais voulu que les premiers jours durent encore. Les expéditions avec le caporal, la formation de détection du major, les titans qui tombent comme des mouches. Juste nous cinq. Revoir le Mur Maria avant de... je veux dire... Cette époque me manque, et pourtant elle n'est pas si loin. Quand le caporal nous faisait tout récurer et que tu te plaignais sans arrêt ! Cela fait un peu moins d'un an, mais... finalement j'ai l'impression de te connaître aussi bien que Erd et Gunther.
Il ricane de façon forcée et rétorque que je suis loin de tout savoir de lui. Ah bon ? C'est peut-être le moment alors. Dis-moi quelque chose que j'ignore, d'inattendu, qui me surprendrait totalement ! Vas-y, étonne-moi !
J'ai à peine fini de prononcer ces mots que je sens sa main se glisser derrière ma nuque pour m'attirer vers lui et quelque chose de chaud se plaque sur ma bouche, me coupant toute possibilité de protester. Mon premier réflexe est de le repousser en appuyant sur ses épaules, et il s'écarte enfin en n'opposant aucune résistance. Je jette des coups d'oeil dans les parages mais il n'y a personne... Je reprends mon souffle petit à petit, la main posée sur ma poitrine. Mon coeur bat si fort... Je n'en reviens pas, c'était mon premier baiser ! J'avais imaginé autre chose, et avec quelqu'un d'autre... J'ai encore la sensation du contact de ses lèvres sur les miennes, et pourtant je ne trouve rien à lui dire. Lui non plus ne semble pas pressé de s'expliquer. Je ne pense pas qu'il ait besoin de le faire... Il évite seulement mon regard, pour finalement murmurer un "désolé..." furtif et honteux.
Je ne veux pas l'accabler. Je n'ai qu'à peine l'impression d'avoir été agressée... Il est mon coéquipier et je sais qu'il ne me ferait pas de mal... La porte du notaire s'ouvre et un explorateur en sort, l'air abattu. Claus se lève et je me retrouve alors seule dans le couloir avec mes doutes et ma stupéfaction de ce qui s'est passé. Pendant un moment, cela éclipse même la perspective de la reconquête de mon esprit. Le goût que je sens sur mes lèvres, c'est celui de sa peur, de son incertitude, de son courage aussi... Je ne peux pas me résoudre à lui dire... Claus, tu as pu partager ces émotions avec moi mais cela n'ira pas plus loin... Je ne peux pas répondre à ça, pas avec toi. Mais si ça t'a permis de te sentir mieux, si ça a pu te donner un peu plus de force et d'assurance, alors...
... ne sois pas désolé...
11 notes · View notes
whileiamdying · 4 years
Text
LE VOLUBILIS ET JE SAIS L'HYPOTÉNUSE
À Simone
I
L'oreille en face du silence Comme une pierre de lune et de maraude J'espère passer le blé Dans un pont tout près s'en va la jarretière qui sent le musc des tracés Une lisse montée à la corde et le baiser naissant plaque les on qui reviennent Sur l'ami un doigt Pendant que s'apaisent les cils et les s'ils D'après l'homme Passez bontés humaines parcs de montres et de roses Souvent dans les noirs intérêts et les usages Puisque le sommeil est une flamme parfumée et descend des cuillers de cervelle Avec cette muraille de sureau qui chante les heures Les formes que nous tirons du puits
II
Sans une claire courageuse et pauvre étoile au nom miraculeux Le bois qui tremble s'entr'ouvre sur le ciel peint à l'intérieur des forêts de santé Par cette oraison de bluet caractéristique et ces yeux à biseaux Qui domptent les vagues travers zigzaguant par le monde Ô les charmantes passes les beaux masques d'innocence et de fureur J'ai pris l'enfer par la manche de ses multiples soleils détournés des enfants par les plumes Je me suis sauvé Tant que les métiers morts demandaient sur ma route Où va ce manœuvre bleu Mais sur les mers on ne s'élance pas si tard Demain caresse mon pas de son sable éclatant Et les carnassiers frivoles s'exaltent Voilez les montagnes de ce crêpe jaune étrange que vous avez si bien su découper suivant le patron des graminées des cîmes Je suis le perruquier des serrures sous-marines le souffle des amantes
III
Lorsque la bouteille est là ouverte à ses chants de coqs Le ciel pelure d'oignon Les charmes menteurs de la servante à la voix de salade blanche Te rappellent la boule d'agate élastique de cette nuit ancienne Elle reposait sur une feuille de laurier Toi la tête dans cette cage où tes baisers du matin sont des oiseaux qui se baignent Tu avais pris cette boule pour un des petits compas mystérieux qui prennent à la nuit tombante des mesures sur les étangs Dans le magasin de tailleur de ton père Et les journaux de ce pays étranglé Te font éprouver dans les testicules une douleur bien connue Qui remonte aux jours d'avant ton enfance Tandis que la foule se disperse Et que de petits chocs musicaux se produisent sans interruption dans le papier Au bord du comptoir il y a de la mousse orangée qui arrive Dans une survie ondoyante tu reconnaîtras les moqueurs
IV
Je ne crois pas que le progrès s'opère dans la direction du sens La confiance manque Mais la mémoire influe un peu sur le beau temps Page de brume au béret de cendre blanche illuminé de tous les sons du tambour d'été J'ai comme un pressentiment de l'aile Des fuites sans mon éclat personnel Qui est un peu déchiqueté L'averse boule de neige des jardins nordiques Puis la poésie aux phares rouges sur une mer toute brune Quand le Texas des piverts monte à l'échelle minuscule Adorée Adorée On offre à tout venant des calmants des voitures Cependant que des douze branches de l'étoile équatoriale L'une Se détache Et roule comme un paradis sans tête
V
Loin des femmes de course et des femmes de trait Après les arènes de plomb fondu comme la patrie et les bals noirs Le geste autochtone Cette partie sera la dernière et déjà les yeux de toutes les bêtes déménagent à la cloche de bois Des miels abondants sertissent les clochers Sous l'art passent de grands inquisiteurs dont le sourire est une poignée de feuilles sèches Et les grands écarts du soleil interrompent les trains jetés de la mer à la terre à la façon de ces aréopages antiques On a bien raison de couvrir de paille les musiques des oiseaux afin qu'elles ne se brisent pas en route Seul un ventilateur persan détaché de l'arbre tourbillonnera par-dessus les saisons du goût Voici que la rosace des ventres s'incline derrière l'horizon nous entrons dans l'araignée abstraite au corps de muqueuse transparente
VI
Pour l'estime des mondes les plus féminisés Dans l'aisselle des astres Là où le dogue des cieux garde les corps au bois dormant L'après-midi comme un seul homme entre dans les cases ou parachutes Les sonneries mentent à qui mieux mieux Au doigt les villes et les pluies enchantées Obéissent Il faut essayer la menace D'intérieurs mous s'écoulent de lentes théories de marchands aux paumes tournées en avant pour le besoin architectural Tandis que le premier mendiant en automobile suit de l'œil le bâton levé du premier voleur de la brigade des voitures Car le scandale a la part du lion dans le plus triste jardin zoologique de ma connaissance Les autres ne savent qu'éteindre les vieux sinus verbaux qui s'espacent de moins en moins régulièrement le long de la voie L'amour est un signal qui n'a pas fonctionné
VII
Les soigneurs disent aux soignées Là-bas sur les remparts de l'air l'interrogation est sentinelle Paix à nos principes solitaires Nous sommes les rossignols du Qui-vive Ici les trèfles sont des cœurs Et celles qui se sont battues Pour des écailles de tortue Manants des mille et mille seuils Au bras de songe d'outremer Quand ferez-vous palpiter devant nos seins autre chose que ces navires Déjà le jour danse très fort sur les jetées magistrales Où se décide le sort des faibles à la peau nattée jusqu'aux pieds Là nos cuisses s'ouvrent et se ferment belles de nuit Tout près des volumes humains que ceignent les algues de platine À vous mais dans les étendues postiches malgré les bonds prédestinés
VIII
C'est aussi le bagne avec ses brèches blondes comme un livre sur les genoux d'une jeune fille Tantôt il est fermé et crève de peine future sur les remous d'une mer à pic Un long silence a suivi ces meurtres L'argent se dessèche sur les rochers Puis sous une apparence de beauté ou de raison contre toute apparence aussi Et les deux mains dans une seule palme On voit le soir Tomber collier de perles des monts Sur l'esprit de ces peuplades tachetées règne un amour si plaintif Que les devins se prennent à ricaner bien haut sur les ponts de fer Les petites statues se donnent la main à travers la ville C'est la Nouvelle Quelque Chose travaillée au socle et à l'archet de l'arche L'air est taillé comme un diamant Pour les peignes de l'immense Vierge en proie à des vertiges d'essence alcoolique ou florale La douce cataracte gronde de parfums sur les travaux
Tumblr media
0 notes
silentembers · 7 years
Text
La formation du Hérisson
Tu sais quand les jours sont durs, que je lutte pour me lever le matin et mettre un pied devant l'autre, j'ai mal. Tu sais ces jours sombres, ceux qui culminent avant le jour d'après, celui où je reprends peu à peu pied, tu sais ces jours-là, je ne peux rien faire. Noircir des pages au maximum, et même ça c'est dur, parce que ça implique de m'ouvrir à moi-même, et il y a certaines parties que je ne veux pas voir. Je sais qu'elle sont-là, inutile de les contempler Ad Nauseam.
Et tu sais dans ces jours où je crois que tout est de ma faute, où je pense réellement être le plus insignifiant de cette fratrie, de cette patrie, dans ces jours-là je deviens un hérisson. Parce que c'est la seule technique de survie que je connaisse. Parce qu'en réalité le danger le plus grand ne vient pas de l'extérieur. Mais parce que je ne peux pas tout gérer.
Je me roule en position foetale, littéralement, je porte mes fringues préférées comme une armure dont j'espère qu'elle me protégera, un peu. Je ne bois pas de thé. Je ne bois pas de vin, ou de mug fumant. Mais de ma petite cafetière en forme de sablier, je tire des shoots plus noirs que le drapeau de Daech, plus fort que Muhammad Ali. Je les envoie au combat, là dans les tranchés de mon crâne, pour qu'ils butent les officiers qui sonnent la charge. Ils sont noirs comme les lunettes de leur fusil de snipers. Ils sont bons, mais ils ne suffisent pas. Malheureusement, je ne peux pas tout crâmer là-dedans, je ne peux pas tout bombarder. Il y a de belles choses, je crois, qui méritent d'être préservées.
Tu sais dans ces jours-là, il ne faut pas me parler. Je suis nul, d'accord, mais pas autant que toi. La moindre de tes erreurs me rend aggressif. Tout est considéré comme une attaque sur mon territoire. Et ici, on meurt pour quelques centimètres.
Tu sais dans ces jours-là, reste loin de moi. Je n'ai aucune mansuétude. Mais s'il te plaît, ne le retient pas contre-moi. Ca ne durera pas. Je te ferai signe. Je te ferai l'amour. Je te ferai la vie.
Mais pour l'instant, s'il te plaît reste loin de moi. J'ai une guerre à mener.
1 note · View note
mybulletjournalblog · 5 years
Text
Reliance et développement personnel
Quelques kilomètres et beaucoup de dénivelé, la nature grandiose et Ganesh qui profite à fond de l'herbe printanière. J'ai choisi ce moment pour te parler de reliance et développement personnel, de mon travail de coach au sein de La Maison Écologique et de t'en dire un peu plus sur le travail des chevaux.
Tumblr media
Reliance et développement personnel L'herbe sent bon et les vaches sont de retour au pré. Le temps d'une pose, je te parle de mon travail de coach : reliance et développement personnel. Je suis diplômée de psychologie et j'ai exercé en qualité de psychothérapeute dans mon ancienne vie de Parisienne. Je travaille donc toujours dans une relation d'aide, mais j'ai changé de cadre. Un cabinet de psy est habituellement austère pour de nombreuses raisons, il est surtout toujours fermé. Et comme je l'exprime dans la vidéo, j'ai choisi d'autres options thérapeutiques. La reliance, pour qui ? Burn-out ? Dépression (métro/boulot/dodo), tu as des difficultés pour perdre du poids, en bref, une pause s'impose. Tu manques d'air ton bureau, tu ne te sens pas bien sans être pour autant gravement malade. Je peux te dire que tu es en manque de verdure. Bien sûr, tu as une fabuleuse photo d'un jardin paradisiaque en fond d'écran mais il est virtuel. Peut-être même que tu es tombé dans l'addiction au smartphone, à la tablette, à la télévision et tu ne peux plus vivre sans ta connexion Wi-Fi. Je vais te dire quelque chose qui va probablement te faire sourire : tu es totalement déconnecté!!! Le virtuel est un monde imaginaire parfois utile mais particulièrement chronophage et destructeur. Un autre monde... J'aime ces jolies matinées ensoleillées quand je prépare mon sac à dos pour marcher en montagne. Aujourd'hui, les chevaux viennent avec nous. Je préfère ne pas monter Ganesh qui a encore son poil d'hiver pour les nuits au pré mais qui transpire beaucoup dans la journée. La hausse des températures a été rapide et inattendue pour le mois de février. La liberté Les chevaux vont profiter de la liberté. La véritable liberté, sans carrière, sans rond de longe, sans longe... Pourtant je lis des articles intitulés "travail en liberté" des chevaux mais une liberté relative. Un terme inapproprié selon moi. Peut-être que ces nouvelles définitions aident les humains à se sentir libres dans la dictature ..... mais c'est un autre sujet (quoi que ;)) Notre plus grand bonheur Je prends beaucoup de plaisir à admirer ainsi les chevaux libres et sauvages. J'espère qu'ils vont garder cet instinct et que je pourrai voir encore très longtemps cette lueur espiègle dans leurs yeux, dans leurs jeux. Je rigole des nombreuses pitreries de Ganesh. Il se roule à la première occasion dans l'herbe fraîche (ou dans la boue lol). Je ne vois que ses sabots en l'air parce que le reste de son corps est caché par le dénivelé. J'aime observer les expressions des chevaux et je sais qu'ils m'observent eux aussi. J'ai réussi à établir la communication entre nous. Ma reliance animale Bien sûr, pour la cavalière formatée (que j'ai été malheureusement), mes chevaux ne travaillent pas et pourtant ! Ils apprennent beaucoup de nos sorties en pleine nature. J'ai fait du rodéo sur Ganesh dans ce chemin qui descend les années passées. J'arrive à obtenir de ganesh qu'il marche doucement sur le chemin tant que je suis sur son dos à présent. Je t'assure que c'est plus confortable pour tout le monde. Je n'utilise toujours pas de mors puisque mon but est que ces chevaux t'accompagne dans ton chemin de nature, celui va te relier à ta véritable nature. C'est ma petite méthode de développement personnel : ralentir, respirer, vivre en pleine conscience dans l'instant présent. Comme tu peux le voir, la reliance profite autant aux chevaux qu'à toi et moi. Relié à la nature, je la respecte pour préserver ce doux cocon. Développement personnel Je n'en parlerai pas plus pour te laisser découvrir ces sensations par toi-même. Tu prendras un bain de nature qui restera en toi grâce au pouvoir de l'écriture puisque tu verras que tout est lié.. Coach, je t'aide à entamer les changements que tu souhaites apporter à ta vie. Comment participer aux journées de pleine nature ? Contacter Angélique ou David Adhérer à l'association et t'inscrire à la lettre d'information des ateliers (en bas du site) Demander un certificat médical d'aptitude à la pratique de la marche en montagne (nous sommes à plus de 600m d'altitude) T'inscrire pour ta journée (en général un mercredi ou un samedi) Nous te poserons quelques questions sur ta condition physique pour adapter le circuit de marche A prévoir pour la journée Des chaussures de marche (les tongs ne sont pas très indiquées, les chemins sont caillouteux) Un sac à dos pratique (ton vieux sac US, exit ok ?) 2l d'eau minimum, un pique-nique et quelques collations Un carnet A5 (tu n'es pas obligé de l'acheter à l'association mais ça nous fera plaisir si tu le fais :)) Tu dois prévoir une protection céphalique si tu veux monter sur le dos de Ganesh Participation libre : libre ne veut pas dire gratuit. Tes écrans ne viennent pas avec nous (David a un téléphone en cas d'absolue nécessité) Nous organisons des ateliers sur de nombreux sujets touchant le respect de l'environnement : Développement personnel : Ateliers d'écriture, carnets créatifs, reliance Couture : zéro déchet Autonomie alimentaire : Jardiner naturellement Cuisine légère et santé - trouver et maintenir ton poids de forme Toilettes sèches et compostage Nous sommes situés en Ardèche verte (07) : Annonay/Villevocance/Vocance/Vanosc. Tu pourras prochainement bénéficier de séjour avec hébergement, les travaux sont en cours. Les ateliers d'écriture sont disponibles sur ce blog. Read the full article
0 notes