Tumgik
#j'y peux rien
...
lorsqu'uls me reprochent ce qu'uls interprètent totalement à côté de ma plaque et qu'uls décident qu'uls ont gagné la conversation…
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perdrelacellule · 24 days
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J'ai commencé ma journée avec un café et une vidéo de d'Angelo Wallace ✨🎀
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moinsbienquekaworu · 19 days
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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flashbic · 7 months
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Page 4! Falconi a l'air de ronchonner, là, comme ça, mais il tolèrerait pas que quelqu'un d'autre soit autant dans son espace personnel.
Page 3 / Page 5
Traduction et cases individuelles sous le readmore!
Panel 1: "Think of it more as a matter of honor." /" But I easily could have done it."
Panel 2: "Well I'll consider myself lucky then!"
Panel 3 : "And nowadays you'd never do something like that to me, right?" / "Don't tempt me." / "Don't be so grim..."
Panel 4: "I gift you brand new fancy clothes..."/ "And all you do is try and think of ways to kill me."
Panel 5: "Franky, I'm hurt." / "You'll get over it."
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jade-curtiss · 10 months
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Trait toxique que j'apprécie chez moi (quand c'est donnant donnant c'est l'fun être une marde, ok): entretenir des dudes heteroflexibles qui veulent essayer de quoi de différent juste pour leur crier d'su la seconde qui m'compare avec les filles qui ont cotoyé qui sont ma foi, très très lame, comme me faire comparer a des bonnasses new age™ qui ont prit leur valeurs à la pige dans des articles click bait, comme voici mes cristaux (une brique de fondation, un beau bloc de béton creux) ça devrait matcher avec la face de ton énergie ainsi que celle d'ton ancienne guedoune.
#comme sérieux prochaine shot qu'un dude me dis que c'est sa première expérience je l'criss par la fnête#comme sérieusement sti que j'pu capable du monde#comme le dude qui a du aller en thérapie parce-que son ex trouvait ça l'avait pas d'allure le furry#sérieux si ça l'avait été ma plotte j'y aurait dit d'aller s'pendre si est po contente non mais kesséso#en plus c'était the tamest shit ever comme les esti d'plottes prudes devraient apprendre a farmer leur yeule comme les autres trous siboire#ça ferait des fucking vacances#pis aussi toute la vibe relationelle a déconstruire pis l'espèce de perception qui marche pas comme j'po capable ça m'écoeure juste y penser#comme désapprendre le fait que tu peux pas juste t'en tirer en payant des affaires ou en essayant d'acheter la personne comme fuck off#recevoir des patentes que j'ai pas demandé pour fucking red flag#l'incapacité d's'occuper de soi même parce-que sa bonasse ou sa mère a toujours tout fait pour lui po capable#si t'as plus que 10 ans pis ta cuisine a peaké au kraft dinner pas capable#comme pour vrai élever tout le monde avec un moule de roles pré établi est un fucking cancer pis l'monde devraient arrêter de faire ça#si y veulent arrêter d'être lame pis incompétent#ça va d'tout les bords#comme les meudames qui endurent ça pis pire encore élèvent d'la médiocrité pareil sont fucking pire esti d'épaisses qui comprennent rien#comme être une femme pis être conservatrice ça devrait être un aller simple a pinel merci bonsoir#comme pour une fois l'institutionalisation arrêterait des vraies menaces à place de faire à semblant
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 100
Nous rentrons à la maison. La voiture garée, j'entre dans la maison avec Jimmy alors que Samir rejoint Ammed à l'appart. Jimmy est tout impressionné par la grande maison. Je lui dis de pas s'en faire. Nous entrons et Marc nous interpelle du fond d'un des canapés du salon.
Je retire le blouson des épaules de Jimmy et le pousse en avant en lui disant qu'il devait aller voir Marc et être gentil comme avec moi.
J'entends Marc lui souhaiter un bonsoir puis plus un bruit. J'ôte à mon tour mon blouson et je vais les rejoindre. Je comprends mieux le silence. Jimmy est à genoux entre les jambes de Marc et lui pompe la bite. Marc me regarde étonné et ravi, il n'a pas eu à lui demander quoi que ce soit ! Je lui demande comment il trouve car ce n'est que sa deuxième pipe après tout. Marc me dit, qu'il a de l'avenir vu l'efficacité de son pompage et sa voracité. En effet, tout seul, il force volontairement pour prendre entièrement les 22cm de Marc. Je les regarde, Marc à l'air content que je l'ai ramené. Je déshabille Jimmy comme je peux alors qu'il reste la bouche collée au pubis de Marc. J'arrive à le décoller 10 secondes pour faire passer son polo par-dessus la tête. Je lui relève le cul pour pouvoir lui bouffer la rondelle et la préparer pour Marc. Comme sous la langue de Samir, Jimmy se tortille et me laisse lui lubrifier le trou. Je suce mes doigts pour les lui rentrer dedans. L'indexe suit le majeur. Je suis obligé de forcer un peu mais ça passe. Je sors d'un tiroir de la table basse la plus proche un tube de gel, et un flacon de poppers.
Marc s'est levé et se met à poil, la queue toujours enfouie au fond de la bouche de Jimmy. Une fois nu, il se rassoit. J'ai de nouveau accès au trou du ptit beur. J'en profite pour enfoncer le tube entre les fesses et je presse pour envoyer une dose de gel. Quand j'y mets les doigts, ils se trouvent baignant dedans dès le passage du sphincter. Je les agite, tourne pour bien étaler le lubrifiant. Je demande à Marc si il veut essayer son cul. A sa réponse positive, je relève Jimmy et l'installe un genou de chaque coté des cuisses de Marc. Ce dernier prend une de ses fesses dans chaque main, et les écarte. Délicatement, il pose la rondelle de Jimmy sur son gland. Accroché au cou de Marc, il se retient de descendre plus bas. Je lui fais sniffer du poppers dans chaque narine et il se lâche. Il glisse le long du torse de Marc alors que son anus s'ouvre et accepte le passage de la bite. Quand sa bouche se trouve en face de celle de Marc, il prend l'initiative de l'embrasser, sa langue entrant en jeu immédiatement. Je n'ai pas besoin de le doser une nouvelle fois pour qu'il pose ses fesses sur les cuisses de Marc les 22cm totalement absorbés.
Je le laisse faire, il a un instinct du sexe très développé. Après être resté quelques instants collé aux cuisses de Marc, il se soulève entièrement tout en gardant en lui le gland. Puis doucement il redescend. Après avoir fait cela 4, il se relève mais retombe de tout son poids. Marc apprécie la différence. De nouveau 4 fois (ce doit être son chiffre fétiche) puis il se pilonne le fond du boyau en sautillant sur les genoux de Marc. Il ne tarde pas à jouir des nouvelles sensations éprouvées et macule les abdos de Marc. Je vois ce dernier jouir à son tour au plus profond de Jimmy. Je leur laisse 2mn puis demande à Jimmy de se relever en serrant les fesses. Il le fait bien, rien ne ressort. Puis je lui dis qu'il faut nettoyer ses dégâts et lui ordonne de lécher son sperme. Il me regarde surpris mais s'exécute. Un peu hésitant au début, il ne tarde pas à tout récupérer à grands coups de langue. je lui demande si c'est bon, il me répond - miamm.
Marc propre, nous discutons 5mn. Il me dit que le ptit beur est prometteur. Quand il entend cela, Jimmy se redresse et paraît tout fier. Mais qu'il va falloir domestiquer les quelques poils qui envahissent ses aisselles et son sexe.
Je comprends ce qu'il veut dire, j'avais pensé pareil. Je descends Jimmy au sous sol. Quand nous entrons dans la salle de muscu, il ouvre de grands yeux émerveillés. Je le pousse jusqu'aux sanitaires. Il me demande si il est dans une salle de cours. Je lui dis que oui mais réservée à nos amis proches. Il est naturellement imberbe. Pas de barbe, pas de poils sur le torse mais un peu sur les avants bras, les cuisses et les mollets en plus des aisselles et du sexe. J'ai pu vérifier que son cul est glabre lui aussi.
Je lui passe donc une couche de crème épilatoire sur tous ses poils et le laisse debout 10mn. Quand il me dit que ça le chauffe pas mal, j'ouvre le robinet des douches et le jet entraîne la crème et les poils dans les égouts. Doucement je passe sur son corps un gant de toilette, décrochant les quelques poils plus résistant. Je vérifie minutieusement, plus un poil ! Je le sèche et lui passe une crème apaisante. Nous passons devant une des glaces en pieds de la salle de muscu. Il s'arrête devant et se regarde devant, derrière. Je lui demande comment il se trouve. Il ;me dit qu'il à l'impression d'être 4 ans plus jeune quand il était encore gamin. Je lui demande si ça va, il me dit que c'est très bon ce que je viens de lui faire découvrir. Je suis rassuré.
Je cherche dans l'armoire un jock à sa taille mais n'en trouve pas, du 34 de tour de taille c'est pas dans nos dimensions habituelles ! Demain j'achèterai par Internet toute la panoplie à ses dimensions. Il lui faut des Jocks straps, et des slips corrects. Vu son petit cul je vais probablement aller sur des Ginch Gonch aux motifs adolescents. Et en attendant j'irais dévaliser le magasin de sous vêtement le plus proche et j'irais voir chez intersport pour les jocks.
En attendant il flotte dans le plus petit Jock que j'ai pu trouver. La maison étant chauffée à 22 / 23° il ne risque pas d'attraper froid. Nous remontons passer l'inspection de Marc. Jimmy se plante devant lui et tourne lentement. Marc pose ses mains sur ses épaules et les passe sur tout le corps faisant tomber le jock à ses pieds. Il le félicite d'être tout lisse, notre ptit beur en rougit. Quand Ammed et Samir entrent dans la maison pour le service, il court se jeter dans les bras de Samir et nous entendons distinctement un - merci tonton. Quelques explications plus tard, nous apprenons que Jimmy est un très lointain cousin au 6ème degré par sa mère. Samir se tourne vers Marc et lui demande si son " cousin " lui a donné satisfaction. A sa réponse positive, il embrasse Jimmy sur le front et lui dit de bien nous obéir en tout
Pendant que tout le monde s'affaire, je prends Jimmy à part et lui dit ce que nous attendons de lui (du moins pour l'instant). Il va rester tout le WE avec nous et nous allons, Marc et moi nous occuper de lui. Je le sens curieux mais il n'ose pas me questionner. Après dîner, nous remettons ça. Par précaution, je lui fais un lavement. C'est une découverte pour lui. Nous nous en amusons tous les deux. Il fait de gros efforts pour garder l'eau tiède le plus longtemps possible avant de courir sur la cuvette des toilettes. A la 4ème fois, l'eau sort propre. Je le sèche puis lui plante un petit plug dans l'oignon. Bien graissé, il entre tout seul. Je le vois perplexe. Je le questionne, il me dit que ça fait tout drôle, mais pas mal. Comme il à l'air d'apprécier, j'en sors un plus gros (taille de la bite de Marc au plus fort). Je lui demande de se pencher, je lui écarte les fesses et retire l'engin qui fait un petit " plop " en passant l'anus.
Je ne laisse pas son anneau se fermer et pousse le nouveau à la place. Le passage du renflement est plus délicat. Je lui dis de pousser et d'un coup, il " avale " le plug , la base collant serré contre la " porte ". Je le redresse et lui redemande si ça va. Il tortille des fesses probablement pour lui trouver sa place et me dit que c'est OK. Il fait quelques pas devant moi et arrive à marcher normalement. Je me dis que pour les courses demain, il pourra m'accompagner ainsi équipé. Quand nous remontons, Jimmy court vers Marc et se tourne devant lui, se penche et écarte les fesses pour lui montrer. Marc pose sa main droite sur une fesse, la caresse et le félicite. Il s'approche du plug, saisit la base et tire doucement pour voir quelle taille il a dans le cul. Arrivé au renflement, il lâche tout et le plug reprend sa place claquant sa base sur l'oeillet.
Marc ordonne un " au lit ". Jimmy nous pipe, il s'améliore. Marc lui défonce la gorge. Je vois poindre des larmes (de plaisir) aux coins de ses yeux, mais il n'arrête pas. Sur le point de jouir, Marc le maintient sue sa bite et lui remplit la bouche de foutre. Je lui dit d'avaler mais d'en garder un peu en bouche. Quand Marc lui soulève le menton, sa bouche colle à la hampe et se ferme au dessus de son gland. Je me penche vers Jimmy et colle ma bouche à la sienne. Ma langue s'insinue entre ses lèvres, je bute sur la barrière de ses dents et force le passage. Quand il dessert la mâchoire, j'accède à sa langue couverte du nectar de mon mec. Je passe bien 5 mn à lui nettoyer la bouche de toute trace de sperme.
Sans que j'ai à le lui dire, quand nous nous décollons, il part aussitôt pomper ma queue. Pour lui faciliter le travail, je le fait pivoter en 69. Comme ça ma bite entre plus facilement dans sa gorge. Quand il est à fond, ses dents plaquées sur mon pubis, naturellement il dégluti plusieurs fois avant de remonter. Trop bon ! C'est vraiment un instinctif du sexe !! Pourtant il découvre, mais on croirait que des souvenirs lui reviennent à l'esprit. Je le mets sur un chemin (sexuel) et il cour dessus comme si il savait ce qu'il y avait au bout. C'est étonnant ! En attendant ce qu'il me fait attire mon jus vers l'extérieur. Sous mes yeux, le plug attire mon regard. Je le tire doucement et le fait coulisser plusieurs fois jusqu'au renflement avant de tout lâcher dans son cul. Chaque retour claque et l'enfonce un peu plus sur ma bite. Bientôt je ne tiens plus et explose dans sa bouche. Sa langue tourne autour de mon gland l'excitant un peu plus si c'était possible. Cette façon de faire me tire le maximum de jus de mes couilles. A sa 4ème pipe, il a déjà des procédés de pro !
Sa petite bite gicle deux fois sur mon torse une petite quantité de sperme clair. Après avoir partagé mon sperme de la même façon que nous avions partagé celui de Marc, je prends sa tête dans une main et pose son nez sur mon pec maculé. Il n'hésite pas et en trois coups de langue lape son jus et l'avale.
Avant de nous endormir tous les trois, Jimmy au milieu, je vérifie la lubrification du plug et rajoute une couche de graisse suffisante pour tenir le reste de la nuit.
JARDINIER
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meirimerens · 9 days
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tu vivais à Varsovie avant nn? jvais voir un ami en pologne cet été pas loin le warsawa et j'ai jamais parlé la langue. tu as des conseils?😭
oh bébou'e j'ai jamais vécu à Varsovie j'y ai juste passé une semaine avec des amis et je sais pô parler Polonais non plus 😭
j'ai pas de conseils qu'un blog pour voyageurs/touristes ne pourrait pas te donner, j'ai passé 9 de mes 10 jours en Pologne collé à mes potes comme ça:
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à part quand je suis rentrée seule à Cracovie en train et me suis démerdé pour prendre un train jusqu'à l'aéroport.
mon conseil: la plupart des gens à Varsovie comme à Cracovie (mais à Cracovie plus, j'ai remarqué) ont l'habitude des touristes. la plupart du personnel de bars, cafés, même la petite mamie qui m'a vendu mon ticket de train à Cracovie, etc comprend l'anglais, parfois le parle, t'es jamais complètement perdu'e.
ok véritable conseil: APPREND LA PRONONCIATION POLONAISE. ça a l'air effrayant comme ça mais en vrai c'est bien plus facile que même le français. tu peux même juste lire le wiki c'est easy as fuck. t'auras juste besoin de surmonter tes réflexes (example parlant: j'ai à 5 reprises prononcé "dworzec" en "dvojeK" (à cause de bec, sec, etc) alors que c'est "dvojeTS" mais ça rentre. je dis ça parce que si tu dois aller quelque part et demander à quelqu'un, au moins savoir prononcer le nom de l'endroit, si c'est la seule chose que la personne à qui tu parles comprend (rare, comme j'ai dit la plupart des gens parlent anglais au moins un petit peu)
autre conseil: apprend comment on dit bonjour (dzień dobry), pardon/excusez-moi (przepraszam), SVP (proszę), par carte SVP (kartą, proszę) (<- en vrai super important pendant mon voyage, je l'ai appris sur le coup en écoutant ce que disait mes potes à la caisse), merci (dziękuję), au revoir (do widzenia) en polonais. pour moi c'est le minimum, montrer que tu fais au moins un petit effort. (si ça a l'air effrayant tkt, lis le guide de prononciation et ça vient tout seul). bien que en tant que grande ville les gens aient l'habitude des touristes y'a des cons parmi eux comme toujours donc soit poli'e, respecteu'x'se, fait pas chier le monde, dis bonjour merci au revoir, et en vrai tout devrait bien se passer fr.
pro-tip prononciation si tu prends le train/le tram/le métro, lis le nom des arrêts et écoute la voix de l'annonceur comme ça tes yeux et ton cerveau connectent l'écriture à la prononciation.
sinon j'ai rien fr. flatté que tu aies cru que je vivais en Pologne parce qu'en vrai je me suis éclatée il me tarde d'y retourner mais je saurais pas te faire une phrase en Polonais. gare de train de [town name withheld] my beloved.
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e642 · 9 days
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Hier, j'ai fait une crise d'angoisse. C'était étroitement lié au fait que ce soit mon anniversaire. Si ce jour ne me remplit pas de joie, il me remplit de peine. Il y a un peu tout qui m'est revenu en pleine face. Je repense intensément chaque année à cette date, à mes 18 ans passés à l'hôpital psychiatrique. Ça a été un évènement compliqué pour moi, doublé d'une période extrêmement sombre. Des fois, ce mal-être me manque, enfin, son expression me manque. Triste, je le serai sûrement toute ma vie et j'en ai fait le deuil, en revanche, je n'ai plus le droit de le montrer ou l'exprimer. Du moins plus de manière aussi malsaine. J'ai l'impression que ça n'a jamais existé tellement ça a été grave et tellement ça a été banalisé par la suite. Je ne sais pas si faire comme si ça n'avait jamais existé est la bonne voie, pourtant, j'y peux rien. J'y peux rien parce que c'est si rassurant pour mes proches de me voir aller mieux ou moins mal qu'ils occultent tout ça. Alors hier je repensais beaucoup à l'effort que c'est de se relever et donner l'effet que je vais tellement bien que c'est pas possible que j'ai été aussi mal. C'est terrifiant par moment quand je prends le temps de voir quel danger j'ai pu être pour moi et savoir que j'aurai toujours ce pouvoir de me dévaster si un jour je craque. J'ai toujours eu peur des autres mais jamais autant que j'ai peur de moi. La seule chose que je traine suite à tout ça c'est la fatigue. Une terrible fatigue insidieuse et viscérale. Quoique je fasse ça me demande tellement d'énergie que j'en ressors vidée. Peu importe ce qu'il se passe dans ma vie, je suis à la ramasse, épuisée, j'attends. Habitée seule m'a offert une vision du temps qui m'angoisse. Tout ce temps passer à attendre que le temps passe. À attendre d'aller en cours, d'aller dormir, d'aller en partiel. Le formel m'anime. Chaque année un peu plus. C'est pour ça que j'ai toujours été facilement dépendante à la moindre chose qui pouvait changer cette inexorable attente. Au fond, ce que j'aime c'est pas ce qui me fait passer le temps plus vite, c'est que le temps passe plus vite. Et ça je l'ai compris après ma première rupture. J'aimais la sensation de rapidité, de réduction de la fatalité et de l'ennui, mais pas forcément l'objet qui me permettait d'y accéder. Les gens ne seraient que des moyens alors dans cette façon de voir les choses. C'est peut-être mieux comme ça.
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selidren · 1 month
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
5/10
Ils ont une relation assez particulière. J'ai parfois l'impression de voir un grand frère s'adresser à sa petite soeur, alors qu'ils ont strictement le même âge. C'est assez touchant quelque part. De son côté, elle tempère le caractère parfois un peu trop sévère de son frère et lui rappelle qu'il est toujours un enfant. C'est en les voyant que je regrette de n'avoir eu ni frère ni soeur. J'y pense d'ailleurs, en avez-vous vous-même ? Votre époux s'est parfois essayé à nous décrire les méandres de votre arbre généalogique, mais je ne crois pas qu'il ait déjà abordé le sujet.
Transcription :
Arsinoé « Mais bon, ne le lui dit pas, ça ne servirai à rien. Ah ! Je crois qu’on y est presque. Tu as pensé à prendre l’écharpe et le vieux chapeau de Grand-Père ? »
Marc-Antoine « Une minute… Le chapeau de Grand-Père ? Pour faire un bonhomme de neige ? Tu es sure que ce n’est pas trop… irrespectueux ? »
Arsinoé « J’ai demandé à Papa, et il pense que ce n’est pas grave. Il dit que de toute façon, plus personne n’oserait porter cette vieillerie. »
Marc-Antoine « Oui, mais de là à le laisser à la merci des éléments… »
Arsinoé « Bon, si ça te dérange tant que ça, je suis sure qu’on peut trouver autre chose. Oncle Adelphe est souvent d’accord pour nous prêter des choses. »
Marc-Antoine « Non ça ira, je ne vais pas jouer les rabat-joies. Mais tu ne te pose pas des questions sur notre grand-père de temps en temps ? »
Arsinoé « Non, pas tant que ça. Il faut dire que Grand-Mère ne cesse de nous rabattre les oreilles avec ses transactions, l’aménagement du jardin d’hiver, à quel point c’était un fils et un père exceptionnel… Parfois j’ai l’impression de l’avoir un peu connu. »
Marc-Antoine « Moi, pas du tout. Mais il avait l’air d’être quelqu’un d’exceptionnel. Grand-Mère dis que je devrai lui ressembler. »
Arsinoé « Mais tu lui ressembles déjà, c’est ce que dis Papa en tous cas. »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que dans sa bouche, ce soit un compliment. »
Arsinoé « Ah heu… bah… on s’en fiche de son avis non ? »
Marc-Antoine « Wahou ! Arsinoé Le Bris se permet d’être irrespectueuse ? On devrait le faire dire à la gazette régionale ! »
Arsinoé « Oh arrête un peu. J’en ai peut-être marre que les seuls compliments que me font les adultes sont que je suis gentille et bien élevée ! Oh, mais ne répète pas à Maman que j’ai dit ça, je pense qu’elle ne serait vraiment pas contente. »
Marc-Antoine « Je serai muet comme une tombe. Grand-Mère dit que notre grand-père était très doué pour garder les secrets de la famille et que c’est utile. Donc je pense que je peux bien garder les secrets de mon héritière. »
Arsinoé « Ton héritière ? »
Marc-Antoine « Oui enfin, c’est une façon de parler. Mais dès que tu diras du mal des adultes, je serai là pour me taire et te couvrir. Tu peux compter sur moi ! »
Marc-Antoine « D’ailleurs, ça te dirait de faire quelque chose d’interdit ? »
Arsinoé « C’est à dire que… le soleil va bientôt se coucher. »
Marc-Antoine « Justement. Grand-Mère avait promis de m’emmener me promener et elle ne l’a toujours pas fait, alors que dirai-tu d’aller à l’étang pour patiner un peu ? Kléber m’a dit qu’il laissait toujours ses paires de patins là-bas pour éviter que sa mère ne les lui confisque. »
Arsinoé « C’est vrai que Kléber est malin, mais… tu es sur de toi ? On ne risque pas de se faire disputer vraiment très fort ? Et puis tu sais, Grand-Mère oublie pas mal de choses en ce moment, elle a peut-être juste besoin que tu lui rappelle de t’emmener en promenade. »
Marc-Antoine « Mais je n’étais pas en train de me plaindre ! Pas du tout ! Bon, après oui, on risque de récolter une volée de bois vert mais ça vaut le coup non ? »
Arsinoé « Bon allez, d’accord ! »
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chifourmi · 9 months
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C'était bien sympathique de faire un cadeau à ma meilleure pote mais maintenant le retour aux révisions de mon cours de politiques économiques et sociales me donne envie de chialer. J'y arrive pas. C'est trop conséquent. Ça rentre pas. Je comprends rien. Le cours est mal fait, les infos vont dans tous les sens. Le prof parle d'un sujet, puis d'un autre, puis reparle du premier sujet. Il faut piocher les infos un peu partout pour pouvoir comprendre entièrement le sujet. En plus je ne peux pas me permettre de rater. Si je rate, pas de diplôme et 1 an de plus dans la gueule. C'est impensable. Je dois y arriver.
(19/08/2023)
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rayondelun3 · 9 months
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C'est mon meilleur ami qui m'a fait ça. C'est lui qui m'a fait ça et qui a fait en sorte que les autres m'utilisent aussi.
Je me mutilais déjà, j'avais déjà un pied dans la mort, il le savait. C'est mon meilleur ami un jour de pluie qui m'a fait ça.
Depuis je n'oublie pas. J'y penses. J'y penses tout le temps.
C'était mon meilleur ami. Et puis il y a eu tous les autres. Tant d'autres. Tous des merdes.
Et avant lui qui était ce ? C'étaient des professeurs, professionnels en humiliation et harcèlement.
Je me souviens de ce qu'il y a eu encore avant ça. Je me rappelle l'origine du mal. Au fond de mon cœur que je voulais arracher chaque jour tant j'avais mal. Mal au ventre, mal à la tête, plaques d'eczéma sur les bras, piqûre de la sueur et du sang.
Je me rappelle des bleus des coupures des ongles rongés du sang et des larmes qui coulaient. Le visage n'est pas flou. Je me rappelle le sol froid. Je me rappelle que c'étaient ceux qui voulaient que je les appelle « papa » et « maman ».
J'oublie la plupart des moments de bonheur. Je suis couverte de cicatrices, celles qui se voient et celles qui ne se voient pas.
J'ai tenté d'arracher mon cœur et de vivre sans mais je ne suis pas comme ça. Oui je me suis battue, oui j'ai la haine, oui j'ai encore des larmes, oui ça fait toujours mal et parfois j'ai peur.
Dites-leur qu'ils m'ont presque tuée. Dites-leur que j'ai essayé environ 7 fois et que des autres je ne m'en souviens pas. Dites-leur que ce sont des merdes et qu'ils ont tout intérêt à se faire soigner. Dites-leur que j'ai voulu me venger, dites-leur que je veux leur mort. Dites-leur qu'ils pourrissent en moi, dites-leur qu'ils font partie de moi. Dites-leur que je me suis mise à dire les mêmes choses qu'il me disaient, à me faire ce qu'ils me faisaient, toute seule. Dites-leur que parfois ça revient et que c'est comme un ras de marrée. Dites-leur que j'ai laissé mon corps se faire emporter par la mer un nombre incalculable de fois en plein hiver en pleine tempête. Dites-leur que j'ai perdu des années de ma vie, que je n'ai quasiment pas connu l'innocence. Dites-leur qu'ils ont bousillé une partie de ma vie et de mon enfance et de mon adolescence et de ma vie de jeune femme.
Mais dites-leur que je peux me tenir sur le toit d'un gratte-ciel sans me jeter dans le vide. Dites-leur que je me bats toujours et que je fais le bien autour de moi malgré le mal qu'on me fait encore. Dites-leur que je me suis faite ma propre famille et que je peux aussi la défaire. Dites-leur que je vis ma vie à ma guise. Dites-leur que je danse en boîte de nuit, que j'aime le vin et qu'à n'importe quelle heure j'aide les gens. Dites-leur que j'aime la pluie et que je n'ai plus peur de souffrir.
Dites-leur qu'ils aillent se faire foutre. Que mes amies tueraient pour moi et qu'on est des tarées. Dites-leur que c'est moi la plus dingue parmi mes sœurs. Dites-leur que c'est moi qui ai sauvé une vingtaine de vies du suicide en 5 ans. Dites-leur que je sors des mecs du métro et que je les tabasse. Dites-leur que s'ils s'approchent je n'ai pas renoncé à la violence, dites-leur que je ne renoncerai jamais. Dites-leur que je dois prendre des tonnes de cachets comme une droguée et que si je pouvais je les traumatiserai à mon tour, dites-leur qu'eux ne survivraient pas comme mes sœurs et moi avons pu survivre.
Ou ne leur dites rien. C'est mieux comme ça.
Si vous aussi vous les connaissez, et vous en connaissez forcément, fuyez avant qu'ils ne vous attrapent. Sinon, appelez à l'aide. Appelez moi. Racontez moi.
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lisaalmeida · 11 months
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Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Johnny Hallyday
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flashbic · 7 months
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the boys are fightiiiinngggg
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uneessencesensible · 5 months
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Toi, rien que toi.
Malgré mes pensées envahissantes, malgré mon toc récemment décelé, je t'aime comme jamais. D'une force apaisante. Je me vois loin avec toi, même si on me dit de ne pas me projeter a tes côtés. Nous sommes ensemble depuis cinq ans, et j'ai la sensation que c'était hier. Pourtant, nous en avons vécu des choses. Mais nous tenons bon. Je culpabilise vite, mais ça le fera. Je me battrai, car j'y crois. Car je sais ce que je ressens et pourquoi mes pensées sont envahissantes. Je dois accepter d'avoir un toc obsessionnel. Je dois accepter que mon cerveau vrille. Je dois l'accepter pour aller mieux. Déjà, j'en ressens les bienfaits aujourd'hui. J'ai envie de te prendre dans ma bras, maintenant, mais je ne peux le faire devant tout le monde. Je sais que mes angoisses viennent du fait d'avoir peur de te perdre, d'être heureuse avec toi. D'être heureuse tout court. Je sais que ce sont mes attentes qui deviennent pressantes, alors que je sais pertinemment, qu'avec le temps, tout s'améliorera. Je dois être patiente. Je le suis, mais pas tout le temps. Ça va le faire. Je le sais. J'ai compris que ce ne sont que des peurs, et que rien de tout ça n'est réel. Ce n'est pas la première fois que je vis ça. J'ai toujours réussi à tenir tête et à m'en sortir.
Je t'aime, joyeux Noël N'amour.
25.12.23
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tealviscaria · 1 month
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Non mais déso, mais j'arrête pas d'y penser, à ce plan merdique d'Attal. Je vais pas lister toutes les raisons pour lesquelles ces mesures sont absolument stupides parce que ça ne sert à rien. Même si j'envisage pas d'être prof en France, c'est vraiment ce genre de choses qui me démotive et motive en même temps de continuer mes études. Ça me motive parce que je me dis que je pourrais rendre la scolarisation des élèves moins infernale. Cependant, j'y peux rien si le gouvernement décide d'approuver ces projets à la con. Comment améliorer l'éducation si on nous en empêche??
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profenscene · 9 months
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Vendredi 8 septembre
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Je suis nul pour retenir les prénoms.
Genre très très nul.
Au collège d'Alrest, l'année dernière, il m'a fallu deux bons mois pour y parvenir, et mes classes étaient littéralement deux fois moins chargées que cette année à Keves et Agnus.
Alors en attendant, je fais ce truc que je déteste : pointer avec une sorte d'onomatopée nulle "Huuuuummmmouiiiiiii... Vous ?" qui me donne, dans ma tête, l'air de Nestor, dans Tintin, mâtinée à Fabrice Luchini dans ses pires moments. C'est compliqué, les débuts d'années. Depuis quelques rentrées, je suis devenu un poil meilleur à planter le cadre de travail, au mois de septembre. Le truc, pour moi, c'est de savoir gérer la pression. La mettre où c'est utile, la lâcher où ça ne sert à rien.
"Ah, ben ça tombe bien !"
Cet élève qui n'a pas encore de nom pique un fard incandescent, tandis que la sonnerie de son téléphone finit de claironner une mélodie libre de droits.
"Si jamais ça se reproduit, vous faites comme votre camarade : vous vous tapez la honte trois secondes, vous coupez le téléphone, et vous vous y remettez. Donc, je disais le théâtre a une fonction poétique. Tout le monde suit ?"
Et pour le coup, ce court ultra théorique sur les genres littéraires, ne pas le lâcher. Le coup du téléphone, ça n'est pas acheter la paix sociale : c'est leur montrer qu'il s'agit d'un non-sujet. Des trucs pareils n'ont pas leur place dans la classe, on dénie leur existence et on se concentre sur l'essentiel. Ne pas se disperser. Ça ne marche peut-être qu'avec moi, c'est peut-être pour des collègues - et légitimement - du laxisme, mais ça correspond à ce que je veux faire : ne faire entrer que certaines choses dans le cours. La chasse aux téléphones qui sonnent n'en fera pas partie. Ceux qui sont sortis en loucedé pour envoyer un snap, si par contre. Faut choisir ses combats.
J'y repense à la pause, quand T., dont c'est la première année dans le métier, me raconte qu'un de ses élèves, au collège, a décidé de le tester. Dans sa description, je retrouve tout ce qui m'exaspérait, lors de mes premières années de boulot. Comme si les mômes avaient un radar à nouveaux enseignants, envers qui ils montrent leurs aspects les plus nuls. Les plus poisseux. Poser des questions qui font perdre du temps, faire mine d'avoir des soucis de matériel ("je peux aller vider mon taille-crayooooooon ?" en pleine explication de consignes), ou faire monter la mauvaise foi au niveau de l'Anapurna. Et il faudra trouver les astuces, les trucs, pour faire émerger ce qu'ils ont de chouette.
Sur le chemin du retour, je mesure ma chance, après avoir pris la mesure de ce que cette année aura de difficile : un emploi du temps mal foutu, des aller-retours, énormément de cours à construire à partir de rien.
Mais des élèves face à qui je n'aurai presque pas à me battre. Quelques habitudes qui font que je sais désormais où je vais. Et cet instinct, forgé dans la douleur, à ne plus me laisser encombrer du superflu.
Ouais. Finalement, y a moyen que ce soit bien.
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