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#le diable et les dix commandements
sigurism · 8 months
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Alain Delon Le Diable et les Dix Commandements Dir: Julien Duvivier
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mbdmnts · 11 months
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Alain Delon Le Diable et les Dix Commandements Dir: Julien Duvivier
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christophe76460 · 9 days
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Dimanche 21 Avril 2024 ❤ 🙏 Version Audio: https://jmp.sh/y0WVZK0s
Texte de l’encadré:
« En accord avec la vérité. » Réf: (Ps 26:3)
Nous lirons en Exode le chapitre 20 au verset 16 un des commandements qui dit: « Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain. » La bible nous révèle qu’il est impossible à Dieu de mentir ou se parjurer, Dieu n’est pas un homme pour mentir, tout ce qu’il déclare il l’accomplit, voyez (Heb 6:18,Tite 1:2,Nb 23:19). Donc nous nous reposons aussi avec confiance sur ses promesses. Le mensonge est une perversion du cœur qui proviens du père du mensonge, de le pratiquer lui donne accès nous explique bien (Eph 4:25-27), c’est pourquoi nous y renonçons tant bien. Sachons sanctifier nos vies par la vérité qui est en Jésus Christ afin de prier et d’adorer le Père en Esprit et en vérité, lui qui est pour nous ‘’ le chemin, la vérité, et la vie’’, non pas le diable qui ‘’ aveugle l'intelligence des incrédules pour qu’ils ne voient point briller la splendeur de l'Évangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu’’(2 Cor 4:4). Voyez aussi (Jn 4:23,14:6,17:17). C’est dans la sanctification que nous trouvons faveur et soutient dans l’Esprit du Dieu vivant. Dieu instaura au sein des autorités même qui gouvernent les hommes des lois de justice sur le parjure et la nécessité de dire la vérité, elles doivent elles-mêmes (les autorités) les observer, c’est pourquoi nous devons prier pour les autorités instaurées par Dieu mais aussi du coup pour nos ennemis. Comprenons bien cependant que nous continuerons à condamner le mal incluant le mensonge quel qu’il soit et ce, sans compromis. Voir (1 Tim 2:1-6, Rom 13:1-14). La parole de Dieu est Claire: « Examinez ce qui est agréable au Seigneur; et ne prenez point part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les! » Eph 5:11. Le discernement deviens donc essentiel pour les enfants de Dieu pour ce qui est de nous préserver du mal et de la tromperie qui sévissent aussi: « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres[…] » Es 5:20. Nous nous devons de prier pour les autorités et nos instances de justices, comme pour nos ennemis Dieu nous demande bien aussi dans l’alliance nouvelle, si elles en viennent à se corrompre, ce sera encore en considérants les dix commandements qui régissent le droit et les autorités de ce monde qui prévaudra alors, ainsi en est-il aussi des chartes et droits qui y sont liées. Nous devons les discerner afin que tout puisse revenir à Dieu par la prière et en pardonnant toute offense à notre endroit. Voir (Mat 5:43-47, Luc 23:34). Jésus nous rappellera toujours en ces termes: « Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix » Jean 18:37. Rappelons-nous aussi ce que Dieu hait plus que tout, voyez-le en (Pr 6:16-20) Frères et Sœurs oui: « Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté » Amen! Jacques 2:12.
Psaumes 26:3
« Car ta grâce est devant mes yeux, Et je marche dans ta vérité. »
C’est en conformité avec les paroles de Jésus Christ que nous aspirons à susciter en chacun de vous le besoin de consulter et s’imprégner des références bibliques citées au travers de ce précédant texte. De nuancer toute chose en vue de se fortifier dans l’esprit par la sanctification, voilà ce que l’apôtre soulignera aussi de ce que Jésus fit en vu de voir assimiler et comprendre les écritures, il le confirme en ces termes en Luc 24:45: « Alors il leur ouvrit l'esprit, afin qu'ils comprissent les Ecritures. » Amen!
Pour Jésus Christ Seul médiateur avec Dieu par le sang de son alliance
Texte et illustration Denis LaPierre
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Suivre le lien suivant sur:
« Quels sont les Dix Commandements ? » Pourquoi?
https://www.gotquestions.org/Francais/Dix-Commandements.html
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rencontresinfidelesch · 5 months
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Le Diable et les Dix Commandements - MYTF1
Le Diable et les Dix Commandements  MYTF1 http://dlvr.it/Sz9vjy
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yes-bernie-stuff · 5 months
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La femme, le dragon et l’enfant
Apocalypse 12 La femme, le dragon et l’enfant
1 Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. 2 Elle était enceinte, et elle criait, étant en travail et dans les douleurs de l’enfantement. 3 Un autre signe parut encore dans le ciel ; et voici, c’était un grand dragon rouge feu, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. 4 Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu’elle aurait enfanté. 5 Elle enfanta un fils, qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son trône. 6 Et la femme s’enfuit dans le désert, où elle avait un lieu préparé par Dieu, afin d’y être nourrie pendant mille deux cent soixante jours. 7 Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, 8 mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. 9 Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. 10 Et j’entendis dans le ciel une voix forte qui disait : Maintenant le salut est arrivé, ainsi que la puissance, le règne de notre Dieu, et l’autorité de son Christ ; car il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. 11 Ils l’ont vaincu à cause du sang de l’Agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n’ont pas aimé leur vie jusqu’à craindre la mort. 12 C’est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! car le diable est descendu vers vous, animé d’une grande colère, sachant qu’il a peu de temps. 13 Quand le dragon vit qu’il avait été précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfanté le fils. 14 Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu’elle s’envole au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d’un temps, loin de la face du serpent. 15 Et, de sa gueule, le serpent lança de l’eau comme un fleuve derrière la femme, afin de l’entraîner par le fleuve. 16 Mais la terre secourut la femme, elle ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa gueule. 17 Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s’en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus. 18 Et il se tint sur le sable de la mer.
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risiblesamours · 1 year
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YOU ARE MY FAVORITE ENTERTAINER
– FT YUNA                                                                ✩ ○.⋆☽ ⋆.○ ✩
Elle a raison Yuna, le diable se cache dans les détails et elle en est l’exemple parfait. Ça passe par le carmin qui peint ses lèvres qu’elle porte comme signature ; cette tenue si sobre en couleur qui pourtant en dévoile un peu trop sur la beauté des courbes qui la compose de la tête aux pieds. Le diable se cache en elle quand elle arrête de faire la tête, prend ce ton joueur pour te parler comme elle le faisait déjà avant que tout ne parte à la dérive par ta faute l’hiver dernier. Quand elle parle la vile sirène, expose son avis sur les sujets abordés elle ne fait qu’attiser ton envie de ne pas reprendre ton sérieux.
Elle te donne envie de jouer avec le feu.
De tenter de toucher la flamme en sachant pertinemment que tu te bruleras le bout des doigts. Ça sonne comme un défi quand elle te parle de faire tes preuves en tant que bon professeur pour obtenir sa récompense.
- Dix points ... ? Désolé Seon mais va falloir payer un peu plus cher que des gâteaux fait mains ... J’suis sûr on peut s’arranger sur la récompense.
Que tu réponds taquin, les yeux rivés sur ton téléphone. T’as de jolies images qui te viennent en tête, ses pulpeuses teintées de rouge qui doucement s’égareraient contre ton corps. Tu beug un instant sur la page principale de l’application, reprends vite tes esprits quand le bruit des lunettes que tu viens de poser sur la table glisse contre le bois. Elle est en train de les manipuler Yuna, les regarde avec beaucoup d’intérêt avant de te demander pourquoi tu les mets à chaque fois, ça te parait pourtant évident que c’est juste pour amuser la galerie, l’amuser elle surtout à te voir forcer les traits d’un professeur sérieux que tu ne seras jamais. Mais tu t’amuses à jouer les insurger, t’étonne faussement de ne pas réussir à être au moins un peu plus charmant sans imaginer un instant qu’elle se faufilerait dans cette brèche-là Yuna. Tu t’étonnes de la voir papillonner des yeux, mimer avec beaucoup de talent la réflexion quant au sujet en te demandant de les remettre juste quelques secondes pour qu’elle puisse en juger.
- Fait toi plaisir, je suis tout à toi pendant ces deux heures...
Et la voilà soudainement trop proche la diablesse, Tu sens la brulure de ses doigts contre tes tempes.
Tu restes ainsi statique un instant, te reprend quand enfin elle se recule et semble attendre de toi que tu prennes la pose pour qu’elle puisse se décider. Tu ne mets pas vraiment du tien Hyujin, te contente de la toiser un sourcil légèrement haussé, l’ombre d’un sourire en coin sur le faciès par cet excès d’audace de sa part. En réalité c’est toi qui l’observes là, toi qui la détailles de la tête jusqu’aux cuisses. T’es même pas un peu étonné de sa réponse – tu t’attendais même à pire en réalité.
- Prendre la confiance pour un pas mal ... ? On m’a habitué à mieux Yuna.
Tu m’as habitué à mieux. Car pour un temps qui fut bref mais intense, elle te regardait avec une attention plaisante l’héritière. Malgré vos taquineries et le peu d’occasion que vous aviez à passer du temps ensemble tu te souviens de l’intensité de ses regards, des sourires qu’elle t’adressait et de la teinte rosée de ses joues lorsque ta main se posait sur son genou après avoir passé une demi-heure à simplement discuter cacher dans le parking de son immeuble dans l’intimité de ta voiture. Moment qui n’aura plus jamais lieu d’exister, pas après cette dernière année passée, pas après lui avoir arraché sa moitié. Tu le sais et t’en a fait ton deuil de ce début de quelque chose que tu ne saurais nommer. Ainsi, les idées remise en place tu prends quelques minutes pour passer la commande de nourriture, ajoute ce qu’elle souhaite et repose ton téléphone sagement sur le bureau, toise sagement Yuna qui semble dans la lune, joue encore avec cette paire de lunette que t’as reposé sur la table il y a quelques instants. C’est à ton tour de lui demander de les mettre, de voir à quoi elle ressemblerait avec celle-ci mais Yuna ne les met pas tout de suite, bien évidemment il faut qu’elle te rappelle que fut un temps, tu te moquais d’elle et ses énormes lunettes. Elle t’arrache forcément un éclat de rire Yuna avec sa rancune bidon, cette capacité incroyable qu’elle a à toujours te rappeler tes torts.
- Ouais, de cette paire-là à l’époque spécifiquement mais j’ai jamais prétendu qu’aucune paire ne t’allais...
Que tu finis par lui répondre pour te justifier de ce manque de tact dont tu faisais preuve bien plus jeune. Mais t’étais surtout un bel ignorant Hyu, n’avait pas encore saisie le potentiel des femmes portant des lunettes car là tout de suite t’es certain que tout lui irait bien à Yuna.
- Essaie ? Tu me connais, je serais cent pour cent honnête ...
Épaules que tu hausses, pas certain de l’avoir convaincu ainsi mais pourtant elle finit bel et bien par les enfiler ces lunettes à la monture fine et doré. Quand elle relève la tête vers toi tu ne vois rien de dérangeant. Au contraire, elle est même très jolie Yuna avec des lunettes moins imposantes.
- Tu vois quand tu m’écoutes un peu ? Elles te vont très bien.
Pris d’un excès de confiance tu te penches vers elle, glisse tes lippes entre ses cheveux, jusqu’à son oreille et lui chuchote :
- J’irais même jusqu’à dire que t’es sexy Seon, heureusement que tu ne les portes pas à chaque cours...
Et doucement tu te recules, le sourire indolent sur le bout des lèvres avant de te lever de ta chaise comme si de rien était, récupérer dans ton sac ton paquet de clope et un briquet et lui dire de but en blanc :
- J’vais fumer et attendre le livreur dehors tu veux faire une pause ou tu continues ?
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Alain Delon & Danielle Darrieux LE DIABLE ET LES DIX COMMANDEMENTS (1962) | dir. Julien Duvivier
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bougredane · 3 years
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Rumble in the opposite of a Jungle
The Junot-Lanusse duel. From « Le Général Junot en Égypte » by Dubief. My translation after the French.
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Au sein de l'armée se trouvait un noyau de frondeurs qui grondaient contre Bonaparte. Kléber, Murat et Lanusse étaient les plus enragés. Junot, lui, au contraire, demeurait fidèle à son chef et lui gardait une entière confiance. Il souffrait beaucoup de ces dissensions, mais restait neutre.
Pourtant, il était un général qu'il ne supportait pas, et qui le lui rendait bien : c'était Lanusse. Celui-ci montrait un caractère très dur, parfois jusqu'à la férocité ce qui ne pouvait qu'irriter Junot.
Tout le quartier-général subissait les éclats de cette vive haine. Alors, Murat, dans une bonne intention, comme cela lui arrivait parfois, invita les deux antagonistes à un dîner de réconciliation avec d'autres officiers, dont Bessières et Lannes. Le repas se déroula dans une atmosphère plutôt détendue. Puis ils entamèrent une partie de bouillotte. Malheureusement, la conversation, qui jusqu'à présent était restée dans une vague neutralité, aborda le délicat sujet de la situation de l'armée sur les terres d'Égypte. Bessières, prudent, prêchait la patience.
Mais, l'impétueux Lanusse, ne laissa pas passer l'occasion de critiquer vivement et en termes crus la politique menée par Bonaparte. Junot, muet, sentait la colère battre à ses tempes. Lanusse, l'observant, lui demanda alors brusquement : 
- Junot, prête-moi dix louis : je suis décavé ! - Je n'ai pas d'argent devant moi. Et il jouait du bout des doigts avec une pile de pièces d'or. - Comment dois-je prendre ta réponse ! - Comme il te plaira. - Je t'ai demandé si tu voulais me prêter dix louis de l'argent que tu as devant toi. - Et moi, je te réponds que j'ai bien de l'argent devant moi mais qu'il n'y en a pas pour un traître comme toi. - Il n'y a qu'un … qui puisse se servir d'un pareil mot.
Les chaises renversées, tout le monde se leva. Brouhaha, bousculades, on s'interposa, le silence revint et Junot reprit :
- Ecoute, Lanusse, je t'ai dit que tu étais un traître je n'en crois rien. Tu m'as dit que j'étais un …, tu n'en crois rien non plus, car nous sommes tous deux de braves gens. Mais, vois-tu, il faut que nous nous battions. Il faut que l'un de nous y reste. Je te hais parce que tu hais l'homme que j'aime et que j'admire à l'égal de Dieu même, si ce n'est plus. Battons-nous et tout de suite. Je jure de ne me coucher ce soir qu'après avoir vidé cette affaire.
Le duel, bien qu'il fut en honneur à l'armée, avait été strictement interdit par Bonaparte. Il fallait donc se cacher. Rien de plus facile: le jardin de Murat s'étendait jusqu'au bord du Nil. Neuf heures du soir. On alluma des torches.
- Quelle arme prendrons-nous ? demanda Junot. - Belle question, le pistolet !  » répondit Lanusse.
Tous les officiers pâlirent, l'adresse de Junot au pistolet était pourtant célèbre: il transperçait, à vingt-cinq pas, un as en plein milieu.
- Je ne me battrai pas au pistolet avec toi, répondit-il, tu ne sais pas tirer. Tu ne mettrais pas dans une porte cochère. La partie doit être égale entre nous. Nous avons nos sabres. Marchons.
Ils descendirent vers le fleuve, à la lueur tremblante des torches. Bessières s'approcha de Junot et lui murmura à l'oreille : Tu as fait une sottise ! Lanusse est très fort à l'espadon !.
Et Murat, oubliant l'objet de ce repas, de dire : Songe donc que lorsqu'on se bat c'est au fait pour tuer son homme ! 
Quant à Lanusse, il ne cessait d'outrager le nom du général en chef, si bien que Junot lui cria : On dirait que tu veux te monter la tête !.
 - [LANNES à LANUSSE] Tais– toi. C'est fini, que diable ! Vous allez vous couper la gorge, qu'est-ce que tu veux de plus ? Tout ce que tu lui diras à présent, c'est du luxe ! « .
L'inondation du Nil avait rendu le terrain inégal : mauvaises conditions pour un duel.
- Si c'était de jour encore ! s'écria Murat, mais vous ne pouvez vous battre là ! - Allons donc ! répliqua Junot. C'est un enfantillage !
Ils jetèrent leurs habits, tirèrent leurs sabres.
A quelques pas, attentifs, les témoins discutaient des chances des adversaires. Junot attaqua et d'un coup trancha le haut du chapeau de Lanusse, le bouton d'uniforme qui attachait la ganse. Sans ce providentiel chapeau, Lanusse qui a senti sur sa joue le froid de la lame, serait mort, prompt à la riposte et profitant de l'instant où Junot s'était découvert, il lui porta un coup de revers qui lui fendit le ventre. Junot tomba. Ses camarades se saisirent de lui et le transportèrent dans la salle à manger, parmi les bouteilles, les cartes à jouer, les pièces d'or. 
Quand Bonaparte apprit la nouvelle, il entra dans une vive colère : 
- Quoi ? ils vont s'égorger entre eux ! disait-il à Desgenettes. N'ont-ils pas assez des Arabes, de la peste et des Mamelucks ! Ce Junot, il mériterait les arrêts pendant un mois !
Et, tandis que Junot se morfondait au lit, attendant que sa plaie se cicatrisât (longue de huit pouces !) Bonaparte refusait d'aller le visiter, tout en avouant :
- Mon pauvre Junot, blessé pour moi ! Aussi l'imbécile, pourquoi ne s'est-il pas battu au pistolet ?
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At the heart of the Army was a pit of rebels who railed constantly against Bonaparte. Kléber, Murat, and Lanusse were the most fervent. On the contrary, Junot, for his part, remained loyal to his commander, and maintained the most perfect faith in him. He tolerated the grumbles, but remained neutral. 
That being said, there was one general up with whom he could no longer put  ???  he really couldn’t stand, and who returned the sentiment : Lanusse. Lanusse had a firm character, to the point of cruel ferocity, which could do nothing but irritate Junot.
The general staff indulged his outbursts of insistent hatred. And so Murat - in one of his well-intentioned gestures - invited the two antagonists to a conciliatory dinner with some of the other officers, among them Bessières and Lannes. The meal passed more or less calmly, but then moved on to a game of cards, at which point the conversation - nice enough up to now - broached the delicate subject of the army’s presence in Egypt. Bessières, prudently, suggested a certain patience. But Lanusse, impetuous as he was, wouldn’t leave the opportunity to critique Bonaparte’s politics, and in no uncertain terms. Junot, mute before him, could feel rage throbbing at his temples. Lanusse, seeing him, demanded brusquely :
- Junot, lend me 10 Louis : I’m fresh out ! - I haven’t got any money, he replied, running the tips of his fingers over a pile of gold coins.  - And how should I take your response ?  - However you like. - I asked if you might lend me 10 Louis from that pile you’ve got there. - And I’ll tell you that I have got some money before me, but not for a traitor like you. - Nobody but a *#$%@ would use a word like that. 
Chairs were overturned, everybody was on their feet. Mayhem, a sort fo free-for-all, and then someone came between them. Calm returned and then Junot was back at it. 
- Listen, Lanusse, I told you you were a traitor, and I don’t believe it. And you called me a *#$%@ … and you don’t really mean that either ; we’re both brave fellows. But, don’t you see, we have to fight. Only one of us can remain standing. I hate you because you hate the man I love and admire as much as God himself, if not more. Let’s get to it, then. I swear not to go to bed tonight until I’ve dealt with this affair, one way or another. 
The duel - as a practice - had been forbidden by Bonaparte (even in the good name of the Army). They would have to go about it in secret. Nothing could be easier - Murat’s garden backed up to the Nile. Nine in the evening. They lit the lanterns. 
- The weapon ? asked Junot.  - Good question. Pistols ! answered Lanusse. 
The assembled officers paled - Junot was famously good with a pistol, a crack-shot ; he could hit an ace in the middle of the card at 25 paces. 
- I won’t fight with pistols against you, he countered, you don’t know how to shoot. Don’t get yourself into something you can only regret. It’s got to be equal between us. We have our sabres. Now march. 
They made their way down to the river, in the quivering light of the torches. Bessières came up to Junot and whispered in his ear : You’re making a mistake! Lanusse is devilishly good with a blade !
And Murat, forgetting the point of the dinner, added : Remember that, when you fight, it’s to put an end to your man ! 
As for Lanusse, he never ceased to spit on the name of Bonaparte, to the point that Junot cried,
- Now you’re just getting worked up ! - [LANNES to LANUSSE] Shut up. It’s over, by God ! You’re already going to slit each others’ throats, what more do you want ? Anything more you have to say to him is just thrown away.
The flooding of the Nile had made the terrain irregular underfoot : poor conditions for a duel. 
- If there were still some daylight, cried Murat, but you can’t fight here ! - Come on ! replied Junot, this is childishness !
They took off their coats, drew their swords.
A few paces back, apprehensive, the seconds discussed the chances of the two adversaries. Junot attacked, landing a blow to the top of Lanusse’s hat, cutting the button which attached the braid. Without this God-sent hat, Lanusse - who had felt the cold of steel across his cheek - would be dead, but as it was, he was quick to riposte, and taking advantage of the moment which had left Junot unguarded, he countered with a back-cut that slit open his opponent’s abdomen. Junot fell. His comrades gathered him up and brought him into the dining room, among the bottles, the playing cards, and the gold coins. 
When Bonaparte heard the news, he flew into a rage : 
- What ?? Are they really going to gut each other ? he asked Desgenettes, Haven’t they had enough of the Arabs, the plague, and the Mameluks ? This Junot deserves to be put away for a month !
And while Junot, bored and confined to his bed, waited for the wound to heal (eight inches long !) Bonaparte refused to visit him, even as he confessed :
- My poor Junot, hurt like this for me ! Also, what an idiot, why would he refuse the pistols ?
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gatutor · 4 years
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Danielle Darrieux-Alain Delon “El diablo y los diez mandamientos” (Le diable et les dix commandements) 1962, de Julien Duvivier.
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lily-yvonne · 4 years
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L'AVÈNEMENT DU PROPHÈTE ELIE (Analyse et Message du Christ)
Ce courrier privé, du 14 janvier 2012, puis le Message de Notre Seigneur qui va suivre, concernent un livre qui m'a été envoyé, dont le titre est : "L'Avènement du Prophète Elie". Après avoir parcouru cet ouvrage, voici ce que j'ai écrit à la personne qui me l'avait expédié…
"Bien Cher Ami et Frère en Christ,
Comme vous devez vous en douter, après avoir lu en partie l'ouvrage que vous avez eu l'extrême bonté de m'expédier, il y a en effet quelques incohérences que votre serviteur, par la grâce Divine, a relevé çà et là. De fait, je comprends mieux votre interrogation, et suis à même de vous en donner explication. Bien que, et si vous m'aviez bien lu, les explications ont déjà été données, notamment par le biais de l'Ouvrage Sacré : "L'Appel de Dieu, la Mission et les Prophéties”
En effet, il est écrit que le diable est devenu subtil, à tel point qu'il s'est immiscé sournoisement dans la sphère spirituelle du catholicisme ! Ce n'est pas étonnant, vous me direz, puisque vous savez qu'il est entré au Vatican depuis plus d'un siècle ! Aussi, il ne faut pas s'étonner qu'il s'immisce partout et surtout dans les messages, que certaines bonnes âmes croient recevoir en toute ingénuité et sincérité mais qui sont, en vérité, des sophismes ! Le but de ce plan ourdi par Satan est de semer le désordre, la confusion, le schisme et donc la division. Sa finalité est, par voie de conséquence, de placer les chrétiens les uns contre les autres et, apparemment, il y est arrivé ! Enfin, il y est arrivé pour certaines âmes ingénues et sans connaissances réelles des Saintes Écritures. Quant aux autres âmes, peu nombreuses, la stratégie du diable ne prend pas, parce que malgré tout, elle fait apparaître des éléments qui sont contradictoires. Rappelez-vous ce que Notre Seigneur à voulu dire dans l'Évangile, lorsqu'Il précisait, au sujet des faux prophètes de la fin des temps : « … au point d'induire en erreur, s'il le pouvait, même les élus. »
Justement, si votre serviteur a été envoyé sur la Terre, en tant que : « Porteur de la Lumière de Dieu », c'est pour remettre un peu d'ordre dans une société qui fait n'importe quoi et n'importe comment. Une société qui est menée par le bout du nez, par la trilogie satanique et ses 55 milliards de démons ! Hélas, cette influence nocive existe autant dans la politique, la science que la religion ! Alors, puisque cela fait partie de mon humble devoir de démontrer ce qui ne va pas, c'est exactement ce que je vais faire pour ce livre : 'L'Avènement du Prophète Elie…'
Déjà, je vous dis que tout n'est pas mauvais dans ce livre, mais il doit être réécrit absolument pour qu'il soit conforme à la Vérité et la Volonté de Dieu. Ce livre me fait penser à beaucoup d'autres dans le genre qui possèdent eux aussi de nombreuses incohérences.  reconnais bien le style du Malin qui apporte 90% de vérité et 10% de mensonges ! Ce livre est analogue aux messages de Medjugorje, JNSR, ou encore Derval, pour ne citer que ceux-là. Et même pire, Pierre Poulain, qui est l'instigateur de Derval, se prend pour le "Restaurateur" ! Alors qu'on le sait, de Restaurateur il n'y en a qu'un : Le Grand Monarque en fusion avec le Saint Pontife !… Tandis que votre serviteur ne se prend pas pour le "Restaurateur" mais le Rassembleur qui doit amener sur la même voie les âmes qui ont déraillées ! Certes, cela implique de bousculer les gens et les choses (mal) établies. Du fait avéré que notre société est bancale et même très malade, mon humble devoir est donc de réveiller les consciences et d'ouvrir les yeux à ce monde qui part sa perte…
Alors les quelques incohérences, non exhaustives car non approfondies, de ce livre que j'ai relevées sont les suivantes :
1) – Elie n'a pas pu parler au mois de janvier 2005 depuis le Ciel, puisqu'il il était présent sur Terre pour écrire : "L'Appel de Dieu, la Mission et les Prophéties." D'autant plus à 15 h, où je suis tenu de réciter la Grande Prière au quotidien !
2) – Elie n'a pas le droit de se faire appeler "Seigneur" parce que, dans ce cas, il serait en totale contradiction avec l'Évangile ou le Christ nous dit de ne pas nous faire appeler "Maître" ou "Seigneur", qui sont des expressions de grandeur, exclusivement attribuées à Jésus-Christ, ni "Père" qui est exclusivement attribué au Créateur : Yahweh-Él-Shaddaï ! Elie est trop humble de cœur pour se donner lui-même une étiquette d'élévation…
  3) – Elie est en effet : Jean, comme votre serviteur l'a écrit, mais non pas "Jean-Baptiste" qui est une erreur théologique. En vérité, il est dit dans Saint Luc : "Jean est son nom", écrit de la main même de Zacharie. Ensuite, il lui a été donné un surnom par les Juifs, à savoir : "L'Immergeur", parce qu'il immergeait toute personne dans l'eau qui souhaitait être baptisée. Avec la traduction grecque, nous obtenons "Le Baptiseur", puis "Le Baptiste" et enfin, plus tard, il a été écrit par des théologiens "Jean-Baptiste". Mais Elie n'a que faire des considérations dans le temps, émanant des hommes qui aiment bien faire du zèle, en manipulant les Saintes Écritures originelles. Elie est comme Dieu : Il ne change pas ! C'est donc Jean le Baptiste qu'il faut dire, car Elie ne peut pas déroger à cette Vérité fondamentale !
4) – Quant à "l'Esprit de Sainteté d'Elie", l'auteur met la charrue avant les bœufs. Pour comprendre, je vous propose de lire ou relire le chapitre "Qui est Elie ?" dans l'Ouvrage Sacré : "Les Édits du Roi - L'Apocalypse d'Elie" et vous comprendrez ce que veux exprimer ma pensée qui, je vous le rappelle, est celle de l'Esprit Saint. J-F a écrit ce livre avec un savoir tronqué, surtout sur la personne d'Elie. Forcément, puisque : seul Elie peut révéler Elie. Néanmoins, et du fait que J-F illustre son livre par des bribes de phrases prisent dans les Saintes Écritures, il a oublié de mentionner un élément important au sujet de Notre Seigneur, lorsqu'Il dit en parlant d'Elie : « …mais le tout dernier dans le royaume des cieux est encore plus grand que lui. » Merci donc de bien vouloir lire ce que j'ai écrit à ce propos, par la Grâce et la Volonté de Dieu car, après explication, cette phrase devient lumineuse … 
5) – Comme J-F l'écrit à juste titre : "le temps et l'espace n'existe pas au Ciel". De fait, comment peut-il ensuite affirmer qu'Elie reviendra juste à la fin des Temps ? Ceci exprime tout simplement la non-connaissance de la Vérité et la Volonté de Dieu, car il est écrit nulle part, dans une époque précise, le moment où Elie doit revenir !
6) – A la page 80 il est écrit : "C'est ce que fit Moïse au Mont Sinaï : il fit inscrire exactement les dix Commandements de Dieu, tel qu'il les recevait, sur des tablettes de pierre pour les faire connaître à son peuple et l'y assujettir." Faux, ceci est une erreur théologique (parmi d'autres) que je ne pouvais pas laisser passer ! En effet, seules les deux fois deux tables de la Loi du Décalogue ont été écrites par Yahweh. Les 613 Commandements (Mitzvot), que comporte la Torah, ont été écrits sur des rouleaux de papyrus. Le papyrus a été inventé il y a plus de 4000 ans avant J-C et a été très utilisé par les Égyptiens. N'oublions pas que les  Hébreux ont été esclaves des Egyptiens durant 4 siècles. De fait, lors de l'Exode, les Hébreux sont parties en hâte avec le strict minimum. Néanmoins, quelques-uns, dont Aaron notamment, ont emporté avec eux des rouleaux de papyrus. Je me permets de vous rappeler également que les Enfants d'Israël ont tourné en rond dans le désert pendant 40 ans. Or il n'aurait pas été possible, dans ces conditions, de transporter des tonnes de "tablettes de pierre" ! En revanche, les deux tables du Décalogue suivaient, avec "la tente de réunion", puis ensuite "l'Arche de l'Alliance" une fois réalisée.
7) – A la page 73 il est écrit : " Cette guerre arrive maintenant à son terme, car le diable n'avait que 111 ans pour séduire toutes les âmes du monde et voyez les dégâts qu'il a commis." Faux ! Car comme il est écrit dans les Ouvrages Sacrés : "L'Appel de Dieu…" et "Les Édits du Roi", la révolution française, puis l'instauration de la république datent de plus de deux siècles et c'est Satan qui en est à l'origine !
Bref, je passe sur d'autres inepties, dont le vouvoiement à Dieu, de l'Ancien testament et de l'époque du Christ. On voit bien que les phrases sont extraites d'une Bible écrite par des traditionalistes ignorants et probablement des Jésuites. En effet, j'ai déjà longuement expliqué que le vouvoiement ne date que du 13ème siècle, parce qu'il a été importé en France par les Anglais. Il est devenu une grande mode à la cour de Louis XIV, et il s'est ensuite propagé au fil du temps, telle une coutume. Mais en aucun cas, le vouvoiement existait avant le 13ème siècle, et encore moins à l'époque du Christ !… D'autre part, J-F a une certaine prédilection pour le Nom de "l'Eternel". Or dans la Bible du Chanoine Crampon, que je connais bien, il n'est jamais porté cette appellation. En effet, le Nom de "l'Eternel" n'est contenu que dans les bibles protestantes, comme celle de Louis Second. Je rappelle, tel que Dieu le père l'a ordonné au travers de tous Ses Prophètes, y compris du dernier que je suis, surtout en ces temps de la fin, que la Terre entière doit savoir que le Très Saint Nom de Dieu et Créateur est : YAHWEH-ÉL-SHADDAÏ, ( à prononcer avec la plus grande déférence. ) Qu'on se le dise et qu'on l'écrive !"
                          MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR 
                                     ( Du 15 janvier 2012 )   
« Merci, Mon Frère bien-aimé, d'avoir écrit toutes ces précisions qui proviennent de l'Esprit de Mon Père et de ton Père. Oui, tu es Mon Frère bien-aimé parce que, si Moi Je suis le Fils unique de Dieu engendré, toi tu es le premier né créé, mais avec la même Substance du Père. Cette Révélation, tu la connaissais déjà, puisque tu l'as écrite dans le dernier Ouvrage Sacré. 15 Cependant, je voulais confirmer tes propos aujourd'hui, afin que le monde sache d'où vient Elie, ou Élyhaou en hébreux. Non Elie n'est pas seigneur, mais il est Mon Frère bien-aimé, Mon Apôtre revêtu du Sacerdoce Royal et l'Envoyé de Notre Père. Toi, Frère ELYÔN, Porteur de la Lumière de Dieu, parce que porteur de l'âme d'Elie, ta haute Mission est d'éclairer le monde et de remettre sur le droit chemin toutes les âmes qui se sont égarées et qui voudront t'écouter. Ta Mission sur Terre est identique à la mienne, lorsque Je suis né ici-bas. Tout comme Moi, ton Devoir est de souffrir, puis mourir en martyre. Certes, ta Mission n'est pas de sauver les âmes avec ton sang, car Mon Sang a coulé une seule fois pour toujours et pour sauver toutes les âmes de la Terre. Néanmoins, ta souffrance et ton martyre représentent la seconde pierre rejetée par les bâtisseurs. Oui, tu es rejeté du monde et tu seras même haï, parce que tu n'appartiens pas à ce monde illusoire. Mais pas par tous cependant car, comme Je te l'ai fait écrire, tu es le Fil d'or incrusté dans un tissus noir. Tu es la Perle qui brille au fond de la vase. Tu es le Phare éclatant qui traverse l'épais brouillard, afin de diriger les âmes enténébrées. Tu dis souvent : "être un serviteur inutile", mais si tu n'étais pas venu, c'est beaucoup plus d'âmes qui auraient été perdues, même avec le Précieux Sang que J'ai versé. Hélas, le monde est tellement enténébré par le nuage noir, que peu d'âmes t'ont reconnu en tant qu'Envoyé du Père. Certaines âmes, qui se prétendent pourtant "catholiques", t'ont rejeté lorsque tu leur as proposé Mon grand Projet d'Évangélisation du monde, par le biais d'un Film sans précédent. Elles ont osé rejeter Ma Main d'Amour que Je leur tendais : honte soit sur elles ! Toutefois, ta Mission n'est pas terminée et elle en est même qu'à ses prémisses. Le temps est venu et cette année sera pour toi celle de ta révélation au monde. Tu seras plus connu mais aussi plus dénigré et critiqué avec force et hargne. Comme je te l'ai déjà dit, ce sera un pour mille. C'est à dire une âme qui t'écoutera et t'obéira, contre mille âmes qui te rejetteront avec mépris. Tu t'en es déjà rendu compte par la sélection qui s'est opérée, avec le peu de personnes qui te connaissaient et il en sera ainsi à l'avenir. N'oublie pas que, Moi aussi, J'ai été rejeté agressivement, mais tout comme Moi, ton Devoir est de continuer malgré tout, avec courage et fermeté, afin d'aller jusqu'au bout de ta Mission sainte et multiple. Comme tu l'as écrit, le livre que Je tenais à ce que tu lises n'est pas conforme à la Vérité. Il doit être réécrit, Mon Frère bien-aimé, avec toutes les corrections que tu apporteras, en y plaçant les vrais Messages que tu as reçus. Jean, qui est l'auteur de ce livre, devra le réécrire avec toi. Puisque sa Mission est de parler de la venue d'Elie, mais comme Elie est déjà là, sa Mission est à présent de te servir, comme il l'a déjà fait dans les temps anciens. Tu sais qui il est, mais tu ne lui diras que s'il accepte d'être à ton service, afin de te faire connaître, pour que la vraie Mission Divine se concrétise. Il a le choix de prendre l'une ou l'autre des directions qui se trouvent devant lui. Soit il continue dans sa naïveté à se tromper, mais aussi à tromper ses interlocuteurs ou lecteurs, et la finalité ne peut être que sa chute. Soit il t'obéi et alors il aura toute Ma reconnaissance. Dans ce cas, tu le surnommeras "Frère Jean", parce que Je le veux ainsi. S'il t'accepte en tant qu'Elie, le premier et le dernier des Prophètes, il sera inscrit dans Mon Divin Cœur à jamais. Dans le cas contraire il en sera banni, car telle est Ma Justice parce que, qui rejette Mon Apôtre bien-aimé, Me rejette Moi-même et qui Me rejette, rejette aussi Notre Père. De même que, celui qui t'obéi, M'obéi et qui m'obéi, obéi à Notre Père, car nul ne va au Père que par Moi. Si Jean reste humble de cœur, en reconnaissant qu'il s'est laissé naïvement trompé par l'Imitateur, il devra t'épauler au maximum de ses possibilités. Toi, tu as reçu des dons multiples, tels que celui de la prophétie et du discernement. Lui, il a reçu les dons des langues et de la communication. S'il accepte de toi ce que tu es en mesure de lui enseigner, ainsi que la Vérité contenue dans les Ouvrages Sacrés, alors vous pourrez travailler ensemble pour la seule gloire de Dieu et le salut des âmes. Il devra venir dès que possible faire une retraite à l'Ermitage, pour que tu lui enseignes ce qu'il doit faire à présent. Il devra aussi quitter sa région pour s'installer en Vendée, de même que ses amis qui le soutiennent, parce que très bientôt la France va subir une tourmente épouvantable et, plus particulièrement le sud. Je rappelle qu'après le chaos, le déchaînement de la nature, le retour de conscience, le grand Miracle, ce sera le grand Châtiment avec une guerre atroce qui va s'abattre sur l'Europe et le monde entier. Alors Je te le dis, en Vérité, que ceux qui reconnaissent que tu es bien l'Envoyé de Dieu, l'ultime Avertisseur de ces derniers temps, doivent se réfugier dans la province de la Vendée avant la fin de cette année. La vraie Mission Divine pour la France est : Le Temple-Abbaye du Divin Cœur que J'ai révélé à Marguerite-Marie et que Je t'ai montré plusieurs fois en visions. Voilà ce qu'est la vraie Mission Divine pour la France. Je veux que l'Abbaye du Divin Cœur soit érigée, et je délègue Jean de t'aider à trouver les moyens nécessaires pour la concrétisation de cette sainte réalisation. L'association que Je t'ai faite fonder est : "Œuvre Christique du Sacré-Cœur. Mais l'autre association semblable : "Ordre des Chevaliers du Sacré-Cœur", doit être aussi créée. Celle-ci, comme tu le sais, est pour préparer les hommes du Roi et tu seras, par ton Sacerdoce Royal, habilité à les consacrer "Chevaliers du Sacré-Cœur". Surtout, Je te le redis, Mon Frère bien-aimé, reste humble de cœur, car tu es venu sur cette Terre non pour être servi, mais pour servir. Tu le sais déjà, et Je te l'ai dit Face à face, lorsque Notre Père a permis à ton âme de monter au Ciel en cette vie, tu seras Cardinal et conseillé de Mes deux Élus, avant de mourir en martyre. Mais aujourd'hui, tu n'es que le serviteur de tous, comme Moi Je l'ai été lorsque Je suis venu sur Terre en tant qu'Agneau du Père, et Je te demande de rester petit. Jusqu'à présent, il en a été ainsi, mais tu dois poursuivre dans le même sens, afin de donner l'exemple. En effet, seuls les humbles de cœur pourront bénéficier du Paradis que tu connais aussi. Le monde doit suivre l'exemple de l'humilité, soit par la manière douce qui est ta droiture dans la Vérité que l'Esprit Saint te révèle. Soit par la manière forte que Notre Père ne manquera pas de mettre en œuvre avec l'aide de Satan. Comme tu le sais également, Satan est à présent le maître du monde et ses pouvoirs sont, actuellement, au moins égaux aux Miens. Justement, tes pouvoirs à toi sont, pour l'instant, limités, afin qu'il n'y ait pas de confusion : entre le Mal actuel qui se présente avec ses prodiges, dans un orgueil démesuré, et toi qui ne recherche que la sainteté, dans l'humilité de cœur. Oui, il est vrai que J'ai formé ton cœur, pour qu'il brûle d'Amour pour toutes les âmes, mais aussi pour que Mon Divin Cœur batte dans le tien. C'est pourquoi tu es stigmatisé de l'intérieur et tes souffrances sont très éprouvantes. Je suis conscient aussi que tu ne veux aucun pouvoir pour ne faire du mal à personne, et le fait que tu pourrais être la cause d'un malheur te fait souffrir profondément. Ce sont les raisons pour lesquelles Notre Père n'a pas voulu te transmettre, pour cette période actuelle, des pouvoirs qui te mettraient trop mal à l'aise et t'empêcheraient d'avancer dans la Mission qui t'a été attribuée. En même temps c'est aussi, pour Notre Père, la possibilité de poursuivre ton test d'humilité et d'obéissance. Notre Père t'aime de toute Son ÂME, comme IL M'aime et comme Je t'aime, mais IL veut aussi être sûr de ton parfait dévouement et de ta loyauté. Je t'autorise à transmettre ce Message à Jean, mais également à tous ceux que tu estimeras apte à le recevoir. Que cela soit, et que la Paix soit sur toi, Mon Frère bien-aimé. Mon Divin Cœur sera toujours avec toi et te soutiendra dans tes douloureuses épreuves. YESHOUAH. »
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15 "Les Édits du Roi - L'Apocalypse d'Elie"
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Je soussigné, Frère ELYÔN, Petit Frère du Sacré-Cœur de Jésus et Envoyé de Dieu pour rendre témoignage à la Vérité, avoir eu la grâce de recevoir ce Message de Notre Seigneur Jésus-Christ, par locution intérieure, pour la seule gloire de Dieu et le salut des âmes, à l'Ermitage du Sacré-Cœur ce samedi 14 et confirmé le dimanche 15 janvier 2012. Que Dieu bénisse toutes les personnes qui auront eu la grâce immense de recevoir ce Message et qu'elles obéissent aux Ordres qui y sont portés, afin que leurs âmes soient reconnues, aimées du Sacré-Cœur et inscrites dans le Livre de Vie. Que ce Message Sacré n'entraîne aucun conflit ni division, mais au contraire soit l'éveil des consciences endormies, afin d'aller sur le Chemin droit de la Vérité et en parfaite cohésion avec le Rassembleur où l'ultime "Témoin" de ces derniers temps apocalyptiques…
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Cette image n’est pas un trucage. Ce sont bien des Larmes de Sang qui ont coulé à partir d’un portrait du Christ que possède une voyante stigmatisée italienne et contemporaine, du nom de : Debora. Il est utile de noter que Frère ELYÔN reconnaît Debora comme étant une authentique Messagère. Ce qui n’est pas le cas de trop nombreuses personnes qui se prétendent « messagères » du Ciel !
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/les-messages-de-la-sainte-trinite-2002-2012.pdf
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/
https://www.youtube.com/channel/UCYX3DMJ6JMaEb1vQgJM2jUg
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sigurism · 21 days
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Alain Delon sur le tournage du film 'Le Diable et les Dix Commandements'
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claudehenrion · 6 years
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L’échec du succès…
  Notre “billet” d'hier posait la question : “Pourquoi, et d'où vient l'incompréhension totale, évidente (et croissante) de la grande majorité des ’‘leaders” du monde devant les problèmes qui se posent à eux (donc : à nous !)“ ? Leur vraie nullité, encyclopédique, n'est pas une raison suffisante pour ne pas essayer, à notre petit niveau (en tout cas : au mien !), de chercher des explications à cette situation qui, clairement, ne va pas pouvoir durer bien longtemps en l'état. Ce n'est pas en tournant le dos à tous les vrais problèmes qu'on va leur trouver une solution… L'exercice est risqué ? Il pourrait nous entraîner très loin… ou ne déboucher sur rien ? Et alors ? L'alternative est trop dramatique pour ne pas ’'tenter le diable’' !
  Ce Blog est né le 13 novembre 2013, en plein cauchemar ’'hollandais”. (Le titre du “billet” n°1 était : “Mais où est donc passée la France ?”, déjà…). En  5 années, quelques ‘’ idées-force’’ se sont imposées. La première concerne le succès de notre civilisation, dite judéo-chrétienne ou occidentale, mais qui a très largement dépassé les frontières dans lesquelles devait logiquement se limiter l'influence, qu’elle soit intellectuelle ou autre de nos trois patries d'origine : Jérusalem, Athènes et Rome.      Cette civilisation a offert au monde des réalisations que jamais aucune autre n'avait… ne serait-ce que imaginées possibles, alors que nous les considérons normales, sans plus voir à quel point elles sont merveilleuses, inespérées
  La seconde idée-force, en contre-point de la précédente, serait plutôt dans un registre “échecs”. Elle porte sur les dangers inquiétants, qui sont autant de défis, apparus depuis quelques années, et dont les principales manifestations  sont :    (1)- la perte de notre “raison d'être”,due à ce que des mots abstraits (mal ou pas définis) prennent la place des réalités, des faits, et… des hommes. Nous ne savons plus où nous dirigent nos pas… mais nous continuons à marcher. Les moins réalistes se prétendent même “En Marche”… mais sans savoir vers quoi !    (2)- une science devenue perverse(du latin “pervertor’' : se retourner contre soi), ce qui fait d'elle notre ennemie (transhumanisme, bricolages génétiques, folies autour de la conception, etc… La liste est interminable, mais pas rassurante).      (3)- et enfin le mode de pensée mensongèrement dit ’'politiquement correct” qui, n'étant qu'une méchante corruption de feu  la pensée “de gauche” (qui a démontré tout le mal qu'elle pouvait causer à l'humanité, contre presque aucun apport positif qui tienne la distance), ne peut être qu'incorrecte. Sa principale erreur : ne poser que de mauvais problèmes, d'une mauvaise manière, et occulter tout ce qui est fondamental : seuls les détails de vocabulaire seraient importants.
  Et en troisième lieu, contraints par les événements, il a bien fallu rajouter l'Islam à cette liste, sous une de ses formes les plus dévoyées, mais qui se prétend “le seul Islam authentique” et qui doit à cette formulation (parfois méritée, parfois moins…) un succès que rien ne vient ralentir pour le moment, au point qu'il a anesthésié la partie la plus délitée des pseudo “élites” qui sont actuellement aux commandes du monde et qui clouent au pilori quiconque ose appeler “chat” un chat..
  Quoi qu'il en soit, et quelles qu'en soient les causes, vraies (l'islamisme) ou artificielles (comme le sont l'européisme béat, qui est déjà mort, ou le soi-disant “macronisme” qui l'est plus encore), nous sommes entrés dans une “zone d'ombre” où personne n'avait prévu d'aller. La nouveauté de cette situation est si grande que, n'ayant pas encore compris l'étendue des dégâts et comme en état de sidération, nous la vivons plutôt pas trop mal, alors qu'elle est, de toute évidence, sans espoir visible et sans solution apparente. Crises à rebondissements multiples, querelles entre amis, course “chacun pour soi”, mensonges à tous les étages, désunion sur tous les sujets, menaces de conflits un peu partout, absence totale de vision des lendemains vers lesquels nous voguons, folies démographique et migratoire d'un continent aussi envahi que divisé contre lui-même par cette seule invasion, pourtant tellement “contre nature”… reconnaissons qu'il y a de quoi se faire du “mouron’' !
  Mais refuser un catastrophisme par système ne veut pas dire nier la réalité, bien au contraire : nous rappelons, dans chaque ’'billet”, que le danger est partout, immense, omniprésent, vicieux,… Heureusement, on sait aussi, depuis Newton, que toute force qui s'applique génère une force contraire d'intensité équivalente. Il faut donc savoir voir émerger le changement d'humeur des peuples européens, dès qu'ils peuvent dire ce qu'ils pensent hors de la tutelle de politiciens dépassés et de médias nostalgiques du trotskisme, du stalinisme ou du maoïsme. Ou des trois !         Faute de pouvoir leur adresser des reproches plus pertinents, ceux qui refusent de voir le jour en plein midi désignent par ’'populistes’’ ces mouvements de fond …    (NDLR : nos gourous sans message devraient faire attention :  ce mot risque de se transformer en compliment, s'ils continuent à en abuser à tort et… de travers !).
  Car il existe un paradoxe qui semble jusqu'ici inexplicable, dans le système de pensée duquel nos “Lumières” actuelles, décidément très éteintes, n'arrivent pas à s'extraire : il est vrai, comme nous l'avons dit dix fois, que notre civilisation a atteint un degré de qualité, de raffinement, de succès dans tous les domaines tels qu'aucun âge avant nous n'avait pu avoir l'intuition que de telles merveilles existeraient un jour. Et pourtant, à la même seconde et dans le même mouvement, on pourrait dire que plus rien ne marche comme il devrait : le monde va très mal… et le pire est à craindre ! Tout le monde râle, se plaint, revendique, n'est pas heureux… et par dessus tout, plus personne ne comprend quoi que ce soit aux mouvements du monde, ni, en gros, à rien de ce qui se passe autour de nous.
  Résultat : le fossé entre les dirigeants et les dirigés est devenu un abîme… les remèdes proposés sont perçus (avec raison, la plupart du temps) comme autant de catastrophes surajoutées… et sous le prétexte de guérir tout ou partie de ces maux, les administrations en rajoutent dans la généralisation de contrôles, de contraintes, et d'emmerdement maximum pour les pauvres contribuables auxquels les “big brothers” en poste ont réussi à faire croire qu'il n'existe pas de solutions alternatives (cf. Mitterrand et son “on a tout essayé”… Coincé dans son système absurde, il avait essayé tout… sauf ce qui aurait pu marcher !). Alors… Se révolter, pour quoi ? Pour guère mieux, voire même pour encore pire, peut-être ?
  Question : “Que s'est-il passé, pour que nous en arrivions à un tel point de rupture ?”. Je vous propose de passer en revue les vraies causes du drame qui nous menace (en vérité : qui nous empoisonne déjà !). Et d'abord : y a-t-il eu des précédents dans l'Histoire de France, d'Europe, du monde… (à suivre).
H-Cl.
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christophe76460 · 4 months
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MATTHIEU : 10 V 16 : VOICI, JE VOUS ENVOIE COMME DES BREBIS AU MILIEU DES LOUPS. SOYEZ DONC PRUDENTS COMME LES SERPENTS, ET SIMPLES COMME LES COLOMBES : Peuple de Dieu ! Le Monde où nous vivons n'est pas idéal car il est habité par de mauvaises personnes . Nous devons prendre garde a nous-même et ne pas être trop sage à notre propre yeux . Nous avons besoin de discernement pour toutes les personnes que nous côtoyons chaque jours et aussi via les réseaux sociaux . Faux profils , fausses doctrines, fausses amitiés . Comme sur la montagne ou Moïse recevait les dix commandements , le Peuple s'étais corrompus et ont outragés les miracles fait en leur faveur . Cependant nous sommes dans ce Monde et notre mission est de faire avancer le Royaume de Dieu ici-bas , nous devons donc être prudent et ne pas jeter nos perles aux pourceaux ! c'est à dire a ceux qui ont choisis la partie adversaire pour nous faire la guerre . Veillons Peuple de Dieu ! Veillons !
Car le diable rôde autour de nous cherchant a dévorer et a détruire tout sur son passage .
Amen ✝️
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yes-bernie-stuff · 3 years
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Mercredi 26 Mai
Livre de l'Ecclésiastique 36,1-2.5-6.13.16-22.
Prends pitié de nous, Maître et Dieu de tout ;
répands la crainte sur toutes les nations.
Qu’ils l’apprennent, comme nous l’avons appris : il n’est pas de dieu hors de toi, Seigneur.
Renouvelle les prodiges, recommence les merveilles,
Rassemble les tribus de Jacob ;
comme aux premiers jours, donne-leur ton héritage.
Prends pitié du peuple porteur de ton nom, Israël qui est pour toi un premier-né.
Prends compassion de ta ville sainte, Jérusalem, le lieu de ton repos.
Remplis Sion de ta louange, et ton sanctuaire, de ta gloire.
Rends témoignage à tes créatures des premiers jours ; réveille les prophéties faites en ton nom.
Donne la récompense à ceux qui t’attendent ; que tes prophètes soient reconnus dignes de foi.
Écoute la prière de tes serviteurs, selon ta bienveillance à l’égard de ton peuple. Et tous, sur la terre, le sauront : tu es « Le Seigneur », le Dieu des siècles !
Psaume 79(78),8.9.11.13.
Ne retiens pas contre nous les péchés de nos ancêtres :
que nous vienne bientôt ta tendresse,
car nous sommes à bout de force !
Aide-nous, Dieu notre Sauveur,
pour la gloire de ton nom !
Délivre-nous, efface nos fautes,
pour la cause de ton nom !
Que monte en ta présence la plainte du captif !
Ton bras est fort : épargne ceux qui doivent mourir.
Et nous, ton peuple, le troupeau que tu conduis,
sans fin nous pourrons te rendre grâce
et d'âge en âge proclamer ta louange.
Évangile de Jésus-Christ selon Marc 10,32-45.
En ce temps-là, les disciples étaient en route pour monter à Jérusalem ; Jésus marchait devant eux ; ils étaient saisis de frayeur, et ceux qui suivaient étaient aussi dans la crainte. Prenant de nouveau les Douze auprès de lui, il se mit à leur dire ce qui allait lui arriver :
« Voici que nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme sera livré aux grands prêtres et aux scribes ; ils le condamneront à mort, ils le livreront aux nations païennes,
qui se moqueront de lui, cracheront sur lui, le flagelleront et le tueront, et trois jours après, il ressuscitera. »
Alors, Jacques et Jean, les fils de Zébédée, s’approchent de Jésus et lui disent : « Maître, ce que nous allons te demander, nous voudrions que tu le fasses pour nous. »
Il leur dit : « Que voulez-vous que je fasse pour vous ? »
Ils lui répondirent : « Donne-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire. »
Jésus leur dit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire, être baptisé du baptême dans lequel je vais être plongé ? »
Ils lui dirent : « Nous le pouvons. » Jésus leur dit : « La coupe que je vais boire, vous la boirez ; et vous serez baptisés du baptême dans lequel je vais être plongé.
Quant à siéger à ma droite ou à ma gauche, ce n’est pas à moi de l’accorder ; il y a ceux pour qui cela est préparé. »
Les dix autres, qui avaient entendu, se mirent à s’indigner contre Jacques et Jean.
Jésus les appela et leur dit : « Vous le savez : ceux que l’on regarde comme chefs des nations les commandent en maîtres ; les grands leur font sentir leur pouvoir.
Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi. Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur.
Celui qui veut être parmi vous le premier sera l’esclave de tous :
car le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. »
 - © AELF, Paris
« Donner sa vie en rançon pour la multitude »
Un Dieu qui sert, qui balaie la maison, qui se livre à des travaux pénibles — comme une seule de ces pensées devrait suffire à nous combler d'amour ! Lorsque le Sauveur s'est mis à prêcher son Évangile, il s'est fait « le serviteur de tous », déclarant lui-même « qu'il n'était pas venu pour être servi, mais pour servir ». C'est comme s'il avait dit qu'il voulait être le serviteur de tous les hommes. Et au terme de sa vie, il ne s'est pas contenté, dit saint Bernard, « d'avoir pris la condition de serviteur pour se mettre au service des hommes ; il a voulu prendre l'aspect d'un serviteur indigne pour être frappé et subir la peine qui nous était due en raison de nos péchés ».
Voici que le Seigneur, serviteur obéissant de tous, se soumet à la sentence de Pilate, tout injuste qu'elle est, et se livre à ses bourreaux... Ainsi, ce Dieu nous a tant aimés que, par amour pour nous, il a voulu obéir comme esclave jusqu'à mourir et à mourir d'une mort douloureuse et infâme, le supplice de la croix (Ph 2,8).
Or, en tout cela, il obéissait non comme Dieu, mais comme homme, comme esclave dont il avait assumé la condition. Tel saint s'est livré comme esclave pour racheter un pauvre, et il s'est attiré par là l'admiration du monde par cet acte héroïque de charité. Mais qu'est-ce que cette charité comparée à celle du Rédempteur ? Etant Dieu, voulant nous racheter de l'esclavage du diable et de la mort qui nous était dû, il se fait esclave lui-même, il se laisse ligoter et clouer à la croix. « Pour que le serviteur devienne maître, dit saint Augustin, Dieu a voulu se faire serviteur. »
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risiblesamours · 1 year
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YOU ARE MY FAVORITE ENTERTAINER
– FT HYUJIN                                                                        ✩ ○.⋆☽ ⋆.○ ✩
Difficile de croire que Hyujin n’a pas fait exprès d’égarer son bras sur le dossier de sa chaise, connaissant le personnage, mais soit. Elle se souvient un peu trop bien de la langueur avec laquelle il agissait parfois, un an plus tôt ; la lueur joueuse qui embrasait ses yeux lorsqu’il laissait ses doigts s’égarer un peu plus loin que ce que la correction permettait, avec une fille déjà en couple. Avec les filles, tout semble toujours calculé, comme lorsqu’il s’étire sous ses yeux comme un félin – à moins que ce soit elle qui le trouve un peu trop beau, gracieux dans chaque mouvement qu’il fait, et là, le souci est tout de suite bien plus sérieux. Mais Hyujin alpague déjà son attention en essayant de se jeter des fleurs – tentative qu’elle mettra un point d’honneur à solder par un échec, le ton désinvolte lorsqu’elle lui rétorque qu’il vient de gâcher tout seul ses chances de s’attirer ses bonnes grâces. Pourtant, il ne se laisse pas démonter, et elle se demande toujours comment elle peut oublier encore et encore qu’il a réponse à tout. D’après lui, ce n’est pas cette seule distraction qui suffira à gâcher sa performance, et c’est d’un air suffisant qu’elle hausse un peu les sourcils, lui répond d’un air trop pincé pour être tout à fait sérieux :
- Le diable se cache dans les détails, Hyujin, tu n’as jamais entendu ça ?
Mais soit, puisque ce diable, justement, a décidé de la déconcentrer pour de bon, elle abandonne son exercice où elle en était, en espérant parvenir à s’y remettre un jour sans que toute sa bonne volonté se soit déjà envolée. Le brun qui se plaint alors d’avoir faim ; elle se moque un peu de lui, l’invite à commander pour ne pas l’entendre geindre pendant les trente prochaines minutes comme un enfant capricieux, car elle imagine que c’est ce qu’il se passera s’ils ne lui trouvent pas rapidement quelque chose à se mettre sous la dent. Mais d’après lui, elle est bien mal élevée de ne rien lui avoir préparé. Elle hausse alors légèrement les sourcils, surprise de l’entendre exposer si ouvertement qu’il attendait une telle chose d’elle ; ricane un peu lorsque pour justifier ses dires, il prétend que sa grande sœur en faisait de même pour son professeur particulier de l’époque.
- Si quelqu’un ramène des gâteaux à son professeur, c’est qu’il veut en faire plus que son professeur… Quand même, je pensais pas t’apprendre ça ? Un grand garçon comme toi…
Elle a le ton légèrement suffisant en prononçant ces mots, et ajoute bientôt :
- Ce qui se fait, en revanche, c’est de lui en ramener à la fin de l’année, quand il a fait remonter ta moyenne de dix points. Alors sois méritant et on verra.
Le sourire trop grand qui dévoile ses petites dents blanches – trop grand pour être honnête, un faux air angélique peignant ses traits. C’est volontairement qu’elle l’ignore lorsqu’il tente – sans succès – de la piquer en répétant qu’elle n’est pas suffisamment attentionnée ; s’intéresse plutôt aux lunettes qu’il a fini par abandonner sur la table, certainement fatigué de jouer son rôle de tuteur d’exception. Elle se permet de lui faire remarquer que porter des lunettes ne lui ajoutera par magie ni points de QI ni connaissances, car il semble persuadé qu’un pouvoir réside entre ces branches – et pour être tout à fait honnête, c’est bel et bien le cas, en réalité, mais cela n’a rien à voir avec l’intellect. D’ailleurs, le brun lui demande, l’air surpris, si elles n’auront pas au moins le mérite de le rendre plus sexy, et elle fronce alors légèrement les sourcils, faisant mine de réfléchir pour finalement répondre :
- Hm… Je ne sais pas, remets-les deux secondes ? Je me souviens plus.
C’est trop naturellement qu’elle se penche un peu vers lui pour lui glisser les lunettes sur le nez ; s’empresse de s’écarter pour le considérer de loin, une petite moue dubitative se peignant sur ses lippes.
- Mh… Oui, okay, pas mal. Mais ne prends pas trop la confiance non plus.
Car elle le voit déjà avec son sourire goguenard, lui rabattre les oreilles dix fois dans l’heure car elle aurait avoué que ces lunettes lui vont un peu trop bien. Elle le laisse les reposer sur la table, le brun qui reporte déjà son attention sur sa commande, demande si elle veut des gyozas. Et Yuna, elle prend soudain conscience qu’elle n’a sans doute pas mangé suffisamment, aujourd’hui ; ne meurt pas de faim pour autant, mais se forcera un peu à ajouter :
- Et des takoyaki, tant que t’y es.
La commande passée, il reporte son attention sur elle ; prétend que ces lunettes lui iraient bien, l’invitant même à les essayer, et elle relève un regard surpris vers lui, finit par lever les yeux au ciel.
- Ah oui, tu es sûr qu’elles m’iraient bien ? Ce n’est pas toi qui me vannais à cause de mes lunettes, justement ?
Les temps ont bien changé, et elle considère un peu les lunettes posées sur la table, déclare, peu enthousiaste :
- C’est le genre de modèle qui ne me va même pas, ça, en plus.
Et pourtant, c’est avec un soupir qu’elle se décidera à passer les lunettes ; relève un peu ses sourcils en direction de Hyujin, l’air de lui demander si c’est bon, il est content maintenant.
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Filmografía
Cine
1932 : Une jeune fille et un million, de Fred Ellis y Max Neufeld
1932 : Aux urnes, citoyens !, de Jean Hémard
1933 : D'amour et d'eau fraîche, de Félix Gandéra
1935 : Dédé, de René Guissart
1936 : Faisons un rêve, de Sacha Guitry
1938 : Entrée des artistes, de Marc Allégret
1940 : Cavalcade d'amour, de Raymond Bernard
1940 : Battement de cœur, de Henri Decoin
1942 : Promesse à l'inconnue, de André Berthomieu
1942 : Les Hommes sans peur, de Yvan Noé
1942 : La Belle Aventure, de Marc Allégret
1944 : Salut à la France, de Jean Renoir
1945 : Félicie Nanteuil, de Marc Allégret
1945 : Cyrano de Bergerac, de Fernand Rivers
1946 : Tombé du ciel, de Emil-Edwin Reinert
1947 : Rendez-vous à Paris, de Gilles Grangier
1947 : L'Éventail, de Emil-Edwin Reinert
1948 : Route sans issue, de Jean Stelli
1948 : Croisière pour l'inconnu, de Pierre Montazel
1948 : Parade du rire, de Roger Verdier
1949 : Jean de la Lune, de Marcel Achard
1949 : Le Bal des pompiers, de André Berthomieu
1949 : Ainsi finit la nuit, de Emil-Edwin Reinert
1950 : La Petite Chocolatière, de André Berthomieu
1951 : Casque d'or, de Jacques Becker
1952 : Le Duel à travers les âges (Corto), de Pierre Foucaud
1952 : April in Paris, de David Butler
1953 : Innocents in Paris, de Gordon Parry
1953 : Les Trois Mousquetaires, de André Hunebelle
1954 : Phantom of the rue Morgue, de Roy Del Ruth
1955 : Les Mauvaises Rencontres, de Alexandre Astruc
1958 : The Quiet American, de Joseph L. Mankiewicz
1958 : Mon coquin de père, de Georges Lacombe
1960 : The Full Treatment, de Val Guest
1962 : Le Diable et les Dix Commandements, de Julien Duvivier
1964 : La Bonne Soupe, de Robert Thomas
1965 : Lady L, de Peter Ustinov
1965 : ¿Arde París?, de René Clément
1966 : Grand Prix, de John Frankenheimer
1967 : Dos en la carretera, de Stanley Donen
1967 : Lamiel, de Jean Aurel
1968 : Barbarella, de Roger Vadim
1969 : The Madwoman of Chaillot, de Bryan Forbes
1972 : Églantine, de Jean-Claude Brialy
1972 : La più bella serata della mia vita, de Ettore Scola
1974 : Lo importante es amar, de Andrzej Żuławski
1975 : Rosebud, de Otto Preminger
1975 : La Course à l'échalote, de Claude Zidi
1976 : Le locataire, de Roman.
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