Tumgik
#mr durer
nerds-yearbook · 7 months
Text
The first appearance of Crossbones, but only in the shadows, was in Captain America 359, coverdate of October, 1989. Crossbones was created by Mark Gruenwald and Kieron Dweyer. ("Wheel of Death", Captain America 359, Marvel Comic Event)
Tumblr media
13 notes · View notes
mr-e-gallery · 1 year
Text
Tumblr media
Mr. E Gallery 'Lady Durer' (01-23)
47 notes · View notes
fafou-le-voyageur · 4 months
Text
Lundi 15 Janvier : Je dors par à coups jusqu'à 4h15. Je bois un capucino et me rends compte que j'ai eu un message d'Iberia annonçant que le vol était extra full et que par mesure de sécurité je pouvais enregistrer mon bagage à main gratuitement.
Je descends donc à la porte d'enregistrement concernée, qui vient juste d'être annoncée et donc presque vide, et me libère de mon sac.
Je vais pouvoir me rendre à la sécurité et j'aurais encore deux heures à tuer avant mon départ.
Je me prends un double expresso et me pose sur un siège confortable où je peux faire charger mon portable. Je bouquine mon Stephen King (merci Alex), Mr Mercedes, et attends l'annonce de la porte, même si j'ai déjà repéré l'avion en porte B03.
J'embarque vers 6h30 dans l'A320-200 plein comme un oeuf, vers l'avant de l'appareil, 5e rang. Le rang de devant reste vide cela dit.
On part sous la pluie pile à 7h. Le vol prévu pour durer un peu plus de 1h20 prendra 25 minutes de plus à cause de la purée de pois qu'on doit traverser pour atterrir. On est même obligés de rejoindre le terminal en bus.
Je dois aussi prendre un genre de métro pour rejoindre les bonnes portes du terminal 4.
Je vais un peu au hasard puis me rapproche de la porte prévue que je reçois par SMS. Je sais déjà qu'il y aura du retard, mais j'ai un peu de marge de manœuvre.
1h30 de retard au final mais un vol plus court, moins d'une heure, si bien qu'arrivé à Lisbonne j'ai encore le temps d'enregistrer mon bagage pour le prochain vol.
Il n'y a qu'une heure de décalage mais depuis ce matin 5h30 ça commence à faire une longue journée. Je déguste un pasteis de nata avec un café avant de repasser par la sécurité et rejoindre la porte prévue.
Pas de retard prévu pour le moment (l'avion n'est pas encore attaché au terminal), même si je le vois s'amarrer 40 minutes avant le vol. Il n'aura que 10 minutes de retard finalement.
En attendant et en regardant mes billets je me rends compte qu'il y a en fait une heure de décalage avec le Portugal, du coup je suis à -2h par rapport à la France.
Départ un peu en retard donc et vol de 2h20 où je dors pour l'essentiel, malgré de belles turbulences et un plafond très haut.
Atterrissage tout en douceur au coucher du soleil. Il y a des avions et des hélicos militaires sur le reste du tarmac. Bagage très vite récupéré, le vol était loin d'être plein.
Des gendarmes m'indiquent où prendre le bus pour le centre ville. Ça me prend dix minutes d'attente et dix minutes de trajet et à peine cinq minutes à pied.
Je suis le seul à la guesthouse apparemment. Je m'installe et prends une bonne douche bien méritée.
Je vais ensuite en direction du front de mer et m'arrête dans un petit bar restaurant bien sympa. J'ai l'impression de revivre une de mes soirées sur Sao Miguel dans le petit boui boui où j'étais tombé dans une embuscade.
Par contre j'y mange un chili con carne revisité à la façon azorienne avec du porc fumé en plus du bœuf.
Je rentre vers 21h puis regarde matrix revolutions à la TV. Je me couche vers 23h30, avec le décalage horaire et le manque de sommeil ça fait presque le tour de l'horloge.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
englishindubellay · 4 months
Text
ecg 2
Thème CCIP
Péricourt ne fit pas même semblant de travailler lorsque son gendre frappa à la porte.
Mr. Péricourt did not event pretend to be working when his son-in-law knocked on the door.
Henri vit, à l'autre bout de la pièce, son beau-père trôner derrière son bureau, comme Dieu le père.
Henri caught sight, across the room, of his father-in-law sitting proudly at his desk, like God Almighty / God the Father.
Oui … ? demanda-t-il sobrement.
“Yes … ?” he asked in a sober tone.
Pouvez-vous intervenir auprès du ministre des pensions ? Demanda Henri d'une voix claire.
“Would it be possible for you to intercede with the pensions minister?” Henri asked in a clear voice.
Tout à fait, c'est un ami très proche.
“Definitely, he's a very close friend.”
Péricourt resta pensif un court instant.
Mr. Péricourt remained pensive / thoughtful for a second / a few seconds.
Il me doit beaucoup. Une dette personnelle, en quelque sorte.
“He owes me a great deal / a lot. A personal debt, sort of.”
Henri ne s'était pas attendu à une victoire si facile.
Henri had not anticipated such an easy victory.
Son diagnostic était vérifié au-delà de ses espérances.
His diagnosis turned out to be / was true beyond his expectations.
Péricourt le confirma involontairement en baissant les yeux vers son sous-main.
Mr. Péricourt involuntarily confirmed it when / by looking down at his writing pad.
De quoi s'agit-il ?
“ What is it about?”
Une babiole... C'est...
“ A trifle... It's ...”
Si c'est une babiole, le coupa M. Péricourt en relevant la tête, pourquoi déranger le ministre ? Ou moi ?
“ If this is / it's a trifle, interrupted Mr. Péricourt as he looked up, why should the minister be bothered. Or myself?”
Henri adora cet instant
Henri relished that moment.
L'adversaire allait se débattre, mais serait finalement contraint de céder.
The enemy was going to offer some resistance /to struggle but would eventually be forced / would eventually have to surrender / to give in.
Avec du temps, il aurait fait durer cette conversation délectable, mais il y avait urgence.
Had he had more time / if he had had more time, he would have made this scrumptious conversation last, but time was running out / he was in a hurry.
C'est un rapport qu'il faut enterrer. Il concerne mes affaires, il est mensonger et …
“ It's about a report that must be shelved / buried / scrapped. It's about my business, it is full of lies / it is deceitful / it is untruthful and...”
S'il est mensonger, que craignez-vous ?
“If it's full of lies, what are you afraid of?”
Ce fut plus fort que lui, Henri céda à la tentation de sourire.
It was beyond him, Henri could not help smiling.
Le vieux allait-il lutter encore longtemps ?
How much longer would the old chap resist / struggle?
Avait-il besoin d'un bon coup sur la tête pour se taire et passer à l'acte ?
Did he need a blow on his head to go quiet and take action?
Pierre Lemaitre, Au revoir là-haut, Albin Michel 2013
0 notes
holybridget · 4 months
Text
Le journal des J.O 2030
Utiliser le terme « durable », Mr Gaymard , conduit à s’interroger sur ce qui doit durer : certainement pas le modèle de développement que nous entretenons depuis un siècle et qui montre ses limites à travers l’émergence de crises sociales, économiques et écologiques.
0 notes
scentedchildnacho · 8 months
Text
Watch The Wind on Tubi
Watch The Wind on Tubi: https://link.tubi.tv/0iIIoKSQVCb
I think it's more about psychiatry Emma cried in any way about it....so she was called to be put out of her suffering.....
They use to be bohemian's but then there is only pale people in the settlement and the brown basis of things is missing.....
Cochise and the brown people left to hunt and learn guerrilla tactics
French monarchy I am on Merlin and nymoe or something poisons the water.......so they go eventually the brown people and marry black people instead and learn voodoo....because of the cancer of lightening
Its just homogenetics and they said body.....and when people have to think about body it's hey Mr. Slave driver bring me something like myself then.....
We'll bring the demon in the picture someone like it then and let it roam around hunting the animals
I don't think her husband was polygamous I think he was going to keep pile ing the wives up under the house
Okay new girl put your bed over that place there
Cochise sends one of his women that have strong arms to give her meat....and she is scared of it?
Their white but the hunting energies scare them too badly.....
You can draw me as an alien demon after my enslavement I would play that misunderstood character
Christus Victor there aren't any demons if you don't believe in them you just didn't get to go to the death metal concert.....
Then their out there but they don't know the public history of the place or the treatment of ameri Indians denying them their settlements till their very very scary things
Their ignorant of the incorporeal and immaterial so not Mason's....and the boy dies....
Henri Lefebvre all these objects point to a size a big size ...their all small dollhouse....people when their table looks like they put iron in the fire to make hot cakes
Albrecht Durer so they think their western catholicity can go to Byzantium....and they actually don't know the methods of conflict and population control....wrong guild to go....
1 note · View note
thatsoundssobeautiful · 10 months
Text
Mr Nov, la référence neo soul française ?
Notre amour ne connaîtra jamais la fin Mr Nov – Viens Au fil de ses quinze ans des carrières, Mr Nov est devenu une figure incontournable de la Neo Soul française. Serait-ce le seul ? Quel est le secret de l’artiste pour durer sur la scène R&B & Neo Soul ? La longévité de Mr Nov C’est d’abord par sa signature vocale que Nov est identifiable. Une voix mate et ronde qui semble glisser sur des…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
ouyander · 11 months
Text
A 27 ans, la directrice générale et cofondatrice de la société Takhar-Aloè est au four et au moulin. De la production à la vente de produits finis de l’aloe vera, l’entreprise demande une vigilance de tous les instants. Entretien avec une jeune femme pour qui, de belle découverte, l’aloe vera se mua bien vite en une passion faite pour durer. Qui a été à l’origine de cette démarche ? Et quel facteur a présidé à celle-ci ? Cette démarche a été lancée par Mr Francisco Ramirez Mesa, un Espagnol résidant au Sénégal qui est non seulement mon partenaire mais aussi un grand passionné de l’aloé vera et du bio naturel. C’est lui qui m’a transmis l’amour de cette plante miraculeuse. Aujourd’hui au Sénégal, nous notons l’apparition de nouvelles maladies dues à la dépigmentation et à l’usage des produits cosmétiques chimiques surtout chez les femmes. A la fin elles se retrouvent avec des boutons, taches, vergetures, rides …) et d’autre encore qui ont des problèmes gastriques, problèmes cardiaques, des diabétiques … Pour remédier à toutes ces problèmes, nous nous sommes intéressés à une solution qui leur permettra de se soigner avec des produits naturels sans risque. Pouvez-vous nous retracer un bref historique de l’initiative aloé vera ? Apres la découverte de cette plante (l’aloé véra) avec ses multiples vertus, son importance et aussi après avoir eu à l’utiliser dans la fabrication de divers produits cosmétiques bios et de complément alimentaire bio à l’usage personnel, on s’est dit pourquoi pas implanter une exploitation d’aloé vera ici même au Sénégal. Nous nous sommes dits que ce sera non seulement une première mais que cela permettra aussi à cette population d’avoir l’occasion de connaitre réellement l’aloé vera et profiter de ses vertus pour résoudre certains problèmes liés à la santé, à l’esthétique… sans pour autant avoir à dépenser beaucoup d’argent par rapport a ce qu’ils dépensent au niveau des produits importés. De là est née TaKhar-Aloès. Pourquoi le choix spécifique de l’aloe vera ? Nous nous somme focalisés sur l’aloé véra tout d’abord car c’est une plante médicinale avec d’incroyables qualités. Et c’est aussi une plante qui ne se cultive pas ici alors il fallait faire la différence, ouvrir une porte et permettre à d’autres agriculteurs qui s’y intéressent d’avoir le courage de se lancer dans la production. L’aloé vera est une plante qui se développe facilement ici car le climat lui est favorable. Elle ne nécessite pas beaucoup d’eau, elle est résistante et fait face aux attaques et à certains facteurs qui peuvent être à l’origine de la destruction de cultures. Accompagnée de matières organiques naturelles sur un sol argileux l’aloé vera se développe facilement, sans difficulté. Voilà en gros ce qui nous a poussé à nous focaliser sur l’aloé véra ici au Sénégal. « … IL EXISTE UNE ARCHIVE D’ETHNOPHARMACOLOGIE À L’UNIVERSITÉ PANAMÉRICAINE D’EDIMBOURG, TEXAS OÙ PLUS DE 3000 REMÈDES MAISON SONT TROUVÉS AVEC L’ALOE VERA COMME INGRÉDIENT ESSENTIEL » Quelles sont les spécifiques de cette plante ? Et à quoi sert-elle ? L’aloé véra est un supplément nutritionnel naturel, un stimulant du système immunitaire qui protège des problèmes gastriques et intestinaux et des troubles respiratoires et cardiaques. C’est un activateur de la circulation sanguine qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes, cicatrisantes, hydratantes. Il contribue à la régénération naturelle des cellules et de la peau ; il a des effets bénéfique sur les taches, les rides, les vergetures, les brulures, les cheveux, les blessures, les irritations, l’herpès génital, psoriasis. Il soulage les douleurs musculaires, et articulaires, réduit la plaque dentaire, réduit le taux de glucose chez les diabétiques…. D’après des recherches, il existe une archive d’ethnopharmacologie à l’université panaméricaine de Edimbourg, Texas, où plus de 3000 remèdes maison sont trouvés avec l’aloe vera comme ingrédient essentiel. Donc on peut dire que c’est un ingrédient naturel pour différents remèdes.
En quoi consiste la différence entre l’aloe vera bio et non bio ? La différence ente l’aloé vera bio et non bio commence d’abord au niveau de l’exploitation. Pour l’aloé vera bio, il faudra le cultiver dans un endroit non pollué, de préférence hors de la ville, loin de la pollution causée par les voitures, les déchets déversés par l’homme dans la nature … [Pour l’aloe vera bio] utiliser des matières organiques naturelles pour traiter les plantes comme le humus naturel liquide ou solide, l’huile de neem… Au niveau de la transformation, utiliser au minimum 98% d’aloe vera bio et des composants naturels. Le non bio, c’est le contraire : c’est possible de le cultiver dans des milieux plus ou moins pollués, de traiter les plantes avec des pesticides chimiques et les transformer également avec des composants chimiques pour obtenir des produits finis. Pourquoi le choix du bio ? Vu que nous sommes dévoués à participer à la protection de l’environnement, nous avons opté pour la culture bio car qui dit culture dit utilisation de pesticides et de produits chimiques qui appauvrissent la terre et l’environnement. En optant pour l’agriculture bio, nous essayons de réduire ce phénomène en utilisant des matières organiques naturelles bonnes pour la terre et qui font un plus à l’environnement. Au niveau de la transformation, nous fabriquons des produits qui traitent, soignent et embellissent des gens. Et tout le monde sait qu’il n’y a rien de mieux pour le corps et l’organisme humain que le naturel bio car non seulement ce sera toujours sans risque mais [aussi] toujours sain. Vous travaillez sur toutes les étapes de l’aloe : de la plantation à la vente des produits finis sans oublier la fabrication. En premier lieu, pouvez-vous nous parler de la plantation d’aloe vera et des étapes de la production ? La plantation est faite sur 8000 m² pour le moment, elle compte 5000 plantes d’aloe vera Barbadensis Miller, elle se situe à Santhiou Dara dans la commune de Diender, région de Thiès. Les premières plantes ont été plantées depuis 2016 jusque-là et c’est un processus de continuité : [c’est] en plantant d’autres au fur et à mesure que nous avançons. Nous faisons 4 récoles de 10 feuilles par plante, par an. Les plantes sont agencées en lignes verticales espacées de 1 mètre entre les lignes et entre les plantes. Pouvez-vous nous expliquer le processus d’extraction et conservation de l’aloe vera ? D’abord nous faisons nos récoles au niveau de la plantation, puis on les envoie à Dakar là où se fera leur transformations. Une fois sur place, nous séparons les feuilles récoltées dans des bassines de 200 litres pour les laver et les débarrasser de la poussière, la terre… Puis nous les transférons dans d’autres bassines javellisées pour la désinfection durant 1h. De là, nous les retransférons encore dans d’autres bassines d’eau pure et neutre pour enlever toute trace de javel et puis nous procédons à la décortication des feuilles en séparant la pulpe et la peau dans un cadre doté d’une hygiène stricte. Puis on récupère la pulpe, on la lave pour enlever l’aloïne (c’est un composé amer de couleur jaune-marron qui est dans la feuille d’aloe vera entre la pulpe et la peau), puis nous passons les pulpes sans aloïne au mixeur bien désinfecté pour obtenir le gel d’aloe que l’on utilisera après, pour la fabrication de nos produits finis. Le gel obtenu est conservé par la suite dans des réfrigérateurs à une température de 7 à 8°C. Quels sont les produits que vous commercialisez ? Pour nos produits finis nous avons [en aloe vera] : du gel, gel capillaire, gel facial, gel hydratant, gel anti-moustique, lait corporel hydratant, crème corporel hydratante, crème capillaire, crème anti-moustique, tonifiant capillaire, huile, 7 savons différents à base d’aloe vera, jus d’aloe vera … Comment se passe la distribution desdits produits ? Nous proposons des points de vente, livraison à domicile, commande en ligne. Nous comptons aussi participer à des
marchés d’expositions bios et surtout nous approcher des privés comme les hôtels, les boutiques cosmétiques etc. A quels prix sont-ils vendus ? Les prix sont abordables et varient entre 1500f Cfa et 12000f Cfa pour les prix en détail, et moins pour les prix en gros. Forever living products pour exemple est une entreprise américaine spécialisée dans l’aloe vera. Elle vend au Sénégal et son expertise est reconnue. Face à cette concurrence, quelles sont les valeurs ajoutées de vos produits ? Nos produits ont une concentration de 98% d’aloé véra et vu que nous avons nos propres ressources ici sur place, nous vendons nos produits à des prix moins chers qu’eux. Prévoyez-vous d’étendre vos activités à d’autres plantes ou resterez-vous sur l’aloe vera ? Oui, nous prévoyons d’étendre nos activités à d’autres plantes que l’on utilise souvent dans la fabrication de certains produits comme : le romarin, basilic, lavande, menthe, eucalyptus, citronnelle, moringa, papayer … mais toutes dans le cadre du bio naturel. Contacts : Facebook : Takhar Téléphone : +221 78 488 90 99 / +227 77 182 02 76 Email : [email protected] / [email protected]
0 notes
naantokhi · 11 months
Text
A 27 ans, la directrice générale et cofondatrice de la société Takhar-Aloè est au four et au moulin. De la production à la vente de produits finis de l’aloe vera, l’entreprise demande une vigilance de tous les instants. Entretien avec une jeune femme pour qui, de belle découverte, l’aloe vera se mua bien vite en une passion faite pour durer. Qui a été à l’origine de cette démarche ? Et quel facteur a présidé à celle-ci ? Cette démarche a été lancée par Mr Francisco Ramirez Mesa, un Espagnol résidant au Sénégal qui est non seulement mon partenaire mais aussi un grand passionné de l’aloé vera et du bio naturel. C’est lui qui m’a transmis l’amour de cette plante miraculeuse. Aujourd’hui au Sénégal, nous notons l’apparition de nouvelles maladies dues à la dépigmentation et à l’usage des produits cosmétiques chimiques surtout chez les femmes. A la fin elles se retrouvent avec des boutons, taches, vergetures, rides …) et d’autre encore qui ont des problèmes gastriques, problèmes cardiaques, des diabétiques … Pour remédier à toutes ces problèmes, nous nous sommes intéressés à une solution qui leur permettra de se soigner avec des produits naturels sans risque. Pouvez-vous nous retracer un bref historique de l’initiative aloé vera ? Apres la découverte de cette plante (l’aloé véra) avec ses multiples vertus, son importance et aussi après avoir eu à l’utiliser dans la fabrication de divers produits cosmétiques bios et de complément alimentaire bio à l’usage personnel, on s’est dit pourquoi pas implanter une exploitation d’aloé vera ici même au Sénégal. Nous nous sommes dits que ce sera non seulement une première mais que cela permettra aussi à cette population d’avoir l’occasion de connaitre réellement l’aloé vera et profiter de ses vertus pour résoudre certains problèmes liés à la santé, à l’esthétique… sans pour autant avoir à dépenser beaucoup d’argent par rapport a ce qu’ils dépensent au niveau des produits importés. De là est née TaKhar-Aloès. Pourquoi le choix spécifique de l’aloe vera ? Nous nous somme focalisés sur l’aloé véra tout d’abord car c’est une plante médicinale avec d’incroyables qualités. Et c’est aussi une plante qui ne se cultive pas ici alors il fallait faire la différence, ouvrir une porte et permettre à d’autres agriculteurs qui s’y intéressent d’avoir le courage de se lancer dans la production. L’aloé vera est une plante qui se développe facilement ici car le climat lui est favorable. Elle ne nécessite pas beaucoup d’eau, elle est résistante et fait face aux attaques et à certains facteurs qui peuvent être à l’origine de la destruction de cultures. Accompagnée de matières organiques naturelles sur un sol argileux l’aloé vera se développe facilement, sans difficulté. Voilà en gros ce qui nous a poussé à nous focaliser sur l’aloé véra ici au Sénégal. « … IL EXISTE UNE ARCHIVE D’ETHNOPHARMACOLOGIE À L’UNIVERSITÉ PANAMÉRICAINE D’EDIMBOURG, TEXAS OÙ PLUS DE 3000 REMÈDES MAISON SONT TROUVÉS AVEC L’ALOE VERA COMME INGRÉDIENT ESSENTIEL » Quelles sont les spécifiques de cette plante ? Et à quoi sert-elle ? L’aloé véra est un supplément nutritionnel naturel, un stimulant du système immunitaire qui protège des problèmes gastriques et intestinaux et des troubles respiratoires et cardiaques. C’est un activateur de la circulation sanguine qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes, cicatrisantes, hydratantes. Il contribue à la régénération naturelle des cellules et de la peau ; il a des effets bénéfique sur les taches, les rides, les vergetures, les brulures, les cheveux, les blessures, les irritations, l’herpès génital, psoriasis. Il soulage les douleurs musculaires, et articulaires, réduit la plaque dentaire, réduit le taux de glucose chez les diabétiques…. D’après des recherches, il existe une archive d’ethnopharmacologie à l’université panaméricaine de Edimbourg, Texas, où plus de 3000 remèdes maison sont trouvés avec l’aloe vera comme ingrédient essentiel. Donc on peut dire que c’est un ingrédient naturel pour différents remèdes.
En quoi consiste la différence entre l’aloe vera bio et non bio ? La différence ente l’aloé vera bio et non bio commence d’abord au niveau de l’exploitation. Pour l’aloé vera bio, il faudra le cultiver dans un endroit non pollué, de préférence hors de la ville, loin de la pollution causée par les voitures, les déchets déversés par l’homme dans la nature … [Pour l’aloe vera bio] utiliser des matières organiques naturelles pour traiter les plantes comme le humus naturel liquide ou solide, l’huile de neem… Au niveau de la transformation, utiliser au minimum 98% d’aloe vera bio et des composants naturels. Le non bio, c’est le contraire : c’est possible de le cultiver dans des milieux plus ou moins pollués, de traiter les plantes avec des pesticides chimiques et les transformer également avec des composants chimiques pour obtenir des produits finis. Pourquoi le choix du bio ? Vu que nous sommes dévoués à participer à la protection de l’environnement, nous avons opté pour la culture bio car qui dit culture dit utilisation de pesticides et de produits chimiques qui appauvrissent la terre et l’environnement. En optant pour l’agriculture bio, nous essayons de réduire ce phénomène en utilisant des matières organiques naturelles bonnes pour la terre et qui font un plus à l’environnement. Au niveau de la transformation, nous fabriquons des produits qui traitent, soignent et embellissent des gens. Et tout le monde sait qu’il n’y a rien de mieux pour le corps et l’organisme humain que le naturel bio car non seulement ce sera toujours sans risque mais [aussi] toujours sain. Vous travaillez sur toutes les étapes de l’aloe : de la plantation à la vente des produits finis sans oublier la fabrication. En premier lieu, pouvez-vous nous parler de la plantation d’aloe vera et des étapes de la production ? La plantation est faite sur 8000 m² pour le moment, elle compte 5000 plantes d’aloe vera Barbadensis Miller, elle se situe à Santhiou Dara dans la commune de Diender, région de Thiès. Les premières plantes ont été plantées depuis 2016 jusque-là et c’est un processus de continuité : [c’est] en plantant d’autres au fur et à mesure que nous avançons. Nous faisons 4 récoles de 10 feuilles par plante, par an. Les plantes sont agencées en lignes verticales espacées de 1 mètre entre les lignes et entre les plantes. Pouvez-vous nous expliquer le processus d’extraction et conservation de l’aloe vera ? D’abord nous faisons nos récoles au niveau de la plantation, puis on les envoie à Dakar là où se fera leur transformations. Une fois sur place, nous séparons les feuilles récoltées dans des bassines de 200 litres pour les laver et les débarrasser de la poussière, la terre… Puis nous les transférons dans d’autres bassines javellisées pour la désinfection durant 1h. De là, nous les retransférons encore dans d’autres bassines d’eau pure et neutre pour enlever toute trace de javel et puis nous procédons à la décortication des feuilles en séparant la pulpe et la peau dans un cadre doté d’une hygiène stricte. Puis on récupère la pulpe, on la lave pour enlever l’aloïne (c’est un composé amer de couleur jaune-marron qui est dans la feuille d’aloe vera entre la pulpe et la peau), puis nous passons les pulpes sans aloïne au mixeur bien désinfecté pour obtenir le gel d’aloe que l’on utilisera après, pour la fabrication de nos produits finis. Le gel obtenu est conservé par la suite dans des réfrigérateurs à une température de 7 à 8°C. Quels sont les produits que vous commercialisez ? Pour nos produits finis nous avons [en aloe vera] : du gel, gel capillaire, gel facial, gel hydratant, gel anti-moustique, lait corporel hydratant, crème corporel hydratante, crème capillaire, crème anti-moustique, tonifiant capillaire, huile, 7 savons différents à base d’aloe vera, jus d’aloe vera … Comment se passe la distribution desdits produits ? Nous proposons des points de vente, livraison à domicile, commande en ligne. Nous comptons aussi participer à des
marchés d’expositions bios et surtout nous approcher des privés comme les hôtels, les boutiques cosmétiques etc. A quels prix sont-ils vendus ? Les prix sont abordables et varient entre 1500f Cfa et 12000f Cfa pour les prix en détail, et moins pour les prix en gros. Forever living products pour exemple est une entreprise américaine spécialisée dans l’aloe vera. Elle vend au Sénégal et son expertise est reconnue. Face à cette concurrence, quelles sont les valeurs ajoutées de vos produits ? Nos produits ont une concentration de 98% d’aloé véra et vu que nous avons nos propres ressources ici sur place, nous vendons nos produits à des prix moins chers qu’eux. Prévoyez-vous d’étendre vos activités à d’autres plantes ou resterez-vous sur l’aloe vera ? Oui, nous prévoyons d’étendre nos activités à d’autres plantes que l’on utilise souvent dans la fabrication de certains produits comme : le romarin, basilic, lavande, menthe, eucalyptus, citronnelle, moringa, papayer … mais toutes dans le cadre du bio naturel. Contacts : Facebook : Takhar Téléphone : +221 78 488 90 99 / +227 77 182 02 76 Email : [email protected] / [email protected]
0 notes
ka9oukeuktakal · 11 months
Text
A 27 ans, la directrice générale et cofondatrice de la société Takhar-Aloè est au four et au moulin. De la production à la vente de produits finis de l’aloe vera, l’entreprise demande une vigilance de tous les instants. Entretien avec une jeune femme pour qui, de belle découverte, l’aloe vera se mua bien vite en une passion faite pour durer. Qui a été à l’origine de cette démarche ? Et quel facteur a présidé à celle-ci ? Cette démarche a été lancée par Mr Francisco Ramirez Mesa, un Espagnol résidant au Sénégal qui est non seulement mon partenaire mais aussi un grand passionné de l’aloé vera et du bio naturel. C’est lui qui m’a transmis l’amour de cette plante miraculeuse. Aujourd’hui au Sénégal, nous notons l’apparition de nouvelles maladies dues à la dépigmentation et à l’usage des produits cosmétiques chimiques surtout chez les femmes. A la fin elles se retrouvent avec des boutons, taches, vergetures, rides …) et d’autre encore qui ont des problèmes gastriques, problèmes cardiaques, des diabétiques … Pour remédier à toutes ces problèmes, nous nous sommes intéressés à une solution qui leur permettra de se soigner avec des produits naturels sans risque. Pouvez-vous nous retracer un bref historique de l’initiative aloé vera ? Apres la découverte de cette plante (l’aloé véra) avec ses multiples vertus, son importance et aussi après avoir eu à l’utiliser dans la fabrication de divers produits cosmétiques bios et de complément alimentaire bio à l’usage personnel, on s’est dit pourquoi pas implanter une exploitation d’aloé vera ici même au Sénégal. Nous nous sommes dits que ce sera non seulement une première mais que cela permettra aussi à cette population d’avoir l’occasion de connaitre réellement l’aloé vera et profiter de ses vertus pour résoudre certains problèmes liés à la santé, à l’esthétique… sans pour autant avoir à dépenser beaucoup d’argent par rapport a ce qu’ils dépensent au niveau des produits importés. De là est née TaKhar-Aloès. Pourquoi le choix spécifique de l’aloe vera ? Nous nous somme focalisés sur l’aloé véra tout d’abord car c’est une plante médicinale avec d’incroyables qualités. Et c’est aussi une plante qui ne se cultive pas ici alors il fallait faire la différence, ouvrir une porte et permettre à d’autres agriculteurs qui s’y intéressent d’avoir le courage de se lancer dans la production. L’aloé vera est une plante qui se développe facilement ici car le climat lui est favorable. Elle ne nécessite pas beaucoup d’eau, elle est résistante et fait face aux attaques et à certains facteurs qui peuvent être à l’origine de la destruction de cultures. Accompagnée de matières organiques naturelles sur un sol argileux l’aloé vera se développe facilement, sans difficulté. Voilà en gros ce qui nous a poussé à nous focaliser sur l’aloé véra ici au Sénégal. « … IL EXISTE UNE ARCHIVE D’ETHNOPHARMACOLOGIE À L’UNIVERSITÉ PANAMÉRICAINE D’EDIMBOURG, TEXAS OÙ PLUS DE 3000 REMÈDES MAISON SONT TROUVÉS AVEC L’ALOE VERA COMME INGRÉDIENT ESSENTIEL » Quelles sont les spécifiques de cette plante ? Et à quoi sert-elle ? L’aloé véra est un supplément nutritionnel naturel, un stimulant du système immunitaire qui protège des problèmes gastriques et intestinaux et des troubles respiratoires et cardiaques. C’est un activateur de la circulation sanguine qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes, cicatrisantes, hydratantes. Il contribue à la régénération naturelle des cellules et de la peau ; il a des effets bénéfique sur les taches, les rides, les vergetures, les brulures, les cheveux, les blessures, les irritations, l’herpès génital, psoriasis. Il soulage les douleurs musculaires, et articulaires, réduit la plaque dentaire, réduit le taux de glucose chez les diabétiques…. D’après des recherches, il existe une archive d’ethnopharmacologie à l’université panaméricaine de Edimbourg, Texas, où plus de 3000 remèdes maison sont trouvés avec l’aloe vera comme ingrédient essentiel. Donc on peut dire que c’est un ingrédient naturel pour différents remèdes.
En quoi consiste la différence entre l’aloe vera bio et non bio ? La différence ente l’aloé vera bio et non bio commence d’abord au niveau de l’exploitation. Pour l’aloé vera bio, il faudra le cultiver dans un endroit non pollué, de préférence hors de la ville, loin de la pollution causée par les voitures, les déchets déversés par l’homme dans la nature … [Pour l’aloe vera bio] utiliser des matières organiques naturelles pour traiter les plantes comme le humus naturel liquide ou solide, l’huile de neem… Au niveau de la transformation, utiliser au minimum 98% d’aloe vera bio et des composants naturels. Le non bio, c’est le contraire : c’est possible de le cultiver dans des milieux plus ou moins pollués, de traiter les plantes avec des pesticides chimiques et les transformer également avec des composants chimiques pour obtenir des produits finis. Pourquoi le choix du bio ? Vu que nous sommes dévoués à participer à la protection de l’environnement, nous avons opté pour la culture bio car qui dit culture dit utilisation de pesticides et de produits chimiques qui appauvrissent la terre et l’environnement. En optant pour l’agriculture bio, nous essayons de réduire ce phénomène en utilisant des matières organiques naturelles bonnes pour la terre et qui font un plus à l’environnement. Au niveau de la transformation, nous fabriquons des produits qui traitent, soignent et embellissent des gens. Et tout le monde sait qu’il n’y a rien de mieux pour le corps et l’organisme humain que le naturel bio car non seulement ce sera toujours sans risque mais [aussi] toujours sain. Vous travaillez sur toutes les étapes de l’aloe : de la plantation à la vente des produits finis sans oublier la fabrication. En premier lieu, pouvez-vous nous parler de la plantation d’aloe vera et des étapes de la production ? La plantation est faite sur 8000 m² pour le moment, elle compte 5000 plantes d’aloe vera Barbadensis Miller, elle se situe à Santhiou Dara dans la commune de Diender, région de Thiès. Les premières plantes ont été plantées depuis 2016 jusque-là et c’est un processus de continuité : [c’est] en plantant d’autres au fur et à mesure que nous avançons. Nous faisons 4 récoles de 10 feuilles par plante, par an. Les plantes sont agencées en lignes verticales espacées de 1 mètre entre les lignes et entre les plantes. Pouvez-vous nous expliquer le processus d’extraction et conservation de l’aloe vera ? D’abord nous faisons nos récoles au niveau de la plantation, puis on les envoie à Dakar là où se fera leur transformations. Une fois sur place, nous séparons les feuilles récoltées dans des bassines de 200 litres pour les laver et les débarrasser de la poussière, la terre… Puis nous les transférons dans d’autres bassines javellisées pour la désinfection durant 1h. De là, nous les retransférons encore dans d’autres bassines d’eau pure et neutre pour enlever toute trace de javel et puis nous procédons à la décortication des feuilles en séparant la pulpe et la peau dans un cadre doté d’une hygiène stricte. Puis on récupère la pulpe, on la lave pour enlever l’aloïne (c’est un composé amer de couleur jaune-marron qui est dans la feuille d’aloe vera entre la pulpe et la peau), puis nous passons les pulpes sans aloïne au mixeur bien désinfecté pour obtenir le gel d’aloe que l’on utilisera après, pour la fabrication de nos produits finis. Le gel obtenu est conservé par la suite dans des réfrigérateurs à une température de 7 à 8°C. Quels sont les produits que vous commercialisez ? Pour nos produits finis nous avons [en aloe vera] : du gel, gel capillaire, gel facial, gel hydratant, gel anti-moustique, lait corporel hydratant, crème corporel hydratante, crème capillaire, crème anti-moustique, tonifiant capillaire, huile, 7 savons différents à base d’aloe vera, jus d’aloe vera … Comment se passe la distribution desdits produits ? Nous proposons des points de vente, livraison à domicile, commande en ligne. Nous comptons aussi participer à des
marchés d’expositions bios et surtout nous approcher des privés comme les hôtels, les boutiques cosmétiques etc. A quels prix sont-ils vendus ? Les prix sont abordables et varient entre 1500f Cfa et 12000f Cfa pour les prix en détail, et moins pour les prix en gros. Forever living products pour exemple est une entreprise américaine spécialisée dans l’aloe vera. Elle vend au Sénégal et son expertise est reconnue. Face à cette concurrence, quelles sont les valeurs ajoutées de vos produits ? Nos produits ont une concentration de 98% d’aloé véra et vu que nous avons nos propres ressources ici sur place, nous vendons nos produits à des prix moins chers qu’eux. Prévoyez-vous d’étendre vos activités à d’autres plantes ou resterez-vous sur l’aloe vera ? Oui, nous prévoyons d’étendre nos activités à d’autres plantes que l’on utilise souvent dans la fabrication de certains produits comme : le romarin, basilic, lavande, menthe, eucalyptus, citronnelle, moringa, papayer … mais toutes dans le cadre du bio naturel. Contacts : Facebook : Takhar Téléphone : +221 78 488 90 99 / +227 77 182 02 76 Email : [email protected] / [email protected]
0 notes
devenirmilliardaire · 11 months
Text
A 27 ans, la directrice générale et cofondatrice de la société Takhar-Aloè est au four et au moulin. De la production à la vente de produits finis de l’aloe vera, l’entreprise demande une vigilance de tous les instants. Entretien avec une jeune femme pour qui, de belle découverte, l’aloe vera se mua bien vite en une passion faite pour durer. Qui a été à l’origine de cette démarche ? Et quel facteur a présidé à celle-ci ? Cette démarche a été lancée par Mr Francisco Ramirez Mesa, un Espagnol résidant au Sénégal qui est non seulement mon partenaire mais aussi un grand passionné de l’aloé vera et du bio naturel. C’est lui qui m’a transmis l’amour de cette plante miraculeuse. Aujourd’hui au Sénégal, nous notons l’apparition de nouvelles maladies dues à la dépigmentation et à l’usage des produits cosmétiques chimiques surtout chez les femmes. A la fin elles se retrouvent avec des boutons, taches, vergetures, rides …) et d’autre encore qui ont des problèmes gastriques, problèmes cardiaques, des diabétiques … Pour remédier à toutes ces problèmes, nous nous sommes intéressés à une solution qui leur permettra de se soigner avec des produits naturels sans risque. Pouvez-vous nous retracer un bref historique de l’initiative aloé vera ? Apres la découverte de cette plante (l’aloé véra) avec ses multiples vertus, son importance et aussi après avoir eu à l’utiliser dans la fabrication de divers produits cosmétiques bios et de complément alimentaire bio à l’usage personnel, on s’est dit pourquoi pas implanter une exploitation d’aloé vera ici même au Sénégal. Nous nous sommes dits que ce sera non seulement une première mais que cela permettra aussi à cette population d’avoir l’occasion de connaitre réellement l’aloé vera et profiter de ses vertus pour résoudre certains problèmes liés à la santé, à l’esthétique… sans pour autant avoir à dépenser beaucoup d’argent par rapport a ce qu’ils dépensent au niveau des produits importés. De là est née TaKhar-Aloès. Pourquoi le choix spécifique de l’aloe vera ? Nous nous somme focalisés sur l’aloé véra tout d’abord car c’est une plante médicinale avec d’incroyables qualités. Et c’est aussi une plante qui ne se cultive pas ici alors il fallait faire la différence, ouvrir une porte et permettre à d’autres agriculteurs qui s’y intéressent d’avoir le courage de se lancer dans la production. L’aloé vera est une plante qui se développe facilement ici car le climat lui est favorable. Elle ne nécessite pas beaucoup d’eau, elle est résistante et fait face aux attaques et à certains facteurs qui peuvent être à l’origine de la destruction de cultures. Accompagnée de matières organiques naturelles sur un sol argileux l’aloé vera se développe facilement, sans difficulté. Voilà en gros ce qui nous a poussé à nous focaliser sur l’aloé véra ici au Sénégal. « … IL EXISTE UNE ARCHIVE D’ETHNOPHARMACOLOGIE À L’UNIVERSITÉ PANAMÉRICAINE D’EDIMBOURG, TEXAS OÙ PLUS DE 3000 REMÈDES MAISON SONT TROUVÉS AVEC L’ALOE VERA COMME INGRÉDIENT ESSENTIEL » Quelles sont les spécifiques de cette plante ? Et à quoi sert-elle ? L’aloé véra est un supplément nutritionnel naturel, un stimulant du système immunitaire qui protège des problèmes gastriques et intestinaux et des troubles respiratoires et cardiaques. C’est un activateur de la circulation sanguine qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes, cicatrisantes, hydratantes. Il contribue à la régénération naturelle des cellules et de la peau ; il a des effets bénéfique sur les taches, les rides, les vergetures, les brulures, les cheveux, les blessures, les irritations, l’herpès génital, psoriasis. Il soulage les douleurs musculaires, et articulaires, réduit la plaque dentaire, réduit le taux de glucose chez les diabétiques…. D’après des recherches, il existe une archive d’ethnopharmacologie à l’université panaméricaine de Edimbourg, Texas, où plus de 3000 remèdes maison sont trouvés avec l’aloe vera comme ingrédient essentiel. Donc on peut dire que c’est un ingrédient naturel pour différents remèdes.
En quoi consiste la différence entre l’aloe vera bio et non bio ? La différence ente l’aloé vera bio et non bio commence d’abord au niveau de l’exploitation. Pour l’aloé vera bio, il faudra le cultiver dans un endroit non pollué, de préférence hors de la ville, loin de la pollution causée par les voitures, les déchets déversés par l’homme dans la nature … [Pour l’aloe vera bio] utiliser des matières organiques naturelles pour traiter les plantes comme le humus naturel liquide ou solide, l’huile de neem… Au niveau de la transformation, utiliser au minimum 98% d’aloe vera bio et des composants naturels. Le non bio, c’est le contraire : c’est possible de le cultiver dans des milieux plus ou moins pollués, de traiter les plantes avec des pesticides chimiques et les transformer également avec des composants chimiques pour obtenir des produits finis. Pourquoi le choix du bio ? Vu que nous sommes dévoués à participer à la protection de l’environnement, nous avons opté pour la culture bio car qui dit culture dit utilisation de pesticides et de produits chimiques qui appauvrissent la terre et l’environnement. En optant pour l’agriculture bio, nous essayons de réduire ce phénomène en utilisant des matières organiques naturelles bonnes pour la terre et qui font un plus à l’environnement. Au niveau de la transformation, nous fabriquons des produits qui traitent, soignent et embellissent des gens. Et tout le monde sait qu’il n’y a rien de mieux pour le corps et l’organisme humain que le naturel bio car non seulement ce sera toujours sans risque mais [aussi] toujours sain. Vous travaillez sur toutes les étapes de l’aloe : de la plantation à la vente des produits finis sans oublier la fabrication. En premier lieu, pouvez-vous nous parler de la plantation d’aloe vera et des étapes de la production ? La plantation est faite sur 8000 m² pour le moment, elle compte 5000 plantes d’aloe vera Barbadensis Miller, elle se situe à Santhiou Dara dans la commune de Diender, région de Thiès. Les premières plantes ont été plantées depuis 2016 jusque-là et c’est un processus de continuité : [c’est] en plantant d’autres au fur et à mesure que nous avançons. Nous faisons 4 récoles de 10 feuilles par plante, par an. Les plantes sont agencées en lignes verticales espacées de 1 mètre entre les lignes et entre les plantes. Pouvez-vous nous expliquer le processus d’extraction et conservation de l’aloe vera ? D’abord nous faisons nos récoles au niveau de la plantation, puis on les envoie à Dakar là où se fera leur transformations. Une fois sur place, nous séparons les feuilles récoltées dans des bassines de 200 litres pour les laver et les débarrasser de la poussière, la terre… Puis nous les transférons dans d’autres bassines javellisées pour la désinfection durant 1h. De là, nous les retransférons encore dans d’autres bassines d’eau pure et neutre pour enlever toute trace de javel et puis nous procédons à la décortication des feuilles en séparant la pulpe et la peau dans un cadre doté d’une hygiène stricte. Puis on récupère la pulpe, on la lave pour enlever l’aloïne (c’est un composé amer de couleur jaune-marron qui est dans la feuille d’aloe vera entre la pulpe et la peau), puis nous passons les pulpes sans aloïne au mixeur bien désinfecté pour obtenir le gel d’aloe que l’on utilisera après, pour la fabrication de nos produits finis. Le gel obtenu est conservé par la suite dans des réfrigérateurs à une température de 7 à 8°C. Quels sont les produits que vous commercialisez ? Pour nos produits finis nous avons [en aloe vera] : du gel, gel capillaire, gel facial, gel hydratant, gel anti-moustique, lait corporel hydratant, crème corporel hydratante, crème capillaire, crème anti-moustique, tonifiant capillaire, huile, 7 savons différents à base d’aloe vera, jus d’aloe vera … Comment se passe la distribution desdits produits ? Nous proposons des points de vente, livraison à domicile, commande en ligne. Nous comptons aussi participer à des
marchés d’expositions bios et surtout nous approcher des privés comme les hôtels, les boutiques cosmétiques etc. A quels prix sont-ils vendus ? Les prix sont abordables et varient entre 1500f Cfa et 12000f Cfa pour les prix en détail, et moins pour les prix en gros. Forever living products pour exemple est une entreprise américaine spécialisée dans l’aloe vera. Elle vend au Sénégal et son expertise est reconnue. Face à cette concurrence, quelles sont les valeurs ajoutées de vos produits ? Nos produits ont une concentration de 98% d’aloé véra et vu que nous avons nos propres ressources ici sur place, nous vendons nos produits à des prix moins chers qu’eux. Prévoyez-vous d’étendre vos activités à d’autres plantes ou resterez-vous sur l’aloe vera ? Oui, nous prévoyons d’étendre nos activités à d’autres plantes que l’on utilise souvent dans la fabrication de certains produits comme : le romarin, basilic, lavande, menthe, eucalyptus, citronnelle, moringa, papayer … mais toutes dans le cadre du bio naturel. Contacts : Facebook : Takhar Téléphone : +221 78 488 90 99 / +227 77 182 02 76 Email : [email protected] / [email protected]
0 notes
kafunel · 11 months
Text
A 27 ans, la directrice générale et cofondatrice de la société Takhar-Aloè est au four et au moulin. De la production à la vente de produits finis de l’aloe vera, l’entreprise demande une vigilance de tous les instants. Entretien avec une jeune femme pour qui, de belle découverte, l’aloe vera se mua bien vite en une passion faite pour durer. Qui a été à l’origine de cette démarche ? Et quel facteur a présidé à celle-ci ? Cette démarche a été lancée par Mr Francisco Ramirez Mesa, un Espagnol résidant au Sénégal qui est non seulement mon partenaire mais aussi un grand passionné de l’aloé vera et du bio naturel. C’est lui qui m’a transmis l’amour de cette plante miraculeuse. Aujourd’hui au Sénégal, nous notons l’apparition de nouvelles maladies dues à la dépigmentation et à l’usage des produits cosmétiques chimiques surtout chez les femmes. A la fin elles se retrouvent avec des boutons, taches, vergetures, rides …) et d’autre encore qui ont des problèmes gastriques, problèmes cardiaques, des diabétiques … Pour remédier à toutes ces problèmes, nous nous sommes intéressés à une solution qui leur permettra de se soigner avec des produits naturels sans risque. Pouvez-vous nous retracer un bref historique de l’initiative aloé vera ? Apres la découverte de cette plante (l’aloé véra) avec ses multiples vertus, son importance et aussi après avoir eu à l’utiliser dans la fabrication de divers produits cosmétiques bios et de complément alimentaire bio à l’usage personnel, on s’est dit pourquoi pas implanter une exploitation d’aloé vera ici même au Sénégal. Nous nous sommes dits que ce sera non seulement une première mais que cela permettra aussi à cette population d’avoir l’occasion de connaitre réellement l’aloé vera et profiter de ses vertus pour résoudre certains problèmes liés à la santé, à l’esthétique… sans pour autant avoir à dépenser beaucoup d’argent par rapport a ce qu’ils dépensent au niveau des produits importés. De là est née TaKhar-Aloès. Pourquoi le choix spécifique de l’aloe vera ? Nous nous somme focalisés sur l’aloé véra tout d’abord car c’est une plante médicinale avec d’incroyables qualités. Et c’est aussi une plante qui ne se cultive pas ici alors il fallait faire la différence, ouvrir une porte et permettre à d’autres agriculteurs qui s’y intéressent d’avoir le courage de se lancer dans la production. L’aloé vera est une plante qui se développe facilement ici car le climat lui est favorable. Elle ne nécessite pas beaucoup d’eau, elle est résistante et fait face aux attaques et à certains facteurs qui peuvent être à l’origine de la destruction de cultures. Accompagnée de matières organiques naturelles sur un sol argileux l’aloé vera se développe facilement, sans difficulté. Voilà en gros ce qui nous a poussé à nous focaliser sur l’aloé véra ici au Sénégal. « … IL EXISTE UNE ARCHIVE D’ETHNOPHARMACOLOGIE À L’UNIVERSITÉ PANAMÉRICAINE D’EDIMBOURG, TEXAS OÙ PLUS DE 3000 REMÈDES MAISON SONT TROUVÉS AVEC L’ALOE VERA COMME INGRÉDIENT ESSENTIEL » Quelles sont les spécifiques de cette plante ? Et à quoi sert-elle ? L’aloé véra est un supplément nutritionnel naturel, un stimulant du système immunitaire qui protège des problèmes gastriques et intestinaux et des troubles respiratoires et cardiaques. C’est un activateur de la circulation sanguine qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes, cicatrisantes, hydratantes. Il contribue à la régénération naturelle des cellules et de la peau ; il a des effets bénéfique sur les taches, les rides, les vergetures, les brulures, les cheveux, les blessures, les irritations, l’herpès génital, psoriasis. Il soulage les douleurs musculaires, et articulaires, réduit la plaque dentaire, réduit le taux de glucose chez les diabétiques…. D’après des recherches, il existe une archive d’ethnopharmacologie à l’université panaméricaine de Edimbourg, Texas, où plus de 3000 remèdes maison sont trouvés avec l’aloe vera comme ingrédient essentiel. Donc on peut dire que c’est un ingrédient naturel pour différents remèdes.
En quoi consiste la différence entre l’aloe vera bio et non bio ? La différence ente l’aloé vera bio et non bio commence d’abord au niveau de l’exploitation. Pour l’aloé vera bio, il faudra le cultiver dans un endroit non pollué, de préférence hors de la ville, loin de la pollution causée par les voitures, les déchets déversés par l’homme dans la nature … [Pour l’aloe vera bio] utiliser des matières organiques naturelles pour traiter les plantes comme le humus naturel liquide ou solide, l’huile de neem… Au niveau de la transformation, utiliser au minimum 98% d’aloe vera bio et des composants naturels. Le non bio, c’est le contraire : c’est possible de le cultiver dans des milieux plus ou moins pollués, de traiter les plantes avec des pesticides chimiques et les transformer également avec des composants chimiques pour obtenir des produits finis. Pourquoi le choix du bio ? Vu que nous sommes dévoués à participer à la protection de l’environnement, nous avons opté pour la culture bio car qui dit culture dit utilisation de pesticides et de produits chimiques qui appauvrissent la terre et l’environnement. En optant pour l’agriculture bio, nous essayons de réduire ce phénomène en utilisant des matières organiques naturelles bonnes pour la terre et qui font un plus à l’environnement. Au niveau de la transformation, nous fabriquons des produits qui traitent, soignent et embellissent des gens. Et tout le monde sait qu’il n’y a rien de mieux pour le corps et l’organisme humain que le naturel bio car non seulement ce sera toujours sans risque mais [aussi] toujours sain. Vous travaillez sur toutes les étapes de l’aloe : de la plantation à la vente des produits finis sans oublier la fabrication. En premier lieu, pouvez-vous nous parler de la plantation d’aloe vera et des étapes de la production ? La plantation est faite sur 8000 m² pour le moment, elle compte 5000 plantes d’aloe vera Barbadensis Miller, elle se situe à Santhiou Dara dans la commune de Diender, région de Thiès. Les premières plantes ont été plantées depuis 2016 jusque-là et c’est un processus de continuité : [c’est] en plantant d’autres au fur et à mesure que nous avançons. Nous faisons 4 récoles de 10 feuilles par plante, par an. Les plantes sont agencées en lignes verticales espacées de 1 mètre entre les lignes et entre les plantes. Pouvez-vous nous expliquer le processus d’extraction et conservation de l’aloe vera ? D’abord nous faisons nos récoles au niveau de la plantation, puis on les envoie à Dakar là où se fera leur transformations. Une fois sur place, nous séparons les feuilles récoltées dans des bassines de 200 litres pour les laver et les débarrasser de la poussière, la terre… Puis nous les transférons dans d’autres bassines javellisées pour la désinfection durant 1h. De là, nous les retransférons encore dans d’autres bassines d’eau pure et neutre pour enlever toute trace de javel et puis nous procédons à la décortication des feuilles en séparant la pulpe et la peau dans un cadre doté d’une hygiène stricte. Puis on récupère la pulpe, on la lave pour enlever l’aloïne (c’est un composé amer de couleur jaune-marron qui est dans la feuille d’aloe vera entre la pulpe et la peau), puis nous passons les pulpes sans aloïne au mixeur bien désinfecté pour obtenir le gel d’aloe que l’on utilisera après, pour la fabrication de nos produits finis. Le gel obtenu est conservé par la suite dans des réfrigérateurs à une température de 7 à 8°C. Quels sont les produits que vous commercialisez ? Pour nos produits finis nous avons [en aloe vera] : du gel, gel capillaire, gel facial, gel hydratant, gel anti-moustique, lait corporel hydratant, crème corporel hydratante, crème capillaire, crème anti-moustique, tonifiant capillaire, huile, 7 savons différents à base d’aloe vera, jus d’aloe vera … Comment se passe la distribution desdits produits ? Nous proposons des points de vente, livraison à domicile, commande en ligne. Nous comptons aussi participer à des
marchés d’expositions bios et surtout nous approcher des privés comme les hôtels, les boutiques cosmétiques etc. A quels prix sont-ils vendus ? Les prix sont abordables et varient entre 1500f Cfa et 12000f Cfa pour les prix en détail, et moins pour les prix en gros. Forever living products pour exemple est une entreprise américaine spécialisée dans l’aloe vera. Elle vend au Sénégal et son expertise est reconnue. Face à cette concurrence, quelles sont les valeurs ajoutées de vos produits ? Nos produits ont une concentration de 98% d’aloé véra et vu que nous avons nos propres ressources ici sur place, nous vendons nos produits à des prix moins chers qu’eux. Prévoyez-vous d’étendre vos activités à d’autres plantes ou resterez-vous sur l’aloe vera ? Oui, nous prévoyons d’étendre nos activités à d’autres plantes que l’on utilise souvent dans la fabrication de certains produits comme : le romarin, basilic, lavande, menthe, eucalyptus, citronnelle, moringa, papayer … mais toutes dans le cadre du bio naturel. Contacts : Facebook : Takhar Téléphone : +221 78 488 90 99 / +227 77 182 02 76 Email : [email protected] / [email protected]
0 notes
brookstonalmanac · 1 year
Text
Birthdays 5.21
Beer Birthdays
Frederick Kirschner (1856)
Nick Matt (1945)
Five Favorite Birthdays
Albrecht Durer; artist (1471)
Plato; Greek philosopher (428 B.C.E.)
Judge Reinhold; actor (1957)
Marc Ribot; rock guitarist (1954)
Henri Rousseau; French artist (1844)
Famous Birthdays
Fairuza Balk; actor (1974)
Bill Barber; jazz tubaist (1920)
Mike Barson; rock keyboardist (1958)
Raymond Burr; actor (1917)
Peggy Cass; comedian (1924)
Nick Cassavetes; actor (1959)
Bill Champlin; rock guitarist, singer (1947)
Glenn Curtiss; inventor, aviation pioneer (1878)
Al Franken; comedian, writer, actor (1951)
Josh Hamilton; Texas Rangers OF (1981)
Armand Hammer; industrialist (1898)
Robert Hatch; actor (1945)
Ronald Isley; singer (1941)
Dorsey Levens; Green Bay Packers RB (1970)
Marie McCray; porn actor (1985)
Robert Montgomery; actor (1904)
Notorious B.I.G.; rapper (1972)
Alexander Pope; English writer (1688)
Harold Robbins; writer (1916)
Andrei Sakharov; Russian physicist (1921)
Leo Sayer; actor (1948)
Biggie Smalls; rapper (1972)
Mr. T; actor (1952)
Fats Waller; jazz pianist (1904)
0 notes
oldmke · 1 year
Text
Tumblr media
The Milwaukee Art Institute, a municipally supported art center at 772 N. Jefferson St., began in 1888 when a group of local painters incorporated as the Milwaukee Art Association. The building pictured here, remodeled in 1910 from a lumber office by Harry Bogner, had a white cut stone facade richly ornamented in French Renaissance style. In its permanent collection were etchings by Zorn, Whistler, Durer, Haden and Rembrandt; wood block engravings by Cole, engravings by Piranesi, and fine quality prints from Corot, Daubigny, Millet, Rousseau and Delacroix. The institute also provided art instruction for adults and free classes for children. In 1958, came the move to the lakefront as the Milwaukee Art Center. This area is now occupied by shops. (Photo and information from the Milwaukee Public Library local history collection; additional information from Mrs. Laurence Donovan.)
0 notes
lemiroirdelinfo · 2 years
Text
Ravageurs de la papaye : Des agents d’Agriculture à l’école de la gestion intégrée de la cochenille farineuse
Ravageurs de la papaye : Des agents d’Agriculture à l’école de la gestion intégrée de la cochenille farineuse
Ouverture ce mercredi 11 mai 2022, à Sapouy, d’un atelier de formation au profit des agents des Directions Régionales en charge de l’Agriculture, sur la gestion intégrée de la cochenille farineuse du papayer (Paracoccus marginatus). Prévue pour durer deux jours, la session est placée sous la présidence du Directeur Provincial de l’Agriculture du Ziro, Mr Hamadou Lingani, avec la présence…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
katakaal · 11 months
Text
A 27 ans, la directrice générale et cofondatrice de la société Takhar-Aloè est au four et au moulin. De la production à la vente de produits finis de l’aloe vera, l’entreprise demande une vigilance de tous les instants. Entretien avec une jeune femme pour qui, de belle découverte, l’aloe vera se mua bien vite en une passion faite pour durer. Qui a été à l’origine de cette démarche ? Et quel facteur a présidé à celle-ci ? Cette démarche a été lancée par Mr Francisco Ramirez Mesa, un Espagnol résidant au Sénégal qui est non seulement mon partenaire mais aussi un grand passionné de l’aloé vera et du bio naturel. C’est lui qui m’a transmis l’amour de cette plante miraculeuse. Aujourd’hui au Sénégal, nous notons l’apparition de nouvelles maladies dues à la dépigmentation et à l’usage des produits cosmétiques chimiques surtout chez les femmes. A la fin elles se retrouvent avec des boutons, taches, vergetures, rides …) et d’autre encore qui ont des problèmes gastriques, problèmes cardiaques, des diabétiques … Pour remédier à toutes ces problèmes, nous nous sommes intéressés à une solution qui leur permettra de se soigner avec des produits naturels sans risque. Pouvez-vous nous retracer un bref historique de l’initiative aloé vera ? Apres la découverte de cette plante (l’aloé véra) avec ses multiples vertus, son importance et aussi après avoir eu à l’utiliser dans la fabrication de divers produits cosmétiques bios et de complément alimentaire bio à l’usage personnel, on s’est dit pourquoi pas implanter une exploitation d’aloé vera ici même au Sénégal. Nous nous sommes dits que ce sera non seulement une première mais que cela permettra aussi à cette population d’avoir l’occasion de connaitre réellement l’aloé vera et profiter de ses vertus pour résoudre certains problèmes liés à la santé, à l’esthétique… sans pour autant avoir à dépenser beaucoup d’argent par rapport a ce qu’ils dépensent au niveau des produits importés. De là est née TaKhar-Aloès. Pourquoi le choix spécifique de l’aloe vera ? Nous nous somme focalisés sur l’aloé véra tout d’abord car c’est une plante médicinale avec d’incroyables qualités. Et c’est aussi une plante qui ne se cultive pas ici alors il fallait faire la différence, ouvrir une porte et permettre à d’autres agriculteurs qui s’y intéressent d’avoir le courage de se lancer dans la production. L’aloé vera est une plante qui se développe facilement ici car le climat lui est favorable. Elle ne nécessite pas beaucoup d’eau, elle est résistante et fait face aux attaques et à certains facteurs qui peuvent être à l’origine de la destruction de cultures. Accompagnée de matières organiques naturelles sur un sol argileux l’aloé vera se développe facilement, sans difficulté. Voilà en gros ce qui nous a poussé à nous focaliser sur l’aloé véra ici au Sénégal. « … IL EXISTE UNE ARCHIVE D’ETHNOPHARMACOLOGIE À L’UNIVERSITÉ PANAMÉRICAINE D’EDIMBOURG, TEXAS OÙ PLUS DE 3000 REMÈDES MAISON SONT TROUVÉS AVEC L’ALOE VERA COMME INGRÉDIENT ESSENTIEL » Quelles sont les spécifiques de cette plante ? Et à quoi sert-elle ? L’aloé véra est un supplément nutritionnel naturel, un stimulant du système immunitaire qui protège des problèmes gastriques et intestinaux et des troubles respiratoires et cardiaques. C’est un activateur de la circulation sanguine qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes, cicatrisantes, hydratantes. Il contribue à la régénération naturelle des cellules et de la peau ; il a des effets bénéfique sur les taches, les rides, les vergetures, les brulures, les cheveux, les blessures, les irritations, l’herpès génital, psoriasis. Il soulage les douleurs musculaires, et articulaires, réduit la plaque dentaire, réduit le taux de glucose chez les diabétiques…. D’après des recherches, il existe une archive d’ethnopharmacologie à l’université panaméricaine de Edimbourg, Texas, où plus de 3000 remèdes maison sont trouvés avec l’aloe vera comme ingrédient essentiel. Donc on peut dire que c’est un ingrédient naturel pour différents remèdes.
En quoi consiste la différence entre l’aloe vera bio et non bio ? La différence ente l’aloé vera bio et non bio commence d’abord au niveau de l’exploitation. Pour l’aloé vera bio, il faudra le cultiver dans un endroit non pollué, de préférence hors de la ville, loin de la pollution causée par les voitures, les déchets déversés par l’homme dans la nature … [Pour l’aloe vera bio] utiliser des matières organiques naturelles pour traiter les plantes comme le humus naturel liquide ou solide, l’huile de neem… Au niveau de la transformation, utiliser au minimum 98% d’aloe vera bio et des composants naturels. Le non bio, c’est le contraire : c’est possible de le cultiver dans des milieux plus ou moins pollués, de traiter les plantes avec des pesticides chimiques et les transformer également avec des composants chimiques pour obtenir des produits finis. Pourquoi le choix du bio ? Vu que nous sommes dévoués à participer à la protection de l’environnement, nous avons opté pour la culture bio car qui dit culture dit utilisation de pesticides et de produits chimiques qui appauvrissent la terre et l’environnement. En optant pour l’agriculture bio, nous essayons de réduire ce phénomène en utilisant des matières organiques naturelles bonnes pour la terre et qui font un plus à l’environnement. Au niveau de la transformation, nous fabriquons des produits qui traitent, soignent et embellissent des gens. Et tout le monde sait qu’il n’y a rien de mieux pour le corps et l’organisme humain que le naturel bio car non seulement ce sera toujours sans risque mais [aussi] toujours sain. Vous travaillez sur toutes les étapes de l’aloe : de la plantation à la vente des produits finis sans oublier la fabrication. En premier lieu, pouvez-vous nous parler de la plantation d’aloe vera et des étapes de la production ? La plantation est faite sur 8000 m² pour le moment, elle compte 5000 plantes d’aloe vera Barbadensis Miller, elle se situe à Santhiou Dara dans la commune de Diender, région de Thiès. Les premières plantes ont été plantées depuis 2016 jusque-là et c’est un processus de continuité : [c’est] en plantant d’autres au fur et à mesure que nous avançons. Nous faisons 4 récoles de 10 feuilles par plante, par an. Les plantes sont agencées en lignes verticales espacées de 1 mètre entre les lignes et entre les plantes. Pouvez-vous nous expliquer le processus d’extraction et conservation de l’aloe vera ? D’abord nous faisons nos récoles au niveau de la plantation, puis on les envoie à Dakar là où se fera leur transformations. Une fois sur place, nous séparons les feuilles récoltées dans des bassines de 200 litres pour les laver et les débarrasser de la poussière, la terre… Puis nous les transférons dans d’autres bassines javellisées pour la désinfection durant 1h. De là, nous les retransférons encore dans d’autres bassines d’eau pure et neutre pour enlever toute trace de javel et puis nous procédons à la décortication des feuilles en séparant la pulpe et la peau dans un cadre doté d’une hygiène stricte. Puis on récupère la pulpe, on la lave pour enlever l’aloïne (c’est un composé amer de couleur jaune-marron qui est dans la feuille d’aloe vera entre la pulpe et la peau), puis nous passons les pulpes sans aloïne au mixeur bien désinfecté pour obtenir le gel d’aloe que l’on utilisera après, pour la fabrication de nos produits finis. Le gel obtenu est conservé par la suite dans des réfrigérateurs à une température de 7 à 8°C. Quels sont les produits que vous commercialisez ? Pour nos produits finis nous avons [en aloe vera] : du gel, gel capillaire, gel facial, gel hydratant, gel anti-moustique, lait corporel hydratant, crème corporel hydratante, crème capillaire, crème anti-moustique, tonifiant capillaire, huile, 7 savons différents à base d’aloe vera, jus d’aloe vera … Comment se passe la distribution desdits produits ? Nous proposons des points de vente, livraison à domicile, commande en ligne. Nous comptons aussi participer à des
marchés d’expositions bios et surtout nous approcher des privés comme les hôtels, les boutiques cosmétiques etc. A quels prix sont-ils vendus ? Les prix sont abordables et varient entre 1500f Cfa et 12000f Cfa pour les prix en détail, et moins pour les prix en gros. Forever living products pour exemple est une entreprise américaine spécialisée dans l’aloe vera. Elle vend au Sénégal et son expertise est reconnue. Face à cette concurrence, quelles sont les valeurs ajoutées de vos produits ? Nos produits ont une concentration de 98% d’aloé véra et vu que nous avons nos propres ressources ici sur place, nous vendons nos produits à des prix moins chers qu’eux. Prévoyez-vous d’étendre vos activités à d’autres plantes ou resterez-vous sur l’aloe vera ? Oui, nous prévoyons d’étendre nos activités à d’autres plantes que l’on utilise souvent dans la fabrication de certains produits comme : le romarin, basilic, lavande, menthe, eucalyptus, citronnelle, moringa, papayer … mais toutes dans le cadre du bio naturel. Contacts : Facebook : Takhar Téléphone : +221 78 488 90 99 / +227 77 182 02 76 Email : [email protected] / [email protected]
0 notes