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#porte verte
jarrimimram · 2 years
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jeanfrancoisrey · 2 months
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Porte vert céladon, Maubec, Luberon …
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grandboute · 2 years
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A quai
Hommage et gratitude à la SNSN (société nationale des sauveteurs en mer)
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philoursmars · 1 year
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent....  
Marseille, le Vieux-Port : en alternance, le Marché aux Poissons (avec dans l’ordre : Serran écriture, Crénilabre paon, Labre vert puis Roussettes puis Baudroies) et le plan d’eau : l’arrivée du Maïté et de l’aviron
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guilbertjj · 1 year
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art-vortex · 8 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Diamant de la Chance" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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korunia · 8 months
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Library - Living Room Large country enclosed living room library photo with white walls, a medium tone wood floor, and no fireplace or television.
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claviculars · 8 months
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Landscape Gravel
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Inspiration for a sizable, gravel-covered Mediterranean backyard in the summer.
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alinenaturelle · 2 years
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Belle balade hier le long du Canal Saint Martin. Enfin un dimanche où il ne faisait pas trop chaud pour en profiter 😃 Pour celles et ceux qui ne connaissent pas Paris, le Canal St Martin a été construit au début du 19ème siècle. Il est peu à peu devenu un lieu de vie unique et très prisé des parisiens pour sa verdure (grands arbres, parcs...), ses boutiques aux devantures colorées et tous les petits bars et bistrots longeant le canal 🍹. L'ambiance y est toujours assez "cool", le jour entre nature et culture (street art etc.), plus animée le soir/nuit avec ses multiples lieux de fête 🍻🥳🍸 Le Canal St Martin relie le Port de l'Arsenal (oui il y a un Port DANS Paris 😉 ) au bassin de la Villette (petite carte en photo 5) 🏞️ C'est donc la promenade que nous avons faite (environ 4,5 kilomètres, 9 aller/retour) 🚶‍♀️🚶‍♂️ Je n'ai pas du tout senti la distance, c'était tellement agréable de se promener au fil de l'eau (oui même un canal ça dépayse quand on a passé l'été coincée à Paris...), toutes ces jolies petites écluses le long du trajet (cf. photo 2) et la VERDURE ! J'avoue je n'ai pas compris comment ces grands arbres et tous ces parcs pouvaient être aussi vert alors qu'il n'a vraiment plu qu'une seule fois de tout l'été (et oui j'étais dessous, cf. mon Réel !!). 🌳🌳Mystère... Tout le long du canal il y a de petits ponts, très rapprochés, qui permettent de passer d'une rive à l'autre juste pour changer de point de vue, ou pour aller voir une boutique, un bistrot, un petit resto 🌉. Par contre les "normes" architecturales n'étaient sûrement pas les mêmes à l'époque car les ponts sont très hauts mais peu larges d'où des ESCALIERS VERTIGINEUX, la descente est flippante 😨 Enfin environ 500 mètres avant la Place de la #Bastille le Canal St Martin plonge sous terre (cf. photo 3, Boulevard Richard Lenoir) pour ressurgir dans le Port de l'Arsenal (Photo 4). Voilà je m'arrête là mais je vous raconterai peut-être dans un prochain post notre repas du soir (bien mérité, on avait FAIM !!) #Paris #canal #canalsaintmartin #port #portarsenal #promenade #ponts #ecluses #verdure #vert #greenparis #walk #shops #bistros #alongthewater (à Canal Saint-Martin) https://www.instagram.com/p/Ch2z7W1q7Tc/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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jamie-007 · 2 months
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À la Saint-Patrick, la tradition en Irlande veut que tout le monde porte quelque chose de vert ce jour-là, sous peine d'avoir droit à des blagues toute la journée .
🍀🐸🍏🌱☘️💚
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jarrimimram · 1 year
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jeanfrancoisrey · 2 months
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Porte vert céladon de Maubec, Luberon…
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grandboute · 2 years
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Harbor
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chicinsilk · 1 month
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US Vogue April 1, 1961
A model wears a silk surah dress, printed "Gauguin", parrot green, purple and blue. The dress is sleeveless, the skirt is full, tied with a purple silk surah ribbon. By Samuel Winston. Castlecliff Necklaces. Huge black straw hat by Mr. John.
Un modèle porte une robe en surah de soie, imprimée "Gauguin", vert perroquet, violet et bleu. La robe est sans manches, la jupe est ample, nouée par ruban en surah de soie violette. Par Samuel Winston. Colliers Castlecliff. Immense chapeau de paille noire par Mr. John.
Photo Irving Penn vogue archive
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ekman · 2 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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fieriframes · 3 months
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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