Tumgik
loxy0473 · 7 years
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Connasse
Août, chaleur, volets fermés  Se câliner toute la journée   Des plats moitié mangés  Des films en streaming moitié regardés  Fumer, fumer toute la nuit  Loin de la réalité et de l'ennui, Une douce larme au coin de l'œil, écoute rageux, faut être courageux pour oser avancer, laisse le passé de côté pour embrasser ton avenir, je le vois venir, il fait sourire, aller balaye tes soupirs, ça sera jamais plus pire. Toujours pas devin, passe le vin, y’a l’ivresse qui m’appelle, “ non je ne suis pas fidèle mais tu n'es pas si belle”, de toute façon au prochain appel, tu me connais je serai déjà partie dans les rave party, l’insomnie et l'herbe, le monde m’appartenait et j’y croyais. Je rentre à pas d'heure, y'a ma mère qui gueule, mais je suis borné, écorché, complètement déglingué. Y a deux ans, j'étais pizza au lait, maintenant y'a plus que sous pollen que tu peux me croiser, tu crois que c'est à cause de la dépression ?  Dans le balcon, j'ai pas arrêté de refaire le monde, de le défaire aussi, putain si tu nous voyais avec nos grands rêves de cons qu'on réalisera inconsciemment, fin, ça c'est ce que j'espère sciemment. L'angoisse n'a jamais eu mon âme, aussi engagé que révolté, je vomirai ma haine jusqu'à en crever, indignez vous c'est indigne de tenir cette vie, c'est pire qu'une dingue la vie ou digne d'un signe de Dieu, si tu veux mais avec le temps j'ai appris qu'il faut des réalités pour faire des heureux . Quand j'avais cinque ou dix ans, j'avais la tête trop pleine pour rêver, j'ai tenté de m'élever en bouffant des documentaires ou en gambergeant, Meuf ! Je sais que tu m'as choisi. Je devrais être bien là-haut, la tête pleine d'étoiles, mais je suis dans l'espace. J'avais oublié que dans l'espace on ne peut pas respirer. J'avais oublié que le soleil éclaire directement tous mes défauts. J'avais oublié que si tu te rapproches de moi tu verras à quel point je suis spontané, que je suis juste moi, maladroit avec l'amour comme pour faire des nœuds. J'avais oublié que je suis en vie sans l'avoir demandé, à peine défiant cette vie qui m'a été donnée. Putain, voilà que ça recommence, voilà que je pense à toi, j'aimerais que ça s'arrête, que ce soit la dernière fois, car depuis toi j'ai changé, j'ai même arrêté d'écrire. Donc fallait que je te le dise au moins dans un roman, tu n'as pas été ma renaissance mais mon autodestruction, fallait que je réalise, quand on oublie, on oublie pas !! Moi la haine je ne connais pas, dis-moi est-ce que tu te sens heureuse quand tu te fous de moi ?! On a fait presque comme tous les autres, on s'est promis notre vie, et moi comme un petit con j'y crois encore aujourd'hui. j'aimerais tellement te haïr, pouvoir te souhaiter le pire. tu étais l'unique rêve qui me facilitera la vie, une si belle mensonge, mais surtout la raison de mon autodestruction, parce que quand on oublie, on oublie pas. Tandis que mon coeur a vu en toi le sourire de mon chagrin, Où étais-tu mon ange quand je pleurais jusqu'au matin, que je m'enfermais dans le noir pour tenter de guérir, que je buvais la mort pour oublier de souffrir, que je fumais tellement pour me calmer .. Chose que t'as souvent ignorer, quand on aime on ne fais jamais semblant, dis-moi est-ce que tu l'aimes quand tu es dans ses bras ?!! J'écris souvent des chansons, je ne les chante pas a cause de ma voix. Je trouve du mal a chanter ton nom, je ne le dis pas, des frissons qui m'envahissent a chaque fois que je le prononce, des tas d'histoires que tu t'inventes chaque nuit. Baiser, romance d'un soir si ça t'enchante, faut pas le dire mais c'était court, oui je le sais, faut pas l'écrire ça pue l'amour. Au pire, ça sert à rien pourquoi courir, Il y en a plein des filles désir, ce que tu touches tu le détruis, et mon corps se couche sur ton ennui, enfin, j'ai fait l'impasse sur les mots doux comme une terrasse en plein mois d'août. Fais pas semblant, je le sais, tu ne me veux pas parce que je te hais mais c'est pas grave tant pis, la possibilité de t'aimer est comme gravir une montagne, je l’ai déjà envisagé tu peux sortir le champagne car je veux commencer quelque chose de nouveau. Putain, laisse moi espérer un avenir plus beau, un soir, j'ai loué une voiture je suis parti à la mer, Khalid e' boucle, tout seul je te jure voyage en solitaire, c'était un nouveau vrai départ . #wayel #∀
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loxy0473 · 7 years
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Je suis
Je suis Je suis celui qui t'obsède jour et nuit Je suis celui que tu n'arriveras pas à oublier Je suis tes insomnie éternels Je suis la prose que tu lis chaque nuit Je suis les visages des passants Mon corps est la raison de tes nouvelles blessures L'hystérie merdique que tu contrôles La principale tragédie que tu ressasses Je suis celui qui t'échappe et tu t'affoles Je suis l'ombre des planches Je suis l'absent et le présent Je suis le poison et l'horizon clair Je suis le vide dans ton lit Je suis le silence d'un entracte Je suis ton lit qui craque le résultat de tes errances Je suis ton erreur et ta plus belle réussite Ton bonheur et ton délit de fuite Je suis le délire de ton journal Le tueur en série de ton village Je suis les paroles de tes putain de musiques Je suis ton expérience, ta seconde peau Le geôlier de tes pensées Je les retiens jusqu'à la rosée Je suis l'humidité sous tes yeux Je suis la bête dans ton dos qui laisse des marques sur ta peau Celui que tu refuses de comparer et pourtant je me démarque aussitôt Je suis le sceptre de ta solitude Je suis la joie et la souffrance Je suis ta fantaisie Je suis celui que tu cherches Je suis celui que tu suis Je suis et je serais celui que tu désires Je suis ta pluie chaude en plein hiver Je suis le clown qui te fait marrer Je suis l'amour oublié Je suis la voix qui te fait brûler Celle qui t'en veux a mort Celle qui te cherche chaque nuit Je suis l'espoir L'envie qui te fait avancer après chaque coup Je suis la déception et la réalité Je suis tes rêves , tes larmes en lot Je suis ta vie . #wayel
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loxy0473 · 7 years
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Ma mère m'a dit
Je me faisais des aqua pour ne plus se noyer dans mes pensées, j'ai la vie devant moi et des idées derrière la tête, y a t'il une logique dans tout ça ?  j'ai pas trouvé l'inspiration depuis la dernière averse putain .
En vrai, je vis avec ce qui me tue et la fatigue me dupe, ces désirs ont pris le dessus et laissent en moi d'infimes fêlures, le matin quand je me réveille lentement, j'attends la nuit impatiemment, c'est comme un pansement, crois moi, y'a qu'avec elle que j'ai pas sommeil, ouais, aucun de ces matins ne me donne du bonheur, peu de nicotine et la caféine comme seul moteur, souvent, j'attends le soir pour atteindre les hauteurs et dévoiler le contenu de mon coffre . Ça va aller, seulement, je vous oublie si facilement qu'il suffit que je ferme les yeux pour voir s'effacer le monde, je vois le soleil dès l'aube heurter le peu de mon espoir et je me dis dans mon lit : " petit con barre-toi, ne crois pas que le labeur tue " finalement, sans rigoler, le temps m'isole, je vis dans l'éloignement du monde qui m'environne, la fin du journée m'attire comme les yeux d'un portrait dans un musée ..
Ma mère m'a souvent expliqué qu'il vaut mieux être mi-loup, mi-homme, face à mon vœu le plus cher qui me restreint et m'emprisonne et m'égorge a petite dose .. Depuis, je me comporte comme un loup, je m’en-cloisonne pour apprivoiser mon âme, parce qu'à l'extérieur tout m'effraie, ma belle ,Il n'y a que vu de loin que la foule est belle, je m'évade et m'imagine parfois au milieu en ressentant ce que ça pourrait me faire, mais je me comporte comme un loup, de nos jour séduire une femme est à la portée du moindre imbécile, rompre avec elle est réservé seulement aux intrépides, mon putain de cœur est un pendule qui oscille entre une crainte et un désir, ouais , lorsque tu sors la nuit, je suis certainement en train d'écrire . Je vois ma vie comme une phrase interrompue, pendant des semaines et des mois combien de fois j'ai dit : "Aidez-moi putain " ? , alors que le plus dur c'est de s'aimer soi, mais dis moi comment dois-je faire pour me diriger vers autrui , alors que je suis confortable chez moi ? Chère amour , lorsque je voulais me faire des souvenirs, je me suis bousillé la mémoire ..
#wayel
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loxy0473 · 7 years
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Meuf, j'ai noirci des feuilles aussi blanches que mes nuits . J'ai allégé un cœur trop lourd . Tu as toujours su lire entre mes lignes, sous mes faux airs d'humour . Parles moi de tes douleurs , parles moi de tes joies, parles, parles moi tout court putain . 
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loxy0473 · 7 years
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Souvent , je nous imagine heureux 
Toi , en chemise ouverte 
Tes tétons pointaient 
Je te veux !
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loxy0473 · 7 years
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Adieu
Je diras au bon dieu que tu feras plus partie de ma vie Je lui dirais que t'étais mon bonheur Je lui dirais que t'étais l'ultime amour Au point de lui supplier ton paradis Quand tu m'as laissé, Et j'ai imaginé toute cette vie autour de toi Quand j'ai longtemps rêvé d'avoir place dans ta vie Et que t'étais un rêve qui me fais vivre Aujourd'hui ce même beau rêve me torture Je prierai dieu de t'offrir tout le bonheur Je prierai dieu de t'offrir ce beau sourire Sans moi , Je supplierai dieu d'éliminer ce rêve a jamais de mon coeur, même de ma propre imagination Je prierai dieu de ne plus verser de larmes Je prierai dieu d'être aussi fort qu'hier Je lui parlerai de toi Oui, je lui parlerai de toi
#wayel
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loxy0473 · 7 years
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L'hiver
L'hiver a toujours fait mes plus beaux souvenirs, il pleut, je suis sur le quai, comme tout les matins, j’attends un train qui m'emmènera ailleurs, là où la planète terre s'achève, et neptune prendra place . J'aperçois sur un banc bleu en plastique une femme est assise, je la regarde, cette femme est belle, d'une beauté froide et silencieuse des statues extra naturels, les goûts de pluie tombés sont comme des perles dans ses cheveux et le halo bleu du banc en plastique bon marché l'illumine, simplement, naturellement, sans prétention, sans putain de superficiel, mais à moi qui les observe, il me paraît évident que c'est parce que c'est elle que le halo bleu du plastique bon marché se change en lumière, il ne l'aurait certainement pas fait pour une autre et que les goûts de pluie se transforment en perles en tombant dans ses cheveux, en fait ils savent, le halo et la pluie savent que cette femme n'est pas vraiment là, qu'elle est ailleurs, hors du monde ordinaire qu'ils constituent et c'est pour ça que le halo bleu du plastique l'illumine tant, et que la pluie se changent tous en perles en tombant dans ses cheveux, c'est sûrement parce qu'ainsi ils essayent de rattacher cette femme à leur monde, mais la lumière et les perles humides glissent sur elle comme un l'âme qui apprend a marcher pieds nus . Souvent déçu de ce monde, pour une fois, je rencontre quelqu'un d'assez vaste pour pouvoir être en même temps ici et ailleurs, je la regarde avec de l'admiration et un peu de peur, parce que cette femme qui est à la fois là et pas là m'impressionne et que je me sens tout petit, comme si je me trouvais aux pieds d'une montagne, comme si j'étais seul et pourtant je ne suis pas seul puisqu'une femme est assise sur un banc en plastique bleu près de moi, je la regarde toujours, en fait je crois que je n'ai jamais cessé de la regarder, ce genre de femme que t'as en toi depuis tout petit, depuis tes premiers mots sur ces papiers entièrement vides, et l'imagination a fait ce statut, cette femme, ce putain de magie réellement possible, c'est un rêve qui est assis sur ce banc bleu, quelque part un oiseau ou un train siffle, et brusquement alors que je pensais à cette femme inconsciemment, à nous deux, une vérité essentielle m’est apparue, j’ai réalisé que je l’avais toujours su, juste une prise de conscience, un éveil, c'est ce drôle de sentiment qu'elle était toujours là, qu'il y a quelque chose de plus grand, de plus fort, d’indéfinissable, quelque chose qui me dépasse, maintenant, je sais, elle le sais aussi, nous savons, j’ai compris ce qui nous lie depuis tant d’années, c’est au-delà d’un simple attachement, nous sommes libres tout en étant unis, j'ai envie de l'aimer comme personnes sur terre, d'un amour infini, tellement pur qui m’apaise et me grandis spirituellement . Tu sais, au delà de ses lèvres si magnifiques, mes mots sont bien pauvres pour définir ce bonheur qu'elle me fait naitre a chaque seconde, je ne peux pas m’empêcher de l’aimer, mon âme ne le peut, je n’ai aucun contrôle, ce n’est pas son corps ou son esprit que j’aime, c’est au-delà, c’est ce fou impact en moi quand elle est là, je sais que je l’ai toujours connu, j’ai eu la chance de le rencontrer dans cette vie, je sais qu'elle existe et cela me suffit, je me sens pleinement vivant, joyeux, en harmonie, remplis d’un amour torride et surtout d’une grande paix intérieure, avec elle je comprends mieux la signification des mots magie et essentiel, qu'elle soit près ou loin de moi, que nous le voulions ou pas, nous sommes connectés et reliés, nul besoin de l’exprimer, nous nous comprenons bien au-delà des mots et des langages, alors peu importe qu'elle soit, dans cette vie, je sais que nous serons toujours liés par cette force invisible, je remercie l’univers de nous avoir fait nous rencontrer dans cette vie, merci à elle d’exister et de rendre mon âme plus belle, plus riche et plus vivante que jamais La femme d'un éclat lève des yeux indifférents, me regarde aussi, elle sourit, son sourire est légèrement moqueur, un peu triste et indéfinissablement doux, c'est ce genre de sourire qui sait et qui dit " je ne suis pas celle que vous attendez, je ne suis personne, d'ici deux heures vous m'aurez oublié, je le sais ", je la regarde et je comprends que c'est parce qu'elle sait qu'elle peut être et que c'est parce qu'elle est qu'elle peut ne pas être, putain je deviens fou ! Elle glisse sans bruit et sans mouvement entre les mailles du monde, le train qui entre en gare m'avale, j'hésite, car je veux partir et je veux rester , et la femme me fixe du regard immobile et indifférent, je monte finalement dans le train.  Quand je me penche par la fenêtre, la femme est partie, entendons-nous bien, il y a toujours une femme assise sur le banc mais ce n'est plus elle, elle s'en est allée ailleurs, et ni le halo bleu du plastique bon marché ni les goût de pluie qui se changent en perles n'ont pu la retenir, oui , elle est partie et je m'en vais rejoindre ma planète préféré comme chaque nuit . #wayel #A
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loxy0473 · 7 years
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Un livre 
Une magnifique créature 
Et mes lèvres qui rêvassent
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loxy0473 · 7 years
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Maman
- Mais maman je l'aime trop ! - Fils , écoutes, t'es trop pure pour elle ou pour quiconque . Son corps te blesse comme le monde blesse Dieu. T'es une lanterne . Ton âme semble beaucoup a la lune dont tu parles dans tes textes . T'es le paradis ... #wayo
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loxy0473 · 7 years
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C'est hyper inspirant ton blog , merci d'exister :)
J'apprécie beaucoup ton blog , bisous
Aww ! Adorable, merci :$ J'aime autant tes textes que ton blog ❤️
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loxy0473 · 7 years
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Je te hais
J'aime tes manies Air d'automne   Amour de mes nuits J'aime tes lèvres Au goût de pain chaud J'aime tes yeux Puits sans fond J'aime tes mains Pomme d'amour Sucrée, salée Le parfum de ton corps Pierre de lune éternelle Ma plume éteinte Se consume de bonheur Le froideur de ton coeur Glacial est cette nuit
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loxy0473 · 7 years
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A force d'écrire, je me suis souvent poser la même question, celle dont tu parles dans tes textes est hyper occupée avec son nouveau mec, est ce qu'elle pensera a lire tes conneries ?
Et bah en continuant a écrire, j'ai trouvé pleines de réponse a cette question qui me revient toujours, le premier jour ou j'ai pensé a écrire j'avais des tas de pensées a balancer sur mon papier, j'ai pensé a personne, j'avais juste envie d'écrire , l'envie qui a fait de moi l'esclave de certaines femmes poétiquement, elles se souviendrons sûrement qu'à certain moment j'écrivais pour elles, je me sentais pas bien a cet époque, j'avais l'instinct humain qui me chuchotait, il m'a souvent évoqué les malheurs que j'ai vécu a cause d'un amour perdu, j'ai jamais regretté un seul mot mise sur l'une de mes textes, ni un amour qui a su jouer avec mes mots, plutôt s'en servir pour passer quelque moments de gloire, les réactions froides, les mots blessants, le manque, tout ça pourra nous faire mal même si on le montre souvent pas a force de continuer a rêver , rêver d'un compte de fée, savourer un peu d'amour dans ce monde de barbare, laisser passer des tas de malheurs et se dire que ça va aller plus au moins, écrire pour s'évader, j'ai souvent penser a ça, oublier c'est impossible, continuer a penser a nos ambitions, nos vies n'ont jamais été basées sur la présence d'une personne en particulier, et d'un coup on tombe sur certaines personnes qui font trembler notre existence, la magie de tout aimer parce que on est bien accompagné, un seul être pourra chambouler toute notre notion de bonheur, j'ai résisté a ce bonheur lié a la présence d'une personne qu'on aime jusqu'à en mourir, aimer c'est prendre le risque de tout perdre a n'importe quel moment !!
La chute fait mal, on se fait du mal , faudrait qu'on passe a autre chose avant que notre coeur s'explose , les larmes arrivera le jour ou elles resteront a jamais a l'intérieur, elle verront plus le jour parce que ton coeur a cessé d'avoir le courage de sentir quoi que ce soit , les belles paroles seront des paroles normales et les discussions se résument a savoir les nouvelles d'autrui ... ces gens qui faisaient notre bonheur, aujourd'hui sont classés parmi ceux et celles avec qui on a partagé des moments qui nous ont marqués, je souris bêtement quand je prends conscience de la valeur magique du temps, on oublie ce qu'on pensait oubliable et éternel, on se souvient de ceux qui nous ont fait mal indirectement, celle qui a refusé l'amour, celle qui t'a comparé a un autre homme et elle lui a donnée son corp pour avoir l'amour qui lui était déjà offert et l'a négligé .
Un maman vaut toute une vie, et ses paroles m'ont toujours aidés a surmonter tout sorte de situations, elle me dit qu'il faut laisser partir ceux qui ont voulu partir et essayer avoir plus d'affections a ceux qui ont été toujours là peu importe mon état psychique, alors que mal grès ces paroles en or j'ai fais des fautes impardonnables, j'ai supplié des personnes a faire un peu d'effort pour rester , j'étais un putain de con ,je regrette surtout pas cette période ou j'étais un peu fragile et je trouvais anormale de refuser l'amour offert noblement sous prétexte que j'étais un ami et elle souhaitait pas gâcher cette amitié, parfois je me dis que la vengeance est tellement naturelle et que sûrement la roue tournera tôt ou tard, je dois me concentrer sur ce que j'ai de plus précieux actuellement, ces personnes qui font mon bonheur chaque instant, en particulier celle avec qui je parle le plus , celle qui m'offre l'amour de toute les années perdu e' cherchant mon propre bonheur, et a moment donné on réalise que en s'isolant de ce monde sûrement on aura la tranquillité et la paix qui nous protégé de tout risque amère, mais dans tout ça y aura pas de quoi savourer un bonheur existant seulement en aimant et en donnant un peu de sérénité et d'amour a une personne qui mérite tout cela, sa sensualité me rend follement attitré de plus en plus a ses manilles, la nuit nous appartient , les journées ne font que souder notre amour tant rêvé d'être vécu a deux, j'ai souffert en écrivant des textes tellement douloureux mais cette nuit c'est différent , je suis heureux et je le vis chaque putain de seconde, je souhaite parler de ce bonheur discrètement mais non je pourrais plis cacher ce que je ressens avec chaque lever de soleil, je me sens en totale extase , je souris fréquemment et j'en suis dingue, je m'aime à travers elle, je me souviens de nos premiers promesses, elle me parlais de ce bonheur partagé , le fait d'exister a travers l'autre, l'aimer parce que c'est hyper naturelle ce que je ressens, cherchez plus de raisons a aimer,dites a ces merdes que nous vivrons sans eux, qu'ils étaient des vrais leçons d'une lâcheté humaine , dites leur que leur malheurs s'oublient avec chaque sourire au lèvres de ma bien-aimée, dites leur que malgré nos souffrances on vie et on rigole et la vie continue,  je me sens aimé et y a pas mieux au monde de ce sentiment, Amour, chère déesse, rêve avec moi car je crève sans toi, quand disparaissent tes atours s’élèvent des ciels noirs griffant mes mers et le glaive de ton absence en moi s’insère, ma belle muse de vers, toi, tu es sentinelle, de mes nuits libres de l’enfer, abri oxydant, le soleil de l’est se levant sur ton tendre sourire céleste, tes yeux, Illimitable lagon silencieux, chatoiement incommensurable,où se reflète l’immortalité, de l’obscurité de nos nuits de voluptés, mes mots rêveurs sur les tiens s’impriment pour devenir vagabonds conteurs, de mes tristesses quand je suis sans toi et de l’ivresse du temps passé dans tes bras, viens cherchons la paix entre nos baisers de jasmin, lèves toi et continue de battre ceux qui essaies de nous foutre en l'air !! T'es celle qui manque a moi, t'es celle que j'aime le plus au monde ...
#wayel
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loxy0473 · 7 years
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Depuis que sa belle bouche m'a demandé qu'il faut jamais attendre, l'attente est mortelle, depuis j'ai arrêté de compter les jours, je ne sais même pas quel date on est, je me rappelle seulement nos derniers mots, toi c'est moi, moi c'est toi, la même âme, aujourd'hui j'ai des doutes, toujours quoi ? toujours moi à t'en demander plus, à te parler, à vouloir te voir, toujours moi qui te cours derrière alors que tu t'en fiches ? je tremble , je ne sais plus où est-ce qu'on va, qu'est-ce qu'on devient, ce que t'as envie que je sois à tes yeux, je ne suis plus capable de supporter tous ces silences, cette attente, je ne peux pas supporter de te voir partir, savoir que t'es avec ton mec, mais j'ai menti, ça fait seulement deux jours et j'ai l'impression que ça fait une éternité, pourquoi se donner la peine de dire que tout va mal quand tout le monde s'en fiche ? dire que oui ça va même si ce n'est pas le cas convient parfaitement aux gens, ils ne veulent pas savoir, font seulement semblant de s'y intéresser, on s'en fiche que tu es entrain de te ruiner, que tu te sens misérable, on s'en fiche qu'elle te manque tellement que tu te réveilles en pleine nuit parce que vos souvenirs vous hantent et que tu attends toujours ce message qui n'arrivera jamais, personne ne veut se soucier de ce qu'on peut ressentir, ils sont bien trop occupés à cultiver leur propre bonheur, alors à chaque fois que quelqu'un me demandera si ça va, il suffira de sourire et de dire que oui, tout va bien, après tout, c'est tellement plus simple de sourire, personne ne fera semblant de se poser des questions, putain, c'est des rires qui restent en travers de la gorge, des " ça va je vais bien " tellement faux, des gestes maladroits, de la colère et tellement de larmes qu'on cache au fond de notre coeur le soir, c'est ce chagrin qu'on enfuit malgré tout au fond de nous parce qu'on veut convaincre les autres qu'on est quelqu'un de fort, c'est ce manque qui nous ronge, qui nous consume à petit feu parce que la seule personne capable d'ouvrir cette stupide cage est aussi celle qui vous y a enfermé, c'est des tas de sourire qu'on aimerait voir dessiner sur notre visage alors qu'on a oublié comment on fait, c'est des paroles qu'on espérait réconfortante qui ne viendront jamais et c'est ce temps qu'on perd parce qu'on ne veut pas tourner la page, je peux pas, j'arrive jamais . Certes, c'est stupide, mais j'arrive pas me faire à l'idée, j'arrive pas à me dire que ça ne peut pas fonctionner, pourquoi je ne peux pas me faire une raison ?  c'est les mêmes mots, les mêmes sourires, les mêmes gestes et les mêmes sentiments qui recommencent , mais c'est plus profond, c'est platonique, c'est fou oui, les miens, revenir, recommencer, ce n'était peut-être pas une bonne idée, j'aimerai juste pouvoir te dire d'aller, mais même dans ce cas-là, je suis sûre que je finirai par te rattraper, je n'ai pas eu le temps de te dire que tu me manquais ou que le temps me paraissait long sans toi, j'ai seulement laissé filer la chose, incapable de m'accrocher à quoi que ce soit, j'ai seulement laissé s'installer le poids du manque et du doute, je ne sais pas si tu penses a moi a 3h du mat, et je ne sais pas si j'ai envie d'attendre encore longtemps, parce qu'il y a tellement de choses que je perds en attendant, en t'attendant toi, peut-être que les moments à venir seront meilleures, peut-être qu'ils auront le goût de toi et c'est-ce qui me pousse à attendre, le doute que tu finisses par laisser tes principes et écouter ton putain de coeur . Comme je l'ai souvent dis, l'attachement est un cancer mortelle, l'espoir est un fils de pute, l'unilatéral tue nos vies, chanceux celui qui n'a pas de coeur, j'affronte mes peurs comme un aveugle avec un walkman, je vais en parler a nouveau, alors que ma bienaimée est toujours occuper au tel avec son mec, dure d'en parler avec l'amertume et l'angoisse au ventre, et depuis, j'attends que le monde vienne a moi, le morale est dans un triste état, je vis pour le bonheur des autres, et le jour de ma propre souffrance, je croyais qu'ils seront là pour moi, mon cul ouais, saches que tant que t'es rêveur, tu souffrira encore plus, saches que la femme de tes rêves sera celle d'un autre, saches que ton passé réapparaîtra chaque soir, a vivre le jour au jour comme si le suivant n'existait pas, le jour de ma naissance mon père ne voulait pas de moi, et depuis je l'aime infiniment, revenant a celle qui occupait une bonne place près du royaume de ma mère dans mon coeur, avec toi je me sens bien, c'est aussi simple que ça, ma gueule semblait a celle d'un lundi matin, l'émerveillement que tu m'apporte avec un simple présence dans ma vie, sans toi mes rêves étaient mes cauchemars, je t'ai souvent dis que j'ai envie de ton âme, ton corps suivra le rythme . Le corps d'une femme est la partie la plus critiquée, pour n'importe quel homme sur terre les préférences d'un beau corps se limite a des seins de rêve et des fesses d'une actrice porno, alors que j'ai des préférence d'un petit gamin, j'adore regarder pendant des heures les épaules de la femme que j'aime, des sourcils interminables, et des tétons qui pointent dès qu'on les frôle exprès, notre baiser fera la une de nos cœurs mon amour, tes photos me réconfortent chaque nuit, je vis pour toi, j'ai pas peur de le dire, quand je pense a tes gestes et tout tes manies, je résiste plus a ton absence, c'est horrible, j'ai jamais cru qu'on pourra souffrir a ce point alors qu'on été très prudent des le début, peut importe, ce qui est sûre c'est que mes journées semblent vides sans tes beaux sourires d'ange .. Et si plus tard ils voudraient savoir notre histoire, je trouverais pas de mots a décrire le bonheur que tu m'as offert, attends j'ai pas terminé ! Le soir où tu m'as suppliée de partir et te laisser en paix, j'ai pas pu retenir mes larmes, comment l'être qu'on rêve d'avoir chaque seconde près de nous aura l'amabilité de nous laisser, on aime souvent celle qui nous fais réfléchir le plus au monde, on crève pour celle qui s'en fou carrément de nos sentiments, j'ai plus de mots, ma feuille est en désordre, pleine de contradictions, je veux plus parler d'elle, j'ai tout tenté bordel, mes idées noir remontent en toute vitesse et je rêvasse avec chacune de ses ignorance , je suis amoureux .
#wayel
#A     
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loxy0473 · 7 years
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" T'es qu'un étranger pour moi . T'as rien de spécial dans ma vie . " Ce genre de paroles qui te met en défi avec toi même. Ce défi n'était pas une question d'orgueil. Après une quinzaine d'années passée à publier roman à succès sur roman à succès, les doutes qui m'assaillaient à l'époque de ma jeune condition d'écrivain sont désormais presque inexistants. Je n'ai jamais souffert de ce " syndrome de la page blanche " que tant de mes confrères semblent redouter. Lorsqu'une idée me vient en tête, je sais qu'elle finira couchée sur le papier. Mon ennemi n'est pas le manque d'imagination, mais la paresse, l'absence de motivation. On écrit bien que sur ce que l'on connaît. C'est la raison pour laquelle mes livres les plus noirs, les plus cyniques et désabusés sont ceux qui ont rencontré le meilleur accueil de la part des critiques et connu le plus grand succès auprès des lecteurs. Le monde est suffisamment désespérant pour qui se donne la peine de l'observer sincèrement. Simplement, la plupart de ceux qui le contemplent cherchent à s'aveugler d'une image qui ne correspond pas à la réalité. Ils cherchent à voir un monde refuge, moins angoissant, moins perfide, où les hommes seraient altruistes et désintéressés, où le fort protégerait le faible, où le riche aiderait le pauvre. Mais ce monde n'existe pas et n'existera jamais parce que la nature humaine est vile, tout simplement. Rousseau avait tort. L'homme ne naît pas bon. L'homme naît cruel, manipulateur, sournois. Il suffit d'observer des gosses en train de s'acharner sur un crapaud ou toute autre bête qui aurait eut le malheur de croiser leur route pour s'en convaincre. Il suffit de jauger la capacité d'un môme à tenter de négocier ses punitions avec ses parents pour en amoindrir la durée. Il suffit d'observer, dans une cour d'école, la bande de gamins qui persécute le gros, le roux, ou tout autre enfant qui aura eut le malheur d'afficher une différence. Alors non, l'homme n'est pas bon. L'homme est une saloperie, et les philanthropes ne sont rien d'autre que des malades mentaux qui tentent de se persuader qu'ils sont, eux et les leurs, différents des autres membres de leur race, parce que le déni est au fond tout ce qui permet à l'humanité de perdurer, alors même qu'elle massacre les siens, détruit son environnement, et voue à l'extinction des milliers d'espèces animale. Donc j'avais relevé ce défi que m'adressait une saloperie humaine à travers son discours " es-tu capable d'écrire une histoire d'amour ? " ,le genre de question que seuls se posent les adeptes de la masturbation intellectuelle qui fréquentent les cafés ( culturels ). Entre deux café crème, on refait le monde, on se scandalise de l'injustice, on voue aux gémonies ce peuple tellement stupide qu'il ne vote pas comme il faudrait qu'il vote, et puis on se félicite les uns les autres d'être à ce point de brillants démocrates soucieux de la liberté d'expression et du respect du vivre-ensemble. Ce genre de conneries. Depuis la maison de mon grand-père, assis devant ma table de travail, je contemplais par la fenêtre ces pierres ont l'avantage de me rappeler ma triste condition d'être humain éphémère. Elles comptent parmi ces rares témoignages d'une civilisation perdue, ainsi que le seront peut-être à leur tour mes livres dans plusieurs centaines d'années. Lorsque le temps aura fait de mes os de la poussière, lorsque notre planète ne sera plus qu'un cailloux stérile, lorsqu'une civilisation extra-terrestre tentera de comprendre pourquoi nous avons précipité notre monde si vivant et fertile vers sa très définitive extinction, que restera t-il de notre passage sur cette planète ? Du mien ? Pas même une pierre alignée à une autre. Une histoire romantique, ce devait être facile à inventer. Il suffisait d'observer les techniques de ceux qui passent leur temps à se vautrer dans cet exercice aux vertus purement et strictement commerciales. Une histoire d'amour, c'est un cocktail de trois ingrédients : passion, trahison et pardon. On peut d'ailleurs se passer du dernier élément, même si la lectrice des plages préférera toujours voir Neji et Najet se retrouver dans les bras l'un de l'autre en pleurant plutôt que de s'angoisser sur ce que signifie cette histoire d'amour qui a le culot de mal se terminer alors qu'il fait vingt-sept degrés et qu'on en a encore pour quinze jours avant de retrouver son petit emploi tranquille . " Neptune vient nous chercher " , je tenais déjà un bon titre, et qui résumait à lui tout seul l'absurdité de ce genre littéraire. Me retrouver devant ma feuille blanche, toute numérique soit-elle, à devoir m'occuper de pondre ce genre de sous-littérature de style Harlequin me donnait la très désagréable impression de perdre mon temps. Seulement voilà : j'avais relevé le défi, j'avais cédé aux trompettes du challenge et n'avais qu'une parole. Mais j'étais comme une poule qui a trouvé un couteau. Je fixais mon titre, déjà écrit, trônant seul en tête de page, et me sentais totalement vide. Rien ne me venait, pas la moindre idée. Je m'étais donc résolu à fermer la page Open Office, puis à abaisser l'écran de mon ordinateur portable pour aller rouler un joint. D'habitude, ce genre de petite pause a pour effet de stimuler mon cortex, mais là : rien. À une sorte d'étonnement amusé avait succédé une panique diffuse. Celle de ne pas être à la hauteur de la tâche, de plus être digne de mon métier. De retour devant mon ordinateur, j'avais relevé l'écran, rouvert le document texte et contemplé à nouveau mon titre, désespérément seul. Il me fallait un verre. Whisky single malt. Alors que je m'en servais une bonne rasade, on avait sonné à la porte. J'avais besoin de tout sauf d'être distrait. Cependant, je n'ai jamais attrapé les habitudes des riches. Chez moi, le portier est également le maître des lieux. J'avais donc pris ma tête des mauvais jours, celle qui envoie comme message « ne me fais pas perdre mon temps » et m'était décidé à ouvrir la porte. " Bonjour monsieur Wayel, je suis désolée de vous déranger mais j'ai roulé toute la journée et j'avais vraiment hâte de vous rencontrer enfin " La personne qui se trouvait devant moi était une femme, et quelle femme ! Cheveux court d'un noir d'ébène, environ vingt-cinq ans, mince, dans les un mètre soixante huit, elle me regardait de ses yeux bruns pétillants comme si j'étais une étoile filante . Ça n'était pas ma première rencontre avec une fan éperdue. Je croise régulièrement ce genre de spécimen lors de mes séances de dédicace. Mais cette fille, bon sang, quelle classe ! Quel charme ! Typiquement le genre de beauté dont je suis capable de tomber amoureux. Et ça n'a pas raté. Alors qu'elle me racontait son périple pour dénicher mon adresse, les fausses pistes qu'elle avait suivi, les personnes qu'elle avait interrogé, je découvrais une femme débrouillarde, décidée, et dont le comportement ne trahissait pas la moindre propension à la psychopathie. " Depuis le temps que je vous lis, j'avais juste très envie de vous rencontrer ! C'est tout de même idiot de se fixer des limites sous prétexte de popularité, non ? " .  En d'autres temps, j'aurais été d'un avis fort différent du sien, mais ce jour-là je partageais son opinion à cent pour cent. En réalité, je n'osais pas lui porter la contradiction. Je répondais à ses questions, j'abondais dans le sens de ce qu'elle affirmait, et souriais bêtement sans parvenir à décrocher mes yeux de son regard hypnotique. Premier baiser alors que je lui expliquais ce qui avait motivé l'écriture de mon second roman. Le premier, bien meilleur, n'ayant pas trouvé d'éditeur, j'en avais pondu de rage un deuxième. Un thriller en forme de pamphlet sur le rôle des maisons d'édition dans l'extinction progressive de la littérature subversive. Ce livre avait été mon premier best-seller et avait sonné l'avènement de ce style si noir qui a contribué à bâtir mon image et ma renommée. Elle m'avait laissé parler sans m'interrompre, sirotant le thé à la bergamote que je lui avais préparé, semblant boire mes paroles, et puis elle avait posé ses lèvres sur les miennes, me prenant au dépourvu et désarmant mon assise. Elle était d'une audace sans pareil. Elle s'appelait Sarah. Lorsqu'on est amoureux, tout semble différent. Les couleurs sont plus vives, les goûts et les odeurs plus prononcés. On se sent envahi par une sorte de chaleur confortable. Un agréable vingt-deux degrés de printemps. Quant aux soucis, ils nous paraissent dérisoires. Plus rien n'occupe nos pensées sinon l'élue de notre cœur. En cela, on peut dire que l'amour est une sorte de démence. Une agréable maladie mentale qui nous interdit de penser à la mort, à la maladie, à la fugacité de nos existence. Nous redevenons ces adolescents aux visages empourprés par le désir. Nous rajeunissons, quitte à risquer le retour de l'immaturité. Et c'est au fond une excellente raison d'être en vie. La meilleure, sans doute. Nous vivions l'un avec l'autre, l'un sur l'autre, l'un dans l'autre depuis plus de deux mois lorsqu'un matin j'ai annoncé à Sarah que j'avais terminé mon roman. L'amour était un sujet que je maîtrisais désormais suffisamment bien pour être capable de le coucher sur le papier. Trois cent cinquante pages d'une dévorante passion amoureuse. Sans doute mon livre le plus positif et je savais que cette dernière caractéristique risquait de déplaire à mon éditeur. " Wayel ! Vous allez totalement déboussoler votre lectorat ! Ça n'est vraiment pas une très bonne idée ! » allait-il me reprocher. Mais peu importe, ce livre respirait l'authenticité et la joie de vivre et j'en étais vraiment très fier. Je venais de passer trois jours à Tunis, à discuter avec mon éditeur des modifications mineures à apporter à mon histoire. J'avais hâte d'être rentré pour retrouver Sarah. Son odeur, sa voix, la douceur de sa peau, son sens de l'humour, tout cela me manquait terriblement. De retour au domicile, euphorique, je m'étais mis à crier son nom dans toutes les pièces de la maison. Je l'appelais avec une frénésie qui m'effrayait presque tant elle traduisait ma vulnérabilité. Mais elle était partie. Elle avait laissé une enveloppe mais la lettre que contenait cette dernière n'était pas de sa main. " Cher monsieur Wayel " J'espère que vous avez apprécié notre cadeau . La femme dont vous êtes amoureux est amoureuse d'un étranger . Elle n'a plus rien a donner en terme d'amour . Même cet étranger elle l'aime réciproquement . Tant de souffrance qu'elle s'est prit un belle claque dans la gueule a cause de ce genre d'amour a la con . Au final , il n y a pas d'amour sans souffrance, sans duperie, sans sadisme et sans déception. Voilà la morale de l'histoire. Mon style noir, cynique et désabusé m'est revenu comme un boomerang, encore plus violent qu'auparavant, comme pour se venger d'avoir été délaissé si longtemps. Mon roman d'amour a été un échec patent. Tant mieux. J'aimerais ne jamais l'avoir écrit. Mon prochain livre sonnera le retour de ce Wayel que tout le monde semble aimer. Il racontera l'histoire d'un écrivain abusé par ses fans et qui décide de tuer un par un tous les saloperies humaines . #wayel 
#A
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loxy0473 · 7 years
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Je suis un oiseau de nuit 
J’adore la nuit 
La nuit te protège
Pas de luminosité
C'est vers la nuit qu'on reconnais mieux nos chances
C'est terrible 
On est habitué d'une énergie fatigante
C'est souvent souvent dans les dernières minutes 
Les gens te disent '' mises tout sur l'amour ''
La vie est une prison 
Elle t'encule sans protection 
T'auras jamais de témoin
Ni violence
Ni agression 
C'est une relation , non je dirais bien une faute L
a faute de naître
La faute de manquer le rendez vous avec la mort   
Pourquoi parler d'amour comme disait Enrico 
Pas la peine de poèmes
Regardes moi, je suis heureux 
Ça se voit dans mes yeux 
Sans voir le jour
J'avais pas d'espace temps 
Mes joints faisaient l'affaire 
Vous oubliez, c’était difficile 
Oubliez tout vos promesses 
Et toi princesse ! On étaient deux dans la pièce
La musique en boucle 
Je m’évadais entre tes regards 
Oh ma beauté héroïne
Emmènes moi au paradis  
Toi mon amour platonique 
L’âme-sœur de mes nuits 
Finalement le vent nous portera 
On dansera cette dernière danse
Effleurer ton visage, c'est mon jeu favori 
La flèche a traversé ma peau 
Je veux juste une dernière danse 
Car le temps de l'amour c'est long et c'est court
Car les beaux jour c'est aujourd’hui et c'est ultracourt 
Putain . 
#wayel  
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loxy0473 · 7 years
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#art
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Lucile Perron
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