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Paris 2024 J-100

Mardi 16 avril 2024, le départ du relais Olympique à Olympie.

Vidéo intégrale de la cérémonie

#teamcotedor #nousportonslaflamme

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Yves Costille, cyclo navigateur

Sortie vélo 12 janvier 2022

Parmi ceux qui ont souhaité partager l'hommage rendu à Yves Costille, ils sont nombreux à avoir découvert une passion qui l'animait et qu'ils ignoraient. Aux souvenirs du gardien de but de Pontailler-sur-Saône, du cycliste chevronné qui a inscrit son nom au palmarès du Challeng'Afrique en mai 2015, du pilote de tandem dévoué à Jérôme, déficient visuel du Club de Chevigny-Saint-Sauveur, s'ancrera désormais l'image d'un navigateur.

On doit la commémoration marine suivante, à Danielle, secrétaire de l'association Ascola, le Club croisière dijonnais.

Yves, je vais parler de toi au nom de l’ASCOLA association qui a permis à de nombreux dijonnais mais pas que, de pratiquer la voile de croisière sans bourse délier, même si Dijon, en France, est l’un des endroits les plus éloignés de toute mer.  

Tu as succédé à Maurice Bomann comme président et tu l’as été pendant 12 ans, ensuite tu es devenu trésorier, notre actuel président est Max Ducuing dont je salue la présence ici. 

Pour nombre d’entre nous tu as été le pilier de notre association, bénévole bien entendu. De nombreux chefs de bord nous ont aussi accompagnés bénévolement : Maurice, Jean-Paul, Hervé, Lionel, Max, Serge, Philippe, Robert, Gérard, Bernard et j’en passe. Beaucoup sont ici aujourd’hui. Ils ont emmené les membres de l’association naviguer en Italie, en Croatie, dans les Antilles, en Polynésie. 

Yves, certes tu aimais naviguer mais par-dessus tout partager et transmettre, tu nous a permis de découvrir et aimer ces voyages écologiques avant l’heure et si « prenants ». 

Tu as organisé, avec d’autres bien sûr, des croisières côtières, hauturières, des week-ends de voile de loisir à Panthier, des visites au salon nautique pour louer les bateaux et le fameux anniversaire des 20 ans de l’ASCOLA en 2002 où les adhérents se sont retrouvés sur 2 grands voiliers : l’Etoile polaire et l’Etoile molène pour un tour dans les Anglo- Normandes, navigation, chants et danses, bonne chère et bons crus, quelle Fête et quelle convivialité ! 

Grâce à tes connaissances très pointues acquises aux Glénans, à ton calme, ta patience envers les néophytes tu as su transmettre, rassurer, permettre de progresser et de devenir plus autonome. 

Attention, patience et calme ne signifient pas manque de fermeté car tu savais aussi cadrer quand il fallait.  

J’ai souvent navigué à ton bord avec Hélène. Avec toi j’ai appris le vocabulaire maritime nécessaire pour que l’équipage se comprenne : pas de cordes ou de ficelles mais des écoutes, des drisses, des bouts, des aussières, des bras de spi etc… 

Appris à lire les cartes marines, à calculer les 12èmes des marées, le marnage, les courants leur sens et leur vitesse, les allures de la voile au vent, comment négocier les vagues en cas de houle, de quel côté   franchir les bouées cardinales, les alignements de feux pour les entrées de port la nuit, les phares (les Héaux de Bréhat, Keréon, la Jument, le Stiff et reconnaître leurs éclats pour se repérer). Un autre monde. 

Nous n’avions pas de GPS et tout se faisait à l’estime. Heureusement, pour toi, c’était simple et clair même si pour certains d’entre nous c’était un vrai casse-tête. 

Tu nous as emmenés dans tous les ports et les mouillages de Bretagne et de Vendée, en Normandie aussi, au départ du petit port de Diélette dans le Cotentin, aux iles Scilly, à l’ile de Wight et à Portsmouth, dans les Anglo-Normandes : Jersey, Guernesey, Serk et les îles Chausey. 

Tu as pris la responsabilité d’escadres de bateaux, 3 ou 4 voiliers et même 8 ou 9 petits Muscadets dans le Golfe du Morbihan. Quelle responsabilité effectivement ! Toujours en alerte au cas où l’un d’entre eux soit en difficulté, s’avise de partir toutes voiles dehors en ayant oublié de relever son ancre par exemple, s’échoue sur un banc de sable ou ne parvienne pas à quitter son mouillage à Chausey où c’est toujours difficile ou encore parte dans la mauvaise direction. ça n’étaient pas des vacances pour toi mais toujours le partage, l’engagement. 

Avec toi nous avons navigué en toute confiance et sécurité, même dans les endroits dangereux dont les noms donnés par les marins  font peur : des récifs appelés Pater Noster ou la balise nommée La Noire Pute dans les parages de Guernesey. Avec toi on les passait sans trembler. 

Il y a tout de même une chose que tu faisais qui était désagréable c’est quand, bien blottis dans notre couchette, tu venais nous réveiller car c’était notre tour de quart de nuit. 

J’ai un souvenir heureux et ému d’un super quart de nuit avec Hélène. 

Et la vie à bord, l’amitié encore, le partage des tâches pour les manœuvres, la conduite du bateau et la vie quotidienne. Les repas arrosés ou non, les histoires drôles qu’on avait le temps de se raconter pendant les longs bords. Tu en connaissais beaucoup, je ne me souviens que de celle où il s’agissait de gagner des Bounty… ça dira sans doute quelque chose à ceux qui ont navigué avec toi. Beaucoup de rires partagés aussi. 

Une navigation m’a particulièrement interpelée : toi qui aimais les mouillages forains et les petites escales, cette année-là nous avons fait tous les ports ayant des cafés disposant de télévisions. 

En fait c’était en 1998 et, bien sûr, pas question de louper la coupe du monde de foot (une de tes autres passions), faut pas exagérer quand même. 

Bref Yves, je résume, désintéressement, partage, transmission, savoir rassembler autour de soi, amitié, responsabilité, énergie, gaieté, compétence, patience et bonne humeur. 

Pour moi Yves tu respires le large, le vent, l’ouverture et pour chaque coin de côte Bretonne j’ai dans le cœur Yves et Hélène. 

Bientôt je vais me rendre à l’île de Sein et là je vais vous retrouver  tous les deux entre les feux deTévennec, de la Vieille et le pignon peint d’une bande noire sur une maison, pour signaler l’entrée dans le petit port de Sein. 

A bientôt Yves 

#ascola #voile #voilier #costille

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Parcours du Relais de la Flamme Paralympique 🔥

#youtube #nousportonslaflamme #teamcotedor

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Des belges créatifs au DFCO foot fauteuil

Comme d’autres clubs en métropole, le DFCO foot fauteuil a dans ses rangs un joueur belge. C’est parce qu’il n’y avait pas de championnats en Belgique que des Belges se sont expatriés outre-quiévrain pour pratiquer et avoir une équipe nationale. Ainsi Quentin Campion, d’Ottignies près du Walibi Bruxellois, a rejoint Dijon cette saison, après avoir joué auparavant à Douai. Quentin vient une fois par mois à Dijon pour s’entraîner avec ses coéquipiers. Atteint d’une myopathie de Duchenne, il est assisté de deux compatriotes : sa meilleure amie Jennifer qui vient de créer Thunderbirds, un des tout premiers clubs Wallons, pierre angulaire du développement d’un championnat national ; et de David, un mécanicien ultra-bricoleur qui formate les fauteuils. David explique :"chaque handicap a son fauteuil parce que chaque joueur est différent ; le logo des Thunderbirds est composé de 4 têtes d’oiseaux différents qui représentent les 4 joueurs d’une équipe ; tout est réfléchi, personnalisé”. En présence des fauteuils côte à côte, on découvre que les commandes ne sont pas que manuelles : “il y a des commandes au menton, au pied". David décortique le jeu des différences : "il y a des coques pour maintenir soit la tête, soit le dos ; des cale-pieds de formes variées, là une balle sur un accoudoir". Sur le fauteuil de Quentin, David a installé une lampe chauffante pour lui réchauffer la main qui fait corps avec le joystick. Les fauteuils sont mobiles mais le joueur immobile sur son fauteuil n’a aucune activité musculaire qui le réchauffe ; un faible volume musculaire pose aussi un problème de régulation de la température corporelle. "En foot fauteuil, beaucoup de joueurs souffrent de froid, même en été" dit Jennifer. La technique de réchauffement par sèche-cheveux est donc une pratique répandue, mais elle oblige à faire des remplacements. Toutes les équipes en étaient équipées au gymnase Marion

Le jeu des différences, cherchez le fauteuil belge avec le dispositif chauffe main

Le jeu des différences, cherchez le fauteuil belge avec le dispositif chauffe main

Derby Vaucresson Nanterre, le but de Nanterre

#handisport #foot fauteuil #dfcoff #dfco #thunderbirds

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Les surdoués du foot fauteuil

Le week-end de foot fauteuil au gymnase Marion était riche d’un programme de 8 matchs. Promus en division 2 les locaux recevaient des adversaires huppés : une équipe de l’Isère et 2 clubs des Hauts-de-Seine, Nanterre et Vaucresson, lequel est reconnu, avec Lyon, pour être le berceau du foot fauteuil. Sans complexe, les Dijonnais ont ouvert le bal contre Seyssinet, une équipe rompue aux joutes de la D2. Après avoir marqué grâce à une réalisation d’Ajet Miftari, les rouges abandonnent leur avantage sur un penalty en fin de partie. Le coach Florian Tissier pondère ce relâchement : “nous avions un joueur suspendu et l’adversaire est un habitué à ce niveau”. Avant de défier les Franciliens, les Dijonnais ont eu l’opportunité d’assister au derby Altoséquanais. Né dans les années 80, le foot fauteuil a trouvé un environnement bienveillant à Vaucresson. L’Amicale des Sports et Loisirs fondée en 1982 dispose d’une section foot fauteuil et entretient des liens privilégiés avec les enseignants d’EPS du lycée Toulouse Lautrec, établissement régional d’enseignement adapté (EREA), spécialisé dans le handicap moteur et également structure d’accueil pour élèves valides. Mohamed Amairi et Simon Joseph, deux titulaires de l’équipe, ont été figurants dans la série télévisée Toulouse-Lautrec diffusée sur TF1. Stéphane Pupin, Président de l’Amicale et coach, explique que le lycée est aussi une pouponnière pour d’autres clubs : “Le club de Nanterre a vu le jour en 1999. Leur n°10 est au lycée, et leur 7 y était il y a 3 ans. Les jeunes viennent à l’EREA de Vaucresson puis repartent ailleurs comme à Nanterre ou Châtenay Malabris. Vaucresson a fait le choix en 2024 de ne pas aligner d’équipe en D1 et de maintenir un groupe en D2, par suite de plusieurs départs et de fins de carrière”. Face au club doyen le DFCO aligne son équipe type ; Pok ouvre la marque, les visiteurs égalisent à la 39e, encore sur penalty. Rageant. Si le revers face à l’autre club du 92 (3-0) est indiscutable, triplé de Kamardine Vaucressonnais de Nanterre, le dernier match abandonné à Seyssinet (1-0) a agacé Anthony Perraud ; le Dijonnais a soutenu mordicus une poussée du Strike adverse sur sa roue arrière. Corentin Droz Bartholet le Capitaine Dijonnais a dû trouver les mots pour remettre dans le match son gardien. Face aux équipes historiques du foot fauteuil, le petit Poucet aura tout de même donné du pare-chocs à retordre à Vaucresson et ses 5 titres de champion de France.

Le groupe Dijonnais

De gauche à droite : Charly Besancenot, Ajet Miftari, Corentin Droz-Bartholet, Anthony Perraud, André Halm alias Pok, debout Florian Tissié entraîneur. Manque Quentin Campion.

Le groupe de Vaucresson, tous élèves à l’EREA Toulouse-Lautrec : de gauche à droite, Rémi Kaczmarek, Simon Joseph, Mohamed Amairi, Victor Dominguez ; (manque Thomas Jouffroy)

Nathan Kamardine, auteur d’un triplé contre Dijon

#handisport #foot fauteuil #dfcoff #dfco #toulouse lautrec #erea toulouse lautrec #TF1 Toulouse Lautrec

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Piazzolla de concert avec Dylan Rocher

Bruno Piazzolla est le pointeur de l’équipe n° 3, victorieuse du Trophée national Handi Valide 2024 ; il jubile : “l’an dernier on s’est pris une taule face à Dylan Rocher ; cette fois ça passe quand le champion du monde est avec nous”. Dans cette finale à rebondissements, le Montcellien et son cousin Michel ont fait une remontada face à la triplette composée de Christophe Sarrio, l’alter ego de Dylan, Christophe Riff et Frédéric Riess, sociétaires de Biesheim (Haut-Rhin). Mené 3-10, le trio revient progressivement à 8-10, puis passe devant en mène 15 (11-10). L’affaire est pliée en mène 17 (13-11). Pendant les 90 minutes où Bruno est resté debout au centre du boulodrome Dijon-Chaufour, il faut avoir un œil averti pour déceler la nature du handicap de l’équipier de chaque équipe finaliste. Peut-être une marche moins alerte, un pas moins sûr pour Bruno ; au jeu des différences, il n’a pas de fauteuil roulant, pas d’orthèse, pas de malformation, pas d’amputation. Il ne s’exprime pas en langue des signes comme Michel Chapuis et Gilles Pitallier, coéquipiers sourds parmi les 70 doublettes du matin, mixant valides et non valides. Pris dans le jeu de la finale, on en oublie presque que certains pétanqueurs sont des personnes en situation de handicap. Atteint d’une maladie invalidante d’origine professionnelle, Bruno est armé d’une arthrodèse vertébrale dont il garde des séquelles. J’étais soudeur, j’ai fait de nombreux chantiers sur des tunneliers dans des conditions pénibles ; je soudais couché, debout, sur des échelles. Ce boulot, la soudure ça ne laisse pas de place au sport ; retraité, Bruno entame sa boulimie de boules à la JPM, la Joyeuse Pétanque Montcellienne, dans le Bassin Minier. “J’y suis depuis 7 ans, parce qu’il y a beaucoup de vétérans”. Bruno quitte le boulodrome heureux et soulagé : “dans les autres jeux du matin, je pouvais m’adosser contre le mur ; pendant la finale ce n’était pas possible car on jouait sur l’aire centrale. Il y a un moment, je voulais demander une chaise à ceux qui filmaient, ça m’aurait fait du bien au dos de m’asseoir.” On ne soupçonne pas le nombre de personnes qui doivent composer chaque jour avec le handicap. Et pour cause, certains pratiquent du sport et leur handicap ne se voit pas.

Le président du Comité départemental de pétanque de Côte d'Or et Thibaut Wojeik, co-organisateur du Trophée National Handi-Valide, avec les finalistes, Christophe Riff, Christophe Sarrio, Fréderic Riess.

#handisport #pétanque #nousportonslaflamme #teamcotedor #inclusion #dylanrocher

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Trophée de pétanque Handi Valide

Une compétition hôte de compétiteurs de haut niveau distingués et d’oppositions familiales.

Laurent Everaert et ses amis de Rozay-en-Brie, Richard, David, William

A 272 jours des Championnats du monde de Pétanque, le boulodrome dijonnais a accueilli la deuxième édition du Trophée créé à l’initiative de Thibaut Wojeik, président et fondateur en 2019 du club "Handipétanque Moteur et Visuel" basé à Oiselay en Haute-Saône. En présence de Claude Azema, président de la Fédération internationale de pétanque et de jeu provençal, de Damien Monnier du Comité Régional Handisport, de 3 joueurs de l’équipe de France, 70 doublettes inclusives, venues de 24 départements, ont pratiqué leur jeu favori sur l’aire de jeu qui a réuni 78 personnes en situation de handicap : 5 en fauteuil roulant, 5 cinq sourds et une non voyante. Amputé de la jambe droite suite à un accident, Laurent Everaert a pratiqué le tennis fauteuil au haut niveau ; classé dans le top 30 mondial ; il dit pourquoi il avait fait une croix sur les Jeux Paralympiques : " j’ai une entreprise de matériel médical, je n’avais pas le temps d’aller chercher des points à l’US Open comme Stéphane Houdet". Depuis septembre 2023, Laurent joue à la pétanque dans le club d’Avion (Pas-de-Calais) : " la pétanque exige peu de matériel ; je suis un compétiteur. Quand je joue c’est pour gagner ". Au tir de précision, guidée à la voix de Marc, son mari, Anne Geny est la première femme non voyante à avoir touché 12 boules sur 20 lancers, à la distance de 8 mètres ; une performance 2023 qui lui a valu un diplôme au National Prestige de Pétanque de Gy. Ce mercredi, le couple Mosellan a été opposé à une fratrie Aindinoise Jean Luc et Joël Gelin, hémiplégique à 19 ans ; Joël fut deux fois finaliste du concours national du jeune footballeur qui consistait à faire des séries de 300 jongles des deux pieds, des alternés, une centaine de têtes ; il fut aussi champion de l’Ain de boules lyonnaises en cadets. Ce mercredi Laurent a atteint les finales du groupe B, au pied du podium. Quant au duel familial il a tourné à l’avantage des Gelin.

Une opposition en familles : Marc, Anne, Joël , Pierre le père, Jean-Luc

#NOUSPORTONSLAFLAMME #teamcotedor #HANDIPETANQUE #handisport

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Da Cortina d’Ampezzo a Parigi | Il documentario

Les temps forts du relais Obiettivo Tricolore  avec des vues sur son passage en Côte d’Or après un départ de Chalon et un passage à Chagny (5′27″) :  Meursault (3′28″) , Pouilly-en-Auxois (15′20″),  Canal  de Bourgogne (4′58″), Epoisses (4′24”, 13′39″), une arrivée à Semur-en-Auxois célébrée comme une arrivée  Tour de France ( 13′45″ et 14′30″ à14′50″, 15′34″) et un ban bourguignon improvisé  au sommet d’une côte (5′36″), la torche de Rio ‘16′30″).

#youtube

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Une chaîne humaine FFVélo en Côte d'Or - Semur-en-Auxois #TeamCotedor

#youtube

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Challenge Côtes de Côte d'Or 2024

#challengecôtesdeCôtedOr2024 #teamcotedor #challengeCCO2024 #lecoledescols #. terroirscyclistes #terroirs cyclistes

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Participer aux Jeux, un gymkhana

De gauche à droite, Hervé Assadi, Zié Konaté, François Sauvadet, Yves Gatti

Propos recueillis à la Table Ronde de la conférence de presse de lancement de la Saison 2024 du MuséoParc Alésia (article associé)

Sacha Cultru, athlète international du DUC, vise Paris 2024 en 800 m, une ambition échafaudée depuis 4 ans. Dans cette dernière ligne droite finale, il a le niveau de performance requis, selon Hervé Assadi son entraîneur, mais ce ne sera pas facile car ils sont 6 jeunes du même niveau pour 3 places, ce qui n’est pas arrivé depuis longtemps. La préparation de Sacha Cultru est particulière, sous pression ; il le gère à sa manière : “Nous avons une génération dorée ; c’est du jamais vu ; je me focalise sur ce que j’ai à faire à l’entraînement en oubliant ce que font les autres, en me concentrant sur mon quotidien, courir, manger, dormir. Mon entraîneur fait partie du processus de préparation”. Marianne Assadi, sera juge internationale de gymnastique pour Paris 2024, la seconde fois après une première aux Jeux de Rio 2016. “Le parcours de juge international en gymnastique est long. J’ai commencé en 1993. Les juges sont évalués par la Fédération Internationale au cours de championnats du monde et de Coupes du monde. On attend son tour pour être dans les meilleures. Les Jeux c’est un aboutissement, une récompense. Rien n’est acquis, car après chaque cycle Olympique, le juge international doit repasser un examen. Paris sera ma dernière grosse compétition. Zié Konaté, sprinteur, a rejoint le Dijon Université Club il y a 2 mois, grâce à la bienveillance d’Yves Gatti, Directeur Technique du club et d’une association caritative. Originaire d’Abidjan, Zié a choisi la France pour trouver de meilleures conditions de préparation aux Jeux Paralympiques. À 7 ans, son bras gauche a été arraché par un broyeur de céréales. Ses aptitudes à la course se révèlent à un âge avancé, en catégorie T46. Après ses premiers entraînements au CEP et sur la piste Colette Besson, il est engagé pour son premier meeting en salle le 6 janvier à Metz : il y bat ses records personnels extérieurs sur 60 m et sur 200 m et reçoit le trophée de la meilleure performance du meeting. “Venir ici ce n’est pas évident ; j’ai quitté mon pays. Au sein du club tout se passe bien ; je suis bien intégré. Je me sens comme chez moi. Il faut garder la tête haute”. Avoir un esprit sain dans un corps sain conclut Hervé Assadi, Directeur de l’UFR STAPS.

#handisport #jeux olympiques #paris 2024 #inclusion #paralympique #franceparalympique #teamcotedor

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Un tremplin pour le MuséoParc

L’excellence sportive du CEP un tremplin pour le MuséoParc

Pour la saison 2024, le MuséoParc, bénéficie du label Olympiade Culturelle, accordé par Paris 2024 aux structures qui proposent des animations qui font le lien entre sport et culture. Vendredi 2 février, le MuséoParc Alésia a présenté à la presse sa programmation, en présence de sportifs et de partenaires. C’est en coulisses et en 3 coups de cuillère à pot que les dirigeants du STAPS et du MuséoParc se sont entendus pour que l’acte de mariage du sport et de la culture au musée soit annoncé au Centre d’Expertise de la Performance Gilles Cometti (CEP). Une collaboration qui pourrait déboucher sur un terrain d’entente de plusieurs années selon Laurent Bourdereau, Directeur Général du MuséoParc. Vincent Thomas, Président de l’Université de Bourgogne, souligne les liens privilégiés, entre le laboratoire d’archéologie UMR ArTeHiS et les équipes du MuséoParc, engagés dans la compréhension et la diffusion des connaissances de l’histoire de notre région où le sport sera mis à l’honneur à plusieurs reprises en 2024 avec le Tour de France et les Jeux. Un campus beaucoup trop grand de l’avis de Marc Frot, Président du MuséoParc, qui s’y est même perdu, avouant avec autodérision s’être rendu au CREPS, avant de localiser le CEP. Il est vrai, qu’au milieu des sites universitaires, avec ses murs aveugles, le CEP semble avoir été conçu pour garder les mystères et secrets d’une usine à champions et de futurs professionnels du sport encore étudiants. François Sauvadet, Président du Département de Côte d’Or, soutien institutionnel du MuséoParc, s’est réjoui du lancement de la saison Alésia dans un lieu porteur de l’Excellence sportive, conjugué à l’excellence de l’Université : “C’est une symbolique extrêmement forte et 100 % Côte d’Or”. Après que Marc Frot a dédié la nouvelle saison à Sébastien Pitoizet, collaborateur de la première heure, soudainement disparu, les équipes de Laurent Bourdereau, ont dévoilé un programme culturel relevé. (article associé)

L’excellence sportive du CEP un tremplin pour le MuséoParc

Photo du haut, les intervenants

Au premier rang, le Président du Département de Côte d'Or, le Directeur de l'UFR Staps, le Président de l'Université de Bourgogne.

Au second rang, le Président de MuséoParc Alésia

Photo du milieu : les intervenants ont croisé des usagers du CEP (article associé)

#team cotedor #teamcotedor #nousportonslaflamme #jeux olympiques #jeuxparalympiques #museoparc #centredexpertiseetperformance #paris 2024 #olympiade culturelle #universitebourgogne

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Un mariage du sport et de la culture

Après sa réouverture le 10 février assortie d’une nouvelle identité visuelle, le MuséoParc inaugure sa mue olympique le week-end du 23 mars : l’exposition "Ô Sport, Des Jeux pour des Dieux" cochera alors toutes les cases des Jeux, antiques et modernes ; immersion sportive dès le hall d’accueil doté d’une piste d’athlétisme, scénographie signée Freaks architectes ; rencontres avec des athlètes antiques, collections d’objets avec le soutien du Musée Olympique de Lausanne. La Forêt Olymphonique de Stéphane Marin fera vibrer le toit-terrasse du musée d’allégories sportives sonores. Pendant les vacances scolaires de Pâques et d’été, il sera possible de découvrir des disciplines sportives antiques. Des ateliers trampoline seront proposés du 9 au 11 mai, à partir de 7 ans et sur réservation. Le 8 juin, le contre la montre par équipes de l’épreuve cycliste Côte d’Or Classic U19, prendra le départ du MuséoParc Alesia. Le vendredi 12 juillet à 12 h 48, sera le temps fort de la saison avec le passage de la Flamme Olympique à l’extérieur du musée et indoor sur la piste d’athlétisme conçue par Gerflor. L’arrivée de la Flamme sera précédée de Sol Invictus, œuvre chorégraphique d’Hervé Koubi, à laquelle la population sera associée dans un flash mob danse de la Flamme à laquelle participeront des jeunes du SCO Dijon.

Après ce moment d’exception, le Musée poursuivra sur sa lancée avec 3 soirées Cinéma à Alesia sur le thème du sport, les mardis 30 juillet, 6 et 13 août, en association avec un club sportif à chaque séance ; du 15 au 18 août, un spectacle de disciplines sportives antiques à base de lutte, pancrace, boxe, lancers, avec le Groupe Acta. Sont également programmées, entre le 23 mars et le 30 novembre, 6 conférences d’ArTeHis sur le thème des Jeux Antiques. Enfin au cours de la saison, en association avec le Conseil Départemental des Jeunes, des thèmes de l’exposition seront exportés hors les murs pour être présentés à des élèves de 6 collèges du département. En projet, un spectacle équestre en collaboration avec les élèves du Lycée La Barotte de Châtillon-sur-Seine.

Célébrez !

Une interprétation de la nouvelle identité visuelle du MuséoParc :

Universalité avec les 5 couleurs des anneaux olympiques et proximité avec les couleurs qui blasonnent la Côte d'Or. Un mariage du sport et de la culture.

#teamcotedor #jeux olympiques #museoparc #paris 2024 #olympiade culturelle #nousportonslaflamme

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12 jours en France

La France va accueillir pour la première fois les Jeux Paralympiques d'été, les XVIIe depuis Rome en 1960. La cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques 2024, programmée le mercredi 28 août, sera suivie de 11 jours de compétition et précédée du relais de la Flamme Paralympique qui partira le dimanche 25 août de Stoke Mandeville, village situé entre Londres et Oxford, berceau des Jeux handisport.

Tout s'enchaînera par un relais historique au coeur du tunnel sous la Manche. L'arrivée à Calais fera épanouir 11 autres flammes dans autres 11 villes étapes, côtières ou proches des frontières : Valenciennes, Amnéville, Strasbourg, Thonon-les-Bains, Antibes-Juan-Les-Pins, Montpellier, Lourdes, La Roche-sur-Yon, Lorient, Saint-Malo, Rouen.

Le lundi 26 août, chaque fraction de flamme convergera vers une autre ville étape en direction de la Capitale : Chambly, Laon, Châlons-en-Champagne, Troyes, Châtillon-sur-Seine, Lyon, Vichy, Limoges, Blois, Chartres, Deauville, Louviers.

La veille de la cérémonie, le mardi 27 août, 12 villes d'Ile de France prendront part à l'avant-dernier relais. Ainsi Fontainebleau et son Centre National des Sports de la Défense sera sur le parcours du relais n°5, connecté avec Châtillon-sur-Seine et Thonon-les-Bains.

En savoir plus sur le relais de la flamme Paralympique

A Londres en 2012, avec Sir Philip Craven, Président du Comité international Paralympique

Ancien membre de l'équipe nationale britannique de basket-fauteuil, et Président du Comité International Paralympique de 2001 à 2017, Philip Craven aurait pu être un grand témoin de la Francophonie aux Jeux. Marié à une française, Grand-Breton de naissance, Breton par sa résidence secondaire, Philip Craven adore la France.

Ludivine Munos, France Paralympique en 2024, partageait en 2012 ses médailles paralympiques avec des membres du Club de supporters.

#teamcotedor #nousportonslaflamme #wecarrytheflame #jeux olympiques #paris 2024 #handisport

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Des Braves qui bravent le froid

Robert et Guy sont deux anciens cheminots qui partagent une même passion l'athlétisme.

Les deux retraités se retrouvent régulièrement sur les terrains de compétition en tant que juges, comme ce dimanche de janvier à l'occasion d'un championnat départemental de cross country.

Depuis le début des épreuves de 10h du matin et jusqu'à 16 heures, par des températures négatives, Guy, 91 ans, et Robert, 74 ans, sont en première ligne pour enregistrer les temps à l'arrivée, avec un appareil Seiko stop watch qu'ils ont payé de leur poche.

Deux braves bénévoles qui savent nous rafraîchir nos mémoire de quelques records qu'ils ont homologués ; Robert rapelle qu'il a homologué le record de France Juniors espoirs Bougogne Franche Comté, au lancer de marteau de la Duciste Marie Rougetet (61m93).

Pour ce mois de janvier, ils ont étrenné le premier titre cross country de Lola Darcy, nouvelle recrue du DUC, en 25'18''.

#teamcotedor #DUC Athlétisme #miroirdespo #DUCISTES

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Des Jeux au creux de la vague

Etre au creux de la vague. Une métaphore qui peut inspirer tous ceux qui ciblent le développement durable mis en avant par Paris 2024 en quête d'équilibre, d'héritage et d'impact limité sur l'environnement. Le creux de la vague c'est soit un coup de mou, soit le bon moment pour repartir de l'avant.

D'abord, il y a eu la polémique, sur le choix du site de surf, Teahupo'o à 16000 kms de la capitale, site exceptionnel en vagues australes, un caprice pour 4 jours de compétition alors que Lacanau et Hossegor disposent d'un savoir-faire historique en métropole.

Puis la colère des élus locaux polynésiens en décembre 2023, lorsque des coraux ont été labourés et fragilisés par une barge au cours de travaux préparatoires à la construction d'une tour de contrôle pour les juges.

Le surf semble être au creux de la vague. Pour l'illustrer, inutile d'aller à Tahiti en Polynésie française ; près du Stade de France, plaine Saulnier, le toit ondulé convexe du centre aquatique fait office de vague géante creusée. Sous la toiture incurvée, des infrastructures innovantes et performantes sont promises aux habitants riverains après les Jeux.

Tout un symbole. Quelles seront les retombées après la déferlante des Jeux ? Soit on rebondit et on se projette en avant, soit on chute ; ça passe ou ça casse.

#paris 2024 #jeux olympiques #surf #vagues #teahupo'o #tahiti

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Foot-fauteuil, regards de coachs

Pilier au CS Nuits, Victor Mupunga a pris part au tournoi Powerchair.

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Le 23 novembre, à l’ouverture du tournoi de foot-fauteuil Powerchair, Le Carré Médical (LCM), vainqueur en 2022 démarre fort avec 3 victoires, 2-0, 3-0 ; puis 2-1 dans un dernier match accroché par le groupe du District de football de Keryann Lechenet, chargé de communication et jeune président du club de Chaignay qui se contentera pour sa première expérience de 2 matchs nuls ; contre l’équipe 1 de Bien Être et Vie (2-2) et la structure Formation du DFCO (1-1) ; des résultats mitigés qui agacent le coach Benoît De La Tour d’Auvergne, lequel évolue en D4 de foot fauteuil : « Dans le match qu’il ne faut pas perdre, on mène au score, on encaisse un penalty, puis un autre, on en rate un par précipitation, on mange la feuille de match ». L’Association DFCO Formation peut faire tourner à chaque match avec sept élèves en alternance commerce et marketing sportif, tous salariés de structures sportives, éducateurs ou joueurs, venus du basket, du foot, du rugby. Parmi eux, le pilier international Zimbabwéen, Victor Mupunga de Nuits-Saint-Georges. Après deux autogoals pour la première opposition face à LCM, les apprentis rendent une copie réussie face à l’équipe 1 de Bien Être et Vie managée par Lindtrim Rexhepi confus : « C’est ma première défaite en tant que coach ». Coach d’une équipe différente à chaque demi-journée, Benoît en a qualifié 3 ; pour les quarts du vendredi après-midi, il est coach de Doras, leader la veille (12 buts), qu’il va accompagner en finale face à LCM, entraîné par Déborah Lachaise laquelle croit encore en son équipe à la mi-temps décisive (0-0) : « Je leur ai dit d’être solides en défense car ils peuvent nous envoyer une chiche à tout moment. En tant que coach, j’espère une victoire avec la manière mais s’il faut aller aux tirs au but, on ira ». Finalement Doras échafaude un succès aux tirs au but (1-0) qui réjouit Benoît : « J’ai fait le carton plein en coachant, mais je préfère encore être sur le terrain ». Patrick Munarolo, secrétaire général du club, invite les passionnés de sports hors-norme à retrouver prochainement son groupe aux activités proposées dans le cadre du Téléthon au gymnase Chambelland et en mars 2024 pour le week-end de championnat de D2 au gymnase Marion.

Les vainqueurs 2023

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