Tumgik
#'c'est le trope usuel de
randomnameless · 2 months
Note
Je viens de voir passer un fanart de Byleth et Dedel à 1min27 dans cette vidéo de France Culture (https://www.facebook.com/watch?v=1377800556269036) sur un sujet qui n'a rien à voir en plus. C'est beau.
Tumblr media
C'est magnifique, parfait avec le petit logo "France Culture" pour sponsoriser tout ça.
Je suis fière de participer au service public audiovisuel en payant mes impôts!
Pourquoi sur un sujet qui n'a rien à voir, elle était en train de parler de otome games qui tirent la sonnette d'alarme sur, en gros, les relations toxiques qui peuvent se cacher derrière le traditionnel "je trouve mon âme soeur, on se fait des bisous et tout est bien qui fini bien"! - et justement, Dedel et Billy c'est un peu le même bouzin : Billy suit Dedel parce que l'amour rend aveugle (ou complètement débile?) et ça se donne la main et ça fait un soutien de rang S avec une illustration franchement pas tip top...
Mais le couple toxique se révèle !
Dedel refuse d'accepter l'héritage métisse de Billy, (si bien que le jeu doit se plier en quatre pour faire en sorte que Billy perde son héritage maternel de Nabatéen) et l'a poussée à démolir ce qui lui reste de famille, pour que Billy redevienne la personne détachée qu'elle était auparavant, même si elle détestait son surnom et sa réputation de "démon cendré".
Billy qui a suivi son coeur et ses sentiments se retrouve dans une situation complètement pourrie qu'elle avait adoré quitter, et est condamné à n'être qu'un faire-valoir (les ailes de l'hégémonisme Adrestien uwu) pour servir les desseins de Dedel.
...
Si ça se trouve, c'est exactement ça que voulait dire la personne interviewée par France Culture, qui avait joué à Fleur Vermeille!
ou pas lol
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artbibli · 7 years
Text
Trucs et astuces de création de scenario
Un thread d’astuces pour créer un scénario initialement publié par @Jossak sur l’instance Witchtestown 
J'écris depuis très longtemps (en amateur toutefois, j'ai jamais rien publié, calmez-vous), et l'une des remarques que j'ai le plus souvent vu a été : "Ah je ne trouve pas l'inspiration/j'ai pas d'idées pour écrire/etc". Pour le coup, vu que j'ai jamais de problèmes pour ça (oui j'me vante), je vais vous donner les différents trucs et astuces que j'utilise pour trouver des idées. Enfin, si ça vous dit.
1. Le premier conseil est d'une évidence déprimante, mais il faut partir de là je pense : l'inspiration ne vient pas de rien. Pas la peine d'attendre que ça finisse par arriver tout seul, c'est l'exception plus que la règle ce genre de choses. Si vous voulez avoir des idées, il vous faut lire, regarder des films, jouer à des jeux vidéos, etc, en bref : CONSOMMER DU MEDIA. Cela vous donnera des idées à partir desquelles vous pourrez créer vos histoires. Mais sans cela, bien que ce ne soit pas impossible, il vous sera extrêmement difficile de trouver des idées pour des histoires.
2. Sur le même sujet, il faut se rendre compte d'une chose : il n'existe presque plus, de nos jours, d'histoires originales. Tout a déjà été fait, vraiment. Et ce n'est pas un mal ! Mais il faut comprendre que pour le coup, ce qui fait une histoire, c'est reprendre ce qui a été fait, mélanger le tout de manière inattendue et innovante, et hop, on est repartis.
Game of Thrones n'est que Les Rois Maudits (ou la Guerre des Roses, un événement historique réelle) dans un monde de fantasy ; Star Wars, c'est un récit chevaleresque de fantasy dans l'espace. Ils n'inventent rien, mais pourtant, ça reste innovant et original !
3. Outre l'aspect "ingurgitation de médias" et "mettre le tout dans le mixer", l'un des éléments essentiels, à mes yeux, pour avoir de bonnes idées et faire de bonnes histoires de manière constante (et non pas aléatoirement) est de *comprendre* les histoires. Par là, j'entends : comprendre les mécanismes qui les font marcher, les outils narratifs. Ces outils ont même un nom en anglais : les tropes.
Et c'est là où je vous conseille d'aller perdre trois ou quatre jours de votre vie à aller sur tvtropes.org si vous êtes anglophone, et de lire quelques pages pour comprendre ça. Comprendre des tropes basiques comme complexes ne peut que vous aider.
4. Pour expliquer un peu plus avant le sujet : comprendre comment une histoire s'articule, comment les éléments s'enchaînent entre eux, comment ils communiquent, cela vous permet après de tester de nouvelles façons de le faire, mais aussi aller jusqu'aux limites de ces outils, ou jouer sur les attentes de vos lecteurs. Il y a quelques exemples notables de ce genre de jeu sur les outils narratifs (sans aller jusque dans le meta absolu), pour un excellent film d'horreur sur le sujet qui joue tout à fait sur les tropes narratifs usuels de ce genre, je vous conseille un visionnage de la Cabane dans les Bois.
5. Bon, vous avez lu/regardé/joué/etc jusqu'à ce que vos pupilles vous supplient d'arrêter, vous avez parcouru tout tvtropes pendant un mois, et vous vous tournez vers moi avec un regard terrifiant en disant : "J'ai toujours pas l'inspiration, AIDE-MOI POUR DE VRAI."
Ce à quoi je vous réponds : d'accord. On va faire ça. Veuillez ne pas me menacer s'il vous plaît.
La première chose à faire, c'est de savoir : dans quel contexte avez-vous besoin de faire une histoire ? C'est pour un concours ? Pour vous entraîner ? Pour du jeu de rôle pour vos joueurs ? Juste parce que vous avez envie ? Pour chaque situation, certains conseils spécifiques peuvent s'appliquer.
6. Imaginons donc un concours à thème. Vous regardez le thème, et rien ne vous vient. Que faire pour déclencher l'inspiration dans ces conditions ?
Prenons un exemple : Ecrivez une nouvelle sur le thème "Dieux égyptiens".
Peut-être que vous avez déjà un bon nombre d'idées ; après tout, c'est un thème assez facile. Mais imaginons que vous n'en aviez pas, ou bien peu. Il est temps de faire ce que j'ai envie d'appeler une session "brainstorming sémantique" ! Démonstration.
"Bon, dieux égyptiens. On pense à l'antiquité. L'antiquité, dieux grecs, romains... Romains, guerre... une guerre entre les dieux, avec les dieux égyptiens au centre de l'équation, en tant que protagonistes ? Ou alors, une histoire liée à des égyptiens vénérant les dieux de l'Antiquité ? Et si c'était des égyptiens les vénérant encore aujourd'hui ? Une histoire alternative avec une Egypte ayant gardé ses dieux, peut-être en ayant imposé cette religion ? Mais pourquoi dieux de l'antiquité, tiens ? Un dieu, c'est quoi ? Et un dieu actuel dans l'Egypte moderne ? Egypte moderne... printemps arabe ? Je connais pas bien l'Egypte, me faut lire un peu..."
Je me suis arrêté là parce que ce n'est qu'un exemple, et j'ai essayé de montrer le plus possible les liens mentaux que je fais pour, à partir d'un thème fort simple et bateau, essayer de tirer une histoire la plus originale possible mais qui reste liée au thème.
L'une des méthodes est l'association d'idées, comme on peut voir. L'autre est de reproduire des schémas typiques (une guerre des dieux, c'est banal). Il y a aussi le renversement (l'histoire alternative : au lieu que les dieux égyptiens soient dans l'Antiquité, ils sont modernes). Puis l'étude sémantique : un dieu, c'est quoi ? L'Egypte, c'est quoi ? A quoi ça me fait penser ? Comment lier ?
7. En partant de ce principe, on va essayer d’étendre l’idée de manière un peu plus générale. Et revenir au point 5 :
Vous voulez raconter une histoire : pourquoi ?
Répondre à cette question peut vous apporter des pistes. Parce que vous voulez faire une histoire avec plus de représentation LGBT ? Penchez-vous sur ce qui a déjà été fait, copiez, inspirez-vous, que ce soit en bon ou en mauvais (ce que vous voulez faire, et ce que vous ne voulez pas faire). Vous voulez faire une histoire de fantasy qui sort du typique ? Parfait, vous savez déjà quoi chercher !
Comprendre pourquoi vous voulez raconter une histoire peut être une grande source d’inspiration.
8. On va parler du cas extrême maintenant : vous voulez juste raconter une histoire. Pas de raison particulière, vous n’avez pas une thématique dont vous voulez parler, juste : vous voulez raconter une histoire.
(Pour ceux qui pensent que quand même, c’est l’exception : ça m’arrive parfois.)
Pour le coup, plusieurs questions peuvent vous orienter : quelles histoires aimez-vous, et lesquelles vous m’aimez pas ? Qu’est-ce qui fait que vous les aimez ? Avez-vous un ou des genres préférés ? Des clichés que vous ne supportez pas, des tropes que vous adorez ?
Une fois une liste ainsi établie de choses que vous aimez dans des histoires, vous devriez avoir au moins une trèèèès vague ébauche d’idée. De là, essayez de vous baser sur ce qui vous paraît le plus approprié : inspirez-vous d’une histoire déjà existante qui vous a marqué, et remaniez-la avec vos théématiques, tropes ; basez-vous sur un ou des faits réels marquants ; faites un « et si…  ? » tout bête ( « Et si c’était les Indiens qui avaient colonisé l’Europe » est un exemple qui n’est pas tout bête :P) ; trouvez un sujet social/politique/philosophique qui vous tient à cœur autour duquel vous pensez pouvoir développer une trame.
9. Avoir une ide de base, c’est bien. Savoir développer cette idée, c’est mieux.
Imaginons donc que mes conseils ont réussi à vous donner une idée de base. Pour l’exemple, nous prendrons Star Wars : un récit chevaleresque de fantasy, mais dans l’espace avec des vaisseaux spatiaux (et des épées du futur).
Pour en arriver à Star Wars, il y a encore du chemin. Il y a plusieurs méthodes possibles, et je ne vais en citer que quelques-unes.
La première est celle que j’ai tendance à utiliser, mais elles peuvent s’utiliser conjointement. N’ayant pas de nom (elle doit en avoir un pourtant), je vais l’appeler « De l’arc au détail ».
Le principe est simple, en apparence, est plus ou moins ce qui est attendu et fait dans la plupart des cas, que ce soit le développement d’un jeu, la création d’une voiture, la réalisation d’un film, etc. On crée un prototype, puis on fignole de plus en plus.
Bien entendu, dans le cadre générique d’une histoire, cela veut dire partir de l’arc, puis d’essayer de le représenter en plusieurs parties, puis de continuer ainsi pour chaque nouvelle partie.
Dans les faits, ça se passe comment ? Eh bien dans le cas de Star Wars, cela revient à analyser les outils narratifs du récit de base et à les mettre en place dans le nouveau contexte.
Donc on a : le jeune fermier qui est l’Élu, son mentor, l’apprentissage de la magie/Force, une Princesse à sauver, un personnage à la morale douteuse qui fait ressort comique mais aussi sert à ancrer un peu de réalisme en contrebalançant un peu l’idéalisme, etc.
Bien entendu, votre idée à vous n’emprunte peut-être pas directement les ressorts d’un archétype d’histoire. Auquel cas, il va falloir décomposer votre arc de vous-même… Et c’est là que les outils narratifs ressurgissent.
La structure des histoires est un sujet ÉNORMÉMENT étudié. Star Wars pompe tout d’un bouquin en réalité : The Hero with a Thousand Faces.
Pour résumer : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_H%C3%A9ros_aux_mille_et_un_visages
En gros, selon son auteur, la plupart des récits mythiques ont tous la même structure, grosso modo. Ce sont les détails qui changent.
Il y a plein, plein d’autres trucs à lire sur les structures d’histoire. Encore une fois, tvtropes offre de nombreux articles sur le sujet, qui sont très informels et aussi très informatifs (leur marque de fabrique). Pour du plus sérieux, il existe plein de bouquins sur le sujet, je vous laisse les trouver, aussi bien parce que je ne les connais pas (AH) que parce que ce n’est pas le but de tout ce thread :P
10. Une autre méthode est ce que j'appellerais (encore une fois à défaut de mieux) la méthode par "scènes". C'est la plus utilisée par les débutants et novices, car elle vient spontanément par "mimétisme", aurais-je envie de dire. Bien utilisée, elle peut produire de merveilleuses histoires, mais trop souvent, cela donne du n'importe quoi désorganisé. Explications.
Le principe est très simple : vous trouvez quelques scènes clés, qui vous plaisent avec l'idée de base que vous avez et, hypothétiquement, les personnages que vous voulez intégrer. Cela peut être un combat, une révélation inattendue, le dénouement d'une enquête, un dialogue intense, etc.
Le but est d'arriver alors à relier ces différentes scènes marquantes entre elles, de sorte à créer votre histoire. Et c'est là que le bât blesse pour la plupart des débutants, évidemment : trop souvent, les scènes ne collent pas, ne sont pas sur le même ton, les raccords pêchent, etc. Tout ceci s'éloigne un peu du scope de base (à savoir l'inspiration et comment la trouver), mais les deux sont un peu liés. Une fois votre idée trouvée, et une fois que certaines scènes-clé commencent alors à se former, il faut prendre garde à toujours former un tout *cohérent*. Prenez du recul par rapport à votre histoire, et considérez la pertinence de chaque scène.
Tout ceci est bien beau mais ne nous dit pas réellement *comment* obtenir ces scènes à partir de l’idée principal.
Plus haut, j’ai parlé de mimétisme. Ce que j’entends par là, donc, c’est qu’il est bon de copier des scènes marquantes d’autres histoires et de les intégrer à votre sauce, si vous n’avez vraiment pas d’idées. C’est d’ailleurs ce que font les débutants, et souvent l’imitation est trop visible, à un point que cela est douloureux. Ne copier pas bêtement : comprenez autant que faire se peut ce qui vous a marqué dans cette scène, ce qui la rend si typique… En bref, ce qui en fait un outil narratif fondamentalement, encore et toujours !
11. Outre ces méthodes, que je vous encourage de combiner, il y en a bien d’autres, qui dépendent aussi bien du genre, du média, de la taille de votre histoire, de sa complexité voulue, de l’audience visée parfois, etc.
En effet, si vous écrivez un scénario de jeu vidéo, vous n’aurez pas la même approche que pour du théâtre, pour un film ou pour un roman ! De même, une enquête policière utilise rarement les mêmes tropes qu’une comédie romantique… sauf quand les deux genres sont combinés.
Ne voyez pas ceci comme des restrictions à votre histoire mais des guides : cela peut pousser votre inspiration dans le bon sens, ou vous forcer à innover !
12. À ce propos, si vous peinez toujours à trouver l’inspiration, un bon moyen peut être de faire un tel mélange, comme évoqué précédemment avec l’enquête policière combinée à la comédie romantique. Mélanger deux genres peut être un moyen intéressant d’arriver à quelque chose de nouveau. Emprunter des codes à un genre dans un autre, aussi. Pour cela, il vous faut une très bonne compréhension de chaque genre en revanche, de leur fonctionnement et de leurs tropes usuels, mais le résultat peut être bluffant.
L’exemple populaire que je ressors depuis le début en est la preuve : Star Wars ! Heroic-fantasy… IN SPACE !
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