Tumgik
#Billet exposition
Text
S'habiller pour l'école
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
nouveau-blog · 2 months
Text
Une bonne alchimie entre la science et l'art !!
« L'art et la science ont en commun de questionner le monde en rendant visible l'invisible » 
Durant les semaines précédentes, j’ai pu aller visiter deux expositions marquantes mettant en lien l’art et la science. En effet le 15/02, je suis allé visiter l’exposition « bestiole électronique » de Marylou où l’on pouvait y retrouver plusieurs types d’ampoules s’allumant quand les capteurs s’activaient, plusieurs types de capteurs (ex : capteur de présence, capteur sonore, etc…) permettant de collecter des données et vis-à-vis de ses données, retransmettre des sonorités de bestioles et d’oiseau. Puis le 07/02, je me suis rendu à Chamarande , j’ai pu assister à l’exposition de Karine Bonneval qui se prénomme «  se planter ! ». Cette exposition vise à associer la technologie et la nature comme Marylou mais d’une manière différente. En effet, dans cette exposition, nous devions dans un premier temps effectuer un parcours à l’aveugle permettant de de dissocier la vision du ressenti. L’artiste avait décidé d’y faire dans l’orangerie du domaine de Chamarande des formes reconnaissance avec le touché et des bruits sonores. Nous devions décrire à notre binôme qui était masqué ce que l’on pouvait y apercevoir. Puis dans le reste de la visite nous avions pu observer plusieurs types d’œuvres liant des thèmes impactant la nature.
 Par exemple nous avions une œuvre où l’on pouvait y voir un moteur de voiture, celui d’une mustang et au-dessus des graines de colza, démontrant alors l’absurdité de la transformation d’une matière première en un objet polluant qui impacte donc la nature.
Tumblr media
 Ou bien comme autre exemple nous avions une œuvre où nous devions être pieds nu et entrer dans un trou, puis se connecter à la plante par le billet d’une feuille en cuivre. Cela me permettait donc de ressentir les vibrations entre la plante et moi, qui me permettait donc d’avoir un certain point de communication avec la plante.
Tumblr media
Après avoir effectué ces deux sorties, j’en ai donc conclu un lien entre les deux artistes. Tout d’abord, les deux artistes basent leurs œuvres en mettant en lien l’art et la nature. Chacune d’elles retranscrit de manière artistique les « ressentis de la nature » dut à l’impact de la présence de l’Homme dans la nature. L’une sensibilise par des capteurs et des lumières, l’autre utilise de même ces technologies mais en ajoutant ce côté humain, ce qui rends plus réaliste et plus vivant son exposition.
En sommes, les deux artistes ont su retransmettre grâce à leur art, l’impact de l’homme sur la nature, plus précisément l’impact de la technologie sur la nature.
A.N
Bibliographie : consultés le 14/03/2024
informations :
centretignousdartcontemporain.fr/marylou-bestioles-electroniques/
photos :
Tumblr media
A la prochaine pour un nouveau blog !!!
2 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
SAMEDI 9 DECEMBRE 2023 (Billet 3/3)
« HÔTEL DE LA MARINE »
Cela faisait longtemps que nous voulions le visiter. Enfin, hier matin, nos billets réservés depuis la veille, nous y sommes allés… et AVONS ÉTÉ LITTÉRALEMENT É-MER-VEI-LLÉS !
Impossible de vous décrire par le menu toutes les véritables splendeurs que nous avons vues. Juste vous montrer quelques photos, pas plus… pour vous laisser la surprise lorsque vous viendrez à votre tour.
Notre conseil : n’y allez pas… précipitez-vous-y !
A noter :
1) Pour visiter l’Hôtel de la Marine, la réservation est obligatoire et les jauges, pour une fois, sont strictement respectées. Vous pourrez déambuler dans les différentes pièces de l’Hôtel sans être incommodés par un grand nombre de visiteurs. C’est hyper appréciable, surtout après les mauvaises expériences des Expositions Van Gogh et Modigliani.
2) Et la scénographie sonore des audioguides est REMARQUABLE. Là aussi, nous ne vous en disons pas trop. Elle est très bien faite et l’idée est très originale.
Si vous en avez envie, lisez ci-dessous l’historique des lieux, vous serez peut-être moins dépaysés ensuite sur place.
Les photos sont à la fin du Billet.
____________________________
Les Parisiens connaissent bien ce monument dont la façade orne la partie nord-est de la Place de la Concorde. Souvent, ils en connaissent le nom. Mais peut-être moins l'histoire. Nous vous invitons à découvrir les secrets de l’Hôtel de la Marine, lieu emblématique de Paris mais également grand témoin de l’histoire de France.
La place Louis XV, actuelle Place de la Concorde, doit sa création à la volonté de la Ville de Paris d’édifier une statue en l'honneur du Roi Louis XV en 1748. Pour mettre en valeur cette statue équestre, l’idée d’une place à la gloire du roi, sur le modèle de la place Vendôme et de la place des Vosges, fait son chemin. 
Après de nombreuses hésitations, le Roi Louis XV donne un emplacement qui lui appartient à l’ouest de la ville, aux abords du jardin des Tuileries. Un concours d’architecture est alors lancé pour l’aménagement de cette place. Dix-neuf propositions sont déposées mais aucune ne satisfait le Roi. Il en est de même du second concours organisé.
Après cinq ans de débats, c’est Ange-Jacques Gabriel, Premier architecte du Roi, qui effectue une synthèse des différents projets pour créer les plans définitifs de la future place Louis XV.
La statue du Roi sera au centre. Au sud de la place, la Seine. Au nord, deux palais jumeaux aux façades classiques monumentales de part et d’autre de la rue Royale.
À la chute de la monarchie, cette place « Louis XV » changera de nom pour devenir « Place de la Révolution » puis « Place de la Concorde » à partir de 1795.
L’INSTALLATION DU GARDE-MEUBLE DE LA COURONNE
Après l’édification des plans et le lancement des travaux d’aménagement de la place, il est temps de trouver une affectation pour les deux palais situés au nord. 
C’est en 1765 que l’on décide d’installer le Garde-Meuble royal, institution en charge du mobilier du Roi, dans le palais le plus à l’est, le futur Hôtel de la Marine.
Pierre-Elisabeth de Fontanieu, intendant à la tête du Garde-Meuble, en profite pour faire aménager l’Hôtel pour répondre pleinement aux besoins de son administration : lieux de stockage, ateliers, appartements de fonction, galeries d'exposition... Durant près de vingt-cinq ans, le Garde-Meuble et son intendant vont occuper le palais.
Cette institution était en charge de l’aménagement des résidences royales, de l’entretien de leur mobilier, de la conservation des collections royales d’armes et d’armures et enfin des diamants de la Couronne.
PENDANT LA RÉVOLUTION
La Révolution française, qui éclate en 1789, change à jamais l’histoire de ce palais de la place Louis XV. Les jours du Garde-Meuble, symbole de l’administration et du faste royal, sont comptés. 
Deux événements marquent l’histoire du lieu. 
Le 13 juillet 1789, les révolutionnaires s’emparent des armes exposées dans la salle d’armes. Le lendemain, ils iront chercher des munitions à… la Bastille.
Le 16 septembre 1792, le vol des bijoux de la Couronne. Dans la nuit, une quarantaine de personnes entrent dans le salon où sont exposés les bijoux, et dérobent un butin de près de 30 millions de francs.
Symbole de l’Ancien Régime, le Garde-Meuble est purement et simplement supprimé lors de la Révolution. Une partie des meubles et objets d’art est alors vendue aux enchères ou brûlée, notamment pour en récupérer les métaux précieux. 
En 1800, l'institution est recréée sous le nom de Garde-Meuble des Consuls. Elle deviendra ensuite Mobilier impérial puis finalement Mobilier National en 1870. Le Mobilier national est toujours en charge des meubles des différentes institutions nationales telles que l’Elysée.
LE SIÈGE DU MINISTÈRE DE LA MARINE PENDANT 226 ANS
Dès le début de la Révolution, le Roi Louis XVI quitte Versailles pour Paris. Toutes les administrations de l’État présentes à Versailles doivent donc regagner la capitale. Mais un obstacle de taille se dresse : où les installer ? Le Ministère de la Marine s’installe dans le palais abritant le Garde-Meuble en 1789. C’est le début de deux siècles de présence de cette administration dans ce palais qui portera désormais le nom d’Hôtel de la Marine. Le ministère de la Marine ne quittera le bâtiment qu'en 2015.
2020, UNE NOUVELLE ÈRE POUR L’HÔTEL DE LA MARINE
Depuis le départ du ministère de la Marine, l’Hôtel de la Marine est confié au Centre des Monuments Nationaux. Chargé de mettre en valeur ce patrimoine exceptionnel, le CMN a mené une restauration de grande ampleur de l’ensemble du monument entre 2017 et 2021, pour ouvrir le monument au public et rendre aux appartements des intendants du Garde-Meuble royal leur faste du XVIIIe siècle.
Depuis 2017, les campagnes de restauration ont mis au jour de véritables merveilles, avec notamment la redécouverte des décors originaux des appartements de l’intendant tels qu’ils étaient à la fin du XVIIIe siècle.
(Source : « Plaquette de l’Hôtel de la Marine »)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
detournementsmineurs · 7 months
Text
Tumblr media
Exposition “Sublimes Sécrétions” avec les bijoux de Marine Billet et Marine Rehbinder à la Galerie Anne Marie Zahar dans le cadre de Parcours Bijoux, octobre 2023.
2 notes · View notes
gfxced · 7 months
Note
Tu fais quoi dans la vie?
Je suis animateur socio-culturel / éducateur aux médias dans le secteur jeunesse. On traite de questions de société diverses; d'environnement, de ruralité, de justice sociale, d'accès à la culture et/aux savoirs, d'éducation à la vie affective et sexuelle, etc. Souvent vu ma casquette médiatique, j'aborde le traitement de ces sujets variés par le biais de l'éducation aux médias, mais pas toujours. Débat philo, ateliers plastiques, ateliers d'écriture ou de "bêtes" animations clé sur porte sont d'autres outils qui sont utilisés à ces fins.
Ca peut signifier par exemple, leur faire découvrir le monde du journalisme, leur apprendre la manipulation des outils et les accompagne dans des processus de réflexion, de documentation à l'endroit d'un sujet ou d'une interrogation tout en aiguisant leurs sens de l'observation et de l'analyse.
Parfois ça donne lieu à une petite vidéo sur youtube, parfois ça donne lieu à des reportages diffusés de manière régionale (festivals ciné) ou alors encore en expositions.
Je suis une petite main invisible qui permet de relayer le propos des jeunes de 12 à 26 ans dans l'espace public et parfois cette parole portée remue un peu le cocotier. Pas autant que je ne l'aimerais, mais ça arrive.
Sinon je suis photographe et vidéaste sur le côté mais plus pour longtemps, mon gouvernement a décidé de rendre le travail freelance complémentaire plus difficile. C'est pas grave. Je cours pas spécialement derrière les contrats. J'aime bien faire du portrait alors à mon avis je vais continuer d'en faire, à l'oeil, pour le plaisir.
Sinon dans ma vraie vie? Rien de spécial. J'essaie de survivre à mes conditions de vie. Elles ne sont pas mauvaises mais je n'ai pas de temps pour moi ou si peu. Les enfants en bas âge, ça bouffe tout. J'arrive à "lire" en conduisant ou en m'endormant grâce aux audiobooks et ça c'est une petite victoire. Sur les deux années qui viennent de s'écouler j'ai lu plus de livres que sur les 10 années qui les ont précédées. Petite victoire de canard.
Sur ce blog? Je suis le reflet de ce qui reste de mon adolescent intérieur. J'étais bien plus meurtri et émotionnel que ça quand j'avais 18 ans (j'en ai plus du double, j'ai 38 ans). J'aurais honte de lire certains vieux billets que j'ai écrits, sincèrement, mais peut-être devrais-je tout de même aller fouiller un peu pour pouvoir me rendre compte du chemin parcouru?
Là j'ai envie de rentrer chez moi, d'oublier les problèmes administratifs que je dois résoudre et me perdre dans un jeu pour quelques heures. Ou alors de commencer à éditer un nouveau livre photos. Eh. Je verrai.
6 notes · View notes
alain-keler · 10 months
Text
Tumblr media
Samedi 17 juin 2023, vers 17 heures 30.
  Près de Lourmarin, Vaucluse, où se déroule la deuxième édition de la manifestation photographique « Réflexivité(s)»*.
  Isabelle Liv, avec qui je partage une exposition**, conduit. Je photographie. C’est une manie. Non, une passion. Il se passe toujours quelque chose sur une route, jour et nuit.
  Ce samedi il fait chaud, cette chaleur du sud-est  accompagnée d’une lumière un peu trop blafarde à mon goût. Elle s’adoucira dans une bonne heure, peut-être deux. À l’heure de l’apéro. Ce n’est pas un hasard. Une femme à vélo, toute de blanc vêtue longe la route. L’instant sera court, le temps d’une seule image.
  Je vous invite, au moins pour ceux qui habitent le sud, à vous rendre à la fruitière numérique, où onze expositions vous attendent. La douzième, celle de Hans Silvester a trouvé refuge à l’espace Albert Camus. Le programme complet se trouve dans le lien qui accompagne ce petit billet
*https://www.reflexivites.com
** ALAIN KELER & ISABELLE LIV - Les vies au-dehors – avec un texte de Sébastien Minaux - Victor Hugo
DOLORÈS MARAT - L’instant passé
Texte de Line Papin
 ALAIN KELER & ISABELLE LIV - Les vies au-dehors
Sébastien Minaux - Victor Hugo
 HANS SILVESTER - Jouer à l’ombre des arbres
Yvan Audouard
 ESTELLE LAGARDE - Hélène
Brigitte Patient
 BETTINA PITTALUGA - intime
Simon Johannin
 LAURENT WEYL - President Hotel
Sabrina Rouillé
 LOUIS WITTER - Calais London Calling
Halina Cumft-Niementowska Pobog
 FÁBIO BOUCINHA - Enfants de nos quartiers
Luna Moriceau
 LAËTITIA VANÇON - At the end of the day
Kevin MacNeil
ALINE DESCHAMPS- A life after Kafala
lisa luxx
 ALEX KEMMAN - Only the birds still cross
3 notes · View notes
Text
Mesdames et messieurs, comme je le disais donc ce matin : je suis à Sidney ! (C'est bon Dr Rathatton, tu peux venir me chercher, je suis laaaaaaa)
Tumblr media
Anecdote rigolote : j'étais sur le vol d'inauguration de la ligne Ho Chi Minh - Sydney de la compagnie aérienne que j'ai prise, donc on a eu le droit à des photographes, une peluche de kangourou de la taille de mon avant bras, une casquette (je n'ai pas pris tout ça, avec le sac c'est compliqué, mais l'ambiance était sympa !),... Bon, par contre, vu que c'était le vol le moins cher que j'aie pu trouver, pas d'oreiller/couverture, pas de repas inclus, même l'eau était payante :') le confort étant assez minimal, j'ai donc du dormir à peu près trois heures cette nuit !
D'un côté, c'est bien, ça a fait une légère transition entre le coût de la vie en Asie et celui en Australie : je multiplie littéralement par 5 à 10 le budget nourriture et logement. Pour vous donner un exemple, cette délicieuse glace était à... 7$ la boule. Et je dors ce soir dans un lit de dortoir, sans serviette incluse, pour la modique somme de ... 40$ (vs 3 ou 4 en Asie, 6 quand c'était vraiment cher). Ce qui est le moins cher que j'ai trouvé, "trou à rat et à puces de lit" (commentaires Google des deux auberges à 20€ la nuit trouvées sur internet) exclus.
Tumblr media
J'ai profité d'un tour gratuit pour faire 3h de balade dans la ville, où on a appris plein d'anecdotes sur l'histoire de Sydney et de l'Australie !
Tumblr media
Par exemple, on a appris que les animaux symboles du pays, c'est le kangourou (vous ne vous en seriez jamais douté) et l'émeu. Non, pas De Rathatton en PLS dans un fauteuil, un vrai émeu. Et pourquoi ? Parceque ces deux animaux ne peuvent pas reculer, c'est donc le symbole que l'Australie ira toujours de l'avant ! Notre guide nous glisse en passant que c'est aussi un des seuls pays où on dévore allégrement les animaux qui le représentent, et qu'ils ont même une pizza "coat of arms" moitié viande de l'un, moitié de l'autre ... Quelle idée.
Tumblr media
En tout cas, c'est assez marrant comme ville, on trouve côte à côte des bâtiment qui ont 120 ans et des buildings en acier et en verre, c'est assez original. Ils ont aussi un sens de l'humour tres British : on nous a montré une horloge qui remet en scène la décapitation de je ne sais quel roi, et dont la tête tombe donc toutes les heures. Miam.
Tumblr media
A la base, Sydney était constituée quasiment exclusivement de prisonniers, pour la grande majorité des voleurs. En lieu de sentence, on les condamnait à 7 ou 14 and d'exil/travail forcé en Australie, sans billet de retour. Enfin, techniquement, ils avaient le droit de rentrer une fois libre, mais entre payer son billet pour faire 9 mois de bateau, risquer d'y passer, et rentrer dans un pays miséreux, ou rester sur place et obtenir un commerce ou une ferme, le choix était vite fait. Du coup, la ville n'a pas super bien débuté : entre le niveau d'éthique de la population locale, les rixes incessantes avec les indigènes, le fait que la monnaie d'échange était le rhum et que 75% des gens étaient alcooliques, les autres étant corrompus, c'était un peu difficile ... Depuis, la monnaie en plastique presque indestructible et 100% recyclable (ils en font des bancs!) a été inventée, c'est quand même moins biaisé qu'une bouteille de rhum.
Tumblr media
Il y a une certaine rivalité entre Melbourne et Sydney (la fameuse histoire de la capitale Canberra, construire pile au milieu des deux villes parcequ'on n'arrivait pas à se décider), désormais plutôt amicale. Les deux villes se comparent notamment sur le plan de l'art, où Melbourne serait plus développée ; notre guide nous a amenés à une des expositions installée à Sydney qui fait fureur : 50 cages d'oiseaux désormais disparus du centre ville, alors qu'ils étaient autrefois tous sur l'endroit où la ville s'est construite, et les pépiements correspondant transmis par des hauts parleurs.
Tumblr media
Ils ont aussi leur propre version du bout du pied à frotter pour se porter chance : ici, c'est le museau du sanglier ! On met une petite pièce en don dans le fontaine devant (ils font pas mal ça, il y en avait une autre avec le chien préféré de la reine Victoria... Mais celle là parlait et aboyait pour remercier !), c'est donné à diverses associations en fonction de la fontaine.
Tumblr media
Bref, après ces trois heures de visites très intéressantes (mais j'ai mal aux pieeeeeds) ma glace dans l'estomac (ça me servira et de petit dej et de déjeuner, on mangera tôt ce soir mais je n'assume vraiment pas le burger à 25$ du centre ville !), je pars vers le jardin botanique qui est magnifique, où j'arrive à faire une heure de sieste sans me faire mouiller (je suis passée entre les averses !).
Tumblr media Tumblr media
J'ai par contre violemment pris la pluie au retour à l'auberge, bienvenue à Sydney \o/
Note : je retouche à une casserole pour la première fois depuis 3 mois, le kg de tomate a beau être à 7$, ça reste moins cher que de manger en extérieur !
Ps : Dr Rathatton, revieeeeeeeeeeens
3 notes · View notes
lagendageek · 1 year
Text
Mang'Agen & Fiction festival 2023 aura lieu du 11 au 12 mars 2023 à Agen (47). Mang'Agen & Fiction festival 2023 : 3ème édition Festival les 11 & 12 mars - Parc des Expositions d'Agen. Festival Thématiques : Manga-Japon / Pop Culture, Cosplay, Kpop, Jeux vidéos, Dessin, Ateliers, Illustrateurs, Créateurs. Au Menu des animations, montez à bord de la célèbre Anglia à l'espace de Harry Potter et dans la chevrolet de Transformers et repartez avec votre photo gratuitement ! Une Exposition Harry Potter et une exposition sur l'Histoire des Ghibli/Miyazaki. Des boutiques, avec des mangas et romans, des créateurs, des illustrateurs comme l'auteur Bd et manga des mystérieuses cités d'or, des figurines, katanas, peluches et goodies. Au menu également de la Kpop, les Concours de dessin et les défilés de cosplay sur scène, le planning complet disponible une semaine avant le festival. Le chanteur officiel de Pokémon sur scène et en dédicace, Kabeya ça vous dit ? Il y aura aussi des tournois de jeux vidéos et du rétrogaming et des bornes d'arcades japonaises et accès libre. Du Just Dance sur les 2jours avec la célèbre DINA pour danser avec vous les familles mais aussi des tournois de jeux vidéos sur Twitch, un espace Japon et des dédicaces de youtubers et comédiens de doublage, Bruno Meyere, Arnaud Laurent, Karal, Siphano, Pierr Cika. Le retour de Bernard MINET sera en concert au MANG'AGEN le dimanche à 15 h sur la grande scène et en dédicace les 2 jours !! avec une exposition avec des tableau d'illustration originaux Club Dorothée avec Bernard MINET sur le stand en dédicaces. Et d'autres invités à consulter dans le programme définitif publié prochainement... Retrouvez donc des animations mais aussi de très nombreux ateliers gratuits : Confection des gâteaux japonais, de la calligraphie japonaises, des ateliers créations (Pokéball), apprendre à dessiner le manga ou perfectionner son talent avec Thomas Bouveret, Atelier Shiatsu(massage japonais) , des ateliers de maquillage pour enfants et adultes, des ateliers kokedamas (plante japonaise)(Inscriptions sur place). Un espace restauration japonaise et cuisine traditionnelle sur place avec un espace couvert cette année en nouveauté! Un espace avec tables et chaises sera à votre disposition pour faire une pause repas ^^ Informez vos amis Tarifs Entrées : * 15 € la journée avec sorties et rentrées possibles. * 10 € pour les enfants des 8 à 12 ans * 25 € le Pass week-end (Valable 2 jours) * PASS FAMILLE un jour : 40€ (2 entrées + de 13 ans + 2 entrées 8 à 12ans) Gratuit pour les moins de 8ans. 10€ : A partir de 16h. Horaires : Samedi 9h / 19h Dimanche : 9h / 18h Ouverture à partir de 10h pour achats de tickets sur place. Billets en vente : - sur le site internet sécurisé festivalmangagen.fr - Sur place le jour de l'événement à partir de 10h.
2 notes · View notes
claudehenrion · 2 years
Text
La ''Sindonologie''
  Ah ! Que voilà un mot savant, tout droit extrait de ses racines grecques ! Ceux  des lecteurs de ce blog qui ne me connaissent pas --ou peu-- vont peut-être s'imaginer que je me suis donné un mal fou pour le découvrir dans quelque grimoire bouffé aux vers. Il n'en est rien, évidemment : ce mot, comme tous ceux qui viennent sous ''ma plume-clavier'', fait partie de mon vocabulaire ''perso''. Il correspond en réalité à une ferveur intellectuelle à laquelle je m'adonne en secret depuis une trentaine d'années : la sindonologie (mot tiré effectivement du grec ancien, de σινδών, sindôn = tissu fin, et du suffixe λόγος, lógos = parole, raison, discours), désigne les études sur le Saint Suaire de Turin. J'y ai consacré des jours, voire des mois, qui ont toujours été récompensés par des émotions ''palpables''.
On sait à quel point c'est un sujet controversé, comme tout ce qui se rapporte à la chrétienté, tellement maltraitée depuis le XVIII è siècle : avec une constance qui n'a d'égale que leur haine, les ennemis de la Croix ont fait à peu près tout ce qui peut être tenté pour nuire à ce socle fondamental de notre société et de notre belle civilisation occidentale. Or on sait depuis 1550 que ''La mauvaise monnaie chasse la bonne'', comme le dit la Loi de Gresham, et nous sommes donc, peut-être, à la veille d'une victoire du Mal sur le Bien, du Laid sur le Beau, et d'une absurde absence de futur qui remplacerait (?) la plus brillante civilisation que l'humanité ait jamais vue, via l'effondrement des valeurs chrétiennes, remplacées par... le néant.
Mon intérêt pour cette Sainte Relique s'explique par l'émotion que j'ai ressentie à chacune des ''Ostensions'' (c'est le nom qui est donné à ses expositions publiques) depuis la première fois où je l'ai ‘’croisée’’, le 23 novembre 1973, à l'occasion du centenaire de la naissance de Sainte  Thérèse de Lisieux, première ostension télévisée. Depuis, j'ai réussi à n'en ''rater'' que 2 ou 3, ressentant à chaque fois un choc émotionnel d'une intensité inconnue autrement, qui fut confirmé lorsque j'ai retrouvé sur la Sainte Image une trace de sang --jamais soulignée dans tous les textes que j'ai lus-- là où Daniel-Rops parlait d'un ''crochet de bois entre les jambes du supplicié'', et aussi des traces d'une couronne d'épines posée à la manière dont les Empereurs romains portaient leur couronne de laurier --loin de l'horizontale associée au mot ''couronne'' depuis le bas moyen-âge. Mais honnêtement, mises à part ces deux ''découvertes'' un peu originales, mon ressenti à moi importe peu !
La question suivante est : pourquoi en parler aujourd'hui, alors que l'actualité bruisse de mille rumeurs, de bruits de bottes, de possibilités nucléaires, de canons, de Shahadas et de tchadors menaçants, de ''God save the King'' plus rassurants, des colères lilliputiennes de Mélanchon et des mauvaises idées issues de l'ex-majorité présidentielle, l'ex-LREM devenue un laboratoire où vont ''Séjourné'' toutes les réformes-à-éviter-à-tout-prix ? Pour une raison toute simple que les lecteurs de ce Blog connaissent bien : la parution d'un livre sur ce sujet, dont je viens de terminer une première lecture. Ce livre est signé Jean-Christian Petitfils, ce qui est une garantie d'honnêteté, de culture, de sérieux, de respect de l'Histoire et de refus des mensonges ravageurs à la mode, qui pervertissent tout ce qu'ils effleurent.
Le titre de cet ouvrage est explicite : ''Le Saint Suaire de Turin, témoin de la Passion de Jésus-Christ'' (Tallandier) et le ''bandeau'' l’est encore davantage : ''L'enquête définitive''. Pour 26 euros, vous ferez le tour du sujet, en éventant et en évitant (en sachant pourquoi) les pièges, les chausse-trappes et les mauvais procès faits par des ennemis de toute civilisation, qui ne reculent devant rien pour parvenir à leurs fins... qui nous rapprochent chaque jour un peu plus de la nôtre. Je vais vous faire grâce du rappel historique et des détails, que tous les lecteurs de ce ''billet'' a sans doute déjà lus et relus cent fois. Sauf peut-être la farce de mauvais goût qu'a été la trop célèbre ''analyse au Carbone 14'' qui, ayant porté sur une partie du linceul qui était un rajout fait au XIII è siècle, a intelligemment conclu que l'objet analysé datait... du XIII è siècle ! Quel dommage que le ridicule ne tue plus !
Monsieur de Lapalisse, en réalité le Connétable Jacques II de Chabannes de La Palice, seigneur de Dompierre-sur-Bresbe, de Pacy, de Châtelperron, de  Chavroches, de Chezelles, de La Foresterie d'Anjou, de Montmirail en Perche, de Vandenesse en Nivernais, de Bourg-le-Comte et de Céron, de la seigneurie royale de Semur-en-Brionnais, de Famechon en Picardie, etc... (''Excusez du peu'', diraient les journalistes sportifs dans leur jargon souvent incompréhensible !) n'aurait pas dit mieux. Sacré Carbone 14 ! Que de conneries on peut écrire en son nom ! Car une chose est frappante : les preuves prétendues ‘’scientifiques’’ collectionnées par certains pour ‘’démontrer’’ (?) que ce Suaire serait un faux sont tout sauf scientifiques et ne sont, d’après ce que j’ai lu, pas convaincantes. Mais cela fait partie des dérives du vocabulaire qui sont un des ‘’marqueurs’’ du temps !
Le Saint Suaire est une relique vénérée par toute le Chrétienté depuis 1367 au moins. Il est la propriété des Ducs de Savoie (d'où sa situation permanente à Turin) qui l'exposent à des dates plus ou moins fixes. Mais c'est surtout l'artefact le plus étudié de l'histoire, et l'objet d'une grande piété populaire. Sa conservation, ses resataurations et ses ostensions sont donc un enjeu primordial, aussi bien pour l’Eglise catholique ‘pourtant prudente sur le sujet au-delà de ce qui devrait être permis) que pour les ''sindonologues''. Pendant des siècles, ce Linceul avait été conservé, entre deux ostensions, plié dans un coffret-reliquaire, et soigneusement (?) repassé... avec les moyens du temps : des fers chauffés sur la flamme (qui expliquent les traces de brûlures visibles) ! Plus tard, il a été enroulé sur un cylindre de bois, ce qui n'a pas empêché les dégradations (son jaunissement progressif dû à l’oxydation du tissu entraîne une réduction de la visibilité de l’image, et des contaminations sont incriminées lors de débats périodiques sur son authenticité).
Mais un véritable sujet ressort du livre de Jean-Charles Petitfils : ''Que veut-on prouver, en étudiant le Saint Suaire ?''. Démontrer ou au contraire réfuter qu'il est bien le linge qui enveloppa le corps supplicié du Christ après le Golgotha ? Ou bien démontrer ou pas la résurrection du Christ (NB : personne n'a pu expliquer --fut-ce de très loin-- une telle image, qui suppose une ''illumination'' d'une nature inatteignable par l'homme)... ce qui ouvre la porte à un débat sans fin entre le cœur et la raison, ou entre la foi et l'entendement, ou devant une impossible vérité qui serait réputée scientifique et qui ne peut donc que se dérober, pour longtemps encore. (NDLR : en ce qui me concerne, la réponse à cette question est d'une simplicité... biblique : j’aime passer de longs moment sur ou avec un ''objet'' dont l'histoire (y/c compris rejets et refus) me passionne. Mais cela n’a pas le moindre intérêt). Alors... malgré ce qu'affirme le ''bandeau'' dont nous parlions plus haut, il est à prévoir que ce livre ne sera pas le dernier. Et ça, je m'en réjouis à l'avance ! 
H-Cl.
4 notes · View notes
8hoursforwww · 2 years
Text
Billet BONUS - Question de lecteur : C'est quoi cette histoire de loi 1901 qui serait une forme de "neutralisation des projets émancipateurs directement issus de la classe ouvrière" ?"
Bonjour bonjour,
Dans le billet précédent, nous avons vu que Lily Zalzett et Stella Fihn, les deux autrices du livre "Te plains pas c'est pas l'usine" commentaient la loi de 1901 en ces termes : 
“Les associations ainsi institutionnalisées sont une tentative, plutôt réussie, de la part de l’Etat de neutralisation des projets émancipateurs directement issus de la classe ouvrière.”
Un de mes (très) (TRES) NOMBREUX lecteurs souhaiterait en savoir plus (et moi aussi figurez-vous !)
Ce passage du livre m'a également interpellé : c’est une phrase assez forte, qui peut être sujette à interprétation, pour laquelle je n’ai pas trouvé de source particulière et qu'il serait donc de bon ton de creuser davantage, notamment parce que... c'est SUPER CROUSTICROQUE et que ça réveille la Elise Lucet du pauvre qui sommeille en moi.
Reprenons le passage qui précède (page 23, si vous vous êtes procuré le bouquin - 7 balles, prix d'un menu kebab avec boisson)
"La loi de 1901, dite de "Waldeck-Rousseau", créant les associations avait entre autres objectifs de donner une forme aux diverses coopératives ouvrières, mutuelles, projets collectifs, plus ou moins utopiques qui fleurissaient depuis quelques décennies. Il s'agit alors, pour l'Etat, de reconnaître des formes en les intégrant plutôt que de lutter sans cesse contre elles : pour le député à l'origine de la loi "la coopération est un outil de paix sociale et un facteur de promotion individuelle."
On comprend donc ici qu'en intégrant les divers collectifs plutôt qu'en se battant contre eux, les choses s'apaisent. Ou comme dit ce dicton un peu ringard : Sois proche de tes amis mais encore plus de tes ennemis.
Pour autant, je pense que pour comprendre pleinement ce passage, il est essentiel de situer le contexte historique dans lequel cette loi a vu le jour mais également de nous servir du présent pour voir où en sont aujourd'hui les libertés associatives.
Pour l’élaboration de ce billet, je me suis particulièrement servie d’une vidéo Youtube publiée le 12 juillet 2021 par le Mouvement Associatif, la représentation nationale des associations françaises présidée actuellement par Claire Thoury. On y retrouve, à l’occasion de la commémoration des 120 ans de la loi, différents intervenants qui nous permettent d’y voir plus clair sur la question des LIBERTES ASSOCIATIVES !
Pour commencer, il est essentiel de revenir un peu en arrière afin d’avoir un aperçu de l’ambiance en 1901 :
On est sur la première année du XXe siècle (truc de ouf) et il se passera pas mal d’événements clés pendant cette décennie. Dans le désordre, on est en pleine Exposition Universelle à Paris, Pierre et Marie Curie reçoivent le prix Nobel de physique (GG), les Suffragettes à Londres sont à donf, Einstein publie ses théories sur la relativité… BREF, ça bouge. Côté météo, on est sur un été très orageux, on note même quelques petites tornades ici et là. Notez qu’on ne s’est pas encore tapé la 1ère Guerre. Un été orageux donc, un peu comme la vibe à l’Assemblée au moment où notre cher Waldeck-Rousseau arrive avec sa loi…
Tumblr media
Revenons encore un tout petit peu plus en arrière avec l’aide de notre chouchou national : Nota Bene (dont je vous invite à aller voir la vidéo complète : ici) :
Waldeck-Rousseau n’en est pas à sa première loi puisqu’en 1884, il permet le passage d’une grande étape dans le droit du travail en "écrasant" la loi Le Chapelier (qui interdit les organisations ouvrières) : les syndicats naissent.
En 1891, Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, est à l’origine d’une ma[r]xi grève générale. Les ouvriers réclament une augmentation des salaires et des journées de 8h. Cette grève se conclut par une répression sanglante.
On arrive donc à notre fameuse loi de 1901. 
Jean-Claude Bardout, magistrat et auteur de l’Histoire étonnante de la loi de 1901. Le droit des associations avant et après Pierre Waldeck-Rousseau, nous explique tout (alors lui, j’était particulièrement ravie qu’il soit présent dans la vidéo du Mouvement Associatif parce que son bouquin coûte 21 balles et je vous aime bien mes petits lecteurs, mais pas TANT.)
Il souligne qu’en France, on a donc une tradition très ancienne (et pas très sympa) qui ne voyait dans l’association qu’une “concession de l’Etat”. Il fallait une autorisation et de manière générale, un “principe de prohibition générale” est de mise. Pour rappel, “L'article 291 du code pénal de 1810 réglemente la liberté d'association : « Nulle association de plus de vingt personnes […] ne pourra se former sans l'agrément du Gouvernement ». La liberté d'association s’est acquise dans la lutte, est aujourd’hui fondamentale et mérite que nous y restions vigilants notre vie durant. Particulièrement dans le contexte de crise que nous connaissons actuellement (oui oui, je paraphrase complètement de Beauvoir, bien vu chakal).
Avec Waldeck-Rousseau (et je pense que je ne l’ai pas suffisamment souligné dans mon article précédent), on change complètement de paradigme. Comme nous l’explique Bardout, l’association est un contrat et pas un morceau de l’Etat qu’on concède à un collectif mais une liberté de l’individu ! C’est un droit naturel, puisque depuis toujours, les hommes et les femmes ont éprouvé ce besoin de s’associer entre eux ; et de conclure “C’est cette capacité associative de se réunir qui fait qu’il y a un besoin de consacrer cela par un droit”.
Alors, à ce stade, vous pouvez me dire : mais alors ??? C’est super positif comme avancée !
Alors, OUI, assurément, mais comme on l’a vu : cette loi passe dans un contexte social particulièrement tendu, elle tente donc de l'apaiser ; l’Assemblée est parcourue de débats houleux lors de son passage, elle ne fait donc pas l'unanimité, notamment sur la question de laïcité entre la majorité et la droite chrétienne (la loi de 1901 mène notamment à la dissolution des congrégations religieuses). Par ailleurs, elle fixe tout de même les limites suivantes (de manière assez logique) : une asso ne pourra pas avoir pour objet : « un objet illicite, contraire aux lois, aux bonnes mœurs, ou qui aurait pour but de porter atteinte à l'intégrité du territoire national et à la forme républicaine du gouvernement ». Comme pour chaque individu, la loi prévoit que l'Etat ne sanctionne qu'a posteriori et non a priori d'un éventuel délit. A part ces éléments, dans mes sources, rien n’évoque de débats directement liés cette potentielle “neutralisation” d’initiatives ouvrières par cette loi.
En revanche… si on fait un petit bond dans le temps pour revenir au présent… alors on peut effectivement parler d'une volonté de “neutralisation” si ce n'est de "contrôle" de ces structures de la part de l'Etat et ce sans AUCUN scrupule.
Pour comprendre, j’ai eu besoin de l’aide de Claire Thoury, Présidente du Mouvement Associatif, qui n’a tout simplement PAS LE TIME.
Tumblr media
Je m’explique : dans cette vidéo de commémoration des 120 ans de la loi de 1901 publiée en 2021, Thoury intervient pour l’ouverture d’une table ronde composée de personnalités du monde associatif. Dans l’audience, de nombreux acteurs associatifs, mais également les membres du cabinet de Sara El-Haïry, alors Secrétaire d’Etat au sein du gouvernement Castex (alors, déso mais sur El-Haïry, je vais rien développer du tout et vous laisse vous faire votre propre opinion de l’individu en suivant ce lien : ici parce que moi je ne PEUX PLUS, C’EST PHYSIQUE)
Thoury, donc, commence en rappelant que la loi de 1901 est “une grande et belle loi” qui permet de s’associer en toute liberté, quel que soit le projet, “à condition de respecter la loi, évidemment” (important pour la suite).
Elle enchaîne avec trois éléments de contexte dans lequel ces 120 ans sont commémorés :
Le 1er : la crise sanitaire, dans le cadre de laquelle elle rappelle à juste titre l’implication essentielle des acteurs associatifs dans sa gestion - en d’autres termes, merci mais sans nous VOUS SERIEZ TOUS DANS LA SAUCE.
Le 2nd (et le plus important pour nous) : le projet de loi visant à conforter les principes de la République également appelée la loi SÉPARATISME (il fait pas trop flipper ce mot ?) promulguée le 24 août 2021 qui comprend un nouveau “contrat d’engagement républicain pour les associations” qui vient donc s’ajouter à loi de 1901 - en substance, Thoury réaffirme que le Mouvement Associatif ainsi que de nombreux acteurs sont CONTRE (cf leur tribune : ici) : tout d’abord parce qu’il instaure un climat de défiance envers les assos mais aussi et surtout parce que selon eux, demander aux assos de ne pas porter atteinte à l'ordre pubic, c'est un peu fort de café. Pourquoi ? Eh bien parce que :
“faire comme si à travers l’histoire, les associations n’avaient pas contribuées à faire évoluer la loi (...) en allant parfois à rebours de l’ordre public, c’est nier la place décisive des associations dans la construction de la République.”
MIC DROP !! AH DESOLEE MAIS QUELLE PHRASE INCROYABLE !!!!
(Pendant ce temps, El-Haïry transpire de derrière les oreilles)
En guise d’échec et mat, parce que ça ne suffisait pas (et parce qu’elle a pas le time, je vous l’avais bien dit), elle conclut par un troisième élément de contexte : LE TAUX D’ABSTENTION :
“On ne peut pas faire comme si une démocratie sans électeurs n’était pas un problème”
El-HaÏry en K.O Technique. Franchement à côté les Rap Contenders c’était du pipi de chat.
Alors, qu’entend-on par “ces associations allant à rebours de l’ordre public” ? Pour comprendre, prenons pour exemple, allez au pif, le sujet des droits des femmes et penchons nous sur l’intervention de la personne suivante : Véronique Séhier, ex co-dirigeante du Planning Familial (PF). Séhier nous apprend que les premiers pas du PF se sont faits en 1956 dans l’illégalité la plus totale et dans une France où contraception ET avortement étaient interdits. En plus de faire passer des contraceptifs sous le manteau de Suisse ou d’Angleterre, elle rappelle le rôle essentiel du PF dans la sensibilisation et le changement des mentalités qui aura pour conséquence la loi Neuwirth sur la contraception puis la légalisation de l’avortement.
Comme le précise très justement notre ami Bardout :
“Il faut s’interroger lorsque l’Etat dit “Partagez avec moi des valeurs communes”, est-ce que l’Etat est légitime pour demander cela ?"
L'Etat est légitime lorsqu'il défini les valeurs de la Nation ou de la majorité. En revanche, les assos doivent pouvoir défendre d'autres valeurs, notamment celles des minorités.
Pour conclure et pour montrer que bien que l'Etat soit légalement tenu de laisser ses citoyens se regrouper en association librement, il peut également entraver leurs actions de bien nombreuses manières si tant est que leurs valeurs ou objectifs ne lui conviennent pas. Voici une synthèse rapide du travail de Julien Talpin, sociologue et animateur du comité scientifique de l’Observatoire des libertés associatives :
Lui et son équipe ont identifié 4 types d’entraves à la liberté d’association directement opérées par l’Etat , dans toutes ses déclinaisons, à l'heure actuelle : les entraves matérielles (coupes de sub, difficultés d’accès à un local etc.), les entraves administratives (perte d’agréments), la discursive réputationnelle - en gros, les élus qui trashtalk des associatifs ad hominem pour leur nuire ou encore les entraves judiciaires (nombreuses contraventions à peine justifiées à l’encontre de bénévoles dans le but de volontairement mettre en difficulté leurs actions). Si vous souhaitez avoir des exemples concrets et davantage d’informations sur son travail, je vous invite chaleureusement à aller consulter cette partie de la vidéo.
Les traditions anciennes ne sont donc jamais bien loin.
C'est tout pour moi, merci à vous et à bientôôôôt !!!
2 notes · View notes
Text
Manet - Degas - Musée Orsay
Une femme au café Face à face inédit au Musée d’Orsay présentant dans une exposition de deux artistes de la seconde moitié du XIXè siècle de renom : Manet – Degas. The Metropolitan Museum of Art conserve une des plus grandes collections des deux peintres et naturellement, un partenariat avec le Musée d’Orsay s’est organisé autour de 200 œuvres rassemblées. Deux artistes différents et pourtant si…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
whatdoesshedotothem · 2 years
Text
Friday 20 June 1834
7
12 40
no kiss – boiled water 1st time now for Miss W- in our little portable Jones with spent lamp - fine morning F74° at 7 ¼ - breakfast at 8 ¼ - left Miss W- at home and out at 9 - Left François with the passport at the prefecture de la police and drove to the Jardin des plantes -  called at the Audoins  - not at home - Cuviers not up - left my card and box of Jones’s promethean light - with mille compliments to Madame Cuvier begging her acceptance of it - then to M. Desfontaines - died about 2 months after I saw him in July last - quite sensible to the last - quoted Virgil to M. Jussien fils ½ hour before his death - wished he could be insensible if only 3 hours before his death - the gardener and his wife glad to see me - he still kept his place and they lived in Desfontaines’ house now taken by M. de Mirbel M. Brogniart has succeeded M. Desfontaine - sent to ask if he was at home - called for 5 minutes and made his acquaintance and left box of lights for his father with mille compliments and remercimens for his letter to Comte Vargas de Bédémar at Copenhagen etc and little work box for Madame Audoin with compliments and regrets at not seeing her - then came François and I must go to the prefecture – went - difficulty about Eugenie – must send two respectable householders to the commissary police of the quartier I was in to give her a certificate to enable her to get a passport granted by the French authorities as a French subject - home at 11 sent to Amyot  the bookseller and he helped me out – great pother – wrote to ‘His Excellency Earl Granville British Embassy’ to ask him to give me another passport for George Joseph Booth - IN- came and sat with us above an hour and drunk a tumbler and half of sheer vin de penas sstrong Spanish wine - Lord G - sent me back my own passport and one for George – out again at 2 - back to the prefecture to identify Miss W- and Eugenie and George and got all the passports done – sent mine and George’s to the Swiss Chargé d’affaires and Eugenie to the French foreign office and went to the exposition for ¾ hour and saw the others 3 salles - great machinery and all sorts of cloth etc etc
SH:7/ML/E/17/0045
 not so interesting as the salle we saw 1st - then to my little apartment at rue Saint V- paid my rent 320/. up to 15 May 1835 and paid the porter her annual 20/. and paid the taxe personnelle the 1st  time I have ever done it?  then to Chevalier’s rue St. Denis (good shop for furniture prints and the like) and got things for Lady Stuart - called at Perrelet’s to give him back his ticket for the exposition and saw things at Madame Contants and home at 6 ½ - found very civil note from Miss Berry enclosing her billet ‘par ordre du roi’ for one of the royal loges at the Comédie Française (theatre Français Palace Royal) no. 11 2nde gallérie - box for 4 but only holding 3 comfortably - there at 8 ½ - the 1st piece ‘l’hotel Garni’ just over - much interested in ‘La Jeunesse de Henri 4’  a quips upon his poverty and scrapes this and his wilderness gets him into - the people seemed to enjoy it - very well filled house considering the heat - Madame Mante did Clara (my lady)  very well -  Miss W- tired - asleep between the pieces lying along the bottom of the box - so did not stay till the end of the ‘L’Ecole des maris’  but came away at 10 ¼ - called and sat 1/2 with the Norcliffes to take leave – they are to go at 9am tomorrow - gave IN- the nacre snuff box I bought for her but inadvertently left at the engravers’ (Maurisset’s) 3 years ago -   home at 11 – very fine very got day – F74° at 12 ½ tonight
2 notes · View notes
Text
youtube
VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 (Billet 1 / 3)
Mercredi matin, au réveil, miracle, beau temps sur Paris ! Nous avions prévu éventuellement de nous faire une toile mais les sorties cinéma de la semaine ne nous disaient pas grand-chose. Juste peut-être « Simple comme Sylvain », un film canadien, à mi-chemin parait-il entre Denis Arquand et Woody Allen, dont on nous a dit du bien…
Mais pourquoi pas une Expo ? L’Art, dans ces temps plus que troublés, est peut être un très bel antidote (ne tiquez pas, « antidote » est bien du genre masculin et nous avons choisi « bel » au lieu de « beau » pour une question d’euphonie) à la morosité ambiante… et quand nous écrivons « morosité », vous l’aurez compris, c’est un énorme euphémisme !
Après Nicolas de Staël et Van Gogh, il y avait l’Expo Modigliani au Musée de l’Orangerie qui nous intéressait. Le hasard a fait qu’il restait encore quelques disponibilités à 14h30 et nous avons pu réserver pour le jour même. Indispensable pour avoir une chance ne serait-ce que de rentrer dans le Musée. Mais problème identique à celui du Musée d’Orsay, les jauges des visites sont trop « généreuses », il y avait BEAUCOUP TROP DE MONDE dans les salles ! Et c’est très dommage !
Mais bon, nous n’avons quand même pas boudé notre plaisir, nous aimons beaucoup ce peintre même si nous avions déjà vu une très belle rétrospective de son œuvre : « Modigliani, l’ange au visage grave », exactement le 1er janvier 2003 à 17h30, au Musée du Luxembourg (JM avait collé le ticket d’entrée dans un album photo…).
En comparaison, peu d’œuvres dans l’Expo du Musée de l’Orangerie, mais cela fait toujours plaisir de retrouver le « style » très particulier de l’artiste. Nous, on aime beaucoup. « Poète ardent et peintre grand parmi les grands […]. Il passa tel un météore : il fut tout grâce, tout colère, tout mépris. Son âme hautaine d’aristocrate flottera longtemps parmi nous dans le chatoiement de ses beaux haillons versicolores. » (Paul Guillaume)
Par contre, petit conseil : réservez à la première heure du matin, vous aurez une chance d’avoir moins de monde.
ET SURTOUT : ne partez pas sans vous recueillir dans les 2 salles consacrées aux « Nymphéas » de Monet. Nous en parlons dans le Billet suivant.
______________________________
AMEDEO MODIGLIANI. Un peintre et son marchand
Du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024
Près d’un siècle après la rencontre entre les deux hommes en 1914, cette exposition se propose de revenir sur l’un des moments emblématiques de la vie d’Amedeo Modigliani, celui où Paul Guillaume devient son marchand. Elle s’attachera à explorer la manière dont les liens entre les deux personnages peuvent éclairer la carrière de l’artiste.
À son arrivée à Paris en 1906, Modigliani, artiste juif d’origine italienne, est peintre. Sa rencontre avec Constantin Brancusi, sculpteur d’origine roumaine, en 1909, agit pour lui comme une révélation : il s’initie à la sculpture et s’y consacre presque exclusivement jusqu’en 1914. Sa rupture avec cette pratique est aussi soudaine que totale : de 1914 à sa mort en 1920, il renoue avec la peinture et produit alors de nombreux tableaux consacrés principalement à la seule figure humaine. C’est cette pratique de la peinture qui est au cœur de la relation entre l’artiste et le marchand. Paul Guillaume l’encourage, lui loue un atelier à Montmartre, fait connaître ses toiles dans les cercles artistiques et littéraires parisiens. Il achète, vend et collectionne ses œuvres. […]
Outre les cinq peintures de Modigliani conservées aujourd’hui au Musée de l’Orangerie, plus d’une centaine de toiles ainsi qu’une cinquantaine de dessins et une dizaine de sculptures de l’artiste seraient passés par les mains du marchand. Ce nombre dénote à la fois l’implication du galeriste dans la promotion de l’artiste mais aussi son goût personnel pour ses œuvres, largement présentes sur les murs de ses différents appartements. On y trouve des portraits des figures marquantes du Paris de l’époque, Max Jacob, André Rouveyre, Jean Cocteau, Moïse Kisling, mais également des modèles inconnus, ainsi que de très beaux ensembles de portraits des femmes qui ont partagé la vie du peintre, l’écrivain Béatrice Hastings tout d’abord, puis la jeune peintre Jeanne Hébuterne, sa dernière compagne et la mère de son enfant.
L’exposition évoquera ainsi, à travers le choix d’œuvres emblématiques, les différentes caractéristiques de ce corpus tout en explorant les liens du peintre et de son marchand dans le contexte artistique et littéraire parisien des années 1910.  
(Source : « La plaquette de l’Exposition »)
_____________________________
Ouverture : le Musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 9h à 18h (fermeture à 21h le vendredi).
Adresse : Jardin des Tuileries / Place de la Concorde (côté Seine) / Paris 75001
Tarif horodaté : 12,50 €
Métro : Concorde
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
cebozcom · 7 days
Photo
Tumblr media
La Biennale de Venise 2024 : Regards sur les Migrations et leurs Tragédies | www.ceboz.com
La 60e Exposition Internationale d'Art explore le thème des migrations et de la diversité culturelle à Venise d'avril à novembre 2024. Découvrez les artistes, les lieux, les billets, les actualités et les événements de la Biennale Arte 2024.
0 notes
Text
L'ŒIL DE LA REVOLUTION
Hommage à Tina Modotti
Jusqu'au 12 Mai
Au Jeu de Paume
Tumblr media
Le Jeu de Paume rend hommage à Tina Modotti (1896-1942) à travers une grande exposition, la plus importante jamais consacrée à Paris à cette photographe et activiste politique d’origine italienne.
N'attendez plus, prenez votre billet:
Exposition Tina Modotti - Jeu de Paume
0 notes
0 notes