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#Guy Saint-Jean Éditeur
leszackardises · 7 months
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« Ramène-moi un ramen! » : L'extraordinaire simplicité
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heroslitteraires · 5 months
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Quand l’immortalité est à nos portes.
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Mélanie Tremblay.
Tuer la mort. 402 pages.
Guy Saint-Jean éditeur.
Alors qu’ils sont en vacances en Toscane, Ryan Beckham, agent du FBI, et Lily-Rose L’Espérance, journaliste au New York Today Journal, reçoivent un appel du service de police concernant une mort suspecte. Un cadavre a été repêché près du porte-avions USS Intrepid, amarré au quai 86 à New York. L’autopsie révèle que la victime a fait l’objet d’une greffe expérimentale et qu’elle est morte empoisonnée. Les autorités découvrent non seulement que l’auteur de ce crime serait une femme, mais qu’il s’agirait probablement d’une scientifique chevronnée. Celle-ci est par ailleurs très active puisque la liste des victimes s’allonge : on localise d’autres corps qui ont fait l’objet d’interventions chirurgicales audacieuses suivant le même modus operandi. Qui est cette Savante folle qui pratique des expériences sur des cobayes humains au mépris de toutes les règles éthiques et des protocoles de recherches en vigueur? Pour sa deuxième enquête à l’heure du journalisme 2.0, Lily-Rose L’Espérance doit donc remonter la piste d’un génie qui cherche par tous les moyens à repousser les limites du corps humain grâce aux nouvelles technologies. Quelqu’un pour qui visiblement la fin justifie les moyens…
Mon avis :
La plume de cette écrivaine devient meilleure avec ce deuxième tome. J’ai apprécié le fait que le récit est entrecoupé des articles de journaux que la journaliste écrit et des pensées de la savante folle. Ce qui permet d’accélérer le rythme de la lecture. Le journalisme prend toute la place dans la vie du personnage principal. Les recherche que Lily-Rose font n’arrête jamais. Elle a toujours de quoi à faire. Parfois, sa vie ralentie à cause du doute, mais ce n’est pas plate du tout. L’idée des greffes est intéressante, jusqu’à où peut-on aller avec la science?
Connaissez-vous cette autrice?
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danlemiel · 5 years
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Daniel Guimond (1959, Montréal)
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Poésie – Les Alentours, 1997 Écrits des Forges, Trois-Rivières, Qc – Continuum, 1991 Écrits des Forges, Trois-Rivières, Q c – Ne Jamais Rien Dire, 1989 Écrits des Forges, Trois-Rivières, Qc – Faim Plastique, 1978 Éditions Cul-Q. Montréal/
Roman – Pourquoi cela n’arrive qu’à moi ?1999 Éditions Balzac-Le Griot. Paris, Montréal
Revues: Hobo-Québec, Estuaire, Exit, Only Paper Today, Fuse, etc 1976-2000
Arts Médiatiques
Vidéo d’art/ 1988- SCORE. 15min. Limite /Video Inn, Vancouver – 1981- DIVERGENCES. 9min. PRIM Vidéo, Montréal -1980- TEXTUAL STRATEGIES.18min.Western Front Society, Vancouver – 1979- IT WAS A SMALL SUICIDE. 9min.Festival Art Vidéo, Tokyo 1980 Productions Vidéo Véhicule Art, Montréal – 1978- MATRICE URBAINE. 10min. Transfert Vidéo, Collabo.:Daniel Dion*. 1978- LIPS. 5min.Transfert Vidéo, Montréal 1978- VALEUR EXTRA RÈGLE. 7min.n/b.Transfert Vidéo*: Daniel Dion*1977- Z. 1min.n/b.*1977- QU’ON M’ATTACHE. 3min.n/b.* 1977- NON. 3min.n/b.
Art performance/ 1996- Serge Mongrain, Guy Bélanger et Guimond au FIP Festival International de Poésie, Trois-Rivières 1991 – CONTINUUM Centre Culturel Francophone- Vancouver 1991 – TOTEMFestival International de la Poésie, Trois-Rivières 1990- SOUS OBSERVATION CKRL-MF, Québec 1988- THE PRICK Western Front Society, Vancouver (avec Zilon) 1982- FEU Centre Culturel du Languedoc, Montpellier, Fr. 1981- MON CORPS Galerie Limite, Montréal (avec Claude Vivier) 1980- CONSPIRACY Western Front Society, Vancouver 1980- INCURSION Symposium Intl de Sculpture Environnementale de Chicoutimi, Qc. 1979- SABOTTAGE Cinéma Parallèle, Montréal 1979- TRASH CARESSES The Cabana Room, Toronto 1979- SCRAP Musée d’Art Contemporain, Montréal (Festival Hors-Jeux) 1978- EXTRA RULE VALUE 5th Network International Video Conference Masonic Hall, Toronto 1978- MALHEUREUSEMENT La Nuit de Théâtre Expérimental Le Conventum, Montréal 1978- CONTORSIONS Galerie Véhicule Art, Montréal 1977- TRACKS Cégep Édouard-Montpetit, Longueuil
Expositions, installations/1991- Parc Theater Gallery – Vancouver – Peintures 1990- Le LIEU – Québec – OBJET – Installation 1983- C.A.I.R.N. – Paris – vidéos 1982- École Nationale des BEAUX-ARTS, Montpellier, Fr. – vidéos 1981- Véhicule Art Galerie – Montréal – DIVERGENCES – Installation 1981- Tromp’œil – Montréal – FRACTURES – Installation 1980- Video Inn – Vancouver – TASTE OF DYING LIPS – Installation 1979 – Cinéma Parallèle – Montréal – vidéos 1979 – Video Inn – Vancouver – vidéos 1978 – Studio Z – Montréal – vidéos Festivals 1989- La Quinzaine de Vidéos de Montréal 1982- Troisième Festival International d’Art Vidéo Lorcano-Ascona, Suisse 1982- Action Création 82 Parc Chanot, Marseille, Fr. 1981- P.R.I.M. Vidéo – Montréal 1981- Points de Vue La Chambre Blanche – Québec 1980- 10ième Festival International du Nouveau Cinéma Cinéma Parallèle – Montréal 1980 – Export 80* – Expo itinérante (vidéos) Musée d’Art Contemporain – Montréal Off Center Center – Calgary Center for Art Tapes – Halifax, Canada Video Inn – Vancouver 1980- Third Annual Tokyo Video Festival Récipiendaire prix: Works of Special Distinction 1979- TENDANCES ACTUELLES AU QUÉBEC (VIDÉO) Musée d’Art Contemporain – Montréal 1979- Dion | Guimond Video Inn – Vancouver 1978- Vidéo Rock Bretzel Enchaîné – Montréal 1978 – 12X12X12 Galerie Studio Z – Montréal 1978- TRANSFERT Véhicule Art – Montréal 1978 – File 13 Hansen Galleries – New York (photo-montages, art postal)
Scrap no.1 1978, no.2 1979, no.3 1980: (Guimond ‘éditeur », 3 nos parus, tirages de 500 xérographiés.) avec: Claude Beausoleil, Jean-Paul Daoust, Lucien Francoeur, Yollande Villemaire, Daniel Dion, Michel Lemieux, Fortner Anderson, Clifford Duffy, Denis Vanier, Josée Yvon, Monty CantSing, Phillipe Chevalier, Jean Frisson, etc. / Guimond ‘éditeur » a aussi faite paraître LIMITe 1 et 2, en 1980 *en relation avec sa galerie LIMITe, du 67 est rue Sainte Catherine, Montréal – avec moult collaborateurs du Qc et de France (Tjeerd Alkema, Valère Novarina, Nadine Collet, Pierre Lobstein, etc).
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Daniel Guimond, Musée d'Art Contemporain, 1978 - Festival HORS_JEUX - Montréal
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louisstephaneulysse · 3 years
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LOG LITTERAIRE SUR UNE ILE J’EMPORTERAIS
PROMENONS-NOUS DANS PARIS
1 NOVEMBRE 2020
ISABELLE LOUVIOT
Heures de Paris – Les nouvelles minutes parisiennes (1900-2020), tome 1, ouvrage polyphonique[1], La Bibliothèque, 2020
L’entreprise ressemble à l’ouverture d’un tombeau, pour que vivants et morts dansent ensemble. Ou à une greffe pratiquée sur un vieil arbre nommé Paris. Le premier jardinier s’appelle Paul Ollendorff (1851-1920). Éditeur de Guy de Maupassant, Jules Renard, Colette, il lance autour de 1900 les Minutes parisiennes, série d’ouvrages croquant heures et lieux de Paris en textes (Gustave Geffroy, Jean Lorrain, Léon Millot, etc.) et images (Auguste Lepère, Joaquim Sunyer, Eugène Dété, etc.). Les éditions La Bibliothèque inventent le greffon, et proposent à des écrivains, artistes de notre siècle de croquer à leur tour un lieu de la capitale. Entre les deux temps, Paris vibre, résonne.
Trois tranches dans ce premier volume (deux autres sont à paraître) : 7 h du soir, 9 h du soir et 10 h du soir, 8 h du matin (il y a parfois un grand écart, prévient l’éditeur d’aujourd’hui). Pour chacune, le texte et les images anciennes, puis place aux jeunes pousses de 2020.
On est d’abord à Belleville. Gustave Geffroy (1855-1926), breton d’origine, journaliste, critique d’art, communard, dreyfusard s’élance. Cette noire multitude qui descend à pleine rue s’en va logiquement à pas pressés vers le fond bleui et livide où couve l’orage et se brasse la tempête. L’homme du faubourg marche sur Paris comme l’homme de Bretagne marche vers la mer. Il va, comme l’autre, lutter contre la fatalité, chercher au profond la proie qui le fera vivre et fera vivre les siens. Geffroy le lyrique, pas resté à la postérité, mystère, et on le lit avec plus de plaisir. La dernière montée est donc une fête aux soirs d’été, et aux soirs encore clairs d’automne, dans la dernière illumination rose du couchant, sous le ciel verdâtre. La fine et tendre lumière est partout, au sommet des hautes maisons, dans les yeux ravivés, sur les fronts gris, les chairs délicates, les mains dures. […] C’est le peuple de Paris, le vieux peuple, sans cesse rajeuni, des faubourgs, qui semble revenir en riant d’une révolution qui a réussi – peut-être.
Puis, Geffroy installe plusieurs histoires, celles d’une fleuriste, d’un petit propriétaire, etc. et l’Histoire, la réunion électorale du 16 avril 1881, rue Saint-Blaise où le grand orateur Gambetta, hué pour ne pas soutenir assez la population ouvrière de Belleville, fut empêché de parler et eut la sensation enragée de la bataille, de la défaite, de la déroute.
Pour faire écho au vif de Geffroy, Louis-Stéphane Ulysse parcourt Belleville avec une histoire irracontable. Dans une soirée trop arrosée, trop empoudrée, Momo, grandi dans le quartier, se fait enculer. Perplexe, seul, Momo erre dans Belleville la bigarrée, toutes religions dehors, questionne. Une histoire de Toto en plus substantiel. Puis Louis-Stéphane Ulysse va se frotter à son acolyte Geffroy, le peint, peint Belleville et donne sa couleur. Finalement, c’est toujours la même chanson qui se joue dans les capitales occidentales. Un quartier en bordel, insalubre, déserté par ses ouvriers, où plus personne ne veut plus habiter, mais avec une forte capacité d’absorption, des communautés étrangères dans l’obligation d’organiser leur quotidien, des marginaux, des artistes qui apportent la profondeur par le détournement des espaces et parfois des matières, des associations ou des collectifs qui organisent des circuits courts, des artistes plus riches et des économies nouvelles qui viennent s’encanailler le soir, avant de reprendre les lieux en faisant grimper les prix.
Ulysse le bien nommé erre, écriture à la fois lâche et tendue, voyageur de la pente, le souvenir revient avec une rue, une fenêtre, la pensée surgit avec des bribes entendues à une terrasse, une bagarre. Écriture de la bigarrure. Les dessins de Maurice Miette qui l’accompagnent, échappés d’une boîte de biscuits chinois nommés Fortune cookies, ajoutent à la bigarrure.
Et puis d’autres heures, d’autres lieux, d’autres grouillements, d’autres histoires dans la ville. Chaque gravure de Théophile Alexandre Steinlen (1859-1923) illustrant le texte de Jean Lorrain (Leurs soirs) raconte elle-même une histoire (le pastel ci-dessus est de Steinlen), les voies de la gare du Nord photographiées par Jean-Philippe Domecq sont une grande plage surmontée d’un grand ciel.
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unepommeverte · 5 years
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Agenda d’octobre
Nous voici déjà en automne ! Le mois d’octobre est là, les feuilles tombent et les jours sont de plus en plus courts. Heureusement, les raisons de sortir de sous le plaid sont nombreuses...
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Jusqu’au 20 oct - Rhino Jazz Vous avez pu le voir un peu partout, ce joli rhino jaune en origami. Sa présence n’est le signe que d’une seule chose : un mois de jazz partout dans la métropole !
> Tarifs : Grand pass pour 96 euros / Gratuit -12 ans > Divers lieux
1er oct - Diophonie #8 Doit-on encore présenter la Diophonie de Radio Dio ? Pour cette 8ème édition, la radio s’associe avec Vox Project et les Croates de Seine.
> Prix libre > Le Pied de Biche, 2 rue du jeu de l’arc
1 au 27 oct - Exposition Le jour suivant L’exposition des diplômé.e.s 2019 de l’Ecole Supérieure d’Art et de Design  s’offre un vernissage le 30 septembre à 18h30. Elle est à découvrir jusqu’à la fin du mois. 
> Entrée libre > Cité du Design
2 oct - Apéro-débat #1 Deuxième saison pour les apéros-débat du Fil ! Vous saurez tout des métiers de la musique pour ce premier rendez-vous. Tous les premiers mercredi du mois à 19h.
> Entrée libre > Le fil, 20 boulevard Thiers
4 oct - Concert de Gaël Moissonnier A l’occasion de la sortie du disque Luminophores, Gaël Moissonnier sera en concert à l’Assaut de la menuiserie, en partenariat avec Zérojardins.
> Entrée libre > L’Assaut de la menuiserie, 11 rue Bourgneuf
5 oct - Un ruban rock Une soirée de concerts rock au profit de la recherche contre le sida. Avec 111, Devil Jo & the Backdoormen et Kill our songs. Tous les bénéfices iront au fond de solidarité de l’association Actis.
> 5 euros + adh > Ursa Minor, 11 rue de l’Egalerie
5 & 6 oct - Village des Sciences Rendez-vous au Parc-musée de la Mine pour tous les curieux et curieuses. Expositions, expérimentations, découvertes sont au programme de ce week-end scientifique.
> Entrée libre > Puits Couriot, 3 boulevard Franchet d’Esperey
8 oct - Soirée santé environnement Si vous avez des questions sur les nanoparticules, elles seront surement abordées par différents chercheurs pour cette soirée dans le cadre de la fête de la science.
> Entrée libre sur inscription > 10 rue Tréfilerie
17 au 20 oct - Fête du livre de Saint-Etienne 34ème édition du salon stéphanois dont la marraine, cette année, est Françoise Bourdin. Plus de 270 auteurs vous donnent rendez-vous sur les places du centre-ville. > Entrée libre > Places de l’Hôtel de ville, Jean Jaurès, Dorian et Jacquard.
18 oct - Phonoscope & Scopophone #2 C’est reparti pour la soirée Grand Lux / Méliès. Au programme, un « continuum sonore » autour de 333 hertz et deux projections : The sound drifts (2019) et La Planète Sauvage (1973).
> 8 euros > Méliès Saint François, rue de la Valse.
18 au 20 oct - Salon des éditeurs stéphanois Venez rencontrer 18 éditeurs stéphanois et leurs invités à la bourse du travail lors de cette seconde édition.
> Entrée libre > Bourse du travail, salle Sacco & Venzetti, cours Victor Hugo.
18 oct au 17 nov - Art de livre Je vous en parlais ici, la galerie Estampille propose l’exposition Art de Livre en collaboration avec les éditions du Bourdaric, de nombreux artistes stéphanois et les étudiant.e.s du Master 2 édition d’art de l’UJM. C’est en off de la fête du livre, le vernissage a lieu le 17 octobre.
> Entrée libre > Estampille, 2 arcades de l’Hôtel de ville
21 au 24 oct - L’idée Bauhaus 1919-1933 / 2019 - D’une révolution à une autre Journées d’études pluridisciplinaires pour commémorer le centenaire du Bauhaus, mouvement architectural d’après guerre.
> Inscription gratuite (en ligne) > ENSASE + ESADSE
24 oct - Concerts au 17 Improvisations sonores avec le trio parisien Le mur du fond (voix, saxophone et transformer), et les duos stéphanois Antoine Hubineau (synthé modulaire) et Benoit Cancoin (contrebasse) ainsi qu’Akram (clarinette) et Dan Charles Dahan (transformation électronique).
> Prix libre > Le 17, rue de la Mulatière
26 oct - Ultragravités Exposition et performances de Laurent Chanel / A.R.N avec la participation de Jean Bender, Philippe Fontes, Bernard Guy à partir de 14h.
> Entrée libre > L’Assaut de la menuiserie, 11 rue Bourgneuf
26 & 27 oct - Salon Tatoujuste À la fois salon du bio, de l’artisanat, des initiatives locales, de la nature, de l’économie sociale et solidaire… Tatoujuste revient pour nous faire réfléchir à d’autres solutions pour demain.
> 2 euros > Parc des expositions, hall B
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leszackardises · 7 months
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« Air fry ta vie » : Passion planétaire
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heroslitteraires · 8 months
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Quand Satan décide de s’en mêler.
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Christian Pagé.
Tueurs de l’occulte. 367 pages.
Guy Saint-Jean éditeurs.
Dans ces pages saisissantes, le journaliste enquêteur Christian Page raconte 13 affaires criminelles d’ici et d’ailleurs qui ont comme toile de fond le monde des ténèbres ou les phénomènes surnatures. Ayant bénéficié d’un accès privilégié aux documents et acteurs de la scène judiciaire, il révèle toutes les facettes de ces drames incompréhensibles : la personnalité des individus, les motivations des tueurs, le sort des victimes, le déroulement des enquêtes, l’issue des procès.
Mon avis :
J’ai aimé cette lecture, elle est bien documentée, surtout avec l’index à la fin avec toutes ses recherches. Les histoires de faits réelles sont bien racontées. D’où les meurtriers ont commencé à avoir leurs idées de grandeurs, les enfances de chacun, jusqu’à où cela les a amenés. C’est tellement bien raconté que j’en aurait pris plus ou celle qui sont présente plus longue. C’est assez fou à quel point le satanisme, parfois la musique ou entendre des voix font en sorte que la croyance de certains sont empirer et font craindre le pire. C’est le premier livre de cet auteur que je lis et probablement pas le dernier.
Lesquels avez-vous lu de cet auteur?
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heroslitteraires · 2 years
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Apprendre à se respecter!
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Rupi Kaur.
Corps refuge. 188 pages.
Guy Saint-Jean Éditeur.
Séparés depuis si longtemps mon esprit et mon corps enfin se réunissent.
Mon avis :
Je suis sous le charme de l’écriture de cette autrice. Elle a une plume qui fait réfléchir aux émotions qui nous habitent, comment vit-on avec nous-même. En rapport aussi envers les autres. Ce recueil est une ode à se connaître et à s’accepter comme on est. Malgré que le livre soit écrit beaucoup au féminin, je le recommande autant pour les hommes de le lire.
J’attends avec impatience le prochain, Avez-vous lu un de ses livres?
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heroslitteraires · 3 years
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Suspense sur un sujet important.
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Guillaume Morrissette.
Quand je parle aux morts. 498 pages.
Guy Saint-Jean éditeurs.
Psychologue, Morgane Edwards offre un service professionnel complémentaire et hors du commun : elle parle avec les morts. Que ce soit pour régler de vieilles histoires ou simplement prendre des nouvelles d’un proche disparu, elle peut « établir le contact ». Enfin… pour ceux qui y croient. Dans l’impossibilité d’abréger les souffrances de sa mère démente et craignant qu’elle lui en veuille jusque « de l’autre côté », Sylvain Comptois décide de quérir l’aide de Morgane, en espérant qu’elle lui portera secours. Au fil des séances, cependant, les réelles motivations du nouveau client se révèlent de plus en plus sombres. Irait-il jusqu’à tuer celle qui lui a donné la vie pour tenir une vieille promesse? Dans l’intervalle, Antoine Déry et Emma Teasdale enquêtent sur la mort violente d’un neurologue. Sollicitée pour faire avancer l’enquête, Morgane sera confrontée de Beaucoup trop près à ce qui sépare véritablement la vie et la mort.
Mon avis :
Tout un suspense, je l’ai lu très rapidement malgré la brique! Un roman qui se joue sur des années, avec plusieurs personnages. Même s’il y a plusieurs personnages, on n’est pas mélangé. Tout est bien introduit pour qu’on puisse se souvenir des détails. Le rythme du roman est excellent, il nous garde en haleine jusqu’ai la fin. Ce que j’ai vraiment apprécié est le sujet de fond, le suicide assisté. Un sujet qui touche énormément de gens et qui polarise encore beaucoup. C’est la première fois que je lis cet auteur et je ne suis pas su tout déçue! Je suis prête à en relire d’autre!
Un roman à lire absolument! Le connaissez-vous?
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heroslitteraires · 3 years
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Beauté page après page!
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Rupi Kaur.
Le soleil et ses fleurs. 248 pages.
Guy Saint-Jean éditeur.
Voici la recette de la vie me dit ma mère en me serrant dans ses bras pendant que je pleure. Pense aux fleurs que tu plantes dans le jardin année après années. Elles t’apprendront que nous devons aussi nous faner, tomber, nous enraciner, nous épanouir pour fleurir. (Rupi Kaur)
Mon avis :
Que de beauté ce roman! Des beaux moments, des phrases qui nous fait du bien, des sujets parfois tristes mais écrit avec une douceur et une élégance. Ce texte de poésie est séparé en cinq sujet tout aussi important les uns des autres. Parfois, c’est une page au complet qui fait réfléchir, parfois une simple phrase qui exprime une profondeur.
À lire absolument, l’avez-vous en votre possession?
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heroslitteraires · 2 years
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Une maison pleine d’histoire.
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Catherine Robertson.
La maison aux secrets. 456 pages.
Guy Saint-Jean Éditeurs.
Depuis le jour où son fils de cinq ans est mort, dans des conditions tragiques, April Turner a choisi de vivre recluse, sans joie, ni amour, ni plaisir. La vie austère de la jeune femme bascule au moment où celle-ci reçoit une lettre d’un notaire, l’informant qu’elle est l’héritière d’une propriété abandonnée en Angleterre. Le mystère entourant cet héritage est suffisamment grand pour qu’April décide de se rendre sur les lieux. Elle y rencontrera Sunny, une dame excentrique de quatre-vingt-dix ans, Oran, un ancien prisonnier devenu homme à tout faire, et Jack, un grand solitaire blessé par le passé. April entreprend de rénover la maison dans le but de la vendre rapidement. À mesure que les travaux avancent et que le jardin reprend vie, ses sentiments et ses convictions sont ébranlés. Renoncera-t-elle à son pacte de vivre en réclusion? Pour cela, il lui faudrait une raison toute-puissante… Comme l’amour peut-être?
Mon avis :
Une histoire un peu à l’eau de rose. Je ne me suis pas extasié sur les faits et secrets présentés au personnage principal, April. Elle hérite d’une jolie demeure qui a besoin d’être retapé. Cette maison est dans un autre pays, donc elle décide de prendre l’avion pour rendre visite aussi au gens qui en ont pris soin pendant que les anciens propriétaires étaient présents. Cela donne l’occasion à ses personnes de parler de leurs années vécues dans cette maison, comment ils se sont rencontrés. Dans le fond, April qui voulait juste visiter au maximum une semaine et vendre le plus rapidement la maison, est resté pratiquement une année. Tous ces mois restés pour remettre la maison en ordre et écouter les gens raconter leurs histoires cachées en lien. April s’est attachée à ces gens. Une belle histoire, mais sans plus pour ma part.
Avez-vous déjà lu de cette autrice?
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lesmetronews · 10 years
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Mange donc ce que tu aimes
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Un livre de recettes présentant des desserts, hamburgers et autres mets réconfortants en version allégée et nutritive ? Qui l’eut cru ? Publié aux États-Unis en 2012, Mange donc ce que tu aimes a été qualifié de meilleur vendeur de tous les temps, catégorie cuisine, et figure parmi les préférés de l’auteure à succès Louise Tremblay-D’Essiambre.
Personne n’a envie de renoncer à ses mets favoris et ne devrait être contraint à un tel sacrifice. C’est pourquoi la nutritionniste Marlene Koch a décidé de créer des repas savoureux destinés à ceux et celles soucieux d’avoir une bonne alimentation ou aux prises avec un problème de santé. Ainsi, Mange donc ce que tu aimes propose plus de 200 recettes faibles en gras, en sucre, en sel et en calories.
Manger du poulet frit à la sauce crémeuse, des sandwichs au pastrami et à la choucroute ou du gâteau au chocolat à l’ancienne tout en perdant du poids, c’est maintenant possible. Jamais faire un régime n’aura paru aussi alléchant !
Marlene Koch est l’une des chefs vedettes de FoodNetwork, nutritionniste et cuisinière qui sait allier bonne bouffe et santé.
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lesmetronews · 10 years
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Aimez vos ennemis - Briser le cercle de la colère et accéder au bonheur
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« Le véritable bonheur, tel que le concevait Bouddha, est une forme de résilience, une ressource intérieure grâce à laquelle on peut prendre soin de soi et des autres sans se sentir diminué ou vaincu par sa propre souffrance ou la leur. »
Les ennemis sont partout. On n’a qu’à ouvrir le journal ou la télé pour le constater. Il est toutefois important de se rappeler qu’ils n’ont pas d’existence propre. C’est, en général, une étiquette que l’on accole à l’autre lorsqu’il ne se comporte pas comme on le voudrait.
Et si le bonheur était accessible en supprimant ces étiquettes et en utilisant nos ennemis comme professeurs pour apprendre la patience, la tolérance et l’indulgence ? C’est ce que proposent Sharon Salzberg (professeure de méditation) et Robert Thurman (moine bouddhiste et ex-collaborateur du Dalaï-Lama) dans un livre bien vulgarisé permettant une incursion au cœur de nous-mêmes et de nos croyances.
Quatre types d’ennemis sont répertoriés : extérieur, intérieur, secret et ultrasecret proposent des solutions concrètes inspirées des principes bouddhistes. La première étape pour s’en débarrasser serait de les identifier, puis de les tolérer et, finalement, de compatir avec eux pour enfin s’en libérer. Et pour être hors d’atteinte, il est nécessaire de changer la façon de les voir et d’apprendre à considérer chaque attaque comme une occasion d’en tirer avantage.
Soyons redevables à nos ennemis, a dit le dalaï-lama, car ils nous enseignent la patience, le courage et la détermination, et ils nous aident à acquérir la tranquillité l’esprit.
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