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#SantéConnectée
buzzesante · 1 year
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Immersion au sein du 3DEXPERIENCE Lab de Dassault Systèmes
Il y a quelques jours j’ai eu le plaisir de visiter le laboratoire d’innovation de Dassault Systèmes, le 3DEXPERIENCE Lab et d’échanger avec les équipes. Découverte de ce lieu qui baigne dans l’innovation de rupture. L’intelligence collective est dans l’ADN de Dassault Systèmes, c’est donc logiquement que l’entreprise s’est tournée vers de l’innovation ouverte. En 2015, le laboratoire…
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power102-net · 7 years
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Radio Tele Continentale Lakay Tv Show La télémédecine apporte des solutions de qualité aux soins de populations dans les zones rurales ou isolées.POURQUOI PAS EN HAITI #HN2030 POUR INTEGRER LES MEDECINS HAITIENS DE LA DIASPORA . Conference ;"La télémedicine ou téléconsultation pour sauver des vies en Haiti" #télésanté, #e-santé #haitinumérique2030 #santéconnectée - désigne tous les domaines où les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont mises au service de la santé @haititechnews @power_102.1_fm (at Power 102.1 FM)
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blog-healthme-blog · 8 years
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Revue de presse e-santé #15
Un Google 3.0 du cancer
Le projet ConSoRe, pour Continuum Soins Recherche, lancé par Unicancer développe un Google 3.0 du cancer. Il s’agit d’un logiciel d’analyse et de croisement des données des hôpitaux sur la prise en charge individuelle des patients, accompagné d’une interface pour permettre aux médecins de mieux comprendre la maladie. Concrètement, le médecin pourra poser n’importe quel type de question via une interface intuitive et obtiendra des données structurées grâce aux méthodes issues du web sémantique.
Une version 0 a d’ores et déjà fait ses preuves en permettant de savoir en quelques minutes combien de femmes porteuses d'une prothèse du sein avaient développé un lymphome anaplasique. La version v1 utilisable par les médecins et chercheurs sera lancée en octobre en test à l’Institut Curie pour être ensuite étendue à la fin de l’année à 5 autres établissements (Lyon, Montpellier, Dijon, Marseille et Bordeaux).
A terme, cet outil devrait permettre de détecter des maladies très rares, de revoir la classification des cancers, de prédire l’évolution des maladies et l’efficacité des traitements…
Source : http://www.latribune.fr/technos-medias/le-google-3-0-du-cancer-va-permettre-de-decouvrir-des-maladies-tres-rares-578627.html
Bientôt une boîte noire au bloc !?
Une équipe canadienne a mis au point l’Operating Room black box, une boîte noire chirurgicale enregistrant tout ce qui se passe au cours d’une opération : les données vidéo et audio, mais aussi les données physiologiques du patient, les données des logiciels de dispositifs médicaux, le nombre de fois que la porte s’ouvre, la température, … Les données sont synchronisées et analysées pour ensuite identifier les éventuelles défaillances et donner une expertise.
Un côté big brother que le Pr Teodor Grantcharov, chirurgien viscéral à l’hôpital St. Michael’s de Toronto et concepteur du projet, souhaite prévenir : « Nous voulons qu’elle soit utilisée à des fins d’amélioration, pas pour les relations publiques ou encore pour punir des individus identifiés comme fautifs ou sous-performants. ». A ce titre, les données sont anonymisées puis détruites après analyse.
Utilisée depuis déjà 2 ans au Canada, une opération hors du pays a eu lieu récemment aux Pays-Bas et devrait s’étendre à une dizaine d’établissements dans le monde d’ici la fin de l’année assure le Pr Grantcharov.
Source : http://www.whatsupdoc-lemag.fr/actualites-article.asp?id=19749
Santé numérique : un marché en phase d’accélération mais encore immature en France...
Aymeric Buthion, expert objets connectés et santé à la Direction Générale des Entreprises (DGE) s’est exprimé sur l’état du marché français de la santé connectée lors du café économique de Bercy du 17 juin sur le thème "Objets connectés & Santé : vers de nouveaux services et usages ?". On observe un manque de maturité du marché composé essentiellement de start-ups et de quelques PME, réunies depuis quelques mois sous deux organisations professionnelles, France ehealth tech et l'alliance ehelath France.
Deux freins sont à lever pour assurer la pérennité du marché : l’appétence mitigée des consommateurs, la demande des français inquiets quant à la protection de leurs données est encore insuffisante ; et la réticence des médecins, qui s’interrogent sur leur responsabilité juridique en cas de prescription.
Un groupe de travail commun avec le ministère de la Santé, la Haute autorité de la santé et les industriels cherchent des solutions "pour créer un cadre de confiance" et aboutira peut-être à la mise en place d’un label.
Source : http://www.latribune.fr/technos-medias/sante-numerique-le-secteur-est-clairement-immature-en-france-580170.html
Les applications de santé encore très peu utilisées…
L’étude “The 2016 HealthMine Digital Health Report” publiée fin avril dans le Lancet s’est penchée sur l’utilisation des applications et objets connectés santé par les patients aux Etats-Unis. Cette étude nous apprend que si les applications fitness et bien-être sont les plus utilisées, celles dédiées à la santé le sont en revanche beaucoup moins. Seulement 7 % des patients atteints d’une maladie chronique déclare utiliser une application santé.
La télémédecine de son côté reste une notion floue pour la majorité des patients, ils sont même 39 % à déclarer n’en avoir jamais entendu parler…
Et pourtant ils sont 93 % à penser que la médecine connectée pourrait leur permettre de réduire leur frais médicaux…
Source : http://lecrip.org/2016/06/20/e-sante-applications-de-suivi-de-sante-utilisees/
Une forte adhésion des français au partage de leurs données de santé pour de meilleurs soins
Une étude Ipsos/LIR publiée début juin révèle que 78 % des français sont prêts à partager leurs données médicales (dossier médical, résultat d’analyses…) à tous leurs professionnels de santé. 73 % sont même d’accord pour donner accès à leurs données, à condition que celles-ci restent confidentielles, à la recherche. En revanche, ils ne sont que 44 % à accepter de partager les données issues des objets connectés.
La majorité des sondés perçoivent des bénéfices de l’utilisation des données numériques : diminution des risques d’interaction médicamenteuse et adaptation rapide des traitements pour 81 %, meilleur suivi après une prise en charge ambulatoire pour 79 %, contrôle plus régulier et plus rapide de l’évolution des maladies pour 79 % et meilleure information des patients pour 78 %. Dans la pratique en revanche, seule une minorité utilise ces outils numériques.
Les sondés ressentent également un manque de communication sur le dossier médical que ce soit entre les médecins à l’hôpital et ceux en ville (pour 55 %), ou au sein même d’un établissement de santé (pour 38 %). A ce titre, ils sont 86 % à être favorables à un transfert systématique par voie électronique de toutes les données à l'ensemble des médecins à l'hôpital ou en ville.
Ils restent cependant optimistes vis-à-vis les pistes de réformes du système de santé : pour 7 français sur 10, elles amélioreront la qualité des soins grâce à "une organisation plus efficace du parcours de soins" et à "une utilisation plus importante des innovations technologiques".
Source : http://www.ticsante.com/story.php?story=3048&mjeton=alWUytSXA2U2xqiSfOUiAuSx5VXP9vfchzi6DbPyyEF-vPeTFrQh9AnpdGzSDWFpmaFLUQImigRWy6Gox1uxdbWTbEMjYEDm&owner=2324694
La France, mauvais élève du  "Future Health Index"
Le 1er "index de la santé du futur" par Philips a été dévoilé début juin. Réalisée par Ipsos sur 13 pays (Australie, Brésil, Chine, France, Allemagne, Japon, Pays-Bas, Singapour, Afrique du Sud, Suède, Emirats arabes unis, Royaume-Uni, Etats-Unis) auprès de 2.600 professionnels de santé et 25.000 patients, cette étude évalue le positionnement des pays sur les réponses à apporter sur le long terme aux problèmes de santé mondiale, "en particulier par le biais de l'intégration des soins et des technologies de santé connectée".
Avec une note de 54,6/100, la France se classe à la 10ème position. Sur les 3 indices spécifiques examinés, l'adoption des dispositifs de santé connectée remporte la plus mauvaise note ; l'accès au continuum de santé et l'intégration du système de santé étant mieux notés.
Les obstacles à cette mauvaise adoption des TIC dans la santé sont multiples : leur coût pour 48 % des patients français, le manque de ressources pour la formation et la protection des données, les freins concernant l’encadrement des pratiques pour les professionnels de santé. 58 % craignent que les soins connectés les obligent à être disponibles en permanence pour les patients et 66 % pensent que cela alourdira leur charge de travail en les inondant de données inutiles.
Pourtant les pratiques semblent évoluer doucement : 59 % des professionnels de santé français ont déclaré avoir reçu de leurs patients des données captées par des dispositifs connectés et 65 % d’entre eux ont même constaté que ce partage de données avait incité les patients à se conformer au traitement.
La deuxième édition du "Future Health Index" permettra de voir se dégager les tendances et de suivre l’évolution des usages et pratiques.
Source : http://www.ticsante.com/story.php?story=3057&mjeton=alWUytSXA2X4q5gA13TkN4ReeUKQI4k9wFdbQ40Iqq5TZnSpUqJgU5NZ9gt9tqwywxpP9dEcw-VW842yUwdcCmxtwGjj9vGT&owner=2350415
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