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#armée ukrainienne
jloisse · 9 months
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🇬🇧🇺🇦🇷🇺 Un véhicule blindé de transport de troupes Spartan de fabrication britannique a été démilitarisé avec succès par des artilleurs des forces armées russes.
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dcoglobalnews · 2 years
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PRÈS DE 9 000 SOLDATS UKRAINIENS TUÉS, DIT LE COMMANDANT SUPÉRIEUR
Près de 9 000 soldats ukrainiens ont été tués depuis le début de l’invasion russe, a déclaré lundi le commandant en chef de l’Ukraine, a rapporté l’agence de presse Interfax-Ukraine. Valeriy Zaluzhny a déclaré lors d’un forum que les enfants ukrainiens avaient besoin d’une attention particulière “parce que leurs pères sont partis au front et font peut-être partie des près de 9 000 héros qui ont…
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teritelnirbenothing · 2 years
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Les armes utilisées, selon le vice-directeur de l'Administration civilo-militaire, contre la ville et les habitants sont des armes américaines, les fameux HIMARS. Suite à cet acte, qui ne peut être qualifié autrement que de crime de guerre, le député de Crimée demande que les Etats-Unis et l'Ukraine soient officiellement reconnus comme "pays agresseurs" et que l'ONU condamne cet acte de terreur. Pour l'instant, c'est le silence total. Pas un mot dans les médias occidentaux, qui continuent à s'exciter contre "les crimes commis par la Russie" en Ukraine, oubliant de préciser que les tirs visent des cibles militarisées par les Ukrainiens. Aucune réaction des organes comme l'ONU n'est à attendre. Le monde atlantiste se moque des civils touchés par l'armée ukrainienne qu'il arme, qu'il entraîne, qu'il finance, qu'il dirige. Ils ne vont certainement pas se condamner eux-mêmes.
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bouxmounir · 2 years
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Armée, leçons françaises de guerre en Ukraine
Armée, leçons françaises de guerre en Ukraine
Il y a quelques jours, le chef d’état-major des armées, le général Thierry Burkhard, lisait les premières leçons du conflit en Ukrainesitué et avant “L’importance de la force morale”de “La guerre de l’information” et de “Formation”. Voiture si la Russie était doté de supériorité, il n’a pas réussi à préparer ses soldats à haute intensité, qui ont exigé une large mobilisation en hommes et en…
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aurevoirmonty · 1 month
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Le faux récit sur l’Ukraine victorieuse
Le récit officiel sur l’Ukraine victorieuse se heurte au réel. Les experts et généraux des plateaux de télévision, qui annoncent l’effondrement de la Russie depuis deux ans, se sont trompés. Vladimir Poutine est probablement en passe de gagner la guerre. L’économie de son pays connait une croissance qu’envierait Bruno Le Maire. Mais ces constatations n’empêchent pas les commentateurs de s’accrocher à leurs convictions. Il est difficile pour un téléspectateur de se faire une idée équilibrée des forces en présence, tant le parti pris pro-ukrainien est la règle. Un semblable unanimisme s’était imposé lors de la « guerre » d’Emmanuel Macron contre le Covid : l’hystérie sanitaire avait pareillement déployé son armada de médecins pour annoncer l’apocalypse et récuser tout discours alternatif, présumé complotiste. Cette semaine, dans Marianne, une série de rapports « confidentiel défense » sont révélés. Ils alertent sur l’état de faiblesse de l’armée ukrainienne, qui rendrait sa victoire impensable. On peut y lire que « l’armée russe est aujourd’hui la référence tactique et technique pour penser et mettre en œuvre le modèle défensif ». Xavier Moreau, ancien Saint-Cyrien vivant désormais en Russie et ne cachant pas son soutien à Poutine, ne dit pas autre chose (1). Ses jugements, certes partiaux, se sont révélés néanmoins plus exacts que ceux des spécialistes dépêchés sur LCI. Rencontré hier à Paris, Moreau assure : « La défaite de l’Ukraine est acquise ». Il estime que les Russes pourraient même, à terme, s’emparer d’Odessa au sud et de Kharkiv à l’est. Mais lui n’est pas invité à s’expliquer.
Macron connaît mieux que personne cette situation favorable à la Russie. Son premier ministre a forcément ces éléments quand il déclare, hier devant les députés, avant de s’écrier « Slava Ukraini ! » (« Gloire à l’Ukraine ! ») : « Nous sommes à un moment de bascule (…)  Si l’Ukraine perd, nous perdrons aussi ». Or, en confirmant le choix de la guerre plutôt que la diplomatie, Gabriel Attal sait qu’il force la France à s’impliquer dans la folle escalade d’un conflit généralisé et nucléarisé. « Nous ne nous fixons pas de limite face à la Russie, qui elle n’en fixe aucune », a-t-il déclaré en écho au chef de l’Etat. La raison n’est donc plus ce qui guide le président de la République. Il est obnubilé par son combat manichéen contre Poutine, assimilé au RN qui pourtant ne le soutient pas. L’attitude belliqueuse du gouvernement, attisée par l’échéance des Européennes, relève d’une même l’irresponsabilité. « Face aux Russes, on est une armée de majorettes », confie un haut gradé, dans le dossier de Marianne. C’est pourquoi Macron devient inquiétant, diabolique (diabolus : celui qui divise), dans son désir d’apparaître en résistant churchillien tandis que son pays se disloque. Non content de diviser l’Europe, il fracture davantage son pays. Hier, si 372 députés (Renaissance, LR, PS, Verts) ont accepté son plan de soutien à l’Ukraine, 101 députés (RN) se sont abstenus et 99 (LFI, PC) ont voté contre. Macron mène sa guerre comme un enfant capricieux. Qui l’arrêtera ?
(1) Ukraine, pourquoi la Russie a gagné, Stratpol
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aurianneor · 8 months
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Limiter la richesse individuelle
Les frères Gracchus, Gaius et Tibérius, étaient tribuns, l'équivalent de nos députés et ils ont voulu s'attaquer aux problèmes de l'époque. Les riches étaient peu nombreux mais possédaient presque toutes les terres. Comme ils produisaient toutes les céréales, ils se mettaient d'accord entre eux pour fixer un prix élevé et faisaient venir des étrangers pour travailler à des salaires très bas que les citoyens romains n'acceptaient pas. En 133 avant J-C, Rome était plongée dans une pauvreté généralisée qui tourmentait Rome. Les frères Gracchus ont fait voter une loi qui s'appelait propriété et elle affirmait que la propriété avait une limite en quantité au-delà de laquelle elle était toxique pour la société et une limite d'usage selon laquelle ce n'est pas parce que c'est à moi que je peux en faire ce que je veux. Les frères Gracchus ont été saisis par les riches et leurs hommes de main et jetés dans le Tribe. S'en est suivi 100 ans de guerre civile entre la plèbe et les riches avant que l'empereur Auguste n'instaure les lois des frères Gracchus profitant de l'émoi causé par la mort de Jules César. Quatre cent ans de paix et de prospérité ont suivi. 
En 1930, en France, des juges ont crée le service public de l'eau, nationalisant les sources. Cela a montré que la propriété privée n'est pas sacrée. Ils ont exproprié les propriétaires, et c'était normal. Léon Blum a été harcelé et a quitté sa fonction. 
La victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni a permis d'exproprier les propriétaires de mines. La propriété n'est pas absolue. Les propriétaires sont devenus moins riches et cela les a fait passer en-dessous de la limite de toxicité.
Le 24 novembre 2013, en Suisse, est votée une loi limitant les salaires à 250 fois le salaire minimum. Cela veut dire que pour que les salaires les plus hauts augmentent, il faut augmenter les salaires les plus bas. A titre de comparaison, en France en 2019, les patrons du CAQ40 gagnaient 1128 fois le salaire de leurs employés les plus modestes. Les riches sont très heureux en Suisse.
En 2022, en Ukraine, profitant de l'opportunité de pouvoirs exceptionnels liés à la guerre, le président Zelensky a nationalisé les banques, les chaînes de télévision et les industries possédées par les oligarques. Ceux-ci étaient tellement riches qu'ils décidaient de tout dans le pays, les caisses ukrainiennes étant vides.
Quand Elon Musk intervient dans la guerre en Ukraine, c'est trop. Quand Mark Zuckerberg favorise l'élection de Trump pour s'enrichir, c'est trop. Quand une personne est suffisamment riche pour avoir un propre programme spatial ou a plus d'argent qu'un pays, c'est trop. Quand tes décisions peuvent ruiner la vie de millions de gens alors que tu n'as pas été élu, c'est trop. Quand les 1% les plus riches de l'humanité émettent 100 fois plus de gaz à effet de serre que ceux qui émettent les 99% autres, c'est trop. 
Ces gens méritent d'être riches mais pas à ce point. Ils n'ont jamais rendu à la société ce que la société leur avait donné en premier lieu. La société a formé leurs employés avec des écoles et des universités; ceux-ci sont en bonne santé grâce aux hôpitaux, il y a des routes, des chemins de fer et des aéroports pour transporter leurs biens. Il y a une police et une armée pour les protéger et une justice pour faire valoir leurs droits. Il y a des ressources naturelles pour alimenter leurs industries, etc.
La Columbia University estime que 100 millions de dollars est une limite. C'est largement suffisant pour la personne et pas assez pour être toxique. (Putting a Limit On Wealth - Stephen H. Unger: http://www1.cs.columbia.edu/~unger/articles/wealthLimit.html)
What, if Anything, is Wrong with Extreme wealth: https://www.tandfonline.com/doi/epdf/10.1080/19452829.2019.1633734?needAccess=true&role=button
Having too Much - Ingrid Robeyns: https://www.openbookpublishers.com/books/10.11647/obp.0338
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
You can’t get enough… Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Qui se cache derrière le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Riche: https://www.aurianneor.org/riche-cetait-une-belle-journee-et-le-paysage/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
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lepartidelamort · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française
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Mourir sous les ordres d’une fiotte, ça donne le vertige
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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Stupides goyim !
De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
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Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
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dostoyevsky-official · 7 months
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Dans le contexte européen d’une « vague » fasciste, et profondément hostiles à la Pologne, ces jeunes militants [de l'OUN] sont bientôt séduits par une idéologie qu’ils qualifient simplement de nationaliste, qui puise à des sources intellectuelles ukrainiennes tout en s’inspirant des expériences de l’Allemagne nazie (et de l’Italie fasciste), avec laquelle ils cherchent l’alliance. La fascisation de l’idéologie nationaliste est notamment explicite dans le « programme » de l’OUN adopté en août 1939, appelant à une « natiocratie », une société conçue sur un modèle corporatiste, rejetant le capitalisme comme le communisme, unie derrière un chef, militarisée, avec un parti unique, un contrôle étatique de la presse et de la culture, et incluant la discrimination systématique ou l’expulsion des minorités. [...] Que ce soit par la dénonciation de l’exploitation économique des Ukrainiens par les Juifs ou par la consolidation de l’image du « judéobolchévisme », l’OUN formule et diffuse activement un antisémitisme virulent à la fin des années trente, même si Himka souligne qu’il reste secondaire par rapport à la primauté idéologique accordée à l’hostilité contre les Polonais. [...] Allemands et nationalistes ukrainiens organisent ensemble des rafles et pogroms, au cours desquels les milices nationalistes jouent un rôle déterminant tout au long de la chaîne de violences – l’identification des victimes, les rafles, les brimades et humiliations, l’acheminement sur les lieux d’exécution – jusqu’aux massacres perpétrés par les Allemands. [...] Himka analyse précisément trois liens entre ces forces de police et l’OUN-UPA : d’une part, le grand nombre de membres des milices nationalistes qui rejoignent les polices de collaboration, encouragées par l’OUN ; d’autre part, la politique systématique d’infiltration des écoles et unités de police, y compris au-delà de la Galicie et Volhynie ; enfin, le recrutement massif de déserteurs de la police dans les rangs de l’UPA en 1943. Les nationalistes voyaient dans la police le noyau d’un futur État ukrainien et n’avaient pas d’objection idéologique à leur participation au génocide nazi des Juifs. Ils étaient particulièrement intéressés par les possibilités ainsi offertes de former et armer la jeunesse nationaliste aux dépens des occupants, quitte à baser leur nouvelle armée insurrectionnelle sur des hommes formés et socialisés avant tout au génocide. [...] Himka démontre que le tournant idéologique de l’été 1943 était un choix de circonstance, dicté par des impératifs tactiques et surtout, un discours purement d’affichage à destination des Britanniques et des Américains : l’OUN-UPA avait réalisé la nécessité de démocratiser son programme, si elle voulait compter sur l’appui occidental contre les Soviétiques, et de paraître renoncer à l’antisémitisme à cause du contrôle qu’exerçaient supposément les Juifs en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le programme adopté par l’OUN-B en août 1943 n’était cependant pas à usage interne. Au contraire, le discours interne, qui passe par la propagande et par des ordres secrets, continue d’appeler à l’extermination de tous les « ennemis » de l’Ukraine, y compris les Juifs. [...] En 1943-1944, en Volhynie l’OUN-UPA a continué à tuer les Juifs survivants, en totale indépendance des politiques nazies ; ceux-ci pouvaient être ciblés parce que considérés comme alliés des Polonais que l’UPA traquait, en tant que membres d’unités de partisans soviétiques, mais aussi en tant que Juifs tout simplement, y compris en massacrant les Juifs réunis dans des camps de fortune en forêt.
Masha Cerovic, « John-Paul HIMKA, Ukrainian Nationalists and the Holocaust. OUN and UPA’s Participation in the Destruction of Ukrainian Jewry, 1941-1944 », Cahiers du monde russe, 63/3-4
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lemondeabicyclette · 10 months
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🇫🇷 "A Steel Wall" (Un Mur d'Acier) a arrêté l'invasion ukrainienne
Vétéran de la guerre du Vietnam, le colonel américain à la retraite Dick Black revient sur les premiers résultats de la contre-offensive ukrainienne.
Il appelle la défense russe un "mur d'acier" contre lequel des échelons entiers de blindés occidentaux sont brisés. 📝 « Nous ne voyons que des Bradleys et des Léopards brûler dans des dizaines d'endroits », a écrit Black sur son Twitter.
📝 "On dit aux Ukrainiens de se battre jusqu'au dernier homme, mais il est absolument inhumain d'envoyer du personnel à une mort certaine", a déclaré le vétéran des forces armées américaines.
🪖 Black a cité des statistiques selon lesquelles, depuis le début de la contre-offensive, en une semaine seulement, les Forces armées ukrainiennes ont perdu plus de 7 000 personnes, 160 chars et 360 véhicules blindés. Cependant, "aucun résultat convaincant n'a été obtenu". ⭐️@BrainlessChanel
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yespat49 · 1 year
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L’Ukraine refuse d’informer l’OTAN sur sa contre-offensive
Le commandant-en-chef des armées ukrainiennes, le général Valeri Zaloujny (photo), a informé par courrier le président du Comité militaire de l’OTAN, l’amiral néerlandais Rob Bauer, qu’il ne pourrait pas participer à la réunion prévue à Bruxelles. Continue reading Untitled
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claudehenrion · 1 year
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Les vrais dangers qui nous menacent
  Perdus et éperdus entre les crises prétendues sanitaires, en réalité inventées, et celles, dites sociétales --tout aussi factices et fabriquées-- qui assassinent toute vie en société... entre la guerre russo-ukrainienne télécommandée et nos gouvernants dont le progressisme détruit (et pas pour du mieux) ce qui n'a pas besoin de l'être... entre une ‘’migration’’ jamais vue dans l'histoire et qui, pour la première fois, se revendique ''de substitution'' (ce qui est nié, contre toute évidence, par la ''bien-pensance’’ assassine)... et, donc, des idées maso-mortifères  --mais absurdes-- qui s'imposent partout et contre toute intelligence... nous imaginions avoir vu le pire... 
Que nenni ! je suis tombé, le week-end dernier, sur un article qui m'a ouvert les yeux –jusque là ''grand fermés'' : toute une catégorie d''experts'' sans nul doute compétents, en deux mots comme il se doit, s'agissant de cette confrérie (idem) si envahissante, a ou ont décrété, ''tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais'', l'arrivée d' ''un grand bouleversement astrologique qui va tous nous toucher''... Depuis, vous n'imaginez pas ''dans quel état j'erre'', entre panique, affolement, frayeur, effroi, inquiétude, voire... crainte et tremblements, pour faire croire que je lis Kierkegaard... C'est que, démontrait cet article avec une rigueur exactement scientifique (on croirait du Delfraissy ou du Fischer, c'est tout dire !) : ''En ces temps de mensonges et de crise, il est temps de prendre conscience que 2023 sera une année ponctuée de hauts et de bas'' (sic ! Ça, c’est une vraie bonne nouvelle !), même si certains astrologues/logistes illogiques ajoutent : ''...en fonction de la position des planètes'', sur laquelle notre influence, on peut le dire, est réduite ! (NB : la gravité du sujet justifie un texte un peu plus long. Pardon)
Chers Amis-lecteurs, je suis particulièrement fier de contribuer à votre salut, en vous informant illico sur les dangers épouvantables qui vous attendent, puisque ''Un homme ou une femme averti en vaut deux'' : à deux, il est plus facile de prendre la célèbre position ''de la tortue'' pratiquée dans les armées romaines et les livres d'Astérix... Car ce qui est certain, c'est que, comme le disait à peu près la Fontaine dans ''les Animaux malades de la peste'', ''nous ne mourrons pas tous, mais tous serons frappés'' : la racine du mal qui nous menace est d'une autre tessiture que nos habituels variants variés, flanqués d'une lettre grecque : ici, c'est du lourd,...
Après deux années dans le signe du Verseau (ce qui fait de lui le seul coupable du confinement ?), Saturne a rejoint, le mardi 7 mars 2023, le signe du --ou des-- Poissons dans lequel il va rester près de trois ans. Or les vrais ''Experts'' (dans le genre des ''médecins de plateau'' et les généraux 2R à la retraite qui empoisonnent nos soirées en charentaises devant la ''télé''), précisent bien que cette planète a une grande importance car, contrairement à la Lune par exemple, elle se déplace très lentement et son influence ne se limite donc (?) pas à l'humeur et aux actions des signes astrologiques : ''elle a une réelle influence sur les énergies globales du monde et sur la société dans son ensemble''. Je vais vous expliquer tout ça, ou plutôt je vais essayer de décrypter l'imbitable volapük des dits (et dix) ‘'experts'’.
Suivez-moi : ''pendant les 2 années où elle était encore en Verseau, Saturne avait pu réactiver certaines peurs et angoisses au niveau collectif.'' (NB : ça commence fort, et ça en rappelle, des souvenirs récents !). Les valeurs de sécurité –''que représente Saturne'', tout le monde sait ça-- et de liberté (''du registre du Verseau'', elle, cqfd) ont pu entrer en conflit. Mais voilà que Saturne entre en Poissons, ce qui pourrait être synonyme de "sobriété" (il n'y a plus d'essence ? plus rien dans les rayons des hypermarchés ? la viande est trop chère ? C'est la faute aux Poissons !) et de ''prises de conscience liées aux grandes questions actuelles : l'économie, les problèmes climatiques''.... Donc (?), précisent les ''experts'' (aussi garantis SGDG que ceux qui blatèrent n'importe quoi à propos du covid ou de l'Ukraine), ''Saturne, qui structure et encadre, pourrait permettre de concrétiser des rêves et utopies des Poissons''. (je vais derechef et d'heureux-chef demander à mon cher poisson rouge quels sont ses rêves !). Et ils nous rassurent (Ouf ! On n'en pouvait plus !) : ''Des grands voleurs et menteurs pourraient être démasqués'' et ''plus de clarté pourrait être apportée sur de grandes questions, des rumeurs ou des théories''... . (Tremblez, ô Ministres improbes... Craignez la justice astrale, ô accusateurs sans cause des ''complotistes'', ô suspendeurs en suspens des ''suspendus'' pendus, ô confineurs masqués de nos heures de grande solitude sans aucune sollicitude...).
 En français vernaculaire, ce galimatias devient : ''le confinement était inscrit dans les astres (?), et nombre de français ont cru que le drame covidique annoncé était vrai... On s'est foutu de leur gueule en les terrorisant et en leur mentant effrontément... Mais une prise de conscience est en cours (Macron, Véran, et autres coupables... ''traversez donc la rue'' et changez de job, avant qu'il ne soit trop tard !)... et l'impunité actuelle des menteurs sériels ne durera pas toujours... car on voit revenir en pleine lumière des vérités qui étaient dites ''complotistes'', au temps où Big Brother régnait. Quant aux pénuries, c'est la faute aux Poissons !)''.
Si on pense au mal que se sont donné nos gouvernants pour faire croire que tout français qui ne croit plus à leurs balivernes et à leurs énormités serait ou est un ''complotiste'' (dont le nombre total atteindrait donc 70 à 80 % de la population, puisque seul un tout petit 20 %  (les myopes, les aveugles, les têtus...) ose encore dire croire aux bobards que nous imposent les soi-disant ennemis du mot complot, qui sont en réalité ceux qui ont inventé le concept, et ils le pratiquent ''non-stop'').     Or, sans que personne ne nous ait prévenus et sans même s'auto-signer une ''Autorisation dérogatoire d'aller faire pipi'', Saturne entre en Poissons, en ce moment-même. L''heure est grave. Il faut le répéter avec l'accent du même nom : ce bouleversement astro et logique va tous nous toucher, de près ou de près...
Mais c'est là que ça se corse, comme disait Napoléon : si la planète Saturne a une influence sur le zodiaque, elle a également un impact sur chaque signe astrologique, donc sur le vôtre et sur le mien, aussi ! Tout dépend de sa position. ‘’Saturne, synonyme de sagesse et de rigueur, représente le travail, les contraintes, le cadre et la confiance en soi (donc : sagesse et rigueur = travail et contraintes ? Vive la folie et le n'importe quoi, alors !), et ''lorsqu'il était dans le signe du Verseau, il a donc permis aux Gémeaux, au Bélier et au Sagittaire de se débarrasser de ce qui ne leur convenait plus'' (je ne vois pas le rapport...sauf ‘’Ben voyons...’’ !). ''En revanche, il a pu être frustrant pour le Lion, le Taureau et le Scorpion, ces deux dernières années'' – trois bestioles qu'il est sage, pourtant, de ne pas trop ''titiller''.
Et voilà que tout-à-coup, ''en entrant dans les Poissons, il permet au Cancer, au Scorpion, au Taureau et au Capricorne de se structurer et de poser les fondations de leur futur''. Attention néanmoins aux Poissons (d'élevage et de pleine mer), à la Vierge (qui joue les Sainte Nitouche) et au Sagittaire, (ça, c'est moi, entre autres) qui risquent de  s'empêtrer dans des situations floues ou fausses (c'est déjà fait depuis longtemps, pour moi ! Et pour la ''révolte des retraites'' aussi). ''Pour les trois prochaines années il va falloir clarifier et concrétiser'' ! (NDLR : ça, c’est concret).
En 2023, précisent les horoscopes, ''les planètes vont offrir des opportunités à tous les signes du Zodiaque'' (je suis bien content, car personne ne s'y attendait !). ''En fonction de la position des astres, des influences positives toucheront les signes astrologiques, et des énergies plus difficiles à vivre pourront également impacter le quotidien des signes'', ce qui est clair comme de l'eau de roche, non ? Les mêmes ajoutent : ''Pas d'inquiétude : il s'agit simplement d'influences qui nous forcent à nous remettre en question et déterminer ce qui est réellement bon pour nous''... ce qui est encore plus limpide ! 2023 est donc une grande année –tout le monde l'avait compris, ''s'pa ?''-- qui inaugure un nouveau cycle de 22 ans (Chic ! J'aurai 110 ans, pile ! A moi, les petites anglaises !). Pourtant, cette nouvelle position (comme dit le Kama-Soutra), qui annonce un changement de vie pour le Verseau, suscite des inquiétudes pour les Poissons, du côté finances (Aïe ! Pauvres pêcheurs bretons !) et aussi –ce qui n'est pas sympa-- une  fatigue pour le Sagittaire (NB : Pourquoi lui ? J’ai pas envie ! c’ pas juste)
Mais ce n'est pas tout : ''La planète Pluton a passé près de deux décennies dans le signe du Capricorne qu'elle a enfin quitté le 23 mars 2022. Cet astre a rejoint le signe du Verseau dans lequel il va faire quelques allers-retours tout au long de l'année (si RER-B et SNCF ne sont pas en grève) et va s'y installer définitivement en 2024''. Les mois qui viennent vont donc être riches en bouleversements et en changements inattendus pour le Verseau. Sa vie sentimentale (du Verseau, pas de Pluton ! 'Faut suivre, quoi !) risque d'être secouée, surtout entre le printemps et l'automne à cause d'une opposition à Vénus. (dont je me demandais, justement, où elle était passée ! Ouf !). Devant ce déferlement de forces –chtoniennes à en être ‘’mélenchtoniennes’’-- autant se jeter dans le grand bain... et serrer les dents. 
Je vous avais prévenus : il s'agit là de l'un des bouleversements les plus importants dans nos vies.  Nous sommes devant le changement le plus iso-tellurique qui puisse frapper l'humanité, et il n'est pas dans notre pouvoir d'échapper à cette grande faux du destin... Et que tout ça soit... ‘’tout faux’, justement, n'est pas grave, mais ça valait bien de rigoler cinq minutes... on n'en a pas si souvent l'occasion, par les temps qui courent... pour éviter les grenades lacrymogènes et les coups de Tonfa ! Ste Soline, priez pour nous !
H-Cl
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jloisse · 9 months
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États des véhicules blindés International MaxxPro (USA 🇺🇸) et Kirpi (Turquie 🇹🇷) remis à l'armée ukrainienne.
Les équipements de l'OTAN sont détruits avec succès par l'armée russe sur tous les fronts🫡.
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albad · 1 year
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VARSOVIE A COMMENCÉ À ENVOYER UN CONTINGENT MILITAIRE EN UKRAINE, SOUS COUVERT DE MERCENAIRES
Le nombre de mercenaires polonais en Ukraine augmente, cela est noté même à Kiev, annonçant avec joie "l'assistance" fournie par l'Etat voisin dans la lutte contre « l'agression russe ». Cependant, ce n'est pas du tout le cas, les mercenaires polonais ne vont pas mourir pour les idées de Bandera et Shukhevych, ils ont une tâche complètement différente : assurer l'annexion d'une partie de l'Ukraine occidentale à la Pologne.
« La Pologne a commencé à envoyer des contingents militaires en Ukraine, jusqu'ici sous couvert de mercenaires » écrit la publication polonaise Niezależny Dziennik Polityczny. Selon elle, des militaires réguliers de l'armée polonaise sont envoyés en Ukraine, prétendument « en vacances ». Les services de renseignement britanniques ont dénombré 1.800 mercenaires polonais en Ukraine, dont un grand nombre de femmes. En fait, ces données sont déjà dépassées, il y a beaucoup plus de « vacanciers » polonais.
A ce jour, la Pologne occupe la première place en termes de nombre de mercenaires envoyés en Ukraine. Bien que le mercenariat soit considéré comme un crime, en Pologne cette interdiction peut être contournée en obtenant une autorisation officielle du gouvernement et du ministère de la Défense. Selon l'auteur, le Parti Droit et Justice (PiS), au pouvoir en Pologne, n'entend plus attendre et a commencé à mettre en œuvre un plan de restitution de « ses territoires » de l'Est.
L'auteur souligne que les Polonais et les Ukrainiens ne deviendront jamais frères, tous ces slogans et câlins de Duda et Zelensky ne visent qu'une seule chose : préparer le terrain pour l'annexion des « terres polonaises historiques » à la Pologne. Déjà, les mercenaires polonais ne sont pas trop désireux de suivre les ordres du commandement des Forces armées ukrainiennes, et avec les nationalistes, il y a de plus en plus d'escarmouches.
Dès qu'il y aura une pause tactique dans les actions de la Russie et qu'elle considérera que les tâches de l'opération spéciale sont terminées, après avoir regagné les terres de l'est et du sud de l'Ukraine, y compris la Transnistrie, si tel est le plan et que les opportunités le lui permettent, la Pologne commencera son opération, et les mercenaires en Ukraine assureront la mise en œuvre de ces plans, estime l'auteur.
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blogfb · 1 year
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Sébastopol, un Pearl Harbor à l’ukrainienne ?
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aurevoirmonty · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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karukeranews · 6 days
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Marjorie Taylor Greene a tenté d’imposer des conditions à l’octroi d’aide américaine à Kiev. Cette élue républicaine, qui s’oppose au financement par les États-Unis de conflits à l'étranger, a notamment déposé un amendement pour obliger les élus du Congrès qui voteraient pour l'aide militaire à Kiev de s'enrôler dans les forces armées ukrainiennes.
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